Le Conseil constitutionnel s’est penché sur les recours introduits suite au dépôt des dossiers de candidature en perspective des élections législatives du 31 juillet prochain. Et selon le directeur exécutif de la section d’Amnesty International (AI) Sénégal, Seydi Gassama, ses décisions vont préserver la paix et la stabilité du pays.
D’après Seydi Gassama, le Conseil Constitutionnel a dit le droit, avec sérénité et sagesse, malgré les pressions politiques de tous bords.
« Après l’élection législative de juillet les lois électorales du pays doivent être revues, comme le demande la Cour de Justice de la CEDEAO », suggère le directeur exécutif de la section d’Amnesty International (AI) Sénégal.
Pour M. Gassama, le principe, c’est une élection inclusive, sans des obstacles indues à la participation des petits partis aux compétitions électorales.
Le sentiment d’insécurité inhibe les populations jusqu’à la psychose. L’Amicale Issac Yankhoba Ndiaye (APROJAC) de la faculté des sciences juridiques et politiques de l’UCAD de la promotion 2009 annonce la disparition de leur camarade, Ibrahima Seck.Selon nos informations, Ibrahima Seck a été vu pour la dernière fois, ce mardi, aux alentours de 05h, à la plage de Yoff.
L’ancien ministre de la Justice, le professeur Ismaïla Madior Fall, a réagi aux décisions rendues, ce lundi, par le Conseil constitutionnel sur les différents recours introduits, à la suite du dépôt des dossiers de candidatures en vue des prochaines élections législatives. Le ministre-conseiller du président Macky Sall dit « accepter », même si, dit-il, n’est pas d’accord. « Nous sommes des démocrates, nous respectons la décision du Conseil constitutionnel. Nous sommes dans un Etat de droit et nous avons une justice indépendante », a-t-il notamment déclaré. « Même si nous ne sommes pas d’accord, on l’accepte », a-t-il insisté. Le constitutionnaliste rappelle que « la majorité, sous le leadership du président de la République, acceptera toutes les mesures prises par des institutions républicaines comme la justice ». Mieux, dit-il, « les Sénégalais n’attendent pas qu’on fasse un appel à l’insurrection, parce que nous œuvrons pour la paix ».
Alors que Ousmane Sonko a annoncé une grande manifestation de 200 000 personnes à Dakar si Yewwi Askan Wi ne participe pas aux prochaines élections législatives, Bougane Guéye Dani lui a servi une réponse ce mardi. D’après le leader de la Coalition Gueum Sa Bop, Sonko et Cie bluffent.
C’est une triste nouvelle que vient d’annoncer Pape Cheikh Diallo en direct de l’émission Midi +. L’animateur a en effet annoncé le rappel à Dieu de Ndiaye Tfm.
Le comédien, qui était gravement malade ces derniers temps, vient de rendre l’âme d’après ses confrères de la Télévisions Futurs médias.
Le nouveau maire de la ville de Thiès a décidé de se conformer à la loi relative à la déclaration de patrimoine applicable à toutes les personnalités gérant un budget de plus d’un milliard FCfa. En effet, Dr Babacar Diop vient d’annoncer sur sa Facebook d’avoir effectué ce matin à l’OFNAC la déclaration de son patrimoine. Selon lui, « son patrimoine tourne autour de livres collectionnés depuis mes années d’étudiant ».
« Ce matin, j’ai fait ma déclaration de patrimoine auprès de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac). L’essentiel de ce patrimoine tourne autour de livres collectionnés depuis mes années d’étudiant. Ma bibliothèque est mon plus grand et mon plus beau patrimoine ». a écrit Dr Babacar Diop, maire de Thiès sur sa page Facebook.
Le Sénégal risque encore de subir les conséquences de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. En effet, le prix du pain pourrait encore augmenter, si l’Etat n’épure pas la dette issue des dispositions de subvention mises en place pour l’achat du blé.
En effet, l’association des meuniers industriels du Sénégal a interpellé le gouvernement, lui demandant d’épurer cette dette de 14 milliards de francs Cfa. D’après Le Quotidien qui donne la nouvelle, ces subventions constituent une compensation de l’homologation des prix actuellement à 19 200 francs Cfa par sac.
Si rien n’est fait, on risque une faillite du secteur et près de 1350 emplois directs et 15 000 indirects sont menacés.
Pour parer à toute éventualité et certainement forcer l’Etat à prendre des dispositions urgentes, les meuniers menacent d’augmenter, encore, le prix du pain.
Une information faisant état d’une aide que la Première Dame, Marième Faye Sall, à travers sa fondation Servir le Sénégal, aurait attribuée à des Sénégalais a fait le tour des réseaux sociaux.
Depuis des jours, des compatriotes, composés particulièrement de femmes, s’acheminent vers le Palais de la République avec des enveloppes. Pour cause, déposer une demande d’aide afin de préparer la fête de Tabaski. Face à cette situation, la Première Dame du Sénégal a apporté des précisions. A l’en croire, l’information est totalement fausse car dit-elle, elle n’était même pas au courant de la situation. « Tout le temps, on reçoit des demandes que nous traitons dans les meilleurs délais. On ignore l’intention de la personne qui a véhiculé ce message mais, nous allons faire de notre mieux pour traiter toutes les requêtes. »
« (…)Il y a ceux qui ont joint leurs pièces d’identité dans les enveloppes. Je n’ai jamais dit ça. On ne fonctionne pas comme ça », a-t-elle fait savoir au micro de la RTS. Elle a également tenu à rassurer les demandeurs d’aide, car, dit-elle, toutes les demandes seront traitées, à cet effet.
Le monde de la lutte sénégalaise est endeuillé : le lutteur de l’écurie Sakkou Kham Kham, Akon, a été rappelé à Dieu. Le décès est survenu ce mardi, dans un hôpital de la capitale sénégalaise.
D’après les informations de SeneNews, le lutteur a eu un malaise à l’entrainement. Il ne se relèvera plus jamais, malheureusement.
L’enterrement est prévu ce mardi. Sanslimitesn présente ses condoléances à la famille éplorée et à tous les acteurs de la lutte sénégalaise.
Le Conseil constitutionnel vient de rendre son verdict concernant la demande d’irrecevabilité de la liste de Benno Bokk Yakaar (BBY), introduite par une partie de l’opposition, dont Yewwi Askan Wi et Gueum Sa Bop. L’instance a décidé de rejeter cette demande. La liste de BBY sera donc recevable.
« Les recours introduits par MM. Babacar MBENGUE agissant en sa qualité d’électeur, Déthié FALL agissant en qualité de mandataire de la coalition YEWWI ASKAN WI et Alioune DIOP agissant en qualité de mandataire de LA GRANDE COALITION GUFUM SA BOPP sont irrecevables », écrit le Conseil Constitutionnel. Pour rappel, Déthié Fall, Babacar Mbengue et Alioune Diop avaient respectivement saisi le Conseil constitutionnel de recours tendant à faire déclarer irrecevable la liste de la coalition BENNO BOKK YAKAAR pour les élections législatives du 31 juillet 2022.
Triste nouvelle pour le monde de la lutte! Le lutteur à rendu l’âme ce mardi, suite à un malaise à l’entrainement.
Le lutteur Akon tire sa révérence! le pensionnaire de l’écurie Sakkou Kham Kham de Birahim Ndiaye est décédé suite à un malaise à l’entrainement. L’enterrement est prévu ce mardi.
Sanslimitesn présente ses condoléances à la famille éplorée.
Recalé lors du contrôle des parrainages, Gueum sa Bop a saisi le Conseil Constitutionnel pour faire annuler la décision de la Direction générale des Elections. Rendant son verdict ce mardi, l’instance a décidé de rejeter la demande de la coalition Gueum Sa Bop de Bougane Guéye Dani.
C’est une bien mauvaise nouvelle pour la Grande Coalition Gueum Sa Bop. Après la demande introduite au Conseil Constitutionnel, l’instance a décidé de la rejeter. Le Conseil constitutionnel considère que certaines des pièces produites par cette coalition ne comportent aucune signature et occultent les prénoms et noms des parrains, dont la taille et le numéro des cartes d’électeurs sont contestés. Le Conseil constitutionnel donne raison à la DGE, qui considère que Gueum Sa Bop n’a pas atteint le nombre minimum de parrains demandé.
Le Conseil constitutionnel a rendu sa décision au sujet de la liste départementale de Yewwi Askan Wi à Dakar rejeté par la Direction générale des élections (DGE). Le Conseil Constitutionnel donne raison à Yewwi Askan Wi dont le mandataire national avait déposé un recours.
Le juge chargé de se pencher sur ces affaires politiques a donné sa décision concernant la demande visant l’annulation des décisions de rejet de la liste départementale de Yewwi Askan Wi à Dakar, déposée par la Direction générale des élections. D’après Emedia, les cinq sages ont rejeté la requête parce que, disent-ils, les arguments évoqués ne sont pas valables.
Ce recours a été introduit par Déthié Fall, mandataire national de la coalition Yewwi Askan wi le mercredi 18 mai dernier.
Ousmane Sonko ne compte pas laisser Macky Sall et la mouvance présidentielle participer aux Législatives. Le leader de Pastef est même prêt à aller se caser àà Ziguinchor si les Sénégalais laissaient passer Benno Bokk Yaakar.
Face aux Sénégalais et depuis sa maison à Ziguinchor, Ousmane Sonko considère que « l’administration et la justice vont valider la liste de Benno Bokk Yaakaar sous le diktat de Macky Sall ». Le membre de Yewwi Askan Wi est persuadé que le plan de Macky Sall est déjà ficelé.
Considérant cela comme une forfaiture, Ousmane Sonko invite ainsi les Sénégalais « à prendre leur destin en main ». Il menace même, au cas contraire, « d’aller se caser à Ziguinchor et gérer la mairie tranquillement ».
« Je vous laisserai alors avec Macky Sall », a-t-il dit en dernier dans sa prise de parole. Une menace de retrait de la vie politique à Dakar où tous les combats se font.
Dans le cadre de l’Assemblée mondiale de la santé, le ministre de la Santé et de l’Action Sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, a participé ce lundi à un déjeuner de travail axé sur le thème : «sécurité des patients dans un contexte de pandémie de Covid-19». Il était l’invité du Conseil fédéral de Suisse.
Le ministre de la santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, a pris part ce lundi à un déjeuner de travail sur la thématique de la «sécurité des patients dans un contexte de pandémie de Covid-19». Lors de son intervention, il est largement revenu sur les stratégies de réponses du Sénégal face à la pandémie de la Covid-19 qui a bouleversé le monde, à travers des vagues associées à des variants de contagiosité et de gravité différentes. Parmi ces différentes stratégies mises en place par le gouvernement du Sénégal pour faire face aux différents défis, il y a notamment la vaccination avec la multiplicité des approches et des stratégies habituelles (Pev) et innovantes (vaccinodromes) soutenues par une communication de masse et de proximité menée à tous les niveaux du système de santé, le déploiement des tests, la décentralisation et la déconcentration des interventions par la mise en place de Centres de traitements des épidémies (Cte) et l’augmentation progressive de la capacité de prise en charge des patients positifs dans toutes les grandes agglomérations.
À celles-là, s’ajoutent l’harmonisation des protocoles de prise en charge, le renforcement des capacités et la protection des personnels de santé ; la réduction des perturbations des services de santé ordinaires et essentiels par la continuité des services, le maintien du stock de sécurité, l’inauguration du service des maladies infectieuses et tropicales de Fann (Smit) et de quatre nouveaux établissements publics de santé (Eps 2) ; l’amélioration de l’accès aux contre-mesures médicales, y compris la recherche et le développement ; la Mobilisation de financements durables pour la préparation aux pandémies, la sécurité sanitaire et les systèmes de santé ; et la sécurité des patients pour une amélioration de la qualité globale des soins et des économies substantielles de dépenses en santé.
Cette réunion a vu la participation d’autres pays, notamment la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Arabie Saoudite, le Japon. Tous ont renouvelé leur engagement pour mettre la sécurité des patients et la qualité des soins au cœur des politiques sanitaires, condition essentielle d’une résilience des systèmes de santé. Il a aussi été relevé la nécessité d’avoir une synergie d’action et un dialogue mondial sur cette problématique. À ce titre, les participants se sont réjouis de la tenue du Sommet sur la sécurité des patients prévu en 2023 à Montreux. Ce sommet servira de cadre d’approfondissement de ces questions et de recherche de solutions afin que le patient soit au cœur des préoccupations des professionnels de santé.
L’association des meuniers industriels du Sénégal interpelle le gouvernement. Elle demande à l’Etat d’épurer une dette de 14 milliards de francs CFA. Des arriérés issus des dispositions de subvention mises en place pour l’achat du blé. Ces subventions sont une compensation de l’homologation des prix actuellement à 19 200 francs CFA par sac.
Les meuniers sollicitent des mesures urgentes pour éviter une faillite du secteur. En effet, près de 1350 emplois directs et 15 000 indirects sont menacés. Il n’est pas aussi exclu la banqueroute de certains établissements spécialisés en minoterie.
D’après Le Quotidien, l’association des meuniers industriels du Sénégal agite également une possible hausse des prix du pain. Mais, principalement si l’Etat ne respecte pas des engagements pris pour les subventions de l’achat du blé.
cette année 2022, le nombre de candidats inscrits au Baccalauréat 2022 est de cent cinquante mille neuf-cent vingt-et-un (150 921), soit une baisse de 6397 candidats par rapport à 2021. Le pourcentage de candidats issus du public est de 52.69% et celui des candidats individuels est à 16,95%.
Sur ces candidats, 123 982 ont opté pour les séries littéraires (L’1 – L1a – L1b – L2 – LA – L-AR); 24 300 candidats pour les séries de Sciences et techniques (S1 – S1A – S2 – S2A – S3 – S4 – S5 – F6 – T1 – T2); 2639 candidats du tertiaire (G – STEG); 803 candidats du Franco-Arabe (LA – S1A – S2A), selon le document publié par l’office du baccalauréat.
La coalition Yewwi Askan Wi est en train de montrer ses limites. A la veille des élections législatives du 31 juillet 2022, Khalifa Sall et ses camarades paient cash leurs erreurs politiques. Des erreurs qui ont fini par faire comprendre à Sonko, leader du parti des patriotes du Sénégal pour le travail l’éthique et la fraternité (PASTEF) qu’il a commis la plus grande bêtise de sa vie. Et si rien n’est fait pour sauver le soldat Ousmane Sonko, il verra l’empire qu’il a bâti, s’écrouler comme un château de cartes.
Ousmane Sonko est sans doute l’un des plus féroces adversaires du président Macky Sall. Depuis son entrée en politique, le leader de Pastef ne laisse aucune marge de manœuvre au locataire du Palais. Pour maximiser ses chances d’arriver au pouvoir, il a même décidé de pactiser avec les personnes qu’il n’a cessé de combattre. C’est sur ces fondements que Ousmane Sonko a adhéré à la coalition Yewwi Askan Wi. Mais l’actuel maire de Ziguinchor regrette déjà ce compagnonnage de circonstance.
La sortie de Sonko, le samedi, en dit long sur son état d’esprit. Le patriote en chef semble avoir réalisé que cette coalition est loin d’être une formation qu’il contrôle à sa guise. Depuis l’annonce des législatives, Yewwi Askan Wi ne cesse de commettre des erreurs impardonnables pour une aussi grande coalition. Et si Sonko est exaspéré par la situation c’est parce qu’il n’est pas le seul décisionnaire au sein de YAW comme il le fait avec Pastef. Et cette situation est une contrainte pour l’édile de la capitale du Sud. A cause des bêtises du mandataire nationale, cette coalition risque de rater le coche.
Pourtant aux législatives de 2019, Ousmane Sonko avait réussi à obtenir un siège à l’Assemblée nationale sans l’aide d’une quelconque coalition. Grâce aux percées de Pastef, il s’est fait une place dans le landerneau politique. Mais depuis qu’il a accepté de pactiser avec les gens du système, il peine à s’affirmer. L’homme, qui rêve de prendre la place de Macky en 2024, n’a même pas réussi à placer un de ses hommes à la tête de la mairie de Dakar. Il est dans le sud, loin de tous les véritables combats qu’il doit livrer.
Mais en rejoignant Yewwi Askan Wi, Ousmane Sonko a trahi la confiance des sénégalais. Si beaucoup de jeunes ont accepté de le suivre c’est parce qu’il leur a vendu des valeurs patriotiques et l’anti système qu’il prône. Mais son adhésion prouve tout le contraire. Pire, il a même pactisé avec Wallu de Me Abdoulaye Wade. Et pourtant Ousmane Sonko demandait que tous les présidents soient fusillés même Abdoulaye Wade qui a dirigé ce pays de 2000 à 2012. Ses contradictions le mènent droit au mur. Son électorat se réduit, les bourdes de ses nouveaux amis l’indisposent politiquement.
Les dernières communications de Sonko démontrent clairement son envie de quitter la coalition. Ce qui serait sans doute légitime. Tous les analystes sont d’accord que c’est lui qui pilote ladite coalition. Ces nouveaux amis profitent de lui et de sa notoriété. En français simple, le jour où Sonko quittera Yewwi, la coalition ne sera qu’un tas de ruines. Agir de la sorte lui permettra de retrouver sa puissance politique d’antan. Il aura la latitude de dérouler son programme sans contrainte.
Le leader de Pastef est face à son destin. Rejoindre Yewwi Askan Wi est la plus grosse erreur qu’il a commise. Désormais il est obligé de subir les conséquences de sa turpitude. Au moment où il cherchait à pactiser avec d’autres, certains de ses camarades ont renforcé leur assise sur certaines parties du pays. Alors pour se requinquer politiquement, il est obligé de faire cavalier seul en emportant avec lui les plus grands leaders de Yewwi. Mais la tâche sera tout sauf simple pour lui.
Ni la double inscription sur une liste, ni l’inéligibilité (qui doit être notifiée au mandataire de la coalition concernée et régularisée dans les délais prescrits par la loi) n’entrainent l’invalidation d’une liste de candidature.
La double inscription sur une liste n’entraine pas l’irrecevabilité de la liste des candidats
Par requête en date du 15 novembre 2021, le mandataire de la coalition Yewwi Askan Wi, Abdoulaye Matar Lo a saisi la cour d’appel de Thiès, aux fins de déclarer irrecevables, les listes de candidats de Benno Bok Yakaar et de Bok Guis Guis pour les élections locales du 23 janvier 2022, au motif que la dénommée Astou NDIOUCK serait inscrite à la fois sur la liste des candidats suppléants au scrutin proportionnel de la coalition Benno Bok Yakaar et sur celle des candidats titulaires de la coalition Bok Guis Guis.
Dans son arrêt n°39 du 19 novembre 2021, la Cour d’appel a invalidé la candidature de Mme Astou Ndiouck inscrite sur la liste de la coalition Benno Bok Yakaar et sur celle de la coalition Bok Guis Guis. Les listes de Benno Bok Yakaar et de Bok Guis Guis n’ont pas été déclarées irrecevables.
Commentaire de l’arrêt n°39 du 19 novembre 2021
La double inscription sur une même liste ou sur 2 listes différentes n’entraine pas l’irrecevabilité d’une liste de candidats, mais uniquement l’invalidation de la candidature de la personne concernée. Dans le cas d’espèce, la coalition procède à son remplacement, par un autre candidat.
L’inéligibilité n’entraine pas l’irrecevabilité de la liste des candidats
Selon une jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel (nous disposons de nombreuses décisions du conseil constitutionnel en la matière), qui doit obligatoirement être saisi par le Ministre chargé des élections en cas d’inéligibilité, l’inéligibilité d’une candidature n’entraine jamais l’irrecevabilité d’une liste de candidats.
L’article LO.182 dispose : Après le délai de cinq jours prévus à l’alinéa premier de l’article L179 et ce, jusqu’à la date de prise de l’arrêté publiant les déclarations reçues, s’il apparait qu’une déclaration de candidature a été déposée en faveur d’une personne inéligible, le Ministre chargé des élections doit saisir le Conseil constitutionnel qui statue dans les trois jours de la saisine sur la recevabilité de ladite candidature. Si les délais mentionnés à l’alinéa premier ne sont pas respectés, la candidature doit être reçue.
Dans ses décisions n° 4/E, 5/E et 6 E du 15 avril 2018, le Conseil Constitutionnel saisi sur l’inéligibilité de 2 candidats du Rassemblement national démocratique, 2 candidats du Parti de l’indépendance et du travail et 17 candidats du Mouvement Républicain sénégalais a déclaré les 21 candidatures irrecevables. Les listes de candidature des partis concernés n’ont jamais été déclarées irrecevables.
En conséquence, l’inéligibilité impacte uniquement la candidature du candidat, mais jamais celle de la liste.
Conclusion :
Afin que nul n’en ignore, ni la double inscription sur une liste, ni l’inéligibilité du candidat n’entrainent l’irrecevabilité d’une liste de candidats (seuls les candidats concernés sont impactés). YEWWI sera sur la ligne de départ pour le scrutin du 31 juillet 2022 : il ne faut point en douter (sa liste nationale est parfaitement recevable).
Communiqué – La Grande coalition Gueum Sa Bopp saisit les représentations diplomatiques ( France, Usa, Allemagne, l’ Union européenne et l’ Usaid.
La coalition est revenue sur les incongruités et incohérences de la Direction générale des élections (DGE) ayant abouti à l’invalidation de leurs listes de parrainage et le dépôt des recours au niveau du conseil constitutionnel. Les représentants diplomatiques de la France , de l’Allemagne , des États Unis , de l’Union Européenne ainsi que l’Usaid ont reçu les preuves qui attestent du complot pour écarter des candidatures sérieuses ayant fait leurs preuves lors des derniers locales.
Gueum Sa Bopp a rappelé aux ambassades l’objectif de Macky Sall qui est d’organiser une sélection législative avec des tocards et une opposition fragilisée et amputée comme en 2019 . Une démarche antidémocratique qui constitue un recul de la démocratie pour notre cher pays. La coalition Gueum Sa Bopp demande aux représentations diplomatiques d’user de leur influence pour rappeler à l’ordre le Président Macky Sall afin d’éviter les tensions électorales sources d’instabilité.
Par ailleurs nous rappelons au Conseil Constitutionnel qu’il est tenu de dire le droit sur tous les recours en annulation qui ont été introduits par les différentes coalitions. Et nous exigeons que le droit soit dit dans sa plénitude. Nous rappelons également notre attachement au respect de la loi dans la conduite du processus électoral. La loi est générale et impersonnelle. Aux acteurs politiques il leur est redit, que nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude.
La coalition Gueum Sa Bopp n’acceptera pas de compromissions (Pas de combine Beuré) sur le dos du peuple sénégalais. Dakar le 23 Mai 2022 La cellule de com.: +221 78 307 4989
Le parti Alliance pour la promotion du développement local (Aprodel) a décidé de cesser ses activités dans le Benno Bok Yakaar. L’annonce a été faite ce week-end par le Coordonnateur dudit parti. Le manque d’égard et la non implication de son leader sont les raisons soulevées par les anciens souteneurs du président Macky Sall.
» Notre leader, le Président Moussa Fall, doit avoir plus de considération et nous exigeons une audience avec le Président Macky Sall qui est désormais notre seul interlocuteur. Nous ne serons plus derrière les responsables politique de Kaolack « , a martelé Pape Samba Bessane, coordonnateur de l’Aprodel.
» La suspension des activités de l’Aprodel au sein de la Coalition Benno Bok Yaakaar est une décision de notre Président Moussa, approuvée à l’unanimité par toutes les instances de notre parti « , a ajouté M. Bessane, qui a cité la dernière sortie des femmes qui sont sur la même longueur d’onde.
« C’est avant 2012 que nous avons commencé à accompagner le Président Macky Sall et nous avons participé aux nombreuses élections qui se sont déroulées au Sénégal à savoir les législatives de 2017, les municipales de 2014, le référendum de 2016, la présidentielle de 2019 et récemment les locales de 2022. Hélas, nous ne sommes pas honorés pour tous les sacrifices que nous avons faits « , se désole le coordonnateur dudit parti.
Pour rappel, la coalition Benno Book Yakaar a essuyé son premier revers dans la commune et le département de Kaolack lors des élections locales du 23 Janvier passé. Une défaite qui a fini de semer les germes d’une discorde interne dans la mouvance présidentielle.
Lors de l’émission Jakarloo, le chroniqueur Malal Talla, plus connu sous le nom de Fou Malade, aurait tenu des propos injurieux. Ce qui a valu à la Télévisions Futurs Médias (Tfm) un rappel à l’ordre de la part du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra).
Le CNRA a parlé d’une « usage, par l’un des chroniqueurs (Malal Talla alias ‘Fou Malade‘, Ndlr) de propos inconvenants, injurieux et méprisants à l’encontre d’un des invités de l’émission ».
« La Tfm est responsable du contenu des émissions diffusées ; précise qu’il est attendu des journalistes, présentateurs, animateurs, chroniqueurs ou collaborateurs d’antenne de rappeler ou de ramener à l’ordre les intervenants qui versent dans des écarts par rapport à la réglementation et non de créer le désordre en tenant des propos désobligeants ou insultants, notamment contre leurs invités », écrit le CNRA, qui appelle également la chaîne à veiller à ce que de telles dérives ne se reproduisent plus.
Ainsi, un courrier d’observation a été adressé à la chaîne.
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