C’est une information qui vient de tomber : les épreuves physiques du Baccalauréat, prévues demain mercredi, sont reportées.
Les épreuves physiques du Baccalauréat 2022 n’auront finalement pas lieu demain. En effet, d’après la Rfm, l’office du Bac vient de reporter ces épreuves à une date ultérieure. Pour le moment, les raisons ne sont pas encore connues.
L’hôte de Dakar,Serigne Mountakha Bassirou Mbacké a été accueilli avec les honneurs dans la capitale Sénégalaise. Rien que l’annonce de son séjour a été un moment d’enthousiasme et de bonheur pour la communauté mouride et la plupart de nos compatriotes. Tout du Khalife relève de la spiritualité et de Serigne Touba Khadimou Rassoul. Mais le regret dans ce séjour du guide de touba , c’est le fait que son représentant à Dakar,Mbackiou FAYE ait retourné le cérémonial en un meeting politique. Dépités, la communauté mouride mais aussi l’entourage du Khalife ont préféré s’emmurer dans un silence évocateur !
Le respect que les Sénégalais gardent à l’endroit du vénéré Khalife Général des Mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké est incommensurable. Et sa visite aura mobilisé tout l’establishment mouride ainsi que des sénégalais d’autres confessions religieuses à Dakar.
Serigne Mountakha a eu droit à un accueil chaleureux de la part des Dakarois qui trouvent de la baraka dans le séjour du petit-fils de Serigne Touba. Récital de coran, conférences sur l’œuvre grandiose de Serigne Touba, récital de Khassidas, Mberndé sont autant de Modules qui ont émaillé le séjour du Guide de Touba.
Mais le grand hic relevé lors de cette solennité, c’est Mbackiou Faye. «Kou faalé Serigne bi, gnou faalé La ,fale La». Cette boutade éminemment politicienne adressée au Premier Sénégalais aura suggéré que la communauté mouride balise le terrain d’un 3e mandat au Président Sall.
L’onde de choc de ces mots sortis du représentant du Khalife général des mourides à Dakar continue d’alimenter des débats les plus fous sur le 3e mandat du Chef de l’Etat. L’érection d’un hôpital et d’une morgue à la grande Mosquée Massalikoul Djinane comme contribution du Président Sall seront jugés sur pièce par la communauté Mouride. Point de doute là-dessus.
S’il est vrai que Mbackiou Faye aura remis au Khalife un milliard en guise de « hadya »,cela ne lui laisse pas le loisir de politiser le séjour du Guide de Touba. La plupart des mourides n’ont pas apprécié sa boutade «Kou faalé Serigne bi, gnou faalé La ,fale La».Serigne Mountakha n’œuvre que pour Serigne Touba Khadimou Rassoul. Rien ne l’émeut dans l’ici-bas si ce n’est Serigne Touba.Ce qui signifie en clair que Mbackiou Faye est complètement passé à coté du séjour du Guide de Touba empreint de ferveur religieuse.
Les hommes et femmes investis de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) en direction des législatives du 31 juillet prochain sont désormais connus.
Ainsi pour la nationale, le retour de beaucoup de députés sortants est noté, rapporte le quotidien Les Échos.
Comme annoncé, Aminata Touré est en tête sur la liste proportionnelle. Elle est suivie par Amadou Bâ.
En 3ème position, c’est Aïssatou Sow Diawara du PS qui vient et Abdoulaye Diouf Sarr qui occupe la 4ème place. Mariama Sarr est en 5ème position sur la liste des titulaires de Benno.
Cette dernière est suivie de Abdoulaye Baldé qui va faire son retour à l’Assemblée nationale. Il en est de même pour la jeune Aminata Guèye qui est placée 7ème.
D’autres alliés du Président Sall comme Cheikh Tidiane Gadio et Sokhna Dieng Mbacké vont eux aussi revenir à l’hémicycle, placés respectivement à la 8ème et 9ème place.
Farba Ngom occupe la 10ème place. Ndèye Lucie Cissé, Nicolas Ndiaye et Sira Ndiaye reviennent aussi en occupant respectivement la 11ème, 12ème et la 13eme place.
Demba Diop Sy lui aussi est placé 14ème sur la liste nationale de Benno alors que Abdou Mbow, 1er vice-président de l’Assemblée nationale, occupe la 16ème place.
Seydou Diouf est 18ème, Adji Mbergane Kanouté est à la 21ème place, tandis que Cheikh Seck occupe la 22ème place. La jeune socialiste Yéya Diallo est à la 25eme place. Avant elle, c’est Dr Malick Diop qui est à la 24e place.
Maïmouna Sène elle occupe la 27eme place. Djibril War est investi à la 34eme place, Alioune Badara Diouf 36eme et le jeune socialiste Bounama Sall occupe la 40ème place sur les 53 désignés pour la liste nationale des titulaires à Benno.
Beaucoup de ministres et Dg écartés (Mettre en gras)
Pour la plupart, les membres du gouvernement ne font pas partie de la liste. Sur la liste nationale, il n’y a qu’un seul membre du gouvernement. Il s’agit de Mariama Sarr. Et tout porte à croire que son bail avec le gouvernement va prendre fin et qu’elle va rester à l’Assemblée nationale.
Sur les listes départementales, il n’y a que quelques ministres : Abdoulaye Daouda Diallo, Abdoulaye Sow, Mansour Faye, Néné Fatoumata Tall, Alioune Ndoye, Aminata Assome Diatta, Abdoulaye Diop, Ndèye Sali Diop Dieng et Victorine Ndèye.
Le président de la coalition au pouvoir a zappé tout le reste. Même ceux qui ont gagné dans leur zone ne vont pas porter les couleurs de la coalition Benno Bokk Yakaar pour les prochaines élections législatives.
Parmi eux des gagnants et des perdants lors des Locales : Oumar Sarr, Moussa Baldé, Alioune Sarr, Oumar Guèye, Cheikh Oumar Anne, Abdou Karim Sall, Matar Bâ, Mamadou Talla, Serigne Mbaye Thiam, Amadou Hott, Zahra Iyane Thiam, Dame Diop, Pape Amadou Ndiaye, Yankhoba Diattara, Moise Sarr, Mayacine Camara…
Les Directeurs généraux et les Directeurs nationaux très visibles dans l’espace politique n’ont pas non plus été investis.
Après le gros scandale autour des 25 milliards du programme les Baobabs à Mbao, le promoteur français s’est retrouvé en litige avec la dame Mariama Barry, puis avec la styliste Adama Paris. A chaque fois, ce sont les méthodes peu orthodoxes du promoteur que dénoncent ces interlocuteurs.
Achaque litige, il dissout ses sociétés pour ne pas s’acquitter de ses dettes et de ses obligations auprès des tiers, mais aussi auprès de l’administration.
Ces mêmes pratiques, qui ont fait le tour de la place, amènent les banques de la place de Dakar à être très réticentes à lui accorder des prêts bancaires pour la finalisation d’un chantier qui dure.
L’Etat du Sénégal n’a même pas vérifié si son projet était conforme et qui était réellement derrière ce grand bâtiment qui viendra influencer notre jeunesse. La bande d’expatriés, tous des hommes blancs, venus de France, pilote les activités futures qui doivent inquiéter notre société sénégalaise.
Il suffit de creuser pour s’apercevoir d’une réalité peu conforme à nos mœurs et croyances !
Qui protège Marc Aldasor se demandait déjà la presse sénégalaise en 2005…
Depuis son installation au pays de la téranga, ce Français qui se croit tout permis, n’a de cesse de violer les réglementations et les droits du Sénégal et des Sénégalais en particulier.
Promoteur du Cinéma Liberté aujourd’hui à Grand Dakar, Marc Aldasoro s’est permis une construction sur la voie publique mais aussi de bloquer totalement le passage pour les riverains, qui ont en vain dénoncé les agissements de ce dernier, avec son chantier qui n’est soumis à aucun contrôle de l’Etat.
Les autorités sénégalaises sont restées sourdes et muettes sur les agissements du sieur Aldasoro depuis des années, malgré la mise en danger de la vie de nos compatriotes qui y travaillent depuis. Jamais son comportement n’aurait eu lieu en France.
Depuis des années, des Sénégalais travaillent dans ses chantiers sans aucune mesure de sécurité mais surtout, sans être déclarés auprès des autorités sociales et fiscales, mettant ainsi en risque leur sécurité et leurs familles.
La traite des salariés, c’est une spécificité du promoteur qui en 20 ans au Sénégal, n’a jamais déclaré aucun salarié, n’a jamais réglé les impôts liés au travail, tout en exposant de dignes Sénégalais travailleurs depuis des années à la précarité et aux risques, sous le regard de l’Etat et de ses services de contrôle.
Au programme, le sieur Aldasoro programme une radio et une chaîne de télé au Sénégal avec sa Liberté.
Quelle liberté ?Nos autorités devraient bien enquêter sur la personne en tant que telle et le programme à venir, dans ce futur média au Sénégal.
Pour améliorer l’accès des étudiants aux service de restauration universitaire, la direction du Centres des œuvres universitaires de Dakar (COUD) a érigé dans la grande cité, à coté du pavillon H, un chapiteau d’une superficie de 1.000 m2
Fouiné le parcours professionnel et politique du leader de Gueum Sa Bopp, Bougane Guèye Dany renvoie souvent à un sentiment d’un particulier de déjà vu ailleurs: Mais loin d’être du copier-coller, c’est la voie du destin qui semble se dessiner pour deux hommes dont le combat politique est « Notre nation d’abord ! ». Oui ! Non seulement le slogan « Gueum sa Bopp ou la foi en soi » de la Coalition rime avec la vision politique de Donald Trump pour les Etats-Unis, mais son « démarquage » de la politique Macky Sall renvoie à celle de Trump contre Bush-family et Obama. Mais en plus, partis de rien pour être des hommes d’affaires très connus, une question légitime surgit : « Et si Bougane Guèye Dany était l’autre Donald Trump du continent africain ? » Portraits croisés… Donald Trump, un homme d’affaires, féru des médias.
Donald Trump, né le 14 juin 1946, à New York, est le 45e président des États-Unis, en fonction du 20 janvier 2017 au 20 janvier 2021. Mais avant tout il est un homme d’affaires, mais aussi grand animateur de télévision, avant d’être homme d’Etat, mais aussi milliardaire très connu.
Fils du promoteur immobilier Fred Trump, il travaille dans l’entreprise de son père pendant ses études à la Wharton School. En 1971, il prend la direction de l’entreprise familiale, qu’il renomme The Trump Organization ; il se constitue dès lors un empire immobilier et une notoriété grâce à des bâtiments prestigieux qui portent généralement son nom. Mais Wikipédia qui dresse son portrait souligne aussi qu’il est une célébrité médiatique dès les années 1980, impliqué dans le secteur du divertissement télévisuel il est l’animateur de l’émission de téléréalité The Apprentice de 2004 à 2015.
Il entre en politique dans les années 1980, s’affiliant alternativement au Parti démocrate, au Parti républicain et au Parti de la réforme, dont il brigue un temps l’investiture pour l’élection présidentielle de 2000. Opposé au président George W. Bush, dont il désavoue la décision de mener la guerre d’Irak à partir de 2004, il est à nouveau affilié au Parti républicain à partir de 2012. Il critique alors la politique du président Barack Obama, et reprend à son compte les rumeurs sur sa citoyenneté pendant plusieurs années.
Sa candidature aux primaires présidentielles républicaines de 2016 suscite de vives polémiques en raison de sa personnalité et de son discours. Il remporte cependant la désignation du parti malgré l’hostilité de l’appareil républicain. Il mène dès lors une campagne présidentielle atypique en s’appuyant sur une équipe et des moyens financiers réduits et en développant un usage intensif des réseaux sociaux. Se présentant comme un adversaire de Madame Hilary Clinton pour devenir le président le plus âgé de l’histoire américaine, le premier à n’avoir jamais exercé précédemment de fonction politique ou militaire, ainsi que le cinquième à avoir gagné l’élection présidentielle américaine tout en étant devancé dans le vote populaire. Bougane Guèye Dany, un milliardaire parti de rien
Un article datant de Juin 2011, jeuneafrique.com revient sur un évènement marquant du patron de Dak’Cor jubile. Bougane Guèye, 34 ans, a décroché début juin le contrat de communication de la compagnie aérienne Emirates pour le Sénégal, la Gambie, le Mali et la Guinée. À la clé, plusieurs centaines de millions de francs CFA de recettes pour son agence. Mais ce succès n’est pas réellement une surprise. Depuis trois ans, cet homme à la carrure de lutteur est entré dans le cercle fermé des patrons d’agences qui comptent à Dakar. Le groupe Danone, la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest ou encore Western Union font partie de ses clients.
Selon d’autres confrères, Bougane Guèye Dany, originaire de Saint-Louis (nord du Sénégal), un self made man, est de la trempe des hommes d’affaires à succès. Après un passage dans plusieurs organes de presse, il a forgé son destin dans la transpiration et l’intelligence et monte sur le podium des jeunes leaders les plus influents et écoutes du monde médiatique. Licencié par le groupe de presse Wal Fadjri en raison de son activité syndicale en 2002, Bougane Guèye lance son agence quelques mois après, avec 1 500 euros de capital. Huit ans plus tard, son groupe réalise un chiffre d’affaires d’environ 9 millions d’euros et emploie 162 personnes. D’abord actif dans le domaine du conseil en communication, l’ancien journaliste n’a cessé de développer de nouvelles activités.
Il possède aujourd’hui une myriade de sociétés allant de la production d’études qualitatives à la gestion de panneaux publicitaires, en passant par l’édition de magazines ou la radio Zik FM. Mais depuis 2019, comme en cascade, des séries d’actions tombent sur son busines comme une tentative d’asphyxie financière. Oui, depuis qu’il affiche sa détermination à faire « déguerpir » Macky Sall, des déboires s’enchainent à une vitesse jamais vécue par un acteur politique. Mais Bougane Guèye Dany reste stoïque, avec un Business qui résiste étonnamment ) ces aléas. Quel est son secret ?
Fibre nationaliste au cœur d’une stratégie payante
Ses concurrents, Bougane Guèye les voit comme des dinosaures, vestiges de l’emprise des Occidentaux sur les affaires du continent. Lui incarne une rupture, une réussite 100 % africaine. Il n’hésite d’ailleurs pas à jouer sur la fibre nationaliste pour inviter les entreprises sénégalaises à lui faire confiance.
En 2018, il a lancé le mouvement citoyen « Gueum sa Bopp », il anime l’esprit « self made man » dans un pays à majorité composé de jeunes. Il sillonne le pays à la rencontre des populations pour s’enquérir des problèmes que vivent ces dernières au quotidien, retrace un autre confrère.
Après cette expérience, Bougane Gueye Dany déclare sa candidature aux élections présidentielles de février 2019. Un pari audacieux qui illustre le courage de ce jeune leader à descendre dans l’arène politique. Une candidature appréciée à sa juste valeur. L’ascension du jeune africain sur la scène politique s’est traduite par une médiatisation forte qui le place aujourd’hui, incontestablement, au devant de l’échiquier politique du pays.
Aujourd’hui à l’image de Barack Obama, Macky Sall en est à son second, donc dernier mandat, selon la constitution sénégalaise. Et coïncidence du destin, avec les législatives de juillet 2022 parsemées d’embûches pour l’opposition, il positionne Aminata Mimi Touré comme sa « Hilary Clinton » pour lui succéder au fauteuil présidentiel, après « un Mbourok Soow » au goût amer d’un Idrissa Seck qui a trahi ses votants pour rejoindre le « Macky ».
Malgré les multiples tentatives de musèlement, Bougane Guèye Dany, le leader de Gueum Sa Bopp, à l’inverse de Trump pourrait bien devenir le plus jeune président du Sénégal. Car nul doute n’est permis de douter que le rêve suprême du régime de Macky est de liquider politiquement l’autre rival de Bougane, Ousmane Sonko… Mais avec le calvaire des Sénégalais dont
Macky mesure un peu la portée en dégageant 54 milliards FCFA en appui aux ménages, comme sous Wade son prédécesseur, l’autre slogan qui se déclenche chez les Sénégalais est aujourd’hui « Tout ! Sauf Macky ! Macky Doyna seuk !»
La liste nationale de Yewwi Askanwi dirigée par Ousmane Sonko est déclarée irrecevable pour l’affaire du candidat titulaire et suppléant par la Direction générale des élections. Une décision que rejette Déthié Fall et Cie qui prennent à témoin l’opinion publique nationale et internationale, pour cette « énième forfaiture et sur le parti pris manifeste et assumé » du ministre de l’intérieur ».
« La coalition Yewwi Askan Wi a reçu l’arrêté ministériel portant notification des listes de candidatures aux élections législatives du 31 juillet 2022. », rapporte un communiqué. Selon la même source, le mandataire national a mentionné son désaccord sur la décharge de cet « arrêté inique, illégal parce que en tous points, contraire aux dispositions pertinentes du code électoral.
Pour les camarades de Déthié Fall, le procédé de la grosse ficelle consistant à valider la liste de titulaires et à déclarer irrecevable la liste de suppléants de Benno Bokk Yakaar, ne peut peut prospérer face aux dispositions pertinentes du code électoral relatives à l’unicité de la liste de candidats et à l’exigence de la parité.
Nommée il y a quelques jours au poste de ministre de la Santé et de l’Action sociale, le Dr Khémesse Ngom Ndiaye a été reçue en audience dans l’après-midi de ce lundi. Une première audience pour définir les orientations du président Macky Sall, a confié la remplaçante de Abdoulaye Diouf Sarr, à sa sortie de ce tête-à-tête, au palais.
‘’J’ai reçu les orientations du président Macky Sall qui portent naturellement sur 3 dimensions : l’environnement du travail, les équipements et les infrastructures, mais, également les ressources humaines’’, a confié le ministre qui a relevé, à cette occasion, la nécessité d’apporter beaucoup de changements.
‘’Il va falloir des renforcements, mais surtout améliorer la qualité de tout ce qui se faisait’’, a-t-elle déclaré concernant ces 3 dimensions mises en exergue par le président Macky Sall. Des améliorations, a-t-elle dit, en reconnaissant que ‘’l’Etat a fait d’énormes efforts en terme d’équipement et d’infrastructures, mais également en terme de renforcement de personnel. L’accent sera mis beaucoup plus sur la prévention en terme de qualité mais également en terme de prévention des décès et des risques à tous les niveaux’’.
Le ministre en a profité pour exprimer ses vifs remerciements à Macky Sall ‘’pour la confiance à (sa) modeste personne pour diriger le département de la Santé et de l’Action sociale’’. Mais également, pour transmettre ses ‘’condoléances attristées à l’ensemble des familles, aujourd’hui au niveau de Tivaouane, au Khalife général des Tidianes mais également à l’ensemble des populations, avec cet évènement malheureux qu’on regrette vivement’’.
Dans le département de Dakar, les socialistes mènent la danse avec 4 investis sur les 7 candidats. C’est Alioune Ndoye qui dirige la liste majoritaire de Benno ; Bamba Fall est 3ème suivi de Juliette Paule Zinga. Jean Batiste Diouf est placé à la 7ème place après Mouhamed Djibril Wade. Ndèye Saly Diop Dieng est à la 2e position.
À Guédiawaye, le Président Macky Sall asurpris son monde. Il a zappé son petit frère Aliou Sall, battu par Ahmed Aïdara lors des Locales. Macky Sall a misé sur son ministre de la Jeunesse, Néné Fatoumata Tall. Anna Poupaye Gomis dirige la liste des suppléants.
Du côté de Pikine, les nouveaux adhérents à Benno sont grassement servis : Daour Niang Ndiaye et Amadou Diarra occupent respectivement les 2ème et 5ème places sur la liste qui est dirigée par Awa Niang. Pape Sagna Mbaye de l’AFP occupe la 4ème place.
Dans le nouveau département de Keur Massar, c’est le ministre du Commerce, Assome Aminata Diatta, qui va porter la liste de Benno Bokk Yakaar.
Pour le département de Rufisque, le maire de Bambilor et député sortant, Ndiagne Diop, dirige la liste. Ainsi, le Oumar Guèye, battu lors des élections locales, ne figure nulle part.
À Kaffrine, le ministre de l’Urbanisme Abdoulaye Sow est tête de liste des titulaires et Abdoulaye Vilane dirige celle des suppléants.
À Kaolack, où Macky Sall a mis une croix sur tous les responsables ennemis, c’est le Directeur général de la Senelec, Papa Demba Bitèye, qui va conduire la liste.
À Nioro, c’est une petite révolution qui a été notée. Moustapha Niasse, après 10 ans au perchoir, va céder sa place. Il n’a été investi nulle part. À la place, Macky Sall a misé sur Aly Mané du PS qui a largement gagné le Conseil départemental.
Dans le département de Linguère, lMacky Sall a misé sur le couple Aly Ngouille Ndiaye/Haniyeu Mbengue, député sortant.
C’est presque même schéma pour Podor où le ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo, est secondé par Yeita Sow.
À Saint-Louis, c’est le beau-frère du Président et ministre des Transports, le maire Mansour Faye, qui porte la liste.
Dans le département de Mbour, c’est l’ancien ministre El Hadji Oumar Youm qui est désigné tête de liste.
À Thiès, Augustin Tine dirige la liste de Benno. Exit donc Idrissa Seck et Yankhoba Diattara. Mais le leader de Rewmi a investi un jeune dans la liste. L’AFP a choisi une femme.
Au niveau de Tivaouane, c’est Aymérou Gningue, président du groupe parlementaire Benno, qui dirige la liste.
Victorine Ndèye, secrétaire d’État au Logement, est choisie pour diriger la liste de Ziguinchor. Une grosse désillusion pour Doudou Kâ. La ministre est secondée par Moussa Diédhiou de l’UCS.
À Goudiry, le Président Sall a encore porté son choix sur Djimo Souaré. Dans le département de Kanel, c’est Daouda Dia, 1er questeur à l’Assemblée nationale qui porte la liste.
Abdou Lahat Seck Sadaga de Touba ne reviendra pas à l’hémicycle puisque zappé pour la liste de Benno dans le département de Mbacké. Pareillement pour Mame Balla Lô de Tambacounda.
Le ministre Moustapha Diop, dont certains inconditionnels, attendaient son investiture sur la liste départementale de Louga est lui aussi zappé.
Ils explosent de colère contre le pouvoir en place, surtout contre le ministre de l’Intérieur. Les responsables de la coalition Yewwi Askan Wi qui ont vu hier la liste de leurs titulaires au scrutin proportionnel déclarée irrecevable pour non-respect des articles L.178-1 et L.179 du Code électoral par un arrêté d’Antoine Félix Abdoulaye Diome, en veulent sérieusement à Macky Sall et son pouvoir.
Ils l’ont fait savoir tard dans la nuit d’hier à travers un communiqué rendu public. Déthié Fall, mandataire national de la coalition Yewwi et ses camarades soutiennent que «cette provocation inacceptable du pouvoir appelle une riposte énergique».
Dans cet ordre d’idées, Yewwi Askan Wi réaffirme sa détermination à «s’opposer par tous moyens à l’obstination de Macky Sall à éliminer l’opposition par des procédés illégaux et le rend responsable de tout ce qui adviendra». Au-delà des voies de recours légaux, la coalition donne rendez-vous aux Sénégalais dans les prochaines heures en perspective de la manifestation populaire vendredi 03 juin 2022 à la Place de la Nation.
La coalition Yewwi Askan Wi dit avoir reçu l’arrêté ministériel portant notification des listes de candidatures aux élections Législatives du 31 juillet 2022. Le mandataire national a mentionné son désaccord sur la décharge de «cet arrêté inique, illégal parce que en tous points contraire aux dispositions pertinentes du Code électoral».
Yewwi Askan Wi prend à témoin l’opinion publique nationale et internationale sur «cet énième forfaiture et sur le parti pris manifeste et assumé du ministre de l’Intérieur qui était plus attendu sur l’irrecevabilité de la liste de Benno Bokk Yakaar qui n’a respecté ni l’obligation de parité ni le nombre maximal fixé pour le parrainage. C’est dans cette logique qu’il faut aussi analyser la décision illégale du ministre de l’Intérieur déclarant irrecevable la liste de titulaires de Yewwi Askan Wi sans aucun fondement juridique. Au surplus, le procédé de la grosse ficelle consistant à valider la liste de titulaires et à déclarer irrecevable la liste de suppléants de Benno Bokk Yakaar, ne peut prospérer face aux dispositions pertinentes du Code électoral relatives à l’unicité de la liste de candidats et à l’exigence de la parité», indiquent Déthié Fall et Cie.
Issue de la Direction générale des Elections (DGE), une troublante nouvelle est tombée annonçant que les listes de coalitions « Yewwi Askan Wi » et « Benno Book Yaakaar devant participer aux prochaines législatives sont irrecevables. Mais à y regarder plus en profondeur, après la Grande Coalition Geum Sa Bopp, cette décision ne cache que l’exclusion définitive de Yewwi Askan Wi. Face à la broyeuse de l’opposition, Ousmane Sonko et Bougane Guèye Dany sont obligés de se battre ensemble ou de « périr politiquement »
Tuer et enterrer le démon de la division. Maitriser les contours de l’arène politique est assez complexe, mais force est de reconnaitre que les deux leaders affichent la même détermination de faire déguerpir la régime de Macky Sall, qui aujourd’hui commence à habituer les Sénégalais à l’idée d’un troisième mandat. Les preuves sont flagrantes du coté de Gueum Sa Bopp que son élimination a été faite sur commande, laissant passer des alliances minuscules et presque méconnues des Sénégalais. Avec cette décision qui tombe, c’est au tour de Sonko et leur Coalition de passer sous le couperet du régime. Affichant leur fermes décisions de dire non à ce qu’ils considèrent une flagrante forfaiture, Ousmane Sonko et Bougane Guèye Dany de se battre ensemble, pour tuer et enterrer le démon de la division. Et comme l’appel de l’hymne national lancer leur « Ô Sénégalais debout… », même si YAW a une dernière chance au Conseil constitutionnel accusé d’agir sur « télécommande » et qui sans pression populaire ne validera pas sa liste.
D’ailleurs réagissant à la sortie du ministre de l’intérieur (qui membre de Benno ne saurait être neutre, c’est flagrant), le juriste Seybani Sougou martèle que « La décision d’Antoine DIOM tendant à déclarer la liste nationale de YEWWI ASKAN WI irrecevable (titulaires) est une grossière manœuvre de diversion vouée à l’échec, et une pirouette visant à déclarer à posteriori incomplète, une liste complète au moment du dépôt. » « Le Conseil Constitutionnel annulera la décision d’Antoine DIOM déclarant la liste nationale de Yewwi (titulaires) irrecevable car elle ne repose sur aucun fondement juridique. Dans sa décision n°1/E/2022 du 21 mai 2021, le Conseil Constitutionnel a déclaré irrecevable, les recours de YEWWI et de la coalition GUEM SA BOPP, au motif que selon les dispositions de l’article LO.184 de la loi n°2021‐35 du 23 juillet 2021 « seuls les actes du Ministre chargé des élections pris en application des articles L179, L180 et LO.183, peuvent être contestés par les mandataires ».
Cette décision signifie tout simplement que le Conseil Constitutionnel n’a pas statué sur les requêtes des 2 coalitions précitées du fait que leurs recours ne visaient pas expressément un acte pris par le ministre, en application des articles précités.
En tout cas, pour ces législatives et l’horizon 2024, Ousmane Sonko et Bougane Guèye sont obligés de se battre ensemble ou périr
La première Dame du Sénégal, Marieme Faye Sall, a encore fait parler d’elle. Notre «ndar ndar« nationale très classe, a fait sortir la galanterie de notre Président.
Maréme Faye Sall est une vraie africaine, d’une simplicité sans fard, toujours souriante et habillée décemment.
Ces images auprès de son époux montrant leur complicité font le buzz depuis quelques jours sur la toile.
Zénith : Baba Maal très touché par le geste de Wally Seck : «Téranga, téranga mokoy faye»
Baba Maal s’est senti honoré par la présence de son fils, Wally Balago Seck, venu assister a son concert au Zénith de Paris.
Il magnifie l’acte du fils de feu Thione : « Je suis un artiste, tu es un artiste, je sais combien ton calendrier est serré, mais tu as tout laissé pour venir prester, cela prouve que tu es un jeune ambitieux, un patriote.»
Son mariage célébré en grande pompe le 9 avril dernier a occupé les débats sur la toile. Amina Saleh, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, s’est divorcée d’avec son mari, M. Mbacké, selon des sources de Senego. Il s’est séparé de l’actrice et influenceuse pour des raisons personnelles, renchérissent nos sources.
Les sources de Senego précisent que l’influent Mbacké Mbacké s’est séparé de sa femme Amina Saleh il y a quelque jours. Le mariage n’aura duré qu’une quarantaine de jours. Il lui aurait offert tout ce qu’il fallait pour nouer ce mariage. Mais hélas !
Urgence: la liste Bby de Dakar n’est pas paritaire.La liste de la coalition Benno Bokk Yakaar, va-t-elle être rejetée ou pas ? Le mandataire national de la coalition Yewwi Askan Wi de l’opposition, Déthié Fall a révélé que les membres du parti au pouvoir n’ont pas respecté la loi sur le parité, la même raison à l’origine de rejet de leur liste dans le département de Dakar.
Le 7ème titulaire homme de la liste de Dakar a pour suppléant une femme.
La Tabaski devrait être célébrée dans un mois dix jours, soit dans 6 semaines, a déclaré la commission nationale de concertation sur le croissant lunaire qui scrutait le ciel ce lundi. Ci-dessous sa déclaration.
« La Commission Nationale de concertation sur le Croissant Lunaire s’est réunie aujourd’hui Lundi 30 Mai 2022 à la RTS pour scruter le croissant lunaire. Après avoir recueilli toutes les informations venant de nos représentants qui sont dans les différentes localités du pays, notamment dans les foyers religieux et après de larges concertations en notre sein, commission lunaire déclare : que le croissant lunaire n’a pas été aperçu dans aucune localité du pays. Par conséquent le Mercredi 01 Juin 2022 sera le premier jour du mois lunaire Diggi (Dhul ad’a) Nous sommes à I Mois et 10 Jours de la Tabaski soit à 6 semaines de Cette grande fête musulmane », a déclaré le coordonnateur Général de la commission, Imam El H. Oumar Diene
Le gouvernement a rencontré les acteurs de l’enseignement, ce lundi, comme annoncé. La rencontre s’est tenue avec la présence du Ministre des Finances et du Budget, du Ministre de la Fonction Publique et du Renouveau du Service Public, du Ministre de l’Education nationale, du Ministre de la Formation Professionnelle et Technique, du Ministre Conseiller du Prédisent de la République. Les Institutions de Dialogue social (HCDS, CDS/SEF), la COSYDEP, le COAL EPT 1, le COAL EPT 2, l’UNAPES et la FENAPES ont assuré la médiation. Pour les syndicats représentatifs du secteur de l’Education et de la Formation, il y avait le SAEMSS, le CUSEMS, le SIENS, le SELS, le SELS/A, l’UDEN et le SNELAS/F.
L’examen de la mise en œuvre de l’accord financier du 26 février 2022 a été ainsi abordé. A l’entame de la rencontre, le Ministre des Finances et du Budget a annoncé que le Comité de suivi des accords est convoqué dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord signé entre le Gouvernement du Sénégal et les syndicats d’enseignants le 26 février 2022. Tous les sept points d’accords ont été listés et appliqués, a-t-il déclaré. Il a ensuite rappelé les sept points d’accords mentionnés dans le protocole du 26 février 2022. Ainsi, il a annoncé qu’à l’exception de l’indemnité de logement, tous les autres points ont fait l’objet de fiscalisation, conformément aux dispositions légales. Ainsi, le comité est convoqué pour examiner la mise en œuvre des accords et apporter des correctifs aux manquements qui seraient notés. Le Ministre a enfin rappelé que le tableau qui a été envoyé à la partie syndicale par ses services et qui a servi de base de négociation entre le Gouvernement et les syndicats comporte des erreurs et c’est cela qui justifie d’ailleurs les écarts notés entre les salaires virés aux enseignants à la fin du mois de mai et les montants inscrits sur ledit tableau.
Appréciant ces propos liminaires du Ministres des finances et du budget, la partie syndicale a balayé d’un revers de la main l’argumentaire consistant à dire que les services techniques du ministère des finances ont commis des erreurs sur le tableau. Ils ont ainsi demandé au Ministre et à ses collaborateurs d’en assumer l’entière responsabilité et de corriger immédiatement les augmentations conformément aux sommes arrêtées d’accord partie. Tous les Secrétaires généraux ont exigé du Ministre des Finances qu’il retire ses propos et que toute la délégation gouvernementale reconnaisse qu’ils ont volontairement violé l’accord du 26 février et qu’ils procéderont dans les meilleurs délais au virement des sommes dues. Ils ont ainsi annoncé que le virement par émission spéciale du complément des augmentations est la condition sine qua non pour la reprise des enseignements et apprentissages.
Reprenant la parole, le Ministre des Finances et du Budget a rappelé que le protocole a une valeur juridique que tous les points ont été respectés. Il a également reconnu que le tableau envoyé par ses services a été calculé sur la base des revenus nets d’impôts, c’est-à-dire que la fiscalité n’a pas été prise en compte. Par conséquent, le Gouvernement, dit-il, s’engage à assumer toutes ses responsabilités car tout le monde sait que l’enseignant mérite toujours un salaire supérieur à ce qu’il perçoit. Ainsi, il a proposé à la partie syndicale la création d’une indemnité différentielle représentant l’écart entre les prévisions marquées sur le tableau et les augmentations appliquées en fin mai. Le montant sera payé par émission spéciale au plus tard le vendredi 3 juin 2022 et la ligne figurera sur le bulletin de salaire de façon pérenne. Suite à la proposition du Ministre des Finances et du Budget, la partie syndicale a demandé une pause pour apprécier la stratégie proposée.
A la reprise des travaux, la partie syndicale, après plusieurs débats portant sur la proposition du Ministre, a exigé :
– le strict respect du tableau qui a servi de base travail lors des négociations entre l’Etat et les syndicats et le paiement effectif des montants prévus par corps et par grade ;
– l’adoption du tableau comme élément annexe au protocole du 26 février 2022 sous forme de d’avenant, comme c’est déjà le cas avec le tableau portant sur la revalorisation des indemnités liées aux fonctions dirigeantes ;
– le paiement par émission spéciale d’ici le vendredi 03 juin 2022 du différentiel représentant les montants initialement prévus dans le tableau et ceux qui ont été payés par la Direction de la Solde ; – le paiement immédiat de l’indemnité de recherche documentaire aux chargés de cours qui en ont été privés depuis de la fin du mois de mai;
– et le strict respect des augmentations allouées aux PC et conformément aux termes du protocole du 26 février 2022.
Reprenant la parole au nom du la partie Gouvernementale, le Ministre des Finances et du Budget a accédé à toutes les exigences soulevées par les syndicats. Il a ainsi annoncé que ses services procéderont à la correction des montants virés au cas par cas entre le lundi et le jeudi pour se conformer au tableau qui sera effectivement annexé au protocole du 26 février 2022. Suite au rejet de la création d’une indemnité différentielle par la partie syndicale, il a proposé l’inscription sur le bulletin de salaire des enseignants d’une nouvelle ligne intitulée indemnité spéciale complémentaire mai 2022 nette d’impôt, représentant le différentiel entre ce que l’enseignant devait recevoir et ce qui lui a été viré en fin mai 2022. A cet effet, une rencontre de validation des simulations effectuées par ses services aura lieu le mardi 31 mai 2022 avant le paiement effectif prévu le vendredi 03 juin 2022 au plus tard.
Il y a des mοments très fοrts inοubliables entre cοuple. Macky Sall et sοn épοuse Marième Faye Sall viennent de le prοuver. Le cοuple présidentiel a publié des phοtοs qui en disent lοngue sur l’amοur cοnvivial qui règne entre eux.
Lunettes à la Kardashian bien serrée au visage, Marième Faye Sall avec un teint chοcοlaté est cette fοis-ci lοin des bοubοus traditiοnnelles simple. Pοur sοrtir de l’οrdinaire, elle a allié la nοuveauté avec de l’ancien. La première Dame dévοile cοmme une jeune qui ne veut rien lâcher pοur satisfaire sοn hοmme. C’est autre facette de sοn diοngué qui prend fοrme avec sοn hοmme. Les phοtοs fοnt déjà le buzz sur les réseaux sοciaux.
Le match Sénégal/Bénin comptant pour la 1re journée des qualification pour la CAN 2023 se jouera ce Samedi 4 juin au nouveau stade Abdoulaye Wade. Voici les prix des billets.
D’une trentaine de listes les candidats pour les élections législatives de Juillet 2022 ne seront finalement que huit. En effet la direction générale des élections vient de déclarer recevable les listes suivantes: la coalition bokk guiss guiss/liguey, la coalition natangue askanwi, Aar Sénégal, Benno Bokk Yaakar, la coalition bunt bi, la coalition les serviteurs/MPR, Wallu Sénégal et enfin la coalition Yewwi. Pour rappel la liste nationale de la coalition de l’opposition a finalement été rejetée ainsi que celle suppléant de Benno.
Des nouvelles de la direction générale des élections. En effet, les listes de coalitions devant participer aux prochaines législatives devant être affichées ce soir, Dakaractu a appris que des listes des deux coalitions « Yewwi Askan Wi » et « Benno Book Yaakaar » seraient rejetées. C’est en effet la liste des titulaires de la coalition de l’opposition et celle des suppléants de la coalition Benno Bokk Yakaar.
Plusieurs mandataires étaient à l’intérieur de la direction générale des élections comme Lamine Thiam de Wallu Sénégal, Benoît Sambou de Benno, le représentant de Aar Sénégal et Déthié Fall. Ce dernier vient même de quitter les locaux pour son siège où une rencontre avec les autres leaders de sa coalition est prévue avant de s’adresser aux journalistes. Nous y reviendrons…
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