Monsieur Laurent MUNZEMBA et Yves YODI SHEMBO, respectivement Directeur Général et Juriste Senior du Fonds de Garantie de l’entrepreneuriat au Congo (FOGEC) effectuent une mission d’imprégnation et de partage d’expériences du 7 au 10 juin 2022 au Sénégal.
C’est dans cette optique que les responsables de la nouvelle structure, créée en 2020, ont été reçus par Madame Thérèse FAYE DIOUF, Administrateur Général du FONGIP et son équipe pour définir le cadre général de la mission.
La première rencontre de cadrage tenue le mardi 7 juin 2022, sous la présidence de l’Administrateur général, a été l’occasion de camper le contexte de création des deux structures, les missions, les offres de services, les résultats, les nouveaux projets et programmes,etc.
Ce premier moment de partage a permis de mettre en exergue le chemin parcouru par chacune des institutions. Dans le même sillage, les modèles économiques et le positionnement stratégique des Fonds de Garantie dans les differents écosystèmes financiers ont été au cœur des débats.
Après une première séance riche d’enseignements, l’Administrateur général a engagé ses équipes à assurer un bon déroulement de la mission qui s’ouvre sous de bons auspices.
Le leader de Pastef a pris part à la rencontre de la conférence des leaders où Yewwi Askan Wi qui faisait face à la presse à la veille de la tenue de leur manifestation prévue demain. Ousmane Sonko, considère que la situation ne serait pas empirée sans la contribution du conseil constitutionnel après leur décision sur les recours des listes en compétitions aux élections législatives. Pour le leader de Pastef, le droit n’est pas été dit et la loi, piétinée.
« Au nom de l’exercice de cette fonction, on se permet de piétiner la loi. C’est la responsabilité de 8 personnes y compris le ministre de l’intérieur qui est aussi magistrat. Qu’ils comprennent que tôt ou tard, ils rendront compte de leur irresponsabilité au nom de la loi et du droit qu’ils étaient censés défendre », a promis le membre de la conférence des leaders de Yewwi.
De manière générale, Ousmane Sonko estime que c’est la justice de ce pays qui est la première grande réforme à faire pour que les sénégalais sentent sa présence et son utilité…
L’homme d’affaires Tahirou Sarr s’est tapé une charmante et belle nymphe depuis le 28 février . Alias Tah, l’heureuse élue, est sublime dans ses multiples tenues de haute couture. Elégante avec son charme à revendre, Tahirou a certainement remporté le Jackpot. Son merveilleux choix n’est pas à contester. Alias Tah qui rend grâce à Dieu, à sa mère, à sa famille et à son époux, vaut la peine de se pendre…
Le « Talatay Nder » est un mardi incontournable dans le patrimoine historique du Sénégal, rappelant le jour où de braves femmes ont préféré la mort à la servitude. Pour Maimouna Bousso, cette conférence de presse de la Coalition Yewwi Askan Wi.
Face à la presse, au nom de Madame Aida Mbodji, elle a lancé un appel pour une grande mobilisation des femmes de la Coalition et du pays pour dire non aux dérives du régime.
Pour elle, il est temps de se mettre debout. Car la démocratie aussi a ses soldats, rappelant que ce « même Macky Sall » avait appelé à la mobilisation contre les dérives de son prédécesseur. Les pays voisins en zone trouble, dit-elle, ne doivent leur situation qu’à l’absence d’une démocratie fiable.
Rappelant le côté pacifique de ce rassemblement, elle souligne que nul besoin n’est d’en parler quand on veut faire usage de la violence.
Le sentiment de tension tendue qui prévaut dans la sphère politique suite au rejet des listes de Yewwi Askan Wi et Benno Bokk Yakar ne serait que l’apanage des décisions prises par le Conseil constitutionnel. C’est l’avis du mouvement citoyen Y’en a marre qui, dans un communiqué rendu public, met les « 7 Sages » sur le banc des accusés.
« Y en a marre se réserve le droit de désigner nommément les 7 membres du Conseil Constitutionnel comme étant les principaux responsables de tout ce qui pourrait résulter de leurs décisions irresponsables » , peut-on lire sur la note reçue par sudquotidien.
Aliou Sané, coordonnateur dudit mouvement et ses camarades qui estiment que la liste de BBY aurait dû être invalidée en conformité avec les dispositions de l’article 154 du Code électoral, car les listes des titulaires et suppléants sont indissociables, pensent ainsi que les « 7 Sages » ont voulu sauver Benno pour sacrifier ses adversaires politiques.
« Par son acte, le Conseil Constitutionnel entérine un stratagème de la DGE et de sa tutelle le Ministère de l’Intérieur, ayant pour seul objectif, de sauver la liste des titulaires de BBY (composée des principaux leaders de la majorité présidentielle), d’éliminer de la course aux législatives plusieurs leaders de l’opposition, et aussi des coalitions telles que Gëm Sa Bopp, Jammi Gox Yi, And Nawlé Ligeey, Defar Sa Gox« , déplore Y’en a marre qui brocarde ladite décision.
« Le mouvement Y en a marre dénoncé et rejette ces décisions inédites et iniques, qui jettent les bases d’une déstructuration radicale de notre processus électoral, et bafouent le principe de sincérité des prochaines élections législatives, gage de stabilité du pays » , pestent Aliou Sané et compagnie.
Le Casa Sports est sacré championnat national de football, après son nul (1-1) contre Teungueth FC, ce lundi, à Rufisque. Le club de Ziguinchor remporte le titre de champion du Sénégal pour la deuxième fois, son premier sacre ayant eu lieu en 2012. Une victoire magnifiée par le maire de la ville Ousmane Sonko.
A travers un post sur les réseaux sociaux, l’édile de Ziguinchor a félicité le Casa Sports qui a remporté lundi le championnat du Sénégal. Il a en profité pour leur souhaiter bonne chance pour la Coupe du Sénégal.
L’équipe fanion de la région du Sud qui ne cherchait qu’un point pour renouer avec la victoire finale en Ligue 1, a réussi un coup énorme succédant ainsi à son adversaire du jour.
In extenso, le message adressé par le maire Ousmane Sonko à l’équipe fanion de la région du Sud. « Félicitations au Casa-Sport qui vient une fois de plus de nous combler de joie en remportant l’édition 2022 du championnat de football du Sénégal.
Je leur souhaite très bonne chance également pour la suite de la saison, notamment la Coupe du Sénégal pour laquelle ils sont encore en lice.
Ils sont un modèle de réussite pour toute la jeunesse. Cette même jeunesse engagée pour un Sénégal meilleur!
Je félicite et encourage enfin toutes les équipes qui ont participé à cette saison et qui contribuent inlassablement au relèvement du niveau de notre football national.«
Elle était attendue, en tout cas par une bonne partie de la population qui suit régulièrement la marche du pays depuis le 1er avril 2000. Cette décision du Conseil constitutionnel ne devrait surprendre normalement personne. Personnellement, je ne vois vraiment pas cette institution invalider les listes de BennooBokkYaakaar, et quelles que soient les irrégularités qu’on leur reprocherait ? Que personne ne m’oppose sa liste de suppléants invalidée ! En tout cas, dans ce pays, on est de plus en plus tenté de croire, à tort ou raison, peut-être à raison, que le Conseil constitutionnel ne prendra jamais, jusqu’à preuve du contraire, une décision qui n’aille pas dans les attentes du président-politicien. Elle serait sûrement prête à valider la candidature du président-politicien à un troisième mandat, si jamais ce dernier s’y aventurait. Et tout indique qu’il s’y aventurerait, malgré tous les risques et périls que cette candidature pourrait entraîner. Dans sa grande majorité, le peuple ne ferait donc plus confiance à ce conseil, ni à lui, ni à aucune autre institution du pays. Il a donc pris la décision attendue du très grand nombre : valider les listes très contestées de BennooBokkyaakaar et invalider la listeproportionnelle de YéwiAskanwi(YAW), conduite par Ousmane Sonko, dont la présence à l’Assemblée nationale gêne et dérange manifestement par ses questions pertinentes et dérangeantes.
La situation est donc là, sous nos yeux. Que faire maintenant pour la Coalition YAW, les autres composantes de l’opposition n’étant pas directement concernées et, peut-être même, satisfaites de cette situation ? Oublier toutes les injustices dont elle est victime au grand jour et se lancer dans une vaste campagne électorale pour gagner le maximum de départements, à commencer par celui de Dakar ? Faire face au président-politicien et à ses forces de défense (de défense à lui) ?
Moi, Mody Niang, je serais pour le premier choix et, si j’étais de taille, conseillerais à mes amis à faire le même choix. Si toutes les frustrations, tous les ego et autres handicaps sont oubliés au profit du seul intérêt général ; si, sans tarder, toutes les composantes de YAW se mettent au travail, en faisant le tour de tout le Sénégal, en expliquant surtout aux populations la main fortement mise du président-politicien sur les différentes institutions du pays et les enjeux de ce qui restera des prochaines législatives ; si elles éclairent les populationssur les dizaines et dizaines de milliards de francs que nous coûte, pour presque rien, la présence des députés du président-politicien à l’Assemblée nationale pendant cinq longues années ; si elles dénoncent avec vigueur la gouvernance meurtrie du président-politicien avec tout ce qui la caractérise de corruption, de fraude, de concussion, de détournements de deniers publics et autres forfaitures connues et restées impunies depuis le 1er avril 2012 ; si ce travail, non exhaustif d’ailleurs, est régulièrement fait jusqu’au 31 juillet 2022, YAW gagnera sûrement, faute de la majorité, un nombre important de députés qui permettra la mise en place d’un grand groupe parlementaire, un plus grand encore si Wallujoue le jeu. Et, dès les premiers jours du mois d’août, Pastef se lancera dans de vastes tournées à travers tout le pays, en vue de l’élection présidentielle de février 2024, sans trop se soucier de cette assemblée qui sera dissoute dans moins de deux ans.
Je ne suis donc pas pour le second choix consistant à faire face au président-politicien et à ses forces. Pour ce choix, il ne faudra viser que deux objectifs ou l’un des deux : faire reculer le Conseil constitutionnel – ce qui est une gageure – ou faire partir le président-politicien du palais de la République, ce qui en est une autre. Tant mieux, si on peut réaliser l’un au l’autre objectif. Cependant, pour arriver à réaliser l’un ou l’autre, il faudra mobiliser une foule immense, pas seulement à Dakar, mais aussi dans les quatre coins du pays. C’est certainement possible, serait-on tenté de rétorquer. Oui, peut-être. Mais,envisage-t-on le contraire, le fait que les foules ne répondent pas suffisamment à nos appels ? Ce serait un échec cuisant qui nous serait fatal, et que nous traînerons longtemps. On ne sait jamais avec nos compatriotes, même s’ils prennent de plus en plus conscience de leurs responsabilités citoyennes.
Nous pouvons certainement réussir à mobiliser les foules que nous souhaitons, des foules importantes. Mais, il peut y avoir un gros risque qu’il faut envisager sérieusement. Nous pouvons être infiltrés et nous le serons, par des nervis dont la mission sera de tout mettre en œuvre pour que le pays soit àfeu et à sang. Selon une source vraiment digne de foi, nos « amis » de l’autre côté de la barrière y travaillent intensément. Il n’est pas impossible que nous arrivions à les contrôler, à gagner la bataille et nous rétablir dans nos droits, d’une manière ou d’une autre. ? Il n’est pas impossible, non plus, que la manifestation échoue. Nos adversaires s’empresseront alors de nous prendre pour responsables de toutes les casses, de tous les vols, de tous les feux allumés çà et là, des blessés et même des morts dont ils prendront toutes les dispositions pour qu’il y en ait le plus possible. Le Procureur de la République pourrait alors s’autosaisir et enfourcher le cheval facile d’ « appels à l’insurrection ». Et la cible privilégiée, ce sera sûrement Ousmane Sonko et personne d’autre.
Si c’est vraiment le cas et il faut sérieusement l’envisager, nous mettrons beaucoup de temps pour le libérer des mains dela justice et, pendant ce temps, les autres (BennooBokkYaakaar et ce qui reste de l’opposition) continueront leurs préparations pour les prochaines législatives. Et nous faciliterons la tâche au président-politicien qui continuera à poser tranquillement les jalons qui le conduiront vers la troisième candidature. N’acceptons pas trop facilement de tomber dans leurs jeux ! Mobilisons-nous le 8 juin prochain ! Faisons venir des militants et sympathisants de tous les coins du Sénégal. Montrons-leur qui nous sommes et ce que nous sommes. Nos responsables leur parleront en responsables. Ils expliqueront aussi au peuple et lui feront comprendre que nous pouvons bien faire face à nos adversaires, à eux, à leurs forces de l’ordre et à leurs nervis. Nous en sommes bien capables, en effet, mais ne perdons pas de vue que les conséquences seront particulièrement lourdes pour le pays, dont de pauvres populations seront victimes innocentes.
Si j’étais à la place des responsables de YAW, je leur dirais que cette fois-ci, nous faisons sur nous le sacrifice de ne pas leur faire face, et que nous choisissons de tenir compte de l’intérêt supérieur du pays, qui ne compte pas pour un sous pour eux. Et les responsables de leur donner rendez-vous le 31 juillet 2022 et, en particulier, en février2024. Ils se mettront donc à préparer de toutes leurs forces le premier événement et, en fonction des résultats, apprécieront ce qu’ils feront de leurs coalitions (YAW-Wallu). Pour ce qui me concerne, je pense que YAW doit continuer son compagnonnage sur des bases solides. Elle compte parmi elle des candidats à l’élection présidentielle, qui doivent s’engager, le moment venu, à voter pour l’un d’entre eux qui sera admis au second tour. Ce second tour aura forcément lieu et quel que soit le candidat ou la candidate de ceux et de celles d’en face.
Ce candidat, en tous les cas, ne devrait pas être le président-politicien. Si c’est lui, le pays sera, cette fois-ci, forcément à feu et à sang. C’est lui qui s’est auto-exclu par ses engagements formels, même s’il nous a habitués à tout renier sans état d’âme. Cette fois, nous ne nous laisserons pas faire. Á un journaliste qui lui demandait si ce mandat (2019-2024) était le dernier, il répondait fermement : « C’est clair que c’est moi qui avais écrit la constitution. Quand on a ramené le mandat de 7 à 5 ans, j’ai dit que le mandat est de 5 ans renouvelable une fois. Et pour que tout soit clair et sans équivoque, j’ai ajouté une clause pour tuer le débat. C’est celle-ci : ‘’Toutefois, nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs’’ ». » Et pour se faire plus clair, il précise : « Je suis dans mon premier mandat. Et si on me réélit, je fais monsecond mandat de 5 ans. Ce sera 7 plus 5 et il faudra partir. C’est ça l’option fondamentale. C’est ça la constitution. C’est moi qui l’ai écrite, qui l’ai proposée et l’ai fait voter. » Et il dit au journaliste : « C’est clair maintenant, c’est bien clair ! ». Le journaliste répond naturellement oui et il dit « Alhamdoulilah ».
Il a répété cet engagement plusieurs fois. Devant un autre journaliste, il termine une réponse à une question par cet engagement sans équivoque, celui-ci : « En tout cas moi, celui qui m’attend à un troisième mandat ne m’y verra pas ». Cet engagement à ne pas solliciter un troisième mandat, il l’a répété plusieurs fois, appuyé par ses plus prochescollaborateurs : Seydou Guèye, Aminata Touré et surtout son conseiller juridique, l’éminent constitutionaliste le Pr IsmaïlaMadior Fall, qui recule malheureusement. Oui, qui recule parce que son patron, contre toute attente, dit ne plus croire à la limitation des mandats et pense qu’en dix ans, on ne peut pas achever son travail et présenter un bon bilan. Je n’insiste pas ici, je lui ai répondu dans ma contribution publiée par quelques quotidiens (Walfadjri, Enquête, Dakar-Timesnotamment) et sites dans leur édition du jeudi 12 mai 2022.
Quel crédit accorder encore à cet homme ? Sa parole ne vaut plus un kopeck. Il renie sans état d’âme ses engagements et promesses les plus solennels. Il s’était fermement engagé à mener une lutte sans merci contre la corruption, les détournements de deniers publics, la fraude etc. Il n’a rien fait de tout cela. Au contraire, il encourage, entretient et nourrit au quotidien et publiquement ces fléaux qui obèrent nos pauvres ressources nationales. Les gens de son entourage se laissent aller à des actes de corruption, de fraude, de détournements de deniers publics et à de toutes autres de forfaitures, sachant qu’ils ne risquent aucune sanction. La principale caractéristique de sa gouvernance hideuse, c’est donc l’impunité totale, une impunité qu’il est difficile de rencontrer dans un autre pays, même pas dans ceux qui nous entourent.Sur sa table, souffrent des dizaines de rapports des différents corps de contrôle qui mettent gravement en cause des hommes et des femmes qui l’entourent. Des dizaines de dossiers déposés par l’OFNAC sur celle du Procureur de la République, y dorment d’un sommeil profond.
Cet homme nous avait aussi promis de redorer le blason terni de nos valeurs cardinales. Tous ses actes et propos de tous les jours démentent cet engagement. Oui, ils les démentent sans état d’âme. Pour ne prendre qu’un exemple et avancer, le blason qu’il devait redorer est devenu noir comme du charbon. Donc, depuis le 2 avril 2012, il ne fait que promouvoir les contre-valeurs : le mensonge, la détestable transhumance, le parti-pris manifeste en faveur de son parti, de sa famille, et à un moindre degré de sa coalition. Son épouse distribue des dizaines de millions à tout bout de champ. Son griot attitré en fait autant, avec plus de bruit encore. Pendant un bon bout de temps, son beau-frère Mansour Faye, (gros ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du désenclavement) et sa fille de 24 ans ont nourri l’actualité. Un ancien ministre, le Pr Mary Teuw Niane qui le connait sûrement, l’a accablé dans un entretien avec Papa Alé Niang, je crois. La fille aussi, nous l’avons connue grâce à un reportage de la BBC, qui nous a laissés sans voix. Le nom de dynastie Faye-Sall leur colle très bien.
Cet homme, dont je n’ai pas d’ailleurs passé en revue tous les actes et propos qui ternissent terriblement nos valeurs et l’image de notre pays, ne devrait pas oser nous regarder les yeux dans les yeux pour solliciter un troisième mandat. En tout cas s’il s’y aventurait, je serais de ceux qui pensent qu’il mettrait le pays à feu et en sang, et nous devrions alors lui faire vigoureusement face et le sortir du palais. Je pense que, dès le lendemain du 31 juillet 2022, et quels que soient les résultats, Pastef et son président devraient se lancer dans une campagne sans répit contre cet homme et sa gouvernance meurtrie qui, malgré des apparences bavardes et trompeuses, nous aura coûté très cher. Notre pays a besoin, bien besoin de nous revenir avec toute sa souveraineté, toutes ses valeurs et toutes ses ressources. En tout cas je suis prêt, malgré mon âge, à me lancer avec eux dans cette campagne, pour y apporter ma modeste contribution. Faire débarrasser le plancher au président-politicien, à sa famille et à sa bande, devrait être l’affaire de tous les Sénégalais et de toutes les Sénégalaisestant soit peu conscient(e)s de leurs responsabilités citoyennes.Arracher le pays à cette dynastie mérite tous les sacrifices, et nous devrions nous y employer sans relâche, jusqu’à atteindrecet objectif salutaire.
« Dans quelques mois, le président du Conseil constitutionnel va prendre sa retraite et devrait être remplacé par Serigne Bassirou Guèye ». C’est la révélation faite par le leader du Pastef Ousmane Sonko, face à la presse, ce mardi 7 juin. Selon toujours Sonko, Serigne Bassirou Guèye sera chargé de valider la troisième candidature du président Macky Sall. « Mais nous l’attendons de pied ferme », a-t-il déclaré. Revenant sur la décision du Conseil constitutionnel de rejeter l’ensemble des recours déposés, Ousmane Sonko a accusé les 7 sages de « haute trahison ». Ces derniers sont, selon lui, « des délinquants de la loi ». Ousmane Sonko leur a donc fait une promesse : « Vous rendrez compte devant ce même droit que vous n’avez pas dit. »
Le leader reproche aux magistrats de tout le temps conduire le pays vers des tensions. « A chaque fois que le pays est au bord du précipice, c’est l’œuvre soit du procureur, soit du doyen des juges, soit du Conseil Constitutionnel ». Il en appelle ainsi à la responsabilité des magistrats. Ousmane Sonko a en outre demandé aux Sénégalais de se mobiliser demain à la place de l’obélisque afin de faire face à ce régime qu’il qualifie de « dictateur ».
Face à la presse, hier, le député et maire de Agnam, Farba Ngom,a lancé des pics au leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, après que ce dernier a annoncé qu’il va démarrer l’ouverture de sa campagne à Matam pour contredire les affirmations du président Macky Sall qui estime que cette région est son titre foncier. Très remontée par cette annonce, Farba Ngom met en garde Ousmane Sonko. « C’est Ousmane Sonko lui même qui a dit qu’il va ouvrir sa campagne ici à Matam. Et il sait bien que Matam est le titre foncier du président Macky Sall. Ça veut dire qu’il ne veut pas la paix. Je dis une seule chose à Ousmane Sonko : soyez le bienvenu. Mais, on vous attend de pied ferme. Et si tu es courageux, si tu es un vrai homme, et que ta proposition de démarrer ta campagne à Matam tient toujours, dis nous juste le jour où tu comptes poser tes pieds à Matam et on va t’accueillir. Surtout, viens le matin, ne viens pas la nuit », a lancé Farba Ngom.
Divorcée, mère d’une fille, Gabrielle Kane se souvient de son premier amour, pour ne pas dire son mari. En amour, la jeune dame se donne à fond pour dire qu’elle ne fait pas dans la demi-mesure.
Sur CNM, elle avoue avoir trop aimé son premier mari. «Tu sais j’étais mariée et j’ai une fille. J’ai aimé des hommes. Le papa de ma fille, je l’ai aimé à mourir. Quand j’aime, je vais pas avec demi-mesure c’est la raison pour laquelle on me trompe…. », dit-elle avant de décrire le genre d’homme qu’elle aime épouser.
Présentement en conférence de presse au siège du Prp, les leaders de la coalition Yewwi Askan Wi dénoncent avec la dernière énergie la manière dont le gouvernement tente de « saboter » leur rassemblement prévu ce mercredi 08 juin 2022. Le mandataire de Yaw apprend qu’ils ont été convoqués hier lundi jour de fête, à la police de la Médina où on leur a montré des vidéos et audio.
«Grande a été notre surprise de voir le commissaire nous montrer des vidéos et audios dans lesquels, des personnes qu’on ne connaissaient même, menacent de faire du désordre. Mais la réponse de Khalifa Sall a été ferme. Il leur a dit que ces vidéos ou audios ne nous engagent pas. Votre devoir est de protéger la manifestation et les manifestants. Il est de votre rôle d’appréhender ces gens-là, de quelque bord qu’ils soient.», révèle le mandataire de la coalition Yaw.
Dabaye Barre et Armand Ndiaye ont baptisé leur bébé la semaine passée.
Famille et amis étaient présents à cette cérémonie. Kawtef vous dévoile les deux tenues classes de Dabaye. Le matin, elle était blanche comme neige, en tenue broderie assortie d’une pochette rose.
Le soir, Dabaye était en tenue beige avec une pochette de même couleur.
Mamy Samb, Journaliste de formation, animatrice, a débuté vers les années 2008 à la Radio Municipale de Dakar (RMD), et est passée à Sopi Fm, Zik Fm… Aujourd’hui elle évolue avec Ameth Aïdara sur la chaîne 2A TV.
Elle se prononce sur son départ et celui de Ameth Aidara de DMédia.
Emmuré dans un silence depuis les investitures aux législatives, Aliou Sall, petit-frère du président de la République reprend la parole.
Invité à l’assemblée générale du Parti socialiste du département, l’ex maire de Guédiawaye promet de se venger sur son successeur Ahmet Aidara. «L’unité de la coalition est en train de se reconstruire et a beaucoup avancé. Ce qui s’est passé aux locales, c’est une erreur. C’est une écoute qui manquait, je fais mon mea culpa. Tous les frustrés sont revenus. C’est l’unité qui se dessine ici», a déclaré Aliou Sall, rapporté par Les Echos.
Et pour prendre sa revanche sur Yewwi Askan Wi, Aliou Sall donne la solution. «C’est de faire du terrain, de parler aux populations», dit-il.
Quid des raisons, selon lui, ont fait perdre la coalition présidentielle aux élections municipales de janvier dernier à Guédiawaye.
Il dit : «le choc des ambitions nous a beaucoup handicapés lors des locales, les frustrations liées aux investitures sont un des facteurs qui ont causé notre déroute. Le manque d’unité est l’un des facteurs qui ont joué contre nous».
Mais, jubile-t-il « tous les nuages se sont dissipés. Tous les frustrés ainsi que les responsables qui se sont mis à l’écart pour diverses raisons sont revenus. »
En pleurs, cet homme se jette dans les bras de Sadio Mané. Regardez la réaction impressionnante du joueur !
Quel serait votre réaction en croisant Sadio Mané? En tout cas, cet homme, lui, s’est empressé de se jeter dans les bras de l’attaquant sénégalais.
« Sadio Mané je t’aime très fort. J’ai même appelé ton père qui se trouve à Bambaly pour le lui dire », fait savoir le fan à son joueur préféré. En pleurs, ce dernier a été consolé par Sadio Mané qui a d’ailleurs, pris son numéro de téléphone.
Transfert : Une nouvelle offre formulée pour Sadio Mané
Le jeune leader de l’Apr, arrêté dans la nuit du jeudi au vendredi par la police de Kébémer, en possession d’une somme liquide de 25 millions de francs Cfa, un coupe-coupe et quatre fausses attestations délivrées par un gendarme, n’est pas encore sorti de l’auberge. Selon des sources de Seneweb, Samba Kanté sera déféré demain mardi au tribunal de grande instance de Louga, sauf changement de dernière minute.
En effet, les enquêteurs du commissariat urbain de Kébémer vont clôturer le dossier sous peu de temps. Pour le moment, le candidat malheureux à la commune de Niomré, lors des dernières élections locales, est toujours en garde à vue pour faux et usage de faux, conduite sans permis et détention d’arme blanche sans autorisation.
Tout au long de son interrogatoire, le jeune militant « apériste » a réclamé la paternité des 25 millions saisis dans son véhicule lors de son interpellation. Mais Samba Kanté n’a encore donné aucune preuve justifiant la provenance de cette somme.
Rappelons que le jeune responsable de l’Apr à Niomré avait tenté de contourner les limiers de Kébémer. À bord d’un véhicule sans plaque d’immatriculation, Samba Kanté, non-détenteur de permis de conduire, avait eu la malchance de tomber nez à nez avec les hommes du commissaire Diouf, tard dans la nuit du jeudi au vendredi.
Immobilisé, puis fouillé, le voyageur en provenance de Dakar n’avait aucun papier justifiant la provenance de la somme d’argent découverte dans son véhicule.
Ainsi, les policiers avaient saisi les 25 millions de francs Cfa, un coupe-coupe et quatre fausses attestations délivrées par un gendarme.
Interpellé sur le coupe-coupe retrouvé dans le véhicule Hyundai Berlin, Samba Kanté avait confié que l’arme était destinée à assurer sa propre sécurité, selon des sources de Seneweb.
Dans un tweet, le leader de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (ACT), Abdoul Mbaye présage la fin de règne de l’actuel locataire du Palais de la République. Pour l’ancien Premier ministre, le chef de l’Etat partira en emportant beaucoup de monde avec lui.
« De toutes façons, Macky Sall finira par partir. Le vrai problème est qu’il emportera beaucoup de monde avec lui », prédit Abdoul Mbaye.
Selon M. Mbaye, Macky et ses allies tomberont tous dans l’abîme de la non-justice et de l’injustice. « L’histoire de l’humanité regorge de précédents pour qui sait réfléchir », ajoute-t-il.
De toutes façons Macky SALL finira par partir. Le vrai problème est qu’il emportera beaucoup de monde avec lui. Ils tomberont tous dans l’abîme de la non-justice et de l’injustice. L’histoire de l’humanité regorge de précédents pour qui sait réfléchir.
De toutes façons Macky SALL finira par partir. Le vrai problème est qu’il emportera beaucoup de monde avec lui. Ils tomberont tous dans l’abîme de la non-justice et de l’injustice. L’histoire de l’humanité regorge de précédents pour qui sait réfléchir.
L’équipementier Puma avait, semaine dernière, officiellement publié sur son site le nouveau maillot de l’équipe nationale du Sénégal, qui sera arboré lors de la Coupe du monde 2022.
Un modèle qui n’est visiblement pas du goût des Sénégalais puisqu’il a très largement été critiqué par les supporters. Et l’ancien président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yaakaar (Bby) Moustapha Diakhaté estime que ce maillot doit être retiré d’urgence.
Moustapha Diakhaté : Bby, Yewwi et sa concubine Wallu cherchent à tromper les SénégalaisSélectionné pour vous : Moustapha Diakhaté : « Bby, Yewwi et sa concubine Wallu cherchent à tromper les Sénégalais » In extenso l’Intégralité de sa publication !
« Le nouveau maillot des lions du football : un pied de nez de Puma à l’esthétique sénégalaise
Maillot à retirer d’urgence
Le Sénégal ne peut pas se payer le luxe de porter le maillot le plus moche de la prochaine Coupe du Monde de football.
Ce maillot doit être retiré, sans délai, et remplacé par un autre qui reflète l’esthétique de la haute couture sénégalaise.
Le PDG Abdoulaye Fatim qui a toujours contribué par l’indirect à la victoire de la majorité présidentielle à touba et mbacké à travers les moyens colossaux qu’il met en jeux au profit des mouvements féminins vient de quitter le mouvement Alsar et compte jouer la carte de la neutralité.
Il faut s’attendre à un boycott massif de son électorat affectif et constant.
Cette situation explosive ne présage rien de bon et devrait logiquement bénéficier à la coalition YAW
Pour rappel le jeune leader par ailleurs petit fils de Cheikh Mouhamadou Lamine Bara Mbacké 3eme fils de Serigne Touba avait octroyé l’année dernière un financement de 10 000 000 à cinq groupements sur un total de 111 GIE faisant un total de 13 800 femmes et 100 000 000 à 50 Groupements en Mars dernier rien qu’à touba; sans compter ses autres militants et sympathisants à travers tout le pays notamment à Ngaye Mékhé, Mbéér dans le département de Tivaouane, Guénguinew, Ndioro, Kebemer entre autres.
Lettre ouverte à Monsieur le président de la République, Macky SALL
Le contexte socio-politico-économique de notre pays fait craindre le pire à de nombreux observateurs, préoccupés par la tension qui va crescendo. Les élections législatives, que vous avez fixées au 31 juillet prochain, rendent davantage perceptible la crise politique qui a fini de s’installer. Les acteurs politiques, se regardant en chiens de faïence, s’ils ne se distribuent pas allégrement des insultes, ne se vouent aucune once de confiance. C’est la méfiance qui en résulte qui suscite la défiance.
Monsieur le Président, Pendant ce temps, les Sénégalais sont en proie à une autre crise, celle-là économique. Les denrées de première nécessité sont de moins en moins à leur portée, leurs prix ayant sensiblement augmenté. Une situation qu’explique, en grande partie, notre insécurité alimentaire que la guerre en Ukraine et l’embargo imposé au Mali ont fortement exacerbée.
Monsieur le Président, C’est au lendemain du drame qui a emporté de nombreux bébés à l’hôpital El Hadji Mame Abdou Aziz SY de Tivaouane, que j’ai voulu vous adresser cette lettre. Mais, le discours de Serigne Babacar SY Mansour, à qui je présente, au passage, mes plus attristées condoléance, et la visite historique du vénéré Serigne Mountakha MBACKE à Dakar, m’en avaient dissuadé. Seulement, cette tragédie, qui aurait pu nous rassembler autour d’un deuil qui revêtirait alors son caractère national, n’a pas réussi là où la pandémie du coronavirus a échoué. La tension est encore plus palpable et la décision que le Conseil constitutionnel a rendue dernièrement l’a davantage accentuée. Des rassemblements sont appelés de part et d’autre, pendant que menaces et insultes agrémentent de plus en plus le discours des Sénégalais.
Monsieur le président de la République Face à cette situation, ne pas vous interpeller, c’est une « non-assistance à un pays en danger ». Un pays dont vous avez en charge la destinée et dont il vous incombe de retransmettre en entier, tel que vous l’avez reçu de votre prédécesseur. Le chemin qu’il prend est loin de me conforter. Et, vous le savez Monsieur le président, c’est quelqu’un qui vous tient en haute estime, qui vous le dit. Quelqu’un qui a été à vos côtés quand, pratiquement, tous ceux qui tournent, aujourd’hui, autour de vous œuvraient dans le but de vous nuire. Rappelez-vous d’hier. Rappelez-vous de ce qu’a été notre posture quand tout un régime s’est braqué contre vous. Ensemble, nous avions crié « non à l’injustice ». Ensemble, nous avions refusé que l’expression de vos ambitions pour le pays soit considérée comme un crime de lèse-majesté.
Monsieur le Président, Ce serait incompréhensible que le Sénégal traverse, une nouvelle fois, sous votre magistère, une crise comme exactement celle de 2011-2012 qui a coûté la vie à de nombreux jeunes. Vous avez fait deux mandats. Vous êtes déjà entré dans l’histoire de ce pays. Monsieur le Président, faîtes de sorte que votre nom soit associé à la cohésion nationale consolidée qui est tout aussi significative que les ponts, autoroutes et autres infrastructures que vous laissez à la postérité. En dehors de nos vénérés Khalifes, vous êtes, aujourd’hui, le seul à pouvoir dénouer cette crise manifeste. Au Sénégal où on vote depuis bien avant l’indépendance, aucune vie ne devrait être perdue à cause d’une élection.
Le Casa Sports de Ziguinchor a été officiellement sacré champion du Sénégal pour la deuxième fois de son histoire ce lundi après son match nul (1-1) contre le champion en titre, Teungeuth FC.
Le Casa Sports l’a fait. Sur la pelouse de Nganladou Diouf, le Casa Sports a détrôné Teungueth FC et remporte le deuxième sacre de son histoire. Lundi, l’équipe du Sud a fait match nul lors de la 25e journée et a décroché le titre de champion du Sénégal dix ans après et à une journée de la fin.
Après 25 journées d’un suspense insoutenable, Casa Sports habilement construite par Ansoumana Diadhiou a opposé sa solidité tout au long de son parcours pour décrocher le deuxième titre de son histoire, dix ans après sa première et dernière couronne.
Mamadou Diop Decroix était l’invité, hier, de l’émission Grand Jury de la RFM. Le leader d’AJ-Pads, lors de cet entretien est revenu sur le déroulement des élections au Sénégal, non sans faire des proposition, à cet effet. Son souhait est d’ »éliminer les candidatures fantaisistes sans barrer la route aux listes représentatives« .
« Aujourd’hui, c’est comme si l’objectif c’était d’empêcher que les gens ne prennent part aux élections. On s’appuie sur des erreurs matérielles pour éliminer des listes« , regrette Decroix.
Passer tout en revue…
Il poursuit : « Il faut s’asseoir, discuter et s’entendre sur les règles. Voilà la position fondamentale. Tout le reste c’est du bavardage… Il n’y a pas de raison qu’il y a 30 ans avant, on a trouvé ensemble des règles consensuelles acceptées par tous, qu’on ne puisse pas le faire aujourd’hui. Ce n’est pas possible ! On passe tout en revue y compris le parrainage. Et ma conviction est que nous trouverons des solutions efficaces qui empêchent des candidatures fantaisistes sans fermer la porte à des listes sérieuses« .
Le rejet de l’ensemble des recours déposés dernièrement au Conseil Constitutionnel continue de susciter des réactions des spécialistes. Après celle de l’expert électoral, Ndiaga Sylla, le constitutionnaliste Ngouda Mboup est monté au créneau pour interpeller les sept sages et le ministre de l’Intérieur.
Le premier concerne « le nom du candidat (devant occuper) le 1er rang sur la liste nationale ». En effet, avec l’irrecevabilité de la liste des titulaires, la coalition Yewwi Askan se se retrouve sans tête de liste. Rang que devait occuper Ousmane Sonko. Ce qui conduit Ngouda Mboup à s’interroger sur la personne qui va désormais diriger la liste des suppléants. Le constitutionnaliste rappelle que cette indication est « pourtant obligatoire et prévue à l’article L.173-2 du Code électoral ».
La deuxième interrogation porte sur « la photo qui doit figurer sur la liste nationale. « Si la photo d’Ousmane Sonko doit figurer sur la liste nationale, avec l’irrecevabilité déclarée de la liste des titulaires quelle photo doit figurer sur la liste nationale de la Coalition Yewwi Askan Wi (« la photo du candidat occupant le 1er rang sur la liste nationale », c’est à dire le 1er candidat titulaire, indication pourtant obligatoire et prévue à l’article L.173-2 du Code électoral) ? » s’est-il demandé.
Sur sa page Facebook, Ngouda Mboup estime que « le Ministre de l’intérieur et le Conseil constitutionnel doivent des explications et des réponses précises aux sénégalais et aux électeurs ».
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