Adamo détruit Ameth Suzanne Camara après ses menaces sur Sonko, un homme batu à M0r*r
Urgent-Adji Sarr à Ousmane Sonko: « le mortal kombat est entre toi et moi, il faut que niou yewwi askan wi »
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Vidéo-Première sortie après son Mariage: Fate Néné la fille de Daba Seye s’affiche avec son Mari
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(Vidéo) Birahim Toure encense SONKO « Gni Beugko Gni Bagneko, il est le leader naturel de l’opposition ndax…»
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Vidéo- Manif de Yewi : écoutez la triste histoire de ce jeune
Manif de Yewi : écoutez la triste histoire de ce jeune
VIDEO. Manif de Yewi : écoutez la triste histoire de ce jeune » si terrasse laay fanaane depuis 3 ans »
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« Ousmane Sonko bidew bi fink na dara douko téyé… »…grosse révélation de ce marabout
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Yewwi en roue libre : Visibles nulle part, les responsables de Benno sont-ils des poltrons ?
« Des poltrons, de véritables poltrons, c’est comme ça qu’on peut qualifier les responsables de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY). Alors qu’ils avaient passé leur temps à crier à gorge déployée qu’ils feraient face à Yewwi Askan Wi (YAW), ils n’étaient visibles nulle part », lit-on dans le quotidien Les Échos de ce jeudi.
Le journal d’enfoncer le clou : « Les pontes de la majorité présidentielle ont tous rasé les murs, préférant se cacher dans leurs chambres plutôt que de faire face. Forts en gueule avant la manifestation, ils étaient tous absents durant toute la journée d’hier. Macky Sall est mal barré avec ces gens là ».
Interrogations autour du silence assourdissant de Mame Mbaye Niang
« Mais où est passé Mame Mbaye Niang? » C’est la question que se posent nombre de Sénégalais, particulièrement dans un contexte de précampagne où l’opposition ne rate jamais l’occasion de s’en prendre à son leader, le Président Macky Sall.
Lui qui ne se faisait pas prier pour défendre, contre vents et marées, le chef de l’État des attaques de l’opposition brille par mutisme. Mame Mbaye Niang a laissé un grand vide, avec la manifestation de l’opposition, malgré les menaces peu intimidantes de certains de ses camarades de parti.
La cause de son mutisme…
Selon beaucoup de sources, ce silence est dû à la frustration de l’ancien ministre du Tourisme. Il a été écarté « du premier cercle » à cause de guerres de positionnement au sein de la mouvance présidentielle. Le vide laissé par le ministre chef de cabinet peine à être comblé au sein de la majorité.
Décrit comme un « défenseur infatigable du Chef de l’Etat » depuis la création de l’APR, Mame Mbaye Niang s’est, particulièrement fait remarquer lors de l’accession de Macky Sall à la magistrature suprême. Il aura été dans toutes les batailles visant à asseoir le régime, mais aussi à défendre son mentor.
A chaque fois que l’opposition décidait d’investir les rues…
De Ministre de la jeunesse et du Tourisme à Chef de Cabinet, Mame Mbaye Niang n’a jamais hésité à bander les muscles pour défendre son patron, à chaque fois que l’opposition décide d’investir les rues. Et pas que, même ses camarades de parti, ceux-là qui, selon lui, brillent par leur mutisme lorsque Macky est attaqué, ne sont pas épargnés par M. Niang. Aliou Sall, Mahmoud Saleh, Diouf Sarr l’ont appris à leurs frais.
« Engagement sans faille »
Pourquoi ce retrait du débat politique ? À cette question, le chef de cabinet du Président Sall dit ne pas vouloir se prononcer . Toutefois, il a réitéré son engagement « sans faille » aux côtés de son leader le Président Macky Sall. Et concernant les répliques et autres combats contre l’opposition, Mame Mbaye Niang dit qu’il n’a pas encore le temps à cause de son travail, en tant que chef de cabinet soucieux des missions confiées par le Président.
Serigne Mbacke Ndiaye : « Yewwi Askan Wi a échoué, il n’y avait pas 5 000 personnes à l’Obélisque »
Pour Serigne Mbacke Ndiaye, la coalition Yewwi Askan Wi a échoué le pari de la mobilisation. L’ancien ministre porte-parole du Président Wade en veut pour preuve que Sonko et Cie n’arrivent même pas à mobiliser 5 000 personnes à la place de la nation. A en croire, « c’est un échec lamentable, l’opposition qui a appelé à manifester ce mercredi à la place de la Nation peut se targuer de tout sauf d’une grande mobilisation ».
« La Place de l’Obélisque ne peut pas contenir plus de 5 000 personnes. Donc s’ils voulaient 200 000 personnes et que moins de 5 mille ont répondu, on peut dire qu’ils ont échoué », a déclaré Serigne Macke Ndiaye.
Pour rappel, la coalition Yewwi AskanWi a réussi à drainer une foule immense acquise à la cause à la place de nation pour déplorer les décisions du Conseil constitutionnel et autres dérives du régime du Président Macky Sall.
Le journaliste Cheikh Diop (TFM) rejoue le film de l’attaque dont il était victime ce mercredi soir (Vidéo)
Le journaliste Cheikh Diop et son cameraman sont victimes hier soir d’une attaque de la part des jeunes de l’opposition. Un acte qui défraie la chronique actuellement au Sénégal et que dénonce pratiquement tous les acteurs de la presse.
Ce matin à l’émission « Infos du matin », il revient sur l’origine de l’incident.
Macky Sall et Ousmane Sonko : Un mortal combat ou un seul survivra
La route sera longue d’ici 2024. A la veille des élections législatives du 31 juillet 2022, les sénégalais retiennent leur souffle. Le pays est à deux doigts de frôler le chaos. Deux leaders politiques tiennent en respect tout un pays. Il s’agit du président Macky Sall et d’Ousmane Sonko. Le leader du parti des patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF) veut coûte que coûte être le prochain président du Sénégal. Pendant ce temps, l’actuel locataire du Palais tente le tout pour le tout pour conserver son siège. Mais il est désavantagé par certains échecs sur sa gouvernance. Et les sénégalais sont les principaux oubliés dans cette guéguerre.
Décidément les hommes politiques ne connaissent pas la souffrance des sénégalais. Au moment où le « gorgorlou » (débrouillard) tente de joindre les deux bouts, nos hommes politiques se sont lancés dans une bataille qui risque de bloquer tout un pays. Leur amour pour le pouvoir les pousse à prendre des décisions radicales qui vont plonger ce pays dans des lendemains sombres. Et les principaux acteurs de ce film « d’horreur » seront le patron de Benno Bokk Yakaar et celui de Pastef. La haine entre ces deux personnes sera l’étincelle qui fera exploser ce pays.
Pendant que Sonko et Macky jouent au chat et à la souris, le Sénégal est dans l’impasse. Nos deux larrons n’ont d’yeux et d’oreilles que pour les législatives et la présidentielle. Pendant ce temps, tous les prix sont à la hausse. Le riz, l’huile, le sucre et toutes les denrées de première nécessité sont devenus un luxe pour certains sénégalais. L’embargo contre la Russie fait grimper le prix du blé. D’ailleurs, nos boulangers menacent d’augmenter le prix du pain. Pour ne rien arranger, notre incompétente ministre du Pétrole vient d’annoncer, elle aussi, une hausse des prix du supercarburant.
Macky Sall avec tous les projets et milliards qu’il a décaissés, peine à régler la question de l’emploi des jeunes. Le manque de travail est un facteur de l’escalade de la violence chez les jeunes. Ces derniers sont devenus de véritables acteurs de films dignes d’un far west. Leurs problèmes, ils les règlent avec des armes. Ces échecs du locataire du Palais seront utilisés par une opposition en perte de vitesse pour battre campagne. Mais le hic est que cette opposition ne vaut pas mieux que Macky et ses ministres catastrophes incapables de solutionner les maux des sénégalais.
Pour pallier leurs manquements, ces opposants font appel à certains jeunes pour se lancer dans une nouvelle forme de lutte : la voie de la rue. Ousmane Sonko dirige cette armée qualifiée de « mercenaires » par les adversaires du pouvoir. La politique politicienne a pris la place de l’ancien Patriote qui faisait des révélations sur le bradage de nos ressources, le patriote qui donnait des pistes de solutions sur certains problèmes que traverse ce pays. Son obsession et sa haine pour Macky Sall ont fait de lui un «zéro» politique. Tous les discours du nouveau maire de Ziguinchor tournent autour de Macky.
Membre de Yewwi Askan Wi, Ousmane Sonko a contaminé ses camarades. Rares sont les leaders de YAW qui se préoccupent du vécu des sénégalais. Ils sont obnubilés par Macky Sall. Toutes leurs dernières sorties n’ont tourné que sur les législatives et le rejet de leurs listes. Pour ne pas tourner au ridicule, ils promettent de parler des problèmes des sénégalais lors de leur manifestation de ce mercredi. Malheureusement, ils semblent oublier qu’ils sont aussi responsables de cet état de fait que Macky Sall. Des solutions et des actes, voilà ce dont les sénégalais ont besoin et non d’une bataille entre Benno et Yewwi.
Le Sénégal était une vitrine de la démocratie. Notre pays était respecté et cité en exemple par les grands du monde. Mais depuis l’avènement d’une nouvelle race de politiciens, il n’en est plus rien. Ceux qui étaient censés défendre ces valeurs sont ceux qui les bafouent. S’il y’a une chose qu’on devrait oser dire à Macky et Sonko, c’est que ce pays ne leur appartient. Les sénégalais sont les seuls maîtres de leur destin.
Vidéo-Le cri de cœur de Joseph Saliou : « Bougane est un exemple de réussite … »
Joseph Saliou est un journaliste chevronné qui ne mâche pas ses mots et qui va toujours au fond des choses. Analysant avec objectivité l’adversité politique qui prévaut avec le filtre du parrainage qui est beaucoup plus problème que solution sous nos cieux, il se dit écœuré à plus d’un titre par le cas Bougane Guèye Dany. Selon lui, Bougane est un homme engagé, un exemple de réussite qui a crée une entreprise et qui emploie des sénégalais. Un homme qui allie développement et éthique et qui aura mis sur pied un mouvement pour mieux défendre les intérêts de ses compatriotes. Exclu de la présidentielle, au cours des Locales, il a réussi un bon score pour sa première participation. En prélude aux élections législatives également, ses listes ont encore été rejetées, ajoute le journaliste. Joseph Saliou se dit écœuré par le traitement réservé à un exemple de réussite comme le chef de fil de Geum Sa Bopp.. Regardez.
(Dossier) Cherté du supercarburant, hausse des prix des denrées alimentaires, du loyer… : les ménages dans le désarroi
La fragilisation de nombreuses économies mondiales ayant des répercussions sur le panier des ménagères est le corollaire de la conjoncture géopolitique tumultueuse occasionnée par la crise russo-ukrainienne. Résultats : les pays du tiers-monde dont le Sénégal qui constituent des victimes collatérales de ce regain de tensions en Europe, vivent un vrai calvaire. Avec des prix (essence, riz, huile, sucre, blé,…) qui grimpent sans que les rétributions ne s’en suivent, difficile pour les populations de dormir sur leurs lauriers. Conséquemment : fonctionnaires, ménagers et sans-emplois crient au désarroi et craignent de ne plus pouvoir tenir plus longtemps. Selon certains, on s’acheminerait vers des émeutes de la faim.
A l’instar du reste du monde, le Sénégal subit de plein fouet, les conséquences économiques de la guerre entre deux pays d’Europe, l’un producteur de blé et l’autre d’énergie (pétrole, gaz) chez qui il se pourvoit généralement de ces différentes matières. Du nord au sud, le pays est frappé par une inflation sans précédent. Cette situation pour le moins inconfortable s’est invitée dans le quotidien des sénégalais, pris dans un tourbillon d’inquiétudes dont on ignore l’issue. D’après un père de famille, «la situation est présentement très critique pour nous les pères de famille. On arrive plus à assurer à nos enfants les trois repas quotidiens, on est obligés de cuisiner une seule fois dans la journée et d’en garder pour le diner. Les temps sont durs pour nous les plus démunis. Quelques fois, faute d’argent, on est obligés de consommer de la bouillie toute la semaine».
Quant à la hausse du carburant il se confie : «je conduis actuellement un engin mais il m’est difficile de me pourvoir ne serait-ce que d’un litre d’essence alors qu’il m’en faut deux pour fonctionner. Si je n’ai de quoi manger, comment vais-je trouver de quoi alimenter ma moto ? Je n’arrive plus à joindre les deux bouts, même pour payer le loyer c’est devenu un vrai calvaire. Mon travail de marchand me dépourvoit de certains privilèges et ce que gagne par jour n’est pas à la hauteur de mes dépenses. Le président de la République, à qui nous avons remis toutes nos forces fait preuve d’inertie totale dans ce sens, sans doute parce que ses proches n’éprouvent pas ce par quoi nous passons. Il doit savoir que nous souffrons et bientôt nous allons mourir de faim, dans la rue» a-t-il lancé, très remonté.
«L’Etat doit prendre des mesures pour renforcer la bourse des citoyens»
Son opinion «acerbe» envers les tenants du pouvoir est nettement partagée par certains trouvés dans les parages dont un fonctionnaire du nom de Pierre, résidant dans la commune de Biscuiterie. Assis, tout modestement vêtu, bulletin de compte bancaire à la main, il évoque sa situation financière «scandaleuse» et déplore le fait que les augmentations de salaires ne se fassent que d’un seul bord. «Nous ne sommes pas concernés par les augmentations de salaires que nous entendons par ci et par là. C’est réservé à un corps de métier notamment les enseignants. Je suis un fonctionnaire endetté jusqu’au cou et obligé de changer de banque à chaque fois que celle-ci ne peut plus m’accorder du crédit. Mon salaire mensuel est en deçà des besoins de ma famille, lorsque je le perçois, il s’engloutis dans tout un tas de dépenses (achat de ravitaillement, frais de scolarité des enfants, factures d’eau, d’électricité et de téléphone etc.). Je parviens tant bien que mal à maitriser la situation pour le moment, mais aussi longtemps que le conflit perdure, je ne saurais dire ce qu’il adviendra de moi. Je n’ignore pas le fait que l’inflation est d’ordre mondial mais que l’Etat prenne des mesures allant dans le sens de renforcer la bourse des citoyens, en augmentant les salaires pour ceux qui travaillent et en offrant des emplois à ceux qui n’en possèdent pas, ceci aidera à maintenir l’équilibre sociale», pense-t-il.
Vers l’augmention des prix du transport en commun
Du point de vue des conducteurs, une possible hausse des tarifs du transport guette la population en raison de la flambée du coût du supercarburant qui passe de 775 à 890 FCFA. A en croire Modou Thioune, chauffeur au garage Beaux maraîchers, «pour le moment, il n’y a pas encore d’augmentation des prix du transport mais on tend vers. Car, si le litre de gasoil continu de grimper, on sera tenu de faire payer plus les clients pour au moins faire un petit bénéfice le soir. Cela ne sert strictement à rien de travailler à perte, autant rendre les voitures et aller dormir comme tout le monde puisqu’on ne peut rien de cette situation. Moi, je suis chauffeur et à vrai dire, seul mon métier m’intéresse, le reste c’est à l’Etat de le gérer» a-t-il affirmé.
«Les taxes sur l’énergie doivent être revues pour…»
Toutefois, le directeur exécutif et responsable de l’ONG islamique Jamra a tenu à apporter son analyse de la situation. Bamar Gueye, trouvé devant les locaux dudit ONG s’en est pris à l’Etat et à la population pour mieux situer le problème. «L’état doit jouir d’une énorme volonté politique pour amortir l’inquiétude des sénégalais. Les dirigeants du pays doivent faire des sacrifices pour le bien-être de la communauté mais aussi, il est tout important pour les Sénégalais de comprendre la conjoncture actuelle et ne pas s’attendre à des miracles. On ne disconvient pas du fait que la responsabilité d’améliorer les conditions de vie incombe à l’Etat, et il ne doit y faillir. A lui (l’Etat) de comprendre que la bourse des différentes franges de la société diffère, et baisser les prix des denrées de premières nécessités. Certes, l’incidence sera importante au niveau budgétaire car cela pourrait induire à un endettement mais c’est un sacrifice qui en vaut la peine ». Et de poursuivre en insistant sur le fait que les Sénégalais doivent apprendre à consommer ce qui est produit dans le pays.
«C’est la forte consommation des produits d’ailleurs qui encourage notre gouvernement à importer plus, donc nous remettre à la consommation locale permettrait d’une part de réduire les importations et d’autre part de nous prémunir des chocs alimentaires de cette envergure», dit-il avant de terminer : «par rapport à la hausse du prix du carburant, disons-nous qu’elle est occasionnée par la même situation qui est responsable de l’inflation mondiale. Mais c’est à l’Etat de revoir le système de taxation énergétique afin de ne pas causer plus de dommages aux Sénégalais. Ce ne sera pas chose facile, mais il le faut pour le bien-être de tous, qu’il s’agisse des vendeurs de carburants ou des consommateurs», a-t-il fait savoir.
Khadidiatou MENDY
(Stagiaire)
Offense au prophète (Psl) : Serigne Mountakha exige des excuses de l’Ambassadeur de l’Inde au Sénégal (Communiqué)
Des propos d’une indécence incommensurable ont été proférés à l’endroit du prophète de l’islam, a indiqué le khalife général des mourides. Dans un communiqué parvenu à Senego, Serigne Mountakha Mbacké, exige des excuses publiques de la part de l’Ambassadeur de la République de l’Inde au Sénégal.
Avec cette offense au prophète n’est que reflet des persécutions, des tortures, et d’oppression, subies par les musulmans en Inde, depuis plusieurs années, de la part du parti au pouvoir dirigé par Narenda Modi,
A défaut des excuses publiques, la confrérie mouride ordonnera publiquement à tous ses disciples vivant au Sénégal et dans la diaspora de boycotter les produits d’origine indienne.
Ces propos tenus la semaine dernières par Nupur Charma, porte-parole du parti au pouvoir, (actuellement suspendu) et son collègue Naveen Jindal (actuellement révoqué) ont provoqué la colère du monde musulman.
Ainsi le Qatar, le Koweït et l’Iran ont convoqué, dimanche, les ambassadeurs de l’Inde. Au Pakistan, des centaines de musulmans ont manifesté, jeudi, dans la capitale Islamabad, pour protester contre les propos offensants.
Titre Foncier 1451- R / Affaire des 94 milliards : « Nous ne céderons aucun M² de la proprieté Lébou à qui que ce soit! » (Communauté Lébou)
La communauté Lébou s’est regroupée à son siège à Rufisque pour attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur les récentes attaques perpétrées par un comité concerné par cette brûlante affaire. En effet, c’est à travers la voix de leur secrétaire général, Mamadou Diop Thioune, que cette communauté a constaté avoir essuyé des attaques suite à une réclamation d’un droit de propriété sur le foncier 1451/R.
« Nous avons été surpris que le collectif des HLM, au lieu de s’en prendre aux HLM pour ne leur avoir pas versé leurs papiers, ou n’avoir pas fourni les titres de propriété, ou n’avoir pas satisfait leurs attentes, se sont dirigés par succession de paroles contre les Lébou et contre la famille », a constaté Mamadou Diop Thioune.
Si aujourd’hui, poursuit le dignitaire Lébou, « nous devons perdre nos terres et perdre notre dignité, nous répondrons à leurs attaques et à leurs menaces. Nous n’avons pas peur de la guerre et nous acceptons cette guerre et attendre à ce que l’État tranche », dira-t-il, avant de se déclarer prête à ce conflit et à cette confrontation. « Nous ne céderons aucun M² de la proprieté Lébou à qui que ce soit. Si nous devons avoir un arbitraire international, nous nous référons à la convention du 23 juin 1905 qui fait du Cap-Vert une autonomie foncière, une autorité coutumière, traditionnelle et côtière et l’appropriation des terres reste certifiée par le décret 3226, du 26 juillet 1932. »
Par ailleurs, ils invitent ce collectif des HLM, au lieu de s’acharner sur les lébou, « à aller vers les HLM et réclamer leur titre de droit de propriété », a terminé le secrétaire général des notables Lébou du Cap-Vert…
Zahra Iyane Thiam sur la manif de Yaw : « Elle n’était pacifique que de nom… des discours d’une irresponsabilité qui dépassent la rationalité et l’entendement »
Le Coordonnateur de la coalition Benno à Sicap a regretté les discours irresponsables tenus par des leaders lors de la manifestation de « Yewwi » hier à la place de la Nation. Elle a rappelé qu’une nation est régie par des textes et force restera à la loi malgré toutes les tentatives d’intimidation de l’opposition.
Comment appréciez-vous la tenue de la manifestation de Yewwi?
Zahra Iyane Thiam : « Notre démocratie est dynamique même si on a toujours crié sur tous les toits qu’on ne respecte pas les droits et liberté. Mais les droits et libertés sont respectés tant que c’est en cohérence avec ce que la réglementation dit, donc il faut se féliciter de cela.
Maintenant les autres constats c’est que leur manifestation n’a de pacifique que de nom puisque les discours qui ont été prononcés au cours de cette rencontre ont été des discours très violents avec des propos d’une irresponsabilité qui dépassent la rationalité et l’entendement, ils ne pouvaient pas parler « d’autorités qui ont sucé du sang durant toute leur carrière. » Moi je ne savais même pas qu’il existait ces types de personnes vraiment ceux qui les connaissent en parlent, vous ne pouvez pas parler de brûler le pays, de récupérer le palais…
Je crois qu’en toute responsabilité en tant qu’acteur politique ce qui est attendu de nous, c’est d’offrir des offres programmatiques, de donner des orientations sur ce qu’on veut faire pour son pays et donc je pense qu’en réalité, la coalition Yewwi n’était pas prête et ne voulait même pas aller aux élections, sinon comment comprendre la liste de Dakar. C’est incompréhensible! Comment comprendre la légèreté avec laquelle ils ont constitué leur liste nationale, nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes.
Aujourd’hui, avoir fauté et indiquer que parce que j’ai fauté tout le monde devra fauter et qu’on doive tout remettre sur la table parce que tout simplement moi je ne suis pas dans ce qui est permis, c’est irresponsable. Il faut rappeler qu’à chaque veille d’élection ici, les acteurs politiques ont indiqué qu’il n’y aurait pas d’élection. Pas plus tard que ces élections locales passées, on a crié sur tous les toits qu’il n’y aurait pas d’élections et les élections se sont bel et bien tenues et tout comme les fois précédentes il y aura des élections législatives et ce sera des élections qui se dérouleront dans le calme, dans la transparence, en toute démocratie comme cela s’est toujours fait. Maintenant nous de Benno Bok Yakaar, nous réaffirmons notre attachement à la stabilité, mais surtout nous réaffirmons notre ferme engagement à défendre les institutions et les acquis »
Mais leurs différentes sorties indexent le fonctionnement de la justice « à deux vitesses » dans le traitement des listes »
« D’abord il faut quand même que nous acceptions tous que nous avons des pouvoir séparés, le Conseil Constitutionnel a pris des décisions mais nous en avons pris acte cela ne veut pas dire que nous sommes en phase avec ses décisions comme je vous l’ai indiqué personne ne comprend la liste de Dakar.
Mais le temps de la justice n’est pas le temps de la politique, le temps de l’exécutif. Le deuxième élément nous avons constaté l’irrégularité de leur liste. D’ailleurs eux mêmes l’ont confirmé à travers leur page facebook en indiquant qu’ils avaient commis des erreurs malheureusement, mais ils disent j’ai commis des erreurs même si vous n’avez pas commis d’erreur vous ne partez pas si je ne pars pas. Mais c’est ça l’anarchie et c’est ça qu’il faut déplorer et dénoncer. Cet état de fait ne passera pas parce que ce qui fait de nous une nation, ce qui nous régit ce sont les textes et tout le monde doit s’y conformer c’est pourquoi force restera à la loi ».
Abdou Mbow à YAW : » Personne ne pourra empêcher la tenue des élections «
Le porte-parole adjoint de l’APR a remonté les bretelles à Ousmane Sonko et Cie après leur manifestation à la place de la nation.
Selon le journal Sud Quotidien, Abdou Mbow a qualifié le leader de Pastef d’irresponsables. « Quand Ousmane Sonko se permet de dire que si la liste de Yewwi Askan Wi ne passe pas, Macky Sall ne participera pas aux élections et de ces déclarations appelant à déloger de son Palais le Président Macky Sall élu démocratiquement, ses propos sont irresponsables et méritent d’être condamnés avec toute la fermeté qui sied » , a tonné le parlementaire de la majorité.
En effet, Abdou Mbow avertit également la coalition Yewwi Askan Wi qui menace de saboter les élections législatives, » qu’ils se le tiennent pour dit, Ousmane Sonko et Cie ne peuvent empêcher la tenue d’une élection au Sénégal. Nous sommes dans un État de droit et on doit se conformer à la décision de justice. Nous n’allons pas user de la violence contre eux, mais nous serons sur le terrain et personne ne pourra empêcher la tenue des élections. Nous allons lutter pour préserver la démocratie dans ce pays » , a déclaré le premier vice-président de l’Assemblée nationale.
Attaques contre les musulmans à New Delhi: Touba menace de boycotter les produits d’origine indienne
La communauté mouride apporte son soutien aux musulmans qui sont victimes de violentes discriminations en Inde depuis des années. En effet, Serigne Mountakha Mbacké condamne fermement les actes de barbarie et les crimes commis sur les musulmans à New Delhi.
Ainsi, Touba exige à l’ambassadeur de la République de l’Inde au Sénégal de
présenter des excuses publiques aux musulmans, et appelle le gouvernement indien à éviter à l’avenir de blesser la sensibilité des musulmans.
A défaut, le khalife général des mourides menace de recommander publiquement à tous ses disciples vivant au Sénégal et dans la Diaspora de boycotter les produits d’origine indienne, selon des sources de Seneweb.
« Depuis des années, les musulmans, vivant en Inde, subissent toutes sortes de
torture, d’abus, d’oppression et de persécution de la part du parti au pouvoir dirigé par Narendra Modi. Répression, saccage, interdiction des filles voilées de fréquenter les écoles et les universités, démolition de maisons et de mosquées et tueries » lit-on dans un document signé, hier mercredi, par le porte-parole de Serigne Mountakha Mbacké.
Selon le Khalife général des mourides, ces actes barbares ne s’expliquent à tort que par leur foi en Allah et en son Prophète PSL. Cette islamophobie pratiquée par les hindous extrémistes a atteint, dit-il, son paroxysme.
Touba a également condamné fermement les déclarations de Naveen Jindal, le porte-parole du parti Bharatiya Janata au pouvoir en Inde. »En effet, des propos d’une indécence incommensurable ont été proférés à l’endroit du meilleur des créatures, le Prophète Muhammad PSL. La confrérie Mouride dénonce et condamne avec la plus grande fermeté les déclarations de Naveen Jindal, le porte-parole du parti Bharatiya Janata au pouvoir en Inde. Notre vénéré Cheikh Ahmed Al-Khadim vouait un amour profond et inégalable à l’élu Seydina Mouhammad, que la prière et la paix d’Allah soient sur lui, et suivait scrupuleusement la voie qu’il a tracée. S’en prendre à l’image du Messager de Dieu, Muhammad – que la prière et la paix de Dieu soient sur lui – est une ligne rouge à ne pas franchir », condamne Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre au nom de Serigne Mountakha Mbacké.
Les conseils d’un père : « Ce que j’ai vraiment dit à mon fils Bamba Dieng » (Amath Dieng)
Amath Dieng, père de Bamba Dieng, revient sur la polémique sur le but de son fils sur pénalty en finale de Coupe d’Afrique des Nations face à l’Égypte. « Mes propos ont été mal interprétés », a dit le père de l’international sénégalais de l’OM. Le dioubellois a clarifié en marge de la cérémonie de présentation du trophée de la CAN dans sa région, ses propos prononcés après le sacre du Sénégal.
Mondial 2022 : adversaire du Sénégal : Mauvaise nouvelle pour l’Equateur
L’Equateur pourrait être disqualifié de la Coupe du monde 2022, informent plusieurs médias dont Footmercato.
Qualifié à la Coupe du Monde et tiré au sort dans le groupe A en compagnie du Qatar, du Sénégal et des Pays-Bas, l’Équateur pourrait finalement être disqualifié de la Coupe du Monde, aux dépens du Chili qui serait repêché après avoir terminé 6e du groupe de qualification sud-américain.
Le joueur Byron Castillo falsifie ses documents de naissance
La raison ? L’international équatorien Byron Castillo a falsifié ses documents de naissance et est en réalité colombien. La FIFA devrait donner sa décision définitive dans les prochains jours mais selon Mundo Deportivo la décision serait déjà prise. Si c’est bien le Chili qui devrait être repêché, l’espoir de l’être est également présent en Italie éliminée de la couse à la Coupe du monde 2022 qui se déroulera du 21 novembre au 18 décembre au Qatar.
(05 photos) : En vacances, Keita Baldé et sa famille s’affichent tout heureux en avion.
Les Lions sont en vacances. Si les uns ont décidé de rester quelques temps à Dakar, d’autres sont rentrés chez eux pour profiter de leurs familles.
Sur ces photos publiées par Simona, l’épouse de Keita Baldé, le joueur profite de ses vacances en famille. A bord d’un avion, l’international sénégalais, sa femme et ses enfants s’affichent tout heureux.
Lansana Gagny Sakho encense Sonko: « Son ambition c’est de changer la vie des Sénégalais »
L’ancien directeur de l’Onas, Lansana Gagny Sakho a a magnifié le méga rassemblement de la coalition Yewwi Askan Wi. En effet, sur un post publié sur Twitter, Lansana Gagny Sakho encense Ousmane Sonko. Pour lui, son ambition, c’est de bâtir un pays en développant la vie des Sénégalais.
« Qu’on l’aime ou pas, il faut lui reconnaître son ambition de changer la vie des Sénégalais en changeant la vie politique » a écrit l’ancien Dg de l’Onas.
Pour rappel, Lansana Gagny Sakho a été limogé par le président le 06 janvier 2021. Il est remplacé à ce poste par Ababacar MBAYE, Docteur en Sciences de l’Environnement.
(10 Photos) Visite de courtoisie du Mouvement LES SERVITEURS auprès de son éminence l’Archevêque Monseigneur Benjamin NDIAYE
Visite de courtoisie du Mouvement LES SERVITEURS auprès de son éminence l’Archevêque Monseigneur Benjamin NDIAYE. Une rencontre pleine d’enseignement au cours de laquelle des échanges fructueux ont été notés. Son éminence, en homme de vertu et de sagesse, a prodigué d’importants conseils à la délégation dirigée par Pape Djibril Fall et a formulé de pertinentes recommandations relatives à son engagement dans cette mission hautement sacerdotale qu’il s’est assignée d’être au SERVICE EXCLUSIF de la Nation.
(Vidéo) Faram Facce: Guy Marius Sagna militant de Pastef ? Il clôt enfin le débat !
(Vidéo) Faram Facce: Guy Marius Sagna militant de Pastef ? Il clot enfin le débat !
(Vidéo) Faram Facce: première réaction de Guy Marius Sagna après la manif de Yewwi
(Vidéo) Faram Facce: première réaction de Guy Marius Sagna après la manif de Yewwi
Vidéo-Attaque des journalistes de la TFM à la manifestation – Guy Marius : « Je ne suis pas d’accord… »
Attaque des journalistes de la TFM à la manifestation – Guy Marius : « Je ne suis pas d’accord… »
Dernière minute : Triste nouvelle, le monde de la presse sénégalaise en deuil (photo)
En voici une bien triste nouvelle pour le monde de la presse sénégalaise. Le journaliste Mamadou Moustapha Sarr n’est plus.
Administrateur du site toutinfo et membre de la 42éme promotion du Cesti, Mamadou Moustapha Sarr est décédé ce mercredi à la suite d’une courte maladie. La rédaction de SeneNews s’incline devant sa mémoire et présente ses sincères condoléances à tous ses proches.
Que son âme repose en paix.
Vidéo- Investiture BBY, parrainage pour les législatives…Serigne Modou Matar SALL,responsable politique de l’APR se confie
Investiture BBY, parrainage pour les législatives…Serigne Modou Matar SALL,responsable politique de l’APR se confie
La Réaction surprenante de Zahra Iyane Thiam sur le rassemblement de Yewwi
« La manifestation de Yewwi Askan wi n’avait de pacifique que d’intention. Ils ont été quasiment tous violents de par le verbe. Les mots étaient durs et insultants à la limite. Nous allons brûler par la force. Nous irons par la force aux élections, nous allons déloger. Entre autres incitations à la violence, on peut parler de rassemblement pacifique ». C’est l’avis de Zahra Iyane Thiam responsable politique de la coalition présidentielle de la commune des Sicap-Liberté. Selon la ministre de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire, accuser les autorités étatiques d’avoir sucer le sang du pays, traiter certains de zombies et de femmes qui se sont toujours servies de l’Etat ne relève pas de la discipline. Cela en réponse à Ousmane Sonko qui a parlé faisant allusion à Idrissa Seck, Moustapha Niasse et Aminata Mbengue Ndiaye. Elle affirme aussi que les nervis qu’on disait être l’apanage BBY ont été retrouvés dans la manifestation.
Forte mobilisation
Sur la mobilisation Mme la ministre estimé : » Il avait parlé de 200.000 sénégalais mais on se rend compte que c’était loin du compte encore que c’était une mobilisation nationale ». Selon le ministre de la microfinance de l’économie sociale et solidaire, Il y a eu des mobilisations Ndiaga Ndiaye. Ça fusait de partout et pourtant on avait prédit une forte mobilisation de Dakar tout court. A l’en croire, il faut tout de même se féliciter de la vivacité de la démocratie. L’opposition semblait toujours dire qu’il y a une privation des libertés que. l’État était autoritaire. Seulement cette marche pour ne pas dire rassemblement qu’elle a tenu, marque à plus d’un titre que la démocratie existe au Sénégal.
Contre Manifestation de BBY
Interrogée sur le pourquoi Benno n’a pas tenu une contre-manifestation comme l’avaient annoncée certains leaders, elle répond catégorique. « Nous ne sommes pas dans des considérations de contre marche où autres. Ce n’est pas ça le plus important. Ce qui nous intéresse au niveau de Benno Bokk Yakar, c’est de donner une majorité écrasante au chef de l’État à l’issue des élections législatives. Notre priorité, il faut le dire, est de permettre à Macky Sall de pouvoir continuer à dérouler ses politiques publiques qu’il a commencées depuis son accession au pouvoir et qui donnent des résultats pour notre pays » .
En outre, précise-t-elle, si l’opposition veut installer le chaos dans ce pays, elle sera seule. Il faut deux pour le faire et BBY n’est pas dans cette dynamique mais dans une confrontation d’idées de programmes sur le terrain. Cela, dans le respect strict des institutions de la République et de la réglementation en vigueur. Mais, tout en réaffirmant fermeté et force son attachement à préserver les acquis démocratiques du pays.
Autre point, la menace de YAW d’annuler les élections au cas où sa liste ne serait pas validée. » Cette coalition n’était pas prête à aller aux élections et ne se prépare pas pour y aller » selon le ministre. « Ce n’est pas la première fois qu’une opposition menace de perturber le déroulement des élections. Ces élections législatives vont se tenir comme elles se doivent. Je ne vois pas comment cette opposition va empêcher la tenue des élections. Nous sommes dans un Etat de droit et sommes tous tenus de respecter les lois et règlements. La direction générale des élections ainsi que le conseil constitutionnel n’ont fait que leur travail en se focalisant sur les textes. » Nous de BBY sommes aussi victimes d’annulation mais c’est la loi et nous sommes obligés de la respecter, ils n’ont qu’à faire de même » conclut-elle.