Révélations incroyables de Aliou Cissé : « Ils m’ont dit, si nous ne sommes pas titulaires, ne nous appelez plus »
En débarquant à la tête de l’Equipe Nationale du Sénégal, Aliou Cissé a connu une situation tumultueuse avec des internationaux.
Avant que la machine ne se mette véritablement en bonne marche et dans la bonne direction, Aliou Cissé s’est-il longtemps gratté les dreadlocks ? Fort de son caractère, le sélectionneur des Lions a constitué aujourd’hui un groupe solide qui a été capable d’aller gagner la première Coupe d’Afrique des Nations du Sénégal et de rivaliser avec n’importe quel adversaire au monde.
Mais bien avant d’en arriver là pour se mettre dans la tranquillité, le sélectionneur avoue avoir fait face à une gestion pour le moins compliquée. En effet, dans un entretien accordé au quotidien national Source A, Aliou Cissé raconte de fâcheux déboires connus avec des internationaux sénégalais. Une situation proche du quitte ou double dans son équipe.
« Quand je prenais cette équipe, des joueurs sont venus me dire « si je ne suis pas titulaire ne m’appelez plus. Ils m’ont dit que « si je viens dans cette équipe nationale c’est pour être titulaire ». D’autres, tu les convoques le lundi, ils arrivent le mercredi à l’entraînement. Mais aujourd’hui, ce sont les cadres qui viennent en premier, car ils connaissent leurs devoirs », a t-il révélé.
Mais pour le sélectionneur, désormais, tout se dirige dans la bonne direction avec le bon groupe. « Aujourd’hui vous dites regroupement lundi midi à 11h30 mes joueurs sont là. Et si on en est arrivés là, c’est parce qu’ils connaissent la sacralité du maillot et personne ne peut être au-dessus du maillot. Et à chaque fois, mes garçons contribuent à développer cet esprit et c’est l’occasion de les féliciter. »
Enquête – Pourquoi cet appel public à liquider Ousmane Sonko est à prendre au sérieux.
La progression de Ousmane Sonko sur l’échiquier politique devrait en toute objectivité faire de lui le prochain Président de la République du Sénégal. Il ne s’est lancé en politique qu’en 2014, a engrangé environs 37 000 voix aux législatives 2017, puis environs 687 000 voix à la Présidentielle 2019, ensuite près de 800 000 voix avec sa coalition aux locales de 2022 malgré son exclusion dans 15 départements sur les 45. Il a de surcroit réalisé de tels scores sans véritable budget de campagne, face à un candidat doté d’une fortune colossale et inépuisable, qui prend la latitude d’exclure des adversaires, de définir les règles du jeu, de choisir les arbitres, les juges et les observateurs.
Si pour les présidentielles de 2024 le Président Macky Sall ne se risque pas à un forcing de tous les dangers, il n’y a personne autour de lui qui fait un tant soit peu le poids face à Ousmane Sonko.
Les évènements de Mars 2021 ont démontré que les citoyens d’ici et de la diaspora n’ont pas l’intention de laisser Ousmane Sonko être écarté de la course pour 2024. Aucun acteur politique dans l’histoire du Sénégal n’a bénéficié d’autant d’attention et de protection de la part des populations.
Ce n’est pas pour rien que le camp du Président Macky Sall marque à ce point Ousmane Sonko à la culotte, et pendant ce temps ignore royalement les autres opposants dont certains ne le sont que de façade d’ailleurs. Cette fixation du camp présidentiel sur Ousmane Sonko suffit amplement comme baromètre ou résultat de sondage.
Ce Mercredi 8 Juin 2022 à la Place de la Nation, de même que la veille au cours de la conférence de presse de YEWWI / WALLU, Mr Ousmane SONKO y a été sans détour en s’adressant à ceux qu’il considère, à raison pour certains il faut le reconnaitre, comme étant les principaux pyromanes de la république, en commençant par le Président Macky Sall et sa famille, les 7 juges du Conseil Constitutionnel, le Ministre de l’Intérieur, la Direction Générale des Elections, les fonctionnaires de l’Administration Territoriale, l’Union des Magistrats du Sénégal, certains procureurs tels que Bassirou Gueye, les membres de Benno Bokk Yakaar, le Général et Commandant de la Gendarmerie, le Directeur Général de la Police Nationale, les dirigeants des corps de contrôle.
Ousmane Sonko a promis fermement à chacun d’eux qu’ils rendront compte demain quand les sénégalais offriront à sa coalition la majorité à l’Assemblée Nationale, et lui ouvriront par la suite les portes du palais.
Il a promis que dès après les législatives de Juillet 2022, une fois l’Assemblée National dominée par sa coalition, celle-ci fouillera plusieurs dossiers à travers des commissions d’enquête parlementaires.
Il a promis aux 7 juges constitutionnels qu’ils rendront compte de leurs forfaitures répétées pour plaire au Président Macky Sall.
Il a promis aux bras armés du Président Macky Sall la loi du talion jusqu’en 2024, et une reddition des comptes après 2024
Il a promis la prison aux pilleurs de la république dont les dossiers s’empilent dans les tiroirs des corps de contrôle, du procureur ou sous le coude du Président Macky Sall.
Il a promis de récupérer les milliards qui sont planqués dans les maisons des membres du clan du Président Macky Sall à l’image de celle de son griot qui se fait voler des milliards à domicile sans s’appauvrir le moins du monde.
Et last but not least, dopé par la foule immense et déterminée qui buvait chacune de ses paroles, il a promis très clairement la prison au Président Macky Sall.
La réponse du clan du Président Macky Sall n’a pas tardé, elle a également été sans détour, par la voix d’un de ses ahuris, le sieur Amath Suzanne Camara : « Il faut tuer Ousmane Sonko. Tant qu’il restera en vie, il n’y aura pas de paix au Sénégal ». Entendez par le mot PAIX, disposer comme on le souhaite des richesses du Sénégal, s’enrichir chaque jour davantage, bénéficier d’une impunité totale, s’acheter des maisons et des voitures où on veut, faire emprisonner qui l’on veut.
Face à la montée en puissance quotidienne de Ousmane Sonko, face au risque de soulèvement si on l’emprisonne, face à la difficulté de l’écarter des joutes électorales, il ne reste plus qu’une solution, le tuer, le liquider purement et simplement.
Mais le tuer de quelle manière ? Abdoulaye Wade avait déjà soufflé la réponse à Ousmane Sonko en Mai 2018, lui disant ceci : « Fais très attention à ta sécurité. Les gens du pouvoir pourraient même tenter de t’empoisonner ». Et nous savons que Abdoulaye Wade sait de quoi il parle en tant qu’ancien chef d’état, qui sait de quoi sont capables des tenants du pouvoir et de l’argent qui vivent dans la bamboula.
Amath Suzanne Camara ne risque absolument rien avec cet appel public au meurtre, et surement pas de la part de ceux cités par Ousmane Sonko comme devant rendre des comptes demain. D’ailleurs selon la logique du Président Macky Sall, ce trublion de Amath Suzanne Camara devrait gagner quelques galons, comme en avait gagné le député Dembourou Sow qui avait appelé à décapiter à la machette les opposants au 3ème mandat, ou encore Gaston Mbengue qui avait appelé à bruler les Dias du Sénégal.
C’est donc à la population sénégalaise d’apporter sa protection au seul et unique opposant politique bien parti pour assurer l’alternance démocratique en 2024. Empoisonnement, accident mortel, agression mortelle, tout semble désormais possible avec cet appel ouvert à l’assassinat de Ousmane Sonko. Les chasseurs de primes, les mercenaires sont certainement déjà à pied d’œuvre.
Boubacar SALL
E-mail : [email protected]
Louga, Thiès, Rufisque, Dakar et sa banlieue privées d’eau à partir de ce vendredi (Sen’Eau)
Dans une note de la Sen Eau, les populations de certaines zones seront privées d’eau pour 24 heures. La société informe les gens habitant dans les villes situées sur l’axe Louga, Thiès, Rufisque Dakar et sa Banlieue que des travaux de réparation d’une fuite entraineront des perturbations le vendredi 10 et samedi 11 sur la conduite ALG2.
Si le liquide coule dans la journée, « des perturbations seront notées dans ces villes le vendredi 10 juin à partir de 19 heures, jusqu’au 11 dans la soirée », informe le communiqué
La société assure que les mesures conservatoires seront prises pour distribuer de l’eau à travers les camions citernes dans les zones impactées.
« Arrêté », l’animateur Thiamass fait une vidéo, et rassure ses fans. Regardez :
Il a été dit ce vendredi matin que l’animateur Thiamass de Walfadjiri a été arrêté ce jeudi 09 juin puisqu’impliqué dans une affaire de vente illégale. Il a été placé en garde à vue, dans les locaux du commissariat de police de Guédiawaye selon le journal L’Observateur qui avait vendu la mèche.
Mais dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, l’animateur rassure ses fans et révèle qu’il est présentement chez lui non sans promettre d’y revenir le lundi matin à l’émission «Thiamass Show».
Regardez :
Macky Sall invité de BFMTV, ce vendredi : « Ce que Poutine m’a dit sur l’exportation du blé ukrainien »
Macky Sall était l’invité de BFMTV ce vendredi soir. Avec, entre autres sujets abordés, l’exportation du blé ukrainien.
Le Président du Sénégal et président de l’Union africaine, a demandé à Vladimir Poutine de « faciliter l’exportation du blé ukrainien à partir du port d’Odessa ».
La raison principale, souligne Macky Sall qui s’exprimait sur BFMTV, est l’Afrique, qui n’accède plus au blé ukrainien, encore moins celui de la Russie pour approvisionner son marché, à cause effets des sanctions, est menacée de famine.
Ainsi, pour le Président sénégalais, « il était urgent pour ce qui concernait la Russie de ne pas perturber la libération du blé, à partir d’Odessa. Je pense que ça c’est déjà important ».
Maintenant pour s’assurer que c’est du blé qui sort, révèle-t-il, Emmanuel Macron déclare ce vendredi qu’il est disposé a faire intervenir la France pour assurer l’escorte des bateaux.
Et le président Sall de rassurer que « Poutine n’a pas demandé des contreparties, il a respecté nos initiatives. Il vend et nous achetons ».
Entre autres, le chef de l’Etat sénégalais a dit son empressement à mettre fin cette guerre, car le monde n’en a pas besoin en ce 21e siècle.
« Poutine a sa logique et sa compréhension , il a certainement sa raison (…) mais il faut faire arrêter la guerre », a-t-il ajouté.
« Dama tok rek, gnouné meu mouroul gno ngui lay takk » : Niatam Ba
La célèbre animatrice du Groupe futurs médias, Niatam Ba, n’est plus à présenter dans le milieu audiovisuel grâce à son talent.
Dans une interview accordée à nos confrères de Feeling Dakar, l’animatrice s’est prononcée sur sa carrière, sa relation avec Youssou Ndour, Boubacar Diallo, entre autres.
Pour terminer, l’animatrice à la noirceur d’ébène a dévoilé un petit secret sur son mariage.
Exclusif – Cheikh Mbacké Gadiaga Attaque Sonko Et Abdou Bara Doli Mbacke
Cheikh Mbacke Gadiaga PDG de CMG communication
La justice du Senegal doit absolument gérer le cas de Ousmane Sonko ainsi que Cheikh Abdou mbacke Bara Doli, il ne souhaite pas l’arrestation dudit monsieur et la relaxation pure et simple de Ousmane Sonko alors que celui ci a injurié la police, les magistrats et la gendarmerie.
On attends la réaction de l’état face à tout ceci.
Cheikh Abdou Bara Mbacke Doli doit être corrigé comme toute personne ayant commise une faute.
Il n’a pas plus de notoriété que Serigne Moustapha sy et pourtant il a été poursuivi en 1993 et a été emprisonné.
Cheikh Mbacke Gadiaga soutient le president de la république Macky Sall et est derrière lui.
je salue au passage l’engagement et le dévouement du procureur de la république face à tous ces évènements.
Encore il faut qu’on s’auto saisisse du cas de Ousmane sonko l’homme qu’on accuse d’homosexuel et surtout de violeur avec des actes pervers allant à l’encontre de mademoiselle Adji Sarr qui l’accuse d’avoir eu des relations sexuelles non consenties avec elle.
Cheikh Mbacke Gadiaga PDG CMG communication nous y reviendrons…
Le « dieul ndieul » de Marie Louise Diaw : Regardez l’ambiance chez les amoureux (vidéo)
Après le mariage très médiatisé de Marie Louise Diaw et Pape Abdou Cissé, l’ex mannequin nous montre une autre facette d’elle.
« Dieul ndieul » premier jour où la mariée cuisine pour sa belle-famille, est une coutume très respectée par la majorité des Sénégalais.
Marie Louise n’y a pas échappé et montre son ancrage traditionnel.
Urgent – Cheikh Abdou Bara Doly placé sous mandat de dépôt
Cheikh Abdou Bara Doly passera la nuit en prison. Il vient d’être inculpé et placé sous mandat de dépôt par le doyen des juges, renseigne Liberation Online. Le député est poursuivi pour offense au Chef de l’Etat, diffusion de fausses nouvelles et diffamation.
Université de Thiès : Des étudiants vandalisent le restaurant, le Directeur annonce une plainte (vidéo)
Des étudiants, mécontents de leur condition de vie au campus de l’Université de Thiès, ont saccagé, ce vendredi, le restaurent de l’Université. Une situation que déplore Cheikh Sall, Directeur du Centre régional des Œuvres universitaires et sociales (CROUS)
En conférence de presse ce vendredi, Cheikh Sall promet de traduire en justice les auteurs de ces actes de vandalisme.
Le Directeur du Crous a laissé entendre qu’il va saisir le procureur de la République ainsi que le Conseil de discipline de l’université de Thiès.
Regardez :
Arrestation de Bara Doly : Le ministre de la Justice assume pleinement
« Au cours d’un rassemblement autorisé, organisé le 8 juin 2022, à la place de la Nation, Monsieur Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly a tenu publiquement des propos outrageants à l’encontre du président de la République. (…) Conformément aux lois et règlements en vigueur dans notre pays, la chancellerie a donné des instructions au ministère public pour que l’auteur de tels faits soit poursuivi », a déclaré le ministère de la Justice dans un communiqué. Condamnant ces propos, Me Malick Sall assume pleinement avoir activé la machine judiciaire contre le député de l’opposition.
« Le ministère de la Justice condamne fermement ces déclarations d’une particulière gravité, puisque visant la personne incarnant la plus haute institution de la République », souligne la chancellerie dans son communiqué. Non sans rappeler que « les échéances électorales futures ne sauraient être le prétexte à des dérapages verbaux de nature à porter atteinte à l’honneur et à la considération des citoyens ou à jeter le discrédit sur les institutions ».
Déféré au parquet ce matin, le procureur de la République a saisi le doyen des juges d’instruction et requiert le mandat de dépôt.
Affaire Cheikh Abdou Bara Dolly : Une mauvaise nouvelle de derniére minute pour le député
Le député Cheikh Abdou Bara Dolly est à un pas de la prison. Pour cause, le procureur de la République a saisi le Doyen des juges d’instruction (DJI) pour dossier le concernant. Ce, avant de réclamer le mandat de dépôt, selon Libération online. Ainsi, le sort du parlementaire devra être scellé dans les heures à venir puisque le dernier mot revient au magistrat Oumar Maham Diallo.
C’est ce vendredi 10 juin que Cheikh Abdou Bara Dolly a été déféré au parquet par la Division spéciale de cybersécurité. Il est poursuivi pour offense au chef de l’État, prévue par l’article 80 de la Constitution, diffamation et diffusion de fausses nouvelles. Arrêté par la DSC, il est reproché au député d’avoir tenu des propos « indécents» mercredi dernier en direction du Président de la République Macky Sall lors du rassemblement organisé par la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) à la place de la Nation.
Survie de l’opposition sénégalaise : quand l’impératif de s’unir ne se théorise plus
La grande mobilisation de l’inter-coalition hier à la place de la Nation, ex obélisque est un message fort au régime du président Macky Sall, mais aussi à l’opposition sénégalaise, elle-même. Des centaines de milliers de personnes étaient rassemblées pour une même cause : « sauver la démocratie sénégalaise aux dérives d’un régime aux pratiques douteuses ». Sans couleurs de parti, mais brandissant le drapeau, si les slogans ne résonnaient pas, en cette jeunesse, nul ne pourrait devenir qui est qui. Résultat : L’impératif de s’unir ne se théorise plus, mais était hier à la pratique.
A l’analyse des messages adressés à la jeunesse sénégalaise, mais plus largement à tous les sénégalais soucieux de la survie de la démocratie du Sénégal et de sa stabilité, l’impératif de s’unir n’a plus besoin d’être rappelé, mais de se traduire en acte.
Dans cette marée humaine, venue répondre à l’appel de l’inter-coalition Yewwi -Wallu Sénégal, la présence des femmes de la Grande Coalition Gueum Sa bopp a été fortement remarquée. Interrogée par une de nos consœurs, leur porte-parole dans le sillage de leur leader Bougane Guèye a souligné que cette manifestation devrait être un message fort disant non aux dérives du régime de Macky Sall. Et leur présence en ce grand rassemblement de l’opposition est symbolique pour dire « halte au régime de Macky. Sa forfaiture ne passera pas ! »
Un message qui entre dans le sillage de celui de leur leader Bougane Guèye Dany, qui la veille face à la presse, avait souligné l’impératif, de « faire perdre la majorité à Benno au sein de l’hémicycle parlementaire et de la faire chuter largement pour qu’un troisième mandat n’ait jamais lieu.»
Et démontrant qu’il ne vise que l’intérêt du pays, il avait aussi magnifié l’initiative de Yewwi Askan Wi. « Le Sénégal a besoin de ça. Je n’ai pas de fixation pour le prochain président du Sénégal. »
De Khalifa Sall à Ousmane Sonko, en passant par Mamadou lamine Diallo et Cheikh Tidiane Dieye, partout le message est le même : « l’impératif est de s’unir pour dire non aux pratiques antidémocratiques, mais surtout à un troisième mandat ! ».
Aujourd’hui, l’autre défi de l’opposition est de taire les divergences pour éviter le demons de la division.
Pendo clashe les célèbres mariées : « Mariage you bari millions yi amoul lekk té sen bâches yi tangue na »
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URGENT. En larmes, Adji Sarr supplie Anna, la niarel de Sonko : « Xamgua ni limay wax ci Sonko deug… »
URGENT. En larmes, Adji Sarr supplie Anna, la niarel de Sonko : « Xamgua ni limay wax ci Sonko deug… »
« Sonko Yewwi ma » : Adji Sarr sévèrement lynchée sur la toile suite à sa vidéo (Photos)
Suite à la grande mobilisation, organisée par la coalition Yewwi Askan Wi, dirigée par Ousmane Sonko, la jeune masseuse Adji Sarr a fait une vidéo pour s’attaquer, de nouveau, au leader de Pastef.
Adji Sarr sait vraiment parler d’elle. Alors que les Sénégalais débattaient sur la question de la liste nationale de Yewwi, une vidéo la mettant en évidence a fait le tour des réseaux sociaux. Ce qui lui a valu des lynchages sur les réseaux sociaux.
Senenews vous propose quelques commentaires !
Carburant, denrées, loyer… : Ces hausses de prix qui asphyxient les ménages sénégalais
À l’instar du reste du monde, le Sénégal subit de plein fouet les conséquences économiques de la guerre entre deux pays d’Europe, l’un producteur de blé et l’autre d’énergie (pétrole, gaz) chez qui il se pourvoit généralement de ces différentes matières.
« La situation est très critique »
Selon Sud Quotidien, du nord au sud, notre pays est frappé par une inflation sans précédent. Cette situation, pour le moins inconfortable, s’est invitée dans le quotidien des Sénégalais, pris dans un tourbillon d’inquiétudes dont on ignore l’issue.
D’après un père de famille interrogé par le journal, «la situation est présentement très critique pour nous. On n’arrive plus à assurer à nos enfants les trois repas quotidiens. Nous sommes obligés de cuisiner une seule fois dans la journée et d’en garder pour le diner. Les temps sont durs, surtout pour nous les plus démunis. Quelques fois, faute d’argent, on consomme de la bouillie toute la semaine».
« Le chef de l’État doit savoir que… »
Quant à la hausse du carburant il se confie : «Je conduis actuellement un engin mais il m’est difficile de me pourvoir ne serait-ce que d’un litre d’essence alors qu’il m’en faut deux pour fonctionner. Si je n’ai pas de quoi manger, comment vais-je trouver de quoi alimenter ma moto ? Je n’arrive plus à joindre les deux bouts, même pour payer le loyer c’est devenu un vrai calvaire. Mon travail de marchand me dépourvoit de certains privilèges et ce que gagne par jour n’est pas à la hauteur de mes dépenses. Le président de la République, à qui nous avons remis toutes nos forces, fait preuve d’inertie totale dans ce sens. Sans doute parce que ses proches n’éprouvent pas ce par quoi nous passons. Il doit savoir que nous souffrons et bientôt nous allons mourir de faim, dans la rue» a-t-il lancé, très remonté.
«Les citoyens doivent être soutenus»
Son opinion «acerbe» envers les tenants du pouvoir est nettement partagée par certaines personnes trouvées dans les parages dont un fonctionnaire du nom de Pierre, résidant dans la commune de Biscuiterie.
Modestement vêtu, relevé de compte bancaire à la main, il évoque sa situation financière «scandaleuse» et déplore le fait que les augmentations de salaires ne se fassent que d’un seul bord.
«Nous ne sommes pas concernés par les augmentations de salaires que nous entendons par ci et par là. C’est réservé à un corps de métier, notamment les enseignants. Je suis un fonctionnaire endetté jusqu’au cou et obligé de changer de banque à chaque fois que celle-ci ne peut plus m’accorder du crédit. Mon salaire mensuel est en deçà des besoins de ma famille, lorsque je le perçois, il s’engloutit dans tout un tas de dépenses (achat de ravitaillement, frais de scolarité des enfants, factures d’eau, d’électricité et de téléphone etc.). Je parviens tant bien que mal à maitriser la situation pour le moment, mais aussi longtemps que le conflit perdure, je ne saurais dire ce qu’il adviendra de moi. Je n’ignore pas le fait que l’inflation est d’ordre mondial, mais que l’Etat prenne des mesures allant dans le sens de renforcer la bourse des citoyens, en augmentant les salaires pour ceux qui travaillent et en offrant des emplois à ceux qui n’en possèdent pas, ceci aidera à maintenir l’équilibre sociale», pense-t-il.
Quid du tarif des transports ?
Du point de vue des conducteurs, une possible hausse des tarifs du transport guette la population en raison de la flambée du coût du supercarburant qui passe de 775 à 890 FCFA.
Modou Thioune, chauffeur à la gare Beaux Maraîchers, de marteler : «Pour le moment, il n’y a pas encore d’augmentation des prix du transport, mais on tend vers. Car, si le coût du litre de gasoil continue de grimper, on sera tenu de faire payer plus les clients pour au moins faire un petit bénéfice le soir. Cela ne sert strictement à rien de travailler à perte, autant rendre les voitures et aller dormir comme tout le monde puisqu’on ne peut rien de cette situation. Moi, je suis chauffeur et à vrai dire, seul mon métier m’intéresse, le reste c’est à l’État de le gérer».
«Le gouvernement doit revoir les taxes»
Toutefois, le directeur exécutif et responsable de l’ONG islamique Jamra a tenu à apporter son analyse de la situation. Bamar Guèye s’en est pris à l’État et à la population pour mieux situer le problème.
«L’État doit faire preuve d’une réelle volonté politique pour amortir l’inquiétude des Sénégalais. Les dirigeants du pays doivent faire des sacrifices pour le bien-être de la communauté mais aussi, il est tout important pour les Sénégalais de comprendre la conjoncture actuelle et ne pas s’attendre à des miracles. On ne disconvient pas du fait que la responsabilité d’améliorer les conditions de vie incombe à l’État, et il ne doit pas faillir. À lui (l’État) de comprendre que la bourse des différentes franges de la société diffère, et baisser les prix des denrées de premières nécessités. Certes, l’incidence sera importante au niveau budgétaire, car cela pourrait induire à un endettement mais c’est un sacrifice qui en vaut la peine».
Consommer local, la panacée ?
Et de poursuivre en insistant sur le fait que les Sénégalais doivent apprendre à consommer ce qui est produit dans le pays. «C’est la forte consommation des produits d’ailleurs qui encourage notre gouvernement à importer plus, donc nous remettre à la consommation locale permettrait d’une part de réduire les importations et d’autre part de nous prémunir des chocs alimentaires de cette envergure», dit-il.
Avant de terminer : «Par rapport à la hausse du prix du carburant, disons-nous qu’elle est occasionnée par la même situation qui est responsable de l’inflation mondiale. Mais, c’est à l’État de revoir le système de taxation énergétique afin de ne pas causer plus de dommages aux Sénégalais. Ce ne sera pas chose facile, mais il le faut pour le bien-être de tous. Qu’il s’agisse des vendeurs de carburant ou des consommateurs».
(Vidéo): Mariage à millions : » Mbathio ak Soumboulou warou niouwone def li », selon Ndeye Gueye
Après plusieurs polémiques sur les mariages des célébrités, Ndeye Gueye brise le silence sur Feeling Dakar.
Dans l’émission « topou cas », la danseuse Ndeye Gueye tacle sévèrement les célébrités. Elle pointe du doigt Soumboulou et Mbathio qui ont publiquement divulgué leurs dotes . Elle ajoute que ces dernières ont influencé négativement les jeunes femmes.
Saliou Ciss, salaire, jeu des lions… : Les confidences de Aliou Cissé
Dans un entretien avec SourceA, Aliou CIssé, le sélectionneur des Lions raconte une anecdote sur le latéral gauche de l’équipe nationale. Saliou Ciss, pour ne pas le nommer, fut le joueur le plus critiqué de la Tanière.
« Un jour, je partais à Ziguinchor, je me suis arrêté à Kaolack pour mettre de l’essence, il y a deux ou trois jeunes qui sont venus me dire : « On ne veut plus de Saliou Ciss dans cette équipe. is
A propos des critiques sur le jeu des Lions, Cissé tempère : « pour moi, ce ne sont pas des critiques, mais des analyses, des points de vue différents. Il y a toujours des gens qui dans leur job vont analyser pour dire ce qui a marché et ce qui n’a pas fonctionné. »
Il révèle : « quand je prenais cette équipe, des joueurs sont venus me dire : si « je ne suis pas titulaire, ne m’appelez plus » .
Quid de la revalorisation de son salaire? Aliou Cissé souligne qu’il doit rencontrer ce jeudi (ndlr: hier) « certaines personnes ». « Mais sa situation n’est pas encore réglée. Rien n’a encore été signé », a-t-il signalé.
« Tout est en stand by, il faut prier pour moi afin que la situation se décante », implore-t-il.
Toutefois, il se dit patient. « Je sais que je suis avec des gens très patriotes et que cette situation se réglera le plus rapidement possible. »
Dioufy chante les éloges de Sadio Mané en public : « Xamoul kouko wakh lou bone ak lou bakh …Nieup lay deglou »
El Hadj Diouf et Sadio Mané étaient présents à l’after work organisé par Air Sénégal. Une belle soirée animée par Carlou D.
Sur scène, El Hadji Diouf a fait les éloges de Sadio Mané : « Même si on ne se voit pas, on se parle régulièrement au téléphone. Et, Sadio Mané écoute tout le monde, même ceux qui lui donnent des mauvais conseils… » .
Placé en garde à vue : Ce que risque Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly
Offense au chef de l’État, prévue par l’article 80 de la constitution, et diffusion de fausses nouvelles et diffamation. Tels sont les délits retenus, pour le moment, contre le député de l’opposition Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly, placé en garde à vue, ce jeudi, à la Division spéciale de cybersécurité (Dsc).
D’après le quotidien Libération, qui donne l’information, il est reproché au marabout et homme politique d’avoir tenu, lors du rassemblement de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW) de ce mercredi 8 juin des propos jugés malveillants à l’encontre du président de la République, Macky Sall.
«Wakhouma soufou dara, kou nek ak ninga ko dégué», avait-il répondu aux enquêteurs, en présence de son avocat, Me Abdou Dialy Kane. Il rassure également, selon Libération, qu’il ne parlait pas du président de la République, mais de l’homme politique et chef de la coalition Benno Book Yakaar (BBY).
Conseil constitutionnel : Le nom du (probable) successeur de Pape Oumar Sakho dévoilé
En fin de mandat au mois de juillet prochain, l’actuel président du Conseil constitutionnel, Pape Oumar Sakho, devrait être remplacé par l’ancien premier président de la Cour Suprême, Mamadou Badio Camara. C’est du moins ce qu’a fait savoir L’Observateur dans sa parution du jour.
Le journal indique que contrairement à ce qu’avait déclaré Ousmane Sonko, mardi dernier, en marge de la conférence de presse des leaders de Yewwi Askan Wi, soutenant que l’ancien procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, était pressenti à ce poste pour «valider la forfaiture de 2024», c’est plutôt M. Camara qui devrait atterrir à la tête de cette haute juridiction.
Même si, ajoute la même source, le nom du vice-président Saïdou Nourou Tall et celui du magistrat Youssou Diaw Mbodj sont également cités dans les coulisses.
Vidéo-Rejet des listes, tension électorale…Serigne Modou Matar SALL fait la leçon à l’opposition
Vidéo-Rejet des listes, tension électorale…Serigne Modou Matar SALL fait la leçon aux politiciens
Urgent-le député Abdou Bara Doly placé en garde à vue
Selon les informations de Libération online, le député Abdou Bara Dolly vient d’être placé en position de garde à vue. Il était entendu à la Dsc sur certains propos tenus hier en direction du Président lors du rassemblement organisé par Yaw.