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Edito – Nouveau gouvernement : Ce que le president de la république doit savoir!

Macky Sall
Macky Sall

Mr le Président !
Tout d’abord je vous félicite pour avoir su mettre en place l’équipe administrative adéquate en place pour nous ramener la coupe d’Afrique pour la première fois au Sénégal. Je vous félicite pour la manette à la Présidence de l’Union Africaine.
Mr le Président, le Sénégal a besoin d’un gouvernement jeune, actif et sur le terrain. La population a besoin d’un gouvernement qui sera ouvert à la population, que les départements administratifs de chaque ministère soit réactif aux besoins et demandes faits. La population a besoin d’un gouvernement qui jouera un rôle ressenti, visible mais surtout proche de sa population.

Les hommes d’affaires sénégalais aujourd’hui ramènent leurs partenaires vers d’autres pays voisins, ce que je trouve comme une humiliation. Alors que vous avez mis sur place un système d’accueil administratif très alléchant, vous avez facilité l’accès aux projets qui ont besoin d’un partenariat et accessible.

Le Sénégal est un pays convoité, un pays stable à la vue des étrangers. Malheureusement les portes sont fermées, quand on réussit à ouvrir une porte la réponse est unanime  » Oh c’est merveilleux, le Sénégal en a besoin, je vais en parler au Président… » Mais Jamais de suite. Vous ne pouvez pas tout faire, aucun Président ne peut tout faire mais il faut des hommes, femmes forts, dynamiques, qui maintiennent le même langage que vous pour le développement du pays.
Mr le Président ! Je parle au nom d’une bonne partie des sénégalais qui partageront ce message. Le Sénégal n’a pas une autre solution que vous à la tête du pays.

Car on a vu la qualité, la forme de politique proposée de l’autre côté. Je suis loin de la scène politique, mes affaires me suffisent largement et à ma famille. Pour le bien-être de mes enfants, je reste convaincu que vous êtes le seul présent. Il vous manque cet entourage ambitieux et l’ambition se trouve entre les mains de la jeunesse partout dans le monde.

Signé
Lébou gui Ndiaye

Présidence de l’Assemblée : Amadou Ba brise le silence

Assemblée : Amadou Ba
Assemblée : Amadou Ba

Interpellé sur la désignation de Amadou Mame Diop comme candidat de BBY au perchoir, Amadou Ba a soutenu qu’il n’est pas en mesure de confirmer cette information. « Il faut rendre grâce d’être présent et prier que tout se passe bien. Pour le moment, je ne peux rien confirmer. Attendons le vote », a soutenu le parlementaire Amadou Ba.

(Vidéo) Après une chaude Bagarre: Gouy Marius prend la parole et explique « Ce qui s’est réellement passé»

Guy Marius
Guy Marius

AL Khayri : Le journaliste Cherif Diop de la Tfm s’est mariée. Découvrez l’heureuse élue

Cherif Diop n’est plus un cœur à prendre. Le journaliste de la Tfm s’est marié devant Dieu et les hommes.

Cherif Diop a épousé la fille du Grand Serigne de Dakar. La nouvelle mariée se nomme Salama Diop.

Admirez l’image de la cérémonie .

Dernière minute : YAW a fait son choix pour la présidence de l’Assemblée nationale

Après la coalition Benno Bokk Yakaar, Yewwi Askan Wi (YAW) a enfin fait son choix pour la candidature pour le poste de président de l’Assemblée nationale. Les membres de cette coalition de l’opposition ont opté pour l’actuel maire de Dakar, Barthélémy Dias.

URGENT – Assemblée nationale : B@garre entre députés Benno et Yewwi « Cheikh barra Dolly modon »

URGENT – Assemblée nationale : B@garre entre députés Benno et Yewwi « Cheikh barra Dolly modon »

🔴Cheikh Bara Doly tire sur Ameth Aidara « Yéwi menoul am niar candidat; sou beugué buzz na dem…  » (vidéo)

🔴Cheikh Bara Doly tire sur Amet Aidara « Yéwi menoul am niar candidat; sou beugué buzz na dem…  » (vidéo)

Présidence de l’Assemblée : Ce qui a perdu Mimi Touré…

Le scénario était écrit d’avance : Aminata Touré devait être la première femme à occuper le poste de Présidente de l’Assemblée nationale.

Mais dans les rangs de la majorité présidentielle, certains de ses collègues députés ne l’entendaient de cette oreille. 26 d’entre eux se sont opposés à la candidature de l’ancienne Première ministre, selon nos sources.

Face à cette forme de fronde anti Mimi, le Président de la République a dû être obligé de resserrer les troupes et d’opter pour un candidat de consensus.

Il a donc privilégié un élu local à succès tel que le Dr Amadou Mame Diop pour éviter un nouveau camouflet en mondovision.

SENEWEB

(Vidéo) Incroyable mais vrai ! – La chanteuse Guigui s’est rasée la tête… la cause va vous faire pleurer

Guigui s’est toujours donnée corps et âme pour lutter contre le cancer. Pour preuve, elle organise chaque année une journée de dépistage pour la population de son quartier.

Depuis France, la chanteuse a adressé un important message aux autorités sanitaires et aux bonnes volontés pour un téléthon afin d’aider Lisca dans sa démarche de soutenir les malades du cancer.

Regardez !

Dernière minute : Le choix de Macky Sall pour la présidence de l’Assemblée est connu (photo)

Alors que Ahmed Aidara et Barthélémy Dias ont tous les deux déclarés leur candidatures pour le poste de président de l’Assemblée nationale, la coalition Benno Bokk Yakaar vient de choisir son candidat. Il s’agit de Amadou Mame Diop.

D’après plusieurs sources confondantes de SeneNews, Amadou Mame Diop, maire de Richard Toll et directeur de la SAPCO, a été choisi par Macky Sall pour poste de président de l’Assemblée nationale.

Le vote aura lieu ce lundi à l’hémicycle.

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Macky aurait choisi le président de son groupe parlementaire

Qui sera le prochain président du Groupe parlementaire de Benno. Selon des sources de Les Echos, il s’agit de Me Oumar Youm. Même si le journal n’est pas catégorique, Youm aurait le profil de l’emploi.

Quid de la présidence de l’Assemblée nationale ? Macky Sall aurait choisi Amadou Mame Diop. Ce dernier est le maire de Richard Toll et directeur de la SAPCO.

C’est dire que le chef de l’Etat a carrément zappé Aminata Touré pour la présidence de l’Hémicycle. Mimi Touré fut la tête de liste de BBY lors des dernières législatives du 31 juillet.

Le Sénégal lève encore 46 milliards sur le marché financier de l’UMOA

Le Sénégal multiplie les levées de fonds sur le marché financier de l’Umoa.

L’Etat du Sénégal a levé ce vendredi 9 septembre 2022 sur le marché financier de l’Union monétaire ouest africaine (UMOA) un montant de 45,618 milliards de FCFA (68,427 millions de dollars) au terme de son émission simultanée de bons de soutien et de résilience (BSR) de maturité 364 jours et d’obligations de relance (ODR) du trésor, organisée en partenariat avec UMOA-Titres basée à Dakar.

Selon UMOA-Titres, la présente émission de BSR et d’ODR vise à permettre à l’émetteur de mobiliser l’épargne des personnes physiques et morales en vue d’assurer la couverture des besoins de financement du budget de l’État du Sénégal

L’opération qui s’est déroulée le 9 septembre a consisté à une double émission de bons de soutien et de résilience et obligations de relance du trésor de maturité respective de 1 an et 7 an.

Dans le détail, le BSRT a retenu 38,38 milliards de FCFA, à des taux marginal et moyen pondérés respectifs de 3,5% et 3,3%, avec un taux de rendement moyen pondéré de 3,42%. L’ORT a quant à lui retenu 7,23 milliards FCFA, à des prix marginal et moyen pondérés respectifs de 9800 FCFA et 9886 FCFA, avec un rendement moyen pondéré qui s’est établi à 5,85%.

Assemblée nationale: Ça chauffe déjà, Cheikh Abdou Mbacké ‘Bara Doly’ créé une polémique

Assemblée nationale: Ça chauffe déjà, Cheikh Abdou Mbacké ‘Bara Doly’ créé une polémique

Annoncée morte sur une vidéo, Kiné Lame sort du silence (vidéo)

Ce week-end, le décès de la chanteuse Kiné Lame a été annoncée sur une vidéo rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux Mais il n’en est rien : la Diva est belle et bien en vie.

Contactée par certains de ses proches qui l’ont mis au courant de l’existence de cette vidéo, Kiné Lame a décidé de réagir depuis Touba en publiant une vidéo pour rassurer tout le monde.

« Je suis dans la ville sainte de Cheikh Ahmadou Bamba, je vais bien et je ne suis pas malade non plus. Je laisse tout entre les mains Dieu. Pour cette personne qui annonce ma mort, qu’elle sache que Dieu est là », dit-elle.

Assemblée nationale : séance inaugurale, ce qui va se passer du début à la fin

Les députés de la 14e législature de l’Assemblée nationale seront installés ce lundi. La séance s’ouvre à 10 heures, d’après L’Observateur, qui a recueilli l’éclairage de Moustapha Diakhaté, ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, sur toute la procédure.

La session démarre avec l’installation du bureau provisoire, qui va diriger la session jusqu’à l’élection du nouveau titulaire du perchoir. Le doyen d’âge en prendra la présidence. Il s’agit, pour la 14e législature de Aminata Dia de Benno, 78 ans, membre de l’Alliance des forces de progrès et ancienne membre du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT).

Elle sera assistée de deux secrétaires. La charge revient aux deux benjamins des députés : Sokhna Ba de Yewwi et Serigne Abo Mbacké Thiam de Wallu, tous les deux nés en 1990.

Après son installation, le trio lance l’élection du président de l’Assemblée nationale. La procédure se déroule sans débat sauf pour des questions de procédure relatives au scrutin en cours.

La première mission du bureau provisoire est de procéder à l’appel nominal des 165 députés, histoire de voir si le quorum pour l’ouverture de la session est atteint. Celui-ci est fixé à 83 députés (la moitié des parlementaires + 1).

Ensuite, on passe au dépôt des candidatures pour la présidence de l’Assemblée nationale. Trois ou quatre huissiers font le tour des sièges pour remettre à chaque député une enveloppe contenant les nombre de bulletins correspondant au nombre de candidats ainsi qu’un bulletin blanc.

S’ensuit le vote. Les députés sont appelés un à un. A la fin du scrutin, qui est secret, on compte le nombre de votants avant de passer au dépouillement. Si un candidat n’obtient pas la majorité absolue (83 députés) au premier tour, un second tour est organisé à l’issue duquel celui qui aura le plus de voix, quel que soit le nombre, est élu.

Ainsi prendra fin la mission du bureau provisoire. Lequel, avant de se retirer, installe le nouveau président de l’Assemblée nationale, qui va présider la suite de la séance.

Ce dernier va superviser l’élection (scrutin de liste) des autres membres du bureau : huit vice-présidents, six secrétaires élus et deux questeurs. Auparavant, au plus tard une heure avant l’ouverture de la séance, les mandataires des groupes déposent à bureau de l’Assemblée nationale les listes de candidats pour les différents postes.

Si aucune contestation n’est relevée, le scrutin est lancé. Dans le cas contraire, la séance est suspendue une heure avant de reprendre. Ce qui ne s’est jamais produit au Sénégal, d’après Moustapha Diakhaté.

L’installation du bureau de l’Assemblée nationale sera le point final de la session inaugurale de la 14e législature, issue des législatives du 31 juillet dernier.

Rentrée parlementaire : les 5 choses inédites à savoir sur la 14ème législature

Exit, la 13ème législature ! L’Assemblée nationale fait sa rentrée parlementaire ce lundi 12 septembre 2022. En prélude de ce grand rendez-vous politique, pas seulement parlementaire, les différentes formations politiques peaufinent leurs stratégies pour le contrôle de l’hémicycle. Voilà les 5 choses que vous devez savoir sur la législature entrante, du choix de sa présidence, à sa durée de vie qui ne dépassera pas véritablement 2024.

1. Le choix du président de l’Assemblée : une affaire pas gagnée d’avance

Du fait de l’écart presque inexistant entre le pouvoir et l’inter-coalition de l’opposition au sortir du dernier scrutin législatif, la course pour le perchoir est plus ouverte que jamais. Pour la première fois dans l’histoire parlementaire du Sénégal, personne, y compris le président de la République, n’a  le don de prédire la personne qui sera portée à ce poste, ni de quel parti politique elle sera issue. Même si des noms sont avancés ça et là, comme candidats à la tête de la deuxième institution du pays, l’élection de cette personnalité suscite beaucoup d’intérêt et ouvre la voie à toutes les possibilités. Cela d’autant plus que le vote devrait être secret et la plus petite frustration peut faire pencher le rapport de force.

2. Une majorité relative et inconfortable

Sauf quand les pions se seront replacés au gré des intérêts personnels, la majorité parlementaire ne sera pas d’un certain confort comme à l’accoutumée. Finie cette majorité dite moutonnière ou mécanique, qui pouvait faire dormir les tenants du pouvoir sous leurs lauriers. Désormais, le jeu du vote des lois obéit à des paramètres plus compliqués qu’avant. Même si le pouvoir obtient la majorité, avec le ralliement du député Pape Diop, ancien président de l’Assemblée nationale sous Wade, rien n’est jamais gagné d’avance. Il suffirait d’une seule défection pour que la majorité devienne minoritaire. Parallèlement, l’opposition pourrait se voir distancer sur ce plan, si Macky Sall et compagnie arrivaient à débaucher quelques députés.

3. Une plus grande présence dans les sessions

Les législatures précédentes ont été réputées pour le grand taux d’absentéisme qui les caractérisait lors de certaines sessions. Fort de leur majorité absolue certains députés du pouvoir ne se fatigaient pas à toujours être présents, de la même manière que certains opposants. De toute façon, leur présence équivalait leur absence puisque cela ne changeait aucunement l’issue des débats. Cependant, pour cette 14éme législature, la présence de tous est devenue un « must » parce que les deux camps sont quasiment d’égale force. Et toute absence entraîne des conséquences non négligeables. Considèrant cette configuration, on peut présumer que tous les députés vont mériter leurs salaires puisqu’ils ne brilleront plus par leur absence.

4. Moins de levée d’immunité parlementaire et plus d’enquêtes

La législature précédente s’est montrée championne en matière de levée d’immunité parlementaire. A part pour Mamadou Sall et Boubacar Biaye (trempés dans un trafic de passeports diplomatiques) ou Seydina Fall Boughazelli (épinglé pour trafic de faux billets ), la levée d’immunité a été votée pour livrer des députés de l’opposition à la justice, dans ce qui semble être des opérations de liquidation. Khalifa Sall et Ousmane Sonko ont été concernés, le premier ayant eu moins de chance que le second quant à l’issue des procédures les concernant.

Parallèlement, la majorité parlementaire a toujours pris du temps pour ouvrir des enquêtes parlementaires sur des questions d’une importance capitale. L’opposition avait beau insister pour que l’assemblée nationale se saisisse de certains dossiers, rares ont été les fois où le pouvoir a commandité des enquêtes. Du fait de sa forte présence, l’opposition a aujourd’hui les moyens de tirer au clair beaucoup de dossiers qui semblent nébuleux, tels que celui de la gestion des inondations au Sénégal.

5. Un quinquennat qui risque de ne pas arriver en terme

La dissolution de cette Assemblée nationale ne fait pas l’ombre de doute si toutes les conditions sont réunies. En vérité, la configuration actuelle de l’hémicycle pourrait gêner la bonne exécution des politiques décidées par le pouvoir exécutif. Dès lors, le pouvoir qui sera en place en 2024 va se défaire de cette législature, comme le président Wade l’avait fait en 2002. Que le prochain président soit issu de l’opposition ou du pouvoir n’y changera pas grand-chose, il aura forcément besoin d’une majorité confortable pour diriger le pays.

Alioune Tine rappelle Barthélémy Dias à l’ordre : « On a déjà vu le cas Pape Diop… »

Alioune Tine était l’invité de l’émission Opinion sur Walf Tv. Le fondateur du think tank Afrikajom Center est revenu sur la question du cumul des mandats. C’est à bannir, dit-il catégorique.

« J’ai toujours eu des problèmes avec Pape Diop parce qu’il était en même temps maire de Dakar et président de l’Assemblée nationale c’est incompatible ». Cette position d’Alioune Tine n’a pas évolué alors que le maire de Dakar, Barthélémy Dias s’apprête à briguer la présidence de l’Assemblée Nationale

« Ma position n’a pas évolué. J’attends de l’opposition qu’elle respecte ses promesses de rejeter le cumul des mandats ». A l’en croire, si l’opposition fait des promesses qu’elle ne respecte pas, on risque d’avoir “un décrochage de la population par rapport à la politique”».

« Il faut qu’on fasse extrêmement attention sur les fausses promesses et les résolutions qu’on ne respecte pas. La parole donnée vaut de l’or, on ne peut pas reprocher une chose à Macky Sall et venir le reproduire. Nous devons être exigeants vis-à-vis des politiques, c’est comme ça que nous pouvons les aider », souligne-t-il.*

Avant de conclure : « Les décrochages aboutissent aux coups d’État militaire, l’autoritarisme parce qu’au niveau de la gouvernance en dépit des alternances, il n’y a aucune alternative. C’est pourquoi dans certains pays, on soutient des dictateurs ».

Dernière minute- Un ancien DG de Macky rejoint Pastef de Ousmane Sonko

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Lansana Gagny Sakho a été reçu par Ousmane Sonko. L’ancien DG de l’ONAS et nouveau membre de Pastef en a fait l’annonce sur sa page Facebook.
 » Très honoré d’avoir été reçu ce matin par le Président Ousmane Sonko. Demain se prépare today. Rester focus sur l’essentiel… » , a-t-il posté.

Selon l’ancien DG de l’ONAS,  » ce pays regorge de jeunes talentueux. Ce qui fait défaut reste un leadership transformationnel capable de transformer cet essai »

Cumul de mandat : La leçon de Guy Marius Sagna à Barthélémy Dias, Ahmed Aïdara et Cie…

Guy Marius Sagna
Guy Marius Sagna

Guy Marius Sagna invite l’inter-coalition Yewwi-Wallu à ne pas promouvoir le cumul de mandats à l’Assemblée nationale. Dans un post rendu public, le nouveau député rappelle les enseignements de Thierno Souleymane Ball…

Les seules et mêmes personnes…

« Il y a 250 ans, Thierno Souleymane Baal conseillait de ne jamais choisir au sein d’une ‘seule et même tribu’. Et pourtant au Sénégal, 250 ans après, on continue de choisir les seules et mêmes personnes pour être à la fois députés et maires et avoir des postes à l’assemblée nationale du Sénégal. Et pourtant, ces individus ne sont pas les seuls à être savants, travailleurs et à en avoir l’aptitude. Voilà pourquoi je ne peux pas défendre le cumul de mandat », a expliqué Guy Marius Sagna.

Poser des actes progressistes…

 Le peuple sénégalais a réduit la présence des députés du président Macky Sall à l’Assemblée nationale de 40 députés car son espoir s’est placé en d’autres personnes, partis et coalitions« , affirme le nouveau parlementaire. Raison pour laquelle il estime qu’« il faut renforcer cet espoir en posant des actes progressistes afin que le peuple sénégalais continue sans regret ni déception, avec courage et détermination sa marche résolue vers son émancipation, vers la libération du Sénégal en 2024. »

Invite…

Le nouveau député invite l’inter-coalition Yewwi-Wallu, « en qui le peuple place son espoir à ne pas promouvoir le cumul de mandats à l’assemblée nationale. À promouvoir à l’Assemblée nationale des actes politiques qui renforcent l’espoir du peuple. Réconcilier davantage encore les Sénégalais avec la politique est à ce prix c’est à dire mettre de l’éthique sur l’étiquette politique. »

SENEGO

Air Sénégal : Nouvelle déconvenue pour la compagnie aérienne en France

Les jours passent et la situation du transporteur Air Sénégal va de mal en pis. L’on nous apprend ce dimanche que le deuxième Airbus A319 (6V-AM) assurant le triangulaire HC427 (Dakar-Marseille-Lyon-Dakar), après son premier arrêt à Marseille, n’a pas pu assurer la continuité sur Lyon. Le vol accusait déjà un retard de presque deux heures au départ de Diass.

Une information confirmée par la compagnie via un communiqué publié sur son site : « En raison d’une contrainte opérationnelle, les vols Marseille-Lyon et Lyon-Dakar HC427 n’ont pu être effectués selon le programme habituel. »

Pour pallier ce désagrément,Air Sénégal a décidé d’affréter un bus pour acheminer, depuis Marseille, les passagers dont la destination finale est Lyon.

Et comme un malheur n’arrive jamais seul, le véhicule mis à disposition, aurait pris feu sur l’autoroute. Toutefois, on nous indique qu’aucun blessé n’est signalé mais des bagages auraient été détruits.

« La compagnie prévoit un réacheminement sur Dakar, conformément à la législation en vigueur, sous 24H00 », a assuré la compagnie.

Sur la flotte de la série A320 que compte HC, au nombre de 4 : 2 A319 / 6V-AMA et 6V-AMB, seul un reste opérationnel le 6V-AMA qui pour l’heure est toujours immobilisé sur le tarmac de l’aéroport de Marseille. Le deuxième A319 / 6V-AMB quant à lui, après l’incident sur Barcelone, est toujours immobilisé depuis en Catalogne.

Pour les deux A321 6-AMC et 6V-AMD, seul le premier est opérationnel et l’autre immobilisé depuis des mois, suite à des pannes répétitives.

Visite pré-magal: Télescopage entre Aïssata Tall et Bougane Guéye devant Cheikh Bass

A quelques jours du grand Magal, c’est la ruée vers Touba pour les hommes politiques. Ainsi il y’a un télescopage devant Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadr entre Bougane Guéye Dany et Aïssata Tall.
En effet, la ministre des affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur et le Président du mouvement geum sa bopp se sont rencontrés ce dimanche devant le porte-parole de Serigne Mountakha.
Reçue en premier lieu, l’ex-mairesse de Podor a sollicité des prières pour le président Macky Sall, pour le gouvernement et pour la nation. Également, Madame Aïssata Tall n’a pas manqué de saluer son frère Bougane Guéye, dit-elle , au cours de son speech.
Prenant la Parole, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr s’est réjoui de la visite simultanée de ses deux hôtes.

Magal Touba 2022 : L’arrivée des bœufs de Serigne Saliou Thioune

Magal Touba 2022 : L’arrivée des bœufs de Serigne Saliou Thioune

Assemblée nationale : Barthelemy Dias officialise sa candidature pour la présidence

Le député-maire de la ville de Dakar, Barthelemy Dias a officialisé, dimanche, sa candidature pour la présidence de la 14e législature dont l’installation est prévue ce lundi 12 septembre.

C’est dire que l’Opposition réunie au sein de la coalition Yewwi Askan Wi partira aux élections pour la présidence de l’Assemblée nationale avec deux candidats. C’est en tout cas, ce qui ressort de la déclaration de Barthelemy Dias qui invite ses collègues de l’Opposition et de la mouvance à soutenir sa candidature pour le perchoir.

Une coalition, deux candidats

Son collègue, maire de la ville de Guédiawaye, a aussi officialisé sa candidature la veille, samedi. Ahmed Aïdara qui, dans un communiqué, a précisé, avoir faire part de la sa volonté à la conférence des leaders le 30 août 2022.

Une inter-coalition, trois candidats

Cette floraison de candidats dans l’Opposition intervient au lendemain des élections législatives à la surprise générale. La surprise est d’autant plus grande, que c’est le « Pape du Sopi » qui a déclenché la fait. Me Abdoulaye Wade qui a très tôt porté son choix sur Mamadou Lamine Thiam pour diriger le perchoir. Toute chose qui laisser croire que l’inter-coalition Yewwi – Wallu ne parlait plus le même langage.#Assemblée #Nationale 

Rentrée parlementaire : Barth va s’exprimer

Le maire de Dakar, élu sur la liste Yewwi Askan Wi lors des législatives du 31 juillet, va s’adresser à l’opinion nationale et internationale d’un moment à l’autre.

Barthélemy Dias devrait notamment évoquer l’ambition qu’on lui prête de briguer la présidence de l’assemblée nationale. Pour rappel, Ahmed Aidara, autre ténor de YAW, s’est officiellement lancé dans la bataille hier.

C’est demain lundi 12 septembres que là nouvelle législature sera installée.

(Vidéo): Aziz Ndiaye en route pour le grand Magal de Touba

A deux doigts du grand Magal de Touba, le promoteur Aziz Ndiaye prend son départ ce dimanche. De confrérie tidiane, il ne rate pourtant pas le Magal. Habillé en blanc, Aziz Ndiaye est prêt pour faire son ziar.

Illa Touba!!!

Babacar Gaye dévoile la stratégie de Ousmane Sonko : « Ce qu’il est en train de faire »

Ce dimanche, Babacar Gaye était l’invité du Grand Jury de la Rfm. L’ex cacique du Pds, membre fondateur du Parti des Libéraux et Démocratiques (Pld/And Suqali), il s’est exprimé sur les déclarations de candidature pour la future présidentielle.

« Quand je déclarais la candidature de Karim Wade, c’était pour lui donner une épaisseur politique afin que son procès puisse être reconsidéré. Parce que l’opinion publique nationale et internationale aurait retenu qu’on est en train de juger le candidat du principal parti de l’opposition », avance Babacar Gaye.

« Je pense, sans peut-être avoir raison, que Ousmane Sonko est en train de faire la même chose, utilise la même stratégie. Pour que demain, lorsqu‘il doit répondre au juge dans l’affaire Adji sarr, que l’opinion publique, les journalistes, disent tiens on est en train de trainer en Justice le principal challenger du président de la République. Je pense que c’est intéressant comme approche politique et c’est à son honneur d’user de ces subterfuges afin de pouvoir exister politiquement », termine-t-il

Décès Imam Ndao : Ses proches font des révélations et indexent son emprisonnement (Vidéo)

« C’est après son acquittement en 2018 que lmam Ndao a commencé à se plaindre de maladies récurrentes« , a déclaré la famille d’Alioune Badara Ndao. Ses enfants, disciples et autres proches ont pris la parole.

« A la prison de Saint-Louis, imam ressentait une mauvaise odeur, une forte chaleur qui était presque invivable. Pire, à Dakar, l’imam recevait des rayons laser dans sa cellule », ont-ils déclaré.

« Et c’est après son acquittement qu’il a commencé à tomber malade de façon récurrente, se plaignant tout le temps », ont-ils déclaré. Pour ses proches, des individus ont manigancé jusqu’à ôter la vie de l’Imam.

Ces proches d’Imam Ndao dénoncent également l’arrestation d’Abdou Karim Gueye et de Cheikh Oumar Diagne qui, en réalité, « n’ont fait que reprendre la position commune de la famille ».

Regardez :

Video – Iran Ndao sermonne« Djiguéne si kaw Lal mo Wara Sakhou Dieukeuram sinon… »

“Sén rewandé na yém Dakar…”, Mame Mor Mbaye très remonté contre Ousmane Sonko(Vidéo)

“Ndax dama soxor…”, Lamine Samba craque en plein direct et démasque Ndiaga Ndour(Vidéo)

PHOSPHATES DE NDENDORY : Cheikh Mbacké GADIAGA «Limoge» Le Ministre Oumar SARR

Cheikh Mbacké GADIAGA l’avait dit la semaine passée, dans une émission à DTV : La plupart des  ministres nommés par Macky SALL n’aident pas le président de la République et ne lui facilitent pas la tache. L’histoire semble lui donner raison. En effet, le président du mouvement politique Falat Macky 2024, Cheikh Mbacké GADIAGA, constate que depuis un certain temps, «quand le chef de l’Etat prend une décision par décret en faveur un homme d’affaires, le ministre se permet de prendre, de son côté, un arrêté pour contrecarrer la décision du Président». Il arrive très souvent que l’homme d’affaires concerné, victime de ces blocages, fasse un recours de la Justice. «Quand la Cour suprême tranche, elle fait savoir dans ses décisions que le décret est supérieur à l’arrêté ministériel».  

C’est exactement ce qui se passe avec la gestion des mines et des phosphates de Ndendory, à Matam. En effet, les services du ministre des Mines et de la Géologie, Oumar SARR, ont pris une décision qui vise à extraire 76 hectares de la concession minière de 661 Km2 pour les affecter à Kalidou WAGUE. Or, cette concession minière est détenue depuis le 8 juin 2011 par la SERPM-SA, la Société d’Etudes et de Réalisations des Phosphates de Matam qui exploite les phosphates dans le périmètre Ndiendouri-Ouali Diala.

Devant une telle situation, la société SERPM-SA de l’homme d’affaires Cheikh AMAR va initier deux recours au niveau de la Cour suprême. Introduit le 27 avril dernier, le premier vise l’annulation pure et simple de l’affectation de 76 ha à Oumar WAGUE. L’autre, introduit le 6 mai en référé, est pour obtenir la suspension de l’exécution de la décision contestée.

La SERPM-SA a gagné la bataille judiciaire pour la deuxième requête. En attendant de se prononcer au fond, la Cour suprême a ordonné la suspension de l’arrêté du ministre Oumar SARR pris le 3 mars dernier. Dans son arrêt rendu le 9 juin, la Cour suprême remet en cause la légalité de la décision du ministre et considère qu’elle porte préjudice «de manière suffisamment grave et immédiate à un intérêt public». Mieux, les hauts magistrats soulignent qu’«en l’état de l’instruction, les moyens soulevés par le ministère des Mines sont de nature à créer un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée».

Face à cette cuisante défaite, le ministère des Mines et de la Géologie est revenu à la charge pour essayer de contester la décision de la Cour suprême. C’est pour laisser entendre que la SERPM-SA ne dispose pas des autorisations légales pour exploiter la mine en question. Mais la réplique du collectif des avocats de la société de Cheikh AMAR n’a pas tardé. «Contrairement aux affirmations inexactes du ministère des Mines et de la Géologie, la SERPM dispose d’un décret du président de la République à savoir le décret n°2011-770 du 08 juin 2011, pour exploiter les phosphates de Matam. Cet acte administratif a une autorité supérieure à toute décision du Ministre et reste à ce jour en vigueur. La SERPM n’a nul besoin d’un quelconque arrêté, dès lors que la Cour suprême a jugé que le décret précité habilite la SERPM à intervenir sans qu’il soit besoin d’un arrêté», relève le communiqué des avocats de la SERPM-SA. Voilà les faits.

Ainsi le ministre Oumar SARR fait tout pour bloquer Cheikh AMAR. Pour Cheikh Mbacké GADIAGA, «un ministre de la République ne doit pas ignorer que le décret présidentiel est au dessus de l’arrêté ministériel. Méconnaître cela, c’est vraiment ignorer les règles de fonctionnement d’un État et cela est indigne d’un membre du gouvernement. Il faut que l’on en revienne aux fondamentaux de la République». De ce fait, Cheikh Mbacké GADIAGA interpelle le Président  Macky SALL d’arrêter les manœuvres du ministre Oumar SARR sur les mines et les  phosphate de Matam. «Cheikh AMAR est un vrai patriote qui aime et travaille pour son pays sans condition. C’est pourquoi Macky SALL a renouvelé en lui la confiance que Wade avait sur lui en le mettant à ses côtés pour travailler avec lui et lui confier certaines choses. Cheikh AMAR a investi des milliards FCFA au Sénégal et aux phosphates de Matam»

En conséquence, Cheikh Mbacké GADIAGA réclame le limogeage pur et simple du ministre Oumar SARR qui, selon lui, met en mal le Président Macky SALL avec les populations. «Je déplore les actes du ministre Oumar Sarr. Si Cheikh AMAR décide de retirer ses investissements au Sénégal, particulièrement aux phosphates de Matam, le pays allait beaucoup en souffrir.», conclut le président de falat Macky 2024.

SenegalInfo

Inna lillah wa inna ilayhi raaji’uun: Triste nouvelle, la communauté Tidiane en deuil

La Ummah Islamique et la communauté Tidiane sont en deuil avec le décès de Mamadou Mbengue. Le défunt était jusque-là imam ratib de la grande mosquée de Fatick.Plus connu sous le nom de Serigne Mbengue, ce fervent talibé de El Hadj Malick Sy a rendu l’âme suite à une longue maladie. L’enterrement est prévu ce dimanche 11 septembre à 17 h au cimetière de Peulgha.La rédaction de Sanslimitesn présente ses condoléances à toute la Ummah islamique, à la communauté Tidiane, à la famille éplorée et prie pour le repos de son âme.

Vidéo – Démission de la TFM ? Lamine Samba continue les révélations…

En route vers 18 safar : Sokhna Aida Diallo fin prêt pour accueillir ses talibés (Photos)

En route vers 18 safar : Sokhna Aida Diallo fin prêt pour accueillir ses talibés (Photos)

Prix du riz : Mauvaise nouvelles pour les ménages au Sénégal !

Depuis hier vendredi, l’Inde a imposé une taxe de 20% sur le prix à l’exportation de son riz. Un cauchemar pour les pays importateurs de riz. Au Sénégal, le Directeur du commerce intérieur annoncé la couleur.«Dans tous les cas, nous Sénégal, ça va nous impacter. Cela suppose que notre riz, si nous voulons l’acheter en Inde, nous reviendra 20% plus cher», a indiqué Omar Diallo, Directeur du Commerce Intérieur (Dci).

Et pour savoir pourquoi les ménages sénégalais ont du souci à se faire, il faut comprendre que nous consommons 90 000 tonnes de riz importé au Sénégal. Et dans ce 90 000 tonnes, il y a pratiquement 80 000 tonnes de riz ordinaire. «Or, pratiquement 90 % de ce riz provient de l’Inde. C’est-à-dire le riz brisé indien que nous consommons», indique le Dci sur Rfm.

Et donc, en langage beaucoup plus clair, le cout de la presque totalité du riz que nous consommons au Sénégal risque de grimper encore. Une hausse que les commerçants ne feront que répercuter sur le consommateur final.Pour rappel, l’Inde est aujourd’hui le premier producteur de riz au monde. Le pays a imposé cette taxe alors que ses plantations de riz ont été affectées par un manque de précipitations dans certaines régions cette année.

Avec IGFM

Assemblée nationale – Abdoul Mbaye prévient l’opposition : « Attention, il ne faut surtout pas… »

Dans un tweet, le leader de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT) Abdoul Mbaye a demandé à l’Opposition de sortir d’une logique du plus fort et d’aller vers une stratégie du meilleur profil. Abdoul Mbaye estime que le Sénégal doit apprendre à choisir le meilleur au sein d’une offre plurielle.

« Attention aux erreurs de l’opposition! Sortons d’une logique du plus fort et allons vers une logique du meilleur profil. Le Sénégal doit apprendre à choisir le meilleur au sein d’une offre plurielle », a notamment tweeté l’opposant. Que ajoute que la politique ne doit pas faire exception.

A quelques jours de l’installation de la 14e législature, la polémique enfle sur le candidat de l’opposition pour la présidence de l’Assemblée nationale. Choix dans l’Opposition Si la coalition Wallu Sénégal a fini de choisi Mamadou Lamine Thiam pour le perchoir, du côté de l’inter-coalition, on se cherche encore : Ahmed Aidara manifesté sa volonté de présider l’hémicycle. Barthelemy Dias est également pressenti par d’aucuns.