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Aminata Touré passe à la vitesse supérieure : un autre acte qui l’éloigne de Macky Sall (Photo)

Aminata Touré
Aminata Touré

C’est peut-être le début de la fin d’un long compagnonnage. Entre Aminata Touré et Macky Sall, le torchon semble bien brûler. Après avoir boudé l’Assemblée nationale ce lundi lors de l’installation du nouveau bureau, la tête de liste de la coalition BBY Yaakaar vient à l’instant de changer ses photos de couverture et profil Facebook. Un autre acte, signe de discorde totale au sein de la coalition présidentielle.

Assemblée – Cheikh Bamba Dièye s’en prend aux députés : « Cette classe politique est… »

Affaire Sonko – Adji Sarr : La déclaration de Cheikh Bamba Dièye qui crée la controverse

L’ancien parlementaire Cheikh Bamba Dièye n’y est pas allé par quatre chemins pour fustiger l’attitude des nouveaux députés de l’Assemblée nationale qui sont convoqués, ce lundi, pour la première séance.

Le Leader du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (FSD/BJ) constate avec amertume : « Cette classe politique est une honte, elle est inutile, vindicative et dangereuse. Elle montre qu’elle n’est préoccupée que par le pouvoir et l’intérêt politicien ».

« Le pays, le citoyen, et nos urgences ne les intéressent absolument pas ». « LA HONTE SHAME ON YOU », écrit Cheikh Bamba Dieye.

L’annonce de l’ANACIM pour les prochaines 24heures

L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim) a rendu public les prévisions météo du soir de ce lundi 12 septembre 2022.

Des activités pluvio-orageuses intéresseront la petite Côte (Mbour Fatick) jusqu’à Dakar avec des possibles extensions jusqu’au Centre Sud (kaolack kaffrine).

Toutefois, sur le reste du territoire, le ciel sera passagèrement nuageux.

Dans l’après-midi du Mardi :

Un temps stable prévaudra sur une bonne partie du pays hormis la zone Sud (ziguinchor Cap skiring sedhiou) où des risques de pluies faibles sont attendus.

Pourquoi Mimi ne pouvait pas passer

Conférence virtuelle du NDI – 3e mandat : Aminata Touré met la pression à Macky Sall

En democratie, la plus grande légitimité est élective et elle commence toujours localement. Sur le plan des principes démocratiques, c’est impensable d’avoir une Présidente de l’Assemblée Nationale qui n’est pas majoritaire chez elle. C’est un principe et une jurisprudence démocratique.  Ce principe et cette jurisprudence a été appliquée au Président de l’Assemblée nationale Youssou Diagne quand il a perdu chez lui à Ngaparou. Cette jurisprudence a été aussi appliquée à Mimi Touré quand en tant que Premier Ministre, elle a été battue dans le quartier de Grand Yoff. C’était en effet impossible de garder un Premier Ministre, chef de la majorité alors qu’elle n’est pas majoritaire chez elle. En France, il y a eu aussi le cas Juppé obligé de démissionner de son poste de Ministre dans le gouvernement de Fillon après avoir perdu la mairie de Bordeaux. Elle savait qu’elle n’avait aucune chance d’être désignée.

Kawtef à l’assemblée : Voici Coumba Ndoffène Ndiaye le faux député arrêté(Vidéo)

C’est une situation insolite que nous venons de vivre à l’assemblée nationale. Il s’agit d’un individu, la soixantaine environ et répondant au nom de Coumba Ndoffène Ndiaye, qui vient d’être exclu de la salle. Il a été pris en flagrant délit parce qu’il se faisait passer pour un député de la coalition Yewwi Askan Wi. La gendarmerie est intervenue pour l’exfiltrer de la salle…

Nouveau président de l’Assemblée nationale : Les premiers mots de Amadou Mame Diop

Après avoir obtenu 83 voix sur les 84 votants, Amadou Mame Diop a été officiellement installé en tant que nouveau président de l’Assemblée nationale. Le maire de Richard Toll a promis d’être « le président de l’ensemble des députés ». Il s’est engagé à travailler à avoir une « Assemblée constructive » afin de satisfaire l’attente des populations. 
Conformément à l’article 14 alinéa 2, Amadou Mame Diop a suspendu la séance afin de permettre aux groupes de se réunir afin de procéder à l’élection du bureau parlementaire. 

Pape Djibril Fall explique enfin : « Pourquoi j’ai boycotté le vote »

Pape Djibril Fall
Pape Djibril Fall

A l’image des députés de la coalition Yewwi Askan wi (Yaw) qui ont boycotté le vote, le leader de la coalition Les Serviteurs Pape Djibril Fall, par ailleurs député nouvellement élu, est sorti du silence.

Le journaliste a expliqué les raisons qui l’ont poussé à boycotter le vote. S’il n’a pas voté, c’est parce que, dit-il, les « Conditions ne sont pas réunies ».

La tête de liste de la coalition Les Serviteurs a déploré l’attitude des députés de la 14ème législature. A noter que beaucoup de députés one également boycotté le vote. Il s’agit de ceux de la coalition Yewwi Askan Wi.

A signaler qu’Aliou Doumbourou Sow a lui-aussi voté.

Vidéo-Les moments chauds de la b@g@re à l’assemblée, un député coincé, les gendarmes …

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Vidéo-Ousmane SONKO attaqué, Un député arrache le micro et insulte « Sa Baye Moyy…

Ousmane SONKO attaqué, Un député arrache le micro et insulte « Sa Baye Moyy…

L’incroyable vote de Guy Marius Sagna, Il se fait tabasser et rouler dessus par les gendarmes(Vidéo)

L’incroyable vote de Guy Marius Sagna, Il se fait tabasser et rouler dessus par les gendarmes(Vidéo)

Video – Coopérative d’Habitat«SAMA KEUR LONASE»: 66 agents reçoivent leurs attestations de parcelles

Présidence à l’Assemblée nationale : Pape Djibril Fall, Doumbourou Sow…, voici les députés qui ont boycotté le vote

Les députés de la 14ème législature ont fini de voter pour le poste de Président de l’Assemblée nationale devant succédé Moustapha Niasse en attendant la proclamation des résultats.

Un désordre a cependant été noté avant les votes. Il a fallu l’intervention des éléments de la Gendarmerie pour que les choses reviennent à l’ordre.

Ainsi, plusieurs députés, notamment ceux de l’opposition n’ont pas voté. C’est le cas des parlementaires de la coalition Yewwi Askan Wi, de la tête de liste de la coalition Les Serviteurs et même des députés Aliou de Benno Bokk Yaakaar, à Dembourou Sow. Mimi Touré, quant à elle, a voté par procuration.

La députée Mame Diarra Fam n’a également pas voté. « Je ne voterai pas devant des gendarmes », a-t-elle fait savoir.

Nécrologie : Le mouvement Y’en a marre endeuillé (Photo)

Touba en deuil
Touba en deuil

Le célèbre mouvement Y’en a marre est endeuillé suite au rappel à Dieu de l’un de ses membres.

En effet, Omar Ngalla a tiré sa révérence, informe le coordonnateur Aliou Sané. Lé défunt était un « Yenamarriste de la première heure ayant fait partie des initiateurs de l’Esprit de Bargny. »

La rédaction de Sanslimitesn.com présente ses sincères condoléances à la famille éplorée et prie pour le repos éternel de son âme.

Présidence de l’Assemblée : Qui est Amadou Mame Diop?

Son nom a sans doute été retenu par la quasi-totalité des Sénégalais. Dr Amadou Mame Diop a été choisi comme candidat de la coalition présidentielle Benno Bokk Yaakaar pour le poste de Président de l’Assemblée nationale.

Né le 18 juillet 1965, le maire de Richard Toll a obtenu son Baccalauréat, série D en 1985. Avant de décrocher son Doctorat en Pharmacie à l’UCAD et son DESS en Répartition Pharmacie et Gestion.

Ainsi, il est pharmacien d’officine, propriétaire de pharmacie dans sa localité de Richard-Toll. L’homme en question a rejoint l’Alliance pour la république (APR) en 2008

Ce n’est qu’en 2012, il est élu député sur la liste départementale de Dagana de la coalition BBY. En 2014, il remporte la course à la Mairie de Richard-Toll avant d’être reconduit lors des dernières élections locales.

Le Directeur général de Sapco, Mama Diop est un fervent soutien du chef de l’État. Il a juré une « loyauté absolue et engagement patriotique » à Macky Sall.

Assemblée nationale : Du jamais vu ! Les gendarmes au sein de l’hémicycle (Photos)

Les députés nouvellement élus ont commencé les votes pour choisir le nouveau président de l’Assemblée nationale, par ailleurs successeur de Moustapha Niasse.

Mais avant le vote, un désordre a encore une fois été noté. Il a fallu l’intervention de la gendarmerie pour que les choses reviennent à l’ordre.

A rappeler que quatre candidats sont en lice pour ce poste poste de Président de l’Assemblée nationale. Il s’agit de Dr Mame Amadou Diop (Benno Bokk Yaakaar), de Lamine Thiam (Wallu Sénégal), de Ahmed Aidara et de Barthélémy Dias (Yewwi).

assemb - Senenews - Actualité au Sénégal, Politique, Économie, Sport
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Dernière minute- Le Nouveau Président de l’Assemblée Nationale connu (Photo)

’Assemblée nationale
’Assemblée nationale

Cette rentrée parlementaire restera dans les annales, mais pas que pour des raisons positives, bien au contraire. L’histoire retiendra, toutefois, que le maire de Richard-Toll est devenu le douzième Président de l’Assemblée de l’histoire du Sénégal. Amadou Mame Diop succède à Moustapha Niasse, au bout d’une journée chaotique dans l’hémicycle.

Le Directeur général de la Société d’aménagement de la Petite Côte (SAPCO) fut la surprise du chef de la matinée. Alors que beaucoup attendaient Mmi Touré ou Amadou Ba pour porter les couleurs de BBY, le chef de l’État a misé sur cet élu local, très peu connu du grand public.

Âgé de 57 ans, Amadou Mame Diop aura la tâche immense de tenir en respect un hémicycle rempli de personnalités bouillantes.

Madiambal Diagne : «Le Sénégal se transforme en république Banania»

Madiambal Diagne
Madiambal Diagne

Et si la magie du foot soufflait dans l’esprit de Macky Sall… Par Madiambal Diagnt

La Coupe du monde de football est le trophée le plus couru. Avant chaque compétition, cette œuvre de l’artiste italien, Silvio Gazzaniga, coulée dans de l’or pour un poids de 6,175 kg, fait le tour du monde pour être montrée dans les différents pays qualifiés pour la prochaine compétition. Le séjour du trophée draine les foules et les têtes couronnées, notamment dans les pays qui n’ont pas encore l’insigne honneur de l’avoir remporté. Le Président Macky Sall vient d’accueillir le trophée, qui lui a été apporté, le 7 septembre 2022, par une délégation de la Fifa dans laquelle on aura particulièrement remarqué notre compatriote, Fatoumata Samoura, Secrétaire générale de l’organisation sportive mondiale.

Le chef de l’Etat du Sénégal a déclaré sa flamme à ce magnifique et sublime trophée que tout le monde aimerait gagner. Le Président Sall n’a point été intimidé en y déposant un bisou, bien au contraire, il a clamé son ambition de gagner ce bijou tant convoité, de le ravir à tous les autres pays. Ce n’est pas l’audace ou le culot qui impressionne dans cette affaire ! Ce qui laisse sans voix, c’est le fait que personne n’a pu ou osé dire que Macky Sall s’est montré sans raison ou trop prétentieux ou que sa déclaration est déplacée. Pour cause ! Si son ambition est apparue on ne peut plus légitime, c’est parce qu’il a de bonnes raisons d’afficher cet objectif. Pour nous autres Sénégalais, ce n’était plus un rêve de jouer dans la «Cour des grands», pour reprendre le titre de l’album du duo Youssou Ndour et Axelle Red (2003). Ce tube avait été chanté pour la première fois lors de la cérémonie d’ouverture du Mondial 1998 en France.

Le Sénégal s’était incrusté dans cette «cour des grands», depuis la Coupe du Monde co-organisée par la Corée et le Japon en 2002. Avec le zèle du néophyte, le Sénégal s’était offert d’entrée de jeu, le scalp du champion du monde sortant, la France. Depuis lors, nous nous sommes convaincus qu’impossible n’est pas sénégalais ! Le Sénégal avait particulièrement brillé à l’occasion de cette compétition et peut désormais s’autoriser à considérer que «l’essentiel n’est plus de participer», mais de chercher à gagner. Aussi, le Sénégal peut désormais se prévaloir d’un palmarès enviable. Il a gagné, le 7 février 2022, la Coupe d’Afrique des nations de football, au Cameroun. Ce trophée est le plus convoité en Afrique. En outre, l’Equipe du Sénégal a la possibilité de présenter à toutes les lignes, à tous les postes, des joueurs qui font partie des meilleurs au monde. Des talents ont éclos et se sont confirmés et d’autres hardis tapent à la porte. L’esprit de «ce Sénégal qui gagne», qui aspire au meilleur et qui voudrait épater le monde, devrait inspirer dans tous les domaines de la vie nationale, notamment dans la conduite des affaires publiques.

Un gouvernement, une sorte d’équipe nationale des compétences

Albert Camus écrivait : «Vraiment, le peu de morale que je sais, je l’ai appris sur les terrains de football et les scènes de théâtre qui resteront mes vraies universités.» C’est une certaine mystique du jeu en société.

Une équipe qui gagne tient pour beaucoup à un bon «coach», un bon sélectionneur qui sait élaborer de pertinents plans de jeu. Mais le coach ne marque pas les buts à la place des joueurs ou n’arrête pas non plus les penaltys à la place du gardien de buts. Il faut donc, pour le coach, savoir dénicher les meilleurs talents, les motiver et les mettre en confiance pour obtenir le meilleur d’eux. Seule la victoire est belle et quand le succès est au rendezvous, personne ne cherchera à savoir si tel joueur vient de telle région du pays ou de la diaspora, ou qu’il est de telle ethnie ou de telle ou telle autre confession religieuse. Quand le Sénégal avait gagné la Coupe d’Afrique, personne n’a cherché à savoir qui parmi les joueurs était né à Dakar, Bambali, Poissy, Matam, Thiès ou Saint-Louis ! Tout le monde avait jubilé et chanté en chœur que «c’est le Sénégal qui gagne !». Certes, il y a au Sénégal autant de sélectionneurs de joueurs pour l’Equipe nationale qu’il y a de citoyens et tout autant de sélectionneurs de ministrables. Mais il reste que «el tactico», Aliou Cissé, pourrait inspirer le président de la République, Macky Sall, qui l’avait baptisé de ce petit nom complimenteur.

En effet, cette allégorie du football est juste pour dire, qu’à l’orée de la formation d’un nouveau gouvernement, à une période charnière de la trajectoire de notre pays qui se trouve fortement courtisé de partout, notamment pour ses fabuleuses découvertes en hydrocarbures, la logique devra être de constituer «une équipe nationale gouvernementale des compétences, pour ne pas dire des meilleurs talents».

Pour aspirer remporter une coupe, on n’aligne pas des novices, des néophytes, des pieds nickelés. C’est sans doute au pied du mur qu’on voit le maçon, mais la première des règles demeure que pour mériter sa place dans une équipe, il faudrait avoir préalablement su faire ses preuves, révélé des talents et aptitudes. Aliou Cissé ne pourrait point aspirer gagner une coupe et se ferait d’ailleurs rudement houspiller, s’il présentait une sélection en ignorant les joueurs déjà reconnus pour leurs talents et aptitudes, pour leur préférer de parfaits inconnus ou des joueurs claudiquant parce qu’ils seraient ses amis, copains ou proches. On dira la même chose du Président Sall qui est, plus que jamais, dans une situation où il devrait dans son prochain casting gouvernemental, choisir parmi ce que le pays recèle de meilleurs en termes de profils, savoir-faire, des personnes qui ont pu faire reconnaître leurs compétences et mérites. Le point de mire devra être de réunir les meilleurs profils pour faire gagner le Sénégal. Il ne saurait prétendre convaincre ou satisfaire tout le monde dans ses choix, mais on lui reconnaîtrait d’avoir fait abstraction de petits calculs ou de clivages subjectifs pour dresser son gouvernement. Tout choix procède d’un renoncement et il faudra renoncer, au prix de se faire violence. C’est ainsi que le sélectionneur peut se fâcher avec un joueur de talent, comme il peut ne pas aimer sa moustache ou ses dreadlocks ou sa façon de mettre son maillot dans son short, mais il ne continue pas moins à faire appel à lui. Le sélectionneur devra garder l’autorité et le pouvoir de décision pour remplacer tout joueur qui ne lui donne plus satisfaction. Les règles du football ont évolué dans ce sens pour augmenter le nombre de possibilités de remplacement en cours de match.

Les joueurs choisis ont cependant le devoir et l’obligation de manifester la déférence à l’endroit du coach et le respect de ses consignes de jeu. Chacun d’entre eux a aussi un devoir de loyauté vis-à-vis de ses camarades d’équipe. L’équipe ne pourrait être la meilleure si chacun joue avec un esprit égoïste, un individualisme prononcé ou cherche à ravir la vedette à tout le monde et privilégie son succès personnel ou sa propre image au détriment du groupe. Dans son livre, «Un Lion ne meurt jamais», Djibril Cissé rappelle un propos de Zizou : «Dans le football, les performances individuelles, ce n’est pas le plus important. On gagne et on perd en équipe.».

Le Sénégal se transforme en république «Banania»

Nous avons pris de bien mauvaises habitudes dans ce pays, depuis l’année 2000, avec la gouvernance du Président Abdoulaye Wade. Des Sénégalais avaient commencé à se donner en spectacle, à râler, protester, brûler le drapeau national, barrer des routes, saccager du mobilier urbain, parce qu’un des cadres de leurs territoires n’a pas été nommé au gouvernement. Jamais du temps de Léopold Sédar Senghor ou de Abdou Diouf, on n’a assisté à une telle situation et pourtant les gouvernements étaient plus serrés, étriqués à chaque fois.

Le Président Wade lui, cédait systématiquement à de tels chantages, ce qui a pu expliquer par exemple les nominations par rattrapage au gouvernement, d’un Kansoubaly Ndiaye (Pikine), du Dr Issa Mbaye Samb (Kébémer) ou d’un Bécaye Diop (Kolda). C’est à partir de cet épisode Wade que les listes de membres du gouvernement sont scrutées pour rechercher les patronymes, les ethnies, les appartenances confessionnelles ou les origines géographiques. Abdoulaye Wade en rajoutait une couche en narguant ses concitoyens avec certaines nominations controversées, en disant même qu’il pouvait nommer qui il voulait et se laissait comparer à Caligula, un souverain de la Rome antique, qui songeait à nommer Consul, son cheval préféré, «Incitatus», comme pour faire un pied de nez aux Sénateurs. L’ancien Premier ministre, Mamadou Lamine Loum, dans un cortège d’une marche avec Ousmane Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily, Amath Dansokho et JeanPaul Dias, entre autres, nous faisait rire, en disant avec un dépit amusé, «on ne mesurera les dégâts de Wade que 20 ans après son départ de la tête de l’Etat».

En 2012, le Président Macky Sall avait semblé rompre avec cette mauvaise tendance. Dans le premier gouvernement d’Abdoul Mbaye, avec une liste de vingt-cinq membres, il avait procédé à un dosage respectant sans doute certains équilibres majeurs entre ses différents alliés politiques, mais on a pu noter quelques récriminations. Le Président Sall a voulu les entendre et s’était engagé dans une logique de chercher à compenser des frustrations par des séries de nomination. Il arrivait d’entendre dire que telle cohorte de nominations du Conseil des ministres était pour le Fouta ou pour Fatick ou pour telle autre région. Les cadres des autres régions attendaient impatiemment leur tour.

C’est sans doute ce qui a fait le lit d’une certaine stigmatisation de plusieurs nominations à des emplois publics. Les idéaux républicains en ont souffert, d’autant que les dépositaires de ces emplois publics se croient plus redevables à leur patelin ou terroir qu’à leurs mérites ou compétences, à la Nation tout entière ou même au chef de l’Etat. Les cas de discrimination sont légion dans les répartitions des ressources et opportunités que peut offrir l’Etat. L’autorité du chef de l’Etat s’en trouve érodée, avec la perspective de votes sanctions, des autorités religieuses et coutumières ont repris du poil de la bête pour avoir des prétentions ou exigences dans certaines nominations.

On a davantage de grosses craintes à nourrir pour notre commune volonté de vivre ensemble à cause notamment des boules puantes lancées contre la belle tunique de la République par Ousmane Sonko et certains de ses partisans. Le leader de Pastef accuse régulièrement les autorités de l’Etat, et particulièrement le chef de l’Etat, de discrimination négative et d’ostracisme contre les populations de la région naturelle de Casamance et surtout de l’ethnie Diola. Un tel discours haineux est à pourfendre et punir, d’autant que son auteur n’a même pas eu de scrupule jusqu’à le porter sur la scène internationale à force d’affabulations (voir notre article du 12 juillet 2022 : La Cpi rejette la plainte de Sonko contre le Sénégal). La République ne devrait pas pardonner de telles ignominies.

Madiambal Diagne

Assemblée nationale – Grosse révélation de Mamadou Lamine Diallo sur le vote : « On a quatre candidats pour ce poste de président»

Mamadou Lamine Diallo
Mamadou Lamine Diallo

L’installation de la 14e législature prévue ce lundi à 10h est toujours au ralenti. Ainsi la question des ministres -députés présents et les enveloppes contenants des bulletins distribuées avant l’arrivée de la présidente de la séance Mdm Aida Sow Diawara, sont au coeur de la polémique. Cependant le député Mamadou Lamine Diallo suggère une sorties de crises.’’ Je pense qu’on doit reprendre ces enveloppes et les sortir, c’est la première étape ‘’ dit-il, avant de faire comprendre que c’est un problème nouveau qui se présente, c’est à dire quatre candidats pour ce poste de président de l’assemblée nationale et d’ajouter :’’ quoi qu’il arrive, il va falloir qu’on vote pour un président de l’assemblée nationale ‘’

Assemblée nationale : la séance suspendue pour dix (10) minutes

Assemblée nationale
Assemblée nationale

La séance plénière à l’Assemblée nationale est suspendue pour dix (10) minutes. Ce, pour permettre aux différents groupes d’harmoniser leurs positions. D’autant plus que le blocage reste toujours de mise.

Convoqués pour l’installation du Bureau de la 14e législature, marquant le démarrage de la nouvelle session, les députés continuent à se donner en spectacle. Les parlementaires qui ne s’entendent presque rien, ont failli même en venir aux mains.

Pour les députés de l’opposition , il n’est pas question que le vote commence avec la présence de membres du gouvernement dans l’hémicycle. Ainsi, ils exigent le départ de Abdoulaye SOW, Abdoulaye Daouda DIALLO et Mariama SARR. Ce que leurs collègues du Pouvoir refuse d’entendre. Selon eux, la loi donne à ces membres du gouvernement un délai de huit (8) jours pour démissionner.

Autre pomme de discorde, la distribution d’enveloppes avec des bulletins blancs sur lesquels sont inscrits les noms des quatre (4) candidats. Ce que dénoncent les opposants qui réclament des bulletins en couleur pour le vote.

A préciser que c’est Aida Sow Diawara, la doyenne d’âge qui préside la séance.

Décès d’imam Ndao : Attaques tous azimuts contre le pouvoir, les activistes n’en font-ils pas un peu trop ?

Décès d’imam Ndao
Décès d’imam Ndao

Plus que les acteurs politiques, les activistes se sont accaparé l’espace politico-médiatique ces derniers jours. Et comme à leur habitude, ils s’invitent dans un dossier sensible en créant une polémique autour de la mort de l’imam Alioune Badara Ndao. Sans y aller par quatre chemins, certains ont rejeté la thèse d’une mort naturelle et accusé l’État d’être à l’origine du décès du guide religieux. Cette énième sortie à charge contre l’État du Sénégal, et de surcroit non documentée, remet en question le sens de l’engagement de cette catégorie de leaders d’opinion qui, bien que toujours suivis, sont souvent interpelés faute de pouvoir prouver leurs accusations. La mort soudaine de l’imam Alioune Badara Ndao a affecté plus d’un Sénégalais. Engagé jusqu’à la moelle, le guide religieux a eu à faire les frais de la lutte contre le terrorisme, acte dont il fut accusé avant d’être relaxé après 36 mois de détention. Depuis lors, nombre de ses concitoyens ont découvert un homme dévoué à l’islam, à cheval sur ses principes, et très concerné par le combat démocratique. Un leader d’opinion injustement incarcéré pour ses prêches si l’on se réfère au verdict des juges qui l’ont libéré après une si longue détention. Cette injustice dont l’imam a été victime lui a valu la sympathie de tous ceux qui ont découvert, de ses propres confessions, que le guide religieux a été maltraité et torturé par ses geôliers sans aucune raison. Suffisant pour que les tenants du pouvoir attirent l’attention suspecte de beaucoup de Sénégalais qui ne manquent pas de leur tenir rigueur de cette perte immense.

Des suspicions qui peuvent se justifier mais…

Si donc des activistes qui ont été au chevet de l’imam Alioune Badara Ndao ont été placés sous mandat de dépôt, cela peut interpeller plus d’un. En vérité, s’ils s’étaient limités à rappeler les propos du guide en question sur la matraitance qu’il aurait subie et qui aurait grandement contribué à la dégradation de sa santé, Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye n’auraient pas été poursuivis pour diffusion de fausses nouvelles. Parce qu’il est un secret de polichinelle que les séjours de prisons « tuent » souvent à petit feu, directement ou indirectement. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle beaucoup d’hommes politiques se sont empressés à dire qu’ils se portent comme un charme quand ils ont senti qu’ils allaient être envoyés au gnouf. Ce fut le cas de l’ancien ministre Idrissa Seck, dans le dossier des chantiers de Thiès et de l’ancien maire Khalifa Sall pour l’affaire de la Caisse d’avance. Tous deux avaient jugé nécessaire de tenir le peuple informé de leur état de santé avant d’être placés en détention. Même Ousmane Sonko avait sacrifié à cette « tradition » quand il devait aller répondre au juge d’instruction dans l’affaire Sweet Beauté. Ce qui donc donne raison à ceux qui pensent, à juste raison, que le séjour carcéral ne fait jamais bon ménage avec une bonne santé. L’histoire de Blondin Diop, décédé en détention à Gorée, et d’autres plus récentes mettant en relief des morts dans des commissariats ou en prison, poussent souvent les gens à soupçonner les tenants des régimes dès lors qu’il s’agit de personnes encombrantes pour eux.

…un manque de prudence qui risque de perdre les concernés

Cependant, de là à dire de façon claire et limpide que la mort d’untel, de l’imam Ndao en l’occurrence, a été provoquée par les autorités étatiques semble être trop imprudent. La prudence justement aurait voulu que les uns et les autres s’entourent du maximum de précaution avant de faire des accusations dont ils n’auront pas la preuve. Hélas, ce n’est pas la première fois que les activistes prêtent le flanc de cette façon. On se rappelle bien la sortie de certains d’entre eux lorsqu’il a été annoncé que Pape Mamadou Seck, de la fameuse « Force spéciale  » à évadé. Karim Guèye, pour ne pas le nommer, avait affirmé et persisté que l’homme a été tué par les tenants du pouvoir. Aujourd’hui, c’est le même Karim et le professeur Cheikh Oumar Diagne qui sont interpellés pour avoir accusé l’État d’être la source du décès du défunt imam. Sans avoir besoin d’être pro ou anti Macky Sall, on doit s’accorder sur le fait que ces sorties sont trop zélées. On manque de plus en plus de retenue et de tenue dans la façon de s’opposer (pour les opposants), de militer (pour les activistes) et de diriger (pour l’État). Pourtant, il faut de la mesure dans toute chose. Autrement, c’est la stabilité sociale qui finira par prendre un sacré coup parce qu’on arrivera à une étape où chacun identifiera son prochain comme la source de ses problèmes.

Présidence de l’Assemblée : Voici le candidat de BBY Amadou Mame Diop (photo)

Macky Sall
Macky Sall

Alors que Ahmed Aidara et Barthélémy Dias ont tous les deux déclarés leur candidatures pour le poste de président de l’Assemblée nationale, la coalition Benno Bokk Yakaar vient de choisir son candidat. Il s’agit de Amadou Mame Diop.

D’après plusieurs sources confondantes de SeneNews, Amadou Mame Diop, maire de Richard Toll et directeur de la SAPCO, a été choisi par Macky Sall pour poste de président de l’Assemblée nationale.

Le vote aura lieu ce lundi à l’hémicycle.

Urgent – Les ministres députés peuvent ils voter? Le constitutionnaliste Ngouda Mboup brise le silence

Ngouda Mboup
Ngouda Mboup

La question des ministres-députés est de plus en plus agitée en cette journée d’installation de nouvelle législature. Et selon le constitutionnaliste, Mouhamadou Ngouda Mboup, le mandat de député est incompatible avec la qualité de membre du Gouvernement (article 109 du Règlement intérieur de l’Assemblée Nationale).

D’après l’enseignant-chercheur en droit public à l’Ucad, le poste de ministre est incompatible avec celui de député. « Un ministre ne peut participer à l’élection du Bureau de l’Assemblée nationale. Les ministres élus ne peuvent participer au vote… », explique-t-il.

Pour rappel, sur la liste des députés de BBY figure des ministres qui n’ont pas encore démissionner du gouvernement ou de l’assemblée.

Assemblée nationale : Tout savoir sur les fonctions incompatibles avec le mandat de député

Assemblée
Assemblée

La mandat de député est incompatible avec l’exercice de certaines fonctions. Ces cas de figure sont prévues par le Code électoral et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

En effet, le mandat de député est incompatible avec la qualité de membre du Gouvernement, de membre du Haut Conseil des Collectivités territoriales, ou de membre du Conseil chargé des Affaires économiques, sociales et environnementales.

L’exercice de toute fonction publique non élective est incompatible avec le mandat de député. En conséquence, toute personne visée à l’alinéa précédent élue à l’Assemblée nationale est remplacée dans ses fonctions et placée dans la position prévue à cet effet par le statut le régissant dans les huit (8) jours qui suivent son entrée en fonction, ou en cas de contestation de l’élection, dans les huit jours suivant la décision de validation

Sont incompatibles avec le mandat parlementaire, les fonctions de Président et de membre du Conseil d’Administration, ainsi que l’exercice de toute profession salariée dans les entreprises du secteur parapublic. Il en est de même également de toutes fonctions exercées de façon permanente en qualité de conseil auprès de ces mêmes établissements ou entreprises. Il en est de même de la situation
d’actionnaire majoritaire dans les entreprises sous le contrôle de l’Etat.

Sont incompatibles avec le mandat de député les fonctions de chef d’entreprise, de président de conseil d’administration, d’administrateur délégué, de directeur général, de directeur adjoint ou de gérant, exercées dans :
 1° les sociétés, entreprises ou établissements, jouissant sous forme de garantie d’Intérêt, de subventions, ou sous une forme équivalente, d’avantage assurés par l’Etat ou par une collectivité publique, sauf dans le cas où ces avantages découlent de l’application automatique d’une législation générale ou d’une réglementation générale ;
2° les sociétés ayant exclusivement un objet financier et faisant publiquement appel à l’épargne et au crédit ;

3° les sociétés et entreprises dont l’activité consiste principalement dans l’exécution de travaux, la prestation de fournitures ou de services pour le compte ou sous le contrôle de l’Etat, d’une collectivité ou d’un établissement dont plus de la moitié du capital social est constituée de participations de sociétés ou d’entreprises ayant ces
mêmes activités.

Magal 2022 : Bougane Guèye Dany effectue son ziar (Photos)

Magal 2022 : Bougane Guèye Dany
Magal 2022 : Bougane Guèye Dany

Le Khalife Général des mourides a reçu le leader du Mouvement Gueum Sa Bopp et sa délégation.

Bougane Guèye Dany s’est aussi rendu chez Serigne Bass Abdou Khadre et Serigne Cheikh Saliou Mbacké. Il a également fait son ziar chez Serigne Ahmadou Moctar, chez Serigne Moussa Nawel, chez Serigne Abo Fallilou, chez Serigne Moustapha Mohamed à Darou Khoudoss.

Macky Sall: « Rien dans ce monde ne peut me dévier de mon engagement à servir le vénéré Cheikh Ahmadou Bamba »

Macky Sall et Serigne Mountakha
Macky Sall et Serigne Mountakha

Le président Macky Sall a réitéré au Khalife général des mourides son engagement à servir la cité religieuse de Touba et ses populations. « Rien dans ce monde, ni personne, ne peut me dévier de mon engagement à vous servir, à servir le vénéré Cheikh Ahmadou Bamba, à servir, au nom de l’Etat, les populations de Touba », a-t-il assuré samedi à Serigne Mountakha Mbacké.

Il s’entretenait avec le khalife général des mourides dans la résidence du guide religieux à Darou Minam dans le cadre d’une visite de courtoisie que le chef de l’Etat effectue les jours précédents la célébration du Grand Magal de Touba (jeudi 15 septembre), manifestation commémorant le départ en exil du fondateur de la confrérie, Cheikh Ahmadou Bamba.

« Mon ambition en tant que président de ce pays est de réaliser et laisser de grandes œuvres pour le développement de Touba et du Sénégal. Cette année, par la volonté de Dieu, nous sommes venus au Magal en plein hivernage pluvieux avec des difficultés », a expliqué Macky Sall dans les colonnes de l’APS visitée par Touba.

Il a insisté sur le fait que les pluies diluviennes constatées cette année dans plusieurs pays du monde étaient l’une des manifestations des changements climatiques.

‘’Le Sénégal n’est pas épargné, particulièrement les villes Touba et Dakar où les inondations ont causé plus de difficultés qu’ailleurs dans le pays’’, a admis le chef de l’Etat non sans signaler que l’abondance des pluies avait entrainé une remontée des eaux souterraines à certains endroits de la cité religieuse.

Il a rappelé que pour prendre à bras le corps le phénomène, l’Etat avait mis en place un programme d’urgence reposant sur l’accroissement du nombre de forages afin de faire baisser le niveau de la nappe phréatique.

Le président de la République a souligné que les désagréments constatés avaient poussé le gouvernement à mettre en place depuis 2021, un programme d’urgence d’assainissement de 23 milliard de francs dont l’objectif était entre autres d’agrandir le bassin de Keur Niang et de le relier à cinq stations de pompage.

’’L’Etat avait également mis en place le bassin de rétention de Darou Rahmane avec les fortes quantités d’eaux pluviales enregistrées cette année, mais avec le trop plein d’eau a fait tomber un pan de son mur de clôture’’, a-t-il déploré.

Dans la perspective d’une gestion durable des eaux pluviales à Touba, Macky Sall a rappelé que l’Etat avait aménagé un autre bassin de rétention de 60 hectares à Keur Kab, un autre quartier de Touba.

‘’Ce bassin va servir de réceptacle de toutes les eaux pluviales évacuées des quartiers de Touba, en passant par les bassins de Keur Niang, de Darourahmane, et de Pofdys’’, a-t-il fait valoir.

Par ailleurs, sur la question de l’approvisionnement en eau de la ville sainte, il a indiqué que quatre nouveaux forages avaient été construits dans le but d’augmenter cette année la capacité de production journalière en eau de Touba.#MackySall #MagalTouba #SerigneTouba

Présidence Assemblée nationale : Alioune Tine prend la défense de Mimi Touré

Assemblée nationale : Alioune Tine
Assemblée nationale : Alioune Tine

Aminata Touré a été zappée comme candidate au poste de président de l’Assemblée nationale par sa coalition. Pour des raisons méconnues, le président de la République et chef de la coalition BBY a  choisi le Dr Amadou Mame Diop, un élu local. Une décision qui fait grincer des dents sur les réseaux sociaux. 
En  effet, pour certains, en l’occurrence Alioune Tine, Macky Sall devrait avoir de la sympathie à l’égard de l’ancienne ministre de la Justice qui, en dépit d’être une femme, a sillonné tout le pays lors de la campagne législative afin que le chef de l’État obtienne une majorité au sein de l’hémicycle.
D’après le fondateur d’Afrikajom Center, ce choix de Macky Sall n’est pas cohérent. Ainsi, il se demande si, «pour être promu, faut-il être sans ambition ?».

Edito – Nouveau gouvernement : Ce que le president de la république doit savoir!

Macky Sall
Macky Sall

Mr le Président !
Tout d’abord je vous félicite pour avoir su mettre en place l’équipe administrative adéquate en place pour nous ramener la coupe d’Afrique pour la première fois au Sénégal. Je vous félicite pour la manette à la Présidence de l’Union Africaine.
Mr le Président, le Sénégal a besoin d’un gouvernement jeune, actif et sur le terrain. La population a besoin d’un gouvernement qui sera ouvert à la population, que les départements administratifs de chaque ministère soit réactif aux besoins et demandes faits. La population a besoin d’un gouvernement qui jouera un rôle ressenti, visible mais surtout proche de sa population.

Les hommes d’affaires sénégalais aujourd’hui ramènent leurs partenaires vers d’autres pays voisins, ce que je trouve comme une humiliation. Alors que vous avez mis sur place un système d’accueil administratif très alléchant, vous avez facilité l’accès aux projets qui ont besoin d’un partenariat et accessible.

Le Sénégal est un pays convoité, un pays stable à la vue des étrangers. Malheureusement les portes sont fermées, quand on réussit à ouvrir une porte la réponse est unanime  » Oh c’est merveilleux, le Sénégal en a besoin, je vais en parler au Président… » Mais Jamais de suite. Vous ne pouvez pas tout faire, aucun Président ne peut tout faire mais il faut des hommes, femmes forts, dynamiques, qui maintiennent le même langage que vous pour le développement du pays.
Mr le Président ! Je parle au nom d’une bonne partie des sénégalais qui partageront ce message. Le Sénégal n’a pas une autre solution que vous à la tête du pays.

Car on a vu la qualité, la forme de politique proposée de l’autre côté. Je suis loin de la scène politique, mes affaires me suffisent largement et à ma famille. Pour le bien-être de mes enfants, je reste convaincu que vous êtes le seul présent. Il vous manque cet entourage ambitieux et l’ambition se trouve entre les mains de la jeunesse partout dans le monde.

Signé
Lébou gui Ndiaye

Présidence de l’Assemblée : Amadou Ba brise le silence

Assemblée : Amadou Ba
Assemblée : Amadou Ba

Interpellé sur la désignation de Amadou Mame Diop comme candidat de BBY au perchoir, Amadou Ba a soutenu qu’il n’est pas en mesure de confirmer cette information. « Il faut rendre grâce d’être présent et prier que tout se passe bien. Pour le moment, je ne peux rien confirmer. Attendons le vote », a soutenu le parlementaire Amadou Ba.

(Vidéo) Après une chaude Bagarre: Gouy Marius prend la parole et explique « Ce qui s’est réellement passé»

Guy Marius
Guy Marius

AL Khayri : Le journaliste Cherif Diop de la Tfm s’est mariée. Découvrez l’heureuse élue

Cherif Diop n’est plus un cœur à prendre. Le journaliste de la Tfm s’est marié devant Dieu et les hommes.

Cherif Diop a épousé la fille du Grand Serigne de Dakar. La nouvelle mariée se nomme Salama Diop.

Admirez l’image de la cérémonie .

Dernière minute : YAW a fait son choix pour la présidence de l’Assemblée nationale

Après la coalition Benno Bokk Yakaar, Yewwi Askan Wi (YAW) a enfin fait son choix pour la candidature pour le poste de président de l’Assemblée nationale. Les membres de cette coalition de l’opposition ont opté pour l’actuel maire de Dakar, Barthélémy Dias.

URGENT – Assemblée nationale : B@garre entre députés Benno et Yewwi « Cheikh barra Dolly modon »

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🔴Cheikh Bara Doly tire sur Ameth Aidara « Yéwi menoul am niar candidat; sou beugué buzz na dem…  » (vidéo)

🔴Cheikh Bara Doly tire sur Amet Aidara « Yéwi menoul am niar candidat; sou beugué buzz na dem…  » (vidéo)

Présidence de l’Assemblée : Ce qui a perdu Mimi Touré…

Le scénario était écrit d’avance : Aminata Touré devait être la première femme à occuper le poste de Présidente de l’Assemblée nationale.

Mais dans les rangs de la majorité présidentielle, certains de ses collègues députés ne l’entendaient de cette oreille. 26 d’entre eux se sont opposés à la candidature de l’ancienne Première ministre, selon nos sources.

Face à cette forme de fronde anti Mimi, le Président de la République a dû être obligé de resserrer les troupes et d’opter pour un candidat de consensus.

Il a donc privilégié un élu local à succès tel que le Dr Amadou Mame Diop pour éviter un nouveau camouflet en mondovision.

SENEWEB

(Vidéo) Incroyable mais vrai ! – La chanteuse Guigui s’est rasée la tête… la cause va vous faire pleurer

Guigui s’est toujours donnée corps et âme pour lutter contre le cancer. Pour preuve, elle organise chaque année une journée de dépistage pour la population de son quartier.

Depuis France, la chanteuse a adressé un important message aux autorités sanitaires et aux bonnes volontés pour un téléthon afin d’aider Lisca dans sa démarche de soutenir les malades du cancer.

Regardez !

Dernière minute : Le choix de Macky Sall pour la présidence de l’Assemblée est connu (photo)

Alors que Ahmed Aidara et Barthélémy Dias ont tous les deux déclarés leur candidatures pour le poste de président de l’Assemblée nationale, la coalition Benno Bokk Yakaar vient de choisir son candidat. Il s’agit de Amadou Mame Diop.

D’après plusieurs sources confondantes de SeneNews, Amadou Mame Diop, maire de Richard Toll et directeur de la SAPCO, a été choisi par Macky Sall pour poste de président de l’Assemblée nationale.

Le vote aura lieu ce lundi à l’hémicycle.

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