La mère de l’ancien international sénégalais Diafra Sakho a été rappelée à Dieu ce mercredi 02 novembre 2022. Madame Diakha Diakité de son vrai nom est décédée aujourd’hui à l’hôpital Fann de Dakar. La levée du corps aura lieu ce Jeudi 03 Novembre à 09H à la Medina mosquée Rue 39 angle « Gounbeu » au niveau de la Zawiya
Sanslimitesn.com présente ses condoléances au monde du sport et à la famille du joueur.
Au courant de la nuit allant à la matinée de demain, le temps sera marqué par un ciel passagèrement nuageux sur l’ensemble du territoire, annonce l’ANACIM.
Par contre, pour la journée du jeudi, le temps sera ensoleillé à dégagé sur la quasi-totalité du pays. Suite à une légère hausse des températures journalières, la sensation de chaleur sera davantage ressentie sur le territoire notamment dans les localités Nord-est et Centre où les températures maximales varieront entre 36 et 40° C.
Les visibilités seront généralement bonnes ; toutefois, une légère couche de poussière en suspension sera de mise sur les régions Nord et Centre du territoire, termine l’ANACIM
Le leader du parti « Awalé », Abdourahmane Diouf s’est fendu d’un post pour exprimer son soutien à Ousmane Sonko dans l’affaire l’opposant à Adji Sarr.
« L’Etat du Sénégal doit nous garantir une justice transparente et indépendante. L’Etat du Sénégal doit éviter de manipuler la justice à des fins politiques », suggère Abdourahmane Diouf.
Pour le leader de parti Awalé, la sélection des candidats par Macky Sall doit s’arrêter sans délai. « Soutien à Ousmane Sonko et que le droit soit dit ! », poursuit-il.
L'Etat du Sénégal doit nous garantir une justice transparente et indépendante. L'Etat du Sénégal doit éviter de manipuler la justice à des fins politiques. La sélection des candidats par Macky Sall doit s'arrêter sans délai. Soutien à Ousmane Sonko et que le droit soit dit !
— Dr El Hadji Abdourahmane DIOUF (@drelhadjiAdiouf) November 2, 2022
Le président de Pastef se veut clair. Il appelle au calme. Demain, jour de son audition dans l’affaire Sweet Beauty, Ousmane Sonko veut que personne ne l’accompagne au Tribunal de Dakar à l’exception de ses avocats.
« Ce dossier est politique. Il est important de le rappeler aux Sénégalais. Je dis aux jeunes de ne pas se laisser distraire. S’ils ne font pas les choses dans les règles de l’art, la riposte sera de nouveau apportée. Des jeunes sont morts à cause de cette affaire, faire comme si de rien était serait une grave erreur », avertit Ousmane Sonko.
Affaire Adji Sarr: Sonko dévoile le message de l’ancien procureur de la République au Commandant Mbengue
Dans l’affaire l’opposant à la masseuse Adji Sarr, Ousmane Sonko a échappé à un placement sous mandat de dépôt. Selon lui, tout était préparé afin qu’il séjourne en prison à la suite des faits de viols et de menaces de mort dont il est accusé.
Le leader de Pastef de renseigner que c’est le peuple sénégalais qui a empêché qu’il croupisse en détention à cause de ce complot. «Ce combat vous l’avez gagné en mars 2021 quand vous avez refusé que je sois emprisonné sur la base d’un complot et c’est depuis qu’ils (ses adversaires) ont perdu ce dossier. Parce que si leur stratégie avait marché, j’aurais été arrêté dès le premier jour si je m’étais présenté à la gendarmerie », a-t-il reconnu lors de sa déclaration, tenue ce mercredi 2 novembre. Il signale que c’étaient les consignes du Procureur de la République, Bassirou Guèye qui fait partie des comploteurs à la tête desquels se trouve Macky Sall. «Il avait donné des instructions pour que je sois arrêté dès que j’arrive. Il avait dit au Commandant Mbengue ‘’je sais qu’il va venir parce qu’il est trop fier’’. S’il vient auditionnez-le et décernez-lui le mandat d’arrêt’’ ».
A la veille de l’audition annoncée de Ousmane Sonko par le doyen des juges, le maire de Thiès Dr Babacar Diop s’est fendu d’un post pour réitérer son soutien et sa solidarité sans réserve au leader de PASTEF-Les Patriotes « face au complot ignoble dont il est victime ».
« Tous les démocrates doivent rester mobilisés pour faire échec à toute volonté d’élimination d’adversaires politiques par l’instrumentalisation de la justice. Hier comme aujourd’hui, nous sommes dans le camp des démocrates », a écrit Dr Babacar Diop.
Parmi les résultats de la visite du président Macky Sall en Algérie, il convient de retenir la décision de la puissante Banque nationale d’Algérie de s’installer à Dakar d’ici décembre ou janvier. L’information a été livrée par le Pôle Communication de la Présidence. Avant cela, elle avait été déjà rendue publique par le directeur général de la Banque nationale d’Algérie, Mohamed Lamine Lebbou, le mardi 30 août dernier en marge d’une cérémonie consacrée à la signature d’un mémorandum d’entente entre la banque et le groupe Télécom Algérie.
« Cette opération s’inscrit dans le cadre de la stratégie de déploiement à l’international de la Banque Nationale d’Algérie », avait-t-il ajouté. La Banque Nationale d’Algérie (BNA) est dotée d’un capital de 3,144 milliards de dollars. Elle est positionnée comme la 12ème banque en Afrique. Le président de la République a aussi reçu le PDG de Sonatrach, le premier groupe d’hydrocarbures du continent, et la Présidente du patronat algérien. Le Sénégal attire de plus en plus les investisseurs algériens.
Le patronat algérien veut se lancer au Sénégal dans l’industrie de pipes (tuyauterie pour eau et hydrocarbures), la fabrique d’appareils électriques sans oublier le lancement il y a quelques semaines de la ligne maritime directe Alger-Dakar.
Le monde de la musique sénégalaise est en deuil. Pape Fall rejoint Bass Diakhaté, une triste journée pour le monde de la culture. L’information est donnée par Guissé Péne sur sa page Facebook.
Journée noire pour la culture, après Bass Diakhaté nous venons d’apprendre le décès de Pape Fall African Salsa. Pape Fall est chanteur du Star Band de Dakar, la formation pépinière du Miami Club d’Ibra Kassé qui a accueilli de nombreux talents sénégalais tels que Pape Seck, Yakhya Fall, Dexter Johnson, Laba Sosseh, Pape Djiby Ba, Mar Seck, Doudou Sow ou encore Youssou Ndour.
Artiste engagé, il crée en juillet 1995 son propre groupe, African Salsa. Son décès une une grosse perte pour la musique. La rédaction de SeneNews présente ses condoléances au monde de la musique sénégalaise. Paix à son âme.
Habib Sy, membre de Yewwi Askan Wi, en conférence de presse mercredi, s’est prononcé sur l’audition, ce jeudi 3 novembre de Ousmane Sonko par le juge d’instruction. Occasion de refréner les ardeurs du Président Sall dans ce dossier.
Il s’étonne d’emblée de ce déploiement des forces de sécurité dans la capitale sénégalaise, avant de dire que « Macky Sall, l’instigateur de la violence, est une médiocrité, une éminente médiocrité politique ».
Selon lui, dans ce dossier Macky Sall s’est tiré une balle dans les pieds, car il n’en sortira pas indemne.
Ousmane Sonko se rendra demain, jeudi, dans le bureau du Doyen des juges, pour une audition au fond dans l’affaire de la masseuse Adji Sarr. De l’avis du professeur de droit à l’UCAD et avocat au barreau de Paris, Babacar Niang, plusieurs issues sont possibles.
Mais d’emblée, le spécialiste écarte le renvoi en détention préventive du président de Pastef. «Un mandat de dépôt ne serait envisageable que si les obligations du contrôle judiciaire n’ont pas été respectées et si le justiciable refusait de se mettre à la disposition de la justice.
Ce qui ne semble pas être le cas», juge l’expert dans un entretien accordé à « L’Observateur », où il précise, n’ayant qu’une connaissance limitée du dossier, se prononce «de manière abstraite, en théoricien et praticien de la procédure pénale».
Les artistes africains de diverses nationalités rassemblés au sein du Collectif des artistes Panafricains (CAP) ont décidé d’aller en croisade contre les 3e mandats des chefs d’Etats africains sur le continent.
Ce sont des artistes venus de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, du Togo, du Benin… soit 11 créateurs d’œuvres de l’esprit qui ont décidé de faire entendre leur voix à travers le single « Limitons les mandats » dont la sortie officielle s’est déroulée ce mardi 1er Novembre.
« En Afrique comme partout ailleurs, pas de démocratie sans alternance et sans justice sociale… Nous nous engageons pour la démocratie : la vraie, pour des institutions fortes gages de stabilité, et non pour des hommes forts aux bilans désastreux ».
« Vous magistrats qui nous jugez », Habib Sy vous parle, surtout pour ce cas Ousmane Sonko. C’était dans la matinée de ce mercredi à la conférence de presse de Yewwi Askan Wi.
Selon Habib Sy, dans ce dossier Ousmane Sonko, les magistrats ont « une occasion historique » de changer ce regard inquisiteur du peuple à leur endroit. Aussi l’ancien ministre de Abdoulaye Wade leur demande tout simplement de prendre comme référence Kéba Mbaye qui a honoré la justice sénégalaise.
« Donc, nguir yalla, n’ayez pas peur, n’acceptez pas d’être soumis à ce régime finissant ». Et au juge d’instruction qui reçoit ce jeudi Ousmane Sonko, il a mis aussi en exergue « sa responsabilité historique. Donc, il faut entendre Ousmane Sonko et comprendre que ce n’est rien d’autre qu’un complot ».
M. Sy n’a pas manqué de souligner que le président de la République a « décrédibilisé la valeur de nos institutions jusqu’à l’institution des forces de défense et de sécurité. Aujourd’hui, personne n’a peur d’elles ».
Ousmane Sonko, lors de son allocation de ce soir, a vivement invité ses militants et soutiens de ne pas l’accompagner au tribunal et de vaquer à leurs occupations, ce jeudi.
Mais il pose une condition, comme un plan B. En outre, il a demandé à ses militants de remettre ça (ndlr : un remake du mois mars dans l’affaire Adji Sarr), au cas où la procédure normale ne sera pas respectée dans le cadre de sa convocation par le doyen des juges.
« S’il ne respect pas l’ordre normal des chose, remettez-ça », a donc dit, en wolof le leader de Pastef qui sera entendu ce jeudi dans l’affaire sweet Beauty.
A moins de 24h de l’audition du leader de pastef, Ousmane Sonko par le doyen des juges, la conférence des leaders de Yewwi Askan Wi s’est réunie pour donner sa position sur cette convocation. Le président de la conférence des leaders de Yewwi Khalifa Sall, a prononcé les premiers mots de cette rencontre ce matin est considérant que les camarades de Ousmane Sonko qu’ils sont, ne vont pas accepter qu’il soit le sacrifice du pouvoir.
« Le Sénégal doit en finir avec cette injustice qui progresse avec le président Macky Sall. Nous avions espéré qu’après 2013 et 2017, aucun leader politique ne devrait faire l’objet de telles injustices » rappelle Khalifa Sall. Par ailleurs, cette affaire appelée « Sweet Beauté » a déjà provoqué des incidents malheureux en mars 2021: « Nous ne pouvons pas exclure une réédition de mars. Ce n’est pas ce que nous voulons, mais quand on s’acharne sur d’honnêtes citoyens, cela risque de prendre de grandes proportions d’instabilité » tonne encore le leader de la conférence de Yewwi Askan Wi tout en réitérant la volonté ferme de la coalition d’accompagner Ousmane Sonko dans le cadre de cette audition: « Nous sommes prêts à tout assumer. Nous sommes dans une posture de responsabilité et nous n’avons pas peur du lendemain car il est inadmissible qu’un pouvoir puisse choisir à chaque fois son adversaire ». Pour finir, Khalifa Sall informe qu’Ousmane Sonko est très serein et il est dans les dispositions de citoyens et de justiciables.
Pour rappel, dans cette rencontre étaient également présents Aida Mbodj, Habib Sy, Cheikh Tidiane Dieye, Cheikh Tidiane Youm, Moussa Tine, Cheikh Gueye, Maïmouna Bousso qui ont tour à tour pris la parole pour conforter les dires de Khalifa Sall dans cette convocation de Ousmane Sonko demain.
A quelques heures de l’audition du leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, prévue ce jeudi, à 12h dans le bureau duDoyen des juges, dans l’affaire «Adji Sarr», Khalifa Sall n’apas raté le régime en place.
Lors de leur conférence de presse, leaders de Yewwi Askan Wi ont qualifié ce dossier de «politique». Malgré les graves accusations de viols dans le dossier «Sweet beauté», Khalifa Sall reste convaincu que «la finalité de tout cela, c’est la liquidation d’un adversaire politique…» Face à la presse ce mercredi, l’ancien maire de Dakar et membre de la coalition Yewwi Askan Wi est serein, mais préfère mettre en garde la partie adverse…«S’il ne s’agit que de justice, nous n’avons aucune crainte quant à l’issue de ce dossier. Mais quand ils voudront y mêler autre chose, il en sera autrement. Je veux vraiment être très clair pour que tout le monde sache qu’on acceptera plus certaine chose dans ce pays». Déterminé, Khalifa Sall ajoute avec fermeté : «On ne peut pas accepter que dans ce pays, un pouvoir puisse à chaque fois, choisir ces adversaires politiques. En réalité, la finalité de tout cela, c’est comment faire pour liquider un adversaire politique.
C’est la stricte vérité ! Quelle que soit la forme que cela prend, quels que soient les moyens utilisés, la finalité c’est ça ! Ousmane Sonko est très serein… il assumera toutes ses responsabilités, si c’était nécessaire» conclu-t-il.
Depuis qu’il a annoncé officiellement sa démission du parti démocratique sénégalais, Toussaint Manga est resté dans son mutisme en dépit de l’actualité politique, économique et sociale qui progresse de jour en jour. La convocation du leader de Pastef par le doyen des juges sera l’élément qui fera sortir l’ancien de l’Ujtl de son coin. À moins de 24h de son audition, Ousmane Sonko obtient le soutien d’hommes politiques, notamment Toussaint Manga qui le fera savoir dans un post sur Facebook.
«Aujourd’hui plus qu’hier vous avez tout mon soutien. Ce problème n’est plus le vôtre, il est celui de tous les sénégalais épris de justice , de paix et de démocratie. Que chacun prenne ses responsabilités et en assume les conséquences », note l’ancien député libéral.
Comme à chaque fois que le leader politique Ousmane Sonko est convoqué pour une audition sur le dossier « Adji Sarr », les populations de la cité « Keur Gorgui » plongent dans l’angoisse. Pour cause, les mesures de sécurité déployées par les forces de l’ordre pour canaliser le politicien enfreignent leur droit de circuler librement, que ce soit pour les résidents voulant accéder à leur domicile ou encore ceux qui veulent rejoindre leur lieu de travail dans le secteur.
En prélude à une autre audition prévue ce jeudi 03 novembre, Dakaractu a effectué une descente dans le secteur pour ainsi recueillir l’avis des populations riveraines. Une opportunité pour ces derniers de pouvoir étaler leurs états d’âme, à chaque fois que ce genre d’événement s’opère, et les conséquences que cela engendre.
Les méthodes du nouveau directeur général d’Air Sénégal, Alioune Badara Fall, ne font pas l’unanimité au Conseil d’administration de la compagnie. D’après L’Observateur, certains administrateurs lui reprochent de faire cavalier pour certaines décisions stratégiques et pointent des zones d’ombre dans le recrutement des équipages des avions.
Le journal informe que ces derniers regrettent par exemple de n’avoir pas été associés à la décision de suspension (finalement levée) de la ligne vers l’Afrique centrale. « Nous avons appris la mesure, comme tout le monde, via le communiqué de la compagnie aérienne », tonnent les sources de L’Observateur.
Elles ajoutent : « Quand vous êtes nommé directeur d’une compagnie, la première des choses à faire est une prise de contact avec le personnel avant de prendre des décisions, même si le dernier mot vous revient. On ne peut pas s’enfermer dans ses bureaux et prendre des décisions, après l’avis d’une poignée de personnes. »
Les mêmes informateurs du journal du Groupe futurs médias fulminent contre le recrutement en cours du Personnel navigant commercial (PNC) et stewards. « Des filles qui n’ont aucune expérience d’hôtesse de l’air, de surcroît âgées, souscrivent pour ces postes », dénoncent ces voix.
La commission de la CEDEAO et la République togolaise ont porté leur choix sur Serigne Babacar Sy Mansour entre autres trois éminentes personnalités africaines pour le parrainage du 3e Forum sur l’éducation à la culture de la paix, à travers le dialogue intra et inter religieux, la commission de la CEDEAO qui portait sur le thème : «Communautés, extrémisme violent et cohésion sociale en Afrique de l’Ouest». Dr. Bakary Sambe qui y participait en tant que Directeur régional du Timbuktu Institute voit dans ce choix « une consécration du modèle sénégalais mais aussi une reconnaissance hautement symbolique de l’action et des enseignements de Serigne Babacar Sy Mansour en cette année de commémoration du centenaire de Cheikh El Hadji Malick Sy ». Pour le spécialiste des dynamiques régionales et enseignant-chercheur au Centre d’étude des religions de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, « ce choix devrait inciter les chercheurs africains et la communauté internationale à une meilleure exploration des possibilités qu’offrent la place et l’influence des leaders religieux dans la consolidation de la paix en Afrique »
Les langues se délient et les révélatiοns s’enchaînent depuis l’annοnce de la date d’auditiοn de Ousmane Sοnkο, cοnvοqué, ce jeudi 03 nοvembre, par le Dοyen des juges Makham Diallο dans le cadre du dοssier Sweet Beauté l’οppοsant à la jeune masseuse Adji Sarr.
Accusé de viοls répétitifs, menaces à mains… le leader du Pastef veut illicο prestο que cette affaire sοit réglée. Puisque lui-même, il l’a dit à Mοussa Tine.
Ce dernier, lοrs de la cοnférence de presse tenue par la cοalitiοn Yewwi Askan Wi a révélé : « J’ai appelé Sοnkο […], il m’a dit : ‘c’est mοi qui fais pressiοn pοur que je sοis entendu’ ».
Homme choc, c’est le nom d’un groupe Facebook regroupant des hommes qui font des posts jugés choquants par les internautes sur la gent féminine. Depuis hier, la toile se dévoile, plusieurs influenceurs et célébrités ont été mouillés. Parmi eux, Pape Sidy Sidy Fall, l’animateur vedette de la 2ST. Lequel a fait un live pour expliquer son adhésion audit groupe facebook et watshapp.
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