La visite du Premier ministre Ousmane Sonko au Building administratif a pris des allures d’interrogatoire sérieux, mettant sous les projecteurs Bamba Ndiaye et El Hadj Malick Gaye. Ces deux responsables ont été soumis à un feu roulant de questions concernant le coût de réhabilitation du bâtiment, les multiples avenants associés au projet et l’origine de l’incendie qui a dévasté une partie de l’édifice.
Le coût de cette réhabilitation suscite des interrogations, notamment en raison des avenants qui ont été ajoutés au projet initial. Ces avenants peuvent parfois faire grimper considérablement les coûts, ce qui soulève des questions sur la gestion financière du projet et la transparence des dépenses.
L’origine de l’incendie est également un sujet de préoccupation majeur. Comprendre comment et pourquoi l’incendie s’est déclaré est crucial pour éviter de futurs incidents similaires et pour établir d’éventuelles responsabilités.
Le Premier ministre, rapporte Source A, très impliqué dans cette visite, prenait lui-même des notes et demandait des documents pour se faire une idée précise de la situation.
En attendant les conclusions de cette « audition », le public reste en suspens sur l’avancement des travaux de réhabilitation et sur la date prévue pour l’inauguration du Building administratif.
Pour le Building administratif, les citoyens sont en droit de s’attendre à une gestion rigoureuse et transparente.
Rétablir le groupe Yavuz Selim dans ses droits, c’est ce que souhaite le président du Conseil d’administration dudit groupe. Raison pour laquelle, Madiambal Diagne dit avoir adressé une lettre au président Bassirou Diomaye Faye, ce 16 avril 2024. Dans un communiqué parvenu à Seneweb, le patron du groupe Avenir Communication rappelle les conditions dans lesquelles les écoles Yavuz Selim ont été fermées.
« L’Etat du Sénégal avait décidé, en 2017, de fermer tous les établissements d’enseignement du groupe Yavuz Selim, en pleine année scolaire, dans un contexte de pressions internationales auxquelles le Président Macky Sall n’avait pu résister », lit-on. Une décision « injuste » et « absurde », « d’autant plus qu’aucun reproche n’a pu être fait à Yavuz Selim quant à la régularité de sa situation juridique et administrative », poursuit M. Diagne. Après la fermeture des ces écoles, Madiambal Diagne explique qu’un « drame social s’en est suivi pour les élèves, les parents d’élèves et les travailleurs ». « La fermeture perturbera le parcours éducatif de 3.500 élèves dans différents établissements scolaires disséminés à travers le Sénégal. Elle causera aussi des conséquences économiques et sociales désastreuses pour le personnel enseignant et d’appui. Un creuset d’excellence a été ainsi mis à genoux, après vingt ans d’intervention et de contribution dynamique à la construction du secteur éducatif sénégalais ». Le Président du conseil d’administration compte donc sur l’action du président Bassirou Diomaye Faye afin « de réparer une injustice » « pour que ce fleuron dans le secteur de l’éducation, continue de contribuer à la formation de jeunes sénégalaises et sénégalais ». Madiambal Diagne dit fonder « beaucoup d’espoirs que le nouveau Président de la République sera sensible à cette demande car, en tant que parent d’élèves au niveau des établissements de Yavuz Selim à Dakar, Bassirou Diomaye Faye avait manifesté de la solidarité aux responsables de ces établissements et, durant toute la période de crise, assistait personnellement aux rencontres des parents d’élèves avec les responsables des écoles ». Il mentionne aussi le fait que « l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko, avait conduit une délégation du Parti Pastef pour apporter un soutien à Yavuz Selim, victime d’une grave injustice ». « Comme il l’avait fait en 2017, le Groupe Yavuz Selim tient toujours, en toute transparence, à tenir l’opinion publique informée de toutes les péripéties de cette affaire », a conclu le président du conseil d’administration du groupe Yavuz Selim.
Après des membres de l’Apr qui ont accusé Macky Sall d’avoir saboté la campagne présidentielle de leur candidat Amadou Ba, c’est au tour de Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly d’y aller avec sa révélation. Selon le député, Macky Sall l’a personnellement appelé pour lui demander de ne pas soutenir Amadou Ba. « Quand j’ai décidé de soutenir Amadou Ba à la Présidentielle, Macky Sall m’a appelé et m’a demandé de ne pas le faire », a déclaré le député, par ailleurs président du mouvement Nekkal Fi Askan Wi sur la Sen TV. Malgré cette « mise en garde » du président de la République d’alors, le parlementaire ne reculera pas et maintiendra son soutien à Amadou Ba, qui sera défait par Bassirou Diomaye Faye.
Le 27 mars 2024, l’ex-président de la République Macky Sall, a signé le décret n° 2024-830, abrogeant le précédent décret n° 2023-1407 qui avait ordonné la dissolution du parti politique « Patriotes du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité » (PASTEF). Ce revirement fait suite à une série de révisions législatives et de nominations gouvernementales importantes survenues récemment.
Le décret initial, émis le 31 juillet 2023, avait marqué une étape controversée dans l’histoire politique sénégalaise en dissolvant le PASTEF, un parti politique au Sénégal. La dissolution avait été perçue par certains comme une manœuvre politique, suscitant des débats sur la liberté et la démocratie au sein du pays.
L’actuel décret présidentiel, faisant référence à la Constitution et aux lois régissant les partis politiques ainsi qu’aux récentes lois d’amnistie, marque un changement significatif dans l’approche du gouvernement envers l’opposition politique. Selon le texte, la décision d’abroger la dissolution du PASTEF a été influencée par la loi n° 81-17 du 06 mai 1981, modifiée ultérieurement, qui cadre les activités des partis politiques au Sénégal.
En outre, plusieurs décrets récents concernant la nomination du Premier Ministre, la composition du gouvernement, et la répartition des services de l’État entre différents organes du pouvoir exécutif ont également été pris en compte. Ces modifications suggèrent une réorganisation au sein du gouvernement, qui pourrait avoir des répercussions sur la gestion des affaires politiques et publiques du pays.
Le Ministre de l’Intérieur a été désigné pour assurer l’exécution de ce nouveau décret, qui sera publié au Journal officiel pour informer la population sénégalaise et les acteurs politiques concernés.
Ironie du sort, c’est le Pastef qui est aujourd’hui au pouvoir et a dû choisir un autre candidat car son président, Ousmane Sonko, ne pouvait pas se présenter à l’élection présidentielle. C’est donc Bassirou Diomaye Faye qui a été choisi pour représenter le parti et qui est devenu Président de la République du Sénégal. Il a pris ses fonctions le 2 avril 2024.
Après le premier Conseil des ministres dit de contact tenu le 9 avril dernier, le Président Bassirou Diomaye Faye et son Gouvernement se retrouvent ce mercredi au Palais.
« Déjà imprégnés des dossiers après leur passation de service, les ministres devraient former leur cabinet et entamer le travail » pour « la matérialisation » du Projet de transformation systémique du Sénégal, souffle Sud Quotidien.
Parmi les urgences, liste le quotidien d’information, le nouveau régime est attendu par les Sénégalais pour réduire le coût élevé de la vie. D’après la source, « la simple rumeur de la diminution du prix de la baguette de pain devenue virale sur les réseaux sociaux » en dit long sur l’attente des Sénégalais.
Traiter la cherté de la vie et augmenter le pouvoir d’achat des ménages concerne d’ailleurs le deuxième axe majeur sur les cinq destinés à guider l’action gouvernementale.
Le premier concerne la jeunesse, l’éducation, la formation, l’entrepreneuriat et l’emploi des jeunes et des femmes. Le troisième est consacré à la modernisation de la justice, à la protection des droits humains, à la gouvernance, à la transparence, à la reddition des comptes et à l’amélioration du système démocratique et électoral. Le quatrième axe porte sur la souveraineté économique, la prospérité du Sénégal, l’exploitation optimale des ressources naturelles et le développement endogène durable des territoires.
Enfin, le cinquième axe se concentre sur la consolidation de l’unité nationale, des solidarités ainsi que sur le renforcement de la sécurité, de la paix et de la stabilité du pays.
L’ancien président du Sénégal, Macky Sall, a été aperçu échangeant brièvement avec des compatriotes dans les rues de New York. Cette apparition publique fait suite à sa récente passation de pouvoir avec son successeur, Bassirou Diomaye Faye, au Sénégal.
Après avoir quitté officiellement ses fonctions présidentielles, Macky Sall a déménagé avec sa famille au Maroc. Toutefois, il continue de jouer un rôle actif sur la scène internationale. En effet, il venait de sortir d’une rencontre avec António Guterres, le Secrétaire général des Nations Unies, au moment de ces échanges. Cette rencontre était liée à son nouveau mandat en tant qu’Envoyé spécial du Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète (4P), une position que lui a confiée le président français Emmanuel Macron.
L’ex-président bénéficie désormais d’une sécurité moindre que celle habituellement accordée aux chefs d’État en fonction, témoignant de sa nouvelle vie post-présidentielle.
Khady Diéne Gaye, première femme à occuper le ministère des Sports, fusionné aux départements de la Jeunesse et de la Culture, s’attelle à former son équipe. D’après Le Quotidien, qui donne l’information, elle a déjà choisi son bras droit. Il s’agit de l’Inspecteur de l’Éducation populaire de la jeunesse et des sports (EPJS), El Hadji Tanor Gning, nommé directeur de Cabinet.
Le quotidien d’information souffle que Gning revient aux affaires car « ayant occupé le même poste du temps de l’ancien ministre Mbagnick Ndiaye. »
La source annonce deux autres nominations. Le première concerne l’assistante de direction Siré Sané promue Secrétaire particulière de la ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, et la seconde Aimée Marie Sarr Coly devenue assistante du nouveau directeur de Cabinet.
Comme chaque année, cette date marque la commémoration de la rencontre entre Cheikh Béthio Thioune et Serigne Saliou Mbacké Il y a des événements qui ne se produisent qu’une seule fois dans la vie et c’est vraisemblablement le cas de la rencontre historique entre Serigne Saliou Mbacké etCheikh Béthio Thioune.
C’était le 17 avril 1946 à Tassette, une localité située dans le département de Mbour et dont la portée temporelle et spirituelle reste inintelligible. Depuis, jour pour jour, de son vivant jusqu’à son rappel à Dieu, Cheikh Béthio Thioune en a fait un événement sacerdotal, une mission salvatrice.
Très proche du dernier fils de Khadimou Rassoul sur terre, Cheikh Béthio qui est né en 1938 à Madinatou Salam localité située dans le département de Mbour région de Thiès, a longtemps suscité interrogations au sein de l’orthodoxie Mouride avec ses «mots» qu’il utilisait pour décrire Serigne Saliou Mbacké son protecteur. De ses tournées voit le jour la terminologie «Thiantacounes», un terme wolof qui signifie littéralement «ceux et celles qui rendent grâce à Allah».
Sokhna Aïda Diallo compte ainsi pérenniser cet évènement, tout en perpétuant l’héritage initié par feu le guide des « Thiantacounes », Cheikh Béthio Thioune.
La direction de l’unité de sécurité, dont le chef de service est Amadou Tidiane Cissé, a rendu public les nouvelles consignes de sécurité en vigueur à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. Dans la note, le Chef de l’unité de sécurité attire «l’attention des Usagers pour une meilleure préservation de l’intégrité des personnes et de leurs biens dans les campus sociaux».
Désormais, les étudiants doivent obligatoirement présenter une carte de résident du Coud ou un récépissé d’enrôlement dans les portes d’entrée. Le personnel permanent du Coud et du Rectorat doit, quant à lui, obligatoirement présenter une carte professionnelle dans les portes d’entrée, selon les consignes édictées.
En ce qui concerne le personnel temporaire du Coud et du Rectorat, il doit obligatoirement présenter une carte d’accès dans les portes d’entrée. De même que les prestataires (boutiquiers et employés de chantiers) qui doivent obligatoirement présenter un badge ou un laissez-passer délivré par le Coud.
Quant aux visiteurs, ils doivent obligatoirement déposer au niveau des portes d’entrée, une Carte Nationale d’identité (CNI) ou un passeport devant être retiré à la sortie. D’ailleurs, Amadou Tidiane Cissé n’a pas manqué de préciser, afin que nul n’en ignore, qu’il attache du prix à l’exécution de la présente qui prend effet à compter de sa date de signature. C’est dire que rien ne sera plus comme avant à l’Ucad.
Pour sa première sortie internationale, le chef suprême des armées choisit un pays voisin. Il décide enfin de se rendre à la République islamique de Mauritanie, à Nouakchott.
Cette visite qui aura lieu ce mercredi 17 avril 2024 revêt, à n’en pas douter, plusieurs symboles. Beaucoup de liens unissent la Mauritanie et le Sénégal. Des liens essentiellement économiques avec l’exploitation du gaz. L’exploitation commune du gisement de gaz Grand Tortue Ahmeyim (Gta) reste le symbole fort du grand partenariat économique entre les deux pays.
Par ailleurs, le Président mauritanien, en exercice de l’Union africaine (UA), Mohamed Ould Ghazouani , avait pris part à la cérémonie de prestation de serment du Président Bassirou Diomaye Faye, le 2 avril dernier.
Le Président Bassirou Diomaye suit les pas de son prédécesseur Macky Sall qui s’était rendu en Gambie pour son premier déplacement aprés son accession au pouvoir le 25 mars 2012.
Le Président Bassirou Diomaye Faye est annoncé ce mercredi en Mauritanie. Il s’agit de son premier voyage officiel depuis son installation le 2 avril dernier après son élection à l’issue de la Présidentielle du 24 mars dernier.
Auparavant, informe Les Échos, le successeur du Président sortant, Macky Sall, a reçu le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop. La rencontre a eu lieu ce mardi au palais de la République.
Le dialogue des Institutions
Que se sont-ils dit ? La source croit savoir que « les deux chefs d’Institution ont discuté sur la nécessaire collaboration entre l’Exécutif et le Législatif » surtout que, poursuit celle-ci, le nouveau régime est minoritaire au sein du Parlement.
Ainsi, dans le cadre des nouvelles réformes envisagées dont « un projet de loi de finance rectificatif » et « la suppression de certaines Institutions », « il lui faut la collaboration des députés de la coalition Benno Bokk Yakaar »(BBY), pour éviter tout risque de blocage, avance le quotidien d’information.
Celui-ci indique que pour faire passer ces lois, il faut le vote des 3/5 des 165 députés, soit 99 parlementaires avant de rappeler que le nouveau Premier ministre Ousmane Sonko doit faire sa Déclaration de politique générale (DPG) dans moins de trois mois. Les députés de Benno réunis ont la possibilité de déposer une motion de censure au risque de faire tomber son gouvernement.
L’ancien Président de la République du Sénégal, Macky Sall, a participé, ce lundi 15 avril 2024, à l’édition 2024 des réunions de printemps du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale, à Washington.
Il a participé à cette rencontre en tant qu’envoyé spécial d’Emmanuel Macron. L’ex-Chef de l’Etat a pris part pour le compte de la France, au même titre que Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, qui a conduit la délégation française.
Cependant, nos confrères de Walfadjri évoquent un conflit d’intérêts dans ce cas, car Macky Sall joue actuellement le rôle à la fois d’Envoyé spécial du Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète (4P) et président de l’Alliance pour la république (APR). D’autant qu’il est sous la casquette d’ex-chef de l’Etat, il travaille désormais non pas pour le Sénégal mais pour l’Hexagone.
Ainsi, Walf-groupe souligne que Macky Sall pourrait y rencontrer des bailleurs qui, on ne sait jamais, pourraient être tenté de l’appuyer dans sa cause politique. Ce qui, selon nos confrères, serait une aubaine pour lui et ses collaborateurs dans leur nouvelle posture d’opposants. Cependant, comme son successeur, Macky Sall devrait démissionner de son poste de Président de l’APR jusqu’à nouvel ordre.
Sa nouvelle fonction d’envoyé spécial du pacte de paris pour les peuples et la planète (4p) s’établit sur quatre grands principes pour une «politique de solidarité internationale plus efficace permettant de mieux soutenir les états les plus vulnérables face aux crises et aux enjeux de transition climatique, dans le cadre d’une gouvernance internationale plus équilibrée».
Après que les nouvelles autorités sénégalaises ont également assisté à ce conclave. La délégation sénégalaise est conduite par Cheikh Diba, ministre des finances et du budget, et Abdourahmane Sarr, ministre de l’économie.
Après Un an et sept mois passés comme Envoyé Spécial de l’ONU à Tripoli, le diplomate sénégalais Abdoulaye Bathily a rendu le tablier.
Selon les informations de Jeune Afrique, Abdoulaye Bathily a démissionné de son poste d’Envoyé spécial de l’Organisation des Nations-Unies (ONU). Cependant, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a accepté sa démission à contrecœur, révèle la source.
Nommé en septembre 2022, le Sénégalais de 77 ans a confirmé à Jeune Afrique avoir démissionné de son poste. Il était la huitième personnalité à occuper cette fonction depuis la chute de Mouammar Kadhafi, en 2011. Selon Abdoulaye Bathily, la Libye «est devenue un terrain de jeu pour rivalités politiques et que personne ne veut que l’ONU réussisse sa mission ».
Ayant récemment pris fonction ce vendredi 12 avril 2024, en remplacement à Mame Mbaye Niang, le nouveau ministre des Sports, Khady Diene Gaye Dionne a décliné ses 17 chantiers prioritaires.
1. L’adoption du code du sport pour doter le secteur d’un cadre juridique qui intègre les nouvelles préoccupations et mutations intervenues dans le domaine du sport. Cette réforme va consacrer la refonte de la loi portant charte du sport. L’élaboration de nouveaux textes pour une meilleure prise en charge des exigences modernes du secteur. 2. La revalorisation et l’effectivité de l’enseignement de l’éducation physique et sportive au niveau de tous les cycles d’enseignement. 3. La redynamisation du sport scolaire et universitaire pour mieux assurer la démocratisation de l’accès au sport. Il faudra nécessairement pour ce faire : reprendre l’organisation des festivals nationaux du sport scolaire; relancer l’organisation des championnats nationaux universitaires; veiller à la régularité de la tenue des championnats du sport scolaire et favoriser la pluridisciplinarité dans les compétitions.
4. L’accompagnement des collectivités territoriales dans l’aménagement d’installations sportives de proximité. 5. La promotion et l’implication des ASC de quartier dans la prise en charge des préoccupations économiques et sociales. 6. La construction de structures d’accès et de promotion de l’élite sportive (lycées sportifs, pôles espoirs, pôles d’élites, etc.) à partir de la détection jusqu’au haut niveau. 7. L’accompagnement du processus de mise en place d’une mutuelle pour les sportifs pendant et après leur carrière.
8. L’élaboration d’un plan de reconversion des sportifs de haut niveau avec l’adoption du statut du sportif de haut niveau. 9. L’accompagnement de nos clubs sur le chemin de la professionnalisation. 10. La valorisation des métiers du sport pour lutter contre le chômage des jeunes en favorisant leur prise en charge par la fonction publique. 11. La mise en place d’un cadre de gestion formelle et optimisée des infrastructures sportives de grande envergure.
12. La promotion des mesures incitatives pour attirer le financement privé dans le sport. 13. Lincitation des entreprises du secteur parapublique et du privé à orienter leur Responsabilité Sociétale d’entreprise (RSE) vers le sport. 14. La création de chaînes de TV sportives orientées vers la promotion du sport. 15. La diversification des sources de financement du sport. 16. La promotion du tourisme sportif. 17. La mise en place d’un Fonds National de Développement du Sport (FNDS).
Tout juste après la fin de sa mission en tant que Chef de l’Etat, Macky Sall a été nommé Envoyé spécial du Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète (4P).A cet effet, il informe à travers un communiqué, avoir eu un entretien avec Antonio Guterres. « Je remercie le secrétaire général de l’ONU, mon ami Antonio Guterres pour notre entretien ce 16 avril 2024 au siège de l’Organisation. Je l’ai informé de ma mission d’Envoyé spécial du Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète (4P). Je me réjouis de notre convergence de vues sur les sujets dont nous avons discuté et lui exprime ma gratitude pour son soutien à ma mission », a-t-il publié sur X
La mise sur le basket-ball n’est pas seulement une façon de gagner de l’argent ou de divertir des millions de fans à travers le monde, mais elle est également un moteur de développement puissant pour toute l’industrie du sport. À mesure que les ligues de basket-ball gagnent en popularité, la variété des paris proposés par les bookmakers s’élargit, ce qui attire encore plus l’attention sur les matchs. Cet article examinera en profondeur les diverses catégories de paris sur le basket-ball et examinera de manière précise leur impact sur les disciplines sportives, l’économie et l’intérêt des spectateurs, offrant ainsi de nouvelles perspectives pour l’évolution des événements sportifs et des stratégies de marketing.
Les différents types de paris concernant le basket-ball
En ce qui concerne les parier sur le basket, il y a différentes catégories de paris qui offrent aux spectateurs et aux fans la possibilité d’apprécier le jeu tout en testant leurs compétences d’analyse et leur intuition. Examinons ces types de paris de plus près:
Parier sur le résultat du match (Moneyline). Il s’agit d’un type de pari de base dont l’objectif est de choisir le vainqueur du match. Les paris monétaires sont idéaux pour les débutants car ils sont simples et directs : vous gagnez si l’équipe que vous avez choisie l’emporte. Les cotes de chaque équipe sont fixées par les bookmakers et reflètent la probabilité du résultat ; les cotes les plus basses indiquent souvent les favoris, tandis que les cotes les plus élevées peuvent indiquer les outsiders.
Les paris à handicap. Les paris avec handicap ajoutent une couche de stratégie aux paris sur le basket-ball en vous permettant d’égaliser les cotes en introduisant un handicap virtuel. Si l’équipe A a un handicap de -7,5, cela signifie qu’elle doit non seulement gagner, mais qu’elle doit le faire par 8 points ou plus pour remporter le pari. Ce type de pari est particulièrement populaire lorsqu’une équipe est beaucoup plus forte que l’autre et que les paris simples sur une victoire n’offrent pas de cotes attrayantes.
les totaux (Over/Under). Les totaux de paris désignent le nombre total de points inscrits par les deux équipes lors d’un match. Le bookmaker fixe une certaine valeur et les paris sont placés sur le fait que le score réel sera supérieur ou inférieur à cette valeur. La compréhension des qualités défensives et offensives des deux équipes est essentielle pour ces paris, ainsi que d’autres éléments tels que la fatigue des joueurs ou les précédentes rencontres entre les équipes.
Profiter des quarts et des mi-temps pour parier. Le basket-ball, qui est un sport en quatre quarts, propose des paris exclusifs sur le résultat de chaque quart ou mi-temps du match. Ces paris nécessitent de comprendre comment les équipes commencent généralement le match, leurs stratégies de jeu pour le début et la fin du match, et la capacité à s’adapter aux circonstances changeantes du match. Cela peut s’avérer particulièrement utile pour les parieurs expérimentés qui peuvent analyser les tendances et les modifications du jeu en temps réel.
Types de paris élargis
Les paris sophistiqués proposent des choix plus sophistiqués et spécialisés pour les parieurs chevronnés qui souhaitent approfondir leur analyse ou accroître leurs gains potentiels grâce à leur expertise dans le basque-ball. Voici les spécificités de chaque type de paris :
Faire des paris sur les performances des joueurs. En raison de l’analyse approfondie des statistiques dans le domaine du sport, les paris sur les performances individuelles des joueurs sont de plus en plus prisés. Le nombre de points marqués par un joueur, le nombre de rebonds, de passes décisives et d’autres statistiques importantes comme les blocages ou les interceptions sont des options de paris disponibles chez les bookmakers. Ces paris exigent des parieurs qu’ils aient une connaissance approfondie des capacités et de la forme actuelle des joueurs, ainsi que de leurs chances de réussite dans un match ou une saison donnés.
Parlay. Les paris Parlay sont une combinaison de deux résultats ou plus en un seul pari, ce qui augmente considérablement les gains potentiels. Prenons l’exemple de la victoire de l’équipe A et d’un total de points dans le match supérieur à 210,5. Toutes les composantes d’un pari-pari doivent être réussies pour que le pari soit gagnant, ce qui le rend plus risqué, mais aussi plus rentable en cas de succès.
Futures. Les futures sont des paris sur des résultats qui seront déterminés à long terme, comme le vainqueur du championnat national, le meilleur joueur de la saison ou l’équipe qui atteindra la finale de la conférence. Souvent, ces paris sont effectués avant ou au début de la saison et nécessitent que les parieurs étudient différents éléments, tels que les transferts de joueurs, la composition de l’équipe et les données antérieures. Les contrats à terme offrent des cotes élevées et des gains potentiels importants, mais comportent un niveau élevé d’incertitude et de risque.
Évaluation complète de l’impact des paris sportifs sur le développement de l’industrie du sport.
L’industrie du sport est fortement influencée par les paris sportifs, qu’il s’agisse d’accroître l’audience ou de soutenir financièrement les équipes et les ligues. Évaluer comment les paris sportifs façonnent la dynamique de l’industrie du sport permet une compréhension et une analyse plus approfondies des nombreux aspects de l’impact de cette activité sur le sport.
Augmentation du nombre de téléspectateurs et de l’audience télévisuelle
Les paris sportifs suscitent l’intérêt d’un public plus vaste pour les activités sportives. Les personnes qui pratiquent le pari sont davantage enclines à suivre les matchs en direct afin de suivre les résultats, ce qui a un impact direct sur l’audience. La valeur des droits de télévision et des créneaux publicitaires pendant les retransmissions est alors augmentée par des taux d’audience élevés, ce qui représente une source importante de revenus pour les ligues et les organisations sportives.
Augmentation des possibilités de marketing et de parrainage
Grâce à l’augmentation de l’audience, les organisations sportives ont davantage de possibilités de commercialiser et de vendre des marchandises telles que des uniformes, des accessoires et des billets. En outre, les paris sportifs attirent de nouveaux sponsors sous la forme de bookmakers et d’autres sociétés liées aux jeux d’argent qui souhaitent s’associer à des ligues et à des événements sportifs populaires. Ces accords de parrainage prévoient souvent des investissements importants qui peuvent être utilisés pour améliorer les infrastructures, augmenter les prix et améliorer la qualité générale de la compétition.
Impact financier sur les équipes et les athlètes
Les paris sportifs influencent également le financement des équipes et des athlètes par divers moyens. Par exemple, les équipes performantes qui attirent un grand nombre de paris bénéficient souvent d’un meilleur soutien financier grâce à des contrats de sponsoring plus importants. Dans certains cas, les revenus des paris peuvent également influencer les structures de paiement et même les négociations des contrats des athlètes, car les équipes cherchent à attirer ou à retenir les meilleurs talents, ce qui est directement lié à la popularité d’une équipe auprès des parieurs.
Considérations éthiques et réglementaires
En plus de leurs conséquences économiques, les paris sportifs posent également des interrogations éthiques et réglementaires. Les clubs sportifs et les bookmakers doivent collaborer afin d’assurer la transparence et l’équité des événements sportifs. Dans le but de préserver l’intégrité du sport, il est nécessaire d’établir des règles rigoureuses et des contrôles afin d’éviter toute manipulation des résultats.
L’impact de la technologie sur les paris dans le domaine du basket-ball
Les avancées technologiques ont profondément modifié l’environnement des paris sur le basket-ball, ce qui a rendu le processus plus intégré et captivant. L’accès accru aux plateformes en ligne et aux applications mobiles permet aux fans de parier en temps réel, quelle que soit leur situation géographique. L’utilisation de l’intelligence artificielle et de l’apprentissage automatique pour analyser de grandes quantités de données sur les matchs passés, la forme des joueurs et d’autres statistiques nous permet de fournir des prédictions plus précises sur les résultats des matchs, augmentant ainsi les chances de réussite des paris. Cela favorise non seulement une augmentation de l’implication des supporters, mais également une approche plus éclairée et plus approfondie des jeux d’argent.
La technologie a aussi un rôle essentiel dans l’assurance de la transparence et de l’intégrité des paris. Les dispositifs de contrôle et de vérification des données contribuent à éviter la fraude et la manipulation, garantissant ainsi la protection des intérêts des acteurs du marché des paris et des clients. Par exemple, la technologie blockchain permet une transparence et une sécurité accrues des transactions, tout en maintenant les informations sur les paris immuables. Ces avancées contribuent à renforcer la confiance des utilisateurs envers les plateformes de paris, tout en favorisant un environnement de jeu plus juste et plus responsable, ce qui a un effet considérable sur l’ensemble de l’industrie des paris sportifs.
Le gouvernement du Sénégal, désormais dirigé par le Premier ministre Ousmane Sonko, tiendra son deuxième conseil des ministres ce mercredi 17 avril 2024. Cette session intervient une semaine après un premier rassemblement qui avait été qualifié de « simple formalité de prise de contact ». Lors de ce premier conseil, aucune décision n’avait été prise, les ministres n’ayant pas encore effectué leur passation de service.
Le nouveau président élu, Bassirou Diomaye Faye, et son cabinet, confrontés à des attentes élevées, voient dans cette rencontre une opportunité de poser les jalons pour le quinquennat à venir. Le peuple sénégalais espère des décisions significatives, notamment des nominations et l’adoption de projets de loi, ainsi que la signature de décrets qui vont avoir un impact direct sur la vie des sénégalais.
Cette réunion est d’autant plus critique que, juste après celle-ci, le chef de l’État s’envolera pour la Mauritanie où il est attendu pour une visite officielle le même jour.
Le député Guy Marius Sagna a comparu hier, lundi, 15 février 2024 devant la Cour d’appel de Dakar.
Cette affaire remonte au 14 novembre 2021. Guy Marius a été accusé d’avoir jeté le discrédit sur la gendarmerie nationale. Le parquet, pour rappel, avait en première instance requis 2 ans de prison dont 6 mois ferme contre lui, avec une amende de 200.000 F Cfa. Le procureur de la République avait estimé que Guy Marius Sagna a porté de fausses informations en accusant la gendarmerie d’être à la solde du président de la République.
Dans un post publié sur Facebook. Il avait écrit : « c’était une cinquantaine de nervis qui agissent pour le compte du président de la République qui m’ont attaqué ». C’est lors d’un voyage qu’il avait fait à Parkour, dans le département de Vélingara, avec ses pairs activistes pour dénoncer la grave spoliation foncière dont sont victimes les populations de cette localité.
Mais au moment de son procès, il avait dit au juge : « je n’ai pas été arrêté parce que j’ai fait un post sur facebook, mais plutôt parce que je suis un activiste. J’ai des engagements et on avait même des programmes qui sont très sensibles et c’est ce que voulait empêcher le gouvernement. Voilà pourquoi je suis ici, mais pas à cause d’un post sur un réseau social ».
D’après toujours Guy Marius, le général de Division Moussa Fall, qui dirige la gendarmerie, est mieux informé que tous les Sénégalais. Et c’est lui qui aurait bloqué sa plainte. Il poursuit : »sachez que notre plainte dort dans les tiroirs depuis 5 mois alors que tous mes camarades étaient blessés lors de l’attaque à Nianing. Certains d’entre nous ont eu des Interruptions temporaires de travail (Itt). Les noms des malfrats ont été donnés à la gendarmerie, mais ces derniers sont toujours en liberté. Ce ne sont pas des suppositions car les actes sont plus parlants que les propos. J’ai été agressé à Nianing ».
L’affaire est renvoyée pour plaidoirie au 13 mai prochain.
Maman Aziz, la fille de l’ex-promoteur a réussi à célébrer son mariage de façon religieuse durant le mois sacré de Ramadan. Ainsi après que ce temps de spiritualité a pris fin place maintenant à la grande cérémonie.
C’est ainsi que nous venons d’apprendre sur les réseaux sociaux que la cérémonie se tiendra ce samedi 20 avril 2024 au King Fahd Place.
L’Etat du Sénégal a décidé d’acheter les livres de Senghor et d’ouvrir un musée
Comme annoncé hier, la vente aux enchères des livres ayant appartenu à Léopold Sédar Senghor, prévue à Caen, a été suspendue, en attendant des négociations avec l’Etat du Sénégal. Selon l’ambassadeur du Sénégal en France El Hadji Magatte Seye et Oumar Badiane, le président Bassirou Diomaye Faye a décidé d’acquérir, pour le gouvernement, l’ensemble des livres de Senghor et d’ouvrir un musée.
Les 343 livres ayant appartenu à Léopold Sédar Senghor devraient revenir à l’Etat du Sénégal. Le président Bassirou Diomaye Faye et son gouvernement ont pris l’affaire en main, a confirmé à l’AFP Oumar Badiane, directeur du patrimoine culturel sénégalais.
El Hadji Magatte Séye, ambassadeur du Sénégal en France, a également fait savoir à l’AFP qu’il a « engagé, sur instruction du nouveau président de la République du Sénégal [Bassirou Diomaye Faye], des discussions avec le commissaire-priseur pour aboutir à la suspension de la vente et trouver un accord pour une vente de gré à gré ». « Nous espérons vivement que nous allons aboutir à un accord très rapidement pour rapatrier les œuvres au Sénégal », a-t-il ajouté.
Selon l’ambassadeur, le gouvernement de M. Faye souhaite ouvrir un musée à l’honneur de Senghor. « L’Etat du Sénégal a décidé de créer un musée Senghor pour tout ce que le président a représenté : premier président du Sénégal, père fondateur de la nation, homme de culture et homme d’une dimension mondiale, qui est en lui-même un symbole de trait d’union universel entre les peuples », a fait savoir El Hadji Magatte Séye.
Les retrouvailles se précisent. Les Échos du jour fait part d’une rencontre secrète entre la secrétaire générale par intérim du Parti socialiste (PS), Aminata Mbengue Ndiaye et le candidat malheureux à la Présidentielle du 24 mars dernier, Khalifa Sall. Celui-ci est venu en compagnie du maire de Dakar, Barthelemy Dias, et de l’édile de Grand-Dakar, Jean Baptiste Diouf, souffle la source.
Le quotidien d’information croit savoir qu’il était question de la débâcle électorale subie le mois de mars dernier sans donner plus de précisions.
En fin de mandat, le président sortant Macky Sall a signé un contrat d’une nouvelle usine de dessalement d’eau de mer de 400.000 m3/J. Des experts sénégalais du secteur de l’eau sonnent l’alerte ; il s’agit d’un contrat d’un montant de 450 milliards de francs CFA, avec Acwa Power, une entreprise étrangère.
Pour eux, ce contrat doit être annulé pour l’intérêt du pays et des populations sénégalaises. Toujours dans le même sillage, ces experts invitent le nouveau gouvernement à réexaminer ce contrat qui selon eux a été signé de manière illégitime et sans concertation publique.
« Alors que l’attention nationale était captivée par l’issue de l’élection historique marquant la troisième transition démocratique au Sénégal, une décision controversée du Président sortant Macky Sall, suscite de vives inquiétudes.
À l’ombre des projecteurs politiques, un contrat de 450 milliards de FCFA a été signé par entente directe avec une entreprise privée étrangère, pour l’achat d’eau sur 35 ans, à partir d’une usine de dessalement d’eau de mer de 400.000 m3/j à construire sur la Grande-Côte des Niayes.
Si ce contrat, dont l’ampleur et les implications socio-économiques suscitent des interrogations, était confirmé, la réalisation du projet Canal du Cayor serait de facto compromise, car les deux opérations ne peuvent manifestement pas être exécutés sur le même horizon temporel, pour des raisons économiques évidentes », ont fait remarquer ces experts dans la note.
Ainsi, ils soulignent «en inscrivant la réalisation du Canal du Cayor, projet à très haute valeur ajoutée sur l’économie nationale, parmi les objectifs prioritaires du quinquennat, le nouveau Gouvernement du Sénégal a d’ores et déjà exprimé sa volonté de mettre en œuvre ce projet de grand transfert d’eau brute depuis le Lac de Guiers, pour à la fois, assurer l’approvisionnement en eau potable à long terme du triangle urbain Dakar-Mbour-Thiès (DMT) et de la ville de Touba, et l’irrigation de zones agricoles stratégiques à l’intérieur du pays».
Sous l’angle de l’éthique et de la procédure, la signature de ce gros contrat par un Président en fin de mandat, sans appel d’offres ni consultation, jette le doute sur l’intégrité du processus décisionnel, selon ces experts du secteur de l’eau. «Les réserves des experts du secteur de l’eau, concernant la pertinence et le coût exorbitant du projet et son impact sur l’équilibre financier du secteur de l’eau, semblent avoir été purement ignorées», ont-ils dit.
Aussi, ils ajoutent que « l’empressement avec lequel le contrat a été ratifié, en présence du Chef de l’Etat lui-même ainsi que le ministre de l’Eau et celui des Finances qui ont contresigné le contrat séance tenante, nécessite des explications aux citoyens sénégalais qui revendiquent une gouvernance transparente et responsable ».
Si l’on en croit le secrétaire d’État à l’Urbanisme et au Logement, la loi instituant la baisse des prix du loyer, depuis mars 2023, devrait être révisée par les nouvelles autorités. «L’ancien régime a essayé en termes de solutions, mais nous, nous sommes là avec un programme qui va reposer sur un certain nombre de dispositifs et de mécanismes», annonce Momath Talla Ndao dans un entretien paru ce lundi dans L’Observateur.
Le secrétaire d’État laisse entendre qu’il sera question de veiller aux intérêts des locataires sans léser les bailleurs. Il dit : «Je pense que c’est là où l’ancien régime avait péché. […] Nous allons mettre en place un dispositif permettant de pouvoir jouer sur des leviers tels que la TVA et d’autres mécanismes financiers dans le but de permettre aux promoteurs immobiliers de pouvoir sentir un allègement sur les impôts et taxes afin qu’ils baissent le coût du loyer.»
Les nouvelles autorités ne comptent pas s’arrêter là. «Au-delà de ces taxes et impôts, nous allons travailler sur la SN HLM, la Sicap. Ces structures vont nous permettre de pouvoir augmenter l’offre, projette Momath Talla Ndao. Car, en réalité, [la question du] loyer [concerne le] marché de l’offre et de la demande. L’État doit inonder le marché d’une offre permettant d’entraîner une réduction du coût du loyer. Sans cela, il nous sera difficile d’avoir les résultats escomptés.»
Le secrétaire d’État à l’Urbanisme et au Logement informe que «dans un délai raisonnable, les dispositifs nécessaires seront mis en place pour régulariser de manière intelligente la question du loyer».
Pour son premier déplacement hors du territoire depuis sa prise de fonction, le nouveau président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye se rendra, mercredi prochain, 17 avril 2024, à Nouakchott (Mauritanie). L’information est donnée par le journal mauritanien, Le Quotidien de Nouakchott dans une dépêche publiée sur la page Facebook.
Le président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani avait assisté à la cérémonie d’investiture du nouveau président sénégalais, le 2 avril dernier au centre d’exposition de Diamniadio. Les deux hommes avaient également eu un long entretien téléphonique au lendemain de la victoire dès le premier tour du candidat de la coalition DiomayePrésident, au cours duquel le président par intérim de l’UA a félicité Bassirou Diomaye Faye.
Le Chef de l’État profitera de cette première visite officielle pour raffermir les liens de bon voisinage et passer en revue avec son homologue mauritanien la coopération qui lie les deux pays, notamment dans le domaine de l’exploitation du gisement gazier Grand Tortue Ahmeyin (GTA). Estimé à 450 milliards de mètres cubes de gaz, ce champ à cheval sur la frontière maritime sénégalo-mauritanienne est considéré comme l’un des plus importants en Afrique de l’Ouest. Son entrée en exploitation a été reportée au troisième trimestre de 2024.
La première visite officielle du chef d’État, Bassirou Diomaye Faye à Tivaouane, est un rituel politique important au Sénégal. Cette tradition, qui remonte à l’indépendance du pays en 1960, symbolise le respect et l’hommage rendu par le pouvoir politique aux autorités religieuses du pays. Ce lundi, le chef de l’Etat s’est également rendu dans la ville sainte pour s’entretenir avec Serigne Babacar Sy Mansour, Khalife général des Tidianes.
Accompagné d’une délégation comprenant son directeur de cabinet Mary Teuw Niane et des membres de son gouvernement, notamment le ministre de l’Intérieur Jean-Baptiste Tine et le ministre des Transports Malick Ndiaye, le Chef de l’État a présenté ses condoléances suite au rappel à Dieu de Serigne Mame Ousmane Sy Dabakh.
Le Président Faye a également exprimé au Khalife sa volonté de poursuivre le programme de modernisation de la ville sainte et d’accompagner les travaux de finition de la Grande Mosquée de Tivaouane.
Cette visite a été hautement appréciée par le Khalife qui a formulé des prières pour la paix, la concorde et une excellente réussite des programmes déclinés par le Chef de l’Etat et son gouvernement.
Comme à Touba, le Président de la République a eu le privilège de recevoir des cadeaux d’une grande valeur du Khalife Serigne Babacar Sy Mansour.
Le président de la République compte sur les prières et les recommandations des chefs religieux pour gouverner le Sénégal. Bassirou Diomaye Faye a déclaré qu’un chef de l’État doit impérativement discuter avec les autorités religieuses.
« Nous sommes très honoré de venir à Touba en tant que président de la République, disciple et fils. Les chefs religieux jouent un important rôle dans le pays. Personne ne peut pas vous dissocier dans les affaires de la cité », précise le président de la République.
Il a également sollicité des prières pour réussir sa mission. Le chef de l’État a reçu un exemplaire du Saint Coran, une natte de prière et un chapelet des mains du khalife.
C’est ce qu’on pourrait appeler des révélations explosives. Oumar Sow, ex-conseiller de Macky Sall, l’a accusé sur l’émission Tolluway de Seneweb. Selon l’homme politique, l’ancien président sénégalais a acheté un jet privé d’une valeur de 40 milliards Fcfa.
« Macky Sall a acheté un jet privé d’une valeur de 40 milliards Fcfa. C’est un Falcon, vous verrez prochainement cet avion. Il a été acheté sur la base de montages financiers », a-t-il déclaré sur Tolluwaay, accusant l’ancien dirigeant de s’être enrichi sur le dos de ses conseillers et du peuple sénégalais. Selon Oumar Sow, Macky Sall a également fait sortir un container rempli d’or, de tableaux et de bijoux de valeur, d’argent, pour son domicile au Maroc. « Tout ceci, c’est pour préparer son retour. Il ne laissera pas ce gouvernement travailler tranquillement », a-t-il ajouté. « J’attends Bassirou Diomaye Faye sur ces dossiers », a-t-il ajouté.
Le nouveau président de la République du Sénégal a effectué sa première visite à Touba. Bassirou Diomaye Faye a été reçu par le khalife général des mourides en présence de Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre.
Le chef de l’Etat a pris des engagements devant le patriarche de Darou Miname pour résoudre le problème de l’eau et de l’assainissement. Il compte aussi accompagner le khalife dans ses projets.
En guise de cadeau, Serigne Mountakha Mbacké a remis un exemplaire du Saint Coran et une natte de prière.
Le président de la République Bassirou Diomaye Faye est arrivé lundi soir dans la cité religieuse de Tivaouane, où il effectue une visite de courtoisie auprès du Khalife général des tidianes, Serigne Mbaye Sy Mansour,.
Bassirou Diomaye Faye était un peu plutôt dans la ville sainte de Touba, où il a effectué sa première visite dans les cités religieuses du pays depuis son installation, le 2 avril dernier. A Tivaouane, un dispositif a été mis en place chez le Khalife des Tidianes pour l’arrivée du chef de l’Etat accompagné du ministre de l’Intérieur, Jean Baptiste Tine, du ministre des Transports, Malick Ndiaye, et de son directeur de cabinet, Mary Teuw Niane.
La cherté du loyer, un souci majeur des Sénégalais, plus particulièrement à Dakar. Le nouveau gouvernement du Président Bassirou Diomaye Faye compte réduire le coût. Momath Talla Ndao, secrétaire d’Etat à l’Urbanisme et au logement explique la stratégie du nouveau régime face à cette situation.
Alléger les impôts
D’après Momath Talla Ndao, là où l’ancien régime avait péché surtout, c’est l’absence de mécanismes réels et de dispositifs d’une politique claire capable de répondre aux attentes des citoyens sénégalais. En termes d’offres, « nous allons mettre en place un dispositif permettant de pouvoir jouer sur des leviers, tels que la Tva et d’autres mécanismes financiers, dans le but de permettre aux promoteurs immobiliers de pouvoir sentir un allégement sur les impôts et taxes afin qu’ils baissent le coût du loyer », a-t-il dit dans les colonnes du journal L’Observateur.
Sn Hlm, Sicap
Au-delà de ces taxes et impôts, le secrétaire d’Etat à l’Urbanisme et au logement annonce qu’ils vont travailler sur la Sn Hlm, la Sicap. « Ces structures vont nous permettre de pouvoir augmenter l’offre. Car, en réalité, le loyer est un marché de l’offre et de la demande. L’Etat doit inonder le marché d’une offre permettant d’entraîner une réduction du coût loyer, sans cela, il nous sera difficile d’avoir les résultats escomptés », a-t-il ajouté.
Dans un délai raisonnable…
Mais, il précise d’emblée qu’il n’y aura pas de politique politicienne, encore moins d’effet d’annonce sur la politique. D’ailleurs, dans un délai raisonnable, poursuit, M. Ndao, « les dispositifs nécessaires seront mis en place pour régulariser de manière très intelligente la question du loyer. »
Comme annoncé par Senego, le président de la République Bassirou Diomaye Faye s’est rendu ce lundi pour la première fois à Touba depuis son élection à la tête du pays.
En signe de respect au lieu saint, le Chef de l’Etat a enlevé ses chaussures au domicile du khalife du général des mourides Serigne Mountakha Mbacké.
Depuis son élection, le 5 Président du Sénégal se distingue par son humilité. D’abord en évitant le déplacement à Aminata Mbengue Ndiaye en béquille, ensuite avec Imam Moussa Samb. Ce lundi à Touba chez khalife, il a encore matérialisé son discours de gouverner avec humilité.
La coalition Diomaye Président s’est, de nouveau réunie, ce dimanche 14 avril 2024, dans le but de travailler sur les recommandations faites, le 06 avril dernier, lors de sa réunion avec le président Bassirou Diomaye Diakhar Faye au King Fahd Palace.
En marge de cette rencontre tenue hier, la président de la Conférence des leaders de ladite coalition, Aida Mbodj qui dirige les travaux a profité de l’occasion pour s’adresser aux nouveau alliés qui ont rejoint la formation politique après leur victoire. A l’en croire, il n’est nullement question de laisser entrer dans la coalition des personnes qui veulent profiter des largesses du pouvoir. A ce titre, elle alerte dés à présent.«Certains sont là en face de moi. Mais, il faut une opposition qui s’oppose et un pouvoir qui gouverne », déclare-t-elle devant plus de 230 leaders
Dans l’optique de répondre plus aux besoins des populations, la coalition, indique le quotidien Bès Bi, compte changer d’appellation «pour ne pas la personnaliser et lui donner une dimension nationale». Des propositions vont être faites à ce sujet à la prochaine rencontre prévue en mai.
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