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Exclusif – Lac 2 clôt le débat pour son combat contre Siteu : « beuré wouma ak mom, lolou dou… »

Lac 2 clôt le débat pour son combat contre Siteu
Lac 2 clôt le débat pour son combat contre Siteu

Depuis sa belle victoire sur Papa Sow, beaucoup d’adversaires sont proposés à Siteu pour son prochain combat. Et le nom de Lac 2 est très cité par les amateurs comme l’adversaire logique du Tarkinda. Le Diato de Walo interrogé pour avoir sa décision, Lac 2 exprime son niet catégorique, refuse de tendre la perche à Siteu et ajoute que ce combat n’a pas sa raison d’être.

La Douane sénégalaise met la main sur 905 000 000 Fcfa en faux billets (communiqué)

faux billets
faux billets

Des billets noirs d’une contrevaleur de 905 millions en francs CFA ont été saisis par le GPR (Groupement polyvalent de recherches et de répression de la Fraude) de la Douane, a annoncé le Colonel Alpha Touré Diallo.

Le Groupement polyvalent de Recherches et de Répression de la Fraude (GPR) des Douanes sénégalaises a fait une saisie de billets noirs d’une contrevaleur de 905 000 000 de francs CFA. Ladite saisie est le fruit d’une opération menée à Thiès puis à Dakar. Six (06) individus ont été appréhendés, annonce le communiqué de la Douane.

Les agents du GPR ont déjoué, ce vendredi 11 novembre 2022, une tentative de mise en circulation de billets noirs dans la ville de Thiès. Suite à un renseignement, ils ont pu infiltrer le réseau de faussaires. C’est ainsi qu’ à bord d’un véhicule de marque KIA SORENTO, les criminels, au nombre de 04, se sont présentés au lieu indiqué par l’agent « acheteur » à qui ils ont présenté des blocs de billets noirs. C’est ainsi que les autres agents de l’escouade se sont présentés et ont procédé à l’interpellation des occupants du véhicule.

La saisie porte sur 05 blocs au total dont 03 en Euros , 01 en CFA et 01 en dollars USA pour une contrevaleur estimée a 900.000.000 frs CFA.

Dès les premières auditions, les faussaires ont déclaré agir pour le compte d’un fournisseur basé à Dakar. Une perquisition chez le présumé fournisseur est aussitôt organisée avec l’accord du Procureur de la République de Thiès et l’appui de la Section de Recherches de la Gendarmerie.

Elle a permis d’appréhender le présumé fournisseur et un (01) autre individu au quartier Grand Médine et de saisir deux (02) autres blocs de coupures de billets noirs d’une contrevaleur de 5 millions de francs CFA. L’enquête suit son cours

La Douane sénégalaise, consciente des effets néfastes sur notre économie de l’injection de faux billets dans le circuit monétaire, réaffirme sa détermination à combattre la criminalité financière sous toutes ses formes, a annoncé le Colonel Alpha Touré Diallo.

El Hadji Diouf veut montrer « qu’il fait son job », regardez ce qu’il demande au cameraman (vidéo)

El Hadji Diouf veut montrer
El Hadji Diouf veut montrer

El Hadji Diouf est actuellement à Doha, auprès de l’équipe nationale du Sénégal. L’ancien attaquant des « Lions de la Teranga » s’entraîne avec les joueurs. Séance de petites courses, jonglage, échanges avec certains cadres… il est en plein dans la vie de groupe. Et pour faire voir tout cela, il n’a pas hésité à interpeller le cameraman de la FSF. « Il faut me prendre de temps en temps, les gars et moi, pour montrer qu’on fat notre job », lui lance-t-il. Quelques secondes après, il sera filmé dans la peau d’un superviseur… du Dioufy !

Bonne nouvelle pour les travailleurs de la LONASE : Le dg Lat Diop augmente tous les salaires

Lat Diop
Lat Diop

Les travailleurs de la Lonase sont certainement aux anges apres l’annonce de la revalorisation des salaires. Une décision que la boite n’avait pas connue depuis 2002. Solon le communiqué c’est une initiative pour mieux améliorer les conditions de vie du personnel

Dernière minute – Tivaouane : Sonko écourte son nemeku-Tour et retourne sur Dakar…

Sonko
Sonko

Ousmane Sonko a suspendu son nemekou-Tour dans le département de Tivaouane, qui devait durer plus de 10 jours pour des obligations non encore dévoilées.

L’information a été confirmée par le député de Yewi Askan wi, Assane Diop qui informe également que la tournée va reprendre la semaine prochaine.#Sonko #Tivaouane

« EMPRISONNÉ POUR “SECRET DÉFENSE”: LA LIBÉRATION IMMÉDIATE DE PAPE ALÉ RÉCLAMÉE, RESTE UNE EXIGENCE »

Zaynab Sangaré,
Zaynab Sangaré,

La presse pleure un fils embastillé, emprisonné et cloîtré pour obtenir son silence. La libération immédiate du journaliste d’investigation Pape Alé Niang est tant réclamée par toute sa corporation et des Sénégalais, épris de justice.

Il est anachronique de voir un journaliste en prison dans un pays comme le Sénégal, doté d’un paysage médiatique pluriel, foisonnant et considéré comme l’une des démocraties les plus stables en Afrique. Sur ce principe, les autorités doivent libérer le journaliste Pape Alé Niang et établir un dialogue avec les acteurs de la presse. Même si, la dépénalisation des délits de presse n’est toujours pas effective au Sénégal, elle continue de poser problème. En plus, les textes régissant les médias doivent être examinés.

L’Afrique semble être une terre de prédilection des Républiques bananières et des potentats où les régimes politiques ont tendance à user et abuser de concepts détournés de leur sens originel pour berner le peuple et mettre au pas les citoyens. Des pratiques mafieuses de captation des deniers publics et des malversations qualifiés de crimes économiques sont régulièrement, maquillés secret d’Etat. Et, le Sénégal qui aurait dû se démarquer de cette posture s’inscrit présentement, dans une dynamique de pratiques incohérentes. C’est un pays qui maintient le flou dans ses textes et règlements, régissant les médias et les journalistes. L’absence de défintion claire de certaines lois et textes entretiennent un flou incontestable. Et personne ne peut contester le fait que les médias publics et privés ont participé de manière irréversible à la construction de la démocratie et du dialogue socio-politique national.

Ainsi, les fossoyeurs de la liberté de la presse et de la démocratie veulent, abattre les rares arbres encore debout dans l’espace médiatique sénégalais, tristement clairsemé. Ils ne supportent pas le regard impénitent du journaliste d’investigation, Pape Alé Niang. Ce dernier, titille depuis un certain temps, leur mauvaise conscience, en mettant sur la place publique leurs tares. Avec son arrestation et son emprisonnement, le pouvoir du Président Macky Sall vient de franchir la ligne rouge. Puisque, Pape Alé Niang est aujourd’hui, l’un des symboles d’une presse libre et digne, au service de l’intérêt général. Talentueux et perspicace, il n’a jamais perdu de vue que ce métier ne cherche pas à plaire ou à faire tort. Pape Alé Niang a toujours eu le courage de porter la plume dans la plaie. Et l’Etat, en mettant aux arrêts un journaliste, vient de poser un nouveau jalon dans sa tentative de museler la presse.

Le placement de Pape Alé Niang, sous mandat de dépôt pour «divulgation d’informations non rendues publiques par l’autorité compétente de nature à nuire à la Défense nationale, recel de documents administratifs et militaires, diffusion de fausses nouvelles de nature à jeter le discrédit sur les institutions publiques, obligent à s’interroger sur des dispositions liberticides du Code de la presse dans ses articles 5 et 18, parlant de «Secret Défense». Il faut le reconnaître qu’il s’agit tout simplement, d’une notion fourre-tout, rappelant l’article 80 du code pénal (offense au chef de l’Etat, trouble à l’ordre public, diffusion de fausses nouvelles etc).

Le Secret Défense menace le journalisme
Le danger pour la profession, c’est le caractère extensible de la définition du Secret Défense. Sur quoi reposerait sa légitimité s’il doit institutionnaliser des pratiques dévoyées ? Et si cette loi visait à museler la presse et à la rendre moins opérationnelle dans ses investigations sur les dysfonctionnements des institutions publiques, militaires et les cas patents de corruption ? Elle nous installe confortablement sur les intensions du législateur de protéger certaines personnalités et institutions. Ces mêmes règles servent à dissimuler des agissements coupables, imputables à des décideurs politiques, militaires ou autres hommes d’affaires plus enclins à défendre un secret.
Sous ce registre, le journaliste ne saurait s’opposer à la loi, relative au «secret défense» si elle sert l’intérêt général. Les informations de nature à fournir les moyens aux forces étrangères etc. doivent être strictement protégées par les règles, touchant le secret défense. Surtout avec la montée des périls djihadistes où la diffusion de certaines informations peut mettre en danger les populations.

Mais,ce que nous réclamons c’est la libération immédiate du journaliste, Pape Alé Niang, victime de ses opinions et de son courage. Personne n’ignore que l’Etat fait de sorte qu’une bonne partie de la presse est engagée à ses côtés. Mais, les seuls téméraires, refusant de vendre leur dignité sont voués aux gémonies et trainés dans la boue. Face à leur résistance et refus d’être embastillés, l’autorité n’hésiterait point à les envoyer en prison. Ce qui est regrettable dans un pays où l’Etat parle de gestion sobre et vertueuse des affaires de la République. Et, les dénonciateurs des actes de malversations financières, détournements de deniers publics et gestion lugubres sont menacés. Tout le monde pourra constater qu’il s’agit d’un paradoxe.

Ailleurs, il serait difficile de ne pas s’interroger sur la proximité du journaliste Pape Alé Niang lorsque l’actuel Président Sall était dans l’opposition. Le journaliste avait même pris des risques pour l’offrir sa tribune d’expression, en bravant autrefois, les injonctions de ses patrons. C’est vrai que le pouvoir impose de nouveaux comportements et de nouvelles attitudes. Sinon, rien n’explique l’emprisonnement du journaliste qui croupit présentement à la prison de Sébikotane, inaccessible pour ses avocats et autres amis de la presse d’ailleurs.
Mais, l’Etat doit savoir que malgré son isolement, certains confrères et consoeurs ne sont pas dans les dispositions de l’abandonner. Nous allons nous constituer en bouclier pour combattre l’injustice qu’il est en train de subir. La place du journaliste n’est pas dans une prison. Mais, bien dans son lieu de travail, disposé à servir sa Nation dans la meilleure des facons.

Liberté pour le journaliste, Pape Alé Niang…

Zaynab Sangaré,
Journaliste, Le Témoin
Public Relation Officer

(Vidéo) Sadio Mané à Bambaly pour des soins traditionnels “ Mothi”- le ministre en alerte, Siir se confie

Sadio Mané à Bambaly pour des soins traditionnels
Sadio Mané à Bambaly pour des soins traditionnels

Video: Cheikh Sarr a failli faire pleurer Mya en parlant de son divorce »sen couple bi daf nexon sénégalais »

Cheikh Sarr a failli faire pleurer Mia en parlant de son divorce »sen couple bi daf nexon sénégalais »

Madiambal Diagne : « Macky Sall incontournable en 2024 »

Madiambal Diagne
Madiambal Diagne

A peine les résultats de l’élection présidentielle du 24 février 2019 étaient connus, c’est-à-dire dès que la réélection du Président Macky Sall fut actée, que le débat avait ressurgi sur son éventuelle nouvelle candidature en 2024. Ce débat avait commencé lors du référendum de 2016 pour la révision de la Constitution.

A ce moment-là, tout le monde s’accordait sur la possibilité offerte, du point de vue du Droit, au Président Macky Sall de pouvoir se présenter s’il le désirait, en 2019 et 2024. D’ailleurs, des déclarations éloquentes restent dans les archives. On pouvait certes deviner que Macky Sall allait se représenter en 2019, mais bien rares devaient être les esprits qui songeaient déjà à 2024. Les assurances données par l’intéressé pouvaient interdire d’envisager cette perspective. Macky Sall répétait à l’envi qu’il avait souhaité, avec la nouvelle Constitution, non seulement bloquer définitivement à deux le nombre de mandats présidentiels (et que la règle lui serait applicable), mais aussi réduire à cinq ans le mandat qu’il avait obtenu des électeurs en 2012 pour une durée de sept ans.

Le Président Macky Sall était si enthousiaste pour cette limitation stricte des mandats présidentiels, et il joignit l’acte à la parole. Le texte initial du projet de réforme constitutionnelle comportait une disposition spécifique qui voulait que le mandat en cours (2012-2019) soit pris en compte par la nouvelle Constitution révisée et que le Président Sall voulait même réduire son mandat de sept à cinq ans. On peut facilement réaliser qu’outre la conviction personnelle du Président Sall, la situation de tumultes provoquée par la candidature de Me Abdoulaye Wade en 2012 pouvait être dissuasive ou que l’euphorie de son élection ne s’était pas encore dissipée. Seulement, le chef de l’Etat semblait perdre de vue un principe immuable en Droit qui voudrait qu’une loi nouvelle, autre qu’une loi pénale plus douce, ne saurait être rétroactive, c’est-à-dire s’appliquer et régir des situations juridiques qui lui sont antérieures. Pour ce qui le concernait, le Conseil constitutionnel, appelé à examiner le projet de loi de révision constitutionnelle, avant sa soumission au vote référendaire, avait jugé que la disposition transitoire envisagée constituait une véritable hérésie juridique et pourrait se révéler comme une grave menace pour l’ordre juridique.

C’est ainsi que dans sa décision n°1-C-2016 du 12 février 2016, toujours consultable sur son site internet, le Conseil constitutionnel souligne : «Considérant que l’article 6 du projet qui a pour objet de donner une nouvelle rédaction à l’article 27 de la Constitution, fait passer la durée du mandat du président de la République de 7 à 5 ans ; considérant en outre qu’il est inséré dans ledit article 27, un alinéa 2 qui, pour régler une question de Droit transitoire, prévoit que la nouvelle disposition sur la durée du mandat du président de la République s’applique au mandat en cours ; considérant que la règle énoncée à l’alinéa 2, destinée à fixer une situation dont les effets sont limités dans le temps et par essence temporaire, va cesser, une fois son objet atteint, de faire partie de l’ordonnancement juridique ; considérant qu’en tant que telle, elle est incompatible avec le caractère permanent attaché à l’article 27 que le pouvoir constituant entend rendre intangible en le rangeant dans la catégorie des dispositions non susceptibles de révision ; considérant que cet alinéa au caractère personnel très marqué est inconciliable avec le caractère général des règles par lesquelles la Constitution organise les institutions de la République et protège les droits fondamentaux ainsi que les libertés individuelles des citoyens ; considérant, en effet, que les règles constitutionnelles adoptées dans les formes requises s’imposent à tous et, particulièrement, aux pouvoirs publics, lesquels ne peuvent en paralyser l’application par des dispositions qui, en raison de leur caractère individuel, méconnaissent par cela seul, la Constitution ; considérant que la sécurité juridique et la stabilité des institutions, inséparables de l’Etat de Droit dont le respect et la consolidation sont proclamés dans le préambule de la Constitution du 22 janvier 2001, constituent des objectifs à valeur constitutionnelle que toute révision doit prendre en considération, pour être conforme à l’esprit de la Constitution ; considérant que pour la sauvegarde de la sécurité juridique et la préservation de la stabilité des institutions, le Droit applicable à une situation doit être connu au moment où celle-ci prend naissance ; considérant que ce droit s’entend non seulement des règles constitutionnelles écrites, mais aussi de la pratique qui les accompagne et des précédents qui éclairent les pouvoirs publics sur la manière de les interpréter ; considérant qu’au moment où le mandat en cours était conféré, la Constitution fixait la durée du mandat du président de la République à sept ans ; considérant, s’agissant des modalités d’application dans le temps des lois de révision ayant une incidence sur la durée du mandat en cours du président de la République, que des précédents se sont succédé de manière constante depuis vingt-cinq ans ; considérant qu’il résulte de ces précédents (…) que le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle ; considérant que ces précédents qui ont marqué l’histoire constitutionnelle du Sénégal sont également observés dans d’autres Etats partageant la même tradition juridique ; considérant, en effet, que ni la sécurité juridique ni la stabilité des institutions ne seraient garanties si, à l’occasion de changements de majorité, à la faveur du jeu politique ou au gré des circonstances notamment, la durée des mandats en cours, régulièrement fixée au moment où ceux-ci ont été conférés pouvait, quel que soit l’objectif recherché, être réduite ou prolongée.»

C’est fort de cet argumentaire que le Conseil constitutionnel avait décidé que «la disposition transitoire doit être supprimée ; elle n’est conforme ni à l’esprit de la Constitution ni à la pratique constitutionnelle, la loi nouvelle ne pouvant s’appliquer au mandat en cours». La disposition transitoire sera donc biffée du texte réécrit par le Conseil constitutionnel et qui sera soumis au vote référendaire.

On constate que par cette décision, le Conseil constitutionnel était allé à l’encontre des desiderata du Président Macky Sall. C’est alors à son corps défendant qu’il tirera un mandat de sept ans. La même situation avait été connue avec le Président Abdoulaye Wade de 2000 à 2007 et avec Jacques Chirac (France) de 1995 à 2002. Cette situation juridique, nous l’avions perçue, avant même l’adoption de la loi référendaire révisant la Constitution, qui a été adoptée à 62,5% des voix le 20 mars 2016. Dans un texte en date du 16 février 2016, j’annonçais : «Macky Sall, sept ans ou démission au bout de cinq ans.» Nous soulignions que l’adoption de la révision constitutionnelle remettrait le compteur des mandats à zéro et que Macky Sall serait bien obligé de se tirer un septennat car le mandat obtenu en 2012 ne saurait être écourté, encore moins pris en compte si le Peuple sénégalais adoptait la révision proposée. Mieux, il semble important de rappeler que sur cette même question, j’avais été sollicité par le magazine Jeune Afrique, pour un Guest éditorial et j’y indiquais, le 19 février 2016, dans un article intitulé : «Macky Sall, l’histoire d’une promesse impossible à tenir», que le Conseil constitutionnel du Sénégal ne saurait satisfaire les désirs ou caprices du Président Sall. Le papier révélait en outre le courroux du Président Sall en mai 2015, quand, au cours d’un voyage en Guadeloupe, j’attirais son attention sur la fatalité que sa volonté ne saurait prospérer devant le Conseil constitutionnel. J’insistais sur la question, dans une autre chronique en date du 14 mars 2016, intitulée «Au-delà de nos personnes».

Aujourd’hui, aucun juriste sérieux n’ose soutenir le contraire. Une nouvelle candidature du Président Sall en 2024 devra obtenir l’onction du Conseil constitutionnel comme d’ailleurs ses opposants, notamment Ousmane Sonko et Barthélemy Dias, certes désabusés, l’expliquaient pertinemment au moment du référendum de 2016. Maintenant, ils s’autorisent à menacer d’empêcher une éventuelle candidature de Macky Sall ! Ce sera une autre histoire. Il reste à savoir si Macky Sall lui-même voudra tenter le pari. En tout cas, nombre de ses proches l’enjoignent de le faire.

Mbaye Ndiaye, l’hirondelle qui fera le printemps
Il appartiendra au citoyen Macky Sall de se déterminer personnellement à être candidat ou pas. En aura-t-il la volonté ou l’ambition ? Ses compagnons ne semblent pas vouloir lui laisser le choix. Le directeur des Structures de son parti, l’Alliance pour la République (Apr), Mbaye Ndiaye, a mis les pieds dans le plat dans l’édition du journal Le Quotidien du 11 novembre 2022. Le lendemain, 12 novembre 2022, les foules de militants rassemblés au siège de l’Apr pour le lancement des opérations de vente des cartes du parti n’avaient qu’un slogan, celui de la candidature de Macky Sall en 2024. D’autres cercles comme le Mouvement national des femmes de l’Apr ou quelques autres responsables parlant en leur nom personnel, le désignaient comme leur porte-étendard pour la prochaine élection présidentielle. Macky Sall semble être la meilleure chance de succès pour l’Apr et la Coalition Benno bokk yaakaar (Bby) pour ce rendez-vous électoral.

En effet, le 8 août 2022, dans une chronique, nous évaluions «les chances de Macky Sall en 2024» pour dire que si d’aventure il n’était pas candidat, on compterait une flopée de candidatures au sein même de l’Apr et provenant d’autres entités de Bby. Le risque serait un émiettement de leur bassin électoral et qu’en conséquence, il serait difficile ou impossible pour un candidat issu du camp du pouvoir sortant, de se qualifier à un second tour. Macky Sall apparaît ainsi comme la bouée de sauvetage de l’Apr et de Bby, mais il reste qu’il s’était engagé, plus d’une fois, à ne pas faire plus de deux mandats à la tête de son pays. Le dilemme est tenace. Laissera-t-il son camp sombrer pour préserver son confort personnel ou pour respecter un engagement solennel ? Quelle autorité ou capacité garde-t-il pour amener son camp à réaliser l’unité autour d’un candidat qui pourrait leur assurer la victoire ? On remarquera qu’il n’a pas réussi à éviter les dissensions, querelles et féroces guerres de positionnement lors des investitures aux élections locales ou législatives.

Lors des joutes électorales de janvier et juillet 2022, des candidats de Bby, dans de nombreuses circonscriptions, ont essuyé des revers à cause essentiellement de l’hostilité manifeste de leurs camarades du même bord politique. Au demeurant, Macky Sall laissera-t-il le Sénégal courir le risque majeur de tomber entre les mains d’un aventurier comme Ousmane Sonko qui fait du mensonge, de l’outrance, de l’injure et du dénigrement, son credo politique et qui menace déjà publiquement de régler des comptes aux policiers, gendarmes, magistrats, autres fonctionnaires ou tout autre citoyen qui n’est pas de son camp politique ? Il n’est pas sûr que tout ce beau monde se laissera docilement sacrifier de manière aussi injuste. En outre, la semaine dernière, nous soulignions dans ces colonnes : «Si en 2024 Ousmane Sonko a la chance de devenir Président du Sénégal, ce sera fatalement une auto-humiliation pour son Peuple qui aura la honte de voir les ébats sexuels ou les images de l’anatomie intime du premier des citoyens dans les smartphones de ses compatriotes. Il sera «un président à poil.» Sacrilège !

De nombreux opposants redoutent également cette éventualité d’un Ousmane Sonko au pouvoir et s’accommoderaient peut-être mieux d’un Macky Sall pour un autre quinquennat qui devrait être l’ultime. Il serait plus facile de le laisser «chauffer» la place pour cinq ans, plutôt que de voir s’installer un autocrate qui devrait rester plus longtemps. En effet, certains destins de présidentiables ne pourront pas survivre jusqu’à l’horizon 2034 !

Par Madiambal DIAGNE

CAMES 2022: Pr Khadim Diongue, Major et agrégé en parasitologie et mycologie de l’UCAD

Pr Khadim Diongue
Pr Khadim Diongue

Candidat au concours d’agrégation du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES), le Professeur Khadim Diongue a réussi avec brio.

Il devient ainsi le nouveau Professeur Agrégé en Parasitologie et Mycologie du CAMES et Major de Jury pour l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD). « Un de mes élèves m’a rendu fier à Abidjan pour avoir décroché son Agrégation de la section Médecine, Pharmacie et Odontologie du CAMES. Désormais mon cher collègue Professeur Khadim Diongue, est une nouvelle fierté pour l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) et le Centre international de recherche et de formation en Génomique Appliquée et de Surveillance Sanitaire (CIGASS). Mes chaleureuses félicitations à tous les nouveaux agrégés du Sénégal et de l’Afrique », a déclaré le chef du département de parasitologie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), par ailleurs Directeur général du CIGASS après le succès du sieur Diongue. Le Professeur Daouda Ndiaye se trouve actuellement à Abidjan en tant que membre du Jury d’Agrégation CAMES-2022. 
Le 21ème concours d’agrégation de médecine humaine pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales du CAMES se déroule du 7 au 16 novembre à Abidjan, Côte d’Ivoire.

Soutien à Pape Alé Niang / Me Moussa Bocar Thiam récuse la CAP : « Ce n’est pas le combat de tout journaliste qui est le combat des journalistes »

Me Moussa Bocar Thiam
Me Moussa Bocar Thiam

En réponse à la marche prochaine annoncée par la Coordination des associations de presse du Sénégal en soutien au confrère Pape Alé Niang arrêté, le ministre de la communication se veut très clair et catégorique : « ce n’est pas le combat de tout journaliste qui est le combat des journalistes ». Dans ce cadre, Me Moussa Bocar Thiam signe et persiste que l’infraction commise par le journaliste Pape Alé Niang ne concerne pas tout le secteur de la presse, encore moins la corporation. 
« Par rapport à l’affaire  Pape Alé Niang, beaucoup d’acteurs le soutiennent par principe. Parce que c’est un membre de la corporation qui est en difficulté à partir avec la justice. Mais l’infraction commise par un membre de la corporation, cette difficulté là, n’est pas celle de l’ensemble du corps ou de la corporation, c’est un citoyen comme tout autre citoyen. Il a commis une infraction de droit commun. 
Et donc, c’est une question qui le concerne, mais ça ne concerne pas du tout l’ensemble des journalistes. Je veux rappeler à mes camarades journalistes avec qui je partage le secteur, que ce n’est pas le combat de tout journaliste qui est le combat des journalistes. Parce que pendant des années on a tous constaté les dérives de langage dont il a fait preuve », a précisé le ministre de la communication. 
Me Moussa Bocar Thiam s’exprimait à l’occasion de la visite effectuée ce matin au siège de l’Union des radios communautaires du Sénégal …

Yankhoba Diattara : « Je vous rassure quant à la participation de Sadio Mané à la coupe du monde… »

Yankhoba Diattara
Yankhoba Diattara

Le ministre des sports s’est montré optimiste quant à l’évolution de l’état de santé de Sadio Mané et donc sa participation effective à la prochaine coupe du monde (20 novembre au 18 décembre.) « Je vous rassure quant à la participation de Sadio Mané à la coupe du monde… Cependant il reconnaît que SM10 sera sûrement forfait pour le match contre le Pays-Bas, le 21 novembre. D’après lui, Sadio est en train de recevoir les meilleurs soins (entre l’Allemagne et l’Autriche) et des tests complémentaires ont été faits pour connaître l’évolution de sa blessure au genou droit.

Pôle urbain de Diamniadio : La gendarmerie neutralise une attaque à main armée

gendarmerie
gendarmerie

Une attaque à main armée a été évitée de justesse au Pôle urbain de Diamniadio. Selon le récit détaillé de la Direction de la communication et des relations publiques de la gendarmerie, «dans le cadre de la lutte contre le grand banditisme, dans la nuit du dimanche au lundi 14 novembre 2022, vers 4 h du matin, un groupe d’individus armés, à bord d’un véhicule 4X4, a été décelé dans le secteur du Pôle urbain de Diamniadio».
Le communiqué renseigne qu’«une patrouille a été immédiatement organisée par la brigade de la gendarmerie locale, renforcée par l’escadron de surveillance et d’intervention du Pôle urbain de Diamniadio pour empêcher toute attaque à main armée contre les unités industrielles implantées dans la zone».
Et d’ajouter : «Surpris par la patrouille, les assaillants ont ouvert le feu sur le véhicule de la gendarmerie. Une riposte énergique a permis de neutraliser l’un des délinquants  et de procéder à l’interpellation de deux d’entre eux. Ces derniers ont été trouvés porteurs d’objets justifiant leur implication dans cette attaque avortée», explique le document parvenu à la presse.
Toutefois, «une enquête est ouverte et les investigations se poursuivent. La gendarmerie nationale invite les populations à une plus grande collaboration, en appelant gratuitement, en cas de besoin, les numéros verts : 123 ou 800 00 20 20.

Mankeur Ndiaye revient à la charge : “ El Hadj (Kassé) sait que je ne mens jamais…”

Mankeur Ndiaye
Mankeur Ndiaye

La réplique ne s’est pas fait attendre du côté de Mankeur Ndiaye. Ce dernier qui voulait bien faire en apportant son soutien à El Hadj Kasse semble mettre les pieds dans le plat. Une sortie qui porte à croire que la méthode est tout sauf adroite. Ce qui se voulait être un simple appui s’est avéré être une réponse du berger à la bergère.

 »El Hadj  Kassé que je connais depuis 43 ans sait que Mankeur ne ment jamais », lit-on dans un tweet. Le diplomate dit même comprendre que le philosophe de formation soit embarrassé par le soutien exprimé publiquement.  »Il sait ce qu’il m’a dit dans le secret de mon salon et que je ne rendrai jamais public et ce qu’il a confié à des amis communs », écrit-il comme pour éteindre tout autre débat.

« Son Ideu bima koy enregistrer dama doon dioy » les mots touchants de Mya maboo

« Son Ideu bima koy enregistrer dama doon dioy » les mots touchants de Mya maboo

Bougane Gueye Dany dans une tournée de massification: pourquoi cette stratégie du silence et de la discrétion ?

Le leader de la coalition Geum Sa Bopp en compagnie de ses militants et responsables est entrain de sillonner différentes localités du Sénégal des profondeurs comme à l’accoutumée.

La surprise reste que cette tournée est totalement discrète et Bougane Gueye Dany ne semble pas trop en détailler les perspectives. Arrivé à Ranènou hier, nous avons appris par notre source qu’il a pu rassembler l’élite des éleveurs de la localité et installé des cellules de sa coalition.
D’après toujours cette source, Bougane Gueye Dany est dans un programme de massification très pratique et dense, il gagne des cœurs discrètement en vu de surprendre très prochainement pour sa campagne aux présidentielles 2024

Malick Gackou : « Je serai le 5ème président du Sénégal à partir de février 2024 »

Gackou
Gackou

Ce dimanche lors d’un congrès d’investiture du Grand Parti au Cices, la candidature de Malick Gackou a été portée par les militants et sympathisants dudit parti pour l’élection présidentielle en 2024. Ainsi, la cérémonie a été rehaussée par la présence massive des militants venus des 46 départements du Sénégal.

Devant ses militants et sympathisants, Malick Gackou de déclarer : « Je serai le 5ème président du Sénégal à partir de février 2024« . Il ajoute : « Je voudrais vous dire merci à tous, à l’ensemble des 46 départements du Sénégal et de la diaspora qui se réunit, aujourd’hui 13 novembre, au CICES« . Visiblement ému, Malick Gakou tient à rassurer ses militants: : »Vous avez pu investir le candidat du changement, le candidat de la réforme ».

« Je peux vous dire qu’aujourd’hui, à partir de cette mobilisation exceptionnelle, vous avez prouvé que le Grand parti est un grand parti », a-t-il déclaré, devant un public enthousiaste. Et de promettre dans le même sillage : « Votre engagement peut être fructueux. Une grande coalition Manko Yewwi Sénégal en 2024. Je la partage avec vous« .

Toutefois, l’ancien ministre du Commerce, de l’Industrie et du Secteur informel reste convaincu qui a la clé du panacée pour sauver le Sénégal. Il estime connaître les «attentes» du peuple sénégalais, à savoir la bonne gouvernance, l’emploi des jeunes, la lutte contre la précarité et la pauvreté, le développement de l’agriculture, le repositionnement du Sénégal en Afrique et dans le monde, le développement industriel et entre autres, a promis président du Grand parti dans la chaleur ambiante.

Triste nouvelle : L’Apr de Macky Sall endeuillée (photo)

Âgé de 83 ans, Birassi Sow a été rappelé à Dieu hier, dimanche, à Dakar. L’ancien député du Parti socialiste devenu membre de l’Apr et membre du Collectif des sages du parti présidentiel  est décédé des suite d’une longue maladie.

Birassi Sow fut également le premier chef du bureau de l’Agence de presse sénégalaise à Linguère ainsi que directeur de l’école élémentaire Bamol Sow de Barkedji. Député du PS, il a rejoint Macky Sall et l’Apr après la chute du régime socialiste.

Il sera inhumé ce lundi au cimetière de Yoff, après la prière de 14 heures.

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Affaire Sonko VS Macky: Cheikh Amar déballe” Kou défou dara kén douko Tethi “ Lou Takh Ba lègui

Affaire Sonko VS Macky: Cheikh Amar déballe” Kou défou dara kén douko Tethi “ Lou Takh Ba lègui

Abdoulaye Sow (FSF) fait une annonce sur la blessure de Sadio Mané: « Il faut dire la vérité aux Sénégalais »

Blessé et annoncé très incertain pour la Coupe du monde, Sadio Mané devrait manquer les premiers matches de l’équipe du Sénégal à la Coupe du monde. L’annonce a été faite par le 2e vice-président de la Fédération sénégalaise de football, Abdoulaye Saydou Sow, par ailleurs président de la Ligue de Football Amateur (LFA) et ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique.

Dans des propos rapportés par Record, celui qui a fait le voyage au Qatar en même temps que l’équipe du Sénégal a exhorté les autres joueurs à se préparer à jouer sans Sadio Mané. D’après lui, il faut dire la vérité au Sénégalais parce que Mané est blessé et devrait rater les premiers matches.

« Il faut essayer de surmonter tout cela et rien que la force et la présence de Sadio devraient pouvoir renforcer la dynamique de groupe. Mais, pour le reste, il faut dire aux sénégalais ce qui s’est réellement passé : Sadio est blessé et il est un poids dans cette équipe mais il faut faire aussi avec et ne faut pas trop pleurnicher. Nous devrons compter sur les premiers matchs sans Sadio et gagner sans Sadio parce que nous avons 25 joueurs en dehors de Sadio. Personne ne l’aurait souhaité mais c’est ça qui nous arrive. Nous sommes des croyants et acceptons la volonté divine », a-t-il annoncé.

Une très mauvaise nouvelle pour l’Equipe du Sénégal, qui devra donc faire sans son cœur et son âme au moins lors des premiers matches.

Emprisonnement de Pape Alé : L’artiste Ma Sané fusille Macky et son régime

Elle est la seule artiste à prendre position dans l’affaire Pape Alé Niang emprisonné pour recel et diffusion de documents estampillés secret

Via une chanson, elle apporte tout son soutien au journaliste pape Alé Niang : « À bas la dolécratie, en bas la monarchie », a déclamé l’artiste thiessoise Ma Sané,

« Ne laissons personne piétiner notre démocratie et nous priver de notre liberté de citoyens. Il a fallu une lutte longue et acharnée de nos aïeux pour en arriver là », rembobine Ma Sané défendant la liberté d’expression.

Ce single en question fait partie de l’album en gestation qui va marquer le grand retour de l’artiste et il sera bientôt disponible sur toutes les plateformes digitales.

Macky Sall sur Itele en 2015 : « Vous ne verrez jamais, pendant ma gouvernance, au Sénégal, un journaliste mis en prison pour un délit de presse… »

L’arrestation du journaliste Pape Alé Niang continue d’alimenter les débats au Sénégal. Invité du «18H Politique» le 25 octobre 2015 sur Itele, le président Macky Sall donnait des assurances fermes sur la liberté de la presse au Sénégal, lorsqu’il promettait de ne garder aucun journaliste en prison.

Des propos qui reviennent au-devant de l’actualité avec la détention, depuis une semaine déjà, du journaliste Pape Alé Niang, directeur de publication du site Dakar Matin. « Je me suis engagé à travailler pour la dépénalisation des délits de presse ; de toutes les façons vous ne verrez jamais pendant ma gouvernance, au Sénégal, un journaliste mis en prison pour un délit de presse…», déclarait le chef de l’Etat sur le plateau d’Audrey Pulvar.

Avant d’ajouter : « Les journalistes n’ont aucun risque au Sénégal, je le dis très clairement et je ne serai pas démenti, nous y travaillons, j’ai même demandé à mon groupe parlementaire qui est le groupe majoritaire à reprendre le projet, à le nettoyer au besoin mais à l’adopter. Globalement, le Sénégal est un pays bien coté en matière de liberté de la presse ». Une liberté de la presse entachée, aujourd’hui, par l’emprisonnement de Pape Alé Niang.

Sonko ou Macky Sall: Cheikh Amar Donne sa position « Loutax Balegui Keen Teudjoul Sonko? »

Sonko ou Macky Sall: Cheikh Amar Donne sa position « Loutax Balegui Keen Teudjoul Sonko? »

Arrestation de Pape Alé Niang : La forte demande d’Alioune Tine demande au Président Macky Sall

L’arrestation du journaliste d’investigation Pape Alé Niang continue de faire des grincements de dents au Sénégal. Le fondateur d’Afrikajom Center invite le président Macky Sall à la clémence. Ainsi, Alioune Tine demande Macky Sall de libérer le journaliste Pape Alé Niang ainsi que les détenus d’opinion. » Le Chef de l’Etat devrait le faire pour sauvegarder l’image du Sénégal » a-t-il soutenu.

Alioune Tine de demander dans un Tweeter : « Excellence M. le Président Macky Sall, je vous prie de bien vouloir libérer le journaliste Pape Alé Niang et tous les détenus d’opinion. Il faut le faire pour la sauvegarde de l’image du Sénégal et dégrossir les fronts et les tensions dont l’accumulation pourrait être une menace ».

Exploitation minière: Sonko déplore la situation difficile des populations

En tournée politique « Nemmeeku Tour » dans le département de Tivaouane, le chef de l’opposition sénégalaise, Ousmane Sonko et sa délégation se sont rendu à Ngakhame 2.

Ce village situé dans la commune de Meouane subit les conséquences de l’exploitation du phosphate par les Industries Chimiques du Sénégal (ICS).

Au cours d’une rencontre tenue chez le chef du village, Baye Dame Ndiaye; Ousmane Sonko a échangé avec les populations sur les différents problèmes liés à l’exploitation minière dans la zone.

Saliou Seck, représentant des jeunes a exprimé les doléances et souffrances des populations qui sont essentiellement dues à l’exploitation du phosphate par les ICS.

Cette entreprise filiale de la multinationale indienne Indorama menace d’expropriation -pour ses besoins d’exploitation- des milliers de villageois installés sur une superficie de 417 hectares.

Abordant dans le même sens, Baye Dame Ndiaye, le chef de village est revenu sur les problèmes d’infrastructures (pas de route bitumée) et insuffisance de services sociaux de base dans sa localité.

Les entreprises minières y exercent une exploitation effrénée des carrières avec des conséquences nefastes pour les populations. Face au mutisme de l’autorité étatique, les populations en appellent à la diligence du leader de l’opposition à travers cette rencontre.

Une situation qualifiée d’inadmisible par Ousmane SONKO lors de sa prise de parole. Le maire de Ziguinchor a déploré la situation difficile dans laquelle les populations autochtones sont laissées. Entre mépris, expropriations, pollutions et absence d’assistance.

« Les entreprises exploitantes ont des obligations envers les populations notamment sur la RSE et si elles ne les respectent pas c’est parce que l’Etat n’a pas joué son rôle », a-t-il martelé devant l’assistance.

L’absence de transparence dans l’attribution et les contrats d’exploitations minières ont été dénoncés par le leader des Patriotes Ousmane SONKO.

Partageant sa vision sur la gestion des ressources minières du pays, Ousmane Sonko a révélé que l’entreprise « ICS » ne respecte aucun de ses engagements envers l’Etat et les populations depuis des années.

Une situation à laquelle, il a promis de mettre fin dès 2024, s’il est élu Président de la République. A signaler qu’avant cette rencontre, Ousmane SONKO a rendu une visite de courtoisie au guide religieux et khalife de la localité Omar Diakhaté.

Coupe du monde 2022 : Les images de l’arrivée des Lions au Qatar (vidéo)

Après avoir quitté Paris hier vers 17h, les Lions du Sénégal sont arrivés à Doha, au Qatar, tard dans la nuit du dimanche au lundi. Les joueurs de Aliou Cissé, qui étaient 16 à embarquer avec le staff technique, ont débarqué au Qatar pour commencer la préparation de la Coupe du monde. Les Lions joueront leur premier match lundi prochain, face aux Pays-Bas.

Coupe du monde 2022 : DJ Boub’s recruté par la FIFA, son rôle connu

Directeur Commercial, de la Production et du Marketing au sein du Groupe Emedia Invest, Boubacar Diallo, plus connu sous le nom de DJ Boub’s, a été recruté par la FIFA pour la Coupe du monde au Qatar, qui aura lieu du 20 novembre au 18 décembre.

En effet, D Boub’s a été recruté par la FIFA pour occuper le rôle de speaker durant la compétition. Durant certaines parties, il sera donc au micro du stade pour parler aux supporters, lire les communiqués, annoncé les remplaçants, annoncer le nom des buteurs et faire le show dans le stade.

Une très bonne nouvelle pour Dj Boub’s, qui deviendra donc un autre représentant du Sénégal au Qatar.

Très bonne nouvelle pour les élèves et parents – Papa Mademba Bitèye distribue 1 000 tables-bancs et 2500kits scolaires aux écoles de Kaolack (photos)

Papa Mademba Bitèye distribue 1 000 tables-bancs et 2500kits scolaires aux écoles de Kaolack
Papa Mademba Bitèye distribue 1 000 tables-bancs et 2500kits scolaires aux écoles de Kaolack

Papa Mademba Bitèye distribue 1 000 tables-bancs et 2500kits scolaires aux écoles de Kaolack

Le Directeur Général de Senelec, Papa Mademba Bitèye et non moins éminent fils de Kaolack, a offert un lot d’équipements scolaires composé entre autres de 1 000 tables-bancs et 2 500 kits scolaires aux différentes écoles de la ville.

La cérémonie organisée ce samedi 12 novembre 2022, a été présidée par l’Inspecteur d’Académie de Kaolack,  en présence de nombreuses autorités administratives, académiques, religieuses, coutumières et politiques de la région. Les différents intervenants ont magnifié le geste du Directeur Général de Senelec et invité les élèves à avoir comme modèle, le digne fils de Kaolack qui, à leurs yeux, incarne le culte de l’excellence de l’élémentaire jusqu’à l’université.  C’est ainsi que l’Inspecteur d’Académie de Kaolack a, à son tour, invité les lauréats et tous les établissements publics, à remercier de vives voix le Directeur Général de Senelec, qui selon lui, ne cesse de démontrer son degré de patriotisme et d’engagement pour la cause de l’école sénégalaise. De ce fait, il exhorte tous les acteurs à encourager la promotion des sciences qui constituent un outil de conquête mondiale.

Prenant la parole, Papa Mademba Bitèye a rendu un vibrant hommage aux acteurs de l’éducation avant de revenir sur le sens de la notion d’Excellence.

« S’il y’a une cause pour laquelle je serai toujours prêt à aller au bout de moi-même, c’est sans aucun doute celle qui consiste à supporter l’excellence, à promouvoir l’excellence » a laissé entendre M. Bitèye.  Et il poursuit : « s’il s’agit de la jeunesse de mon cher Kaolack, j’irai au-delà de moi-même. Parce que j’y crois et parce que je crois en vous ».  A l’endroit des élèves bénéficiaires, il dira ceci : « mes chères Kaolackoises et chers Kaolackois, je suis particulièrement heureux d’être avec vous ce soir pour célébrer et réaffirmer notre engagement pour accompagner la formation et l’éducation de notre première richesse ». Il a promis aux élèves et acteurs de l’éducation de ne ménager aucun effort pour les mettre dans les conditions de réussite. A travers ce geste, il se donne comme priorité de créer un cadre propice, fonctionnel et adéquat pour que ces jeunes au potentiel fort puissent prendre la voie de la réussite avec l’excellence comme point de mire.
Papa Mademba Bitèye a invité à son tour les élèves, à cultiver l’excellence et à poursuivre les efforts entrepris dans le but d’augmenter le taux de réussite à 95% cette année. « Il n’y’a pas autre manière ni meilleure option que l’excellence qui se traduit par une éducation ambitieuse et c’est ce qui donne un souffle ardent à ma détermination à vous supporter et à vous accompagner et à me mettre à votre entière et totale disposition. Ne lâchez pas, ne voyez jamais vos rêves au rabais car toute la nation compte sur vous Kaolack en premier » a-t-il conclu.

Video : Cheikh Amar règle ses comptes avec des ministres ”Danio Sokhor, Sathi sama khaliss, Sama Bakan lassi Tek , kouma narra…

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Vidéo: Dieyla assure le Show ,ses belles sœurs font des témoignages émouvants «bamouy nieuw souniou keur

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Vidéo-Émouvant! Dieyla fond en larmes devant Ngone Ndour “Souma si amé dome dinaa…”

Émouvant! Dieyla fond en larmes devant Ngone Ndour et sen petit gale “Souma si amé dome dinaa…”

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Dieyla

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Vidéo-Le message poignant de DJ Kheusha et Job Sa Brain à Dieyla «So Dougué si Seuy bi nanga…»

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Saliou Ciss sans club : Cheikh Tidiane Gomis accuse un dirigeant de la Fédération sénégalaise de foot

Le journaliste sportif de Walf TV, Cheikh Tidiane Gomis, n’a pas tari d’éloges sur l’international sénégalais Saliou Ciss qui a marqué la dernière CAN. Il a notamment été désigné meilleur latéral de la compétition.
Malheureusement, ce dernier  n’a pas été sélectionné pour la coupe du monde au Qatar, car n’ayant pas de club. Une situation que déplorent beaucoup de Sénégalais. Cheikh Tidiane Gomis a identifié la cause des malheurs de Saliou Ciss.  Selon le journaliste, un dirigeant du comité exécutif de la fédération sénégalaise de football serait à l’origine des déboires de l’international sénégalais. 

Au moment où Saliou Ciss négociait une place avec un club français, un dirigeant du comité exécutif de la fédération sénégalaise de football est allé en douce leur suggérer de casser son salaire car il était dans le besoin de participer à la coupe du monde », révèle le journaliste. 
Cheikh Tidiane Gomis promet de divulguer  le nom de ce dirigeant « haineux » au moment opportun.  Mais pour l’heure il s’indigne de la méchanceté gratuite de certaines personnes.

3e mandat : Le message de Amadou Tidjane Wone à Macky Sall

Ce dimanche, Amadou Tidjane Wone était l’invité de l’émission J.D.D sur Emédia. Il a été interpellé sur le possible 3e mandat du président Macky Sall et il a rappelé au chef de l’Etat ce qu’il avait dit en 2016.

D’après Amadou Tidjane Wone, bien que personne ne peut empêcher à Macky Sall de tenter sa chance en 2024, il lui rappelle son engagement moral, fait lors du référendum en 2016.

« D’ailleurs, à mon avis, si j’étais conseiller du président Macky Sall, je lui dirais monsieur le Président, vous avez fait 12 ans, vous avez des gens qui sont vos fans à 100%. D’autres sont vos ennemis. Ça, c’est la vie. Vous avez pris un engagement moral lors du référendum de 2016 de ne pas briguer une 3e candidature. Respectez votre parole. Ce faisant, vous rentrez dans l’histoire du Sénégal. Rien ne vous empêche d’attendre 5 ans après, parce que vous êtes jeune, de revenir si jamais celui qui vous remplace ne fait pas le job », déclare l’ancien ministre de la Culture sous Wade.

POUR SA CANDIDATURE EN 2024 : LA REPONSE INTRIGANTE DE PAPE DJIBRIL FALL

Pape Djibril Fall
Pape Djibril Fall

Le député Pape Djibril Fall adopte la même posture que le Chef de l’Etat Macky Sall en ce qui concerne sa candidature pour la présidentielle 2024.

Interpellée par la journaliste Aissatou Diop Fall à l’émission face to face de ce dimanche, l’élu du peuple n’a eu d’autre choix que d’adopter le « ni Oui ni Non » à l’instar du Chef de l’Etat.

Notre consœur a en effet usé de toutes les subterfuges au monde pour l’amener à se déterminer par rapport à sa candidature mais PDF a affirmé de guerre lasse que c’est aux « Serviteurs » d’en décider au moment opportun.