Chers amis,
Je vous donne rendez-vous dans un instant pour une déclaration.
Chers amis,
Je vous donne rendez-vous dans un instant pour une déclaration.
Le Fouladou vient de perdre un illustre guide religieux. Le Khalife Thierno Amadou Balndé de Médinatoul Houda n’est plus de ce monde.
Le Saint homme est décédé dans la nuit du lundi à ce mardi 6 décembre aux environs de 4h dans son champ qui lui servait aussi de lieu de retraite, renseigne la source.
Ce mardi Médinatoul Houda est le point de convergence de nombreux des Koldois. Les populations pleurent la perte d’un guide éclairé, un défenseur des couches vulnérables, un éducateur hors pair, un acteur de développent et de la lutte contre l’ignorance…
Koldanews
Ndeye Khady Ndiaye rappelle à Adji Sarr ses promesses : «Menteuse, force diga guéné vidéos… »
h
Ousmane Sonko est arrivé tranquillement, chez lui après son confrontation avec Adji Sarr, ex-employée d’un salon de massage, qui l’accuse de « viols répétés » avec « menaces de mort ».
https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=314&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fpastefofficiel%2Fvideos%2F691304012670096%2F&show_text=false&width=560&t=0
Pour la première fois, Ousmane Sonko a fait face à son accusatrice Adji Sarr dans le bureau du Doyen des Juges d’Instruction.
Arrivé devant son domicile après ce face à face qui a duré huit heures, le leader de PASTEF est apparu confiant et souriant. Aux journalistes qui lui ont demandé de commenter la confrontation, le maire de Ziguinchor a rétorqué : “Ce n’était pas une confrontation, mais un massacre”. Il n’en dira pas plus.
Pour rappel, Ousmane Sonko est accusé, par l’ex masseuse de Sweet Beauté, de viols multiples et menaces de mort.
Après ce face à face, ses avocats ont réitéré leur demande de non-lieu.
L’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr charrie son lot d’intox relayés par les deux camps. Ainsi ce matin, une information a circulé selon laquelle le doyen des juges a perdu le procès verbal de l’enquête préliminaire. Information relayée par les partisans de Sonko, et notamment par Bassirou Diomaye Faye, un responsable de Pastef.
Selon l’un des avocats de Sonko, Me Ousseynou Ngom, il s’agit d’une fake news. « Il n’y a jamais eu de perte de PV mais plutôt d’une panne de machine ».
À l’en croire, cet incident a entraîné une interruption momentanée de la confrontation qui a repris quelques minutes après.
Aucun des deux parties n’a accepté de répondre aux questions des avocats de l’autre. C’est du moins ce qu’on peut retenir de la déclaration de Maître El Hadj Diouf, avocat de la présumée victime, Adji Sarr. Ce qui a poussé ce dernier à déclarer qu’il « n’y a pas eu de confrontation ».
« Adji Sarr a refusé de répondre aux questions des avocats de Ousmane Sonko parce que lui-même n’a pas voulu répondre à nos questions », explique maître El Hadj Diouf. Toutefois, l’avocat se dit confiant quant à la suite de la procédure.
e député a annoncé lors de sa prise de parole, à l’Assemblée nationale, qu’il allait quitter ses fonctions de Maire de Thiès Nord dès le début de l’année prochaine. »Nous avons 38 députés-maires. Ils seront 37 bientôt car je compte partir en janvier », a fait savoir le parlementaire.
Birame Souleye Diop est aussi largement revenu sur la question liée à l’état-civil.
Les elements infiltrés de Sanslimitesn ont réussit à pénétrer les quatre murs du bureau du cabinet n1 du doyen des juges d’instruction, Amadou Maham Diallo pour ne pas le nommer.
Une confrontation qui n’a pas été facile pour l’accusatrice Adji Sarr et ses avocats. D’abord ils se sont offusqué au refus systématique de Ousmane Sonko,le présumé ,de toute forme de questions sur comment il a connu Adji Sarr, comment s’est passée la séance le jour du fameux « viol »? C’est un homme assez serein qui avait comme réponse : je préfère ne pas répondre! » qui était en face!
Une attitude qui a visiblement perturbé les avocats de Adji Sarr qui s’étaient préparé à une parterre de questions pièges contre leur vis à vis. Ce fut le tour des avocats de la défense de poser des questions à Adji : A la question de savoir quelle preuve détient-elle pour accuse r leur client d’un fait aussi grave que le viol? Adji a préféré esquiver et à son tour user de son droit de garder le silence.
Le juge lui retorque : donc tu accuse sans preuve? Visiblement surprise par cette question ,Adji Sarr s’est retournée vers ses avocats avant de baisser la tête et se murer dans le silence.
Une confrontation qui a été plutôt à l’avantage de la défense qui a posé des questions à l’accusation sur les fameux audios, les révélations de ses proches et ses relations avec certains pontes de la république. Des questions auxquelles elle n’avait pas pour la plupart des réponses .Nul doute que le dji appréciera ,cependant on peut dire sans risque de se tromper qu’au rythme ou vont les choses, le non-lieu semble plus qu’évident puisque l’accusation n’a aucune preuve pour l’instant pouvant étayer ses déclarations, en sus des témoignages qui sont pour la plupart à décharge contre contre la défense.
Alors que le lancement du BRT (Bus Rapid Transit) est attendu pour au plus tard mars 2023, le président Macky Sall a fait une descente surprise sur les chantiers pour voir l’avancement des travaux. Le chef de l’Etat a visité quelques localités que traverse le BRT, comme Liberté IV.
Macky Sall s’est enquéri de l’état d’avancement des travaux de ce chantier qui devra acheminer 300 000 personnes par jour, sur un parcours de 18 kilomètres.
Catastrophique ce vit cette dame. A l’en croire, après 35 ans de mariage ( forcé) son époux décède Six ans après, elle peine toujours à se remarier. Plusieurs hommes ont rendu l’âme après quelques temps de fiançailles avec elle.
Elle raconte sa mésaventure et demande de l’aide pour trouver l’homme idéal.
Le colonel à la retraite, Abdourahim Kébé est formel : « l’affaire dite A. Sarr relève du kompromat à la soviétique. « L’ex-Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) utilisait la technique du kompromat qui consistait à inventer de faux dossiers visant à salir, discréditer, et faire tomber définitivement des ‘ennemis’ encombrants pour le régime », rappelle-t-il.
Selon le colonel à la retraite, « c’est cette méthode qu’utilise l’État du Sénégal pour espérer nuire à Ousmane Sonko, Chef de l’opposition dont l’aura qui s’intensifie chaque jour davantage perturbe le sommeil de l’actuel locataire de l’avenue Roume ».
« Mais que l’on ne s’y trompe pas; la confrontation programmée a pour seul et unique but de faire sortir des insanités nauséabondes de nature à éroder le soutien populaire au leader de Pastef. Mais ce sera peine perdue car le complot et les manigances qui sous-tendent cette histoire n’ont pas prospéré grâce au discernement d’un peuple qui abhorre et rejette de telles infamies », explique M. Kébé.
Pour le colonel à la retraite, le rôle d’un État est de la plus haute importance dans la formation collective et le perfectionnement de la mentalité des citoyens. Or, « l’État du Sénégal excelle dans la pédagogie négative en promouvant des contre-valeurs comme le manque de stabilité de la parole donnée (mensonges et wax-waxeet), la corruption et le vol des deniers publics, les diffamations et insultes graves et systématiques sur des citoyens à la voix discordante, le maa tay, la promotion de la médiocrité, les arrestations arbitraires d’opposants politiques facilement jetés en prison à la manière des goulags soviétiques, chinois ou des Khmers Rouges ».
« Dans ce modèle de système concentrationnaire, les détenus étaient torturés et beaucoup y perdaient la vie, à l’instar des prisons du Sénégal dans lesquels des détenus entrent sans assurance d’en sortir vivants, comme le confirment les cas de Abdou Faye (2021), François Mancabou (2022). Mais le plus effarant dans la pédagogie négative servie par l’État sénégalais est la prévalence de l’intrigue et du complot grotesque dont le nouvel épisode est la confrontation Sonko – A. Sarr destinée à humilier celui qu’on veut abattre à tout prix », ajoute-t-il.
Le passage du ministre de l’économie à l’assemblée pour le vote de son budget a laissé beaucoup d’élus mais aussi de sénégalais sur leur faim. Entre hésitations et réponses peu convaincantes ,Oulimta Sarr , ancienne directrice Régionale, ONU Femmes Afrique de l’Ouest et du Centre n’a pas réussit son face to face avec les députés.
En effet, après le passage de celle aujourd’hui qui est en charge de notre économie, les sénégalais qui ont pus suivre son passage ne sont guerre convaincus par Mme le ministre. De nombreuses questions sont restées non-élucidés, des explications très vagues, un ton qui trahissait un certain manque de sérénité ,Oumilata Sarr a semblé tétaniser par les GMS,Birame Souleye Diop et consorts. Contacté par la rédaction de Sanslimitesn, la plupart des députés de YAW ont dit restés sur leur faim; certains se sont même des questions du genre : est-elle réellement à sa place?
Un petit tour sur les réseaux pour voir si les sénégalais ont été séduite par cette ancienne cadre du FMI.Le constat est est juste inquiétant ,personne n’a apprécié le passage du ministre de l’économie et du plan.
La dame de l’économie à l’assemblée nationale.. rouss nagn la madame
— Tonton Gòrgòrlu®🇸🇳⭐ (@SeydinaDiallo) December 6, 2022
Niveau bi dess na dé. Tu as remarqué ?
— Cheikh Fatma DIOP🇸🇳⭐ (@cheikhfatma24) December 6, 2022
Dans un entretien paru ce mardi dans L’Observateur, le directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP), Saër Niang, est revenu sur la question de la durée de son mandat à la tête de l’institution. D’aucuns estiment que l’heure du départ a sonné depuis belle lurette pour celui qui a succédé à Youssou Sakho en 2011.
Saër Niang a servi la même réponse. Certes, rappelle-t-il une nouvelle fois, l’article 24 du décret 207-546 du 25 avril 2007 dit que le directeur général de l’ARMP est nommé pour un mandat de trois ans renouvelable une fois. Mais, s’empresse-t-il d’ajouter, le décret le nommant ne fait pas mention du mandat, encore moins de la durée. «En Droit, c’est connu, la contrariété entre deux textes de même dignité signifie que le second a modifié le précédent», justifie le directeur général de l’ARMP.
Mais la dernière fois qu’il s’est exprimé publiquement à propos de sa longévité à la tête du gendarme des marchés publics, Saër Niang avait invoqué une deuxième raison. L’ARMP est dans une phase de transition qui nécessite, selon lui, de la stabilité.
L’ARMP va devenir l’ARCOP (Autorité de régulation de la commande publique). «La loi est votée et les projets de décrets d’application sont finalisés et transmis depuis un certain temps au ministre des Finances et du Budget», informe Saër Niang. Qui espère que les choses vont s’accélérer «après le vote du budget (en cours), d’autant plus que le président de la République avait déjà annoncé pour bientôt la finalisation de la procédure».
Les députés sont convoqués en séance plénière le lundi 12 décembre 2022 à 10H00. pour la Déclaration de Politique générale du Premier ministre, Amadou Ba, informe la Direction de la communication de l’Assemblée nationale.
“Nous rappelons que l’accès à l’Assemblée nationale sera réglementé. Seuls les journalistes, techniciens et photographes détenteurs de la carte nationale de presse pourront accéder à l’institution parlementaire”, précise la même source
L’Etat du Sénégal est très préoccupé par l’arrestation à Dubaï de Amy Diop, du nom de cette hôtesse de l’air en poste à Air Sénégal. Pour obtenir sa libération, les autorités sénégalaises ont activé déjà des leviers.
Ainsi, informe « L’As », elles ont introduit une demande de liberté provisoire. C’est ce qu’a indiqué hier le ministre du Transport Aérien. Doudou Kâ était devant la représentation nationale, pour défendre le projet de budget de son département. Pour rappel, Amy Diop a été arrêtée pour falsification de billets.
Depuis un certain temps, l’assemblée nationale est devenue
une jungle, un temple de la délinquance et du vandalisme par
la volonté des députés de la coalition Yeewi Askan Wi (YAW).
Le 1er décembre 2022, l’honorable Amy Ndiaye Gniby, une
sœur, une mère, une tante, maire de sa commune de
surcroit, a été sauvagement agressée, violentée, malmenée,
battue et humiliée au sein de l’hémicycle.
Le Mouvement des Anciens députés BBY de la douzième
législature (MAD12), 2012-2017, condamne avec énergie
l’acte sauvage, barbare, ignoble commis par deux députés de
YAW.
Aujourd’hui la victime c’est l’honorable Amy Ndiaye Gniby.
A qui le tour demain ? Il faut que cela cesse.
MAD12/BBY témoigne toute sa solidarité à l’honorable Amy
Ndiaye et lui souhaite prompt rétablissement.
MAD12 salue et soutient également la position très forte
exprimée par l’honorable Oumar YOUM, président du Groupe
parlementaire BBY de la 14ème législature, sur les violences
récurrentes à l’assemblée. Son adresse à l’Etat pour assurer la
protection de la société contre sa prise en otage par la
délinquance et le terrorisme politiques, contre la profanation
des institutions publiques, les attaques en règle contre
l’Armée, la Police, la Gendarmerie, la Justice. La
déconstruction de l’Etat doit s’arrêter parce que sans Etat
c’est la dislocation du Sénégal.
Alors que le leader de Pastef les Patriotes, Ousmane Sonko et la masseuse Adji Sarr sont dans le bureau du juge pour confrontation ,relativement aux accusations de viol et de menace de mort les opposant, devant le Palais de Justice, une foule nombreuse qui pour soutenir Adji Sarr qui pour Ousmane Sonko, notre source de nous informer que deux militants de Pastef viennent d’être pour des motifs que nous ne connaissons pas.
De toute évidence, les radars de Sanslimitesn se déploient du mieux qu’ils peuvent pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette arrestation. Ce qui reste constant, c’est que Vito et Diop Taif tous membres du Pastef ont été arrêtés parles forces de l’ordre. Et ce au moment où nous mettions sous presse.
Thierno Amadou Baldé, khalife général de Médinatoul Houda (dans la région de Tambaconda), a été rappelé à Dieu. Il a rendu l’âme dans la nuit du lundi 05 au mardi 06 décembre.
Il était le khalife général de la communauté firdounké, qui partage la même cité religieuse de Médina Gounass. Pour rappel, chaque année, il y’a la ziarra de Médinatoul Houda après le daaka de Médina Gounass, dans le sud-est du Sénégal.
À quelques heures de la confrontation entre la jeune masseuse Adji Sarr et le leader de Pastef Ousmane Sonko, les avocats des deux partis, à savoir Mes El Hadj Diouf et Siré Clédor Ly s’offrent déjà un duel verbal.
En effet, les avocats de Sonko estiment que la confrontation est précipitée. De l’autre côté, les conseillers d’Adji Sarr évoquent une confrontation qui est venue à son heure.
« Si les gens-là ont peur d’être confronté à Adji Sarr, c’est leur problème. Il ne faut pas qu’ils viennent nous raconter des histoires soi-disant que c’est une confrontation précipitée. S’ils ont peur de la vérité, en tout cas pas nous, car nous sommes sereins. Je ne comprends pas pourquoi ils disent que le doyen des juges accélère les choses, d’autant plus que tous ceux qui doivent être entendus dans le fond du dossier l’ont été. Il ne restait que les principaux protagonistes, les acteurs du jeu qui sont Adji Sarr et Ousmane Sonko. Il appartient au juge seul de dérouler sa procédure et de dire qui il veut entendre. C’est Adji Sarr et Ousmane Sonko, les deux seuls concernés par l’affaire du viol. C’est l’heure d’élucider la vérité et le juge a bien fait de les convoquer en confrontation. Où est le problème ? Ils sont les concernés », dixit Maître El Hadj Diouf, le défenseur de la masseuse du Sweet Beauté sur les ondes de la Rfm.
Dans le camp d’en face, son collègue Maître Siré Clédor Ly, l’un des défenseurs de Sonko, déplore une confrontation bien avant l’heure. « Si le juge d’instruction n’organisait pas une confrontation du point de vue procédural et que tout le monde connaît la position du parquet, c’est une façon, pour le juge d’instruction, de barrer certainement la route au parquet. Il y a aussi que dans ce dossier, toutes les personnes qui ont été citées n’ont pas été entendues dans le fond. Je pense que toutes les personnes impliquées devraient être entendues. Tout le monde comprend que dans cette affaire, au-delà de la recherche d’une vérité, il y a l’inclusion d’une politique dans le champ judiciaire », fustige l’avocat sur les ondes de la Rfm.
À préciser que l’affaire Adji Sarr-Ousmane Sonko n’est pas sans conséquence, puisqu’en mars 2020, 14 personnes y ont perdu la vie dans des manifestations de soutien au leader de Pastef, sans compter les dégâts matériels.
Toutefois, il faut signaler que le leader de l’opposition, Ousmane Sonko, qui avait l’habitude de s’exprimer à la veille de chaque convocation, n’a pas pipé mot cette fois-ci.
[Vidéo] Robe rouge moulante, vraies ou fausses hanches :Adji Sarr fait sensation au Tribunal
Ousmane Sonko a quitté son domicile, sis à la cité Keur Gorgui, vers 10h 25 pour se rendre au Palais de Justice de Dakar.
Le maire de Ziguinchor va faire face pour la première fois à Adji Sarr, qui l’accuse de viols multiples et de menaces de mort.
D’après des informations reçues, le leader de Pastef compte garder le silence une fois dans le bureau du Doyen des juges d’instruction, Oumar de Maham Diallo.
L’affaire Amy Ndiaye Gniby risque de basculer vers un dossier criminel. Selon le certificat médical parcouru par L’OBS, la parlementaire risque de faire un avortement.
Dans ce cas, précise l’avocat Me Cissé, « si notre cliente perd sa grossesse actuelle, on ne parlera plus de délit, mai d’un dossier criminel. »
Selon le rapport médical, « l’échographie objectivait un sac gestationnel contenant un embryon de 9SA1 avec une activité cardiaque et un décollement trophoblastique du pole supérieur mesuré à 11 mm et un décollement étendu du pole inférieur de l’œuf dont le diamètre antéropostérieur est mesuré de 6 mm permettant de conclure à une menace d’avortement précoce post-traumatique.
Dit autrement, le certificat d’hospitalisation de Amy Ndiaye indique qu’elle est exposée à un risque d’avortement précoce post-traumatique.
Ce mardi, Ousmane Sonko et Adji Sarr seront confrontés au Tribunal de Dakar pour la première fois depuis les accusations de viols de la jeune dame au leader politique.
Présente hier à la rencontre pour lutter contre la violence à l’égard des femmes et des filles, Adji Sarr a été interrogée sur cette confrontation avec Sonko. « Oui, je suis prête pour cette confrontation », a-t-elle déclaré.
Elle sera confrontée avec Ousmane Sonko ce mardi à 11 heures au bureau du Doyen des juges, Maham Diallo.
Grosses révélations de cet avocat de Sonko sur la confrontation avec Adji Sarr