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Enfants du DG de la Police, arrestation de Pape Alé Niang: Graves révélations de Mansour Diop et Birahim Touré SenTv (vidéo)

Enfants du DG de la Police, arrestation de Pape Alé Niang: Graves révélations de Mansour Diop et Birahim Touré SenTv (vidéo)

Les révélations de Me Khoureychi Ba sur la nouvelle arrestation de Pape Alé Niang

En liberté provisoire depuis seulement quelques jours, Pape Alé Niang a de nouveau été arrêté, hier, après un live avec Mollah Morgun. Selon son avocat, Me Khoureychi Ba, Pape Alé Niang est victime de l’article 127 du code de procédure pénale.

« Sur réquisitoire dûment motivé adressé au juge Mamadou Seck, le Procureur de la République, outré par l’intervention du journaliste sur le live de Mollah Morgun et la sortie jugée tendancieuse à propos du Directeur de la Police Nationale Bocar Seydou Yague, a requis la révocation de la mesure de contrôle judiciaire », a déclaré l’avocat.

D’après Me Khoureychi Ba, Pape Alé Niang devrait certainement être placé sous mandat de dépôt. « En application du texte de loi précité M. Mamadou Seck, après avoir fait arrêter immédiatement l’inculpé, va le remettre probablement sous mandat de dépôt. Le rendez-vous est pris demain à 10h : 00 au 2ème Cabinet. Les droits de la Défense étant absolus, l’espoir est permis », ajoute-t-il.

Primes : La Fédération sénégalaise de foot implose

L’affaire des primes éclabousse la Fédération sénégalaise de football. En effet, neuf fédéraux se sont partagés 1,848 milliard de francs CFA, en guise de participation entre la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) Cameroun 2021 et de la Coupe du monde Qatar 2022, avait révélé le journal Record.

Selon les informations de SourceA, avant de partir pour la Coupe du monde au Qatar, les dirigeants du foot sénégalais s’étaient accordé sur un point : désigner ceux qui feront partie de la délégation officielle mais en retour, tous les membres du Comex vont se partager l’argent afin d’éviter un malaise au sein de l’instance dirigeante du football sénégalais.

C’est ainsi que Augustin Senghor, Cheikh Tidiane Seck, Djibril Wade, Amadou Kane, Adama Ndour ont été choisis.

Au niveau de la fédé, des agents comme le secrétaire général, Victor Ciss, le directeur technique national, Mayacine Mar, le directeur financier, Mapathé Gaye, Demba Sarr, officier de sécurité nationale de la FSF figurent dans la délégation pour recevoir leurs primes.

Pendant ce temps, d’autres membres du Comité exécutif n’arrivent même pas à voir la couleur de l’argent. Il s’agit du président de la commission finances et son adjoint, le chargé Marketing, du sponsoring, Louis Lamotte et Mbaye Diouf Dia.

Ce groupe qui n’a encore rien reçu attend avec fermeté sa part.

Ce jeudi prochain, le Comex va se réunir et tout porte à croire que cette rencontre est lourde de dangers, et pour cause.

Ceux qui n’ont encore rien reçu sont prêts à tout, jusqu’à l’implosion du « Manko Wuti Ndam li », car ils ne laisseront pas des personnes se partager les primes estimées entre 60 et 75 millions FCFA, indique SourceA.

Ils n’excluent pas de saisir le chef de l’Etat, Macky Sall.

Sonko, Grossesse, Iphone, 4X4… : ce que l’ancienne patronne de Adji Sarr a confié au Doyen des juges

Le Doyen des juges a auditionné celle qui est appelée «Mme Tall» dans l’affaire Sweet Beauty. Adji Sarr, qui accuse Ousmane Sonko de viol et menaces de mort, a travaillé dans son institut de soins de beauté à Liberté 6. Elle a été entendue comme témoin, comme le souhaitaient les avocats du maire de Ziguinchor.

D’après Libération, qui donne l’information, «Mme Tall» a révélé avoir remarqué à plusieurs reprises dans son institut la présence de Sidy Ahmed Mbaye, qui était en compagnie de son ancienne employée le jour des faits présumés. Cette dernière le désignait comme «un ami», a précisé la dame.

Elle a également déclaré que Adji Sarr lui aurait confié un jour être tombée enceinte de Ousmane Sonko et que ce dernier aurait refusé la paternité de la grossesse. Dans son témoignage, elle a souligné que l’ex-masseuse menaçait de donner l’information de la grossesse aux autorités. Elle a ajouté avoir remarqué durant cette période que Adji Sarr disposait d’un nouveau téléphone, un Iphone, et recevait régulièrement la visite de personnes en 4X4.

«Mme Tall» a déclaré avoir cherché à alerter Ousmane Sonko en passant par sa mère, qui est une sympathisante de Pastef. Elle a confié au Doyen des juges avoir perdu la trace d’Adji Sarr le jour où elle lui a demandé la permission d’aller à la boutique pour acheter du fil à coudre.

Elle n’est jamais revenue. «Mme Tall» a affirmé n’avoir plus jamais eu de ses nouvelles jusqu’à ce qu’elle entende son nom dans les médias et les réseaux sociaux avec l’éclatement de l’affaire Sweet Beauty.

Wally Seck humilie et déshabille Omaro « souma amoul wone état d’esprit doffi togue… »

Wally Seck humilie et déshabille Omaro
Wally Seck humilie et déshabille Omaro


Le jeune Faramaren Waly Ballago Seck a sorti son nouvel album « état d’esprit ». Un album de 16 titre disponible sur toutes les plateformes digitales.

Ce lundi en conférence de presse, le fils de Thione Ballago Seck a décortiqué l’opus.

Omaro present à cette cérémonie, a été accueilli par Waly Ballago Seck. Lequel lui rappelle son titre de l’album

« Si je n’avais pas un état d’esprit, toi Omaro, tu ne sera pas là aujourd’hui. Dans la vie il faut avoir un esprit de dépassement et fait pardonner »

(Vidéo) Aliou Sow Walf apporte des précisions de tailles sur Les enfants du DG de la Police, après Pape Alé Niang…

Aliou Sow Walf
Aliou Sow Walf

Diaga en larmes se confesse :   «Mane Thione rek la beug, moy sama dieukeur bi ndieuk, moy sama dieukeur bi moudié»  

Diaga
Diaga

Wally Ballago Seck a procédé à la séance d’écoute de son nouvel album de 15 titres intitulé  » Etat d’esprit ».

La presse a répondu présente chez sa mère où se déroulait la séance d’écoute.

Diaga la mère de Wally Seck a fait pleurer certains journalistes lorsqu’elle a témoigné sur son défunt mari Thione Ballago Seck :  » Je n’écoute que Thione, car je n’aime que Thione, c’est mon premier et dernier amour », raconte Diaga en versant de chaudes larmes.

(Vidéo) Dame Mbodji donne de ses nouvelles après sa longue absence sur les réseaux sociaux

Dame Mbodji
Dame Mbodji

(Vidéo) Arrestation de Pape Alé : La réaction musclée de Cheikh Omar Talla “ Diayy Dollé bi dafa wara..”

reaction musclée de Cheikh O Talla “
réaction musclée de Cheikh O Talla “

 De Mbidane à une grande comedienne, Ndeye Ndiaye en larmes :  » Lep louma am té bokou mako ak sama yaye… »

Ndeye Ndiaye en larmes
Ndeye Ndiaye en larmes

Ndeye Ndiaye n’est plus à présenter dans le milieu théâtral sénégalais. Actrice-comédienne, Ndeye Ndiaye a accordé un entretien à l’équipe de Senepeople, elle relate son enfance, ses débuts et les difficultés rencontrés dans ce métier qu’elle aime tant, la relation qu’elle noue avec ses parents. .

« Ma mère est ma première fan, quand elle me regarde à la télé, elle à fond », raconte la comédienne .

Dernière minute – Apres son arrestation : Une mauvaise nouvelle s’annonce pour Pape Alé Niang. Regardez

arrestation de Pape Alé Niang
arrestation de Pape Alé Niang
https://youtu.be/x07N1uLFNxI

« C’est le juge du 2e cabinet qui a ordonné la levée du contrôle judiciaire du journaliste. »

juge
juge

Le journaliste Pape Alé Niang, libéré mercredi dernier, vient d’être interpellé à nouveau par les éléments de la Division des investigations criminelles. Selon son avocat Me Clédor Ly: « ‘c’est le juge du 2e cabinet, Mamadou Seck qui a ordonné la levée du contrôle judiciaire du journaliste. »

Ismaëla Madior Fall refuse de se prononcer sur le rapport de la Cour des comptes

Ismaila Madior Fall
Ismaila Madior Fall

Le rapport de la Cour des comptes portant sur la « Contrôle de la gestion du Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la COVID-19 (FORCE COVID), Gestions 2020 et 2021 » ne se verra pas le privilège d’être commenté par le ministre la Justice, garde des Sceaux, Ismaël Madior Fall.

Celui-ci, qui a présidé, ce lundi, la rencontre annuelle des chefs de parquets, s’est littéralement abstenu de toutes questions allant dans ce sens. Interpellé par la presse, le ministre dira « pas de questions, à la prochaine… inchallah ! « , a-t-il lancé avant de prendre la poudre d’escampette.

Et pourtant, dans ce rapport de 180 pages, les contrôleurs de la Cour des Comptes ont relevé de nombreuses irrégularités, conflits d’intérêt, entorses au Code des marchés publics, retards dans les délais de livraisons, etc. en ce qui concerne la gestion 2020 et 2021 et l’utilisation du Fonds FORCE COVID-19. Un carnage financier qui, depuis deux semaines, occupent les débats dans l’espace public.

D’ailleurs, ladite Cour a demandé l’ouverture de 12 d’informations judiciaires.

(Vidéo) Pape Alé encore arrêté: les révélations Ousmane Tounkara « Danio harcelé diabaram Pour Mou… »

Pape Alé ,Ousmane Tounkara
Pape Alé ,Ousmane Tounkara

(Vidéo) Urgent – Pape Alé Niang à nouveau arrêté : son avocat Me Moussa Sarr confirme et émet de sérieuses doutes sur…

Me Moussa Sarr
Me Moussa Sarr

Le journaliste Pape Alé Niang, libéré mercredi dernier, vient d’être interpellé à nouveau par les éléments de la Division des investigations criminelles. Selon son avocat Me Clédor Ly: « ‘c’est le juge du 8 e cabinet, Mamadou Seck qui a ordonné la levée du contrôle judiciaire du journaliste. »

(Vidéo) Wally Seck verse de chaude larme devant sa mère Diaga « sama baye lou nék deg nako,gni di wax dma arrogant… »

Wally Seck
Wally Seck

Rapport de la Cour des Comptes : les précisions et éclairages de l’ex DAGE du Ministère de la Culture et de la Communication

ex DAGE du Ministère de la Culture et de la Communication Léonce Nzalé
ex DAGE du Ministère de la Culture et de la Communication Léonce Nzalé

Dans le Rapport de la Cour des Comptes sur la gestion des Fonds destinés à la riposte contre la pandémie du Covid-19, des irrégularités ont été relevées par les auditeurs de ladite Cour dans plusieurs ministères dont celui de la Culture et de la Communication.

Je voudrais, à travers ce texte, exprimer, comme tout sénégalais, ma satisfaction et mon respect à l’endroit des magistrats et vérificateurs de cette institution dont la mission est, entre autres, de contrôler le bon emploi et la bonne gestion des fonds publics. Ces hommes et ces femmes, vigies de la transparence, nous rappellent au quotidien notre obligation de rendre compte au peuple sénégalais de l’utilisation des deniers publics.
Le principe de reddition qui pèse sur chaque gestionnaire de deniers publics nous impose, non pas de répondre à la clameur publique mais plutôt d’apporter, de manière sereinedes éclaircissements aux interrogations des uns et des autres sur les probables délits signalés dans le Rapport de la Cour.

C’est pourquoi, en ma qualité d’ex DAGE du Ministère de la Culture et de la Communication, je voudrais apporter les précisions suivantes :

Rappel du processus de mise à disposition des fonds aux différents bénéficiaires

Par note de service n°0942/MCC/SG du 16 juin 2020, le Ministre de la Culture et de la Communication avait définila composition, les missions ainsi que le mode de fonctionnement des sous-comités sectoriels du Fonds Covid-19.

En application des orientations de cette note, les sous-comités créés étaient chargés de définir les critères d’éligibilité aux aides, les modalités de mise à disposition des montants retenus et les comptes qui devaient recevoir les virements. A la fin des travaux des sous- comités, les montants retenus ont été affectés d’un commun accord à chacun des sous-secteurs (Musique, Danse, Théâtre, Conte, Arts visuels, Cinéma et audiovisuel, Livre et édition, Stylisme et modélisme, Communicateurs traditionnels, Patrimoine culturel)à travers les responsables désignés par les bénéficiaires.

Ainsi, pour les différentes organisations bénéficiaires, des chèques ont été remis aux responsables désignés par leurs pairs au cours d’une cérémonie publique àla Maison de la Presse Babacar Touré, le 19 juin 2020.

Au cours de cette cérémonie, présidée par le Ministre de la Culture et de la Communication, les missions de chaque sous-comité ont été rappelées ainsi que l’obligation de déposerles pièces justificatives des dépenses au niveau de la DAGE en vue de leur transmission à qui de droit.

Je précise, du reste, qu’en tant que DAGE, je n’ai payé directement aucun bénéficiaire à l’exceptionde quelques cas de réclamations et d’omissions validées par l’autorité (le paiement étant fait par chèque contre décharge et copie de la carte nationale d’identité). Toutes les autres sommes ont été gérées par les responsables des organisations professionnelles qui ont privilégié ce mode de gestion après leurs concertations.

Par ailleurs, je dois préciser que les montants restitués par la SODAV et le sous-comité Arts visuels(faute d’avoir pu les distribuer intégralement) ont été réaffectés à d’autres artistes conformément aux instructions reçues.

Réception des pièces justificatives

En vertu de l’obligation de reddition, précédemment soulignée, certains responsables d’organisations bénéficiaires ont présenté les pièces justificatives dans les délais requis.

Pour les autres responsables qui n’avaient pas respecté le délai fixé par le Ministre, des lettres de rappelet de mise en demeure leur ont été adressées. Malgré tout, ils n’ont jamais présenté les justificatifs, d’autres ne l’ont fait que partiellement, sous prétexte qu’il s’agissait d’un appui du Gouvernement pour faire face aux difficultés du moment. « Président mognoukobahè, ministre bi momouko ». Telle est la réponse qui nous était, constamment, servie.

Cette situation expliqueles écarts relevés, objet des manquements signalés par les auditeurs. Je précise, une fois de plus, qu’il s’agit de sommes dont les responsables d’organisations n’ont pas fourni de justificatifsà la DAGE pour prouver la remise effective des sommes aux acteurs culturels bénéficiaires.

Il faut dire d’ailleurs que je ne disposais d’aucun moyen coercitif pour contraindre ces responsables avec qui je n’entretiens pas de relations fonctionnelles directes.

Eu égard à toutes les difficultés rencontrées dans la gestion du premier montant alloué aux acteurs culturels, le comité a tiré tous les enseignements en optant pour un paiement direct par le biais d’un opérateur de transfert d’argent pour la seconde phase.

Ce procédé de paiement s’est déroulé dans de bonnes conditions et le rapport fourni par l’opérateur a été transmis à qui de droit sans observations.

Tels sont les éclairages que je voudrais porter à l’attention des sénégalais. Il ne s’agit nullement de se justifier, puisque cela se fera devant qui de droit, mais de permettre à chaque contribuable d’apprécier afin de se faire une idée sur l’imputation de la responsabilité et sur les déclarations-accusations des personnes qui, tapies dans l’ombre, profitent de la publication du Rapport pour porter des jugements erronés et gratuits sur la moralité des gens. La recommandation relative à l’ouverture d’une information judiciaire permettra effectivement de situer les responsabilités.
Que la Paix règne dans nos cœurs !!

Kaolack : Pape Demba Biteye « valide » la candidature de Macky Sall pour 2024

Pape Demba Biteye
Pape Demba Biteye

Le mouvement Kaolack sur les rampes de l’émergence avec Macky SALL (KREM ) a organisé un grand rassemblement politique en faveur du directeur général de SENELEC, son parrain. Pape Mademba Biteye a saisi l’occasion pour valider la candidature du chef de file de Benno Bokk Yakaar (BBY), Macky Sall, à la présidentielle de 2024.

https://www.dailymotion.com/embed/video/x8ggigv?autoplay=1
La cérémonie d’hommage au directeur général de Senelec “ Sargal “, a été mise à profit par le parrain par ailleurs président du mouvement Kaolack sur les rampes de l’émergence avec Macky Sall (KREM ) pour évoquer la candidature de leur mentor à la présidentielle de 2024. Selon lui,  » nul ne peut empêcher la candidature Macky Sall. Nous devons nous mobiliser, faire tout notre possible avec tous les Kaolackois car le Sénégal a besoin de Son Excellence le président Macky Sall. Partout  au Sénégal, son leadership est respecté; nous les Saloum-Saloum, nous avons dépassé la question de sa candidature; nous parlons de sa réélection, c’est ça le débat à Kaolack “ a déclaré Pape Mademba Biteye.
Venu présider la manifestation politique, Abdoulaye Daouda Diallo a appelé tous les responsables politiques de la région de Kaolack à l’unité et se dit rassuré par la détermination des Kaolackois pour la réélection du président Macky Sall.

Rapport cours des comptes: Un ancien Dage du ministère de la santé déballe « Sonko a eu raison de… »

Un ancien Dage du ministère de la santé déballe
Un ancien Dage du ministère de la santé déballe

(Vidéo) Moustapha Diakhaté demande l’arrestation de Mc Niass « Procureur Dako Wara Diap… »

Moustapha Diakhaté:Mc Niass
Moustapha Diakhaté:Mc Niass

« ils ont proposé 200.000 millions à MC Niass » les Nouvelles révélations de Cheikh Ousmane Touré

Cheikh Ousmane Touré
Cheikh Ousmane Touré

Organisation de la Can 2025 – La Fédération Sénégalaise de Football dément

Fédération Sénégalaise de Football
Fédération Sénégalaise de Football

La Fédération Sénégalaise de Football informe l’opinion publique que le Sénégal n’est pas candidat pour l’organisation de la CAN 2025 contrairement à ce que certains médias ont récemment annoncé.

Les autorités sportives du Sénégal se focalisent pour le moment sur la construction et la réhabilitation d’infrastructures sportives à travers le pays afin de pouvoir accueillir dans un futur proche une grande compétition continentale.

Fait à Dakar, le 19 décembre 2022

Le Secrétaire Général

Victor Seh CISSE

(Vidéo) Don Diego fait des révélations sur El Hadji NDIAYE.Regardez

Don Diego fait des révélations sur El Hadji NDIAYE
Don Diego fait des révélations sur El Hadji NDIAYE

(Vidéo) Ndax Wally daf ko sarakhé? Ndeye Gueye hausse le ton «Wally mo tay def.. »

Wally daf ko sarakhé? Ndeye Gueye
Wally daf ko sarakhé? Ndeye Gueye

Diouf Sarr crée des milliardaires…un dossier entre les mains de Macky

Diouf Sarr
Diouf Sarr

Abdoulaye Diouf Sarr a beau rester dans les rangs de Benno Bokk Yakaar, mais il ne digère toujours pas son éjection du ministère de la Santé et de l’Action Sociale (MSAS). Le premier vice-président n’a toujours pas oublié que le chef de l’Etat a promu les artisans de sa chute lors de ces précédentes élections. L’ancien maire de Yoff a mis sur pied son propre mouvement qu’il garde à l’ombre. Mais si le prédécesseur de Marie Khemesse Ngom Ndiaye ambitionnait de quitter le navire du président, il peut déchanter. Le locataire du Palais a un dossier qui pourrait faire tomber tous les plans du candidat malheureux à la mairie de Dakar.

Abdoulaye Diouf Sarr devra renoncer à tout projet de tourner le dos à la mouvance présidentielle. Depuis qu’il a été limogé à la tête du ministère de la santé, il s’est lancé dans une sorte de rébellion. Le premier vice-président de l’Assemblée nationale a émis de sévères critiques contre le chef de l’Etat. Désormais, il a même son propre mouvement. Un mouvement qui pourrait lui permettre de quitter Benno et de voler de ses propres ailes. Malheureusement, sa gestion à la tête du MSAS l’a rattrapé à quelques mois de la fin du dernier mandat de Macky Sall…

La Cour des Comptes a publié son rapport sur l’audit de la gestion 2020 et 2021 du Fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la Covid-19 (Fonds-Force Covid). Les conclusions démontrent clairement qu’une tierce personne s’est bien servi au moment où les sénégalais luttaient pour survivre. Abdoulaye Diouf Sarr fait partie des personnes épinglées par le législateur. A lui tout seul, il a réussi à faire gagner à une dame, une quinzaine de milliards.

En effet, la dame Ndèye Katy Gadiaga a remporté le jackpot avec les marchés qu’elle a gagné sous Abdoulaye Diouf Sarr. Ses entreprises Medine Sarl, NKG, Sonabi et Nabiyou Voyages ont fourni, en 2020, des matériels médicaux et des équipements de protection individuelle au ministère de la Santé pour un montant total de 15 milliards 578 millions FCFA correspondant à 17 marchés.

Sur un échantillon de 48 marchés, des retards de plus de 100 jours ont été signalés. Le montant octroyé aux laboratoires intervenant dans la détection des malades atteints de Covid s’élève à 641 millions 556 mille 149 FCFA en 2020. Une comparaison des prix de ces fournisseurs avec ceux de la PNA, pour les mêmes types d’équipements et la même quantité, fait ressortir un manque à gagner pour l’Etat estimé à 983 450 000 FCFA, lit-on dans le chapitre 3 du rapport.

diouf sarr

La Cour des Comptes doute aussi des chiffres du Covid fournis sous le magistère de Diouf Sarr. Le cumul des données mensuelles au plan national indiquait 279 552 tests réalisés, dont 19 140 positifs, 17 254 patients guéris, 377 cas graves et 410 décès. Pourtant, durant la même période, le cumul des données des régions médicales faisait état de 164 236 tests réalisés, contre les 279 552 annoncés par le ministère, soit un écart de 115 316. Toutes ces données prouvent que les autorités sanitaires se sont bien payées la tête des sénégalais. Et tout cela s’est fait sous le règne de Diouf Sarr.

Même s’il crie son innocence, Abdoulaye Diouf Sarr est pris au piège. Plus de 90 pages de ce rapport sont destinées à son ministère. Sa gestion catastrophique y est passée en revue. Ce qui le place à la merci du président Macky Sall. Avec ce rapport, il ne peut plus se rebeller. S’il venait à tenter d’aller contre les intérêts du locataire du Palais, Macky pourrait faire de lui un exemple. Tous les rapports sont sous le coude de Macky. Il peut activer la justice contre qui il veut. A la tête de l’Ofnac, Serigne Bassirou Guèye peut être activé à tout moment pour traquer Diouf Sarr et toutes les personnes qui tournent autour de lui.

Diouf Sarr peut mettre de côté ses ambitions. Tout ce que fait Macky est politique. La publication de ce rapport, à quelques mois de la présidentielle, n’est pas anodine. Le locataire du Palais veut s’entourer de tous ses hommes avant de se lancer dans son projet de troisième mandat. Avec les conclusions de ce rapport, il a de quoi faire pression sur toutes les « mauvaises graines » de son gouvernement, y compris son ancien ministre de la santé.

Abdoulaye Diouf Sarr est dans le piège de Macky Sall. Désormais, il devra faire preuve de tact pour s’extirper des griffes de son bourreau. Mais la tâche est loin d’être facile. Le chef de l’Etat veut son troisième et il ne lésine pas sur les moyens à utiliser. Désormais c’est la loi de la carotte ou du bâton.

Covidgate : « Le gouvernement de Macky, en plus des crimes de sang, commet des crimes économiques »

Guy Marius Sagna
Guy Marius Sagna

Le député Guy Marius Sagna s’est fendu d’un post pour dénoncer les « fautes de gestion et des infractions pénales » commises au Sénégal dans la gestion des fonds anti-covid. Pour lui, « le gouvernement du président Macky Sall en plus de commettre des crimes de sang, commet des crimes économiques ».

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« Parce que le président Macky Sall et son gouvernement doivent expliquer au peuple pourquoi pendant qu’ils disaient au peuple « restez chez vous! » pendant la période du coronavirus, qu’ils fermaient mosquées, églises et bois sacrés, pourquoi pendant que des Sénégalais contribuaient aux fonds COVID-19 des membres du gouvernement de Macky Sall volaient, pillaient le peuple sénégalais ? », déclare Guy Marius Sagna.

« Pourquoi pendant que les agents de santé n’avaient pas suffisamment de masques et de gants alors qu’ils luttaient contre le coronavirus – jusqu’au moment où je vous parle l’État reste devoir des arriérés de salaire aux agents de santé des CTE – des membres du gouvernement de Macky Sall volaient l’argent des sénégalais ? », s’interroge-t-il.

Selon lui, c’est pour que Macky Sall et son gouvernement rendent compte et surtout rendent gorge que sa collègue député Aminata Touré et lui ont déposé une question d’actualité relative aux crimes économiques dont parle le dernier rapport de la cour des comptes aujourd’hui sur la table du président de l’Assemblée nationale.

Les lundis de Madiambal : « Ces ministres peuvent s’estimer heureux de n’avoir été que limogés »

Madiambal
Madiambal

La publication des derniers rapports de la Cour des comptes suscite l’indignation généralisée, quant à la gabegie relevée dans la gestion des ressources publiques allouées à différentes administrations. Les fautes sont graves et la désinvolture avec laquelle certains actes de prédation ont été commis laisse sans voix.

C’est comme si l’impunité leur avait été assurée d’avance ! Seulement, la situation n’autorise plus de passer de tels actes de mauvaise gouvernance par pertes et profits. Il est en effet rare de trouver des révélations de mauvaise gestion qui aient pu autant choquer l’opinion publique. La révolte tient surtout au fait que pendant que tout le monde avait la peur au ventre, enterrait ses morts dans la douleur et craignait d’être emporté soi-même par la pandémie du Covid 19, des agents publics profitaient de cette détresse générale pour s’en mettre plein les poches, s’enrichir à cœur joie, sans scrupule, avec cynisme. Il n’est pas exagéré de dire que si les importantes ressources dégagées pour faire face à la pandémie du Covid-19 avaient été utilisées à bon escient, peut-être que le Sénégal n’aurait pas enterré autant de morts, que son tissu économique et social aurait été plus résilient, que le drame n’aurait pas atteint les proportions dont on subit encore les séquelles. L’autre raison tient au fait que les efforts consentis par le Sénégal dans la lutte contre la pandémie avaient été salués de par le monde et notre pays avait été cité en exemple pour sa prise en charge du Covid. La réactivité impulsée par le président Macky Sall avait permis de montrer la voie et des partenaires internationaux n’avaient pas hésité à aider et soutenir le Sénégal, peut-être dans des proportions bien supérieures aux aides consenties à de nombreux autres pays. On peut imaginer la déception de ces partenaires et leur dirimante exigence de vérité et de transparence. D’ailleurs, les institutions financières internationales ont encouragé le gouvernement du Sénégal et la Cour des comptes à rendre public le rapport définitif intitulé : «Contrôle de la gestion du fonds de riposte et de solidarité contre les effets de la Covid 19 (Force covid). Gestion 2020 et 2021». De toute façon, la Cour des comptes allait le faire, selon son agenda propre car aucun rapport des corps de contrôle de l’État n’échappe désormais à la publication. Quelles réponses le président de la République, Macky Sall va-t-il apporter à ce tollé ? Chercherait-il à sauver les «siens» de l’opprobre, au risque d’éclabousser gravement sa gouvernance et son crédo de transparence et de gouvernance vertueuse ? Pourtant, nous avions alerté à travers ces colonnes, au moment de la commission des faits de bamboula sur les ressources dédiées au Covid-19.

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Question à mille balles : Qui mérite aujourd’hui d’être arrêté ?

Dans une chronique en date du 3 juin 2020, au plus fort de la pandémie du Covid-19, nous avions tenu à alerter, à mettre en garde, soulignant notamment que : «La crise provoquée par la pandémie du Covid-19 a révélé les faiblesses, carences, lacunes et autres dysfonctionnements dans l’action du gouvernement. Les ratés sont nombreux. Et comme touchés par une malédiction, les ministres n’arrivent presque plus à faire les choses comme cela se devrait. A la vérité, ce gouvernement ne peut pas aller plus loin, au risque d’abîmer l’image du chef de l’État et de finir par compromettre tout ce que le Président Macky Sall a eu à réussir dans sa gouvernance publique». Nous insistions, à l’endroit du Chef de l’État et de ses proches, qui s’offusquaient de certaines critiques en leur précisant que : «Ce n’est pas toujours parce que les gens ne vous aiment pas». En effet, «Il faut dire que la gestion de la pandémie a mis à nu des tares et des situations d’incompétence qu’on pouvait difficilement soupçonner de la part de nombreux ministres et de leurs collaborateurs. Il s’y ajoute de réels cas d’une malgouvernance outrageante. L’heure des comptes de l’utilisation de l’enveloppe de 1 000 milliards de francs, prévue pour les actions de riposte contre le Covid-19, est partie pour donner des situations de grandes et délicates controverses». C’était pour mettre le doigt notamment sur le démantèlement des centres de traitement des endémies (Cte) avec des matériels qui se retrouvaient comme par hasard dans les souks de Keur Serigne bi, ou que des cliniques médicales privées se retrouvaient comme par enchantement dotées d’appareils respiratoires dont elles étaient totalement dépourvues quelques jours auparavant.

Ces lignes avaient provoqué une réaction outrée de nombreux responsables du pouvoir, dont notamment le Directeur général du Prodac à l’époque, Pape Malick Ndour, piqué par on ne sait quelle mouche, qui était monté au créneau pour demander rien de moins que l’arrestation de Madiambal Diagne, qui venait ainsi de porter de graves accusations qui terniraient l’image du gouvernement. Pape Malick Ndour est devenu ministre de la Jeunesse. Peut-être que le zèle de mauvais aloi, doublé du don ou de l’art de noyer le poisson, assure des carrières ministérielles dans ce pays ! Le ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr et ses affidés s’épanchaient eux aussi à travers des médias pour me menacer de plaintes et d’on ne sait quelles foudres. On peut, après la publication de l’état des lieux faits par la Cour des comptes, se faire une bonne idée de qui mériterait véritablement d’aller en prison dans cette affaire ! Je répondais à mes pourfendeurs qui me désignaient comme un faux-ami du Président Sall, le 15 juin 2020, que : «Je me suis fait le serment de lui dire strictement la vérité, considérant que je ne pourrais lui être utile et être utile à la République que dans une posture de vérité et de franchise. En de nombreuses occasions, l’un et l’autre, nous avons pu éprouver notre amitié. Ce n’est pas pour autant que mon pacte avec le Sénégal en souffrirait d’une quelconque manière».

Pour ce qui le concerne, on peut dire que le Président Macky Sall avait déjà fini de se faire son opinion sur la mauvaise gestion des ressources consacrées à la lutte contre le Covid-19. En effet, au hit-parade des actes de prédation de ressources publiques, on constate bien que les ministres limogés lors des derniers remaniements du gouvernement tiennent le haut du pavé. Le grand public a désormais une bonne explication des raisons qui ont participé à décider le président Macky Sall de se séparer de quelques membres de son gouvernement. Certains limogeages avaient provoqué beaucoup de commentaires et d’incompréhensions, pour ne pas dire de vives protestations. Quelques initiés avaient pu dire, pour calmer des ardeurs, que le simple limogeage serait la meilleure des choses qui pouvait arriver à nombre de ministres qui venaient de perdre leur place au gouvernement. Il reste que tous les ministres épinglés et limogés du gouvernement ont déjà été recyclés à d’autres emplois publics, encore que dans le gouvernement, d’autres ministres devront raser les murs après les révélations effarantes de la Cour des comptes. D’aucuns ont voulu invoquer le rapport élaboré par le Général François Ndiaye et les membres du Comité de suivi de «Force Covid-19» sur la gestion de la pandémie pour s’absoudre. Ce rapport qui blanchit la plupart des protagonistes, se voit ainsi désavoué par la Cour des comptes. Il était assez facile de ne pas s’y tromper. «Le général Ndiaye risquait de n’y voir que du feu», avions-nous annoncé, d’autant que le Général François Ndiaye et son équipe n’étaient pas outillés ou préparés pour mener avec pertinence les investigations nécessaires et débusquer les avatars de la gestion des ressources englouties dans des marchés passés à la va-vite. A leur corps défendant, le Général Ndiaye et son équipe éprouvaient d’énormes difficultés pour accéder aux informations. La collaboration des différentes administrations n’était pas évidente et cette situation avait d’ailleurs été déplorée par le Général Ndiaye lors d’une conférence de presse, le 11 juin 2020.

Le président Sall promet de faire la lumière sans complaisance aucune

On ne peut pas ne pas être en colère de voir que personne n’avait voulu entendre les sonnettes d’alarme tirées. Malheureusement, nous prédisions encore, le 20 avril 2020 dans un article intitulé «Macky Sall gagne et perd » que les proches du chef de l’État «ont raté une belle occasion de faire mentir leurs détracteurs. On ne regrettera jamais assez la triste polémique autour de la gestion de l’aide apportée aux populations socialement défavorisées, pour leur permettre de supporter les conséquences économiques et sociales de la pandémie. Les accusations de népotisme et de manque de transparence ont été portées contre le gouvernement du Sénégal. Cela est dommageable, car altérant cette image si opportunément construite. Pourtant, il y a eu tellement d’alertes et de mises en garde pour que les préposés à la gestion de ces fonds évitent toute situation compromettante ou qui donnerait du grain à moudre à leurs détracteurs. La symphonie de l’union sacrée n’avait pas empêché des adversaires du régime de Macky Sall d’émettre des doutes, des suspicions quant à la gestion vertueuse des ressources dédiées au plan de riposte contre le Covid-19. Il s’était même trouvé des personnes réticentes à apporter leurs contributions, voulant se garder de donner de l’argent susceptible d’être détourné. Il est certes impossible dans ce pays d’éviter des polémiques liées à la gestion des ressources publiques, mais le gouvernement aurait gagné à se montrer irréprochable depuis qu’un Ousmane Sonko, au sortir d’une audience avec le Président Macky Sall, étalait ses réserves quant à une bonne gestion des ressources. La prudence devait aussi être de rigueur quand le député Mamadou Lamine Diallo et des personnalités de la Société civile avaient refusé de donner un blanc-seing au gouvernement quant à la gestion de ces fonds.

Il est aussi utile de se rappeler la maxime selon laquelle «le malheur n’arrive pas qu’aux autres». On sait comment la clameur publique avait poursuivi, tout le reste de sa vie, une certaine Siga Sèye Coulibaly, suite à des opérations de dons en faveur de la Croix-Rouge sénégalaise dans les années 1990. Le temps n’a pas non plus effacé des mémoires, l’opprobre jeté sur Léna Fall Diagne du fait de la mauvaise gestion de la campagne «Une femme, un gramme d’or», censée être une récolte pour aider le Sénégal confronté, dans les années 1980, à une crise économique aiguë. Qui ne se rappelle pas les déboires de Aïda Ndiongue et de Abdoul Aziz Diop et compagnie, du fait de la gestion des opérations d’achat de produits phytosanitaires, en 2008, dans le cadre du «Plan Jaxaay», initié par le Président Abdoulaye Wade pour venir en aide aux populations sinistrées par des inondations ? Dans la gestion de la riposte contre le Covid-19, le gouvernement avait toutes les bonnes raisons de ne pas prêter le flanc, pour éviter de donner à ses détracteurs le bâton et se faire flageller. Les ratés et autres méprises dans les passations des marchés des denrées à distribuer aux populations sont assez ravageurs pour l’image du Président Macky Sall ».

Le président Macky Sall aurait promis de faire toute la lumière sur ce scandale de la gestion de la pandémie du Covid-19. La Cour des comptes ne semble pas laisser le choix au chef de l’État en recommandant l’ouverture d’informations judiciaires sur de nombreux cas de prévarication relevés. La situation aurait pu être plus embarrassante pour le président Macky Sall si son nouveau Premier ministre, Amadou Ba, faisait partie des ministres épinglés pour la gestion des fonds Covid-19. Amadou Ba était ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur et son département s’était vu allouer quelque 12,5 milliards de francs de crédits tirés de l’enveloppe dédiée à la riposte contre le Covid-19. Amadou Ba, sachant sans doute qu’à l’époque il devait être le plus surveillé de tous, s’était fait un point d’honneur de rendre une copie propre. Cette attitude, il faut le dire, n’avait pas beaucoup plu à nombre de ses collaborateurs.

* Par Madiambal DIAGNE – [email protected]

Rapport Cours des comptes : « Sous Wade on a emprisonné des gens. Mais sous Macky, personne… »

Wade on a emprisonné des gens. Mais sous Macky
Wade on a emprisonné des gens. Mais sous Macky

« Politiquement, cette motion de censure a bien servi le pouvoir« , d’après Mamadou Diop Decroix. Le Sg général du parti Aj/Pads, invité du « Grand Oral » sur Rewmi Fm, est aussi revenu sur le rapport de la Cour des comptes, entre autres sujets. Morceaux choisis…

Motion de censure…

Mamadou Diop Decroix qui dit être d’accord sur le le principe, de préciser que « d’aucuns disent qu’ils (les députés de Yewwi : Ndlr) auraient dû attendre« .

« Mais le Pm c’est juste un coordonnateur. On peut la déposer quand on veut. C’est celui qui l’a déposée qui doit comprendre le contexte dans lequel il le faut. C’est leur liberté et j’ai exprimé des réserves au sens où cette motion n’a pas été préparée. Mais bon, c’est rejeté. 165 députés dont 55 qui ont voté pour et 110 qui ont refusé. Cela crée un problème au sein de l’hémicycle, car cela pose le problème du peuple de l’opposition qui a fait bloc pour se présenter devant les électeurs. Là, les choses semblent se déliter. C’est un problème politique. Cette motion n’a pas été bien préparée, mais on s’interroge sur son opportunité« , selon Decroix.

D’après lui, « le résultat montre que cela renforce le pouvoir. Les gens disaient que la cohabitation va s’instaurer et on voit 110 députés rejeter la motion. Alors il y a problème. Politiquement, cette motion a bien servi le pouvoir« .

Rapport de la Cour des comptes et impunité…

« Ce n’est pas nouveau« , s’est désolé le leader d’Aj/Pads. Qui rappelle que sous Wade, « on a emprisonné des gens. Mais sous Macky, personne ne séjourne en prison. Cela ne surprend personne. Il faut changer le régime et les méthodes. Quand Wade partait, on a constaté que des gens disaient peu importe. Mais depuis lors, est-ce que vous entendez des gens dire que Macky s’en aille peu importe son remplaçant ? Non… Il faut réformer pour s’en sortir« .

« Les rapports d’enquêtes ont toujours existé« , a soutient Decroix. Il estime, à cet effet que le rapport n’a fait que « confirmer ce que les sénégalais savent déjà. On ne peut pas s’étonner, car la ligne directrice du Président c’est de ne pas sanctionner. Il faut changer les choses avec des règles. Les gens ont volé, mais sans suite aussi, car il n’y aura aucune poursuite. Donc, tout cela retourne à la racine et il faut une solution aussi. La presse aussi a une grande responsabilité…« 

(Vidéo) Baye Mbaye (MC)  » J’assume mes responsabilités… C’est moi même qui ai enregistré Adji Sarr »

Baye Mbaye (MC)
Baye Mbaye (MC)

Il l’avait annoncé juste après sa sortie d’audition avec Maham Diallo : « je ferais un point de presse pour éclairer« . Baye Mbaye (MC) Niass est revenu sur son face à face avec le Doyen des juges sur l’affaire opposant Sonko à la masseuse Adji Sarr.

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Audios…

Le guide religieux est revenu sur une de ses discussions avec Adji Sarr. Selon Baye Mbaye Niass, « le jour où les Sénégalais auront vent (de ces audios), ils vont envahir les rues pour manifester« .

Responsabilité des chefs religieux…

D’après lui, les chefs religieux ont une responsabilité dans cette affaire et auraient dû intervenir depuis le début « afin d’éviter (ces 14 morts) au mois de mars dernier« .

Mamour Diallo…

« Adji Sarr (Ndlr : lors de leur discussion) n’a jamais cité le nom du Président Macky Sall. Mais plutôt Mamour Diallo« , fait-il savoir. Non sans appeler le chef de l’Etat à faire la lumière sur ces 14 morts « pour que leurs parents puissent avoir la conscience tranquille (…) J’assume mes responsabilités… C’est moi même qui ai enregistré Adji Sarr (…) Et des personnalités, politiques comme religieuses, ont été citées dans les enregistrements…« .

Regardez :

(Vidéo) Urgent: 2 ans ferme requis contre les députés de PUR, les avocats déballent et révèlent  » Limou Wakh

députés PUR
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Me Baboucar Cissé crache le feu sur Massata Samb et Mamadou Niang : « Ils ont passé la nuit chez Biram Soulèye Diop »

Me Baboucar Cissé
Me Baboucar Cissé

Revenant sur la fuite reprochée aux députés après l’agression de leur collègue Amy Ndiaye Gniby , Me Baboucar Cissé n’a pas raté l’occasion pour cracher du venin sur Massata Samb et Mamadou Niang. Il a révélé que les députés ont dormi le jour de leurs arrestations avortées au sortir de l’hémicycle chez Biram Soulèye Diop. « Il s’agit d’une exception tirée du fait de leur immunité parlementaire. Et pour cela, on a tenté de vous dire que la loi organique de notre auguste Assemblée nationale est illégale et anticonstitutionnelle », a souligné l’avocat.

Il ajoute : « on a terni l’image de ce pays. Et tout le monde a vu urbi et orbi qu’un député s’est levé pour se diriger vers la dame Amy Ndiaye Gniby. Cela est flagrant aux yeux de tout le monde ».

Selon la robe noire, le jour de leurs arrestations, les députés ont dormi chez Biram Soulèye Diop et le lendemain, il les a livrés à la police

Mamelles : Une voiture Mercedes appartenant à un lieutenant des Douanes part entièrement en fumée.

Mercedes appartenant à un lieutenant des Douanes part entièrement en fumée.
Mercedes appartenant à un lieutenant des Douanes part entièrement en fumée.

Une voiture de marque Mercedes a pris feu sur la corniche, à hauteur des Mamelles, non loin du Monument de la Renaissance africaine aux environs de 18h. Le véhicule appartiendrait à un lieutenant des Douanes qui a été évacué très tôt. Il a échappé aux flammes, mais la voiture s’est entièrement consumée. Les éléments des sapeurs-pompiers sont arrivés sur les lieux quelques minutes plus tard et ont éteint le feu.

Nous y reviendrons…

( IMAGES ) Style et mode : SAPAMINA fête sa première année et lance sa toute nouvelle collection.

Style et mode : SAPAMINA
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Pendo Guissé : La chanteuse dévoile son mari

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La chanteuse sénégalaise Penda Guissé s’est affichée sur les réseaux sociaux en compagnie de son mari
Sur ses nouveaux clichés, la frangine de Demba Guissé est en toute complicité avec son mari. Un homme géant de teint clair qui l’a épousée comme sa deuxième femme

Urgent: Verdict très sévère, mauvaise nouvelle pour les députés PUR, Bara Dolli en colère«procureur mo.. » (Vidéo)

Viviane Chidid méconnaissable : Plus de trace de sa «cicatrice» au visage

Dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux, la reine du Djolof band, Viviane Chidid s’affiche le visage sans cicatrice.

Elle n’avait jamais osé afficher complètement son visage, défiguré par une cicatrice, vestige de son accident avec son défunt père.

La cicatrice a disparu de son visage.

A-t-elle fait de la haute chirurgie pour l’effacer ? Mystère mystère…