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Nouvelle hausse du prix du carburant et de l’électricité : Les prétextes des autorités…

Une très mauvaise nouvelle pour les ménages et les soutiens de famille. Le carburant et l’électricité vont connaître une nouvelle hausse des prix à partir de samedi. Selon les prétextes avancés, « l’Etat doit des dizaines de milliards aux exploitants ».

A en croire le Journal Bes Bi dans sa parution de ce jeudi, le prix de l’essence, du gasoil et de l’électricité connaîtront chacun une hausse de 100 francs.

La hausse va entrer en vigueur demain samedi 7 janvier, à partir de 18 heures. Avant, le gouvernement va s’expliquer par le biais du ministère du Pétrole et des Énergies. « Depuis quelques années, l’Etat a supporté le surcoût pour maintenir la structure des prix telle qu’elle est. Il a beaucoup de mal à respecter cet engagement parce qu’il fait supporter le surcoût aux exploitants en promettant de payer le surplus. Aujourd’hui, l’Etat ne parvient plus à payer et doit des dizaines de milliards aux exploitants », souffle-t-on déjà à Bès Bi, rapporte Pulse.

Yewwi Askan Wi déplace sa manifestation à Grand-Yoff

La coalition Yewwi Askan Wi avait prévu une manifestation, ce vendredi 6 janvier 2022, à 15 heures, pour protester contre les irrégularités du fond Covid 19, mais aussi « le recul démocratique » et les arrestations tous azimuts.

Mais la manif’ a été interdite par le préfet sous prétexte que le lieu choisi abrite des travaux du BRT et de ceux pour préparer la prochaine fête de l’indépendance.

Toutefois Ousmane Sonko et Cie n’abdiquent et annoncent un autre grand rassemblement, vendredi prochain, à Grand-Yoff.

Ils vont introduire, dès aujourd’hui, une nouvelle demande de marche pour vendredi, souffle un leader de Yewwi à L’OBS.

La manifestation de ce vendredi interdite par le préfet, Yewwi Askan Wi annonce sa décision (communiqué)

Ce vendredi, la coalition Yewwi Askan Wi avait prévu une manifestation, à 15 heures, pour protester contre les irrégularités du fond Covid 19, mais aussi « le recul démocratique » et les arrestations tous azimuts. Une manifestation que le préfet a interdite, sous prétexte que le lieu choisi abrite des travaux du BRT et des travaux pour préparer la prochaine fête de l’indépendance.

Après cette décision du préfet, Yewwi Askan Wi a publié un communiqué pour donner sa décision. Les opposants, sur leur texte, ont fait savoir qu’ils vont accepter cette interdiction du préfet et sursoir à leur manifestation. Ils ne vont donc pas braver la décision du préfet et sortir dans les rues.

Cependant, ils préviennent le préfet de Dakar que si leur prochaine manifestation (ils vont faire une demande pour le vendredi 13 janvier) est interdite, ils forceront la décision et sortiront dans les rues.

Electricité et carburant (essence) : Une très mauvaise nouvelle pour les ménages

La flambée des prix de l’énergie se poursuit, et ne semble pas près de s’arrêter. Le bouclier tarifaire, qui atténue l’impact de la hausse sur le pouvoir d’achat des Sénégalais, sera prolongé finalement en 2023 et même au-delà.

Le journal Bès Bi annonce une nouvelle hausse de 100 FCFA et sur le prix de l’électricité et sur celui de l’essence. La hausse sera confirmée par la nouvelle grille tarifaire des prix dans le secteur qui sera publiée aujourd’hui.

En effet, le gouvernement va revoir les coûts dans le secteur des hydrocarbures. Si la bonbonne de gaz va être épargnée, l’essence et le gasoil connaitront chacun une hausse de 100 francs. Pour l’électricité, la hausse ne s’appliquera pas à la tranche sociale (jusqu’à 150 kwts), tout le contraire des autres tranches. »

La hausse va entrer en vigueur demain samedi 7 janvier, à partir de 18 heures. Avant, le gouvernement va s’expliquer sur ce hausse à travers le ministère du Pétrole et des Énergies.

Affaire Sweet Beauty : Les avocats de Sonko posent un nouvel acte

Dans l’affaire Sweet Beauty, opposant la jeune masseuse Adji Sarr à Ousmane Sonko, les avocats de ce dernier ont déposé une nouvelle lettre et une clé USB adressée au Doyen des juges d’instruction, Oumar Maham Diallo.

En effet, les avocats de Ousmane Sonko veulent convaincre le magistrat instructeur sur les « tergiversation » d’Adji Sarr qu’ils qualifient de « mythomane et de « personne versatile » dont les propos ne doivent emporter personne.

Dans un des audio dévoilé par son marabout Mc Niass, l’ex-masseuse Adji Sarr soutient que ce n’est pas elle sur l’audio sur lequel on entend une voix féminine échanger avec Mc Niass. Non sans rappeler que « devant le juge, elle (Adji Sarr) avait reconnu que c’est bien elle qui parle. Mais, qu’elle voulait voir le degré de crédibilité de Mc Niass. »

Suffisant pour démontrer que l’accusatrice est inconstante et « ment » éhontément. Rappelons que le juge a bouclé l’instruction et que la défense, la partie civile et les avocats de Ndèye Khady Ndiaye ont même déjà déposé leurs observations. Il reste à savoir si le juge va prendre en compte ces nouveaux éléments.

(Vidéo) Liberté provisoire pour Pape Alé Niang! Les nouvelles révélations de son avocat

Pape Alé Niang! Les nouvelles révélations de son avocat
Pape Alé Niang! Les nouvelles révélations de son avocat

Tafsir Thioye : « Macky Sall a l’occasion rêvé de rentrer dans l’histoire » (vidéo)

Tafsir Thioye ,Macky Sall
Tafsir Thioye ,Macky Sall

Le porte-parole du Pds lance un appel au président de la République. Tafsir Thioye rappelle à Macky Sall que la stabilité du pays est entre ses mains.

Contre une éventuelle troisième candidature, Tafsir Thioye demande à Macky Sall d’organiser des élections transparentes avant de partir en 2024.

Regardez :

Aliou Sané, de Y en a marre : «La Société civile a exprimé au Pm; la rupture de confiance entre les autorités et le peuple»

Aliou Sané, de Y en a marre
Aliou Sané, de Y en a marre

Le Premier ministre, Amadou Bâ a rencontré hier, les acteurs de la société civile, suite à la mobilisation du collectif « Sunuy Milliards Du Rees ». Ledit collectif exige des poursuites judiciaires contre les autorités épinglées par le rapport de la Cour des Comptes, sur la gestion des fonds de la Force Covid-19. Selon Aliou Sané, coordonnateur de Y en a marre et porte-parole du jour, la Société civile a exprimé au Premier ministre, la rupture de confiance qu’il y a entre les autorités gouvernementales et le peuple.

La rencontre entre le Gouvernement et la Société civile sur le rapport Covid-19 de la Cour des Comptes, a abouti à des échanges et à des positions contradictoires.

« C’est une rencontre qui a réuni les ministres des Finances, du Commerce, de la Justice et la Société civile sénégalaise, sur des questions importantes de l’heure liées à la gestion des fonds destinés à la lutte contre la Covid 19 au Sénégal. Nous avons échangé avec le Gouvernement et exprimé la rupture de confiance qu’il y a entre les autorités qui nous dirigent et le peuple. Ceux qui protestaient pour dire que « Suny milliards dou ress » qui voulait assister à cette rencontre, estimaient qu’elle n’en valait pas la peine », a regretté Aliou Sané.

Il rappelle que les membres de la Société civile faisaient partie des acteurs qui avaient répondu à l’appel du Président Sall, lorsqu’il appelait à l’unité. « Nous avions donné nos idées avec des recommandations fortes pour la gestion de ces milliards destinés à la lutte contre la Covid 19. Et vous avez vu finalement, ce qu’ils ont fait de nos milliards. Notre argent a été détourné. Nous trouvons que ce n’était pas utile de venir à cette rencontre puisqu’il y a une quarantaine de rapports de l’Ofnac, de la Cour des Comptes et autres, sans suite. Nous avions dit au Président que ceux qui ont détourné l’argent, au lieu de subir des poursuites judiciaires, ont eu des promotions. Ce qui semble être fait pour narguer les Sénégalais », a expliqué Aliou Sané.

D’après le leader de Y en a marre, c’est de cette façon que les choses ont été dites au Premier ministre, pour expliquer cette rupture de confiance entre les autorités et le peuple.

« Nous avions estimé nécessaire que tous ceux qui étaient venus vendredi protester à la place de la Nation, devaient venir devant le Premier ministre. C’est ce qu’on a fait. Les choses ne se règlent pas par la communication. Elles doivent être prises en compte le plus rapidement possible par les juridictions compétentes, pour les régler. Le problème n’est pas à débattre », estime le rappeur.

Les membres de la Société civile estiment que les informations judiciaires doivent être ouvertes au plus vite. Et le Gouvernement doit savoir que c’est une exigence populaire des Sénégalais. Les informations judiciaires doivent être ouvertes dans les plus brefs délais. Interrogé sur le fait de savoir ce qu’il entend par « plus brefs délais », Aliou Sané a répondu : « Ils n’ont pas donné de délai ».

Aliou Sané a rappelé au Pm, les sacrifices d’Abdou Karim Guèye et Cie, qui ont pris des risques pour permettre à Macky Sall et Marième Faye Sall d’accéder au Palais. « Ce qui était important est de venir dire au gouvernement, ce que les Sénégalais disent dans les chaumières. On a dit ce qu’il fallait dire. Mais, tout sera fait pour retrouver notre argent », a promis en conclusion Aliou Sané, qui portait la parole des organisations de la Société civile.

Annonce Journée de Désherbages des Cimetières de Diamaguene Chez Serigne Sidy Alkhourane

Désherbages des Cimetières de Diamaguene
Désherbages des Cimetières de Diamaguene

Affaire des 94 milliards FCfa : Mauvaise nouvelle pour l’homme d’affaire Tahirou Sarr

Tahirou Sarr
Tahirou Sarr

Suite et pas fin dans l’affaire des 94 milliards FCfa. L’ex procureur de la République , Serigne Bassirou Guèye, semble passer à l’action. En effet, l’Office nationale de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a remis au goût du jour, l’affaire des 94 milliards FCfa. Selon le journal « L’Exclusif », Serigne Bassirou Guèye traque Tahirou Sarr. D’ailleurs, indique ce journal, une information judiciaire est ouverte contre ce dernier.

Pour rappel, dans son rapport 2019 remis hier au chef de l’Etat, Macky Sall, l’Ofnac y dévoilait les résultats de son enquête sur ce dossier suite à la saisine, le 10 avril 2018, de Ousmane Sonko, député à l’Assemblée nationale et président du parti politique « Pastef – les – Patriotes ».

Il ressort du rapport 2019 de l’Ofnac, que « les investigations menées ont permis de confirmer la quasi-totalité des griefs soulevés par le plaignant (Ousmane Sonko) ». A l’issue de l’enquête de l’Ofnac, il a été retenu contre Mamour Diallo, Tahirou Sarr et Cie, les infractions « d’association de malfaiteurs ; d’escroquerie portant sur des deniers publics ; de tentative d’escroquerie portant sur des deniers publics et de complicité d’escroquerie portant sur les deniers publics ».

Le 10 avril 2018, l’Office national de lutte contre la Fraude et la Corruption a été saisi d’une plainte du sieur Ousmane Sonko, député à l’Assemblée nationale et président du parti politique « Pastef – les – Patriotes », pour des faits supposés de « transactions immobilières irrégulières et de détournements de deniers publics » portant sur un montant de 94 783 159 000 FCfa.

Il ressort de l’enquête menée, que le TF 1451/R d’une contenance de 258 hectares sis à Rufisque et inscrit au nom de « feu Ousmane Mbengue », avait été vendu, par actes notariés, à la société immobilière « SAIM Indépendance », dans les années 1978 et 1979.

En 1988, cette société immobilière, dans le cadre d’un échange, a accepté de l’Etat du Sénégal,, un terrain d’une superficie de 01 ha 49a 50 ca sis à Mermoz, distrait du TF 5725/DG, contre 132 hectares environ, amputés du TF 1451/R. Au terme de cet échange, autorisé suivant acte administratif, ces 132 ha, environs, ont été immatriculés TF 2887/R, inscrit au nom de l’Etat du Sénégal.

Plus tard en 1997, la SN HLM, suite à une expropriation pour cause d’utilité publique, portant sur l’assiette foncière reliquataire du TF 1451/R, a bénéficié des 125 hectares restants en vue d’y édifier son projet de « Parcelles assainies Keur Massar-Rufisque »

Selon l’acheteur, le sieur Tahirou Sarr, l’acte de cession effectué sous-seing privé, a été présenté aux Impôts et Domaines pour le paiement des taxes fiscales au montant de 25 millions FCfa, avant d’être déposé auprès du Notaire Maitre Ndèye Lika Bâ, en l’an 2016, en dépit du refus d’homologation prononcé en première instance et en appel par le Tribunal de Grande Instance Hors Classe (TGIHC) de Dakar, du fait du caractère lésionnaire de la transaction, objet de la contestation d’une partie des héritiers.

Avec Senenews

(Vidéo) Problème des étudiants, très surpris ,Commissaire Keita mouille Sonko « Na Guéné Khaliss bi Dafa.. »

Comissaire Keita mouille Sonko
Comissaire Keita mouille Sonko

Les travailleurs du King Fahd arborent des brassards rouges…ils réclament

King Fahd Palace
King Fahd Palace

S’il y a un hôtel à problème, c’est bien le King Fahd Palace. La direction est en train de tuer ce fleuron de l’hôtellerie sénégalaise. Les syndicalistes de la boîte ont, à mainte reprise, interpellé le président Macky Sall sur la gestion catastrophique au sein de l’hôtel. Des appels qui sont tombés dans l’oreille d’un sourd. Mais les syndicalistes ne lâchent pas le combat.

Le STTH, l’UNSAS, le SNTHRS et le CNTS ont déterré la hache de guerre. Le port du brassard rouge est devenu une obligation chez les travailleurs. Ces derniers réclament le paiement de leur treizième mois et leur gratification. Pour mener à bien le combat, les syndicalistes invitent les travailleurs à s’unir autour des délégués.

Ce nouveau mouvement d’humeur témoigne de la situation catastrophique dans laquelle se trouve le King Fahd. À treize mois de la fin de son mandat, le Président Macky Sall doit régler le problème au sein de cet hôtel. Le pouvoir ne doit pas être complice de la mort de ce fleuron de l’hôtellerie sénégalaise.

Exclusif -Macky commence le nettoyage avant 2024 : Mimi traquée et Sonko dans les filets…

Macky commence le nettoyage
Macky commence le nettoyage

C’est maintenant que commence la politique politicienne au Sénégal. A treize (13) mois de la présidentielle de 2024, tous les coups sont permis et Macky Sall ne s’en prive pas. Déterminé à rempiler pour un troisième mandat consécutif (second quinquennat selon la mouvance présidentielle), Macky Sall ne fait aucun cadeau. Le président sortant qui s’accroche au pouvoir, après avoir lui-même dit que c’était son dernier mandat, va nettoyer le champ politique de tous les candidats gênants. Après avoir écarté ses principaux rivaux, Karim Wade et Khalifa Sall, le voilà qui s’apprête à liquider Ousmane Sonko et Mimi Touré

macky

Ousmane Sonko est cuit. Il a commis des bévues et Macky Sall s’est engouffré dans la brèche qu’il a ouverte pour le mettre définitivement hors de course. Ousmane Sonko a commis la faute de trop qui va lui être fatale. Tout le monde sait que le pouvoir veut profiter de l’affaire Adji Sarr pour le liquider. Pendant longtemps, le régime du Président de la République Macky Sall a cependant hésité à franchir le rubicond car craignant qu’en cas de condamnation de Ousmane Sonko suivie de la privation de ses droits civiques, cela ne puisse donner lieu à des soulèvements populaires.

Cette vision est loin d’être conforme à la réalité, et le pouvoir vient de s’en rendre compte. C’est Ousmane Sonko qui a soulevé lui-même une grosse pierre qu’il s’est lancé sur ses pieds. Car, c’est lui qui dans sa suffisance, comme pour montrer qu’il pouvait mettre la pression sur le pouvoir et se tirer d’affaire si son procès avec Adji Sarr se tenait, a appelé les citoyens à un concert de casseroles et de coups de klaxons des véhicules le 31 décembre à l’heure où le Président de la République délivrait son message à la nation.

Son appel à la manifestation a fini en eau de boudins. Les Sénégalais ont été peu à le suivre dans son concert de casseroles et de coups de klaxons des véhicules. Du coup, le régime a réellement pu jauger la représentativité de Ousmane Sonko sur l’échiquier politique national. Contrairement aux apparences, Ousmane Sonko n’a pas cette représentativité qu’on lui prête. Il est comme l’aurait dit feu Mao-Tsé-Toung, un « tigre en papier ». Il a servi les armes à Macky Sall. Et ce dernier va s’en servir pour le mettre définitivement out en 2024.

macky

Le cas Ousmane Sonko réglé, Macky Sall s’attaque à présent au dossier Aminata Touré. A peine, Mimi Touré a fini de déclarer sa candidature à l’élection présidentielle de 2024, qu’un rapport de l’Inspection générale d’Etat (IGE) datant de 2021, concernant sa gestion à la tête du Conseil économique, social et environnemental (CESE) est rendu public. L’on reproche à Mimi Touré des fautes de gestion tournant autour de plus de 2 milliards FCFA.

Personne ne croit qu’il y’a dans ce rapport quelque chose de si probant pouvant épingler réellement Mimi Touré. Si ce rapport sur Mimi Touré était aussi grave, pourquoi le pouvoir a-t-elle permis à cette dernière d’être sa tête de liste aux Législatives passées ? En réalité, le pouvoir agite ce rapport, uniquement pour mettre Mimi Touré hors de course en 2024, et en même temps la priver de son mandat de député.

Ousmane Sonko mis hors de course de la présidentielle à l’issue de son procès avec Adji Sarr qui l’accuse de viols répétitifs et de menaces de mort, Mimi Touré également empêchée de se présenter, le chemin est tout balisé pour Macky Sall en 2024. Macky Sall se retrouvera seul en 2024, sans candidat valable pour rempiler tranquillement à un troisième mandat à la Présidentielle. Macky Sall sait que ce n’est pas le Conseil constitutionnel qui va désapprouver sa candidature. Car, un Conseil constitutionnel n’a jamais prononcé un avis contraire à celui du Président.

Position de l’État du Sénégal sur le rapport de la Cdc : Macky choisit définitivement le parti au détriment de la patrie

Macky ivre du 3ème mandat
Macky ivre du 3ème mandat

C’est essayer de noyer le poisson que de rencontrer la société civile pour éclairer ou discuter du rapport de la Cour des comptes sur la gestion des fonds destinés à la lutte contre la COVID-19.

Le PM, Amadou Ba, envoyé pour dédramatiser la situation, sait pertinemment bien que la mission à lui confiée relève de l’impossibilité. Inopportune et impertinente, sa rencontre avec le collectif « SUNU’Y MILYAAR DU REES « , en prélude à toute poursuite judiciaire, s’apparente plus à une opération de sauvetage des personnes incriminées. Ce qui visiblement est voué à l’échec, quelles que soient les explications données, lesquelles ne devraient être utiles que devant le juge.

La position de l’État du Sénégal sur le rapport de la Cour des comptes frise l’incompréhensible pour ne pas dire le ridicule. Après que des fonds destinés à la lutte contre la COVID-19 ont été mal utilisés, le gouvernement se mue en un appareil de sauvetage des mis en cause au lieu de donner suite aux recommandations des magistrats. Au lieu de cela, c’est le PM qu’on envoie en mission de nettoyage, après que le ministre du budget a été incapable de convaincre les citoyens en minimisant le montant annoncé comme étant détourné. Pour lui, cela n’était même pas le 1% des mille milliards qui étaient en jeu; quel manque d’humilité!

Nous voilà dans une année 2023 très mal partie quand le chef du gouvernement rencontre la société civile pour dédramatiser sur l’utilisation vicieuse et sombre de nos deniers publics. Pourtant quand il s’était agi de déclencher la traque des biens mal acquis en 2012, le président de la République et son clan n’avaient consulté personne. Quand il s’est agi, 5 ans plus tard, de la reddition des comptes pour l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar, le gouvernement n’avait consulté aucune entité. Tout était alors justifié par une volonté immuable de répondre à ce qu’on expliquait comme une demande sociale. Et des procès étaient organisés aussitôt pour envoyer des opposants en prison.

L’emprisonnement de Khalifa Sall et de Karim Wade n’avaient donc fait suite à aucune médiation, ni consultation. On se rappelle les révélations de Serigne Abdou Aziz Sy Al-amiin, alors porte-parole du Khalife général des Tidianes, qui avait interpellé le PR sur le cas de l’ancien maire de Dakar. « Avant hier, j’ai téléphoné au chef de l’Etat Macky Sall pour lui demander d’accorder le pardon à Khalifa Sall. J’ai demandé au chef de l’Etat de le libérer », avait-il déclaré quelques jours avant le Maouloud 2017. Mais il faudra attendre deux ans plus tard, soit après la présidentielle de 2019, pour voir Khalifa Sall sortir de prison.

Dès lors, on comprend mal que le PM et ses services s’attellent à essayer de justifier le vol de nos ressources par une clique de dirigeants malhonnêtes et assassins. Oui, il faut être sans cœur pour pouvoir s’accaparer des ressources destinées à soulager une population qu’une pandémie avait fini par jeter dans des jours sombres, et interminables. Cette mission aurait été comprise si elle avait été précédée d’autres, dans un Sénégal de dialogue et de tolérance.

Quoi donc de plus normal et plus rassurant que de suivre tout bonnement les recommandations en livrant les coupables à la justice? Ce n’est que de cette façon qu’on pourrait redorer le blason de la justice qu’on accuse toujours d’être à deux vitesses. « La patrie avant le parti », « gouvernance sobre et vertueuse », « Sénégal de tous, Sénégal pour tous », toutes ces belles expressions ne doivent pas rester vains slogans. Elles doivent être au cœur de l’action de ceux qui tiennent actuellement les rênes du pouvoir et qui ont vraiment « Le Sénégal au cœur « .

Cela doit être le cas d’autant plus que le gouvernement n’a jamais joué les bons offices pour tirer les opposants d’affaire quand ils ont maille à partir avec la justice. L’exemple le plus patant est ce dossier de Sweet Beauté qui prend en otage la paix au Sénégal depuis mars 2021. Alors que des dizaines de morts ont été déjà enregistrés, par le seul fait de cette affaire visiblement politique, le gouvernement n’a jamais daigné recourir à cette stratégie de rencontrer la société civile pour éteindre le feu.

Pourtant, ça aurait eu le mérite d’éviter au Sénégal des tensions inutiles, et toutes les parties s’en seraient sorties sans être ridicules. Hélas, et on se désole de le constater, la patrie qu’est le Sénégal ne passe pas avant l’intérêt du parti qu’est l’APR et le Bennoo qui soutiennent le président Sall.

Me Patrice Kabou annonce une très mauvaise nouvelle pour l’état du Sénégal : « C’est avec plaisir que je… »

Pape Alé Niang
Pape Alé Niang

L’avocat à la Cour Me Patrice Kabou vient d’annoncer une très bonne nouvelle pour le journaliste d’investigation Pape Alé Niang.

En effet, les confrères du Patron de Dakarmatin ont bouclé les dossiers sur lesquelles le journaliste travaillait. Voici l’intégralité de sa publication !

« Bonsoir Cher ami et frère,
Monsieur Pape Alé Niang,
Après 40 jours d’intenses labeurs, c’est avec plaisir que je t’informe que tes 60 confrères journalistes d’investigation viennent, à l’instant, de boucler les dossiers sur lesquelles tu travaillais. Ils l’ont fait en un temps record en se privant des nuits de sommeil.

Tes confrères reconnaissent et confirment tes intuitions sur ces 40 dossiers.
Certains, de confession musulmane, jeûnent afin de t’accompagner dans ton combat.
En tant qu’avocat, c’est un honneur de vous avoir connu vous tous et accompagné sur le plan juridique. Ce que vous déciderez ensemble de ces dossiers sera de votre liberté car je ne suis pas journaliste.
À l’unanimité, tes confrères ont voulu que mon cabinet securise le tout en attendant ta sortie de prison.

Merci à toi et merci à vous tous.

Votre Bien Dévoué,

Patrick KABOU
Avocat à la Cour
Docteur en Droit »

(Vidéo) Après 3e Audio de Adji Sarr: Commissaire Keita tacle sévèrement Sonko et Mollah « Dafa waraaa.. »

Commissaire Keita tacle sévèrement Sonko et Mollah
Commissaire Keita tacle sévèrement Sonko et Mollah

Charles Faye : « On doit trouver une porte de sortie à Macky, un compromis qui apaise… »

Charles Faye
Charles Faye

Pour Charles Faye, au moment actuel des choses, l’opposition ne doit pas être trop radicale envers le président Macky Sall à quelques mois de la fin de son reine. Pour le journaliste, le président laisse des mots qui en dit long sur son départ, mais c’est aux gens de lui faciliter sa sortie.

« On comprend Macky Sall, on doit lui faciliter sa sortie, mais d’abord, il doit parler au peuple de ce qu’il veut », a fait savoir Charles Faye.

Le journaliste de marteler que « Macky au fond de soi, malgré les excitations de son camp, avait dit qu’il ne va pas faire un 3e mandat. »

Lors de son discours à la nation , il a utilisé des morts forts comme « honneur » pour les enfants. Qui dit cela, veut dire qu’il va respecter son engagement. Il a parlé également de « Héritage, de nul n’est plus grand que le Sénégal« .

A l’en croire, Quand le président parle souvent, il lâche certains mots maintenant aux gens de décortiquer pour lui faciliter les choses et trouver un compromis qui apaise et lui mettre d’aller dans les meilleurs situations.

Quant à l’opposition, le journaliste suggère de diminuer un peu la pression et les menaces contre Macky, en lui permettant de sortir tranquillement. Ce qui lui évite de ne pas se radicaliser et d’aller jusqu’au bout.

ASEPEX : Fatoumata Niang Ba remplace Moustapha Kane et s’engage pour le 3eme mandat

Fatoumata Niang Ba
Fatoumata Niang Ba

En moins d’une semaine après sa démission, l’ancien président du conseil de surveillance de l’agence sénégalaise pour la promotion des exportations est remplacé par Fatoumata Niang Ba, présidente de l’Union pour le développement du Sénégal renouveau (Udes/R) et membre de la coalition Benno Bokk Yakaar. La responsable politique à Grand Yoff a été nommée à l’occasion du conseil des ministres d’hier par le chef de l’Etat Macky Sall qu’elle rassure : 

«C’est avec un immense honneur que j’ai appris hier ma nomination au poste de présidente du Conseil de Surveillance de l’Agence Sénégalaise pour la Promotion des Exportations (ASEPEX). Ce début d’année 2023 marque donc pour moi un nouveau tournant. Je tiens tout d’abord à rendre grâce à Dieu». Selon Fatoumata Niang Ba, c’est une fierté de renouveler son engagement envers son pays et d’accompagner le chef de l’Etat dans sa politique ambitieuse et la réalisation de ses projets pour le Sénégal.

La nouvelle présidente du conseil de surveillance de l’ASEPEX exprime également sa gratitude envers sa famille et ses proches ainsi que ses camarades politiques, les militants de la commune de Grand Yoff et des autres communes du Sénégal, ainsi que ses proches amis. 

Fatoumata Niang Bâ estime qu’il reste encore beaucoup à faire, et que son engagement et sa rigueur pour être à la hauteur des attentes et des responsabilités qui lui sont confiés seront sans faille.

Pape Alé Niang adresse un nouveau message aux Sénégalais  » »Je présente mes sincères excuses à tous »

pape alé niang
pape alé niang

 »Je présente mes sincères excuses à tous ces Sénégalais qui cherchent et qui veulent me rendre visite pour me témoigner de leur soutien », a posté le journaliste d’investigation.
Pape Alé Niang regrette aussi le fait que les conditions ne soient pas réunies pour cette visite.  »Non seulement le bâtiment où je suis gardé est isolé, mais surtout, les mesures strictes de l’Administration pénitentiaire ne le permettent pas du tout », a souligné ce dernier. 
Et d’ajouter :  »De plus, je suis si éprouvé que mon état de santé tolère difficilement des échanges. » 
Le journaliste d’investigation n’a pas manqué de remercier les Sénégalais pour les prières et leur sollicitude. 

[Vidéo] VAR : Quand Queen Biz chantait les louanges de Youssou Ndour .Regardez

Queen Biz chantait les louanges de Youssou Ndour
Queen Biz chantait les louanges de Youssou Ndour

D’admirateur à détracteur, il n’y a qu’un pas et la chanteuse Queen Biz l’a franchi. Depuis un bon moment déjà, la chanteuse ne cesse de lancer des piques à Youssou Ndour. La dernière en date est sa réaction réaction suite à la présence de Youssou Ndour dans le top 200 des meilleurs  chanteurs de tous les temps du magazine de musique Rolling Stone. 
Mais la chanteuse n’a pas toujours tenu des propos acerbes à l’endroit du “Roi du mbalax”.  Bien au contraire, elle l’admirait. C’est en tout cas les conclusions que l’on en tire en visionnant une interview réalisée il y a quelques années par la chanteuse.  “Youssou Ndour, c’est un grand artiste, ce n’est pas n’importe qui dans ce pays, dit-elle dans la vidéo qui circule sur le net. Ses titres sont tellement nombreux parce que depuis qu’on était bébé, Youssou Ndour chantait. On pouvait même se limiter à ses chansons pour chanter parce qu’il n’est pas du genre à nous refuser cela, c’est quelqu’un de très généreux côté musique. Personnellement, je le remercie parce qu’il a été la première personne à me mettre sur une scène de 20000 personnes, Bercy 2013.”

[Documents] Abdoulaye Sow sert une sommation interpellative à Boubacar Camara

Abdoulaye Sow
Abdoulaye Sow

Le ministre de l’Urbanisme, du  Logement et de l’hygiène publique, Abdoulaye Seydou Sow, a servi une sommation interpellative  à Boubacar Camara, Président du conseil d’administration de la Sococim Industries.

Pour cause, le 31 décembre dernier, dans une émission intitulée  « Décryptage du message à la nation du président de la république » animée par les journalistes Pape Ngagne Ndiaye et Souleymane Niang, ce dernier a tenu des propos accusant le requérant de bénéficier des avantages dans le domaine foncier ou l’immobilier.

Il disait : « je n’ai pas demandé cinq cent millions (500.000.000 FCFA) et vous, vous l’avez fait. On vous a donné une avance  de Cent Millions (100.000.000 FCFA) pour des terrains … Que j’ai tout le dossier avec moi ».

C’est pour ces raisons que le ministre lui a servi une demande d’explication dans laquelle il lui a posé deux questions  :  « Est-ce que vous maintenez vos propos et allégations qui ont été émis à l’endroit du requérant, au cours de l’émission télévisée qui a été diffusée en direct sur la chaîne privée TFM ?Pouvez-vous administrer la preuve  de vos allégations et en tenir copie à moi, huissier de justice pouvant recevoir valablement copie »

Ces questions sont restées sans réponse, selon le ministre Abdoulaye Seydou Sow.

Décédé ce jeudi : Le commandant de la brigade de Linguère avait étrenné, hier, ses galons d’adjudant-major

Mathurin Bassène
Mathurin Bassène

La grande faucheuse a encore frappé, ce jeudi, dans les rangs de la gendarmerie nationale, avec le rappel à Dieu du commandant de la brigade de Linguère, suite à un malaise.

Seneweb a appris que le gendarme  Mathurin Bassène venait d’être promu au grade d’adjudant-major, le 1er janvier dernier. Ainsi, il a arboré, hier, pour une première fois, ses nouveaux galons. Malheureusement, ce gradé de la maréchaussée a tiré sa révérence ce jeudi matin.

Pluie d’éloges sur le défunt enquêteur hors pair !

Les camarades de promotion du défunt Bassène retiennent de lui un enquêteur chevronné, un homme pieux, calme, pacifique, courtois et très respectueux. L’ancien commandant de la brigade de Linguère a servi  son pays avec honneur et dignité.

« Il a toujours affiché une simplicité désintéressée qui traduit sa  pondération envers ses semblables. Des qualités humaines rares chez le frère, camarade de promotion Mathurin. Il fut un bon formateur également,  illustré par son passage au 12e bataillon. La 93/1 a dû bénéficier de son expertise avérée dans la formation basique du soldat. Au sein de la gendarmerie nationale, ses qualités professionnelles en territorial ne sont plus à démontrer. Rest in peace  Jambar », témoigne un des ses collègues.

L’adjudant- major Mathurin Bassène formé par l’actuel haut-commandant de la gendarmerie, le général Moussa Fall

Issu de la classe du premier contingent de l’année 1992, il a eu la chance d’être encadré par l’actuel haut-commandant de la gendarmerie nationale et directeur de la Justice militaire, le général de corps d’armée Moussa Fall, à  l’Esoa de Kaolack comme élève-caporal en 1992, en 1995 comme élève-gendarme à Ouakam, selon des sources de Seneweb.

À son tour, Mathurin Bassène a formé une fournée de gendarmes et de gendarmes auxiliaires à l’école du défunt  général Mame  Bounama Fall à Ouakam, de 2000 à 2007.

Très engagé et professionnellement reconnu, le défunt gendarme Bassène a servi au niveau de différentes localités du pays comme adjoint au commandant ou chef de service. Il a commandé la Brigade de recherches (BR) de Thiès, la brigade de Mbacké, entre autres localités.

Pape Alé Niang : Les artistes du Doxandem Squad lui rendent hommage et réclament sa libération !

Pape Pape Alé Niang Niang
Pape Alé Niang

« Le journaliste fait son travail sans appartenance. Il ne modifie pas, il ne crée pas. Il informe juste. Nul ne doit l’intimider », disait le « Roi du mbalax » Youssou Ndour dans sa célèbre chanson « Jéebané ».

Cette phrase semble être ignorée par les bourreaux du journaliste d’investigation Pape Alé Niang, qui est dans les liens de la détention et qui observe une grève de la faim.

Des artistes graffeurs membres du Doxandem Squad ont rendu hommage au directeur de Dakarmatin à Ziguinchor, à travers une gigantesque fresque murale, dans un quartier très fréquenté par les populations. Une manière pour eux d’exprimer leur indignation, suite à l’arrestation du journaliste qu’ils qualifient d' »arbitraire ».

Ce portrait intitulé « Free Pape Alé Niang » est peint sur le mur du stade Pedro Gomis de la commune de Ziguinchor. Il mesure 3 m de long et 2m35 de haut, avec des couleurs détrempées dans l’eau qui fait son charme au premier regard.

L’œuvre a pour but de dénoncer l’attestation du journaliste dont l’état de santé s’est détérioré. Sans langue de bois, les artistes lancent un message au président de la République pour la libération immédiate de Pape Alé Niang et sur la situation actuelle du pays.

Selon leur porte-parole, c’est l’heure du combat et le peuple doit faire face à l’évidence pour son destin. « Le message que nous lançons au président Macky Sall est que notre confrère le journaliste qui est malade en prison soit libéré. L’heure est grave. Levons-nous tous alors qu’il est temps, pour la liberté d’expression », nous confie King Baba, artiste graffeur membre du Doxandem Squad.

Très remontés, ces artistes critiquent sévèrement la justice du pays, dont ils disent être manipulée par un pouvoir dictatorial, en réclamant un Sénégal juste et paisible.

« En tout cas, trop, c’est trop. Nous voulons tous un Sénégal de paix, des juges impartiaux, non influencés par le pouvoir. C’est ce que nous voulons en tant que citoyens et c’est ce que Pape Alé voulait aussi en tant que citoyen et journaliste dont nous réclamons sa libération immédiate ».

Grosse révélation de Fouta Tempi sur Adji Sarr sur le complot : “ wonama pour ma nopi mais…

Fouta Tempi sur Adji Sarr
Fouta Tempi sur Adji Sarr

Avis aux usagers : Alerte sur l’autoroute à péage pour ce samedi 7 janvier

Ce samedi 7 janvier 2023, les usagers de l’autoroute à péage risquent d’avoir beaucoup de mal à circuler normalement. En effet, les travailleurs de l’infrastructure comptent assurer le service minimum pour protester.

Ils dénoncent le non-respect du protocole d’accord signé avec leur employeur, qui prévoyaient la hausse des salaires et l’établissement de contrats d’embauche pour les employés, entre autres, renseigne l’AS.

Pour protester, le Syndicat national des travailleurs des Autoroutes du Sénégal entend bloquer l’infrastructure ce samedi 7 janvier. La circulation risque d’être fortement perturbée sur les axes concernés puisque les travailleurs des Autoroutes du Sénégal comptent assurer le service minimum.

«Doundeu na mariage forcé, dama narone thiagatou » l’actrice Clara craque et fond en larmes (Vidéo)

Le verdict du préfet de Dakar pour le rassemblement de Yewwi Askan Wi de ce vendredi est tombé

Cheikh Bara Ndiaye et de Clédor à la Place de l'Obélisque
Cheikh Bara Ndiaye et de Clédor à la Place de l'Obélisque

Le préfet de Dakar interdit le rassemblement des opposants. L’autorité dit accuser réception de la lettre rappelée en référence par laquelle Yewwi Askan Wi déclare un rassemblement projeté Ie vendredi 06 janvier 2023, de 15 heures à 19 heures à Ia Place de la Nation.

« En retour, je vous informe que le lieu retenu fait l’objet depuis quelques jours, de travaux d’envergure dans le cadre du projet Bus Rapid Transit (BRT) et pour les besoins des prochaines activités de la fête de I’indépendance », déclare le préfet.

L’autorité de souligner qu’à « cet effet, ladite place est marquée par une présence continue d’engins et d’ouvriers qui rend désormais impossible la tenue de rassemblements, en raison des risques d’accident et de retard dans le planning d’exécution des travaux. Par conséquent, je suis au regret de ne pouvoir donner suite favorable à votre requête ».

Pour rappel, la coalition Yewwi Askaan Wii voulait démarrer l’année par un appel à la manifestation contre le le régime de Macky Sall qu’elle qualifie aux « multiples forfaitures ». « Mobilisons-nous, tous ensemble ce vendredi 6 janvier 2023 à partir de 15 heures à la Place de la Nation (ex Place de Obélisque) afin de manifester contre ce pouvoir aux multiples forfaitures », tel était le massage lancé par la Conférence des leaders dans un communiqué.

Vidéo – Première déclaration de Lirou Diane après la défaite de Balla Gaye 2… »Ndyssane mogui dioy dioyou méti « 

L’avis très surprenant de Oustaz Aliou Sall sur le phénomène VJ (Vidéo)

Tournée en Italie : Le guitariste de Sidy Diop disparait dans la nature…

Sidy Diop s’est produit la semaine dernière en Italie. Avec ses hits à couper le souffle, le chanteur a séduit son public. Malheureusement, un membre de son orchestre a pris la poudre d’escampette après les concerts.

Selon les informations fraiches de Kawtef. com, Daouda surnommé Deve est porté disparu depuis quelques jours.

Pour plus de précisions, Kawtef.com a joint son frère qui a confirmé nos informations : »depuis des jours, je n’arrive pas à le joindre ni par appel téléphonique, ni sur Whatsapp. Il n’a aussi donné aucun signe de vie ».

D’après nos sources, Sidy Diop n’est pas encore rentré au Sénégal. Pourvu qu’il retrouve son guitariste !

Blessure d’Ama Baldé : Voici la décision de taille prise par son entourage

Annoncé blessé à un mois de son combat contre Gris Bordeaux, le lutteur Ama Baldé pourrait ne pas affronter son adversaire le 5 février prochain. Contacté par iGFM, son entourage a confirmé l’information.

C’est ce qu’on appelle une très mauvaise nouvelle. Alors qu’on se dirigeait tout droit vers son combat contre Gris Bordeaux, qui était prévu pour le 5 février 2023, à l’Arène Nationale, Ama Baldé a contracté une blessure. Une information confirmée par l’entourage du lutteur contacté par IGFM. « Effectivement, il est blessé. Bakhoum (manager d’Ama) a déposé un certificat médical de 25 jours », a confié un de ses proches, au téléphone.

Conséquence : Ama baldé ne devrait pas affronter Gris Bordeaux le 5 février 2023. Car, ce sera trop juste si on se réfère au certificat médical déposé par son manager.

Attaqué de tout bord, Ousmane Sonko hausse le ton «le salaire de 900.000 francs que je perçois.. »

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[Vidéo] Très en colère, Fouta Tampi annonce une plainte contre Adji Sarr

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Pape Alé Niang adresse un nouveau message aux Sénégalais

 »Je présente mes sincères excuses à tous ces Sénégalais qui cherchent et qui veulent me rendre visite pour me témoigner de leur soutien », a posté le journaliste d’investigation.
Pape Alé Niang regrette aussi le fait que les conditions ne soient pas réunies pour cette visite.  »Non seulement le bâtiment où je suis gardé est isolé, mais surtout, les mesures strictes de l’Administration pénitentiaire ne le permettent pas du tout », a souligné ce dernier. 
Et d’ajouter :  »De plus, je suis si éprouvé que mon état de santé tolère difficilement des échanges. » 
Le journaliste d’investigation n’a pas manqué de remercier les Sénégalais pour les prières et leur sollicitude. 

Ousmane Sonko sur l’affaire des étudiants de Ziguinchor : » Ils sont victimes de manipulation politique de la part du régime en place »

« Mes compétences en tant que maire s’arrêtent au préscolaire et à l’élémentaire », a déclaré ce jeudi, le maire de la ville de Ziguinchor Ousmane Sonko lors de sa déclaration de presse sur la situation des élèves et étudiants ressortissants de Ziguinchor qui avaient organisé une marche pacifique rythmée par des bruits de casseroles hier mercredi.

Le maire de la ville de Ziguinchor Ousmane Sonko a apporté des éclairages sur la situation des étudiants ressortissants de Ziguinchor.

Selon le leader de Pastef, ces étudiants sont victimes de manipulation politique de la part du régime en place.

« Il ya une affaire de politique derrière. Certains hommes politiques choisissent mêmes leurs militants pour leur donner ces appartements ».

Selon Ousmane Sonko la mairie n’a pas l’habilité à payer un immeuble pour des étudiants, mais face à cette difficulté il a tout de même pris beaucoup de risques pour satisfaire kes besoins des étudiants.

« Les communes de Bignona et de Oussouye n’ont pas trouvé d’immeubles pour leurs étudiants. Au Sénégal on peut compter les communes qui font ça pour leurs étudiants ressortissants ».

« La maison ne date pas d’aujourd’hui, c’était sous la houlette de l’ex maire Abdoulaye Baldé. C’est un immeuble situé à Grand Dakar. Il y a 13 chambres et pas plus de 200 étudiants là-bas ».

Tous les six mois, le maire de la ville de Ziguinchor paye 746 mille au bailleur. Et malgré ces difficultés la mairie de Ziguinchor n’a pas de dette envers le bailleur.

« Les étudiants n’ont jamais reçu de préavis. Ils m’ont demandé de rembourser cinq millions chose que j’ai refusée, et c’est ça qui est à l’origine de tout ces déboires ».

Ousmane Sonko annonce une décision radicale: « A partir du 30 janvier, j’ai décidé de… »

En conférence de presse ce jeudi, Ousmane Sonko a fait une annonce de taille concernant le conflit qui le lie avec les étudiants de Ziguinchor. Le maire de la capitale du Sud a en effet annoncé qu’il va mettre fin au contrat de location de l’immeuble des étudiants de Ziguinchor à l’UCAD dès ce 30 janvier. Cependant, il annonce qu’il ne laissera pas les étudiants en rade, mais va le faire avec ses conditions à lui.

« A partir du 30 janvier, j’arrête le contrat. Moi, personne ne peut m’intimider. S’ils (les étudiants) veulent protester, que l’Etat les encadre pour qu’ils aillent brûler la ville de Ziguinchor s’ils le peuvent », a-t-il d’abord déclaré, rapporte seneNews.

« Après, lorsque tous les étudiants auront quitté l’immeuble, je vais prendre d’autres mesures. Je dis d’abord que je n’abandonne pas les étudiants. Mais si on signe avec le bailleur de l’immeuble, celui-ci ne sera plus gérer par les étudiants, mais par un salarié de la mairie de Ziguinchor. La commission sociale de la Mairie va gérer l’immeuble. Il sera interdit à tous les étudiants de faire de la politique. Les étudiants signeront tous un papier pour accéder à cet immeuble et celui qui fera de la politique au sein de l’immeuble sera exclu. Nous ne donnerons plus un immeuble à des étudiants qui font partie d’un parti politique« , a ajouté Ousmane Sonko.