Le tribunal de Thiès vient de rendre son verdict sur l’affaire Kounkandé et Ibrahima Niass alias Sant Yalla. Les deux charlatans ont été accusés pour des faits d’association de malfaiteurs et de tentative d’escroquerie. Mais ils ont été reconnus coupables des faits d’escroquerie et de charlatanisme. Le tribunal de grande Instance a condamné les deux amis à six mois d’emprisonnement et une amende de 4 millions de Fcfa dont deux millions pour chacun.
Pour rappel, Ibrahima Niass dit Sant Yalla et Amadou Diouldé Diallo alias Kounkandé repérés sur les réseaux sociaux par I. Diamé sont sollicités pour des bains mystiques à l’obtention d’un portefeuille magique.
« Macky Sall doit virer le ministre Mansour Faye et discuter avec les acteurs du transport pour mieux lutter contre l’insécurité routière ». C’est la demande du leader de Gueum Sa Bopp dans une interview accordée à nos confrères de Thiesinfo.
« Nous ne pouvons que nous réjouir de ces mesures issues du Conseil interministériel, toutefois le Président de la République doit aller jusqu’au bout de sa logique. Le seul et unique responsable de ce désordre dans le secteur du Transport, c’est le ministre lui-même, en l’occurrence son beau-frère, Mansour Faye », a-t-il soutenu.
Pour le président Bougane Gueye, Gueum Sa Bopp ne réclame aucunement la paternité des mesures préconisées. Il soutient que le Programme de Gueum Sa Bopp est multisectoriel et appartient à tous les Sénégalais.
Dernière minute : Modou Lô brise le silence et écarte Ama Baldé
Le manager de Modou Lo, Biram Gningue, a révélé dans un entretien téléphonique mardi avoir été contacté ces dernières heures par sept promoteurs de lutte proposant des adversaires pour ses poulains. C’est ce qu’on appelle la guerre de l’initiateur. Quelques heures seulement après avoir appris que la preuve de guérison de Modou lo avait été déposée, les initiateurs du combat se sont rendus à Jove, où vivait l’agent de ce dernier, Biram Gningue. Sept d’entre eux ont arraché le roi des fleuves et des lacs qui n’avait pas combattu depuis trois ans. iGFM a appris que l’un des plus grands. Si quelqu’un est prêt à appeler, d’autres se dirigent vers Biram Gningue. Cela signifiait que la réunion durait depuis des heures au domicile du manager du lutteur des Parcelles Assainies.
Modou Lo vs Boy Niang 2 : Le duel le plus recommandé Des sources nous ont également indiqué que « Boy Niang 2 » est l’adversaire que les promoteurs ont le plus proposé à Modou lo. Ce dernier veut l’affiche de Modou Lo – Boy Niang 2, qui est aussi l’affiche la plus chaude que disent les fans. « Maintenant, il faut trouver un adversaire convenable. Mais pour être honnête, presque tous les promoteurs ont proposé le combat Modou Lo – Boy Niang 2. Modou lo n’a pas de préférence. Il affrontera l’adversaire qui lui fera face », a déclaré Biram Gning. dit au téléphone. « Il faut qu’il remonte sur le ring parce qu’il n’a pas catché depuis trois ans. Là, il est prêt à remonter », a-t-il dit, ajoutant que Madame Roosevelt pourrait être en juillet 2023 et janvier 2024.
Suite à un débat télévisé, le ministre de l’Urbanisme Abdoulaye Seydou Sow aurait envoyé une sommation interpellative à Boubacar Camara PCA de Sococim. Invité dans l’émission grand jury, le président du mouvement « Jengu » et leader de la coalition « Tabax » a répondu à cette sommation.
« C’est un débat qui a eu lieu le 31 décembre dernier, il a eu à proférer des propos à mon endroit. Comme je suis différent de lui, je lui ai simplement donné un échantillon. Sur la sommation interpellative, je dois dire que nous n’avons pas encore eu cette sommation. Quand nous l’aurons, nous répondrons. Il pense qu’une sommation c’est pour me donner une chance de retirer mes propos », a expliqué Boubacar Camara
Avant de poursuivre par : « le plus rapide c’est de faire une citation directe devant le juge. Ce que je dis c’est plus grave. Au Sénégal, il y’a un système de bradage du foncier qui est organisé. On a presque une République foncière. Je souhaite qu’il me donne l’occasion dans un procès d’expliquer ce qui se passe. Je ne refuse pas de prendre la sommation. J’ai donné l’adresse de mon avocat. Je ne me cache pas et j’attends avec impatience »
A Sikilo, situé dans le département de Kaffrine, un accident ayant fait 38 morts et une centaine de blessés est survenu dans la nuit du samedi 7 janvier au dimanche 8 janvier 2023. Selon les premières révélations, ce drame de circulation est dû à l’éclatement du pneu de l’un des bus accidentés. L’un des chauffeurs des bus en question aurait laissé le volant à l’un de ses apprentis.
Les forces de l’ordre, suite à l’enquête ouverte sur ce drame ont procédé à l’arrestation des propriétaires des bus impliqués dans l’accident tragique. Ils ont été placés en garde à vue.
Le propriétaire du bus, en provenance de Tambacounda et immatriculé KL 0156D, qui a vu un de ses pneus avant éclater, est visé pour mise en danger de la vie d’autrui et pneumatiques défectueuses. C’est ce que renseigne Libération.
La même source informe que le second propriétaire, à qui appartient le bus immatriculé DL7432C, est poursuivi pour abandon d’un véhicule à un tiers non titulaire du permis de conduire de catégorie D (requis pour la conduite d’un bus de transport) et défaut d’assurance. Car il est ressorti de l’enquête que ce dernier avait mis le véhicule à la disposition d’un chauffeur titulaire du permis C.
Par ailleurs, renseigne Libération, aucun des deux propriétaires de bus ne disposait d’un agrément pour l’exercice du transport routier.
En détention depuis des mois, Abdou Karim Gueye (connu sous le nom de Karim Xrum Xax) et Cheikh Oumar Diagne ont bénéficié d’une liberté provisoire, assorti d’un contrôle judiciaire. Mais aujourd’hui, Abdou Karim Guéye est à la Division des investigations criminelles (DIC).
Selon Cledor Séne, confirmé par la Rfm, Abdou Karim Guéye refuse de signer le contrôle judiciaire assorti à sa libération provisoire. Il est donc à la Division des Investigations criminelles, en attendant qu’une solution soit trouvée à cette situation inattendue.
Le Premier ministre, Amadou Ba, a présidé lundi dernier un conseil interministériel consacré à la sécurité routière. Le prétexte : l’accident de Kaffrine qui a fait 40 morts et 100 blessés. Au sortir de la rencontre à laquelle ont pris part les acteurs du secteur du transport, 23 mesures ont été adoptées pour rendre plus sûr les routes.
Celles-ci seront appliquées en plusieurs étapes. «Sept entreront en vigueur dans les 72 heures, quatre dans les quinze jours et une dans trois mois», renseigne dans L’Observateur Mansour Faye, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.
Quid des onze décisions restantes ? Le ministre indique que «l’espace temporel (pour ces mesures) n’a pas été précisé». Il s’est empressé d’ajouter : «Nous allons les considérer comme des mesures qui seront réalisées doit dans l’immédiat pour certaines ou dans le court terme pour d’autres.»
Parmi les 23 mesures, on note l’interdiction de circuler entre 22 heures et 5 heures du matin, d’importer des pneus d’occasion et de transformer les véhicules de transport en commun en vue d’en augmenter la capacité.
Mamadou Seck, dit Guin Thieuss International, est un promoteur culturel et ex-animateur de la Rts. Il n’est plus à présenter dans le monde du show biz. Méconnaissable, il a partagé une vidéo sur son compte TikTok assis dans son lit d’hôpital pour annoncer sa maladie.
» J’ai une tumeur à la tête », confie-t-il. certains internautes jugent les dires et agissements de Guin Thieuss incohérents.
Champion d’Afrique avec le Sénégal, Aliou Cissé n’a pu faire mieux qu’un huitième de finale de Coupe du monde avec les Lions. Pour Diomansy Kamara, qui a joué avec Cissé en sélection et qui avoir gardé une relation particulière avec lui, il est temps pour le sélectionneur de sortir par la grande porte.
Sur l’émission Talents d’Afrique sur Canal Plus, il a déclaré que lors de ses échanges avec Aliou Cissé, il lui a conseillé de quitter la sélection par la grande porte, parce qu’il avait atteint le sommet.
« Au delà même du football et au delà même qu’il soit le coach de l’équipe nationale du Sénégal, on a beaucoup d’échanges. Et moi, on a eu un échange où je lui ai conseillé de quitter la sélection juste après le Mondial. Parce que je pense qu’il a atteint le sommet et quand on est en haut avec une victoire en Can, avec 2 qualifications à la Coupe du Monde et même lui il s’est interrogé (avant sa prolongation). Mais là où le bas blesse où les sénégalais réfléchissent. On se dit est ce que Aliou Cissé a encore cette capacité d’avoir l’énergie pour ramener… Pour moi le football c’est des cycles. Il y a un cycle qui s’est fait avec le Sénégal et il a gagné. Aujourd’hui, il ne peut pas faire plus », a-t-il déclaré.
Un conseil qu’Aliou Cissé ne suivra pas, puisqu’il a décidé de continuer avec les Lions de la Téranga.
Ceux qui réclament la démission de Mansour Faye tête suite à l’accident de Kaffrine qui a fait 40 morts vont déchanter. le ministre des transports terrestres et du Désenclavement n’entend pas quitter son poste.
«Moi, rendre le tablier ? Pourquoi ?», interroge-t-il dans L’Observateur.
Mansour Faye poursuit : «Je ne vois pas la raison qui me pousserait à le faire (démissionner). En réalité, je ne suis même pas concentré sur cela. Le chef de l’État m’a assigné des missions. Je vais travailler pour qu’elles soient réalisées.»
Soupçonnant des manœuvres politiciennes autour de l’accident de Kaffrine, qui a fait 40 morts et 100 blessés, Mansour Faye ajoute : «S’il y a des politiques qui veulent profiter de ces moments où les Sénégalais sont en deuil, cela les engage, pas moi.»
Moussa Soumboundou n’est plus. Cet activiste connu pour sa défense des intérêts des populations du Fouladou en particulier celles de Vélingara est mort dans un accident de la circulation sur l’axe Kaolack-Dakar à hauteur de Kaffrine. Moussa Soumboundou était le chauffeur du bus qui quittait Dakar pour Vélingara. Le bus « horaire » de Vélingara est entré en collision avec un autre venant de Tambacounda en direction de la capitale, faisant 40 mort et plusieurs blessés. C’est au bord des larmes que la maman de Moussa Soumboundou a expliqué au micro de la Tfm comment elle a douloureusement appris le décès de son fils. Moussa Soumboundou, qui a perdu la vie dans le drame de Sikilo, était un fils intègre, qui faisait tout pour la rendre heureuse, raconte-t-elle.
Le ministre des transports terrestres Mansour FAYE essuie des plâtres depuis la survenue de cet accident qui aura causé la mort brutale de 40 Sénégalais.
Pourtant, dès les premières heures après cet horrible accident, sa sortie avait déjà donné le ton de ce qu’il fallait attendre du Conseil interministériel sur la Sécurité Routière : « Le maslaha ne sera plus toléré sur les routes » avait-il alors lancé à l’endroit des conducteurs et propriétaires de voitures.
Mais c’était sans compter avec l’amertume que cet accident a imprimé sur les cœurs. Aujourd’hui, sa démission est devenue une demande sociale. Et les plus exigeants font la comparaison avec le Ministre Abdoulaye DIOUF SARR, viré immédiatement après le drame survenu à Tivaouane qui avait pourtant fait moins de victimes.
Ousmane Sonko, leader du parti Pastef a rendu visite, ce jour, à son marabout Serigne Abdou Mbacké à Darou Mousty. L’hôte de Darou a droit, venu présenter ses condoléances, a eu droit à un accueil chaleureux et des témoignages rassurants.
A cette occasion, évoquant la relation qu’il entretien avec son marabout, Ousmane Sonko fait savoir qu’elle est au beau fixe. « La relation que j’entretiens avec Serigne Abdou Mbacké n’est plus un secret pour personne, il m’a un jour raconté une histoire qui lui arrive très souvent », dira l’opposant, à cet effet.
« Il est tellement identifié à travers ma personne que lorsqu’il rencontre des policiers dans la rue ils le reconnaissent immédiatement en lui disant ‘c’est donc vous le marabout de Sonko », a indiqué Sonko, lors de son allocution.
Selon les informations exclusives de Libération online, les propriétaires des deux bus impliqués dans l’accident tragique de Sikilo viennent d’être placés en position de garde à vue.
Ils étaient interrogés depuis ce matin par la gendarmerie de Kaolack.
Pape Ale Niang a bénéficié d’une liberté provisoire sous contrôle judiciaire. Mais il est toujours interné à l’hôpital principal pour des soins car son état de santé est préoccupant.
Mais qui se cache derrière le faux compte de Mia Guissé ? C’est la question que se pose la chanteuse qui a fait une sortie pour alerter sur les agissements de cet individu qui utilise ses images sur Instagram.
En effet, une personne a utilisé le nom de la chanteuse Mia Guissé pour ouvrir un double compte sur Instagram. Le plus intrigant dans cette affaire, c’est que cette même personne qui se fait passer pour la nouvelle star de la musique sénégalaise, publie presque toute les sorties de la chanteuse.
Un accident de la route a toujours une cause au-delà de la fatalité. C’est pourquoi, l’être humain, acceptant la volonté divine se doit de toujours agir sur plusieurs leviers allant de la formation à la sanction en passant par le contrôle rigoureux de toutes les étapes du processus. Pour en venir à notre pays, c’est le lieu de saluer la mémoire des personnes décédées des suites de la série de tragiques accidents de la route et prier pour que le paradis soit leur demeure éternelle. Il faut soutenir l’audace en filigrane contenue dans les 22 mesures prises lors du Conseil interministériel présidé par le Premier Ministre Amadou Ba sur instruction du Président Macky Sall. Ces mesures prennent en compte l’humain, le moyen de transport et le management du secteur.
SUR L’ÊTRE HUMAIN Est-il normal de perpétuer un système de transport ne garantissant quasiment aucun droit au chauffeur ? La mesure courageuse prise par le gouvernement de renforcement du contrôle du respect des dispositions du Code du travail (contrat en bonne et due forme et paiement des cotisations sociales) par les transporteurs permettra de révolutionner le secteur. Il s’agira d’aller jusqu’au bout de cette mesure avec un délai de mise en œuvre précis. Pour ce faire, un recensement exhaustif des chauffeurs devra être effectué pour une régularisation dans les délais. La révision de l’âge minimum pour obtenir le permis et conduire des véhicules de transport urbain et interurbain de personnes à 25 ans et à 23 ans pour les véhicules de transport interurbain de marchandises est une excellente nouvelle. Il s’agira de mettre en place un processus d’habilitation à conduire des passagers ou des marchandises. Comme annoncé avec la plus grande implication des services de la santé dans l’appréciation des aptitudes physiques à conduire des personnes ou des biens, il faudra aussi un passage obligé à l’induction des chauffeurs via un centre de perfectionnement. Il est prévu dans le paquet des 22 mesures le renforcement et le large déploiement de l’Agence de la sécurité routière de même que la création d’une école de formation et de perfectionnement aux métiers de conducteurs des véhicules de transport public. Il s’agira de, pour ne pas réinventer la roue, s’appuyer sur l’expérience du centre de formation aux métiers portuaires et logistique (CFMPL) pour élargir ses missions afin que tous les chauffeurs de marchandises et de personnes passent à la moulinette d’une formation induction accélérée de 48h pour avoir en plus du permis, une habilitation. Connaissant bien le professionnalisme du CFMPL, ce travail peut se faire au grand bénéfice de tous les acteurs. Sur l’obligation de port du casque pour tout conducteur et passager des véhicules à 2 roues, il s’agira d’être intransigeant. De même, le défaut de pièces pour les deux roues est inadmissible et non négociable.
SUR LE MOYEN DE TRANSPORT L’interdiction de circuler en interurbain de 23h à 5h du matin pour les véhicules de transport public de voyageurs est une excellente mesure dont la mise en œuvre règlera la lancinante question des accidents nocturnes aux conséquences souvent dramatiques. De même, la limitation de la durée d’exploitation à 10 ans pour les véhicules de transport de personnes et à 15 ans pour les véhicules de transport de marchandises participera à réduire l’insécurité due à l’âge des véhicules. Il nous arrive tous de croiser dans la route les vieux Berliet des années soixante qui, rien qu’en apparence donnent des sueurs froides. La décision concomitante d’accélération du programme de modernisation et de renouvellement du parc pourrait aider dans la mise au rebut du vieux parc. L’interdiction à terme de l’importation des pneus usagés permettra d’agir sur l’élément le plus exposé du véhicule. Cette mesure pourrait s’articuler à l’analyse des coûts des pneus neufs pour, dans les meilleurs délais, mettre en place une stratégie de mise en place d’industries d’import-substitution pour la fabrication de pneus au Sénégal. Il faut saluer à sa juste mesure la décision de passage gratuit du contrôle technique à Dakar pour tous les véhicules de transport de personnes et de marchandises. Cette mesures permettra de faire repasser au contrôle toute la flotte nationale. Durant cette phase de contrôle, la décision de plombage des compteurs de vitesse de ces véhicules à 90 km/heure pourra être effectuée de même que le démantèlement de toutes les transformations à risque faite sur ces véhicules. Il s’agira d’être intransigeant sur cette disposition. L’accélération de l’ouverture des centres de contrôle technique dans les régions est une excellente initiative qu’il s’agira de conjuguer avec une mise à niveau desdits centres. Sur l’interdiction de la surcharge et de toute transformation de véhicules destinés au transport de marchandises en véhicules de transport de passagers, il s’agira de mettre toute la fermeté requise avec des sanctions à la fois à appliquer au chauffeur, au transporteur et aux usagers en cas de constats d’infractions. En vérité, comme rappelé dans les 22 mesures, la révision des conditions d’octroi de l’agrément de transport de même que des spécifications techniques des véhicules destinés au transport des personnes et des marchandises permettront d’aller dans le sens d’une meilleure professionnalisation du secteur avec à la clef plus d’exigences sécuritaires. Cette révision, au-delà de l’Administration centrale étatique, doit impliquer des experts agrées dans le processus de contrôle de la délivrance desdits agréments. Il s’agira de mettre en place un dispositif à la fois d’expertise et de contrexpertise avant délivrance de l’agrément valable pour une durée précise avec renouvellement et application de pénalités en cas de constat de perte des critères initiaux de délivrance.
SUR LE MANAGEMENT DU SECTEUR C’est le lieu de saluer la décision extrêmement importante d’opérationnalisation du Conseil supérieur de la Sécurité et de l’Education routières pour assurer le suivi des 22 recommandations qui toutes vont dans le sens de solutions pérennes. Il faudra également se réjouir de la mise en place d’une structure autonome multisectorielle, dirigée par un officier supérieur, sous l’autorité du Ministre des Transports chargée de l’application rigoureuse des dispositions du code de la route. En plus de l’effet recherché dans l’uniformisation du centre de décision, il s’agira de mettre en place un impressionnant dispositif de vidéosurveillance le long de nos routes et corridors pour permettre aux unités en charge du contrôle d’agir avec efficience. Ce dispositif pourrait être jumelé à la dématérialisation décidée du paiement des amendes et pénalités liées aux infractions routières afin de permettre plus de célérité et de transparence. Le bon management du secteur du transport passe comme décidé dans les 22 mesures par le renforcement des sociétés nationales de transport public qui sont des instruments de nivellement vers le haut des transporteurs privés. Il serait préférable d’envisager l’élargissement de l’actionnariat de ces sociétés au secteur privé. De même, il faut saluer la décision de déploiement de fourrières et d’aires de repos dans chaque département. A ce niveau, il est important de s’inspirer de Plan Stratégique de structures comme le COSEC qui ambitionnent de mettre en place des infrastructures du genre avec également le déploiement déjà effectif dans les quatorze chambres de commerce régionales de la bourse de fret du transport routier. Le problème du transport est d’abord dans l’indisponibilité de l’information sur les mouvements en temps réel de la flotte ; ce qui pose un problème de manque d’efficience avec des effets induits sur le coût du transport. En plus du déploiement de la bourse de fret déjà fait par le COSEC, il s’agira de digitaliser la lettre de voiture pour la marchandise et le manifeste des passagers pour les véhicules de transport de personnes. Des applications simples sont disponibles pour aller dans ce sens. La décision de renforcement du dispositif de secours et d’assistance médicale pour la prise en charge des victimes d’accidents de la route est une excellente chose qu’il s’agira de mettre en cohérence avec un dispositif héliporté en relation avec le SAMU, les Sapeurs-pompiers et l’armée de l’air.
En définitive Une stricte application des 22 mesures issues du Conseil interministériel dans le temps et dans l’espace permettra en plus des aspects sécuritaires de professionnaliser davantage un secteur qui, à l’instar du sang humain irrigue les veines de toute l’économie nationale. Cette professionnalisation passera nécessairement par le développement du transport de marchandises entre les régions avec des groupeurs professionnels faisant usage de procédures universellement connues. Il faut une approche logistique du transport routier. Nous devons rompre avec cette vielle coutume consistant à faire voyager les marchandises en même temps que les hommes. Nous devons pouvoir tirer le maximum d’effets induits de notre secteur de transport multimodal en réduisant au maximum les risques inhérents à ce secteur. Tout est dans le respect des obligations collectives et individuelles. Dans un registre plus stratégique, le lien entre Infrastructures, Transports terrestres et Désenclavement devra aussi être apprécié à l’aune des enjeux par l’Autorité. S’il est clair que le transport terrestre est un service vital pour toute l’économie nationale, il en est de même pour le désenclavement qui, suivant la vision du Chef de l’Etat est l’un des facteurs clefs de l’inclusion nationale au moment même où les infrastructures constituent l’épine dorsale du PSE. A la lueur de ces trois priorités juxtaposées, il s’agira pour le scientifique avéré et l’homme d’Etat expérimenté qu’est le Président Macky Sall d’explorer et de valider un cadre logique pour mieux affiner le management institutionnel et opérationnel du secteur du transport terrestre pour bâtir plus de cohérence d’ensemble dans une approche client-fournisseur. L’essentiel étant, avec l’aide de Dieu, de bénéficier du transport avec moins de pertes en vies humaines et en matériels et de faire de ce secteur un adjuvant paisible de l’économie nationale. En plus du transport routier, il faudra créer les conditions d’une utilisation efficiente et combinée de toute la panoplie du transport multimodal (notamment maritime, fluvial, ferroviaire et aérien). Il faudra simplement mettre en place des procédures et des investissements d’appoints à l’impressionnant travail fait sur le gros œuvre depuis dix ans par le Chef de l’Etat. Il faudra surtout que tous les acteurs jouent le jeu du respect par tous des obligations.
Après quelques semaines d’emprisonnement, le journaliste d’investigation Pape Alé Niang a finalement recouvré, ce mardi 10 janvier 2022.
Mais le juge Mamadou Seck, suivant en cela le réquisitoire du Procureur Amady Diouf, a assorti la remise en liberté de PAN d’un contrôle judiciaire avec quatre conditions, selon l’avocat du Patron de Dakarmatin.
– émargement le premier vendredi de chaque mois – remise du passeport dans un délai d’une semaine – interdiction de sortie du territoire national – s’abstenir d’aborder de manière directe ou indirecte, en public ou par tout moyen de diffusion, la présente procédure en cours.
« Le journaliste très éprouvé a accueilli avec dignité et foi la nouvelle de cette libération. Les autorités à pied d’œuvre à la Clinique de l’Hôpital Principal s’activent avec ses proches pour sa sortie », informé Me Koureyssi Ba.
A rappeler que le Patron de Dakarmatin a été arrêté en novembre puis en décembre. Dénonçant une détention arbitraire, le journaliste a, ainsi, décidé d’observer une grève de la faim. Résultat : il était hospitalisé dernièrement et refusait catégoriquement d’être suivi par ses médecins.
Plus de soixante millions partis en fumée suite à l’incendie d’une partie d’un entrepôt où le gazon synthétique de l’Asc Uso était gardé.
La cause de cette catastrophe reste inconnue, même s’il n’y a eu ni mort ni blessé. Sur le lieu, Abdoul Aziz Guèye, maire de la ville de Ouakam a constaté les dégâts, précisant qu’une enquête sera ouverte. Seulement, ses partisans sont dans une colère noire.
Après l’animateur Sidath Thioune, la chanteuse Myrma donne des conseils à Queen Biz après que celle-ci a clashé Youssou Ndour sur les réseaux sociaux.
« Si tu veux du buzz, cherche-le ailleurs », lui lance Myrma
Pour rappel, la chanteuse a clashé Youssou Ndour, le lead vocal du Super Etoile, nommé parmi les 200 meilleurs chanteurs de tous les temps, devant Bob Marley et Michael Jackson.
Entre Ngaaka Blindé et Fatel Sow, c’est le parfait amour. Le rappeur et l’actrice, mariés il y a quelques temps croquent la vie à pleines dents. Satisfait de son épouse, de son vrai nom Baba Ndiaye, chante le louanges de celle-ci.
Voici en capture d’écran ce que l’interprète de Néma Wa dit sur sa dulcinée.
Ce n’est pas encore officiel. Mais Senegalinfo tient l’information de sources dignes de foi. Adja DIALLO devient la troisième femme de l’homme d’affaires Nassirou SECK. Le mariage a été scellé la week-end dernier, dans le plus grand secret, loin de toute indiscrétion. La rédaction de Sanslimitesn souhaite heureux ménage au couple.
Annoncé à 16h, le conseil interministériel sur la sécurité routière n’a finalement démarré qu’aux environs de 20h. Il fallait, pour justifier ce retard, « une petite coordination » avait décliné le Premier ministre, Amadou Ba. Une petite coordination qui n’a malheureusement pas empêché une confusion dans la lecture du communiqué final.
En effet, en livrant les conclusions des concertations, le Premier Ministre a annoncé 22 mesures. Lesquelles mesures qui sont dans le communiqué remis aux journalistes par les services du PM et qui justifie que tous on annoncé « les 22 mesures du gouvernement ». Mais à la lecture du communiqué en langue nationale par le ministre des infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, Mansour Faye, ce dernier a annoncé « 23 mesures » . Mesures que l’on retrouve dans le communiqué remis à la presse par les services du MITTD.
À la lecture des deux communiqués, il apparaît que le point invitant « le ministre des forces armés, le ministre de l’intérieur, le ministre des finances, le ministre des transports, de mener des concertations idoines avec les acteurs pour proposer un plan d’assainissement du secteur » se trouve dans le communiqué lu par le MITTD et non dans celui du PM. En tout état de cause la presse qui a fait le pied de grue pendant 8h tours d’horloge a été induite en erreur, commente Dakaractu.
Le journaliste Pape Alé Niang a été libéré ce 10 janvier 2023 après une incarcération en deux étapes qui a débuté le 6 novembre 2022. Il vient ainsi de bénéficier d’une liberté provisoire assortie d’un contrôle judiciaire accordée par les autorités judiciaires sénégalaises. La Coordination des Associations de Presse (CAP) « salue le travail et le professionnalisme du pool des avocats de Pape Alé Niang, son coordonnateur Me Moussa Sarr, ses confrères Me Ciré Clédor Ly, Me Demba Ciré Bathily et Me Cheikh Khoureychi Ba, pour le sens du sacrifice, la détermination, la disponibilité totale dont ils ont fait preuve depuis le début de cette affaire », dans un communiqué.
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Sécurité routière : comment l’État va appliquer les 23 mesures
Le Premier ministre, Amadou Ba, a présidé lundi dernier un conseil interministériel consacré à la sécurité routière. Le prétexte : l’accident de Kaffrine qui a fait 40 morts et 100 blessés. Au sortir de la rencontre à laquelle ont pris part les acteurs du secteur du transport, 23 mesures ont été adoptées pour rendre plus sûr les routes.
Celles-ci seront appliquées en plusieurs étapes. «Sept entreront en vigueur dans les 72 heures, quatre dans les quinze jours et une dans trois mois», renseigne dans L’Observateur Mansour Faye, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.
Quid des onze décisions restantes ? Le ministre indique que «l’espace temporel (pour ces mesures) n’a pas été précisé». Il s’est empressé d’ajouter : «Nous allons les considérer comme des mesures qui seront réalisées doit dans l’immédiat pour certaines ou dans le court terme pour d’autres.»
Parmi les 23 mesures, on note l’interdiction de circuler entre 22 heures et 5 heures du matin, d’importer des pneus d’occasion et de transformer les véhicules de transport en commun en vue d’en augmenter la capacité.