Je suis pressé de voir l’ordonnance de renvoi parce que je suis très étonné que le juge ait rendu cette ordonnance.
Je suis pressé de savoir quelles sont les motivations du juge d’instruction.
Parce qu’il n’ya rien dans le dossier, c’est vide. Je me demande sur quoi le juge s’est fondé pour renvoyer l’affaire en audience.
J’ai cherché, mais je n’ai pas trouvé sur quel fondement le juge s’est basé pour renvoyer notre cliente (Ndèye Khady Ndiaye).Je veux bien savoir les motivations, encore une fois, parce qu’il n’y a pas d’élément.
juge d’instruction avant de renvoyer doit avoir des éléments à charge, mais il n’y en a pas ici. C’est pourquoi je dis que je suis pressé de lire l’ordonnance du juge », note les Echos.
Ousmane Sonko, face à la presse, ce jeudi, est revenu largement sur le dossier supposé de viol l’opposant à Adji Sarr. Me Elh Diouf fera face à la presse à 16H, et sa cliente, Adji Sarr, fera une déclaration, ce soir, pour leur droit de réponse.
Le dossier Sweet Beauty est renvoyé par le Doyen des juges, Oumar Maham Diallo, devant la Chambre criminelle. Ce qu’a contesté Ousmane Sonko qui parle d’un non-lieu total, non sans rabrouer le juge d’instruction qui travaille pour Macky Sall.
Au passage, le leader de Pastef a cité dans son intervention Me Elhadj Diouf avec les plaintes déposées contre lui, mais aussi Adji Sarr, qui a attesté, selon lui, via des audios, la thèse du complot.
A charge maintenant pour ces derniers de lui porter la réplique, au cours de leur intervention respective.
Cette affaire qui défraie la chronique est une affaire politique instrumentalisée selon Ousmane Sonko, par le régime de Macky Sall. La machine semble s’accélérer suite à l’ordonnance du juge d’instruction Maham Diallo qui décide d’envoyer le dossier devant la chambre criminelle. En effet, il y a deux ans, Adji Sarr, jeune masseuse avait déposé une plainte contre Ousmane Sonko pour un présumé viol et menaces de mort. Aujourd’hui, finissant l’instruction, Maham Diallo renvoie le dossier pour jugement. Mais le président du parti de Pastef, face à la presse ce matin, balaie d’un revers de main toutes les entreprises du juge d’instruction sur cette ordonnance. « J’avais très tôt averti que c’était un complot. Mais tout le monde a finalement compris que c’est un complot. C’est avec ce dossier que Macky Sall joue son avenir politique. C’est pourquoi ils ont décidé par tous les moyens que Macky Sall et son régime veulent s’agripper » regrette le patron du Pastef.
Estimant que c’est un scénario de Dior Diagne qui se poursuit Ousmane Sonko rappelle: « On est dans le déroulement d’un schéma de Dior Diagne qui n’a rien à voir avec un dossier judiciaire ».
Ousmane Sonko, considère que Omar Maham Diallo est un danger pour le pays… Il a été choisi sur des bases de parentés, régionalistes. Il était un juge à Ziguinchor. Il a pris son ordonnance pour continuer le projet de Macky Sall, son ministre de l’intérieur et celui de la justice. L’attitude de ce juge est déplorable. Tous les éléments étaient à charge. C’est extrêmement grave » dénonce l’opposant regrettant que le juge en charge du dossier, a passé sous silence plusieurs éléments qui lui avaient été remis. « Il faut que tous les sénégalais sachent qu’ils sont en danger. Il n’est plus nécessaire d’amener des preuves et de les montrer à un juge qui est censé rendre justice. « Le juge a montré ses limites. Il est partisan » avertit-il donnant aussi sa position sur cette affaire: « je réitère ce que j’avais dit en 2021. Jusqu’à la fin de ma vie, je résisterais. D’ailleurs, je tiens à rappeler que personne ne peut m’empêcher d’ être candidat ».
Énumérant les actes qu’il juge injustes , inélégants et tous en sa défaveur, Ousmane Sonko est catégorique: « Le comportement de certains magistrats dans ce pays est un problème. Ce sont des gens qui sont souvent dans la persécution. Notre principal adversaire, ce n’est pas Macky Sall, ce sont les magistrats » dira Ousmane Sonko.
Le leader du parti Pastef Les Patriotes Ousmane Sonko a déclaré, à nouveau, qu’il ne sera jamais condamné dans le dossier qui l’oppose à la masseuse Adji Sarr. Ce, dans l’affaire du salon de massage Sweet Beauty.
C’est un Ousmane Sonko sûr de lui qui faisait face à la presse ce jeudi pour rassurer ses militants et sympathisants comme il l’a toujours fait. « Je ne serai jamais condamné dans ce dossier« , a-t-il fermement lâché annonçant que dès la semaine prochaine, il va poursuivre son Nemeku Tour.
Complot
Selon lui, le dossier de viol présumé est un complot ourdi par le régime.
Lire aussi : Adji Sarr – Sonko : Alioune Tine dénonce procès toxique pour la démocratie…
« Oumar Maham Diallo, un juge de Macky Sall »
Très en verve, il tire sur « une partie de la justice« , dont il remet en cause la partialité. « Oumar Maham Diallo est un magistrat de Macky Sall. Je l’ajoute à la liste des juges partiaux« , a-t-il pesté. Et dire qu’il détient des preuves sur le dossier qu’il qualifie de politique.
« On a fait ensemble le lycée Malick Sall, et l’Université Gaston Berger. » Mais, rappelle Dame, Cheikh Yerim a toujours été un opportuniste, un joueur de sales coups. Le syndicaliste a démonté pièce par pièce l’invention de Cheikh Yerim sur Ousmane Sonko.
Dame Mbodji a dévoilé la véritable personne de Chekh Yerim Seck. Plus loin même que Moustapha Diop, il informe que l’actuel Directeur du Soleil Yakham Mbaye, était au courant de cette histoire de moeurs en 2012 que Cheikh Yerim colle à Ousmane Sonko. C’est cynique », a taclé Dame Mbodji.
Le syndicaliste de faire savoir que dans son cursus scolaire, Yerim Seck n’a jamais défendu des principes, mais juste ses propres intérêts. Toutes les personnes qui étaient à l’Université Garçon Berger, au même moment, peuvent le confirmer. Lors d’une Assemblée générale, tu as été destitué et privé de parole par les étudiants qui t’accusaient d’être un traître, un opportuniste, un mercenaire qui allait souvent chez le Recteur pour lui raconter les plans des étudiants », rappelle Dame Mbodji.
Dans le sillage, le syndicaliste de marteler que le journaliste a toujours été un opportuniste, un joueur de sale coup contre où pour les autorités du Sénégal et d’Afrique. Et ceci, a été confirmé par les dires de Moussa Dadis Camara qui a taxé Yerim de escrocs et du journaliste Ivoirien Félix Bony témoins des faits, qui confirme les accusations de l’ex-chef d’Etat guinéen.
Elle n’est plus à présenter aux Sénégalais. Faty Dieng fait partie de ces rares Sénégalaises qui, une fois le succès acquis, change automatiquement de comportements. Connue à travers la TFM, la journaliste reste toujours égale à elle même. Teint noir et avec un très beau sourire, elle attire plus d’un devant le petit écran.
Vêtue d’une robe brodée de couleur verte menthe, des boucles d’oreille et d’un collier de la même couleur, l’auteure du livre « CHAMBRE 7 » secoue la toile.
Le correspondant du groupe Africa7 de Kolda est décédé des suites d’un grave accident de la route. Alors qu’il était à bord d’une moto pour rallier les contrées les plus enclavées du Fouladou,
Une grosse perte pour l’entreprise de presse. Senego presente ses sincères condoléances à la famille éplorée et à la presse.
Sa libération a été annoncée sur les réseaux mais Fadilou Keita est toujours en prison, rapporte Libération dans sa parution de ce jeudi 19 janvier 2022.
Il a été dit que le fils de Nafi Ngom Keita et coordonnateur du Nemeku Tour a été élargi de prison en même temps que Papitot Kara et Outhmane Diagne. Ce qui n’est pas le cas.
D’ailleurs, Fadilou Keita sera entendu sur le fond de son dossier demain vendredi. Une audition à l’issue de laquelle il pourra peut-être bénéficier d’une liberté provisoire.
Fadilou Keïta a été arrêté pour diffusion de fausses nouvelles et incitation à la haine, notamment. Depuis le 9 décembre dernier, il est placé sous mandat de dépôt par le juge du deuxième cabinet pour avoir déclaré sur Facebook, à la suite de la disparition de l’adjudant Didier Badji et du sergent Fulbert Sambou, que ces derniers «ont été enlevés» et qu’ils sont les nouvelles victimes d’«une purge ethnique» dirigée contre les Casamançais.
Maire de Ngathie Naoudé, Yaye Fatou Diagne est dans la tourmente. La Coordonnatrice national du Programme de Modernisation et de Gestion des Marchés (PROMOGEM) est éclaboussé par une affaire de détournement de deniers publics et de marchés fictifs à sa mairie.
En effet, d’après Libération qui ébruite la nouvelle dans sa parution du jour, tout est parti d’une plainte qu’elle avait déposée le 15 janvier dernier contre Babacar Ndong son assistant communautaire et responsable des marchés à la mairie.
Dans sa plainte, elle affirme que Ndong a effacé toutes les données de la machine que lui avait attribué le PROMOGEM après avoir décidé de rompre son contrat..
D’après Mme Diagne, son assistant communautaire a usé de fausses manœuvres pour se faire attribuer des marchés au niveau de la commune de Ngathie Naoudé. Selon toujours la plaignante, le mis en cause a réussi à se faire virer un montant de plus de 48 millions FCFA par le Trésor public.
C’est ainsi que Babacar Ndong a été arrêté à Kaolack et conduit à Dakar. Mais lors de son audition, Babacar Ndong a reconnu les faits de détournement avant d’ajouter avoir agi en parfaite intelligence avec Yaye Fatou Diagne.
Face aux enquêteurs, il a avoué que cette dernière lui a sciemment signé les contrats avec sa société écran du nom de BND Services. C’est aussi la mairesse, selon Ndong, qui lui a signé un PVde réception des travaux qui a convaincu le Trésor à virer l’argent sans que les travaux n’aient été entamés.
Poursuivant son déballage, Babacar Ndong a révélé avoir fait le même procédé avec Yaye Fatou Diagne contre ristournes dans le projet de réalisation du marché de la commune pour lequel la mairesse avait reçu, d’après Ndong, 14 millions FCFA sans aucune réalisation.
Ndong soutient que Yaye Fatou Diagne a porté plainte contre lui parce qu’elle n’a pas reçu sa part lors du dernier coup.
Serigne Saliou Gueye débusque les « contrevérités » de Cheikh Yerim . « J’ai pris 24 heures pour lire le livre en prenant des notes. »
Le journaliste a informé que, M. Seck est passé à coté de son livre précipité avec des erreurs très graves. Contrairement ce qui a été annoncé sur le titre.
Fadilou Keïta est un haut responsable de Pastef. Il est le coordonnateur du Nemeeku Tour, la tournée nationale initiée par le président dudit parti, Ousmane Sonko. Il est membre du cabinet de ce dernier.
Fadilou Keïta, accessoirement fils de Nafi Ngom Keïta, ancienne présidente de l’OFNAC, a été arrêté pour diffusion de fausses nouvelles et incitation à la haine, notamment. Depuis le 9 décembre dernier, il est placé sous mandat de dépôt par le juge du deuxième cabinet, chargé de l’affaire.
D’après Libération, le responsable de Pastef sera entendu sur le fond de son dossier ce vendredi. Une étape indispensable pour une éventuelle demande de liberté provisoire.
Fadilou Keïta est en prison pour avoir déclaré sur Facebook, à la suite de la disparition de l’adjudant Didier Badji et du sergent Fulbert Sambou, que ces derniers «ont été enlevés» et qu’ils sont les nouvelles victimes d’«une purge ethnique» dirigée contre les Casamançais.
Libération rappelle que lorsque les enquêteurs lui ont demandé de présenter les preuves de ses affirmations, Fadilou Keïta aurait déclaré avoir exprimé ses «convictions politiques».
Arrêté sur ordre du procureur de la République et placé en garde à vue à la Sûreté urbaine (SU) de Dakar, le rappeur et activiste Nitdoff est poursuivi pour appel à l’insurrection, à la violence et à la désobéissance aux institutions, outrage à magistrat, menaces de mort à l’encontre des autorités judiciaires et injures publiques.
Face aux enquêteurs, après avoir confirmé l’authenticité de la vidéo, le rappeur a été interrogé sur ses propos concernant le 3e mandat et ses attaques envers les personnes qui soutiennent Macky Sall pour cette 3e candidature. Selon Libération, Nitdoff a déclaré, devant les enquêteurs, que les personnes dont il parlait, ceux qui théorisent le 3e mandat, sont les ennemis du peuple.
Précisant n’avoir jamais parlé du président Macky Sall, il déclare que s’il voulait le faire, il le ferait. «Si je devais parler du Président, j’allais le faire car je n’ai pas peur de lui », a-t-il déclaré, ajoutant que les hommes qui soutiennent ce 3e mandat doivent être mis hors état de nuire.
Concernant l’appel à l’insurrection, le rappeur soutient également que Aliou Dembourou Sow, Kaliphone ou encore Ameth Suzanne Camara ont dit pire que lui sans être inquiétés.
Le Président de la République a pris les décisions suivantes :• Monsieur Thierno NDIAYE, Spécialiste en Management commercial et en ingénierie financière, est nommé Président de Conseil d’Administration de la Société Africaine de Raffinage (SAR), en remplacement de Monsieur Diène FAYE ;• Madame Seyni BEYE, Gestionnaire des Données et spécialiste en Transformation digitale, est nommée Président du Conseil d’administration de l’Ecole nationale de Cybersécurité ;• Monsieur Ibrahima GUEYE, Inspecteur principal du Trésor, est nommé Inspecteur des Finances au Ministère des Finances et du Budget ;• Monsieur Cheikh Abdou Lahad Mbacké SARR, Planificateur, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère des Finances et du Budget, en remplacement de Monsieur Ibrahima Gueye, appelé à d’autres fonctions ;• Monsieur Abdoulaye NDIAYE, Spécialiste en Management et Régulation des Marchés publics, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement du Ministère des Pêches et de l’Economie maritime, poste vacant ;• Monsieur Demba GAYE, titulaire du diplôme d’études supérieures spécialisées en Gestion des Entreprises du secteur de l’Energie, précédemment Conseiller technique du Ministre du Pétrole et des Energies, est nommé Directeur du Développement des Energies renouvelables, poste vacant ;• Monsieur Sana SANE, Géographe spécialiste en Environnement et Développement, est nommé Directeur du Centre régional des Œuvres universitaires sociales du (CROUS) de Ziguinchor, en remplacement de Monsieur Moustapha Lo DIATTA, appelé à d’autres fonctions ;• Madame Catherine Marie Thérèse Faye DIOP, Architecte DPLG, Directeur de l’Architecture au Ministère de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, est nommée Commissaire du Gouvernement auprès de l’Ordre des Architectes du Sénégal ;• Messieurs Abou KANE, Babacar Mbaye NDIAYE et Babacar SENE sont nommés Professeurs titulaires à la Faculté des Sciences économiques et de gestion de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar ;• Monsieur Moustapha SOKHNA est nommé Professeur titulaire de Didactique des disciplines à la faculté des Sciences et technologies de l’Education et de la formation de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar ;• Madame Ndeye THIAM, Monsieur Ousmane SEYDI, Monsieur Abdoul Aziz CISS, et Monsieur Mamadou Diallo sont nommés Professeurs assimilés à l’Ecole Polytechnique de Thiès.
COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 18 JANVIER 2023
Le Conseil des ministres s’est tenu le mercredi 18 janvier 2023 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky SALL.
A l’entame de sa communication, le Président de la République s’est incliné devant la mémoire des 22 personnes décédées, suite à l’accident de la route survenu le lundi 16 janvier 2023, près de Sakal (dans la région de Louga) et a présenté, à nouveau, les condoléances de la Nation aux familles éplorées et souhaité un prompt rétablissement aux 23 blessés pris en charge dans nos structures hospitalières. Le Président de la République a insisté sur le bilan des accidents qui révèle l’impératif d’une action rapide et vigoureuse de l’Etat pour préserver la vie des populations contre la recrudescence des accidents de la route. A cet effet, le Chef de l’Etat a invité le Gouvernement à veiller à la mise en œuvre des mesures d’urgence de la sécurité routière avec : • l’application de toutes les mesures validées en Conseil des ministres, notamment l’intensification des visites techniques, la limitation de vitesse à 90 km/heure maximum des véhicules de transports publics et l’arrêt de l’importation et le rechapage des pneus d’occasion ; • l’intensification, le long des axes routiers et autoroutiers, des contrôles permanents des forces de sécurité, la maitrise de la circulation routière et la divagation des animaux ; • la réforme et la modernisation du système de transport public dans tous ses volets en intégrant l’urgence de la mise en œuvre du programme concerté de renouvellement accéléré des parcs de transport, comme action prioritaire d’accompagnement ; • l’accentuation, à partir de tarifs réglementés selon les destinations, du déploiement national de la société publique « Dakar Dem Dik » et des sociétés privées de transport disposant de parcs de gros porteurs, de bus, de minibus et de taxis aux normes. • la mise en place d’un dispositif permanent de communication et de formation adapté aux usagers et aux acteurs du secteur sur le nouveau code de la route et les mesures préventives de lutte contre l’insécurité routière, en particulier, le respect des horaires de circulation pour les véhicules de transport. Ainsi, le Président de la République a rappelé au Gouvernement la nécessité de poursuivre, sans relâche, les actions engagées de sensibilisation des acteurs et des syndicats de transporteurs pour l’application effective de la réglementation du fonctionnement des transports publics urbains et interurbains. Le Chef de l’Etat a, également, demandé au Ministre des Transports terrestres d’engager, dans les meilleurs délais, le recensement des acteurs et parcs de transports publics, ainsi que l’actualisation de la liste nationale des gares routières officielles, en vue de disposer d’une base de données fiable sur le secteur des transports routiers. Le Président de la République a, enfin, indiqué au Premier Ministre, la nécessité d’une évaluation hebdomadaire en Conseil des ministres, des mesures de lutte contre l’insécurité routière déjà mises en œuvre sur l’étendue du territoire national, avec la mise en place à la Primature d’une Cellule interministérielle de Suivi, associant les quatorze (14) gouverneurs de région. Abordant le succès de l’exploitation du Train express régional (TER), le Chef de l’Etat a rappelé l’importance de cette infrastructure de transport de dernière génération, à la pointe de la technologie qui symbolise la promotion d’un transport public ferroviaire moderne et sécure.
Le Président de la République s’est félicité, un an après le lancement de son exploitation, le 17 janvier 2022, du taux de fréquentation remarquable par les usagers, du confort et de la sûreté de ce système de transport innovant qui dessert différentes localités de la région de Dakar. Le Président de la République a, à cet égard, demandé au Gouvernement de poursuivre les efforts consentis pour améliorer la mobilité urbaine avec l’émergence du transport multimodal intégrant, à terme, le BRT et les systèmes de transports publics opérationnels dans la capitale. Le Chef de l’Etat a, enfin, invité le Premier Ministre et les membres du Gouvernement impliqués dans le projet, à accélérer l’accomplissement de toutes les diligences administratives, logistiques, techniques et financières, nécessaires à la finalisation de la deuxième phase du TER sur la ligne Diamniadio – AIBD. Revenant sur le développement industriel du Sénégal avec l’émergence des zones économiques spéciales (ZES), le Président de la République a rappelé au Gouvernement l’importance de la Politique d’industrialisation qui demeure un des piliers de la transformation structurelle de l’économie nationale, axe primordial du Plan Sénégal Emergent (PSE). Dans ce cadre, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre de finaliser avec les acteurs publics et privés impliqués, une feuille de route pour l’accélération de la mise en exploitation des quatre (4) ZES créées à Diass, Bargny- Sendou, Diamniadio et Sandiara. Le Président de la République a, par ailleurs, souligné l’urgence d’une évaluation de la mise en œuvre de la stratégie de développement industriel et d’intégrer, dans les perspectives, l’émergence de branches nouvelles avec l’exploitation des ressources nationales de Pétrole et de Gaz, en indiquant particulièrement l’importance de la préparation de la tenue, en mars 2023, d’un Conseil Présidentiel sur le développement industriel du Sénégal. Au demeurant, le Président de la République a rappelé au Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, l’urgence de présenter la Stratégie nationale de Développement du Secteur privé et de finaliser l’évaluation prospective des missions et activités du FONSIS, dix (10) ans après sa création. Abordant le climat social et le suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat a insisté sur les sujets suivants : • la maitrise des interventions de l’Etat lors des cérémonies religieuses et coutumières en demandant au Premier Ministre et au Ministre de l’Intérieur de prendre toutes les mesures appropriées pour une programmation optimale, avec les communautés concernées, des interventions de l’Etat lors des cérémonies religieuses et coutumières organisées sur le territoire national ; • la régulation et le contrôle des implantations de stations – service dans les communes en demandant au Premier Ministre de veiller à une meilleure régulation et un contrôle préventif de l’édification des stations – service sur des sites sécurisés, après réalisation impérative d’une étude d’impact environnemental et social validée. Revenant sur la nécessité de célébrer les figures emblématiques de notre Nation et de les offrir en modèles à la jeune génération, le Chef de l’Etat, Protecteur des Arts et des Lettres, a informé le Conseil de sa décision de décerner, à titre exceptionnel, hors compétition et pour l’ensemble de leurs œuvres, le Grand Prix du Chef de l’Etat pour les Lettres, aux écrivains Cheikh Hamidou Kane et Aminata Sow Fall. En outre, le Président de la République a décidé de dénommer l’Université virtuelle du Sénégal (UVS), « Université numérique Cheikh Hamidou Kane ».
Dans sa communication, le Premier Ministre est revenu sur le suivi de la coordination de l’activité gouvernementale en évoquant : • son déplacement à Sakal et à l’hôpital régional de Louga à l’occasion de l’accident survenu dans l’arrondissement de Sakal ; • la réunion interministérielle sur l’évaluation du programme Xëyu ndaw ñi ; • la réunion sur la situation de la société nationale La Poste. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES • le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le compte rendu de sa visite en Espagne ; • le Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire a fait une communication sur la Stratégie nationale de souveraineté alimentaire du Sénégal (SAS) et le « Pacte du Sénégal » dans le cadre du Sommet africain sur l’Agriculture. AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES • le projet de décret portant organisation du Ministère de la Justice ; • le projet de décret fixant les conditions et les modalités de délivrance, de modification, de renouvellement et de retrait des titres d’exercice dans le secteur de l’électricité ; • le projet de décret relatif à l’activité d’autoproduction d’énergie électrique ; • le projet de décret transférant la gestion des ports du Sénégal à la Société nationale du Port autonome de Dakar.
« Cheikh Yérim dina délouwat pr!son, Sonko sou begué nék Président na bayi…s@crifice yi ak moytou djiguén » les Graves révélations de ce marabout Cheikh Baye Thiam (vidéo)
Suite à un live tenu sur Facebook parlant de la situation actuelle du pays, le rappeur Mor Talla Gueye, alias, Nitdoff a été arrêté puis acheminé dans les locaux de la Sûreté urbaine.
Le rappeur de Louga a été poursuivi pour appel à l’insurrection, outrage à magistrats, appel à la violence, appel à la désobéissance aux institutions, menaces de mort à l’encontre des autorités judiciaires, injures publiques
Ainsi, le rappeur peut compter sur le soutien de son camarade Simon, par ailleurs membre du célèbre mouvement « Y’en a Marre » : « Tu as été la durant les moments les plus sombres lors de mon incarcération sache qu’on ne te lâchera pas… »
Pour rappel, le Procureur de la République s’est auto-saisi en ordonnant l’interpellation du rappeur puis l’ouverture d’une enquête, suite à un live tenu sur Facebook.
Beaucoup de personnes se posent la question de savoir si Ousmane Sonko ira en prison en attendant son procès puisque le Doyen des juges, Oumar Maham Diallo, l’a renvoyé devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar.
En effet, il fut un temps où toute personne devant être jugée pour crime devait retourner en prison, si elle n’était pas détenue. En effet, l’article 175 du Code de procédure pénale dispose que «si le juge d’instruction estime que les faits constituent une infraction qualifiée crime par la loi, il rend une ordonnance de mise en accusation devant la Cour d’assises. La décision de renvoi devant la Cour d’Assises doit être précédée d’une ordonnance de prise de corps contre l’accusé».
Toutefois, cette disposition a été revue par la loi n° 2014-28 du 03 novembre 2014. A partir de cette date, le juge d’instruction ne renvoie plus le dossier devant la cour d’assises, mais devant les chambres criminelles qui sont créés au sein des tribunaux de grande instance. Aussi l’exécution de l’ordonnance de prise de corps n’est plus obligatoire.
L’article 238 du Code de procédure dispose depuis cette date que «l’accusé qui a été mis en liberté ou qui n’a jamais été détenu se présente, au plus tard la veille de l’audience, au greffe (de la chambre criminelle) qui s’assure de sa représentation en justice». L’article 239 (Loi n° 2014-28 du 03/11/14) ajoute que « l’ordonnance de prise de corps est exécutéee, si dûment convoqué par voie administrative au greffe de la Chambre criminelle et sans motif légitime d’excuse, l’accusé ne se présente pas au jour fixé pour être interrogé par le président de la Chambre criminelle».
Le même article ajoute que «l’ordonnance de prise de corps est également exécutée sur décision motivée du président de la Chambre criminelle lorsqu’il estime que la détention de l’accusé est nécessaire. Cette décision est sans recours».
En conclusion, Ousmane Sonko ne va pas en prison avant son procès, sauf s’il ne se présente pas la veille de son jugement ou que le président de la chambre criminelle estime que sa détention est nécessaire à la manifestation de la vérité.
Des élèves du Lycée de Seydina Limamoulaye ont sauvagement agressé un surveillant de l’école privée Acadèmia Limamoulaye, ce mercredi matin. En effet, les élèves dudit lycée public étaient en grève et voulaient faire sortir leurs camarades de Acadèmia Limamoulaye. Le surveillant du collège privé cible des potaches s’en est opposé avant d’être la cible des apprenants en furie. Plusieurs élèves ont été arrêtés par la police.
Des arrestations
Selon les informations de Senego, les élèves du lycée Seydina Limamoulaye qui ont malmené le surveillant de l’école privée Academia Limamoulaye ont été arrêtés par la police. Actuellement, beaucoup d’entre eux se trouvent au Commissariat de Guédiawaye.
Le livre de Cheikh Yerim Seck « Macky Sall face à l’histoire » va couler beaucoup d’encre. Quelques minutes après la sortie de Ousmane Sonko s’attaquant à son livre suivie de l’annonce d’une plainte -citation directe-, le Journaliste ne mâche pas ses mots. Selon lui, le leader de Pastef est trop petit pour être un homme d’état.
La bataille
« Je lis, ce matin, votre publication me concernant qui me conforte dans cette idée: vous êtes dénué de toute qualité requise pour être un leader. Le manteau d’homme d’Etat est trop large pour vos épaules. Cette dédicace que vous dévoilez, et qui m’a été demandée pour vous par un ami commun, n’a rien de compromettant pour moi« , lit-on dans la réponse de Cheikh Yérim Seck.
Attention
Le journaliste ajoute : « Si je devais parler de vos mœurs, j’aurais pu faire un livre. »
In extenso la réponse de Cheikh Yérim Seck à Ousmane Sonko
« Je lis, ce matin, votre publication me concernant qui me conforte dans cette idée: vous êtes dénué de toute qualité requise pour être un leader. Le manteau d’homme d’Etat est trop large pour vos épaules. Cette dédicace que vous dévoilez, et qui m’a été demandée pour vous par un ami commun, n’a rien de compromettant pour moi. Elle reprend une phrase contenue dans le livre. L’avoir publiée me donne toutefois raison à propos de ce que je n’ai cessé de penser: vous êtes le prototype de l’homo pastefensis dénué de culture politique et d’intelligence sociologique que je décris dans ce livre.
M. Sonko, je vais, à la faveur de cette citation directe, donner plus de détails à propos de votre virée sur la corniche ouest qui a d’ailleurs fait l’objet d’une main courante de la police.
Macky Sall en a pris beaucoup plus que vous dans cet ouvrage qui étrille son régime sur plusieurs chapitres. Je lui ai pourtant envoyé une dédicace que je n’ai pas vue sur les réseaux sociaux. C’est dire… Il vous reste de la maturité et de l’épaisseur d’homme d’Etat pour pouvoir prétendre à diriger ce pays. »
PS: J’ai pris deux exemples pour étayer la thèse du non-complot autour de votre escapade nocturne à Sweet Beauté. Si je devais parler de vos mœurs, j’aurais pu faire un livre.
Selon Libération Online, il vient d’être placé en position de garde à vue et serait poursuivi pour appel à l’insurrection, outrage à magistrats, appel à la violence, appel à la désobéissance aux institutions, menaces de mort à l’encontre des autorités judiciaires, injures publiques.
L’information est confirmée par son avocat Me Cheikh Koureïssy Ba. « L’entretien avec ses conseils Moussa Sarr, Michel Mahécor Diouf et moi-même terminé, Nitdoff, à qui vient d’être notifiée la mesure de garde à vue le frappant ».
Pour rappel, Nitdoff a été interpellé ce matin à son domicile par les éléments de la Sûreté Urbaine et sur instruction du Procureur de la République, suite à un live diffusé sur les réseaux sociaux, la semaine dernière.
Les images sont choquantes : elles montrent une personne présentée comme un surveillant de l’Académia Limamoulaye. Ce dernier est en pleine bagarre avec des élèves présentés eux comme étant du Lycée Limamoulaye En pleine rue, ils se donnent en spectacle avec des bâtons utilisés en guise d’armes. Pour le moment, les raisons d’une telle déviance ne sont pas communiquées. Nous y reviendrons…
Le 3e mandat ou la 3e candidature du président de la République, revient, à grandes enjambées, dans l’ouvrage de Cheikh Yérim Seck, « Macky Sall Face à l’Histoire Passage sous scanner d’un pouvoir africain ».
Macky Sall qui a inspiré l’article 27 lors de la réforme constitutionnelle de 2016, échange avec le tailleur-constitutionnaliste, Ismaila Madior Fall, sur la manière de rédiger ledit article… (Chapitre 20 : « La tache noire d’une 3e candidature sur l’histoire du Sénégal)
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