Accueil Blog Page 268

Visite Sonko à Touba : Le Dahira Moukhadamatoul Khidma sort de sa réserve

Que de polémiques suscitées après la visite vendredi dernier de Ousmane Sonko à Touba.

Le leader de Pastef, entre autres, a effectué son ziar auprès du Khalife, prié au mausolée de Serigne Touba, avant de faire cap sur Mbacké.

Un parcours passé au peigne-fin dans cet audio par l’un des responsables du Dahira Moukhadamatoul
khidma, chargé de veiller sur la Grande mosquée de Touba.

D*écés de Ken Ndoye ancien athlète: Graves révélations « Etat du Sénégal nioko sétan bamou dé ndimbeul rek la beugon » (vidéo)

D*écés de Ken Ndoye ancien athlète: Graves révélations « Etat du Sénégal nioko sétan bamou dé ndimbeul rek la beugon » (vidéo)

Idy et Macky vers la fin? Les révélations de Mame Mbaye Sentv «sen diguenté ay naxaté la rek lawon » (vidéo)

Idy et Macky vers la fin? Les révélations de Mame Mbaye Sentv «sen diguenté ay naxaté la rek lawon » (vidéo)

Ngouda Mboup : « Les propos de Tall Ngol Ngol sont irresponsables et dangereux »

L’enseignant-chercheur en droit public à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), Mouhamadou Ngouda Mboup fustige les propos de l’animateur de la chaîne de télévision 2stv, Tall Ngol Ngol. En effet, dans son émission « Pennci Rewmi », il a appelé à tuer les personnes qui cherchent à brûler le pays.

Pour Mouhamadou Ngouda Mboup, les propos de Tall Ngol Ngol sont irresponsables et dangereux. D’après lui, si Tall Ngol Ngol a l’audace d’appeler publiquement au meurtre, c’est parce qu’il sait ne pas être inquiété.

« Voilà ce à quoi notre système est aujourd’hui réduit : deux poids, deux mesures ! Nous voulons la Justice mais dans la vérité… », demande-t-il.

Diourbel : Retour de parquet pour Serigne Assane Mbacké et 65 autres manifestants

Les manifestants arrêtés vendredi dernier à Touba et à Mbacké, lors du meeting avorté du Pastef d’Ousmane Sonko, vont garder leur mal en patience.

Déférés ce lundi matin au tribunal de grande instance de Diourbel pour participation à une manifestation non autorisée, trouble à l’ordre public et actes de vandalisme, Serigne Assane Mbacké et 65 autres manifestants ont fait l’objet d’un retour de parquet.

D’après nos sources, tout ce beau monde va passer cette nuit dans les locaux de la police et de la gendarmerie. Les 66 mis en cause seront présentés au procureur, demain matin.

Manifestation à Mbacké : L’Avis surprenant de Madiambal Diagne » Ousmane Sonko a raison parce que… »

Souvent détracteur d’Ousmane Sonko, Madiambal Diagne a cette fois-ci pris position en faveur du leader de Pastef. Alors que certains critiquent Sonko après les manifestations à Mbacké, le patron du journal Le quotidien pense que le préfet aurait du faire preuve d’un peu plus de diligence. Et pour lui, dans sa contribution, Macky Sall est l’un des perdants suite à cette manifestation. cependant, Madiambal Diagne n’a pu s’empêcher de tacler Sonko, demandant son arrestation, pour l’affaire Adji Sarr principalement.

« La débauche d’énergie, de désordre et de violences constatée dans la ville de Mbacké vendredi dernier est bien inutile. Les Forces de sécurité ont dispersé, à coups de grenades lacrymogènes et de matraques, des rassemblements sporadiques organisés par l’opposition sous la bannière du parti Pastef. De gros renforts de troupes ont été envoyés sur les lieux. Ousmane Sonko et ses partisans tenaient à protester contre l’interdiction, par le Préfet, d’un meeting politique prévu dans la ville. Les habitants de Mbacké, et même de la ville voisine de Touba, ont été importunés par ces événements qui, du reste, n’apportent rien à l’autorité de l’Etat et au système démocratique. Bien au contraire, la répression policière de manifestations de ce type porte indubitablement tort à tout régime, surtout que dans le cas d’espèce, l’ouverture d’esprit, le sens du dialogue et de la conciliation auraient permis facilement d’éviter de tels heurts ou débordements. En effet, le meeting a été interdit non pas pour des motifs de troubles potentiels à l’ordre public ou d’une quelconque menace pour la paix et la sécurité. Le motif invoqué par le Préfet tient à une violation de dispositions réglementaires encadrant l’organisation d’une manifestation sur la voie publique, dans le sens que la lettre de déclaration, déposée au niveau de la Préfecture de Mbacké, n’était signée que par deux personnes responsables alors que, de l’avis des autorités administratives, il en faudrait trois signatures pour satisfaire à la loi.

C’est dire qu’il aurait été plus facile pour le Préfet d’appeler les organisateurs pour leur expliquer, dans l’intimité de son bureau, leur erreur et leur demander de corriger sans encombre ce qui se révèle en définitive n’être qu’un détail. Combien de fois des préfets, policiers ou gendarmes ont discuté, négocié avec des organisateurs de manifestations publiques, pour se faire des concessions mutuelles et s’accorder sur un itinéraire ou sur les modalités de déroulement ? Dans la pratique administrative, il est de coutume que des dossiers administratifs soient complétés ou régularisés en cours de traitement. L’Administration doit faciliter les procédures à ses usagers. C’est ainsi par exemple que les services du ministère de l’Intérieur avaient accepté que des listes imparfaites de l’opposition pour les élections locales et/ou législatives puissent être corrigées avant leur publication. Mieux, d’expérience, on a vu le Conseil constitutionnel autoriser tel ou tel candidat à compléter une pièce administrative ou à la remplacer dans son dossier de candidature à l’élection présidentielle. En d’autres termes, qui peut le plus peut le moins. Franchement, la démocratie et l’exercice des libertés fondamentales s’accommoderaient très facilement d’un tel arrangement sans coup férir, encore moins y perdre son âme. Je continue à croire que les autorités publiques auraient gagné en persuasion et auraient renforcé le niveau de confiance avec les acteurs de l’opposition, s’il y avait eu plus de tact, qu’elles eurent privilégié le côté didactique plutôt qu’une volonté de répression, pour ne pas dire, de règlement de comptes.

 quoi bon interdire, pour défaut d’une petite signature sur trois nécessaires, un meeting qui devait se tenir le 10 février, alors qu’on l’autoriserait pour le 24 février, nouvelle date retenue par les organisateurs qui ont pris, cette fois-ci, le soin de faire figurer trois signatures sur la lettre de déclaration de la manifestation ? Assurément, par ce coup, les autorités administratives viennent de doper à bloc les «pastéfiens» pour leur meeting du 24 février prochain. Ils ne pouvaient pas rêver d’une meilleure publicité et surtout d’une aussi bonne source de motivation ! Ce sera un pari ou un défi pour chaque militant de rallier Mbacké pour grossir les rangs du meeting et y faire une démonstration de force. Or, le meeting de Mbacké aurait même pu se retourner contre les organisateurs qui venaient, quelques jours auparavant, de proférer des déclarations irrévérencieuses à l’endroit du Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké, ainsi que de nombreuses autres autorités religieuses. Sur les réseaux sociaux, des militants attitrés du parti Pastef se sont déchaînés sur les guides religieux et ont eu à choquer plus d’un. C’est dire que ce meeting, préparé par d’autres membres des familles religieuses de Touba, parfois dans une posture irrédentiste vis-à-vis du khalife, pourrait se révéler être un acte de défiance à l’endroit de ce dernier. L’Etat les aurait-il laissés parler à profusion à ce meeting, que les leaders du parti Pastef commettraient des impairs, se seraient tiré une balle dans le pied en poursuivant dans la surenchère et l’invective contre Serigne Mountakha.

Meeting de Sonko interdit à Mbacké : La Position tranchée de Bougane Guéye Dani

Vendredi dernier, le préfet de Mbacké et ensuite la Cour suprême ont interdit le meeting prévu dans la ville par le leader, Ousmane Sonko. ce qui a provoqué des heurts. Pour Bougane Guéye Dani, cette décision des autorités d’interdire le meeting a été injuste.

« Aucun Chef d’État ne doit utiliser les instruments qui régulent notre nation pour éliminer des adversaires politiques. La décision d’interdiction du meeting du parti Pastef, du vendredi dernier  Mbacké, est une violation flagrante à la liberté d’expression. Comme si cela ne suffisait pas on coupe le signal de Walf Tv sur la TNT. Une injustice subie par Sen Tv au moins à 3 reprises. Ça suffit », a-t-il d’abord clamé.

« Également nous dénonçons fermement les arrestations arbitraires des membres de l’opposition (Pastef) de la société civile (FRAPP) et demandons leur libération immédiate. Ces confiscations de libertés témoignent d’une régression démocratique flagrante », a ajouté le leader de Gueum Sa Bop, avec le Hashtag : « Non au 3éme Mandat ».

Modou Lo : « Pourquoi j’ai décidé de lutter face à Boy Niang 2 »

Modou Lô
Modou Lô

Modou Lo, le célèbre lutteur et roi des arènes, a révélé les motivations qui l’ont incité à s’opposer à Boy Niang 2.

« Je me suis absenté pendant quatre ans pour cause de blessure. J’ai accepté ce combat parce que c’est ce que je voulais. J’avais toujours dit vouloir affronter ma génération. Ils sont de ma génération. Que ce soit Ama Baldé ou Boy Niang, nous sommes de la même génération », avance-t-il.

« Boy Niang a fait un exploit contre Balla Gaye, c’est donc logique qu’il m’affronte. Ce sera un combat difficile et c’est ce que nous voulons. Nous n’aimons pas les combats faciles. J’aime affronter des lutteurs de la trempe de Boy Niang car ce sont de vrais athlètes », a-t-il déclaré.

Le lutteur des Parcelles Assainies Modou Lo a prononcé cette déclaration hier soir lors de la cérémonie de signature du contrat pour leur combat organisé par Gaston Productions.

(Vidéo) Ame na 30ans? Mbacké le fils de Demba ba artiste comédien se confie et révèle son vrai âge..

Mbacké le fils de Demba ba artiste comédien
Mbacké le fils de Demba ba artiste comédien

(Vidéo) Le pdg de Walf Cheikh Niass très déçu ,exige la démission de Babacar Diagne

Cheikh Niass
Cheikh Niass

Derniére minute – Mauvaise nouvelle pour l’activiste Hannibal Jim

Hannibal Jim
Hannibal Jim

L’activiste Hannibal Djim a bénéficié ce lundi d’un second retour de parquet en attendant la désignation demain mardi d’un juge d’instruction, d’après son avocat Me Khourayssi Ba.

Arrêté devant chez lui à Mermoz mercredi, puis placé en garde à vue, Mohamed Samba Djim dit «Hannibal Djim », auteur de plusieurs «cagnottes » sur les réseaux sociaux, a été déféré au parquet pour financement d’activités séditieuses et subversives, appel à l’insurrection, incitation à des actes de nature à troubler a sûreté de l’Etat et apologie de la violence.

Il a bénéficié d’un premier retour de parquet vendredi dernier. Rejetant ces accusations, il a été interrogé, entre autres, sur ses possibles liens avec la société «Kopar express Sarl» qui sert à lancer des cagnottes, indique libération. Il avait indiqué n’avoir aucune relation particulière avec cette Fintech ou connaître ses dirigeants. Il avait aussi indiqué que ces cagnottes n’ont jamais servi à financer des mouvements séditieux.

Senegal7

(Vidéo) Abass Fall Pastef à Macky Sall et Antoine Diome « Nous sommes plus déterminés que vous »

Abass Fall Pastef
Abass Fall Pastef

(Vidéo) Suspension du signal de WALFTV : Pape Alé Niang brise le silence

Pape Alé Niang
Pape Alé Niang

Cheikh Omar Diagne « Ceux qui disent que la marche est haram…sont de mauvaise foi »

Cheikh Omar Diagne
Cheikh Omar Diagne

Le prêcheur Cheikh Omar Diagne s’est rendu ce lundi 13 février au siège de Frapp pour témoigner sa solidarité aux membres de la société civile qui se trouvent dans les liens de la détention. Se prononçant  sur « l’injustice » qui sévit au Sénégal et qui est, selon lui, l’œuvre de Macky Sall, il assure qu’ils feront tout pour ramener la justice. 

« Tout ce que la loi nous permet nous allons le faire. Ce qui se passe aujourd’hui au Sénégal est un recul important des droits et libertés des citoyens. On a vu que les forces de l’ordre frapper et maltraiter les jeunes il faut qu’ils arrêtent car Macky Sall n’en vaut pas la peine. Je demande aux autorités religieuses de se lever pour faire changer cette situation », a lancé Cheikh Omar Diagne. 

Répondant aux oustaz qui affirment que les manifestations sont haram, il soutient que ce sont des affirmations sans fondement. « Certains oustaz disent qu’on ne doit pas faire de marche! Ce n’est pas parce qu’ils sont de mauvaise foi, mais c’est parce qu’ils n’ont pas des connaissances. Il y en a qui condamnent les gens qui vont dans les marches alors que le prophète (psl) avait lui-même combattu pour reprendre la Kaba. On doit combattre l’injustice », soutient le prêcheur. 

Pour lui, les devants doivent être pris afin de léguer aux générations futures un pays paisible et juste. Ainsi, il appelle la population à entrer dans l’ère de la « révolution », en vue de « libérer le Sénégal ». « Tous ceux qui ont la tête sur les épaules, doivent savoir que ce n’est pas une question de Pastef ou autre chose, mais une question de révolution. Il y a urgence dans le fait de refuser d’être retardé par l’actuel gouvernement. On ne va pas regarder les gens se faire opprimer sans réagir, car Macky Sall est pire que le coronavirus et le Sida », peste M. Diagne. 

Par conséquent, il affirme que le pouvoir a arrêté une trentaine d’« otages politiques » qui n’ont pas reçus de convocation. « Ils interdisent des manifestions alors que de leur coté, ils font ce qu’ils veulent en se pavanant de ville en ville. Si vous voulez nous arrêter tous allez y si vous voulez nous tuer tous allez-y. nous allons continuer de nous battre au péril de nos vies car si on regarde les gens subir l’injustice viendra ton jour. À ces religieux qui disent que c’est Dieu qui fait un président, ils n’ont  rien compris. Macky est comme une dent qui fait mal, il faut l’enlever pour aller mieux. On est là pour lutter contre cela », déclare Cheikh Omar Diagne. 

Pour rappel, celui-ci a été arrêté puis libéré dans le cadre du dossier qui l’oppose à l’ex-député Djibril War suite à une plainte pour « diffamation et injures ».

Arrestation de Hannibal Djim : Le Frapp se radicalise

Hannibal Djim ,Frapp
Hannibal Djim ,Frapp

L’arrestation de Mouhamed Samba Djim alias Hannibal est pour le Frapp, la goutte de trop. Face à la presse, ce lundi 13 février, Guy Marius Sagna a donné le ton.

« Macky Sall et son gouvernement sauront que notre patience et notre tolérance ont des limites », a déclaré le député. Poursuivant, il estime que « ce qui est arrivé à Hannibal est un signal fort pour tous les Sénégalais de la diaspora ». Guy Marius Sagna appelle les Sénégalais à se mobiliser contre cette série d’arrestations dont l’objectif est, selon lui, de “permettre au président Macky Sall de briguer un troisième mandat”. Il les incite aussi à s’insurger contre les souffrances des Sénégalais. 
Le Frapp annonce ainsi sa participation à la marche organisée par le mouvement Hip hop ce mercredi 15 février pour réclamer la libération de Nit Doff. 

“Sonko mbolo boukay top dougn ay nitt”cette voyante fait grave révélation sur la bl£ssure Bombardier (vidéo)

“Sonko mbolo boukay top dougn ay nitt”cette voyante fait grave révélation sur la bl£ssure Bombardier (vidéo)

Antoine Diome défie Sonko « Nous sommes prets meme à laisser no vies »

Antoine Diome
Antoine Diome

Venu procéder à la pose de la première pierre d’un camp du Groupement Mobile d’Intervention (GMI) à Mbour, une unité très dynamique au sein de la Police nationale, le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome a réagi à l’appel au « Gatsa Gatsa » lancé par le leader de Pastef et aux incidents survenus à Mbacké et à Touba.

D’abord, il a commencé par rappeler les interdictions de Serigne Abdoul Ahad Mbacké à Touba. « Serigne Abdoul Ahad Mbacké avait l’habitude d’interdire certaines pratiques dans la ville sainte de Touba. Et, il disait que « toute personne qu’il croiserait en train d’outrepasser ces interdits, y laissera sa vie, car moi, la mienne je l’ai consacré à adorer mon Seigneur ».

Ce que je veux dire par là, est que nos vies nous les consacrons au Tout-Puissant et au service des populations, sous les instructions du Chef de l’État, Macky Sall. Notre souhait est que chaque être humain puisse préserver sa vie. Car nous, nos vies, nous les consacrons à adorer notre Seigneur le Tout-Puissant
 », a déclaré le ministre de l’Intérieur, aux allures de mise en garde, lit-on dans « Rewmi ».

Ainsi, il précise que même si le souffle humain est d’une importance capitale, il compte accompagner le président de la République, au péril de sa vie.

CESE : Idrissa Seck jugé le 20 février prochain

Idrissa Seck
Idrissa Seck

Le président actuel du Cese, Idrissa a été assigné en justice par des éléments proches de Mimi Touré. Idy avait confisqué le salaire des collaborateurs de Mimi Touré, avant de les limoger.

Les travailleurs du Cese licenciés sont au nombre de douze, dont les dix disposent de CDI et les deux des CDD. D’après « Les Echos », l’affaire a été évoquée à l’audience du tribunal du Travail hors classe de Dakar, en sa section Professions libérales 1 du 6 février dernier.

Mais le dossier a été renvoyé au 29 février 2023, pour permettre à l’Agent judiciaire de l’Etat de répondre aux dernières conclusions de l’avocat des plaignants.

Déchéance de Aminata Touré : Mamadou Lamine Diallo explique son vote  » l’Assemblée nationale ne connaît pas l’APR »

Aminata Touré : Mamadou Lamine Diallo
Aminata Touré : Mamadou Lamine Diallo

Invité de l’émission de ce dimanche 12 février 2023, sur SudFM, le député Mamadou Lamine Diallo est également revenu sur les raisons qui l’ont poussé à voter contre la déchéance de Mme Aminata par le bureau de l’administration. Alors que le groupe parlementaire Liberté, Démocratie et Changement, dans lequel il est membre, a voté en faveur de la déchéance du député Mimi Touré. Le président du mouvement Tekki a d’abord déclaré avoir agi par principe, avant de soutenir que cette question n’a pas été discutée au sein du groupe, relate « Sud Quotidien ».

« Je suis membre du groupe qui s’appelle Liberté, Démocrate et changement, c’est Wallu Sénégal. Nous n’avons pas discuté de la question d’Aminata Touré dans notre groupe. Puisqu’en allant à cette réunion, convoquée par le président de l’Assemblée nationale, on ne connaissait pas l’ordre du jour. C’est sur place que nous avons été informés de l’ordre du jour. Sur le papier, le président de l’Assemblée nationale avait simplement marqué information », a confié dans « Objection » de ce dimanche, le septième vice-président du bureau de l’Assemblée nationale.

Et le président du mouvement Tekki de soutenir : « Sur cette affaire-là, moi, je ne suis pas d’accord. Parce que d’abord, la constitution ne dit pas ça. Ce point dans la constitution a été introduit par Me Abdoulaye Wade dans la constitution de 2001. Et pour s’attaquer à un problème bien précis. C’est-à-dire que les députés PDS qu’il y avait avant ,au bout de quelques temps, à l’époque, ouvertement, allaient faire un meeting de ralliement au Parti socialiste ».

La différence pour lui dans ce cas-ci, est qu’ « ici, c’est des divergences politiques dans un parti. En tout cas, de ce que j’ai entendu de Mme Aminata Touré, dire à l’Assemblée nationale essentiellement sur la question du troisième mandat : elle dit, nous, on était tous d’accord sur le fait que Macky ne pouvait pas avoir une troisième candidature. En tout état de cause, elle reste dans ses bottes pour le dire. Ça, je ne pense pas que c’est ça qui est visé par la loi et la constitution. Aujourd’hui, dans la situation que nous vivons, une assemblée nationale ne connaît pas l’APR ».

Alors que pour le septième vice-président de l’Assemblée nationale, « l’argument avancé, c’était une lettre du secrétariat de l’APR qui constate qu’Aminata Touré a démissionné par des actes. Donc, elle n’a pas démissionné formellement de l’APR. Or, . Elle ne connaît que BBY. Et donc, sur le plan de forme, ce n’était pas recevable ».

[ Audio] Mbacké: Les élèves suspendent les cours pour réclamer la libération d’un de leurs camarades

Les élèves suspendent les cours
Les élèves suspendent les cours

Les élèves de Mbacké étaient dans les rues ce lundi pour exiger la libération de leur camarade, Dame Séne, qui a été arrêté, vendredi dernier à Touba, lors des affrontements entre policiers et partisans de Ousmane Sonko. 
L’élève en question était seulement au mauvais endroit au mauvais moment parce que Dame Séne a été interpellé au moment où il revenait de l’école pour rentrer, selon ses camarades. 
Ecouter la réaction du porte-parole des élèves après leur marche pacifique 

Walf TV : les bienfaits en chiffres de la coupure du signal

Walf TV
Walf TV

La coupure du signal de Walf TV par le CNRA constitue un mal pour un bien. Du moins c’est l’affirmation du PDG du groupe Walf, reprise par Les Échos. «Ce que Walf a eu comme abonnés sur le digital dépasse largement ce qu’il avait eu en un ou deux mois, a révélé Cheikh Niass. Walf a réalisé plus de 35 000 abonnés en moins de 15 heures. Ce qu’il n’arrivait pas à avoir en un mois.»

Le patron du groupe de Front de terre ajoute que «pour l’audience, Walf TV a fait plus de 2,5 millions en moins de 24 heures sur Youtube».

Le signal de Walf TV a été coupé vendredi dernier, pour sept jours, pour avoir diffusé en direct les échauffourées opposant les militants de Pastef aux forces de l’ordre lors de la visite de Ousmane Sonko à Mbacké et Touba.

Arrestation Azoura Fall Pastef et Nitt Doff, Meeting à Mbacké : Assane Diouf alerte « Ñoo ngi ñëwaat…lou gueun piir » (vidéo)

Arrestation Azoura Fall Pastef et Nitt Doff, Meeting à Mbacké : Assane Diouf alerte « Ñoo ngi ñëwaat…lou gueun piir » (vidéo)

VIDEO : Gabrielle a t-elle laissé Adji Sarr? réponse surprenante“nekatoul sama keur, lima xam Maham Xamouko

VIDEO : Gabrielle a t-elle laissé Adji Sarr? réponse surprenante“nekatoul sama keur, lima xam Maham Xamouko

Urgent – Azoura Fall, militant du Pastef, arrêté par la gendarmerie (Photo)

Selon des informations fiables en possession de dakarposte, le sieur nommé Azoura, proche parmi les plus proches de l’opposant Ousmane Sonko, est tombé dans la nasse de la gendarmerie.

Cet activiste demandait à ses camarades d’aller incendier la brigade de  gendarmerie de Touba.

Nous y reviendrons avec une ébauche de détails !

VIDEO : Cheikh O Diagne démonte la dictature du pouvoir et rappelle les Chef Religieux» Yonéti bi meussoul

Cheikh O Diagne démonte la dictature du pouvoir et rappelle les Chef Religieux» Yonéti bi meussoul

EXCLUSIF!!! LES TRISTES IMAGES DE BOMBARDIER à L’HOPITAL

EXCLUSIF!!! LES IMAGES DE BOMBARDIER à L’HOPITAL

(Vidéo) « Beugouma do…Douma tokh, douma nane, Amna 1000 parfums… Damay nob batay », Aby Ndour

Aby Ndour a répondu aux multiples questions de Ndeye Ndack. Interpellée sur ses loisirs, ses repas préférés et sa vie amoureuse, la chanteuse répond à tout.

« Je déteste le domoda à cause de la farine… Je ne fume pas, je bois pas de l’alcool… J’ai plus de 1000 parfums. Côté amour: je le vis comme toute les personnes », confie-t-elle à Ndack dans l’émission » Nanga def ».

Arrêtez Ousmane Sonko pour de bonnes raisons ! (Par Madiambal Diagne)

La débauche d’énergie, de désordre et de violences constatée dans la ville de Mbacké vendredi dernier est bien inutile. Les Forces de sécurité ont dispersé, à coups de grenades lacrymogènes et de matraques, des rassemblements sporadiques organisés par l’opposition sous la bannière du parti Pastef. De gros renforts de troupes ont été envoyés sur les lieux. Ousmane Sonko et ses partisans tenaient à protester contre l’interdiction, par le Préfet, d’un meeting politique prévu dans la ville. Les habitants de Mbacké, et même de la ville voisine de Touba, ont été importunés par ces événements qui, du reste, n’apportent rien à l’autorité de l’Etat et au système démocratique. Bien au contraire, la répression policière de manifestations de ce type porte indubitablement tort à tout régime, surtout que dans le cas d’espèce, l’ouverture d’esprit, le sens du dialogue et de la conciliation auraient permis facilement d’éviter de tels heurts ou débordements. En effet, le meeting a été interdit non pas pour des motifs de troubles potentiels à l’ordre public ou d’une quelconque menace pour la paix et la sécurité. Le motif invoqué par le Préfet tient à une violation de dispositions réglementaires encadrant l’organisation d’une manifestation sur la voie publique, dans le sens que la lettre de déclaration, déposée au niveau de la Préfecture de Mbacké, n’était signée que par deux personnes responsables alors que, de l’avis des autorités administratives, il en faudrait trois signatures pour satisfaire à la loi. C’est dire qu’il aurait été plus facile pour le Préfet d’appeler les organisateurs pour leur expliquer, dans l’intimité de son bureau, leur erreur et leur demander de corriger sans encombre ce qui se révèle en définitive n’être qu’un détail. Combien de fois des préfets, policiers ou gendarmes ont discuté, négocié avec des organisateurs de manifestations publiques, pour se faire des concessions mutuelles et s’accorder sur un itinéraire ou sur les modalités de déroulement ? Dans la pratique administrative, il est de coutume que des dossiers administratifs soient complétés ou régularisés en cours de traitement. L’Administration doit faciliter les procédures à ses usagers. C’est ainsi par exemple que les services du ministère de l’Intérieur avaient accepté que des listes imparfaites de l’opposition pour les élections locales et/ou législatives puissent être corrigées avant leur publication. Mieux, d’expérience, on a vu le Conseil constitutionnel autoriser tel ou tel candidat à compléter une pièce administrative ou à la remplacer dans son dossier de candidature à l’élection présidentielle. En d’autres termes, qui peut le plus peut le moins. Franchement, la démocratie et l’exercice des libertés fondamentales s’accommoderaient très facilement d’un tel arrangement sans coup férir, encore moins y perdre son âme. Je continue à croire que les autorités publiques auraient gagné en persuasion et auraient renforcé le niveau de confiance avec les acteurs de l’opposition, s’il y avait eu plus de tact, qu’elles eurent privilégié le côté didactique plutôt qu’une volonté de répression, pour ne pas dire, de règlement de comptes. A quoi bon interdire, pour défaut d’une petite signature sur trois nécessaires, un meeting qui devait se tenir le 10 février, alors qu’on l’autoriserait pour le 24 février, nouvelle date retenue par les organisateurs qui ont pris, cette fois-ci, le soin de faire figurer trois signatures sur la lettre de déclaration de la manifestation ? Assurément, par ce coup, les autorités administratives viennent de doper à bloc les «pastéfiens» pour leur meeting du 24 février prochain. Ils ne pouvaient pas rêver d’une meilleure publicité et surtout d’une aussi bonne source de motivation ! Ce sera un pari ou un défi pour chaque militant de rallier Mbacké pour grossir les rangs du meeting et y faire une démonstration de force. Or, le meeting de Mbacké aurait même pu se retourner contre les organisateurs qui venaient, quelques jours auparavant, de proférer des déclarations irrévérencieuses à l’endroit du Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké, ainsi que de nombreuses autres autorités religieuses. Sur les réseaux sociaux, des militants attitrés du parti Pastef se sont déchaînés sur les guides religieux et ont eu à choquer plus d’un. C’est dire que ce meeting, préparé par d’autres membres des familles religieuses de Touba, parfois dans une posture irrédentiste vis-à-vis du khalife, pourrait se révéler être un acte de défiance à l’endroit de ce dernier. L’Etat les aurait-il laissés parler à profusion à ce meeting, que les leaders du parti Pastef commettraient des impairs, se seraient tiré une balle dans le pied en poursuivant dans la surenchère et l’invective contre Serigne Mountakha.

Répression contre Pastef à Mbacké : Macky Sall perd à pile et à face
Les images de la répression policière à Mbacké et Touba, avec les nombreux saccages de commerces et de biens publics comme privés, ont fait le tour du monde et ne sont point à l’avantage du régime de Macky Sall. D’aucuns ont vu ressurgir le spectre des événements meurtriers de mars 2021 ; et il sera difficile de réfuter l’idée qu’on empêcherait ainsi l’opposition de tenir un meeting. C’est comme si les autorités publiques font le jeu de Ousmane Sonko, surtout avec des dégâts provoqués sur son véhicule, et il semble qu’il l’aurait bien cherché, car des images montrent le conducteur foncer sur un barrage policier. De toute façon, de tels dommages sur le pare-brise auraient pu être du fait même de ses propres partisans qui utilisent régulièrement ces méthodes pour chercher à alimenter leur machine de propagande et de manipulation. Par cette situation, les autorités publiques accréditent l’idée d’une persécution, d’un acharnement contre cet homme politique qui se «victimise», s’enhardit d’une telle situation et devient de plus en plus téméraire. On finirait par lui donner le sentiment d’avoir raison. Le ressenti d’injustice est d’autant plus recevable, qu’au moment où des meetings ou des randonnées des opposants sont interdits pour des motifs aussi légers ou fallacieux, des responsables du camp présidentiel organisent les leurs et tous autres rassemblements avec des débordements de foules occupant la voie publique et qui promeuvent la candidature de leur champion à la prochaine élection présidentielle de 2024. Si toutes choses seraient égales par ailleurs, le meeting de l’opposition à Mbacké aurait été autorisé et se serait déroulé sans anicroche. Voudrait-on empêcher qu’un rassemblement réussi de l’opposition dans un fief qui lui est acquis balance la forte mobilisation à Thiès à l’accueil du Président Sall ? Si telle était la réelle motivation de l’interdiction du meeting de Mbacké, on pourrait considérer que la démarche est maladroite et manque d’intelligence. De toute façon, la répression a produit l’effet inverse, car elle a éclipsé les belles réalisations et beaux projets exhibés par le Président Macky Sall à Thiès. Finalement, les médias et l’opinion publique ne retiennent de la journée du vendredi 10 février 2023 que les violences perpétrées à Mbacké et que le signal de la télévision Walfadjri a été coupé. Qu’est-ce que Walf Tv a pu faire qu’elle n’a pas déjà fait ? La nouveauté, et le plus sordide dans l’affaire, est peut être que la Direction de Walf Tv a admis elle-même que la chaîne a fait une diffusion commerciale qui se révèle, de surcroît, être des appels insistants à l’émeute.
Du reste, il aurait été plus acceptable de prétexter de risques de troubles ou de manque d’éléments de sécurité déjà déployés par exemple à Thiès pour justifier l’interdiction du meeting. On en arrive à une situation où les pouvoirs publics semblent être excédés par des provocations et défiances récurrentes et auraient voulu les faire payer. Soit ! Seulement, Ousmane Sonko peut rester puéril, insolent, immature et irresponsable en prônant le vulgaire «gatsa gatsa», mais l’Etat n’a pas à tomber à son niveau. Si tant est que les pouvoirs publics voudraient lui montrer de l’exaspération, ne plus lui faire de cadeau et lui prouver que force restera toujours à la loi et que l’ordre républicain sera de rigueur, ils n’ont qu’à l’arrêter pour de bonnes raisons, ou le laisser continuer à narguer son monde, à faire montre d’insolence à l’endroit des institutions républicaines, des autorités religieuses et coutumières et continuer d’insulter toute personne qui ne l’applaudirait pas.

Arrêter Sonko avant qu’il ne soit trop tard !

Les bonnes raisons ne manquent véritablement pas pour empêcher Ousmane Sonko de tout se permettre. L’affaire des viols présumés dont se plaint Adji Sarr aurait pu suffire pour le coffrer, même si d’aucuns trouveraient toujours à redire. Et même dans ce cas, les violations du secret de l’instruction et surtout les autres types de violations répétées des conditions de sa mise sous contrôle judiciaire, donnent des raisons suffisantes de révocation de cette mesure. Au demeurant, ses multiples appels à l’insurrection, suivis d’effets violents et sanglants les 6,7 et 8 mars 2021, avec leur bilan macabre de 14 personnes tuées, ou les appels à empêcher la tenue des élections législatives de 2022 (4 morts) devraient le mener en prison ; tout comme les outrages aux magistrats, les bravades, le discrédit des institutions publiques, les insultes et injures, mensonges et attaques contre des personnes investies de l’autorité de l’Etat (Justice, police, Armée, gendarmerie). Le parti Pastef finance ses activités politiques en violation flagrante de toutes les règles légales et démocratiques. Tous ces faits sont des motifs légitimes qui enverraient tout autre citoyen dans les liens de la détention ! Dans quel pays au monde un citoyen peut-il menacer devant les caméras de télévision de tuer le chef de l’Etat ou d’envoyer 200 mille manifestants pour le déloger du Palais et rester à dormir chez soi ? Dans quel pays au monde un homme politique donnerait-il l’ordre à son chauffeur de foncer sur un barrage de police et rentrer tranquillement chez lui ? Oui, c’est déjà arrivé au Sénégal ! En février 2015, l’ancien Président Wade, qui n’avait plus toute sa tête suite à l’emprisonnement de son fils Karim, avait forcé un barrage de police pour se rendre à un rassemblement de l’opposition. Une procédure judiciaire avait été ouverte contre le chauffeur, mais les poursuites avaient été vite abandonnées car le pouvoir ne tenait pas à s’en prendre au donneur d’ordre.

Qu’on se le tienne pour dit, à chaque pas que l’Etat reculera, Ousmane Sonko et ses affidés avanceront de trois pas pour piétiner allégrement l’Etat de Droit. Relisez notre texte du 29 août 2022 intitulé : «Sonko ou le monstre de Frankenstein.»

Le plus grave est que ce sentiment d’impunité devient si ancré dans les esprits, qu’ils finissent par considérer que les autorités publiques redoutent le leader du parti Pastef. Lui-même clame sur tous les tons que Macky Sall ou son Premier ministre Amadou Ba sont des poltrons. Seulement, par cet attentisme, cette inaction, les autorités de l’Etat font tort à toute la République et à ses citoyens. Toutefois, de mauvaises réactions, comme celle inappropriée à Mbacké, illustreraient l’allégorie de la trace du serpent contre laquelle on s’acharnerait. En effet, si l’Etat ne peut agir quand la raison et la légitimité sont avec lui et qu’il préfère faire le dos rond dans ces circonstances, qu’il continue ainsi et pour toujours, quand le motif devient illégitime, pour ne pas dire fallacieux. Autrement, c’est cet Etat qui aura provoqué le trouble à l’ordre public, le désordre et le tumulte. Les citoyens auront fini de se résigner à toutes les incartades. Nous nous y ferons ou chacun réglera le problème à sa façon.

On voudrait laisser prospérer l’idée que Ousmane Sonko chercherait à aller en prison pour des motifs moins infâmants que l’affaire de viols et autres sévices sexuels dont se plaint Adji Sarr ; nous préférons dire que le motif importerait point, dès l’instant que son emprisonnement résulterait d’une violation grave et effective de la loi de la République ! Chercherait-on à appliquer et faire respecter les lois de la République ou à faire honte ou humilier un adversaire politique ? Le risque est grand que le citoyen en arrive à regretter l’absence d’autorité de l’Etat et devenir nostalgique d’un Djibo Leyti Ka, qui avait pris sur lui de mettre un terme aux provocations et autres agressions contre l’Etat et la République du fait de Serigne Moustapha Sy et des responsables du Mouvement Dahiratoul Moustarchidine Wal Moustarchidati. En octobre 1993, Djibo Ka avait ordonné à la police d’aller chercher Serigne Moustapha Sy, suite à de graves injures et attaques contre le Président Abdou Diouf. L’histoire raconte que devant d’ignobles insultes à son endroit, le Président Abdou Diouf nourrissait des appréhensions pour faire cueillir Serigne Moustapha Sy, mais son ministre de l’Intérieur restait droit dans ses bottes, assurant qu’il ne saurait laisser la République se faire agresser de la sorte ; quitte à ce que son action lui coûtât son poste après coup ! En février 1994, avec l’affaire de l’assassinat de six policiers sur le Boulevard Général De Gaulle, le ministre de l’Intérieur fit arrêter Pape Malick Sy et, dans la foulée, fit dissoudre le mouvement. Un autre exemple historique est celui d’un Idrissa Seck, Premier ministre, qui avait intimé l’ordre à la police d’aller chercher Serigne Khadim Bousso, poursuivi pour banqueroute frauduleuse et qui refusait en 2003 de répondre à la Justice, ou encore d’une Aminata Touré, ministre de la Justice, qui avait fait arrêter Cheikh Bethio Thioune en 2012, dans l’affaire du meurtre d’un de ses disciples à Médinatoul Salam. Tout cela pour que force restât à la loi. Malheureusement, on peut avoir l’impression aujourd’hui que les rigueurs de la loi ne tombent que sur les nombreux jeunes lampistes, des badauds arrêtés suite à des instigations manifestes dont les auteurs connus sont pourtant épargnés. Les arrestations de ces personnes deviennent à la longue inutiles et improductives.

Par Madiambal Diagne

Arrêté lors du ‘meeting’ à Mbacké, ce que Serigne Assane Mbacké a dit aux enquêteurs

Vendredi dernier, lors du meeting interdit de Sonko à Mbacké, Serigne Assane Mbacké a été arrêté par les forces de l’ordre dans son véhicule au moment où il rentrait à Touba. Avant d’être présenté sous peu au Procureur du Tribunal de Diourbel, le leader du mouvement Appel 221 a parlé aux enquêteurs.

Face aux éléments du commissariat urbain de Mbacké, il a reconnu qu’il était dans le cortège de Ousmane Sonko. « Nous sommes sortis du cortège de Ousmane Sonko à hauteur du quartier Héliport de Touba pour venir directement à Mbacké. Après quelques minutes de course, on m’avait informé que Sonko était au niveau de l’ancien stade de Mbacké auprès des Baye Faal », a-t-il déclaré.

Mais en route vers Mbacké, il s’est rendu compte qu’il ne pouvait entrer dans la ville, à cause du dispositif sécuritaire mis en place. Sur le chemin du retour à Touba, il est tombé sur une patrouille de sécurisation. C’est là que lui et ses hommes ont été arrêtés puis conduits au commissariat.

Bougane Gueye apporte son soutien à Walf Tv & clash Macky Sall « askan wi amna droit xoll loulen nex défonagn ko Sentv… (vidéo)

Bougane Gueye apporte son soutien à Walf Tv & clash Macky Sall « askan wi amna droit xoll loulen nex défonagn ko Sentv… (vidéo)

Ordre des avocats : Les détails du face à face entre Me El Hadji Diouf et le Conseil de discipline

Me Elhadji Diouf
Me Elhadji Diouf

Réuni mardi dernier, le Conseil de l’Ordre des avocats a suspendu Me El Hadji Diouf pour des manquements, notamment les sorties médiatiques «répétées» sur un dossier pendant devant la justice : il s’agit de l’affaire Adji Sarr-Sonko, qui s’est retrouvée devant la Chambre criminelle.

L’audience entre la robe noire et le conseil de discipline de l’ordre des avocats est prévu le 28 février prochain, rapporte SourceA dans sa parution du jour.

La robe noire, selon ce journal, sera jugée par une Assemblée composée de 19 membres dirigée par le bâtonnier. La même source précise que le verdict est connu le même jour de l’audience.

Me El Hadji Diouf sera accompagné de ses avocats qui vont le défendre. Ensuite l’Ordre va prendre une sanction ou arrêter la procédure. L’avocat risque quatre sanction : le blâme, la réprimande, la suspension temporaire ou la radiation.

A noter que Me El Hadji Diouf annonce une conférence de presse ce lundi à 16 heures au Café de Rome, sûrement pour réagir à sa suspension par le Conseil de l’Ordre des avocats.

Président Macky Sall: « Je ne laisserai personne détruire ce pays »

Suite à l’interdiction du meeting de Pastef, les incidents de Mbacké n’ont pas laissé insensible le chef de l’Etat. Lors d’une réunion nocturne, tenue de 3 heures à 5 heures du matin à la Gouvernance de Thiès avec les responsables de Bby. Macky Sall a juré de ne faire aucune concession sur la stabilité du pays.

« Je ne laisserai personne détruire ce pays », a juré le Président Macky Sall. D’après L’Obs, il a réaffirmé l’engagement ferme de l’Etat à ne jamais fléchir.

Ainsi, Macky Sall a rappelé sa responsabilité entière dans la défense de l’Etat et de la sécurité des biens et des personnes. « Quoi qu’il me coûte », a-t-il dit.

Et, il dit reconnaître à tous les acteurs politiques de dérouler leurs programmes et leurs activités en toute liberté. Mais, dans le respect des lois et règlements. « Ce n’est pas négociable. Et, l’Etat fera ce qu’il à faire quand il le faudra », promet-il.

Affaire Bocar Samba Dieye: Cette décision inattendue de la justice

Le marathon judiciaire entre l’homme d’affaires Bocar Samba Dieye et le groupe Attijari ex CBAO se poursuit. Le célèbre importateur de riz risque de ne pas voir la sanction retenue contre la banque par la justice être appliquée. Et pour cause, le dernier verdict de la deuxième chambre civile du tribunal de grande instance hors classe de Dakar a été cassé. 
Voilà une nouvelle qui surprend plus d’un. C’est durant un point de presse que le président de l’association des clients et sociétaire des institutions financières (Acsif), Famara Ibrahima Cissé, a fait part du tout dernier développement de l’affaire qui oppose Bocar Samba Dieye à Attijari. Selon ce dernier, « la Cbao estime avoir fait un appel qui a abouti à un jugement par défaut ». Un jugement fait « en l’absence de l’homme d’affaires et de ses avocats » qui a fini par casser la décision du tribunal de Dakar qui condamnait la banque Attijari à payer à l’importateur de riz 11 milliards de nos francs. 
Une décision considérée comme « une mascarade » par Famara Ibrahima Cissé qui évoque le fait que « Bocar Samba Dieye n’ait jamais reçu de convocation pour un jugement en appel ». Comptant aller jusqu’au bout, les avocats de l’homme d’affaires compte déposer un rabat d’arrêt qui serait en principe suspensif. 
Pour rappel, l’affaire opposant Bocar Samba Dieye à Attijari ex CBAO date de 2008. D’après des informations, Attijari avait profité du fait que Bocar Samba Dièye est illettré pour lui faire signer, nuitamment, un protocole dans lequel il reconnaissait devoir à la banque 7,166 milliards de francs CFA. Face aux appréhensions de l’homme d’affaires avant de porter sa signature, Attijari aurait assuré que cette transaction n’aurait aucune incidence financière dommageable pour son client, qu’elle lui permettra même de bénéficier d’avantages.
Trois ans plus tard, lors d’une audience d’adjudication, tenue le 9 août 2016, la banque récupère trois immeubles de Bocar Samba Dièye objet des titres fonciers 8403/Gr, 12788/Dg et 9986/Dg. Et considérant que ces immeubles valent 4 milliards de francs CFA, Attijari estimait que l’homme d’affaires lui devait encore 3,166 milliards.

Méga meeting à Ziguinchor : Les piques de Doudou Ka à Ousmane Sonko

Doudou Ka a réussi le pari de la mobilisation, lors de son méga meeting tenu à Ziguinchor. Et durant son allocution, Doudou Ka n’a pas oublié de mentionner le nom d’Ousmane Sonko. 
En effet, dans son discours devant des milliers de militants, l’ancien patron de l’AIBD a dit avoir déjà fait son choix pour 2024 et il s’agit de Macky Sall. Car pour lui, c’est l’homme qui est capable de mettre de l’espérance au sommet de la gouvernance du pays. 
Le ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires a estimé qu’Ousmane Sonko n’a pas pour objectif pour bâtir un Sénégal meilleur. « Notre pays n’a pas besoin de politiciens qui sont le visage de l’extrémisme démagogique, de la haine, de l’insurrection, de la rancœur et de la rancune, mais d’une femme ou d’un homme capable de se hisser à la hauteur de la grandeur du Sénégal », a lancé Doudou Ka. 
Pour lui, le choix est clair : « Je choisis le président Macky Sall pour préserver les  fondamentaux de la République et défendre nos valeurs démocratiques. Je choisis le président Macky Sall pour l’avenir du Sénégal et de sa jeunesse. »
Par contre, pour Sonko, il pense que ce dernier est incapable de bâtir un Sénégal meilleur. « Il passe son temps à faire le tour pays inutilement et il est toujours dans l’anarchie. On ne peut pas construire un pays dans l’anarchie », a lancé le ministre Doudou Ka. 
Le ministre a conclu son discours en annonçant d’autres meetings dans la région de Ziguinchor en guise d’appui au président Macky Sall 

[MEDIA’TEK] Seynabou Ndiaye : Zeyna la guerrière

Elle a les allures de ‘Xena la guerrière’. La journaliste culturelle et people ne lâche rien et se bat pour vivre sa passion pour ce milieu, au-delà des préjugés. Derrière la caméra, celle qui donne les infos croustillantes se révèle à  Media’Tek sans filtre.
La trentenaire vient d’arriver dans les locaux de Seneweb. A quelques heures de son entretien prévu pour 16h avec l’artiste Narah Diouf, Zeyna Bamba prend le temps de passer saluer ses collègues. Habillée en tailleur noir, les baskets apportent un aspect décontracté à ce look chic. Le maquillage aussi n’est pas en reste pour passer devant la caméra. Mais avant l’heure de l’interview, le sourire scotché aux lèvres, la femme au teint clair papote avec ses collègues. Au fil des quatre ans passés à Seneweb, la journaliste a su tisser des liens fraternels et mener sa carrière en guerrière. Et pourtant rien ne prédestinait Seynabou Ndiaye à une carrière dans les médias. 
 « Je ne pensais pas du tout devenir journaliste car ma carrière était toute tracée et je devais devenir interprète », a confié l’ancienne étudiante au département d’anglais. Cette dernière confie parler couramment la langue de Shakespeare. « Je travaillais même au Ministère du travail en tant qu’interprète et opératrice de saisie », avoue-t-elle. Mais c’est par un véritable coup du hasard que Seynabou Ndiaye passe des amphis au studio radio valsant entre le petit écran et la web tv. 
Des auditeurs aux internautes
Les médias ont changé beaucoup de choses dans la vie de la femme de 32ans. Zeyna Bamba explique être devenue plus mature, perfectionniste, résiliente, ouverte et responsable. Des qualités qu’elle s’est forgée au cours de ses expériences professionnelles. C’est à Yenne où habitent les siens que Seynabou Ndiaye va prendre ses marques. Elle débute son aventure avec la radio Tempo FM en 2016. Après deux ans de collaboration et d’apprentissage, la journaliste autodidacte change de tempo et opte pour un autre médium. Elle rejoint ensuite Dakar TV international et Télé Music Sénégal. Zeyna Bamba crève l’écran jusqu’à impressionner un de ses anciens collègues. Le cadreur va la mettre en rapport avec Seneweb. Ils scellent ainsi leur collaboration en 2019. La femme de 32 ans aborde des sujets liés à la culture et surtout au people. Une spécialisation qui n’est pas sans conséquence. 
People, un domaine à pile ou face 
Le fait de côtoyer des célébrités est devenu une banalité pour la présentatrice de ‘Sen people’. Mais il y a des rencontres qui laissent des traces indélébiles. C’est avec beaucoup d’émotions que Seynabou Ndiaye revient sur son entretien avec Lady Mounass. L’artiste, victime de viol a décidé de lever le voile au micro de Zeyna Bamba. Elle a accepté de lui en parler en direct et cela a énormément touché la trentenaire. « Nous n’avons pas pu terminer l’émission tant son histoire m’a fait pleurer », se souvient-elle. Mais cette émission a été un déclic pour la présentatrice people. « J’ai compris qu’il y avait une valeur non négligeable dans ce travail à savoir la valeur humaine. Cela m’a permis de faire preuve de plus de respect, d’humanité et de voir au-delà de ces personnes, l’humain », affirme-t-elle la mine sereine.
«L’homme est le remède de l’homme », dit-on. Dans bien des cas, il peut être un poison pour son prochain. Zeyna Bamba ne va pas dire le contraire. Cette dernière essuie aussi l’autre revers de sa médiatisation au quotidien. Lorsque les caméras sont éteintes, le retour à la vie réelle peut s’avérer bien difficile. En ‘Xena la guerrière’, la présentatrice doit essuyer les jugements de valeurs. « Les gens se font des opinions et ont des préjugés par rapport au travail », dit-elle navrée. « Ce n’est pas évident de présenter une émission people. Mais je fais face aux critiques et jugements », affirme la trentenaire. Seynabou Ndiaye reconnait que les insultes, les harcèlements  et autres ne la dérangent plus.  «Certes ce n’était pas facile au début. Il m’arrivait de faire une émission et les commentaires  suffisaient à me saper le moral. Cependant j’ai appris à faire face et à laisser couler », relativise-t-elle. Certes le people est très délicat mais Zeyna Bamba affirme tout faire pour mettre à l’aise ses invités et installer un rapport de confiance pour dénicher les infos.
Des infos pas toujours diffusables
« Tout ce qui brille n’est pas de l’or ». Toute information est à vérifier et revérifier. Seynabou Ndiaye accorde énormément d’importance à la crédibilité des infos fournies aux internautes. « Nous pouvons les avoir via des anonymes ou les réseaux sociaux et nous prenons le temps de les vérifier. Il nous arrive de ne pas traiter une information faute de précision», renseigne-t-elle. Selon ses explications, cela demande beaucoup de prudence car des personnes malintentionnées peuvent l’utiliser pour régler des comptes. « Il faut donc avoir du recul et faire la part des choses entre la vérité et la contre-vérité », souligne-t-elle. Zeyna Bamba confie aussi ne pas donner certaines informations people car sensibles. « Nous faisons des tris car nous nous mettons à la place des gens », dit-elle. Une manière d’être droite dans ses bottes.L’humain au cœur des actions 
Zeyna Bamba doit son surnom à son fort attachement à Serigne Touba. En bon mouride, dévouée à la ville sainte, elle suit les valeurs propres au mouridisme. La meilleure présentatrice de l’année 2021 a fait du travail acharné et de la solidarité, des sacerdoces. Chaque année, hors caméra, elle accomplit des  actions sociales à Yenne là où habite sa famille en toute discrétion. 
Zeyna Bamba œuvre aussi à conseiller, aider et orienter les artistes pour dénicher des sponsors, des partenaires pour leurs évènements à travers son agence de communication. Créée fin 2020, Seynabou Ndiaye gère son agence d’une main de maître. L’entrepreneure veut étendre son business et souhaite être la femme qui a fait le plus de chiffres d’affaires en matière d’entrepreneuriat.

Vidéo-Les Vérités crues de Arame Touré“journaliste yi naniou gorée té humble, meuno am y’en salaire yi beugu… »

Vérités crues de Arame Touré“journaliste yi naniou gorée té humble, meuno am y’en salaire yi beugu