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Le chanteur Sidy Diop chez Pape Diouf

Sidy Diop se prépare intensément pour son concert au Zénith en France au mois de juin prochain.

Le chanteur Pape Diouf, invité d’honneur, a accueilli son jeune frère pour discuter de cet événement tant attendu. Les fans des deux artistes ont magnifié ce geste de Sidy Diop envers Pape Diouf.

Après la présidentielle, Amadou Ba de retour à Dakar

Le candidat malheureux de la coalition Benno Bokk Yakaar à la présidentielle du 24 mars 2024 et ancien premier ministre était hors du pays depuis le lendemain de sa défaite. Il est finalement rentré à Dakar hier, en début de soirée

Il a été accueilli et acclamé par ses partisans à l’Aéroport International Blaise DIAGNE (AIBD).

Rapports cour des comptes: les précisions de Moustapha Sarré, porte parole du gouvernement

Depuis quelques semaines, les rapports des Corps de contrôle, qui dormaient dans les tiroirs jusqu’ici, sont publiés. Nombreux sont les cas de prévarication des deniers publics qui ont été décelés. Porte-parole du gouvernement, Moustapha Sarré a déclaré que pour l’instant, en sa connaissance, aucun ordre de poursuite n’a été donné. Mais, aucune entrave ne se fera quant au travail de la Justice.

«Nous allons laisser à la Justice de faire son travail. Si jamais le procureur juge nécessaire de poursuivre des personnes pour faute grave, il le fera», déclare-t-il sur la Rfm.

Moustapha Sarré souligne surtout qu’il n’y aura aucun blocage au fonctionnement de la Justice et le procureur de la République pourrait faire son travail en toute indépendance.

«S’il considère qu’il y aura des poursuites contre certaines personnes qui ont eu des écarts dans la gestion des deniers publics, rassurez-vous que ces poursuites auront lieu», assure le ministre, porte-parole du gouvernement.

IMF à l’IFAN : Le SUDES-ESR ne démord pas

Ismaïla Madior Fall
Ismaïla Madior Fall

Le syndicat unitaire et démocratique des enseignants du Sénégal-Enseignement supérieur et recherche (SUDES-ESR) section Ucad reste déterminé à faire barrage à toute tentative de « caser » l’ancien ministre de la justice Ismaïla Madior Fall à l’IFAN. N’en déplaise à leurs collègues du SAES qui prend la défense de l’ancien ministre et professeur de Droit. Dans cette lettre ci-après, adressée à leurs camarades, le SUDES-ESR invite la communauté universitaire à s’ériger contre toute violation des textes et demande au ministre de l’enseignement supérieur de « rappeler au recteur de l’UCAD les principes élémentaires de bonne gouvernance ». Voici l’intégralité de la lettre :

HALTE À L’OPÉRATION « SAUVER LES TRIPATOUILLEURS » DE TEXTES À L’UCAD !!!

Cher.e.s Camarades,
Dans une missive adressée à nos estimés collègues de l’UCAD, l’équipe dirigeante d’un syndicat, qui à notre grand regret, s’est positionné comme la cinquième colonne, a tenté de discréditer et de saboter la vive protestation de la section UCAD du SUDES-ESR contre la manœuvre du recteur pour caser un ancien ministre à l’IFAN en violation du décret 84-1184 du 13 octobre 1984.

Les auteurs de cette missive devraient avoir honte de qualifier de « rumeurs persistantes » et « d’informations non fondées » les faits que nous avons révélés et qu’ils n’hésitent pas, par ailleurs, à reprendre à leur compte.

La section UCAD du SUDES-ESR rappelle à la communauté universitaire les constantes factuelles de cette velléité d’instaurer à l’UCAD une exception de privilèges accordés à un enseignant alors que tou.te.s les enseignant.es, quels que soient leur rang, leur titre et leur grade sont d’égale dignité devant les textes de l’université.

En effet, les propos du porte-parole du recteur contradictoires à ceux de M. Ismaïla Madior Fall qui lui-même reconnaît avoir introduit une demande d’affectation à l’IFAN où il serait plus utile, pense-t-il, montrent à l’évidence que ces collègues syndicalistes avec leurs allégations fallacieuses et apocryphes dans cette affaire se sont fourvoyés.

De plus, au nom de quelles règles et de quels usages, le recteur de l’UCAD prend-il les devants pour consulter le directeur de l’IFAN sans qu’il y ait de demande formelle comme l’a indiqué son porte-parole ? C’est cette immixtion tout autant incompréhensible qu’illégale du recteur dans un processus pourtant régi par des textes qui a alerté la section UCAD du SUDES/ESR. La procédure courait effectivement le risque d’être conduite illégalement. Les pseudos avant-gardistes n’ont visiblement pas vu venir la manigance ou s’en font complices de bonne foi.

En outre, quant à la prétendue politisation des enjeux universitaires, il est difficile de ne pas voir l’hypocrisie dans une telle déclaration. En accusant la section UCAD du SUDES/ESR de soulever des « délits d’opinion » et en préjugeant du caractère politique de sa protestation, les éléments de la cinquième colonne essayent de détourner l’attention des véritables problèmes de gouvernance à l’UCAD. Ils montrent ainsi leur volonté de servir sans discernement des intérêts crypto-personnels plutôt que ceux de la communauté universitaire.


La section UCAD du SUDES-ESR se félicite d’avoir tenu sa traditionnelle ligne de lutte et de défense des valeurs et de l’éthique professionnelle liées à la fonction d’enseignant et de chercheur sans partisanerie syndicale. Elle ne saurait transiger avec le louvoiement et la tortuosité syndicale.

En conséquence, la section UCAD du SUDES-ESR voudrait :

1. Exhorter l’ensemble de la communauté universitaire à rester solidaire pour faire barrage à toutes manœuvres illégales visant à déroger aux règles et procédures de notre université.

2. Inviter tou.te.s les camarades, quelle que soit leur affiliation syndicale à signaler toutes violations avérées ou présumées des textes de l’UCAD dont ils/elles ont connaissance.

3. Prier le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation de bien vouloir rappeler au recteur de l’UCAD dont le mandat arrive très bientôt à terme les principes élémentaires de bonne gouvernance.

[Rapport Cour des comptes] Carburant, attribution des marchés : Les « cafards » d’Abdoulaye Baldé à la mairie de Ziguinchor

Dans ses derniers rapports, la Cour des comptes a décelé des « irrégularités » dans la passation des marchés publics de la commune de Ziguinchor de 2015 à 2018 sous la gestion du maire Abdoulaye Baldé. Ces anomalies sont relatives notamment au « défaut d’inscription des marchés sur le plan de passation des marchés publics et de respect du mode de passation des DRP à compétition ouverte », relève le document.

En effet, la Cour rappelle l’article 6 du décret n° 2014-1212 du 22 septembre 2014 portant Code des marchés publics, à l’exception des marchés passés par entente directe, tous les marchés passés par les autorités contractantes sont inscrits dans les plans de passation des marchés, à peine de nullité.

L’examen des pièces de marchés fournies par la commune a permis de constater que « plusieurs DRP à compétition restreinte ne figurent pas sur le plan de passation des marchés publics. Il s’agit, notamment, de la DRP à compétition restreinte n° 045/2016/CZ/CPM du 13 juin 2016 relative à l’acquisition du matériel de l’éclairage public, pour un montant de 18 697 100 F CFA et la DRP à compétition restreinte n° 001/CZ/CPM du 05 janvier 2018 portant fourniture de denrées alimentaires de 18 850 000 de francs CFA. »

La Cour considère par conséquent que la conclusion de ces marchés pourrait être frappée de « nullité ».

La Cour demande au maire et au coordonnateur de la cellule de passation des « marchés publics, chacun en ce qui le concerne, de veiller à l’inscription de l’ensemble des marchés au plan de passation des marchés publics ». 

A noter, en outre, qu’en référence à l’article 5 de l’arrêté n° 2015-107 du 7 janvier 2015 pris en application de l’article 78 du Code des marchés publics, la procédure de demande de renseignements et de prix (DRP) à compétition ouverte s’applique aux commandes de fournitures dont le montant estimé est inférieur à 50 millions et supérieur ou égal à 15 millions de F Cfa, toutes taxes comprises. L’examen des marchés de la période sous revue produits à la Cour renseigne sur la passation des DRP à compétition restreinte n° 045/2016/CZ/CPM du 13 juin 2016 relative à l’acquisition du matériel de l’éclairage public et n° 0001/CZ/CZ/CPM du 05 janvier 2018 portant fourniture de denrées alimentaires pour, respectivement, 18 697 100 F CFA et 18 850 000 F CFA.

Le montant cumulé de ces deux marchés dépasse « le seuil des marchés pouvant être conclus suivant la procédure de DRP à compétition restreinte. En effet, ces marchés supérieurs à 15 000 000 F CFA devaient être conclus suivant la procédure de DRP à compétition ouverte ».

En réponse, le maire a dit aux magistrats vérificateurs que « le calcul du seuil se limitait à la DRP initiale ».

N’empêche, la Cour a précisé que le seuil concerne toutes « les commandes homogènes de travaux, fournitures et services, toutes taxes comprises, d’une part et un marché de fournitures inférieur à 50 millions et supérieur ou égal à 15 millions doit obligatoirement est être faire l’objet d’une DRP à compétition ouverte, d’autre part ».

En référence à l’article 57- (7-f ; h) de la loi organique sur la Cour des Comptes, « est punissable le fait d’avoir enfreint la réglementation en vigueur concernant les marchés publics[…] » et « le fait d’avoir manqué à l’obligation (…) de publicité annuelle des marchés publics ».

La Cour constate ainsi « qu’en violation de ces dispositions, le maire s’est soustrait au mode de passation applicable aux marchés n° 045/2016/CZ/CPM du 13 juin 2016 relatif à l’acquisition du matériel de l’éclairage public et n° 0001/CZ/CZ/CPM du 05 janvier 2018  portant fourniture de denrées alimentaires et a aussi manqué à l’obligation de planification annuelle et de publicité des mêmes marchés ».

Carburant : Une valeur de plus de 367 millions F Cfa consommée en 4 ans

Mais ce n’est pas tout. En effet, la mairie de Ziguinchor semble également très généreuse lorsqu’il s’agit d’acheter du carburant pour les véhicules de la commune. Du moins, c’était le cas entre 2016 et 2017. En effet, selon les rapports de la Cour des Comptes, les services d’Abdoulaye Baldé ont dépensé plus de 200 millions en carburant : 101 304 052 F CFA en 2016 et 100 606 257 F CFA en 2017. Et entre 2015 et 2018, la commune a dépensé 367 401 864 F CFA soit une consommation moyenne annuelle de 91 850 466 F CFA.

Concernant la consommation par service, l’organe de contrôle a révélé que le cabinet du maire, le secrétariat et bureau ont absorbé, à eux seuls, 72% du carburant contre 28% pour les services restants dont, 3% pour l’Education-jeunesse et Sports ainsi que 3% pour la Santé-hygiène-action sociale. Lors des consommations records, d’au moins cent millions réalisées en 2016 et en 2017, ces deux derniers services (Education-jeunesse et sport et Santé-hygiène-action social) n’ont pas reçu de carburant.

Le hic est que, souligne le rapport, «le parc de la commune ne justifie pas l’achat de carburant à hauteur de 367 401 864 FCfa durant la période. En considérant les 20 voitures et motos de la commune comme des véhicules de service, leur consommation de 200 litres mensuellement par unité équivaudrait normalement à 4 000 litres ; soit 48 000 litres par an. Ce volume de carburant coûterait 48 000 000 F CFA, par année, si le litre valait 1 000 F CFA. Ce montant de 48 000 000 F CFA, généré suivant une hypothèse haute sur à la fois le nombre de véhicules et le prix du litre de carburant, est de loin inférieur à la consommation de 2015 (75 500 780 F CFA), 2016 (101 304 052 F CFA), 2017 (100 606 257 F CFA) et 2018 (89 990 775 F CFA). Ainsi, la consommation réelle de la commune a été dépassée d’au moins 175 401 864 F CFA».

Pire, la commune n’a pas tenu une comptabilité du carburant. Celle-ci est gérée, selon le comptable des matières, par le cabinet du maire. Et pourtant, l’instruction susmentionnée requiert, au point 4.3.4, du comptable des matières la tenue d’une « comptabilité du carburant avec mention des quantités reçues et utilisées par véhicule ».

Fresque murale : Bassirou Diomaye Faye «rejoint » les anciens Chefs d’État à la Place du Souvenir

Bassirou Diomaye Diakhar Faye entre dans la légende des figures emblématiques qui ont marqué de l’histoire du Sénégal en devenant son cinquième Président de la République.

À la place Souvenir africain une belle fresque est visible sur le grand mur qu’occupent les portraits des chefs d’État sénégalais et africains. Lesquels attirent l’attention de tous ceux qui viennent pour visiter le lieu.  

Selon la Directrice de la place du souvenir africain, Ngakane Ngingue, ces fresques murales ont une  place importante vis-à-vis de certains visiteurs qui estiment que c’est une bonne initiative qui va permettre à la nouvelle génération de connaître le mérite des grands hommes qui ont tout donné pour la liberté et la justice sociale. 

«L’objectif principal est de faire une exposition époustouflante et permanente qui consiste à convoquer l’histoire avec des séries de portraits réalisés sous forme de fresques destinées aux populations. La Place du Souvenir africain a réalisé  un vaste  programme de réalisation de fresques et une exposition permanente de photos en vue d’accomplir les missions qui lui sont assignées et qui tournent fondamentalement sur la promotion et valorisation des figures emblématiques du Sénégal, de l’Afrique et de la Diaspora. Il s’agit aussi de rendre attractive la place », confie la directrice à Seneweb.

L’œuvre du Président Bassirou Diomaye Faye est réalisée par l’artiste-graffeur Aliou Ndiaye alias Sange 07. Elle est faite avec de la bombe de peinture de Montana en acrylique. Avec une dimension standard, l’œuvre est d’un décor épuré qui capte toutes les attentions au premier regard.

Les portraits de Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade ou encore Macky Sall figurent sur le mur. 

Découvrez les clichés ci-après

APIX : Abdoulaye Baldé passe le témoin à Bakary Séga Bathily

L’Agence pour la promotion de l’investissement et des grands Travaux (APIX) a accueilli, ce lundi 13 mai 2024, son 5ème directeur général Bakary Séga Bathily. 

Succédant à l’ancien maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé, le spécialiste en Management de projets a été installé dans ses fonctions. Ce, en présence du conseil administratif.

Fatou-Kiné Diakhaté nommée directrice adjointe du cabinet du président Diomaye Faye (Portrait)

Fatou-Kiné Diakhaté nommée directrice adjointe du cabinet du président Diomaye Faye (Portrait)
Fatou-Kiné Diakhaté nommée directrice adjointe du cabinet du président Diomaye Faye (Portrait)

Fatou-Kiné Diakhaté, surnommée Fifi par ses proches, a marqué l’histoire en devenant la première femme à être nommée Directrice adjointe de Cabinet du Président de la République du Sénégal Bassirou Diomaye Faye. Elle travaillera aux côtés du Professeur Mary Teuw NIANE, actuel Directeur de Cabinet.

Selon le Jotna Media, Fatou-Kiné Diakhaté possède un parcours impressionnant à l’intersection de la finance et de la politique, démontrant sa détermination, son expertise technique et son engagement envers les valeurs du parti PASTEF. Depuis 2018, elle a choisi de s’impliquer activement en politique, mettant en avant son engagement par l’action.

Au sein de PASTEF, Fatou-Kiné Diakhaté s’est dévouée en offrant généreusement son temps, ses compétences et son énergie. Sa récente nomination au poste de Directrice adjointe est la reconnaissance de son travail acharné, de son éthique professionnelle et de son engagement sincère au service du Sénégal. Elle couronne également une carrière exceptionnelle, fondée sur une solide formation académique et des expériences professionnelles diverses et enrichissantes.

Son parcours académique a débuté par un baccalauréat scientifique au Groupe scolaire Marie Dior Sarr, suivie d’études supérieures en banque, finance et assurance au Groupe ICOGES Paris, et à l’Université Sorbonne Paris Nord, où elle a obtenu une Licence professionnelle dans le même domaine. Elle a également acquis une Licence en économie et finance à l’Université Paris 8 Vincennes, puis a poursuivi avec un Master en économie internationale et régulation, ainsi qu’un Master en banque, finance et gestion des risques à l’Université Sorbonne Paris Nord.

Professionnellement, commr l’a décrit Jotna Media, Fatou-Kiné Diakhaté a débuté comme conseillère clientèle à la Banque Postale et à la Société Générale à Paris, avant de rejoindre le Crédit Agricole Corporate & Investment Bank comme gestionnaire middle office en titrisation. Elle a ensuite travaillé à l’Agence Française de Développement (AFD) à Paris, où elle a progressé de chargée de gestion des concours financiers à responsable contrôle et qualité, puis à chargée de mission innovation financière.

En politique, elle a été Secrétaire exécutif en 2020 et Coordonnatrice du Mouvement National des Cadres Patriotes section diaspora depuis 2021. Dans ces fonctions, elle a contribué à positionner ce mouvement comme un laboratoire intellectuel pour PASTEF, en pilotant avec succès des équipes et des centaines de cadres à travers le monde pour élaborer des politiques et des programmes de gouvernance. Elle a aussi joué un rôle clé dans la coordination des travaux du programme présidentiel « Le projet pour un Sénégal souverain, juste et prospère ».

En tant que membre du Bureau Politique de PASTEF et secrétaire nationale adjointe en charge de la diaspora, elle a supervisé des coordinations réparties sur quatre continents, promouvant ainsi le parti, la démocratie et l’État de droit au Sénégal.

Paiement des opérateurs agricoles – Mabouba Diagne est furieux : « La Une de l’Obs ne me plaît pas du tout »

Mabouba Diagne
Mabouba Diagne

Selon une publication datant du 13 mai 2024 du journal L’Observateur, la promesse de paiement aux opérateurs semenciers faite par le Premier ministre Ousmane Sonko n’aurait pas été tenue. Cependant, cette allégation a été fermement contredite par le ministre de l’Agriculture de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage, Dr. Mabouba Diagne. Interrogé par plusieurs médias ce lundi 13 mai 2024, le ministre a insisté sur le fait que le gouvernement a déjà entamé le processus de paiement depuis le vendredi 10 mai 2024.

Dr. Diagne a expliqué que, conformément aux directives du Premier ministre, une vérification minutieuse des montants dus était nécessaire avant de procéder aux paiements. Selon lui, le gouvernement a déjà versé plus de 14 milliards de francs CFA sur les 19 milliards dus, et il s’engage à régler le reste dès le lundi 13 mai.

Le ministre a également souligné l’importance du rôle des journalistes dans le développement du pays, critiquant la manière dont l’information a été relayée sans une vérification préalable. Il promet de fournir des preuves à la presse pour étayer ses affirmations et encourager une vérification rigoureuse des faits publiés.

La Une du journal l’Observateur de ce lundi 13 mai.

Pendant ce temps, les opérateurs semenciers expriment leur frustration et leur déception, ayant espéré voir la fin de leurs attentes suite aux assurances données pour la semaine du 6 au 10 mai 2024.

Dr. Diagne critique également la démarche des journalistes de l’Observateur et apporte des précisions sur la manière dont le paiement devait se faire, en rappelant que « Le Premier ministre Ousmane Sonko nous a instruits de régler la somme de 19 milliards que nous devons aux opérateurs semenciers. Il a également exigé la certification de l’authenticité de ces montants avant leur paiement. Depuis vendredi dernier, nous avons déjà versé plus de 14 milliards des 19 dus, et nous finaliserons le paiement du reste dès ce lundi matin, le 13 mai. Je tiens cependant à rappeler à mes compatriotes journalistes que nous avons tous un rôle à jouer dans le développement du pays. Lorsqu’ils publient des informations d’une telle importance, leur code de déontologie et d’éthique devrait les inciter à vérifier les faits avant publication. Des erreurs peuvent survenir, mais je dois dire que le titre choisi par l’Observateur ne me plaît pas du tout ».

Ticket à 200, 14 stations, intervalle des bus : Découvrez les dernières informations sur le BRT…

gouverneur de Dakar
gouverneur de Dakar

« 14 sur 23 stations » seront fonctionnelles pour le démarrage du Bus Rapid Transit (BRT) prévu ce mercredi. Ce lundi, lors d’une réunion de sécurité avec les partenaires et autres, dirigée par le gouverneur de Dakar, le directeur de la Cetud a annoncé une batterie de mesures pour accompagner le démarrage du BRT. C’est dans ce sens qu’il a informé qu’un commissaire a été nommé par le ministre de l’Intérieur, dédié à une unité uniquement pour la sécurité du BRT et des personnes.

Mor Talla Tine a d’abord appelé les usagers, la population et surtout les automobilistes à adopter les bonnes pratiques, car il sera moins toléré qu’un étranger dans l’espace du BRT. Ce, pour éviter les incidents sur le corridor du BRT et les collisions avec les autres véhicules aux intersections.

Dans la foulée, le directeur de la Cetud a déclaré qu’il y aura un lancement progressif du service de bus du BRT, avant de révéler que seules 14 des 23 stations seront fonctionnelles entre Guédiawaye et Petersen.

Il a également mentionné qu’il y aura une fréquence, c’est-à-dire un intervalle de 6 à 3 minutes entre les bus BRT qui fonctionneront de 6 heures du matin jusqu’à 21 heures.

En ce qui concerne les tarifs, déjà annoncés et variant entre 400 et 500 F CFA, le directeur Thierno Biram Aw a annoncé un tarif social. Il s’agit de 16% des usagers qui achèteront des tickets entre 250 et 200 F CFA.

Pour conclure, il a également affirmé que le BRT va générer 1000 emplois directs, dont seuls 700 ont été recrutés pour le moment.

Publication rapports : « Nous allons laisser la justice faire son travail. Mais si jamais… »(Moustapha Sarré)

Moustapha Sarré
Moustapha Sarré

Moustapha Sarré s’est prononcé sur la lenteur notée au niveau de la justice, suite à la publication des rapports des corps de contrôle. Le porte-parole du Gouvernement, sur la Rfm, soutient que le gouvernement laisse le soin à la justice de faire son travail sans pression…

Le porte parole du Gouvernement invoque, ainsi le principe de la séparation des pouvoirs. D’après lui, tout ce qu’ils peuvent faire, c’est de commanditer des audits et de laisser le soin à la justice de faire son travail.

« Nous croyons fermement que notre justice peut être indépendante et elle le sera. Aujourd’hui, c’est à la justice de voir quelle suite donner à ces rapports qui sont publiés par les institutions de la République… A mon niveau, à ce que je sache, aucun ordre de poursuite n’a été donné. Donc, nous allons laisser la justice faire son travail. Mais si jamais le procureur juge nécessaire de poursuivre des personnes pour faute grave, il le fera« , a assuré Moustapha Sarré.

Le president Bassirou Diomaye Faye annule un décret octroyant des salaires de 1.5 à 2,8 millions aux anciens ministres

Bassirou Diomaye Faye
Bassirou Diomaye Faye

Information Seneweb. Le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye a pris une décision qui ne va pas plaire aux anciens ministres. Selon nos informations, le président de la République a annulé un décret de dernière minute de son prédécesseur Macky Sall qui octroyait des salaires de 1.5 à 2,8 millions aux anciens ministres.

Pour rappel, il avait également annulé, dès son installation, beaucoup de décrets de nominations dans la magistrature.

Cérémonie de signature de partenariat du plus grand consortium de coaching humain : Le message de Dr Cheikh Diallo et Mme Mongia Argoubi

La cérémonie de signature du protocole d’accord entre le Dr Cheikh Omar Diallo, Fondateur et Président de EAO et la formatrice internationale de nationalité tunisienne Mongia Argoubi, accréditée en PNL et certifiée en nouveau code directement par John Grinder, Carmen Bostic St Clair et Michael Carro , s’est déroulée ce lundi 13 Mai 2024 à l’hôtel en marge du forum senegalo-tunisien, qui se tient actuellement au Sénégal.

C’est donc l’occasion rêvée , pour ses deux majors du coaching ,développement humain, pour assoir les bases d’un nouveau partenariat entre des personnalités qui ont déjà fait leurs preuves dans ce domaine. Au micro de Sanslimitesn.com, Dr Cheikh Oumar Diallo a dit toute sa satisfaction après la signature de ce partenariat Win Win entre EAO Dakar et Mongia Argoubi ,qui est une figure de proue du coaching et du training en Tunisie. Cette dernière ,répondant à la question de notre correspondante, a aussi magnifié ce partenariat innovant entre ces entités, Cela témoigne du leadership Africain en matière de coaching humain, a t-elle conclu devant la Journaliste de Sanslimitesn.com . Nul doute que ce consortium sera d’ici quelques années, la référence dans ce domaine au combien stratégique avec la recomposition de la géopolitique mondiale avec l’Afrique, un continent stratégique dans l’influence des relations internationales entre les pays occidentaux et ceux de l’est mais aussi ,la chine voire l’inde …
Sanslimitesn.com

PRODAC : La cour des comptes rouvre le dossier

Dans son rapport définitif du contrôle de la gestion 2018-2021 du Programme des domaines agricoles communautaires (PRODAC), la Cour des comptes a fait état d’une mission de vérification du contrat liant l’Etat du Sénégal à l’entreprise israélienne Green 2000, réalisatrice des Domaines agricoles communautaires (DAC) de la première phase, une mission conduite en 2017 par l’Inspection générale des Finances (IGF).

Cette révélation remet en question la thèse de l’absence du rapport de l’Inspection générale des finances sur le PRODAC à l’origine de la condamnation de Ousmane Sonko.

Va-t-on tout droit vers une réouverture ou révision du procès en diffamation opposant l’ancien ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, à l’actuel Premier ministre, Ousmane Sonko et dont la condamnation à six mois avec sursis et 200 millions de dommages et intérêts est à l’origine de l’invalidation de la candidature de ce dernier à la dernière élection présidentielle du 24 mars dernier?

Parti REWMI: Ass Babacar Gaye lâche Idrissa Seck

Le parti de l’ancien président du conseil économique social et environnemental risque gros. C’est un haut responsable du parti qui décide de claquer la porte. Ass Babacar Gueye n’est plus mandataire d’Idrissa Seck.

« Après une tournée de 10 jours au niveau de mon Nguith natal dans le Walo, et après avoir écouté avec attention mes parents, mes amis, ainsi que mes militants, et après avoir informé  dans la douleur, le President Idrissa Seck, j’ai décidé de démissionner du Parti Rewmi à partir de ce jour pour convenance personnelle » déclare Ass Babacar Gaye dans d’un communiqué. 

Avec Idrissa Seck, Ass Babacar GUEYE a occupé les postes de Secrétaire national chargé des élections de Rewmi, de Chef de cabinet de Oumar Gueye,  Ministre de l’hydraulique et de l’assainissement en 2012, de chef de cabinet de Idrissa Seck, en tant que Président du Conseil économique, social et environnemental. Il a aussi été mandataire national du candidat Idrissa SECK aux élections présidentielles de 2019 et celle de 2024 ; et ex-responsable communal de Rewmi à Nguith et deuxième aux élections municipales de 2022 dans ladite commune. (département de Dagana).

Ass Babacar Gaye remercie le leader de Rewmi, Idrissa Seck et l’ensemble des responsables et militants de Rewmi, avec qui, il a cheminé pendant 15 ans.

Basket- BAL 2024: Diomaye Faye et Paul Kagame ovationnés à Dakar Arena

Les Présidents Bassirou Diomaye Faye du Sénégal et Paul Kagamé du Rwanda sont venus à Dakar Arena pour assister à la dernière journée de la conférence Sahara de la saison 4 de la Basketball Africa League (BAL).
Le Chef de l’État rwandais a profité de sa visite officielle au Sénégal pour prendre part, avec son homologue sénégalais, à ce tournoi initié par Nba. Ils ont été ovationnés à leur arrivée dans la salle. Les rencontres de cette journée opposent Rivers Hoopers du Nigeria à l’Us Monastir et Apr du Rwanda à l’As Douanes. 

UIJA : Le Trophée Myriam Makéba attribué à Ousmane Sonko

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Le Trophée Myriam Makéba est décerné au leader du parti Pastef-Les patriotes. «L’héritage et le message de Myriam Makéba, icône panafricaniste et humaniste, résonnent de manière particulière dans ce paysage en mutation du continent africain. Ses idéaux de solidarité, d’unité et de progrès inspirent les jeunes leaders africains comme Ousmane Sonko, qui œuvrent pour un avenir meilleur pour leur pays et pour l’Afrique dans son ensemble. C’est donc avec conviction et reconnaissance que les membres du jury ont décidé d’attribuer le Trophée Myriam Makéba de l’Union internationale des journalistes africains (UIJA) au Premier Ministre du gouvernement sénégalais », a-t-on annoncé dans le dossier de presse de ladite union, parcouru, ce dimanche 12 mai.
La cérémonie de remise de trophée est prévue le 18 mai 2024 à Paris (France). «Elle sera l’occasion de célébrer et de saluer les efforts et les réalisations remarquables de Ousmane Sonko, tout en soulignant l’importance cruciale de soutenir et de promouvoir le talent et l’innovation en Afrique. Cette version étendue met en valeur le contexte et l’importance de la remise du trophée, tout en soulignant l’impact positif des actions de Ousmane Sonko et l’héritage de Myriam Makéba dans le paysage africain contemporain », ajoute-t-on.
Les membres de l’UIJA ont fait savoir que «dans un contexte où l’évolution socio-politique de l’Afrique est marquée par l’émergence d’une nouvelle génération imprégnée de valeurs telles que le bon sens, le sérieux et une vision novatrice du développement économique, le Premier Ministre sénégalais, incarne parfaitement cette dynamique ».
Par ailleurs, les journalistes ont renseigné que «cette distinction vise à mettre en lumière son engagement en faveur du développement économique, social et culturel de son pays, ainsi qu’à encourager les créateurs, les inventeurs, les penseurs et les bâtisseurs africains qui partagent sa vision et son dévouement ». 

Exploitation des ressources gazières: Petrosen annonce la bonne nouvelle

L’Unité flottante de production et de stockage de gaz (Fpso) est arrivée, le samedi 11 mai, sur le champ Gta (Grande Tortue Ahmeyim) à la frontière sénégalo-mauritanienne. L’annonce est faite par Petrosen Holding, qui souligne que la Tpso a accosté après six jours de voyage depuis les iles Canaries de Las Palmas (Tenerife).

À travers un communiqué de presse, elle rappelle que le Fpso fait partie des éléments essentiels pour la production du gaz du projet Gta, étant une pièce déterminante dans sa mise en œuvre.
« Débuté en 2019 en Chine, le Fpso de Gta, dont la construction a été impactée par la Covid-19, a quitté les chantiers de Cosco en janvier 2023 pour des travaux supplémentaires dans les chantiers de Sembcorp, à Singapour. Après un stop programmé à l’ile Maurice, il a fait une escale technique au Yard d’Hidramar de Tenerife, pour complétion d’un certain nombre de travaux, pour plus de sécurité dans la production », souligne-t-on.

Le communiqué relève qu’« achevé actuellement à 92,5 %, le reste des activités sera complété dans les eaux sénégalo-mauritaniennes où le Fpso sera mis en service en vue de la production du gaz ».

À en croire Petrosen, cette mise en service est une étape importante durant laquelle il y aura, d’abord, l’interconnexion avec les différents équipements sous-marins avant le démarrage de cette usine flottante.

Pour rappel, le Fpso sert à faire un premier traitement du gaz pour séparer ce dernier d’autres éléments qui l’accompagnent durant la production, notamment l’eau et le condensat. Lors de ce prétraitement, le gaz traverse différents modules de stabilisation et de conditionnement qui permettent d’avoir un produit qui répond aux normes et spécifications d’export vers le hub-terminal. 

Tournée dans les pays de l’AES : Moustapha Diakhaté souhaite que Sonko ne rencontre pas les présidents putschistes

chef de l'Etat, Bassirou Diomaye Faye sera en visite
chef de l'Etat, Bassirou Diomaye Faye sera en visite

Le parti Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF) compte aller à la rencontre de « partenaires politiques » dans des pays notamment dirigés par des présidents qui sont arrivés au pouvoir après des coups d’État, comme le Niger, le Mali, le Burkina et la Guinée. 

Pour Moustapha Diakhaté, la démarche politique ne pose pas de problème. Toutefois, il « souhaite qu’il (Ousmane Sonko) ne rencontre pas les chefs d’État putschistes ». 

Pour l’ancien parlementaire, « les relations entre États, c’est du domaine régalien du président de la République ». « Il ne peut pas y avoir de diplomatie parallèle », a-t-il poursuit.

De la même manière, l’ancien parlementaire souhaite que Mélenchon, dont la visite a été annoncée par le Pastef, ne soit pas reçu par le président de la République, comme il dit n’avoir pas souhaité que « Marine Le Pen soit reçue par le président Macky Sall ». 

Pour autant, Moustapha Diakhaté semble ne pas avoir d’appréhension par rapport à la réaction probable de l’Élysée, si le leader de la France Insoumise arrivait à rencontrer le président Faye. Il estime que « ce n’est pas à l’Élysée de fixer l’agenda du président de la République ».

Sénégal-Tunisie: Le tandem Dr Cheikh Omar Diallo Fondateur de EAO- Mongia Argoubi lance un ambitieux consortium pour booster le capital humain africain. EXCLUSIF 

Deux noms africains bien connus, Mongia Argoubi et Dr Cheikh Omar DIALLO, dans le monde du coaching et du training, vont lancer à Dakar (capitale sénégalaise) ce lundi 13 mai, un consortium pour renforcer le capital humain du continent. 

Selon des informations exclusives obtenues par Confidentiel Afrique ce dimanche 12 mai 2024, la formatrice internationale de nationalité tunisienne Mongia Argoubi, accréditée en PNL et certifiée en nouveau code directement par John Grinder, Carmen Bostic St Clair et Michael Carro s’est associée avec le Sénégalais Dr Cheikh Omar Diallo, Fondateur et Président de EAO pour la mise en place d’un ambitieux consortium, spécialisé dans le coaching, le training et la formation du capital humain africain. Selon des sources crédibles, ce tandem hautement stratégique entre la prestigieuse école d’art oratoire et de leadership EAO qui prend incontestablement de l’épaisseur, drivée par le talentueux communicant sénégalais, Dr Cheikh Omar DIALLO et cette figure emblématique du coaching en Tunisie, Madame Mongia Argoubi se veut un partenariat win-win, ouvert aux métiers émergents et pointus arrimés aux standards du coaching international et de l’art oratoire.

Notoriété et influence de EAO

Cette ouverture vers d’autres marchés en Afrique du Nord atteste encore une fois de la notoriété et de l’influence de EAO, que dirige avec brio, le sénégalais Cheikh Omar DIALLO auprès des gouvernements, des décideurs et des leaders africains.

Photo: Mongia Argoubi, formatrice tunisienne en coaching 

Des informations de Confidentiel Afrique renseignent que la cérémonie de signature du consortium est prévue ce lundi 13 mai dans un hôtel de la capitale sénégalaise en présence de l’ambassadeur de la République de Tunisie au Sénégal.

Pour rappel, la Tunisienne Mongia Argoubi est une figure de proue du coaching et du training. Elle bénéficie de la reconnaissance de L’ITCA, académie internationale des formateurs en coaching par le PNL qui l’a sélectionnée en qualité de formatrice internationale accréditée en PNL et certifiée en nouveau code directement par John Grinder, Carmen Bostic St Clair et Michael Carroll, pour co-animer le « NLP Around the World » un programme de haut niveau de certification en The International Coaching with New Code NLP, donné simultanément sur quatre continents à travers des sites satellites.

Par Hippolyte GOURMANTIER (Confidentiel Afrique)

Le BRT roulera ce mercredi 15 mai, les prix des billets dévoilés par le ministre El Malick Ndiaye

À partir du mercredi 15 mai 2024, les habitants de Dakar auront accès à une nouvelle façon de se déplacer avec l’introduction des bus BRT (Bus Rapid Transit) 100% électriques. Ces nouveaux véhicules, opérant sur la ligne reliant Guédiawaye au centre-ville de Dakar, offriront aux usagers une alternative écologique et efficace pour leurs déplacements quotidiens.

Ce service innovant est une réponse aux défis environnementaux et de mobilité urbaine auxquels la ville est confrontée. En optant pour des bus entièrement électriques, Dakar s’engage dans une transition vers des transports publics plus durables, contribuant ainsi à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à améliorer la qualité de l’air.

La tarification du BRT sera basée sur un système de zones, similaire à celui déjà en place pour les bus TATA. Un aller simple sera facturé 400 Fcfa pour un trajet effectué dans une même zone, tandis qu’un trajet traversant une ou deux limites de zones coûtera 500 Fcfa. Cette tarification progressive encourage les déplacements courts tout en offrant une flexibilité aux usagers qui se déplacent sur de plus longues distances.

La flotte de BRT sera composée de 158 bus articulés d’une longueur impressionnante de 18 mètres. Ces véhicules spacieux peuvent accueillir jusqu’à 150 passagers, dont 55 peuvent bénéficier de places assises, garantissant ainsi un confort optimal même aux heures de pointe.

Paul Kagame est arrivé à Dakar

Le président de la République du Rwanda Paul Kagame est arrivé à l’aéroport militaire Léopold Sédar Senghor de Yoff ce samedi pour une visite de travail.

À sa descente d’avion, le Président rwandais a été chaleureusement accueilli par le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, avec tous les honneurs militaires.

Le Président Kagame va durant cette visite de travail de 48 heures avoir des entretiens avec le Chef de l’État dans le but de renforcer les relations d’amitié fraternelle et de coopération conviviale entre les deux pays.

État des lieux de la FAAP : Le president Mamadou Gomis se prononce

FAAP
FAAP

Ce vendredi 10 mai 2024, se termine à Las Palmas Gran Canaria/Espagne, l’exposition intitulée « El grito interior ». Abritée par le siège de la Casa África, institución de diplomacia pública, cet événement est juste une étape dans la réalisation de ce projet dit « El grito interior », initié par la Fédération africaine sur l’art photographique (FAAP).

Depuis six ans, en effet, nous avons mis en place un projet d’Art Photographique porté sur la violence basée sur le genre. Durant ces six années, nous avons eu le privilège d’accueillir plus de cinquante photographes de neuf (9) pays d’Afrique et d’Europe. Ils ont contribués à travers des ateliers de formation, des expositions, des visites guidées, des rencontres, des conférences, des tables-rondes, des publications de catalogue, etc.

Avec de jeunes photographes africains et européens, des partenaires qui célèbrent l’Art Photographique mais aussi des collaborations avec des personnes ressources spécialisées sur la violences basée sur le genre, nous avons relevé un défi. Un sentiment d’un devoir accompli à travers plusieurs étapes dans plusieurs villes d’Afrique et d’Europe. Aussi, un plaisir pour nous FAAP, présidée le Sénégalais Mamadou Gomis, président/Fondateur de notre Fédération africaine sur l’art photographique, de poursuivre le travail.

Les événements de la FAAP sont ouverts à toutes et à tous pour instruire et construire ensemble l’avenir du secteur d’Art Photographique. Un excellent moyen d’échanges et de partage d’expériences pour la réalisation d’œuvres photographiques pertinentes et artistiques dans une approche qui met en valeur l’Afrique.

« Vivre » l’Afrique ou visiter l’Afrique pour une image n’est-ce pas une excellente idée !

La FAAP

LaFaap

AIBD : Cheikh Bamba Dièye, dans ses nouvelles responsabilités, prêt à prendre des mesures audacieuses

Cheikh Bamba Dièye
Cheikh Bamba Dièye

Cheikh Bamba Dièye est entré  ce vendredi dans ses nouvelles responsabilités à la tête de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD) avec détermination et engagement.

Sa reconnaissance envers les plus hautes autorités du pays ainsi que son enthousiasme à travailler avec son équipe pour relever les défis à venir sont des signes positifs pour l’avenir de l’aéroport.

Son engagement à apporter de nouvelles idées et initiatives est essentiel dans un environnement en constante évolution tel que celui de l’aviation. En travaillant en étroite collaboration avec son équipe et en saisissant les opportunités qui se présentent, Cheikh Bamba Dièye  dit contribuer à renforcer la position de l’AIBD en tant que hub aérien majeur dans la région.

Ainsi, Cheikh Bamba Dièye est prêt à prendre des mesures audacieuses pour améliorer les services et l’efficacité des infrastructures aéroportuaires.

Clédor Sène : « Ils cherchent tous à fuir, ils passent par la Gambie… Macky Sall doit être convoqué »

Clédor Sène
Clédor Sène

L’ activiste sénégalais, Clédor Sène, a exprimé son mécontentement concernant la gestion des affaires de l’ancien président Macky Sall et d’autres responsables de son régime par le gouvernement actuel. Dans une interview donnée sur la chaîne YouTube Sénégal 7 le jeudi 9 mai 2024, Clédor a critiqué le départ de Macky Sall du pays et l’absence de convocations pour les responsables impliqués dans des affaires de corruption.

Selon Clédor Sène, “Le gouvernement se trouve devant un impératif : il doit convoquer l’ex-président Macky Sall, car c’est une exigence nationale. Cette convocation est perçue comme une demande sociale et populaire, un espoir des populations de voir l’ex-président répondre de ses actes. Honnêtement, lorsque je l’ai vu partir dans son avion, j’étais profondément désolé, car son départ complique sensiblement la tâche.”

L’activiste a également souligné que plusieurs responsables de l’ancien régime utilisent diverses stratégies pour fuir le Sénégal, telles que passer par des pays frontaliers ou profiter de voyages religieux. “De plus, je constate que certaines personnes trouvent des stratégies pour s’évader, en passant par la Gambie ou en profitant des soi-disant Oumra à la Mecque. Il semble que tous cherchent à fuir. Pourquoi attendons-nous pour les convoquer? Les rapports sont publiés, et il y a suffisamment de matière pour engager des procédures de condamnation. Sachez simplement qu’ils sont nombreux à s’enfuir.”

M. Sène a également mentionné que les responsables incriminés sont conscients de la gravité de leurs actes et ont donc choisi de quitter le Sénégal pour refaire leur vie à l’étranger, abandonnant leurs biens immobiliers. “D’ailleurs, il est important de comprendre qu’ils ont préféré abandonner leurs biens immobiliers pour échapper à l’emprisonnement, emportant avec eux des milliards. Ils ont les moyens de refaire leur vie à Dubaï, au Canada ou ailleurs. Ils n’auront aucune difficulté à mener une belle vie là-bas, conscients que, vu les récits des jeunes libérés de prison, cet endroit n’est pas fait pour eux.”

Clédor Sène s’est exprimé sur ces sujets lors d’une interview sur la chaîne YouTube Sénégal 7, ce jeudi 9 mai 2024. Il est une figure controversée, notamment depuis son implication présumée dans l’assassinat de Maître Babacar Sèye, le 15 mai 1993, un crime qui a engendré de nombreuses polémiques au Sénégal. Malgré sa condamnation à l’époque, il a bénéficié d’une loi d’amnistie votée par le président Abdou Diouf.

Cas Ismaila Madior Fall : Le SAES clarifie la situation à l’UCAD

Ismaila Madior Fall
Ismaila Madior Fall

Dans un communiqué, le Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) réfute catégoriquement les rumeurs « persistantes » concernant une prétendue entorse aux règles de l’UCAD dans l’établissement de l’IFAN, les qualifiant d’« informations non fondées, car non étayées ». Selon le syndicat, ces allégations ne peuvent remettre en question le droit des enseignants-chercheurs ou chercheurs à faire une demande d’affectation dans un établissement de l’UCAD.
La Coordination SAES de Dakar informe qu’à ce jour, aucune procédure n’a été engagée à l’IFAN ni examinée par le comité scientifique de l’institut, seule autorité compétente pour émettre un avis sur le détachement d’un enseignant ou l’affectation d’un chercheur dans un établissement d’enseignement ou de recherche.
Le communiqué rappelle le décret 84-1184 du 13 octobre 1984, selon lequel « Des membres du personnel enseignant des facultés peuvent être affectés à l’IFAN pour une durée de trois ans renouvelables », et insiste sur le fait que la procédure prévue par ce décret n’a pas encore été enclenchée.
Concernant l’affaire du « camarade » Ismaila Madior Fall, la noté renseigne que le directeur de l’IFAN aurait simplement informé l’Assemblée d’établissement lors de sa session du mardi 30 avril 2024, en attendant le déclenchement de la procédure conformément à l’article susmentionné.
Le SAES exprime son indignation face aux « délits d’opinion » dirigés contre Ismaël Madior Fall en rappelant qu’il a déjà été réintégré dans ses fonctions de Professeur titulaire à la FSIP. Le syndicat insiste sur le respect de la liberté accordée à tout enseignant-chercheur dans la gestion de sa carrière.
Le communiqué laisse à la discrétion du comité scientifique de l’IFAN, une fois saisi officiellement, le soin de prendre les décisions appropriées sur l’acceptation ou non du collègue concerné. Le SAES en appelle à la retenue de la communauté universitaire pour éviter que l’UCAD ne devienne un enjeu politique ou un terrain de règlement de comptes personnel. Il réaffirme également son engagement à défendre les intérêts matériels et moraux des militants et à veiller à l’application des textes régissant la communauté universitaire.

Vidéo – Forte décision de Pape Alé “Bountou RTS oubil nako niep pouvoir comme opposition..”

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Macky Sall : « Mes 12 années à la tête du Sénégal… »

Macky
Macky

Désormais ex Président de la République du Sénégal, le Président Macky Sall arbore son nouveau costume d’envoyé spécial du Pacte de Paris pour les peuples et la planète, a fait une tribune ce jeudi. Celle-ci est surtout consacrée à la posture institutions financières mondiales vis à vis de nos pays africains, surtout. Pour lui, le système financier international aggrave les inégalités alors qu’il doit mieux répondre aux besoins des pays en développement.

« Lorsque je réfléchis à mes douze années passées à la tête du Sénégal, une leçon prévaut : le système financier international est défavorable aux pays en développement comme le mien.

Quelle que soit la solidité de nos politiques économiques, nous sommes considérés comme un pari risqué. Notre accès aux capitaux est à la fois restreint et excessivement cher. Nos politiques fiscales et monétaires sont dictées, en fait, par des banques centrales lointaines. Et lorsque nous essayons de protester, nous découvrons que nous n’avons pas de voix.

Il a fallu une pandémie et l’implosion économique qui s’en est suivie pour que ces failles apparaissent au grand jour. Cela a conduit les Nations unies et le Fonds monétaire international (FMI) à appeler à un nouveau « Bretton Woods » : une réforme en profondeur des institutions financières internationales.

Quatre ans plus tard, alors que le Covid est sous contrôle et qu’une reprise économique mondiale fragile est en cours, le zèle réformateur risque de s’estomper à mesure que le sentiment d’urgence s’estompe.
Mais pour la plupart d’entre nous dans le monde en développement, ces efforts ont été insuffisants. Les multiples crises auxquelles nous sommes confrontés n’ont pas disparu. Rien qu’au cours des trois dernières années, dix pays en développement ont connu 18 défaillances souveraines, soit plus que toutes les défaillances de dettes des deux décennies précédentes réunies.

Les inégalités mondiales continuent de se creuser

Selon la Banque mondiale, 60 % des pays à faible revenu présentent un risque élevé de surendettement ou y sont déjà confrontés. Les paiements d’intérêts de ces pays ont quadruplé au cours des dix dernières années, alors que les taux d’intérêt mondiaux ont grimpé en flèche.

Pour honorer le remboursement de leur dette, les pays à faible revenu réduisent leurs dépenses en matière d’éducation, de santé et d’autres services publics. Ce faisant, ils sacrifient également leur droit à un avenir meilleur.

L’Afrique paie aujourd’hui davantage en service de la dette qu’elle n’a besoin d’investir dans la résilience climatique, estimée à 50 milliards de dollars par an. La dette extérieure de l’Union européenne a atteint 824 milliards de dollars en 2021, les pays consacrant 65 % de leur PIB au service de ces obligations.

Lors des réunions de printemps de la Banque mondiale et du FMI cette année, le FMI a averti que les inégalités mondiales se creusaient et que « les pays les plus pauvres prenaient encore plus de retard ».
Il est plus urgent que jamais de rendre le système financier international plus équitable, plus sensible aux besoins réels des pays en développement et plus représentatif de la communauté mondiale.

L’année dernière à Paris, lors d’un sommet mondial convoqué par le président français Emmanuel Macron, 32 pays, dont le Sénégal, se sont mis d’accord sur le Pacte de Paris pour les peuples et la planète (P4).

Nos objectifs sont clairs : créer un monde où la pauvreté a été éradiquée et la planète préservée, et où les pays vulnérables sont mieux armés pour faire face aux crises. Pour ce faire, nous visons à mobiliser toutes les sources de financement, et c’est pourquoi la réforme du système financier international est une priorité.

Nous savons que de nombreuses institutions partagent nos objectifs et nous ne souhaitons pas reproduire leurs efforts. Au lieu de cela, nous préconisons une nouvelle approche, que j’appelle le « multilatéralisme inclusif ».

Nous cherchons à rassembler le plus grand nombre de pays possible, de tous les continents et de tous les niveaux de revenus, en surmontant les divisions – Est contre Ouest, Nord contre Sud, verts contre pollueurs – qui ont gâché les initiatives dans le passé.

Réécrire les règles de la finance mondiale

En tant que plateforme, nous pouvons d’ores et déjà faire état de certains progrès. Par exemple, notre campagne en faveur d’une plus grande participation des pays en développement à la gouvernance des institutions financières internationales est prise en compte.

En octobre dernier, les membres du FMI ont approuvé l’élargissement de son conseil d’administration à un troisième représentant de l’Afrique sur 25, ce qui contribuera à renforcer la voix du continent dans les affaires économiques et financières.

Mais il reste encore beaucoup de chemin à parcourir.

Nous encourageons également les gouvernements à exiger des critères objectifs, transparents et mesurables pour l’évaluation du risque souverain par les agences de notation.

Les recherches menées par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) montrent que ces agences attribuent systématiquement des notes de risque plus élevées aux pays pauvres, sans tenir compte des réalités économiques sur le terrain.

Cela a conduit à une situation où, en moyenne, les pays africains paient leurs emprunts quatre fois plus que les États-Unis et huit fois plus que les économies européennes les plus riches. Notre accès au financement du développement et du climat dépend de la fin de cette discrimination financière.

Un autre objectif est d’attirer au moins un euro de financement privé pour chaque euro de financement public consacré au développement, au climat et à la nature.

Nous invitons d’autres pays à rejoindre le Pacte de Paris afin de réécrire les règles de la finance mondiale, de donner aux pays en développement un plus grand poids dans les institutions financières internationales et de mobiliser des fonds pour une croissance durable.

Nous espérons ainsi créer un nouvel ordre financier mondial et inclusif, adapté au XXIe siècle.

Thérése Faye Diouf à Cheikh Bara Ndiaye : « Attends ta citation… »

L’ancienne ministre et ex Directrice générale du FONGIP a qualifié le membre de la coalition Diomaye Président, également chroniqueur de « mécontent et de menteur ».

Thérèse Faye Diouf n’a pas mâché ses mots pour exprimer son mécontentement à l’égard des commentaires et des positions de Cheikh Bara Ndiaye. Elle a même menacé de lui servir une citation directe en justice, déclarant : « À toi Bara Ndiaye, attends ta citation directe comme tu es un éternel mécontent et menteur ! Tu auras à faire à moi Thérèse Faye ».

Dans un autre post, Thérèse Faye Diouf a enfoncé le clou : « Tu veux la guerre, tu l’auras. Au lieu d’aller solutionner les problèmes des Sénégalais, tu passes tes journées dans les plateaux à salir des personnes qui, dit-elle, ont servi la « République avec dignité et abnégation. »

Le CORED condamne fermement les pratiques non recommandables d’Aissatou Diop Fall

Voici le communiqué de presse:

Abdoulaye Saydou Sow: «Macky Sall voulait changer de candidat lors de la présidentielle»

Invité de Maïmouna Ndour Faye de la chaîne privée 7Tv, l’ancien ministre a confirmé ce que beaucoup d’observateurs de la scène politique avaient constaté : Macky Sall voulait changer de candidat. Après le report de l’élection présidentielle, le Président Macky Sall voulait changer de candidat. La confirmation a été faite par Abdoulaye Saydou Sow, ancien ministre de l’Urbanisme et actuel maire Bby de kaffrine, qui déclare avoir tenté d’en dissuader son leader, Macky Sall. 

Amadou Ba, le candidat malheureux de Benno bokk yaakaar (Bby), n’a pas reçu le soutien escompté du Président Macky Sall. Certains acteurs et observateurs de la scène politique ont même affirmé que Macky Sall roulait pour le camp de l’opposant d’alors et candidat Bassirou Diomaye Faye. Une affirmation que Abdoulaye Saydou Sow, responsable de la coalition présidentielle et ancien ministre de l’Urba­nisme, du logement et de l’hygiène publique, semble confirmer.

«Le Président n’a jamais dit qu’il lâchait Amadou Ba. Autant pour moi, il me l’a dit une seule fois. Un lundi, il m’a convoqué, m’a dit ce qu’il reprochait à Amadou et qu’il voudrait changer de candidat. Je lui ai dit mon avis, c’est-à-dire qu’il faut continuer avec Amadou, parce que c’est la meilleure solution, même si je m’en remettais à toute décision qu’il prendrait.

D’abord parce qu’il a été investi candidat, ce que rien ne pourrait remettre en cause.  Il m’a dit : «Je vais consulter les autres et je prendrai la décision mercredi, en Secrétariat exécutif national»», a révélé Abdoulaye Saydou Sow.

Après le saccage de son véhicule, Pape Sidy Fall démasque enfin ses malfaiteurs

Après avoir visionné les caméras de surveillance, Pape Sidy a montré l’auteur du vandalisme de son véhicule . D’ailleurs, il sollicite au grand public de l’aider à trouver son malfaiteur.

Voici la vidéo : https://www.facebook.com/100044150393658/posts/1018947556253581/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v