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Vidéo: Après les incd€nts, Khadim Ndiaye avertit le camp de Sa Thiès « lamb ji dou égu souniou défé… »

Après les incd€nts, Khadim N’diaye avertit le camp de Sa Thiès « lamb ji dou égu souniou défé… »

Touba: Les images de la visite de Serigne Abdou Karim chez Serigne Cheikh Bassirou Abdou Khadr(Photos)

Le porte-parole du khalife général des mourides a eu un visiteur de marque, ce samedi 25 février 2023. En effet, Serigne Abdou Karim Mbacké Falilou a effectué une visite de courtoisie auprès de Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr, a appris Seneweb.
Un accueil chaleureux, empreint de convivialité qui traduit les excellentes relations entre ces deux hommes de Dieu, a été réservé au fils de Serigne Fallou Mbacké par Cheikh Bassirou.
Regardez les images de la visite :

Vidéo – C’est Chaud 🔥: Grosse dispute entre Saliou Gueye et Pape Malick Ndour“waxo Deugu li nga wax

https://youtu.be/FHgXBV5B_qg

Le lutteur Eumeu Séne à la Mecque (Vidéo)

Sabar Sargal Wally arrêté par la police, regardez les réactions surprenantes de Wally et Mbaye Sy (Vidéo)

Présidentielle 2024 : Mamoudou Ibra Kane candidat ?

Mamoudou Ibra Kane :
Mamoudou Ibra Kane :

Mamoudou Ibra Kane, le patron de Emedia Invest sera candidat à la prochaine élection présidentielle de 2024. Selon des informations du Site Dakarleaks,le journaliste a pris la décision depuis longtemps et travaille sur des stratégies pour arriver à ses objectifs.
Le journaliste sénégalais Mamoudou Ibra Kane, très connu dans le monde médiatique, a décidé de quitter la presse et de se lancer en politique. Le patron du groupe de Presse Emedia Invest a pris la décision de faire de la politique comme tout bon citoyen, renseigne Dakarleaks

La stratégie de lancement est déjà en cours de déploiement, il va d’abord créer un mouvement citoyen qui sera sa porte d’entrée sur la scène politique.

D’ailleurs, pour confirmer cette information, le mouvement aura pour nom “Demain, c’est maintenant”. Mamoudou compte s’allier avec l’autre Mamadou Ndiaye, Directeur de la Communication, du Numérique et du Pôle Edition du groupe E-Media.

Selon Seneweb, ce mouvement sera lancé ce samedi 25 février.

Avec Senegal7

Vidéo – Fou Malade : « Déthié Fall pourrait remplacer Sonko à l’élection présidentielle »

Congrès de l’AIPS/Afrique: Abdoulaye Thiam nouveau président de la presse sportive africaine

Le Sénégal sur le toit de la presse sportive africaine après l’élection, ce samedi, de Abdoulaye Thiam comme Président de l’Association Internationale de la Presse Sportive (AIPS/Afrique). En effet, le Marocain Mourad Moutaouakil, l’autre candidat au poste de Président, a décidé de retirer sa candidature au profit du Sénégalais.

Le président de l’Association Nationale de la Presse Sportive du Sénégal (ANPS) succède ainsi au Nigerian Mitchell Obi.

Le 7e congrès de ladite association se tient à Dakar depuis le jeudi 23 février.

https://t.co/ch0FHBAtcb

(Vidéo) Imam Dramé à Bamba Kassé « Tu n’es pas courageux, assumes ta position politique »

bamba kassé
bamba kassé

(Vidéo) Serigne Saliou Gueye « Macky Sall n’est pas dans une dynamique de d’apaisement »

Serigne Saliou Gueye "Macky Sall
Serigne Saliou Gueye "Macky Sall

Émouvant : La fille de Pape Bouba et de Salif Diao se rencontrent pour la 1ère fois et…

fille de Pape Bouba et de Salif Diao
fille de Pape Bouba et de Salif Diao

La femme du footballeur international sénégalais Pape Bouba Diop est à Dakar pour remettre les trophées de son défunt mari au Musée sis au state Abdoulaye Wade de Diamnadio.

Sa fille Awa Diop était également à ses côtés. Sur les lieux, elle a rencontré la fille de l’international sénégalais Salif Diao. Une amitié est née !

Regardez :

Le fils de Pape Bouba Diop raconte sa progression à Génération Foot et dévoile ses ambitions…

fils de Pape Bouba Diop
fils de Pape Bouba Diop

iGFM (Dakar) Aaron fils de Feu Pape Bouba Diop, raconte sa progression à l’Académie Génération Foot où il évolue depuis le décès de son père. Dans cet entretien, il dévoile également ses ambitions pour le Sénégal qu’il compte défendre à l’occasion de la prochaine Coupe du monde U17 si jamais les cadets se qualifient.

(Vidéo) T£nsion Politique: Serigne Saliou Gueye tire à boulets rouges sur Macky Sall « Begoul Dialogue »

Serigne Saliou Gueye tire à boulets rouges sur Macky Sall
Serigne Saliou Gueye tire à boulets rouges sur Macky Sall

(Vidéo) Ca chauffe entre Kader APR et Moustapha Sarré Pastef « xamnga mag bou reew nimou mel rek…. »

Kader APR et Moustapha Sarré Pastef
Kader APR et Moustapha Sarré Pastef

(Vidéo) Imam Khadim Bousso lance des piques à Sonko : « Biir Touba lagnou commencer yakeu yi »

Imam Khadim Bousso :Sonko
Imam Khadim Bousso :Sonko

(Vidéo) Moustapha Sarré sur les Insultes faites aux Chefs Religieux « Pouvoir Bi Mooy Diabolisé wa Pastef »

Moustapha Sarré sur les Insultes faites aux Chefs Religieux
Moustapha Sarré sur les Insultes faites aux Chefs Religieux

(Vidéo) Cheikh Ousmane Touré charge le « Macky »: « Lenn Rek Lagne Beug Moy Moy SONKO inéligible en 2024 »

CHEIKH OUSMANE TOURÉ:MACKY
CHEIKH OUSMANE TOURÉ:MACKY

Magistrature : Les révélations troublantes Serigne Saliou Gueye sur la Nomination du Juge Amadou Diouf

Magistrature : Serigne Saliou Gueye
Magistrature : Serigne Saliou Gueye

(Vidéo) Amira Abed dévoile la face cachée de son Amour « Bimako Nobé Mako Charmé après mou Niew /Regardez

Amira Abed dévoile la face cachée de son Amour
Amira Abed dévoile la face cachée de son Amour

Conseil supérieur de la magistrature : l’ancienne présidente de l’Ofnac, Seynabou Ndiaye Diakhaté rétrogradée

Seynabou Ndiaye Diakhaté
Seynabou Ndiaye Diakhaté

Seynabou Ndiaye Diakhaté, après avoir quitté l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) a été détachée à la Présidence de la République. Selon ‘’SourceA’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce vendredi, elle a été nommée, lundi dernier, conseillère à la Cour Suprême.

Un poste peu reluisant, vu la carrière de celle qui a dirigé une Institution nationale. En effet, l’Office national de lutte est dans l’ordre protocolaire très relevé. Seynabou Ndiaye Diakhaté, avant d’atterrir à l’Ofnac, était, précédemment conseillère à la Chambre administrative à la Cour suprême.

Mauvaise nouvelle pour Macky – Bougane ,Mimi , rejoignent Guy et YAW le combat contre le 3e Mandat

Bougane ,Mimi , rejoignent Guy et YAW
Bougane ,Mimi , rejoignent Guy et YAW

Yewi Askan wi et Gueum Sa Bopp vers une plate-forme commune pour lutter contre le troisième mandat de Macky Sall….

Le Président Bougane a reçu ce jour plusieurs organisations dont Yewi (Président Habib Sy, Cheikh Tidiane Youm), FRAPP (Honorable Guy Marius Sagna), Mouvement Mimi 2024 (honorable Aminata Touré), LD Debout (Abdoulaye Bathily), (Mohamed Ndiaye) Awale .

Ce groupe de contact de la plateforme contre le 3e mandat répond à une vieille requête du Président de la coalition Gueum Sa Bopp pour faire face à Macky Sall.

La Grande coalition Gueum Sa Bopp s’engage aux côtés des forces vives pour barrer la route à Macky Sall et l’obliger à organiser une élection Présidentielle libre et transparente.

De Bougane Gueye Dany

(Vidéo) Les graves accusations de Ibrahima Pouye « Sonko moofi waxoon Macky Sall amna droit def 3éme mandat »

Ibrahima Pouye

Adji Mbergane Kanouté insulte YAW : « Les députés de l’opposition sont des ignorants »

Adji Mbergane Kanouté
Adji Mbergane Kanouté

Le sit-in organisé, hier,  par les  députés de Yewwi Askan Wi contre le fonctionnement de l’Assemblée nationale n’est pas du goût de la vice-présidente du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar. 
Sur  les ondes d’Iradio, Adji Mbergane Kanouté n’a pas pris de gants contre Guy Marius Sagna et Cie : «  Ce sont des ignorants qui doivent s’approprier cette phrase de Socrate « tout ce que je sais c’est que je ne sais rien ». Nous avons des députés  qui doivent aller se documenter  afin de maîtriser des textes du règlement intérieur de l’Assemblée Nationale »
La parlementaire de la majorité a, également, défendu le Président de l’Assemblée nationale, qui est la cible de critiques récurrentes des députés de l’opposition : “Ils ne peuvent rien imposer à Amadou Mame Diop. Ce dernier sait ce qu’il doit faire et il le fera au moment opportun. Personne ne peut imposer un  calendrier au président de l’Assemblée Nationale”.

20 ans du journal « Le Quotidien » : Madiambal dit son « seul » regret

Madiambal Diagne
Madiambal Diagne

Le journal « Le Quotidien » célèbre ses 20 ans d’existence ce vendredi 24 février. Une occasion saisie par le directeur de publication pour dire son « seul regret » : celui du retard accusé dans la numérisation du canard.

Texte in extenso 

Cher ami lecteur,
Le journal que tu as entre les mains a vingt ans aujourd’hui. L’aventure avait démarré le 24 février 2003. Ce jour-là, je t’avais interpellé à la deuxième personne du singulier, faisant le pari de la proximité, de la familiarité, de la constance et de la durée. 20 ans, c’est la consécration de l’âge adulte, mais c’est surtout le moment où l’impulsion de grandes réalisations d’une vie doit être effective.

Je voudrais faire acte de reconnaissance à ta fidélité, à ton soutien et surtout à la confiance toujours accrue que tu n’as de cesse d’apporter à ce journal. Notre équipe tâchera de mériter davantage de la confiance de ses lecteurs et annonceurs. C’est le lieu de féliciter l’ensemble de nos collaborateurs et leur témoigner notre gratitude. L’esprit Quotidien, la famille Quotidien disons-nous, est demeuré, en dépit des vicissitudes de la vie, des difficultés d’un environnement médiatique toujours plus précaire. Mais nous sommes fiers de pouvoir dire que nous avons réussi notre pari de tirer les choses vers le haut, non seulement pour renforcer l’offre médiatique avec un journal de qualité, devenu un journal de référence, mais aussi les conditions sociales et de travail de nos collaborateurs font envie. Encore une fois, pour avoir vu tout ce que cette aventure est, et demeure, depuis la genèse du projet jusqu’à son positionnement comme une des références au Sénégal et en Afrique, je ne peux que saluer le parcours et louer l’ensemble des personnes qui ont contribué à faire de ce journal ce qu’il est. Beaucoup, à nos débuts, nous prédisaient un avenir sombre et une impossible survie dans un des secteurs d’activités les plus ardus. Après plus de 6000 éditions publiées et vingt ans à nous acquitter de nos engagements initiaux auprès des lecteurs, je ne saurais ne pas revenir sur ce qui fait la spécificité du Quotidien et ce qui fait cet esprit qui, malgré le temps, nous permet d’être toujours debout, en tant que témoin fidèle de l’actualité et de l’histoire du Sénégal, au jour le jour.

Le Quotidien, c’est un esprit fait de constance, de liberté, d’engagement, de courage, de respect de la différence et de promotion des idées. Nous avons pu mettre en place une rédaction où tous les collaborateurs sont mus par une obligation d’informer juste et vrai, quoi que cela en coûte. Les procès d’intention, les a priori et les calomnies ne peuvent pas manquer quand on choisit cette voie de la vérité et d’un journalisme objectif basé sur les faits, avec un commentaire fait de lucidité et sans complaisance. Tous ceux qui sont passés ou évoluent présentement dans la rédaction du Quotidien peuvent témoigner de cet esprit de liberté et de démocratie à l’interne, et que traduit bien la liberté de ton de nos articles. Je ne le dirai sans doute jamais assez, aucun de mes collaborateurs ne peut se lever pour dire avoir été manipulé ou chargé par le patron du journal pour écrire à l’avantage ou en défaveur d’une quelconque personne ou groupe ou obédience. Que tout le monde se le tienne pour dit ! Je ne me suis jamais réfugié derrière la signature d’un de mes journalistes. Si j’ai des choses à dire, je l’écris moi-même et le signe.

Je peux dire que Le Quotidien, en deux décennies, est un témoin privilégié de l’histoire vivante du Sénégal. Il a abordé tous les changements majeurs de notre pays, éclairé la lanterne sur beaucoup de sujets d’intérêt, donné la parole à tous les pans de notre société et porté une certaine idée du Sénégal partout. C’est un titre qui s’est fait un allié indéfectible de la vérité et de la démocratie, face à toutes les formes d’adversité. C’est un journal qui n’a cessé de lutter pour un mieux-être et une meilleure construction nationale. Le chemin a pu être éprouvant, mais on ne peut qu’être fier de le voir bien haut et constant dans son esprit de départ. Si nous avons pu nous faire une vigie de la République et de la démocratie, c’est de la confiance tirée en nos lecteurs et d’une pleine mesure de l’importance de notre rôle dans la marche de notre pays.

Après vingt ans, si je peux émettre un regret, c’est sûrement le retard accusé dans la numérisation de ce journal, avec l’offre d’une rédaction entièrement digitale. Le pari dès le début en 2003 était d’être présent en kiosque et en ligne. C’était réussi avec un journal qui paraissait sur internet en même temps qu’il était vendu dans les rues. Un projet, que d’aucuns avaient considéré comme trop ambitieux ou même prétentieux, voulait, face aux mutations dans la presse, faire embrasser au Quotidien une numérisation totale avec une web Tv et une rédaction digitale, dès le premier jour de sa parution. L’opposition de certains membres de la rédaction sur la base de revendications syndicales grippera cette initiative. Ils considéraient que cela ferait un double travail, un double emploi et en conséquence, nécessitait un double salaire. Nous ne pouvions pas nous offrir ce luxe, et le leur avions fait savoir. L’histoire finit par rattraper les médias pour faire comprendre que la panacée, pour garder des médias viables et forts, reste de se tourner vers le numérique ; ce que je proposais il y a vingt ans… Nous nous serions engagés plus activement dans ce créneau, presque avant tout le monde au Sénégal, que nous aurions pris une bonne avance ! Malheureusement, notre volonté était tombée à l’eau et par la suite, des sites agrégateurs de contenus ont vu le jour dans le paysage médiatique sénégalais et africain, faisant du contenu de ce journal un de leurs éléments de notoriété. On pourra dire que nous avions raté un virage, mais il ne manque pas de ressources, d’ambition et d’énergie pour combler le gap. Cela, dans un esprit d’offrir du journalisme de qualité, du journalisme responsable, du journalisme véridique, à nos lecteurs de partout et de contribuer à notre manière à la construction de notre pays.

Nous n’avons pas tout réussi. Le Quotidien avait lancé l’initiative d’une Edition du Dimanche, une première au Sénégal, mais l’expérience n’avait duré qu’une seule année, du fait que les vendeurs de journaux n’étaient pas très enthousiastes à travailler ce jour, d’autant qu’ils n’avaient qu’un seul titre à distribuer. Notre volonté de diversification, notre ambition, nous avaient aussi poussé à lancer d’autres titres et une radio, qui avaient fini par être emportés par des actes d’hostilité de pouvoirs politiques, mais aussi par de graves travers dans la gestion managériale. Nous sommes à chaque fois retombés sur nos pieds, pour nous dédier à sauver le navire-Amiral, Le Quotidien. Joyeux anniversaire ! Une promesse : le meilleur est à venir ! Une pensée pieuse pour d’anciens collaborateurs disparus : Ibrahima Sakho, Koudédia Mar, Pa André Diouf, Grand Birane Gning, Soro Diop, Ndèye Fatou Diop.

Madiambal Diagne

Aliou Cissé : « Je ne suis ni usé ni fatigué, je veux ramener une deuxième CAN au Sénégal »

Aliou Cissé
Aliou Cissé

Invité au 7e congrès de l’AIPS Afrique (Association Internationale de la Presse Sportive) organisé par l’ANPS (Association Nationale de la Presse Sportive) et qui a débuté ce jeudi, le sélectionneur national Aliou Cissé, accompagné de son adjoint Régis Bogaert a répondu aux questions des journalistes africains après avoir animé un panel sur « l’utilisation de l’expertise locale au sein des équipes nationales »

La raison de votre présence?

Merci pour l’invitation. Je salue les doyens qui sont là, la presse nationale et internationale. Depuis que je suis à la tête de l’équipe, j’ai toujours côtoyé ces gens-là. En sept ans, on a dû faire 5 compétitions et pendant ces compétitions là, je vous ai tous rencontrés que ce soit dans les conférences de presse ou lors des entraînements. C’est une fierté pour moi d’être avec vous parce que d’habitude on se voit de très loin. Moi avec mes trois locks en train de faire pression (rire…). Mais aujourd’hui vous êtes les bienvenus au pays de la Teranga. C’est vous avec nous et nous avec vous pour un Afrique meilleur, pour un sport meilleur. Mais c’est aussi avec des difficultés, des désaccords où parfois les titres des journaux peuvent nous mettre en difficulté. Mais ça fait partie du travail. Ça fait trente ans que je suis dans le métier en tant que joueur puis en tant qu’entraîneur. On est pas obligés d’être toujours d’accord mais ce qui est important c’est d’avoir cet échange dans l’intérêt du sport sénégalais et du sport africain

Comment arrive-t-on à diriger et réussir avec une équipe nationale après avoir été joueur de cette équipe ?

Pour entraîner une équipe nationale, il est important de connaître les réalités de ce pays. Il est difficile de parler du futur quand on a pas la connaissance du passé. J’ai envie de dire que moi j’ai eu à contribuer par le passé au football sénégalais, j’ai été joueur professionnel, j’ai eu la chance d’avoir été capitaine de l’équipe nationale et d’avoir été à l’intérieur de cette structure fédérale qu’est la Fédération Sénégalaise de Football (FSF). J’ai fait partie d’une génération qui a écrit l’histoire du football sénégalais et très tôt dans ma tête ça a été clair que je voulais être entraîneur. Après ma carrière je me suis dirigé à passer mes diplômes pour pouvoir entraîner l’équipe nationale du Sénégal. Je pense que c’est un processus. Il fut un temps sur 24 équipes africaines, il pouvait y avoir 20 entraîneurs expatriés, mais quand vous voyez ce qui se passe maintenant, c’est clair que les choses sont en train de changer et il y a une volonté étatique mais aussi de la part des présidents de fédérations qui font de plus en plus confiance à l’expertise locale. L’expertise locale c’est aussi la compétence. Que ce soit moi, Walid (Regragui), Florent (Ibenge), Pitso (Mosimane), mon ami Rigobert Song ou les autres, si on avait pas fait des performances comme lors de la coupe du monde, on allait dire que l’expertise locale n’en vaut pas la peine. Nous connaissons le poids que nous portons et nous savons que réussir c’est un peu forcer la main aux autres présidents de fédérations à faire confiance à l’expertise locale. Ce que j’ai fait je suis sûr que d’autres le feront et je suis très heureux que le continent africain s’inspire de ce que le Sénégal est en train de faire. C’est très bien et j’encourage à aller de l’avant.

Quels sont les problèmes que rencontrent les coachs locaux avec leurs équipes nationales ?

Aujourd’hui on a la chance de se parler entre nous. Il y’a un pool d’entraîneurs africains qui se parlent et qui soulignent leurs difficultés. Loin de moi l’idée de faire une discrimination parce que le football est universel et on parle de compétence. Soit on peut ou on ne peut pas. Avant les présidents disaient qu’il fallait laisser les entraîneurs locaux le temps de se former et de faire des stages. Mais ça c’était avant. Aujourd’hui la plupart des entraîneurs locaux africains ont été joueurs professionnels et ont emmagasiné de l’expérience à travers les compétitions. L’une des difficultés est qu’on ne met pas sur le même pied d’égalité l’entraîneur africain et l’entraîneur expatrié. La question à se poser est pourquoi ? Mais il faut faire face aux réalités trouvées sur place et on te demande de prouver que tu as les épaules pour enraient équipe nationale en quelque sorte. Et pourtant on ne demande pas à un entraîneur étranger qui n’a pas de background de faire ses preuves. Aujourd’hui on en est là mais à nous de continuer pour que cela devienne une évidence de miser sur les entraîneurs locaux. C’est un combat et il n y a pas que moi. Beaucoup de fédérations font maintenant confiance aux enfants du pays qui sont reconvertis en entraîneurs. En Afrique il y a de très bons entraîneurs dans la mesure ou si vous allez en première division en France, en Espagne ou en Angleterre vous pouvez voir le nombre d’entraîneurs issus de la minorité qu’il y a. Un entraîneur africain qui veut entraîner en Europe, il faut qu’on le met sur le même pied d’égalité que l’entraîneur européen. Mais il ne suffit pas de le dire, il faut des diplômes et c’est là ou en vient à la réciprocité des diplômes entre l’UEFA et la CAF. Et je félicite la CAF qui travaille dans ce sens parce qu’aujourd’hui il y a un premier groupe d’entraîneurs africains issue du continent qui est diplômé et qui fait de bons résultats. C’est à la CAF de travailler sur cette réciprocité là pour que l’entraîneur africain soit respecté à sa juste mesure.

Avant vous lors de la CAN 2012 le Sénégal s’est fait éliminer au premier tour avec un sélectionneur sénégalais (Amara Traoré) qu’est ce qui a fait la différence avec vous ? Et pourquoi cette « discrimination salariale » entre les entraîneurs étrangers et les locaux ?

C’est aux entraîneurs africains de prouver leur légitimité dans leurs pays mais il nous faudra du temps. Nous, au Sénégal on a un président (Augustin Senghor) qui croit à l’expertise locale. Sous on magistère je crois qu’il y’a eu 4 entraîneurs locaux. On a eu Lamine Ndiaye, vous l’avez souligné Amara Traoré moi et puis il y a eu Joseph Koto. Sur la différence de salaire je dis qu’il faut encore prouver comme toujours. Lors de la coupe du monde 2018, non seulement j’étais le seul entraîneur africain mais j’avais aussi le plus bas salaire. Mais ce n’est pas ça notre motivation numéro un. Notre motivation est de monter c’est de prouver au continent africain et monde entier que les entraîneurs africains sont capables d’entraîner au Real Madrid, à Manchester City et partout ailleurs.

Après avoir remporté la CAN et qualifié le Sénégal pour le second tour d’une coupe du monde, avez-vous encore une ambition avec l’équipe nationale ?

La question c’est est ce que je vais continuer ou pas. Beaucoup de gens se le posent en se demandant si je suis usé ou fatigué. Non je ne suis pas usé et je ne suis pas fatigué. On est en train de préparé notre liste pour le mois de mars pour aller défendre notre titre et ramener un deuxième trophée de Coupe d’Afrique ici. Donc oui nous sommes prêts à faire le maximum pour ramener cette équipe le plus loin possible.

Pensez-vous que vous auriez réussi avec les Lions si vous n’aviez pas eu un président de fédération patient ?

Il y a ceux qui disent cela. Mais dans le football il n’y a pas de temps. Si j’avais loupé un seul des objectifs assigné par la Fédération Sénégalaise en huit ans, je ne serais pas là. Je sais où je suis et ce n’est pas parce qu’on m’a dit « Aliou on t’a laissé le temps ». Non on ne m’a pas laissé le temps. C’est parce qu’on a travaillé, on a été résilients et on a surtout des joueurs compétents aussi.

Que dites-vous par rapport à l’influence de l’entourage de certains joueurs sur les entraîneurs. Ceci a-t-il un impact sur le choix des joueurs et sur le choix tactique ?

Bien sûr mais il fait se dire qu’il s’agit d’une équipe nationale qui est l’affaire de toute une nation. Vous les journalistes, vous faites des analyses, vous avez vos joueurs et vos avis mais la réalité de l’équipe c’est nous qui la connaissons. Moi je n’ai pas vu un de mes collègues subir une pression venant des politiques ou des fédéraux pour composer son équipe. Ce n’est pas possible. Je le dis, jamais le président Augustin Senghor a impacté sur mes choix. Il m’a laissé travailler avec mes idées et c’est ce qui est normal pour pouvoir faire des résultats. Il faut laisser les entraîneurs faire leur travail et à la fin on décide s’ils doivent continuer ou pas.

Comment vous voyez l’avenir du football en Afrique, ne pensez-vous pas qu’il faut des infrastructures modernes pour être à la hauteur du football européen ? 

C’est clair sans infrastructures on ne peut rien. Il faut donner des moyens aux équipes nationales. Quand on donne les possibilités aux entraîneurs locaux en les mettant dans les meilleures conditions, en les payant comme il se doit, quand ils sont respectés et mis sur le même pied d’égalité que les entraîneurs expatriés, on est capable de le faire. On est pas moins argumentés que les autres. Nous sommes une génération qui ne sourit aucun complexe, on a grandi la bas (Europe), on a vu et on a appris. C’est le message à transmettre à nos autorités, à nos joueurs et à tous ces jeunes qui voudraient être des footballeurs professionnels pour représenter dignement le continent africain.

wiwsport.com

Vidéo – Après le Ndigeul du Khalif, les Baye Fall Prennent d’assaut les rues « Lou Daw Yaram… »

(Vidéo) – Pape Cheikh Diallo : « Damay bagn niou dagg sama vidéo envoyé ko sama kya mawone »

Vidéo – Diomaye faye plan B, sortie Me Ngagne: papa mamadou fam de pastef se braque.. »erreur biniou def moy »

2024 : Un allié de Macky, membre de Bby, déclare sa candidature…(vidéo)

Membre de Macky2012 et de Benno Bokk Yaakaar (Bby), Alla Dieng est contre une troisième candidature du président Macky Sall.

La preuve, ce mercredi, le président de l’Union des forces citoyennes a déclaré sa candidature pour la présidentielle de 2024. Mieux, il indique qu’il veut être le candidat de Bby…

Alla Dieng fait partie des alliés qui veulent dissuader le chef de l’Etat de chercher à briguer un troisième mandat. Selon lui, rien n’empêche à Macky Sall de sortir par la grande porte, car il peut revenir demain.

Vidéo – Xoulo bou tangu, Aladji Rafét boude le plateau après son @lt€rcation avec Aliou Mbaye“Kou waxati Sonko

« Gnoune gnoy guéweulou APR yi » : La réaction inattendue de Amadou, le fils de Macky Sall (vidéo)

Le fils du chef de l’Etat y apparaît auprès d’un des fils de Cheikh Ahmadou Kara Mbacké. Il est également « poursuivi » par une horde de griots qui tentait de lui grater quelques deniers. Et c’est réussi. On peut entendre une des griottes lui lancer : « nous sommes les griots de l’APR » pour s’identifier à Amadou Sall.

Ce dernier a, par la suite, décidé de leur offrir un million de fcfa. Une réaction surprenante lorsque l’on sait comment Macky fils est discret depuis la venue au pouvoir de son père. Encore une autre séquence qui va faire réagir les opposants du net…

L’affaire Mame Mbaye Niang contre Ousmane Sonko ? Du vent…

Pour Samba Alar, ingénieur et chef d’entreprise, l’accusation de détournement de fonds du ministre sénégalais du Tourisme par Ousmane Sonko n’est qu’un divertissement imaginé par le chef de file de l’opposition qui s’ennuie.

La morale, dit-on, est une contrainte rigide mais nécessaire. À raison. Il y a dans la morale plus de nécessité que de séduction. Nous sommes, en effet, condamnés – c’est le tourment perpétuel que Dieu réserve aux hommes – à vivre avec les autres. Ceux qui ne sont ni de mon sang, ni de cœur choisis. L’enfer avant l’heure. Le Pacte social est un pacte d’innocence – pour reprendre l’analyse de Renaud Camus – ce par quoi, contraints à la vie commune, les êtres s’engagent, plus par protection d’eux-mêmes que par souci du sort des autres, à ne pas se nuire. Renoncement à leur force, renoncement à leur liberté.

Infamantes accusations

La morale est un abandon de souveraineté… intéressé. On comprend mal, ce constat fait, les infamantes accusations, à ce jour infondées, proférées par Ousmane Sonko contre Mame Mbaye Niang. Le leader du Pastef affirme détenir un rapport de l’Inspection générale d’État (IGE) qui établirait la preuve d’un détournement, par le ministre, de 29 milliards de F CFA du Programme des domaines agricoles communautaires (Prodac).

Poursuivi pour diffamation, l’opposant dira aux enquêteurs avoir commis… un lapsus : il détiendrait un rapport, non pas de l’IGE, mais de l’Inspection générale des finances (IGF) qu’il aurait trouvé… « sur internet » (sic). Et qu’il ne remettra qu’au juge.

Qu’un rapport de l’IGF, par nature classifié, ait pu se retrouver sur la Toile est invraisemblable. Qu’il mette en cause le ministre l’est davantage, au regard de nos lois et règlements. En effet, si Mame Mbaye Niang, en vertu de l’article premier du décret 2014-498 portant création du Prodac, en était bien le ministre de tutelle, il n’en était toutefois ni l’ordonnateur des recettes et dépenses ni l’administrateur des crédits. Ces fonctions étant assurées par le coordonnateur du programme, comme le dispose l’article 4 dudit décret : «Le coordonnateur du Prodac est un haut cadre de la hiérarchie A. Il est nommé par décret. Il est chargé de l’administration et de la gestion des activités du programme, de l’élaboration et de l’exécution du budget annuel de fonctionnement. »

De lapsus en incohérences

Mame Mbaye Niang ne peut donc pas avoir fait l’objet d’un rapport de l’IGF dont la mission de contrôle ne s’exerce que sur les ordonnateurs, administrateurs et comptables publics. Mais à supposer, par impossible, que l’opposant détienne un quelconque rapport, que ne l’a-t-il pas fourni au juge comme il s’y était engagé ? Par deux fois, il en a eu l’occasion, sans le faire, requérant à chaque fois le renvoi du procès.

De lapsus en incohérences, de dérobades en atermoiements, Ousmane Sonko a fini par convaincre les plus sceptiques que ses accusations sont invraisemblables, si elles ne sont mensongères. Alors, pourquoi les profère-t-il ? J’ai esquissé une première hypothèse : Ousmane Sonko s’ennuie, rien ne convoque sa possible intelligence dans le champ d’une actualité politique souvent monotone

Faute de matière, on l’invente. La dure nécessité d’exister. La politique n’est, hélas, que l’art de se faire porter au pouvoir et celui de s’y maintenir. Arts mineurs qui ne supposent qu’un peu de démagogie (viser au plus vil et au plus bas, sans nécessité d’ajuster son tir tant la cible est large), quelques reniements, un électroencéphalogramme plat, ou presque. Rien d’urticant, ce qui permet toutes les identifications et donc, le vote du grand nombre.

L’affaire Mame Mbaye Niang est un divertissement orchestré par Ousmane Sonko. Au ministre, que l’on imagine outré par les accusations infamantes et surtout infondées de ce dernier, il peut être doux et réconfortant de songer à cette phrase de l’auteur de Cyrano de Bergerac. À qui lui demandait ce qu’était le panache au dernier mot de la pièce, Edmond Rostand de répondre : « L’honneur d’être une cible ».

Après son placement sous mandat de dépôt : ‘’Azoura Fall’’ extrait de prison et gardé à vue à la Sûreté Urbaine

C’est ‘’Libération’’ qui donne la nouvelle dans son édition de ce vendredi. D’après le journal, ’Azoura Fall’’ est extrait de prison et gardé à vue à la Sûreté Urbaine, après son placement sous mandat de dépôt par le juge du 8 ème cabinet.

A l’origine, explique la source, la vidéo dans laquelle il promettait de ‘’tuer Adji Sarr’’ en cas de procès public. Déféré aujourd’hui, signale ‘’Libération’’ Assane Gueye de son vrai nom risque un second mandat de dépôt.

Scène inédite entre Wadioubakh et Mame Thierno Borom Darou (Vidéo)

Wadioubakh a bien pu arracher le rire au marabout de Darou, chouchou des jeunes mourides. Dans cette vidéo on voit le marabout entouré de ses talibés, dans une ambiance décomplexée et pleine d’humour.

On voit aussi Wadioubakh qui a bien profité de l’occasion pour offrir, brièvement un acte digne des grandes pièces de théâtre.

Regardez !

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