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Vidéo-Boubacar Camara crache ses vérité sur le système de parrainage « lii système d’élimination la mais.. »

Boubacar Camara crache ses vérité sur le système de parrainage « lii système d’élimination la mais.. »

Vidéo-Aff 3ème mandat Boubacar Camara tire sur Macky « bougnou ko téyéwoul dekoy jeul toog fi… »

Aff 3ème mandat Boubacar Camara tire sur Macky « bougnou ko téyéwoul dekoy jeul toog fi… »

Vidéo-Imam Dramé réitère ses propos « bognou Sonko waxoon gnou bayi sunu Tarixa yi gnou bayyi ko… »

Imam Dramé réitère ses propos « bognou Sonko waxoon gnou bayi sunu Tarixa yi gnou bayyi ko… »

Vidéo-L’analyse pertinente de Abdoulaye Mbow sur les candidatures de Yeewi « koumou neex meuna postulé sa »

L’analyse pertinente de Abdoulaye Mbow sur les candidatures de Yeewi « koumou neex meuna postulé sa »

Présidentielle 2024 : Sheikh Alassane Sene lance un grand défi à Sonko et Cie

Sheikh Alassane Sene a posé les prémisses d’une entreprise de longue haleine vers l’élection présidentielle de 2024. Le prétendant, souhaitant ardemment accéder à la « naatangue », a été cordialement accueilli par les adhérents à Bargny et à Grand Yoff.

À Bargny, il a souligné l’importance de l’observance de la parole donnée et de la constitution dans son appel adressé au président Macky Sall. À Grand Yoff, il a émis l’idée d’un débat public autour des programmes, présentant potentiellement un moyen efficace de favoriser la transparence et l’inclusion dans le processus politique.

Il est également à noter que l’effervescence rythmique lebou a caractérisé l’accueil à Bargny, suggérant ainsi que la culture locale constitue un élément important de la mobilisation politique dans cette région.

Ahmed Aidara : “Pourquoi Malick Gakou est le Président qu’il nous faut…”

À un an de la Présidentielle, le Maire de Guédiawaye a réitéré son soutien à Malick Gakou qu’il considère comme le “président qu’il nous faut pour restaurer la cohésion nationale en réconciliant les Sénégalais avec eux-mêmes, pour placer la bonne gouvernance au cœur de la gestion des affaires de l’Etat”. Seneweb vous propose l’intégralité de l’Appel de Ahmed Aïdara. “Populations du Sénégal,
Populations de Guédiawaye,
Dans un an, jour pour jour, le 25 février 2024, le peuple sénégalais va élire son président de la République.Cette élection présidentielle marquera un tournant décisif dans l’histoire politique de notre pays qui se trouve à la croisée des chemins.
En effet, le Sénégal est miné par des crises de toutes sortes :
Crise politique avec la montée exponentielle de la tension politique du fait des risques pouvant découler de la troisième candidature illégale et illégitime du président Macky Sall ;
Crise économique avec la flambée fulgurante des prix des denrées de consommation courante qui plombe les ménages ;
Crise sociale avec l’effondrement des valeurs fondamentales telles que le jom, la kersa, le sutura, la solidarité qui ont toujours cimenté les relations dans notre société.Ces crises ont fini de plonger les Sénégalaises et les Sénégalais dans une angoisse existentielle qui trouble la quiétude de leur sommeil.
Quelle alternative crédible pour sortir de cette situation trouble ?
Il faut  élire un président qui sera un serviteur vertueux et qui défendra les intérêts supérieurs de la République.Il faut élire un président qui a toute la légitimité historique, socio-culturelle et politique pour diriger notre cher Sénégal.Il faut élire un président qui porte un projet de société à même de sortir notre pays des affres du sous-développement et de la pauvreté.Il faut élire un président patriote qui place le Sénégal au-dessus de toutes les contingences.
Ce président n’est personne d’autre que le président Malick GAKOU, cet enfant du Sénégal et de Guédiawaye formaté dans le milieu lébou et profondément enraciné aux valeurs de courage, de loyauté absolue, de kersa, de solidarité.
Populations de Guédiawaye, je connais le président Malick GAKOU et  vous le connaissez autant que moi pour sa contribution déterminante au rayonnement du sport, de la culture, de l’éducation, de la santé, du développement humain en somme dans le département de Guédiawaye et du Sénégal au-delà. Ces hauts faits et gestes font que le président Malick Gakou connait bien les Sénégalais et les Sénégalais le connaissent bien.
C’est ce qui lui a valu, le 31 mars 2022, son élection ad vitam aeternam par le Conseil municipal,  à l’unanimité, comme maire honoraire de la ville de Guédiawaye.
Populations du Sénégal,
Populations de Guédiawaye, en ma qualité de maire de la ville de Guédiawaye, je vous lance un appel solennel pour sonner la grande mobilisation afin de baliser la voie au Président El Hadji Malick GAKOU qui cristallise les espoirs de tout le peuple sénégalais.Il est le président qu’il nous faut pour restaurer la cohésion nationale en réconciliant les Sénégalais avec eux-mêmes, pour placer la bonne gouvernance au cœur de la gestion des affaires de l’Etat.Il est le Président qu’il nous faut parce qu’il est porteur d’un projet de société, le Plan Alternatif Suxali Sénégal (PASS) qui est l’alternative crédible pour mettre le Sénégal sur l’orbite du développement économique et social.”Fait à Guédiawaye 

le 25 février 2023 

Ahmed AIDARA

Sédhiou : Macky Sall accueilli par une foule immense

Sédhiou : Macky Sall
Sédhiou : Macky Sall

Youssou Ndour prend une importante décision, après le décès du chanteur Ismaël Touré

Youssou Ndour
Youssou Ndour

Le monde de la culture sénégalaise est endeuillée suite au décès du fondateur de Tuure Kunda Ismaël Touré qui a tiré sa révérence, ce lundi 27 février en France, des suites d’une longue maladie.

Ainsi, le chanteur planétaire Youssou Ndour a pris une importante décision en reportant le dîner de Gala en hommage aux Lions du football qu’il avait prévu, ce samedi 04 mars.

« Suite au décès d’une des grandes icônes de la musique sénégalaise, Monsieur Ismaela Touré, du groupe « Touré Kunda », le comité d’organisation du gala « Sargal Lions yi », en hommages aux Lions du football, a décidé, en accord avec Youssou Ndour et le Super Étoile de Dakar, et de la Fédération sénégalaise de Football, du report du dîner de Gala initialement prévu ce samedi 04 mars au samedi 06 mai 2023 au King Fahd Palace. Nous remercions tous les partenaires pour leur compréhension », déclare Youssou Ndour.

Rencontre Cheikh Mbacké Gadiaga-Rodrigo Arenas : L’actualité Nationale Au Menu Des Discussions

Cheikh Mbacké Gadiaga-Rodrigo Arenas
Cheikh Mbacké Gadiaga-Rodrigo Arenas

Cheikh Mbacké Gadiaga continue ses rencontres à Paris. Le grand homme d’affaires sénégalais a rencontré, ce lundi, des députés français avec qui il s’est longuement entretenus. Accompagné par Rodrigo Arenas, il a visité l’Assemblée nationale française en compagnie de Serigne Mboup.

Cette visite riche en enseignement a permis à Cheikh Mbacké Gadiaga de s’imprégner du savoir faire français dans tous les domaines. A signaler que l’homme d’affaires sénégalais est à Paris dans le candre du salon international de l’agriculture qui se tient du 25 févier au 5 mars.

Cheikh Mbacké Gadiaga et Rodrigo Arenas ont passé en revue l’actualité politique sénégalaise à une année de la présidentielle. La question du viol était aussi au menu de leur de leur discussion. Le parlementaire français estime que le gouvernement sénégalais doit davantage proteger les femmes.

A rappeler que Rodrigo Arenas, né le 24 avril 1974 à Valparaíso (Chili), est un homme politique et dirigeant associatif français. Actuellement,il est membre de la commission des affaires culturelles et de l’éducation au sein du Parlement.

La rédaction de Sénégal Info

Pluralité de candidatures au sein de la majorité en 2024 : Abdou Mbow menace les alliés

Abdou Mbow
Abdou Mbow

Invité de l’émission « Objection » de la radio Sudfm hier, dimanche 26 février 2023, Abdou Mbow, par ailleurs, porte-parole adjoint du parti au pouvoir, l’Alliance pour la République (Apr), estimant que Benno Bokk Yakaar n’a jamais parlé de la pluralité de candidatures, a précisé que tout leader de leur coalition qui défend l’idée d’une pluralité de candidatures dans la majorité, doit se retirer.

Le président de la Commission des Lois, de la Décentralisation, du Travail et des Droits humains, coupe l’herbe sous les pieds des alliés qui nourrissent une ambition d’aller à la conquête du suffrage des Sénégalais, lors de la Présidentielle du 25 février 2024

Le président de la Commission des Lois, de la Décentralisation, du Travail et des Droits humains met en garde des alliés qui seraient tentés par une ambition d’aller à la conquête du suffrage des Sénégalais, lors de la présidentielle du 25 février 2024 prochain. Invité de l’émission « Objection » de la radio Sudfm hier, dimanche 26 février 2023, Abdou Mbow par ailleurs porte-parole adjoint du parti au pouvoir, l’Alliance pour la République (Apr), est formel, en déclarant sur la question de la pluralité des candidatures au sein de Benno Bokk Yakaar qu’une majorité présidentielle ne peut pas avoir plusieurs candidatures.

Poursuivant son propos, le responsable du parti au pouvoir dans la capitale du Rail (Thiès), de préciser dans la foulée, que toute personne qui théorise une pluralité de candidatures au sein de Benno, n’a pas sa place dans leur coalition et doit quitter.

« Je pense qu’au niveau de Benno Bokk Yakaar, il n’est pas question de pluralité de candidats. Toute personne membre de notre coalition et qui pense qu’il doit pouvoir être candidat en 2024, doit se retirer de Benno parce que notre ambition est de parvenir à un candidat au niveau de la majorité. Telle est ma conviction », a-t-il lancé, en soulignant que Benno Bokk Yakaar n’a jamais parlé de la pluralité de candidatures.

« Quand on est au pouvoir et qu’on travaille à défendre un bilan, on ne peut dire qu’on va avoir plus d’une candidature dans Benno. C’est une question de bon sens, jamais dans le monde, on n’a vu une majorité présidentielle présenter deux ou trois candidatures. Donc, s’il y’a quelqu’un qui veut une pluralité de candidatures au sein de la majorité, il n’a plus sa place dans Benno Bokk Yakaar », a-t-il mis en garde.

Interpellé par ailleurs sur le sit-in interdit de ses collègues du groupe parlementaire Yewwi askan wi devant l’Assemblée nationale, Abdou Mbow a qualifié de « populiste » cette manifestation. En effet, rappelant que l’Assemblée nationale est régie par une loi organique qui est le règlement intérieur, Abdou Mbow estime qu’il n’a « jamais vu dans le monde, des députés qui vont à la préfecture pour déposer une demande de sit-in devant l’Assemblée parce que le député est le représentant du peuple ».

« Nos collègues ont la prérogative chaque fois qu’ils le veulent, parce qu’on est organisé à l’Assemblée nationale par des groupes parlementaires et chaque groupe parlementaire peut légitimement, partout dans l’Assemblée nationale, tenir même une conférence de presse comme ils l’ont fait dans le siège du Parti de l’unité et du rassemblement (Pur), pour dire ce qu’ils pensent. Ils peuvent même dénoncer, s’ils veulent et même parler des griefs qu’ils ont contre le président de l’Assemblée nationale.

Mais quand ils ont dit qu’ils vont déposer chez le préfet cette demande d’autorisation de sit-in, ça, c’est de la politique politicienne parce que le député a le droit et la prérogative de faire ce qu’il veut dans l’enceinte de l’Assemblée nationale 
», a fait remarquer le président de la Commission des Lois, qui estime également que les motifs évoqués par ses collègues de l’opposition pour justifier leur sit-in, sont « fallacieux ».

Conseil des ministres décentralisé : Le Chef de l’état a quitté Dakar en route vers Sédhiou

Macky Sall
Macky Sall

C’est le top départ pour le Conseil des ministres décentralisé qui a été annoncé. Oui, le Président Macky Sall a quitté Dakar en début d’après-midi pour Sédhiou. Images

Aissata Tall Sall choque les sénégalais :  » Il n’y a pas de troisième mandat qui tienne, il y a un deuxième quinquennat »

Me Aissata Tall Sall
Me Aissata Tall Sall

La ville de Podor a été ce weekend le lieu de ralliement des membres et sympathisants du mouvement «Osez l’avenir» que dirige me Aïssata Tall Sall, ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur. Occasion saisie par la patronne de la diplomatie sénégalaise pour parler de la situation des ressortissants sénégalais en Tunisie et annoncer que l’état a pris toutes les dispositions pour assurer la protection et la sauvegarde des intérêts de nos compatriotes. Évoquant la Présidentielle du 25 février 2024, elle estime que «Macky Sall a encore la possibilité juridique de faire un second mandat à partir de 2024».L’As.

La présidente du mouvement «Osez l’Avenir» compte poursuivre son compagnonnage avec le leader de la coalition Benno Bokk Yaakaar, Macky Sall. Se faisant une fervente avocate du locataire du Palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor, Me Aissata Tall Sall considère que ce dernier a le droit de se présenter à l’élection de 2024. «Macky Sall est notre candidat. Nous attendons seulement confirmation de sa part.

En politique, nous avons le courage de nos idées et nous les assumons pleinement. Moi je ne suis pas la personne qui est avec un président de la République un jour et qui le lendemain, peut lui dire au revoir parce que son ambition est devant elle. J’ai des ambitions, mais quand je suis avec le Président Macky Sall, je suis avec lui jusqu’au bout. Mon souhait, ma volonté et ma force de détermination, c’est qu’il réclame encore le suffrage des Sénégalais en 2024, que les Sénégalais l’élisent pour que nous continuions à être à la disposition de leurs intérêts», a déclaré Me Aissata Tall Sall qui inaugurait ce week-end le siège de son mouvement à Podor. Très en verve, elle estime que le problème de la candidature du Président Macky Sall a été réglé. «Le Conseil constitutionnel a fini de régler cette histoire de troisième mandat. Il n’y a pas de troisième mandat qui tienne, il y a un deuxième quinquennat.

Quand le Président Macky Sall a voulu ramener son mandat de 7 à 5 ans, le Conseil constitutionnel lui a signifié qu’il ne pouvait pas le faire, parce que la Constitution qui l’avait élu était celle-là que Me Abdoulaye Wade avait laissée en partant. La nouvelle Constitution qui limite les mandats à 2, c’est celle-là qui va s’inaugurer à partir de son mandat de 2019. Macky Sall a fait ce premier mandat sous l’ère de cette nouvelle Constitution. Il a encore la possibilité juridique de faire le second mandat à partir de 2024», tranche Me Aïssata Tall Sall avant d’ajouter : «Maintenant, la femme politique a décidé que son candidat, c’est Macky Sall. Nous attendons qu’il le confirme. Je l’espère, je souhaite et prie pour qu’il le confirme. Nous sommes déjà prêts et n’attendons que ce feu vert pour l’amener jusqu’à la victoire.»

Par ailleurs, Me Aïssata Tall Sall s’est fortement émue de la sortie «malencontreuse et xénophobe» du Président tunisien, Kaïs Saïed, contre les Africains. «Nous étions très peinée par les propos tenus par le Président tunisien. Mais nous avons été un peu plus rassurée quand nous l’avions entendu s’excuser et regretter la virulence des propos qu’il a tenus», a déclaré le ministre des Affaires Etrangères qui rappelle que la Tunisie est un «pays africain membre de l’Union africaine» et que «l’Afrique est un continent peuplé de noirs et de blancs».

En outre, elle a révélé que le Sénégal a fait une démarche dans deux directions. «La première, c’est de nous assurer de la protection et de la sauvegarde des intérêts de nos compatriotes. Nous l’avons fait via notre ambassade à Tunis qui a,très tôt, pris les dispositions nécessaires non seulement pour les sécuriser, mais aussi pour mettre à leur disposition une ligne d’appel téléphonique d’urgence ainsi que les services du ministère en vigilance permanente H24 pour permettre aux Sénégalais de bénéficier de la protection de l’ambassade», affirme-t-elle. La deuxième démarche, c’est l’échange qu’elle a eu avec son homologue de l’Union des Comores qui assure la présidence de l’Union Africaine.

«ON M’A EXCLUE DU PS SANS QU’UNE NOTIFICATION M’AIT ETE FAITE…»

Le mouvement «Osez l’Avenir», de l’avis de sa fondatrice (Me Aïssata Tall Sall), est né d’un défi. «A l’époque, j’étais en plein conflit avec le Parti socialiste. Un conflit que je n’ai pas voulu et que je n’ai pas souhaité. Mais je suis une lionne ; quand on m’impose la bagarre, je me bats. J’avais pensé qu’au Parti socialiste, il était temps de changer les idées, les hommes qui le portent pour toujours, essayer de nous performer et d’être au diapason de ce que recherche le peuple sénégalais parce que tout compte fait, la finalité de la politique, c’est cela. Et pour avoir nourri cette ambition de vouloir changer le parti, j’ai été en divergence profonde avec la direction.

Pourtant, ma seule volonté, c’était d’exprimer mes idées, celles des camarades qui croyaient en ce que je disais et de les faire triompher au sein du Parti socialiste. On ne m’a pas permis cela. J’étais candidate au poste de secrétaire général du Ps. Cette élection a été interrompue. On n’a pas voulu qu’on aille jusqu’au bout du processus. J’ai considéré que cela n’était pas démocratique. Pour autant, je n’avais pas voulu quitter le Parti socialiste», rappelle-t-elle. C’est pourquoi elle avait décidé de créer «Osez l’Avenir» afin de montrer le chemin de courage qu’elle avait tracé. «C’était pour montrer qu’en politique, la force des convictions doit être la primauté de l’engagement. Je me battais pour un changement interne au sein du Parti Socialiste. En définitive, le parti m’a exclue. On m’a exclue sans qu’une notification m’ait été faite de cette exclusion. Je l’ai apprise à la radio comme tout le monde», se souvient-elle.

(Vidéo) Mamadou Gueye APR attaque Mame Mbaye Niang « Pourquoi il n’a porté plainte contre Birahim Seck ? »

Mamadou Gueye APR Yoff
Mamadou Gueye APR Yoff

Disparition de Didier et de Fulbert Sambou: les familles et proches des soldats déterminés à découvrir la vérité

Didier et de Fulbert Sambou: les familles
Didier et de Fulbert Sambou: les familles

Les populations des îles du Bliss Kassa dans le département de Bignona (sud du Sénégal) ont brisé le silence pour dénoncer la mort et la disparition de Fulbert Sambou et de Didier, deux officiers de l’armée et de la gendarmerie. Face à la presse, sages, femmes de bois sacré, jeunes se sont offusqués de leur sort et de l’attitude de l’Etat. 

 « Personne ne peut sortir en nous que leur mort est suspecte et leur noyade est une thèse qui ne peut pas prospérer. C’est impossible», a dit leur porte-parole dont les propos sont rapportés par Dakaractu. «C’est le lieu où les nageurs de Dakar-Gorée prennent le départ à l’occasion de la traversée. Cinq jours après, ils disent retrouver le corps de Fulbert sur le même lieu. Ce qui est matériellement impossible. C’est la preuve qu’il ne nous dit pas la vérité. C’est une zone de surveillance parce que trop proche du Palais. C’est une zone militaire. Il y a le camp où officiait Fulbert Sambou en plus, il y a deux miradors qui constituent des postes d’observation. Il y a une tour de contrôle qu’on appelle Vijy qui est en mesure de balayer toute la zone. Nous ne croyons pas en leur thèse. C’est pourquoi nous réclamons une enquête impartiale. On ne peut pas évacuer la responsabilité de l’État du Sénégal. C’est un manque de volonté manifeste » fait-il savoir.

C’est pourquoi ils disent être déterminés à pousser l’Etat du Sénégal à dire la vérité aux familles qui savent que leurs fils ne se sont pas noyés. « Nous alertons toutes les organisations citoyennes pour que justice soit rendue. L’armée, la gendarmerie et l’Etat nous les pousserons à bout pour qu’ils se prononcent ».

Salif SAKHANOKHO

Situation tendue du pays : Alioune Tine reçoit la visite des leaders de Yewwi

: Alioune Tine reçoit la visite des leaders de Yewwi
: Alioune Tine reçoit la visite des leaders de Yewwi

Alioune Tine, président fondateur du Tink-tank Afrikajom Center qui prône la désescalade et appelle à « un dialogue politique, franc et sincère pour sortir… » entre le président Macky Sall et le leader de Pastef, Ousmane Sonko a reçu la visite de Habib Sy, Cheikh Tidiane Youm et Dethié Fall de Yewwi.

« Nous avons eu l’honneur de recevoir à Afrikajom Center la visite de Habib Sy, Cheikh Tidiane Youm et Dethié Fall de Yewwi, pour parler de la situation du pays », révèle Alioune Tine.

D’après l’ancien président de la Rencontre africaine des droits de l’homme (Raddho), ils ont insisté comme toujours sur la nécessité absolue du dialogue pour sortir de la crise.

(Vidéo) Imam Dramé vilipende Macky auprès des Serigne daara «  Mo Fi Ndieuka Torokhal Darra…Wo naniou Niou Bagne , Guemou Niouko.. »

Imam Dramé vilipende Macky auprès des Serigne daara
Imam Dramé vilipende Macky auprès des Serigne daara

Indemnités payées en retard : L’Etat du Sénégal peut-il être poursuivi pour la gestion du cas Kéne Ndoye?

Kéne Ndoye?
Kéne Ndoye?

C’est à l’âge de 18 ans que Kéne Ndoye s’est révélée au public lors des dixièmes Championnats d’Afrique d’athlétisme de Yaoundé en 1996. La Sénégalaise avait gagné la médaille d’or au triple saut. Aux Championnats d’Afrique organisés en 1998 à Dakar, Kéne Ndoye est montée deux fois sur le podium pour être récompensée d’une médaille d’argent à la longueur et une bronze au triple saut. Des années plutard, l’athlète a hissé le niveau en devenant deux fois championne d’Afrique du triple saut lors des Championnats d’Afrique de 2000 en Algérie et de 2004 au Brazzaville, Kéne a été médaillée de bronze au triple saut en 2003 aux Championnats du monde d’athlétisme en salle, à Birmingham en Angleterre.

Autant, la championne du triple saut a terminé sixième lors des Jeux olympiques d’Athènes de 2004 et à la même place au triple saut aux Championnats du monde d’athlétisme de 2003 à Paris et à ceux de 2005 à Helsinki. C’est aux Jeux africains de Maputo en 2011 qu’elle a participé à sa dernière compétition internationale, terminant à la deuxième place au triple saut. Sur l’ensemble de sa carrière professionnelle, Kéne Ndoye a gagné 12 médailles aux Championnats d’Afrique d’athlétisme, ce qui est un record. L’on peut dire que Kéne a fait les beaux jours de l’athlétisme sénégalais, surtout féminin. Or, malgré ce riche palmarès, elle n’a jamais reçu de primes.

En effet, un an après sa partition à la compétition internationale à Maputo, Kéne Ndoye est tombée malade. L’athlète internationale souffrait de la polyarthrite, une maladie dégénérative. Pire encore, les moyens financiers lui faisant défaut, elle ne cessait de réclamer des primes que lui devaient les dirigeants sportifs. Et jusqu’à sa dernière sortie, la technicienne du triple saut ne cessait de réclamer son du : «  Moi, ce que j’ai toujours réclamé ce sont mes primes de 2006. Je n’ai jamais reçu de primes malgré toutes les médailles que j’ai eues dans ma carrière. J’ai gagné dans ma carrière 13 médailles d’Afrique, une médaille mondiale et 2 médailles islamiques ». Un cri du cœur déchirant qui a été pendant longtemps ignoré par les autorités sénégalaises en charge du sport et précisément de l’athlétisme. Malheureusement, après des dizaine d’années de lutte, Kéne est décédée dans la nuit du 13 au 14 février 2023 à l’âge de 44 ans. C’est alors après son décès que l’Etat s’est présenté au nom du ministre des Sports Yankhoba Diatara pour remettre la somme de 10 millions à la famille de Kéne Ndoye. Mais nombreux sont des proches de l’athlète présents lors de la présentation de condoléances de cette délégation. D’aucuns affirment que le ministre des sports n’a donné qu’un million FCFA à la famille. C’est d’ailleurs sur cette lancée que SeneNews a posé cette interrogation : L’Etat du Sénégal peut-il être poursuivi pour la gestion du cas Kéne Ndoye?

Suivant l’argumentaire de Mbaye Ndiaye, juriste interne au cabinet de Me Fatou Ndiaye Touré  « Si Kéne Ndoye a été envoyé à l’extérieur par l’Etat du Sénégal, ses primes sont obligatoires. Et maintenant qu’elle n’est plus de ce monde, ce sont ces héritiers qui doivent bénéficier de ces primes« . Maintenant, explique Mbaye Ndiaye, « les légataires doivent d’abord avoir un jugement d’hérédité avant d’enclencher une procédure« .

En effet, tout héritier ou toute personne mandatée par la famille de Kéne Ndoye peut disposer d’un jugement d’hérédité. Il faut juste au préalable fournir une demande écrite adressée au président du tribunal départemental, un extrait du registre des actes de décès du défunt, un extrait du registre des actes de naissance des enfants du défunt, les actes d’état civil des ascendants (père ou/et mère), un extrait du registre des actes de mariage, et payé 2 400 FCFA au bureau de l’enregistrement et du timbre à partir de fiches de liquidation établies par le greffier en chef du tribunal. Aussi, le représentant de la famille devra se présenter avec 2 témoins munis de leur pièce d’identité. Le juge procèdera à une enquête sommaire pour établir le jugement requis. La durée du délai d’exécution d’un jugement d’hérédité va de 15 jours à 3 mois.

Après avoir disposer de ce document, poursuit l’homme de loi , « le représentant de la famille de Kéne Ndoye peut maintenant adresser une lettre à la fédération Sénégalaise d’athlétisme afin de réclamer ses primes impayés de 2007 à 2021. Si le représentant reste pendant 15 jours sans réponse, il peut directement s’orienter vers le ministère des sports. Et si ces instances sportives ne répondent pas favorablement, la famille de Kéne Ndoye peut adresser une lettre avec décharge à l’agent judiciaire de l’Etat ».

Alors, si après 15 jours, la réponse de l’agent judiciaire de l’Etat n’est pas satisfaisante, le greffier conseille à la famille de l’athlète internationale de s’orienter vers le tribunal de grande instance. « C’est à partir de la réponse de l’agent judiciaire de l’Etat que le représentant de la famille va faire une assignation auprès du Tribunal de grande instance en y joignant toutes les démarches qu’il a entrepris« .

Mais précise le juriste , « il faut que la famille ait toutes les preuves pour la participation de toutes les compétitions que l’athlète a eu à participer avec le montant des primes« .

Maintenant, lors du procès, l’agent judiciaire de l’Etat fera face à la famille de Kéne Ndoye afin de défendre les intérêts de l’Etat.

SeneNews

Programme de remplacement des abris provisoires et d’ouvrages annexes: Cheikh Oumar Anne encore épinglé

Cheikh Oumar Anne
Cheikh Oumar Anne

Le ministre de l’Education nationale menace de résilier les contrats des entreprises intervenant dans le programme de remplacement des abris provisoires et d’ouvrages annexes. Ces dernières ont été aussi sommées d’encaisser les attaques du ministre et de la boucler !

«Si nos interlocuteurs s’avisent à porter l’affaire en public, nous n’hésiterons pas à résilier les contrats ». C’est ainsi que le ministre de l’Education national a conclu, à Kaffrine, son réquisitoire contre les entreprises sénégalaises sélectionnées dans le cadre du Programme de remplacement des abris provisoires et d’ouvrages annexes (Propap). En clair, il peut vilipender publiquement des entreprises mais ces dernières n’ont pas le droit de s’expliquer !

Au-delà de mettre mal à l’aise ses prédécesseurs, qui si on suit sa logique ont «magouillé » avec les entreprises ; ses propres services assurant le suivi du programme et la Banque ouest africaine de développement (Boad) qui procède aux paiements après service fait, Cheikh Oumar Anne s’est carrément fourvoyé, sur le lot 1 du marché en tout cas, et il est en parfaire contradiction avec les parties prenantes, dont ses propres services.

En effet, consistance des travaux du lot 1 du marché s’établit comme suit : au niveau de l’élémentaire, il s’agit de la construction de 1.850 salles de classe ;  1.318 bureaux et 672 blocs d’hygiène. Pour le moyen, 31 blocs administratifs et 58 blocs d’hygiène ; pour le secondaire, 23 blocs administratifs et 70500 mètre linéaire de mur de clôture.

A la date d’aujourd’hui, pour l’élémentaire 1739 salles de classes, 1195 bureaux administratives et magasins et 592 blocs d’hygiène ont été réceptionnés.

Concernant le moyen, l’entreprise a livré  24 blocs administratifs et 50 blocs d’hygiène. Pour le secondaire, 19 blocs administratifs et 65220 mètres linéaires de mur de clôture ont été réceptionnés.

Le reliquat des ouvrages non encore réceptionnés sont tous en achèvement et le taux d’exécution technique global du lot 1 peut être estimé à 98%, contrairement aux déclarations du ministre.

Mieux, au vu des décomptes effectivement perçus, le taux d’exécution financière rapporté au montant total est de 88%.  Il convient de préciser que les avances consenties à l’entreprise au titre du marché et conformément aux dispositions contractuelles ont été intégralement remboursées. A la date d’aujourd’hui, l’entreprise ne doit au maître d’ouvrage aucun franc pour une quelconque avance.

Il faut même noter un déphasage entre l’exécution technique et l’exécution financière en défaveur de l’entreprise attributaire du lot 1. Ce déphasage s’explique par le système retenu pour l’établissement de décomptes dans le marché fini c’est-à-dire 35% quand les ouvrages atteignent le niveau de chainage ; 70% après  pose des menuiseries et  100% à la réception.

Aussi, les ouvrages dont l’exécution se situent entre les seuils ainsi fixés ne sont donc pas pris en compte dans l’exécution financière parce que non décomptés.

Que dire du délai d’exécution ?  Après approbation du marché, un ordre de service en date du 10 janvier 2018 a été notifié à l’entreprise pour un délai d’exécution de 30 mois. Cet ordre de service portait exclusivement sur une partie du programme gagée sur la première tranche de financement accordé par la Boad.

De suite, après la mise en place de la seconde tranche de financement, un autre ordre de service de démarrage du programme complémentaire a été notifié à l’entreprise à la date du 06 novembre 2018 pour un délai d’exécution de 24 mois, sans tenir compte des 6 mois destinés aux études et à la mise en place. Ainsi, l’entreprise a mis en place un dispositif de suivi et de supervision avec le recrutement d’un cinquantaine d’ingénieurs et de techniciens supérieurs expérimentés en leur dotant de moyens logistiques pour garantir une bonne qualité des ouvrages. Ce dispositif a permis de verser dans le système des ouvrages dont la qualité est unanimement appréciée positivement. Pour autant, cette planification a été fortement perturbée par trois évènements qui constituent des cas de force majeur comme stipulé au chapitre 13, point 2 du marché à savoir la pandémie de la Covid-19, l’inaccessibilité des sites pendant l’hivernage mais aussi la fermeture des carrières et le conflit en Ukraine avec ses conséquences. Conscient de cette situation, le maitre d’ouvrage a notifié à l’entrepreneur des ordres de services de suspension de travaux avant d’approuver  un avenant de prolongation de délai de 6 mois par lettre en date du 24 mars 2022.

Ainsi,  le délai contractuel n’est arrivé à expiration que le 31 décembre 2022 conformément à la lettre en date du 27 janvier 2023 que le directeur des constructions scolaires a notifié à l’entrepreneur.

Consciente de ces difficultés et ayant apprécié sur le terrain tous les efforts de l’entreprise, la Boad vient de donner son accord pour proroger la date limite de mobilisation au 31 décembre 2023, soit une durée additionnelle de 12 mois

Enfin, tous les décomptes payés à l’entreprise sont certifiés par le  maitre d’ouvrage avant transmission pour paiement. il convient de préciser qu’en plus des représentants du maitre d’ouvrage au niveau des différentes circonscriptions, la Boad  a procédé au recrutement de cabinets privés pour le contrôle des travaux et la certification des décomptes. Le meme procédé est utilisé pour la conception des ouvrages.

En clair, une simple mission de terrain permettrait de se faire une religion sur les véracités du travail remarquable accompli par l’entreprise.

Avec Libération

Les vérités d’Amy Sarr Fall aux jeunes : «Le système ne change pas du jour au lendemain »

Amy Sarr Fall
Amy Sarr Fall

Ovationnée par une salle du Grand théâtre archi-comble, Amy Sarr Fall, présidente directrice générale de « Intelligence Magazine » est revenue sur le système éducatif du Sénégal. Selon elle, il est temps de revoir ce système et de l’actualiser selon les exigences du moment. : « Plus de 20 étudiants et lycéens sont venus répondre à cet appel. Nous savons que vous avez l’âge de la transition. Si vous êtes accompagnés, nous savons que vous serez des citoyens modèles et non des spectateurs. Il est temps de faire en sorte que notre système éducatif soit bilingue partout. Soyons ensemble pour réussir »

Cependant selon la fondatrice d’Intelligence Magazine, « vouloir c’est d’abord croire. C’est pourquoi nous avons été à la recherche de ces mentors qui ont accepté de venir malgré leurs calendriers chargés. Être jeune ne doit pas nous berner. Faites le maximum. Cet instinct protecteur de votre peuple. Soyons cette jeunesse consciente pour faire de l’avenir ce que nous voulons qu’il soit parce que l’avenir se peaufine. Oui c’est l’âge de s’indigner mais pas de perdre du temps. Notre système ne change pas du jour au lendemain » fait-elle savoir.

Le thème de cette 11ème édition s’articule autour de : « Science et technologie comme vecteur d’une croissance durable et inclusive »

Les mentors de cette édition sont des figures de réussite de par leurs parcours riches. Ils ont raconté leurs expériences aux jeunes venus nombreux à la cérémonie. Ces modèles de réussite étaient au nombre de cinq : Dr. Amadou Alpha Sall, Directeur de l’Institut Pasteur ; Amadou Gallo Fall, président de la Basketball Africa League (BAL) de la NBA ; Marème Ndoye Decraeme, DG de la SAR ; Youga Sow, PDG Sococim industries ; Ndèye Birame SOCK, DG Kwely ; Invité d’honneur Jean Marc Pisani, Ambassadeur de l’UE au Sénégal.

via Dakaractu

[Video] Le soutien inattendu de Fah Aïdara à Ousmane Sonko « Deug foumou amoul diameu doufa… »

Fah Aïdara
Fah Aïdara

Influenceuse aux 2 millions 700 d’abonnés, Fah Aïdara fustige le comportement de certains jeunes  à l’endroit d’Ousmane Sonko. Très suivie sur Tik Tok, elle se désole de ce qu’elle qualifie « d’acharnement » contre le  maire de Ziguinchor.
« Je ne  comprends pas toute cette rage contre  le président du Pastef. Ousmane Sonko est un être humain et un père de famille. Ce n’est pas sa personne qui m’intéresse mais je pense à sa famille »  déclare-t-elle.
Invitée dans une émission sur la 2stv, hier, la jeune femme s’interroge sur le ressenti des enfants de cet homme politique.
« Imaginez une seconde quelle sera la réaction de ses enfants face aux multiples lynchages, insultes, menaces dont est victime leur père. Comment vont-ils se sentir, quel sera  désormais leur regard face à lui ?».  
 « N’oublions  pas que la mort existe. Alors arrêtez de vous acharner sur lui ! », dénonce-t-elle.
L’influenceuse  rappelle que le pouvoir n’est pas éternel. « Le  Président de la République est  tôt ou tard appelé à quitter le pouvoir  alors qu’ils laissent Ousmane Sonko en paix » plaide-t-elle.  
Interpellée sur l’interpellation musclée de l’opposant sur la Corniche ouest, Fah Aïdara  se dit outrée par la violence dont ont fait preuve les forces de l’ordre :  « J’étais choquée de voir la manière dont les gendarmes ont brisé la vitre de sa voiture. Je suis sénégalaise, alors je ne peux pas rester silencieuse au vu de cette injustice. En tant qu’ influenceuse, je dois partager mon opinion et je trouve que ce n’est pas normal ce qu’ils ont fait à Ousmane Sonko ».
 Dans la foulée, elle demande à Macky Sall de restaurer  la paix  car elle ne veut surtout pas que les évènements de Mars 2021 se reproduisent au Sénégal. 

Triste nouvelle : La musique sénégalaise endeuillée (photo)

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C’est une triste nouvelle pour la musique sénégalaise ! Le chanteur Ismaël Touré, membre du célèbre groupe Touré Kunda, nous a quittés. Il est décédé aujourd’hui, le 27 février, en France et sera inhumé là-bas.

Considérés comme des précurseurs de la musique africaine en France dans les années 70, les frères Touré Kunda sont l’un des groupes clés de la nouvelle France multiculturelle qui brille aujourd’hui au-delà de la musique. Leur groupe mythique Touré Kunda est revenu pour fêter ses 40 ans de carrière avec un nouvel album intitulé « Lambi Golo ».

Nous présentons nos plus sincères condoléances au monde de la musique et à sa famille.

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(Vidéo) Imam Dramé tance Macky Sall « Mars 2021 Soudouwon Serigne Mountakha , Yoww Dotooo Fi.. »

Imam Dramé tance Macky Sall « Mars 2021 Soudouwon Serigne Mountakha , Yoww Dotooo Fi.. »

Dr Abdourahmane Diouf à Serigne Mahi : « La clé de la paix est entre les mains de Macky »

En tournée nationale dans la région de Kaolack, Dr Abdourahmane Diouf a fait un crochet, à Medina Baye, pour effectuer une ziarra, auprès du Khalife.

Une occasion pour le leader de Awalé de s’entretenir, avec Serigne Mahi Niass, sur la crise politique de ce pays.

« L’unique responsable de cette situation est Macky Sall. Papa, Dis à ton ami, Macky Sall d’arrêter de se faire peur, les arrestations politiques et l’humiliation », laisse-t-il entendre.

Le candidat déclaré de faire savoir au marabout que « la seule clef de la paix aujourd’hui dans ce pays, est entre les mains de Macky Sall ».

Affaire Didier Badji et Fulbert Sambou : Les sages de Niomoune sortent du silence (vidéo)

Affaire Didier Badji et Fulbert Sambou : Les sages de Niomoune sortent du silence (vidéo)

Après des mois sans nouvelle de leurs fils, les sages du village de Niomoune en Casamance ont brisé le silence sur la disparition de Didier Badji et Fulbert Sambou. Ces deux agents du service de renseignements étaient déclarés disparus avant que le corps de Fulbert Sambou ne soit découvert en mer.

La famille de Fulbert et Didier ont porté plainte contre X mais jusqu’à présent les choses ne bougent pas. Tout le village insulaire de Niomoune en Casamance s’est mobilisé pour dénoncer le mutisme de l’Etat.

Les sages en tenues traditionnelles, accompagnés des femmes, dénoncent le fait que justice n’a toujours pas été rendue au nom des leurs. Selon eux, leurs fils étaient des citoyens qui ont dignement servi la nation et méritent cette justice.

Exclusif (05 photos) : Découvrez l’identité de la perle de Pape Demba (Emprise)


Pape Demba s’est mariée devant Dieu et les hommes. En présence de ses amis, collègues et proches, l’acteur a fait une petite fiesta chez lui à l’absence de son épouse qui ne vit pas au Sénégal.

Néanmoins, kawtef.com a pioché pour avoir les photos exclusives de la mariée. Chic et souriante, Mme Fam est une vraie beauté.

20 Photos-FORUM SOCIO-ECONOMIQUE: Dr Fatou Diane Guèye à la rencontre de mouvements associatifs féminins, des organisations de femmes et de jeunes filles de Sedhiou

FORUM SOCIO-ECONOMIQUE

Dr Fatou Diane Guèye à la rencontre de mouvement associatif féminin, des organisations de femmes et de jeunes filles de Sedhiou

Le Ministre de la Femme, de la Famille et de la Protection des Enfants, Mme Fatou Diané Gueye a présidé, ce dimanche, le forum socio-économique du mouvement associatif féminin, des organisations de femmes et de jeunes filles, à la place de l’indépendance, de Sedhiou. Une manière de matérialiser la politique nationale de protection des droits de la femme et de l’enfant définie du Président de la République Macky Sall. Fatou Diané Gueye a ainsi saisi cette occasion pour exprimer sa satisfaction et celle des femmes pour les réalisations conséquentes de Monsieur le Président dans la région de Sédhiou. « Le chef de l’Etat a beaucoup fait pour Sedhiou. Parmi ses réalisations, je peux notamment citer, au titre de mon département : la construction de trois (03) postes de santé à Kandion-mangana, Nguidir, et Yarang Balante ; la construction de quatre (04) centres d’éveil communautaire à Sédhiou, Bounkiling, Bambali et Yarang Balante ; la construction de trois (03) maisons de la femme respectivement à Sédhiou, Bounkiling et Goudomp ; la construction de six (06) écoles élémentaires à Goudomp, Yarang Balang, Bambali, Goudom. Toujours dans le cadre du PADESS, mon département a alloué à la région de Sédhiou 419 382 420 Fcfa dont 244 101 100 Fcfa sous forme de bourses économiques et 175 281 320 Fcfa sous forme de financements de projets. A cela s’ajoutent les financements mobilisés par le Fonds national de crédit femme et le fonds national de promotion de l’entreprenariat féminin pour un montant global de 100 millions au profit de 1000 bénéficiaires. En somme, le Ministère en charge de la Femme va injecter dans la région 519 382 420 Fcfa », a-t-elle soutenu. Des efforts qui illustrent m, selon elle, la volonté de Monsieur le Président de la République de repositionner la femme dans le système de production de biens et de services de notre pays afin de bien refléter son apport dans la création de richesse nationale. « J’ai initié, le recensement national des organisations féminines et l’analyse de leur besoin. Les résultats issus de ce recensement ont permis d’alimenter les échanges lors des consultations régionales organisées cette semaine, sous l’égide des Gouverneurs, en perspective des premières assises nationales pour l’entreprenariat féminin et de l’autonomisation des femmes prévues le 7 mars 2023 sous la présidence effective de Monsieur le Président de la République. Je suis persuadée que les femmes de la région de Sédhiou sauront mettre en évidence les potentialités socio-économiques de leur zone agroécologique. Bien entendu, une exploitation minutieuse des résultats issus des consultations régionales permettra de dégager de nouvelles perspectives sur l’entreprenariat féminin et l’autonomisation des femmes », dira-t-elle.

Vidéo-Mame Ndiaye Savon exclu en plein live son employé et reçoit une réplique simultanée « limala défal.

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Vidéo-Mara Niass prédit le divorce de Abba, sa femme pique une colère noire, Mame Ndiaye Savon exclu

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Vidéo-Les grosses révélations d’Imam Dramé sur la 1ere arrestation de Sonko en Mars 2021

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Présidentielle 2024 : Déthié Fall trace sa feuille de route

C’est officiel ! Face à la presse, ce dimanche, au siège de sa formation politique le PRP, Déthié Fall a déclaré sa candidature à l’élection présidentielle de 2024.
À cette occasion, Déthié Fall a dévoilé sa feuille de route qui se base sur la santé, l’éducation et l’agriculture. Selon lui, le développement économique du pays repose sur ces trois secteurs sur lesquells il compte s’investir.Dans la foulée, le président du PRP souligne qu’il est le candidat idéal pour mettre fin à la souffrance des Sénégalais et développer le pays.
D’après lui, le Sénégal dispose bien des ressources qui peuvent développer le pays. Cependant, le leader politique déplore la présence illégale d’étrangers dans les eaux sénégalaises qui exploitent de la pire manière les ressources halieutiques sénégalaises. Par ailleurs, Déthié Fall a dénoncé le régime dictatorial de Macky Sall et fustigé son acharnement sur l’opposition. Enfin, il invite ses compatriotes à lui faire confiance, afin de réaliser son rêve de devenir le président de tous les Sénégalais.Toutefois, Déthié Fall a annoncé un congrès d’investiture qui se tiendra mois de juillet.

« Je suis prêt » : Déthié Fall vise officiellement la Présidence de la République

Déthié Fall a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle de 2024, ce dimanche. Seneweb vous propose le discours qu’il a prononcé à cette occasion.
CHERES SENEGALAISES, CHERS SENEGALAIS ET HOTES VIVANTS PARMI NOUS, En ce jour symbolique du 26 février 2023, j’aimerai d’abord transmettre mes salutations appuyées à nos chefs religieux, autorités coutumières, qui, de par les legs tirés de leurs aïeux et la perpétuation des enseignements de ces derniers, ont aidé, depuis des décennies, à maintenir notre pays parmi les rares îlots de stabilité et de paix en Afrique. J’adresse également mes remerciements et salutations à toutes les sénégalaises et à tous les sénégalais, aux hôtes vivants parmi nous, mais aussi à vous de la presse nationale et internationale qui avez fait le déplacement pour venir couvrir cette déclaration. 
MES CHERS COMPATRIOTES, Le constat est amer et peu honorable pour notre pays le Sénégal qui, en dépit de ses dignes filles et fils, ses ressources, ses potentiels, son héritage culturel et cultuel, demeure, des années après son accession à son indépendance, parmi les pays pauvres et très endettés. Des décennies se sont écoulées mais le Sénégal n’est toujours pas le pays dont nous avions toujours rêvé. Force est de reconnaître que notre pays n’est pas encore à la hauteur de son potentiel.
Depuis lors, nous n’avons pas réussi à régler les problèmes liés aux soins de maternité, à l’accès aux structures d’accouchement, à la santé mère enfant, bref à la modernisation de notre système de santé.Depuis lors, nous n’avons pas réussi à relever les défis de l’accès universel des enfants à l’école, ceux de l’alphabétisation, de la scolarisation, de l’accessibilité des structures scolaires en milieu rural, de l’adaptation du curriculum et des modules académiques à nos réalités et besoins, de l’excellence de l’école publique avec toutes les facilités et qualités requises pour permettre à n’importe quel ménage, quel que soit le niveau de sa bourse, de faire bénéficier à ses enfants la possibilité de disposer d’enseignement de qualité.
Depuis lors, nous n’avons pas réussi à trouver les mécanismes intelligents pour capter, organiser et offrir des opportunités à toutes ces ressources humaines qui ne parviennent pas à réussir dans le circuit académique ou qui choisissent d’autres voies aussi honorables.
Depuis lors, nous peinons à maintenir notre enseignement supérieur dans l’excellence de la recherche et de l’innovation, à renforcer la protection sociale de nos vaillants enseignants et à dissiper l’anxiété permanente de l’étudiant sénégalais entre le marteau de la précarité de ses conditions d’étude et l’enclume de la réalité du chômage.
Depuis lors, nous n’avons pas réussi à asseoir un secteur privé fort et dynamique qui saura tirer large profit des opportunités et du potentiel du Sénégal et de l’Afrique, de gagner le pari de la transformation structurelle de notre économie et d’avoir des industries sénégalaises en nombre suffisant qui seront sur toute la chaine de développement du pays afin de faire du secteur secondaire un véritable moteur de croissance économique.Depuis lors, nous n’avons pas réussi l’aménagement correct de notre territoire national, le développement des territoires de l’intérieur, une efficience politique de décentralisation, d’abréger l’inégalité entre les territoires.
Depuis lors, nous n’avons pas réussi à relever le défi de l’accès correct et universel à l’eau potable, à l’électricité, au réseau internet, à gagner le pari de la sécurité alimentaire, de la modernisation de l’agriculture et de l’élevage, de la restructuration de notre modèle économique dominé par le tertiaire où nous avons peu de compatriotes champions.
Depuis lors, en dépit de nos multiples événements électoraux, nous n’avons toujours pas réussi à instaurer au Sénégal une véritable démocratie qui donne l’opportunité à chaque citoyen qui le désire de participer à tout type de rendez-vous électoral sans être inquiété.
Depuis lors, nous n’avons pas réussi à disposer de contre-pouvoirs forts détachés de l’exécutif, avec une Assemblée nationale jouissant de ses pleins pouvoirs dont celui de contrôle de l’action gouvernementale, avec une justice indépendante et impartiale, et d’une liberté réelle de la presse leur donnant la possibilité de s’exprimer librement sans pour autant être poursuivie.
MES CHERS COMPATRIOTES, Je parle de tout ceci de façon factuelle suite à une participation active à la vie politique ces 19 dernières années. Années durant lesquelles j’ai parcouru le Sénégal d’Est en Ouest, du Nord au Sud. J’ai fait aussi beaucoup de contrées où résident la majorité des sénégalais de l’extérieur. J’ai fait l’Europe, l’Amérique, l’Afrique…J’ai été dans le Sénégal des profondeurs, loin des villes, au contact de la triste réalité à laquelle sont confrontés les sénégalais. J’ai vu de mes propres yeux leur souffrance, la difficulté des femmes à accéder aux soins réguliers, les difficultés du personnel de santé en manque de matériel et de plateaux techniques appropriés face à des cas urgents de malades à ausculter, examiner, soigner. J’ai vu de mes propres yeux les difficultés des enseignants et des professeurs confrontés régulièrement à un effectif pléthorique d’élèves et d’étudiants, un matériel didactique insuffisant et un traitement salarial disproportionné à la hauteur des sacrifices qu’ils consentent jour et nuit pour encadrer nos filles et fils. J’ai vu l’endurance du jeune étudiant, le visage vide d’espoir du jeune diplômé à la recherche de l’emploi pour enfin prendre le relai de ses parents qui ont tant investi pour sa réussite, le stress permanent du retraité face à la difficulté de survie avec une modique pension de retraite. J’ai vu de mes propres yeux, des habitants de Kédougou, Sabadola, Diogo, Darou, Mako, Matam, Falémé, etc., privés du minimum social, les plongeant dans une pauvreté aussi extrême et provoquée par un système de gouvernance peu soucieux de l’équité territoriale, alors qu’ils sont pourtant très riches du sous-sol. Nous avons entre autres de l’or, du Zircon, du phosphate, du sable, du calcaire, la mer, le soleil, le vent, mais aucune de ces richesses ne nous profitent correctement. 
Nous sommes aujourd’hui témoin de la précarité de nos pécheurs. Ils sont 600.000 à être privés de leur seule activité de revenus parce que les seules ressources dont ils disposaient ont été vendues par l’Etat du Sénégal à des étrangers via un système d’octroi de licences de pêche pillant toutes nos ressources halieutiques et faisant que nous avons plus d’étrangers dans nos eaux que de pécheurs locaux originaires de Guet Ndar, de Kayar, de Mbour, de Kafountine, etc. 
J’ai été au contact des sénégalais de la diaspora et j’ai vu les difficultés auxquelles ils sont confrontés notamment le renouvellement de leur titre de séjour, l’obtention de papiers administratifs, leur régularisation et surtout le respect qu’ils méritent en territoire étranger.Nous avons tous assisté au scénario triste du phénomène « barça wala barsakh » qui se poursuit avec de valeureux jeunes qui perdent la vie soit en mer ou dans le désert du Sahara à la recherche de l’eldorado loin de chez eux. 
Le sentiment d’insécurité est ambiant, la tension sociale à son comble avec le pouvoir d’achat des ménages de plus en plus faible et frêle. Aujourd’hui, les produits alimentaires ont augmenté de 19,9% alors que ces derniers représentent le premier poste de dépenses du sénégalais lambda soit 53,4% de son revenu puis vient le logement qui est le deuxième poste de dépense des ménages. Ces alarmantes statistiques nous enseignent que le sénégalais de 2023 investit moins dans l’éducation (1,4% de son revenu) car plus de la moitié de son revenu est alloué à la consommation (53,4%) laissant peu de place aux autres postes. Et ce n’est point de sa faute. 
Le niveau d’inflation est insoutenable et asphyxie davantage le citoyen sénégalais. Le taux d’inflation moyen annuel est ressorti à 9,7% au Sénégal en 2022 alors qu’il est estimé à 7,5% dans la zone UEMOA pendant que la norme communautaire est fixée à 3%.Et pourtant, et pourtant, nous avons des milliers d’hectares mis à notre disposition par la nature qui pouvait nous permettre d’avoir une souveraineté alimentaire et d’être moins dépendant de l’agriculteur étranger pour nourrir le sénégalais. Chers compatriotes, je vous rappelle que nous disposons de 240.000 hectares au niveau de la vallée du fleuve Sénégal, 25.000 hectares au niveau de la vallée de l’Anambé, et 150.000 hectares arables sur le reste du pays. Nous avons une riche et assez abondante aquifère, du soleil, une jeunesse valeureuse et déterminée, mais malgré tout ceci, aujourd’hui, nous continuons à être dépendant de l’extérieur avec une importation de denrées de première nécessité dont le riz en moyenne de 1 million de tonnes par an. MES CHERS COMPATRIOTES, Depuis 2012, malgré la cartographie triste et non moins satisfaisante du Sénégal sur le plan socioéconomique, la seule volonté nettement affichée du régime actuel et qui lui tient le plus à cœur est connue de tous : réduire l’opposition à sa plus simple expression. Nous avons tous assisté à la chasse aux opposants, à l’interdiction non fondée de manifestations pacifiques avec son lot d’arrestations injustifiées, au torpillage tous azimuts de la constitution et de ses principes les plus élémentaires, à la liquidation d’adversaires politiques par des dossiers judiciaires, à l’emprisonnement de journalistes, à l’effondrement des valeurs morales dans la politique, à la promotion de l’impunité, de la mal gouvernance. Nous avons vu et entendu un Président qui n’use de son coude qu’à le mettre sur les dossiers et rapports des corps de contrôle qui mettent à nu des malversations financières de ses partisans politiques.Une telle orientation, renforcée par les velléités de 3e candidature, ne peut que nous exposer à des dérives très préjudiciables à la stabilité du pays et à la cohésion sociale.——
Parallèlement, les enjeux et défis sont encore plus immenses que jamais. Le Sénégal s’apprête à entrer dans une nouvelle ère. Les bonnes nouvelles de l’exploitation future du pétrole et du gaz, les opportunités du digital et du numérique, la cryptomonnaie, mais aussi la menace du terrorisme, du changement climatique, les dynamiques géopolitiques mondiales, les risques d’implosion d’une bombe sociale, etc.Face à toutes ces profondes mutations, il requiert une mobilisation de tous pour faire face aux chocs exogènes et en même temps tirer large avantage de nos opportunités, atouts et potentiels. MES CHERS COMPATRIOTES Croyez-moi, la solution existe. Cela dépend de notre commune volonté de changement. Dans exactement 12 mois, se tiendra s’il plait à Dieu l’élection présidentielle. Nous aurons ainsi l’occasion de mettre un frein à la stagnation économique, sociale, pour enfin évoluer et marquer les pas vers un développement. Notre pays a besoin d’avancer et d’être dans la dynamique d’une évolution positive car nous devons enfin progresser.Le prochain Président de la République que vous allez choisir y a une responsabilité certaine et grande. Je le sais intimement et j’en ai l’entière conscience. 
Je demeure convaincu qu’un président n’est pas simplement un porteur de défis et de projet. Il est aussi dépositaire d’espoirs, de valeurs et principes qui font du Sénégal une nation unie, forte, de paix et de stabilité, de téranga et de tolérance. J’en suis également conscient. Le Sénégal qui nous a tout donné est arrivé à un tournant de son évolution où il est temps de prendre les choses en main et de ne pas rater le virage de son positionnement dans l’Afrique et dans le reste du monde au milieu de ces mutations géopolitiques profondes. J’ai emprunté, par la Grâce du Seigneur et la contribution de chaque sénégalais, l’itinéraire de l’école publique sénégalaise au primaire comme au secondaire ensuite l’école polytechnique, l’ENOA de Thiès dans le cadre de la formation d’officiers de réserves, et le management stratégique de haut niveau avec un MBA et le Black Belt Lean Six Sigma. Par la Grâce du Seigneur et la contribution de chaque sénégalais, j’ai fait le chemin de l’industrie, de l’entrepreneuriat, du secteur privé. Par la Grâce du Seigneur et la contribution de chaque sénégalais, j’ai emprunté le chemin du syndicalisme universitaire, de la politique, de l’Assemblée Nationale et aujourd’hui Président de Parti – PRP – Parti Républicain pour le Progrès/Dissoo Ak Askan Wi. Les responsabilités qui ont été les miennes et le cumul des différentes expériences engrangées m’ont fait pleinement prendre la plénitude de la conscience des défis et de tous les enjeux du moment. J’ai décidé aujourd’hui, de mettre au service du pays, cette forte expérience politique de 19 ans et de 22 ans d’expériences professionnelles, pour un développement maitrisé avec à la base rigueur et détermination, sérieux et bonne gouvernance, éthique et déontologie. JE SUIS PRÊT ! C’EST POURQUOI, MESDAMES ET MESSIEURS, CHERS COMPATRIOTES SENEGALAISES ET SENEGALAIS, JE DECLARE ICI ET MAINTENANT, ET DE LA FAÇON LA PLUS SOLENNELLE, MA CANDIDATURE A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DU 25 FEVRIER 2024.  
MES CHERS COMPATRIOTES,
Si je bénéficie de votre confiance au soir du 25 février 2024, je travaillerai inlassablement pour la cohésion nationale, pour la paix et la stabilité, pour une diplomatie efficace, pour un redressement économique et social, pour une équité dans la distribution des richesses produites dans le pays, pour un système de santé moderne, pour un système éducatif performant et adapté à nos réalités et aux enjeux du siècle.
Si je bénéficie de votre confiance, je travaillerai au respect de la Constitution, au fonctionnement régulier et efficient des institutions de la République, à garantir l’intégrité territoriale.
MES CHERS COMPATRIOTES,Si je bénéficie de votre confiance, je serai un véritable chef d’Etat qui sera au-dessus des contingences politiques, partisanes ; je serai aussi un véritable Chef suprême des armées et là, c’est le militaire ayant séjourné à AMBAFOR 1 avec la devise XEL, JOM, FIT qui vous parle.  

MES CHERS COMPATRIOTES,
Pour la réalisation de ce projet, je vous tends ainsi la main et vous ouvre le cœur. J’en appelle aujourd’hui à toutes les femmes et les tous les hommes de bonne volonté. J’en appelle aujourd’hui à toutes celles et tous ceux qui n’ont d’envie qu’un changement réel avec un arrimage sur nos valeurs sociales profondes. J’en appelle aujourd’hui à toutes celles et tous ceux qui veulent voir l’image du Sénégal rayonner au-delà de nos frontières. J’en appelle à toutes celles et tous ceux qui veulent qu’enfin, l’action publique ait sens et que le sénégalais soit au cœur de l’action de l’Etat. Ces défis qui nous attendent, nous ne pourrons à coup sûr qu’ensemble les relever avec succès. 
MES CHERS COMPATRIOTES,
Pour finir, je vous annonce le séminaire des cadres qui sera organisé au mois de mai pour la finalisation et le partage du programme qui sera soumis au sénégalais et qui est le fruit de longues itérations. Dans une démarche participative et consensuelle, ce séminaire réunira plus de 500 cadres et professionnels des secteurs vitaux de la nation.Je vous annonce également l’organisation du congrès d’investiture au mois de juillet 2023, et nous y invitons tous les sénégalaises et sénégalais.

Tensions politiques au Sénégal : Dame Mbodj déverse sa bile sur Macky Sall et Emmanuel Macron

Dame MBODJI : Macky
Dame MBODJI : Macky

À moins d’un an de la prochaine élection présidentielle, la situation politique devient très tendue entre la coalition  au pouvoir et  le chef de l’opposition Ousmane Sonko. Suffisant pour que le secrétaire général du Cusems/A, Dame Mbodj, de tirer la sonnette d’alarme et fustige ce qu’il appelle de l’acharnement sur la personne de président du Pastef. Ce dernier révèle que l’unique responsable de cette situation délétère est le président Macky Sall et son régime qui ne respectent pas les lois et règlements du pays.
D’ailleurs, il invite la société civile et l’opposition à s’ériger en bouclier, afin de lutter contre toute éventuelle liquidation d’un adversaire politique. Les détails dans cette vidéo.

[Vidéo] Me El Hadj Diouf brise le silence et dément Cheikh Bara Ndiaye

Me El Hadj Diouf brise le silence et dément Cheikh Bara Ndiaye 

Sokhna Bator en Larmes: « Bimako Guissé Sama Tour Nioukay Wowé Pr Macky Sall Dama… » (vidéo)

(Vidéo) – Anniversaire : L’incroyable surprise de Fatousha à son mari Ismaïla Sarr

Vidéo-Très énervé, Sa Thiès s’en prend au camp de Reug Reug“kouma saga ndeye ma def..dagn ma togn »

Très énervé, Sa Thiès s’en prend au camp de Reug Reug“kouma saga ndeye ma def..dagn ma togn »