(Vidéo) “Lima andal Sonko motax niou tothi sama garage, Préfet dafma wax dagni nek ci guerre” Chef parc auto
Troisième mandat : « Thiédo Mouride » disqualifie Macky Sall (vidéo)
« Thiédo Mouride Sadikh » est revenu sur la question du troisième mandat. Selon le chroniqueur de la 2stv, il y a même pas lieu d’un débat sur ce sujet : « Normalement Macky ne doit pas être candidat.», a -t-il déclaré
Incroyable – Projet d’attentat : La SU démantèle le « commando de Pastef »
La Sureté Urbaine (SU) de Dakar a mis hors d’état de nuire un groupe d’individus se faisant appeler « commando de Pastef », dirigé par deux anciens militaires dont un gendarme, informe le journal EnQuête qui cite de sources policières.
Selon le média repris par Pressafrik, ce groupe était en train de planifier des violences et avait fabriqué des cocktails Molotov, des fumigènes et des explosifs qu’ils remettaient à des jeunes, à charge pour ces derniers de s’attaquer aux stations Total, aux supermarchés Auchan, aux bus de « Dakar Dem Dikk » et à des biens publics.
Ces individus prévoyaient aussi de s’attaquer aux installations du Bus rapid transit (Brt) et du Train express régional (Ter), afin de créer une situation insurrectionnelle. Se basant sur des alertes des services de renseignement, les policiers de la SU avaient commencé à les filer, afin des connaitre leurs moindres mouvements, ainsi que les plans qu’ils prévoyaient de dérouler dans la région de Dakar.
Le groupe était dirigé par un nommé K. Diakité, tenancier d’un hôtel situé en face du stade des Parcelles Assainies. Autre responsa-ble en vue du gang, un ancien soldat du bataillon des commandos, F. Mané alias Nianthio, dont le rôle était de confectionner les engins explosifs et autres cocktails Molotov. Il était assisté d’un individu ayant effectué son service sous les drapeaux comme gendarme auxiliaire.
Selon les enquêteurs, le groupe avait déjà fini de collecter des informations sur les membres du gouvernement et sur certains magistrats, notamment le juge Maham Diallo, le doyen des juges près le tribunal hors classe de Dakar et qui a dirigé l’instruction de l’affaire de viols et de menaces de mort qui oppose le leader et maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko, à la dame Adji Sarr. L’exploitation des téléphones des incriminés a permis aux policiers d’y découvrir « des images et des vidéos compromettantes sur les cibles et leurs déplacements », selon des sources à nos confrères.
Arrêtée…Binetou Sambou (Pastef) allaite son bébé en prison
Arrêtée chez elle et en détention depuis plus de 15 jours, pour violation d’itinéraire de marche à Tivaouane, le professeur Binetou Sambou de Pastef allaite, depuis plus de 15 jours, son bébé en prison.
« Quand on lui emmène son bébé dans les Cellules pour sa tétée, vous comprenez que Macky est un monstre froid », dénonce Amadou Ba, membre du mouvement national des Cadres de Pastef. Selon lui, Bintou Sambou reste très digne et combative. Et son procès en flagrant délit a été renvoyé au 29 mars pour la maintenir « le plus longtemps en détention. Même un contrôle judiciaire lui a été refusé ». « Elle est actuellement à la prison de Thiès loin des siens qui sont à Tivaouane où existe une prison pourtant », poursuit M. Ba repris par Senego.
Les vacances de Pâques avancées : Ce qui se cache derrière cette décision du ministère de l’Éducation
« Tout le monde a constaté qu’il y a une tension politique dans le pays, liée à des affaires judiciaires politisées. Et nous avons constaté que certains établissements ont été délogés par des groupes organisés, pour des raisons qui n’ont rien à voir avec des revendications pédagogiques« , a expliqué Moustapha Diagne, Directeur de la communication et de la formation au ministère de l’Éducation nationale.
Et pour préserver l’école, dit-il, les cours vont vaquer avant la date du procès, fixé au 30 mars prochain : « Le ministère de l’Education nationale, pour qui la sécurité des élèves, des enseignants et du personnel des écoles, est une priorité absolue, a décidé d’avancer les fêtes du deuxième trimestre afin de préserver notre école et tout le personnel ainsi que les élèves, contre ces soubresauts« .
Le CUDIS pour le renvoi du procès Mame Mbaye Niang / Ousmane Sonko
Des tensions sont notées depuis quelques jours dans l’arène politique, à cause du bras de fer entre le pouvoir et l’opposition. Cependant, le Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal invite les acteurs politiques à prendre comme prétexte le Ramadan, pour calmer le jeu. Mieux, il les invite au dialogue afin de décrisper l’espace politique. « Rewmi »
L’opposition accuse le pouvoir d’instrumentaliser la justice pour museler des adversaires politiques et de forcer une troisième candidature du président Macky Sall. Ainsi, a-t-elle annoncé une série de manifestations dans les 46 départements, le mercredi 29 mars, veille du procès en diffamation qui oppose le ministre, Mame Mbaye Niang au leader de l’opposition, Ousmane Sonko. Des mobilisations sont également prévues la veille de la fête de l’indépendance. De son côté, le Président Macky Sall, venu présider la réunion du Secrétariat exécutif national (SEN), a mis en garde les fauteurs de trouble. Invité de l’émission « Grand Jury », le secrétaire général du Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal (CUDIS) estime que le mois de Ramadan devrait être un prétexte pour les différents acteurs politiques, de calmer la tension.
Dr. Cheikh Guèye puisque c’est de lui qu’il s’agit, a commencé par déplorer la surpolitisation de l’espace public, avant d’indiquer : « je pense qu’il faut suspendre les manifestations mais en même temps, renvoyer de nouveau ce procès que tout le monde craint. En cette période où musulmans et chrétiens jeûnent en même temps, en plus de la fête de l’indépendance qui approche à grands pas, il s’agit d’une opportunité pour le Sénégal de se retrouver, de s’élever spirituellement, d’être dans le pardon et de travailler à plus de cohésion sociale ».
… et invite les politiques à s’asseoir autour d’une table
Par ailleurs, le secrétaire général du Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal a fait remarquer qu’il avait prédit cette situation tendue à laquelle le Sénégal fait face depuis un certain temps. C’est sur ces entrefaites qu’il dit être en permanence dans la médiation, surtout quand une manifestation se prépare. A l’en croire, la meilleure façon de mettre un terme à cette situation, c’est de se retrouver autour de la table et de dialoguer. « Et parmi les points pouvant être abordés durant ce dialogue, il y a, entre autres, la libération des détenus « politiques » qui, pense-t-il, est un élément dans la démarche de décrispation.
« Parce que la radicalisation est liée à des affaires juridiques, politiques mais aussi socio-économiques », a déclaré Dr. Cheikh Guèye. Toutefois, il invite l’Etat à tendre la main à l’opposition pour éviter le pire. « Qu’ils (les politiques) comprennent qu’il est bien possible d’avoir une décrispation, à condition que chacun accepte de laisser quelque chose, qu’il y ait un compromis. Je continue à croire que c’est très possible et que cela doit être arbitré par les religieux et les médias», a laissé entendre le secrétaire général du Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal.
La vidéo de la fille Fat Mbacké ch0que,El Malick libéré, Dr Niang déféré, plainte Babacar Kewlou
Des procureurs s’exprimeront demain à travers le territoire sénégalais !
Dans un contexte de tensions politiques marqué par plusieurs arrestations au sein de l’opposition, notamment du parti Pastef de Ousmane Sonko, plusieurs procureurs généraux, y compris les récemment nommés, tiendront des conférences de presse demain mardi 28 mars 2023. Leurs motivations restent pour l’instant inconnues.
Premier face à face avec la presse pour le procureur général de Dakar
Le procureur général de Dakar tiendra sa première conférence de presse demain matin au palais de Justice de Dakar. Cet événement intervient au milieu des manifestations résultant du procès opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang. Les observateurs attendent avec impatience les déclarations du procureur général et les éventuelles répercussions sur la situation politique actuelle.
D’autres procureurs généraux s’exprimeront également
Outre le procureur général de Dakar, ceux des autres ressorts prendront également la parole demain à 12h précises. À Thiès, le procureur général Assane Ndiaye tiendra un point de presse dans son bureau au parquet général. À Saint-Louis, le procureur général Gor Mack Tall s’adressera aux médias. Les procureurs généraux de Tamba et de Ziguinchor feront de même.
Vidéo: Anticipation des fêtes: Moustapha Diagne DFC brise le Silence “ On doit protéger les élèves…”
Anticipations des fêtes: Moustapha Diagne DFC brise le Silence “ On doit protéger les élèves…”
Abdoulaye Saydou Sow (ministre) : « Si Mame Mbaye Niang accepte de négocier avec Ousmane Sonko… »
Ce 30 mars, la justice devra trancher le différend qui oppose Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang. Ce dernier, ministre du Tourisme, accuse le leader de Pastef de diffamation. Mais avant l’audience spéciale au Tribunal de Dakar, certains parlent d’une possible négociation entre Sonko et Mame Mbaye Niang pour régler ce problème à l’amiable.
Interrogé par la Sen TV, Abdoulaye Saydou Sow, maire de Kaffrine, vice président de la Fédération sénégalaise de football et ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, a évoqué cette possibilité de voir les deux camps négocier. Mais pour lui, ceci n’engagerait que Mame Mbaye Niang, pas l’Etat.
« Il y a des choses sur lesquelles on ne peut pas négocier. Mame Mbaye Niang est un citoyen sénégalais, qui a ses droits. Si Mame Mbaye Niang accepte de négocier avec Sonko, de transiger, il en va de sa responsabilité personnelle. Mais l’Etat ne peut pas négocier sur un procès à la place de Mbaye Niang. Et ce dernier, je crois, a été très clair. Personne n’a interrogé pour que l’on puisse négocier sur ce dossier. Ce serait la meilleure preuve d’une instrumentalisation de la justice », a-t-il déclaré.
Les raisons qui ont poussé le ministère de l’Éducation à avancer le début des vacances de pâques
Le ministère de l’Éducation nationale a informé la communauté éducative, via une note reçue à la rédaction de SeneNews, que le début des vacances de Pâques 2022/2023, qui était initialement prévu le 31 mars 2023, a été avancé au 27 mars 2023 à partir de 18 heures. Cependant, la fin des vacances reste prévue pour le 12 avril 2023 à 8 heures.
Cette décision a été prise en raison du procès impliquant Ousmane Sonko et Mame Mbaye Niang, dont une audience est prévue le 30 mars prochain. Le ministère de l’Éducation nationale a décidé d’avancer les vacances de Pâques pour préserver la sécurité des élèves, des enseignants et du personnel des écoles face à la tension politique dans le pays. « Tout le monde a constaté qu’il y a une tension politique dans le pays, liée à des affaires judiciaires politisées. Et nous avons constaté que certains établissements ont été délogés par des groupes organisés pour des raisons qui n’ont rien à voir avec des revendications pédagogiques », a expliqué Moustapha Diagne, Directeur de la communication et de la formation au ministère de l’Éducation nationale, rapporte Igfm.
« Le ministère de l’éducation nationale, pour qui la sécurité des élèves, des enseignants et du personnel des écoles est une priorité absolue, a décidé d’avancer les fêtes du deuxième trimestre afin de préserver notre école et tout le personnel ainsi que les élèves, contre ces soubresauts », a-t-il ajouté.
3éme mandat Macky ? L’étonnante sortie de Ndella Madior “mane ma diapalé Wa Apr..motax niouy wax” (vidéo)
3éme mandat Macky ? L’étonnante sortie de Ndella Madior “mane ma diapalé Wa Apr..motax niouy wax” (vidéo)
Dernière minute : El Malick Ndiaye (Pastef) libéré mais placé sous bracelet électronique
Arrêté puis placé en garde à vue le mercredi 22 mars dernier, El Malick Ndiaye vient de bénéficier d’une liberté provisoire selon les informations fournies par son avocat, Me Moussa Sarr. Cependant, le chargé de communication de Pastef sera sous bracelet électronique.
Arrêté il y a près d’une semaine pour diffusion de fausses nouvelles de nature à jeter le discrédit sur le fonctionnement des institutions, El Malick Ndiaye de Pastef vient de bénéficier d’une liberté provisoire. Mais comme Waly Diouf Bodiang, chef de sécurité de Sonko, El Malick Ndiaye sera surveillé avec un bracelet électronique.
La révélation a été faite ce lundi par son avocat, Me Moussa Sarr.
Urgent : Non-assistance à une personne en danger … : Dr Babacar Niang déféré au parquet
Arrêté puis libéré samedi dernier sur convocation, le patron de la Suma Assistance, Dr Babacar Niang vient d’être déféré au parquet ce lundi pour non-assistance à une personne en danger et homicide involontaire. Il est dans la cave du palais de justice en attendant de faire face au procureur.
« Macky Sall pense qu’il a tellement raison qu’il est en train de se dédire » Arona Coumba Ndofféne Diouf ministre conseillé
Après la remobilisation de ses troupes, la candidature du chef de l’Etat Macky Sall refait surface. C’est au tour de l’ancien ministre conseillé Arona Coumba Ndofféne Diouf de s’adresser à Macky Sall lors de la conférence de presse.
« Macky Sall n’a pas plus d’expérience que moi, au contraire, j’ai une expérience que personne ne peut égaler dans ce pays. On a fait les études ensemble, j’ai dû partir pour encore m’instruire et je suis revenu et je suis resté dans l’administration pendant 10 ans, j’étais dans son cabinet. Je connais donc comment fonctionne un Etat, j’ai une expérience que personne n’a ici », a expliqué Arona Coumba Ndofféne Diouf
Selon l’ancien ministre conseillé, Macky Sall pense s’il est le seul à faire fonctionné le Sénégal.
« Macky Sall pense que s’il part, le Sénégal ne fonctionnera plus, et d’ailleurs il pense qu’il a tellement raison qu’il est en train de se dédire. Il faut qu’on le raisonne un peu, il faut absolument qu’on le résonne. Je lui dis clairement : partez en 2024 et laissez-moi les clés du pays et je vais pouvoir le diriger », a laissé entendre Arona Coumba Ndofféne Diouf
« 3e mandat dou fi am »: Quand You appelait les jeunes à prendre leurs responsabilités(VAR-vidéo)
C’est une vidéo rare de Youssou Ndour. Le leader de Super Etoile , devant une foule, dénonçait la tentative pour Me Abdoulaye Wade de briguer un 3e mandat. « Waroul bokk. La constitution ne permet à Me Wade de se présenter pour un 3e mandat. »
C’est ainsi qu’il avait appelé les jeunes à prendre leurs responsabilités comme lui. « Si vous le voulez bien, Me Wade ne va participer aux élections. On est prêt à Tout. L’histoire de ce pays va s’écrire à partir de maintenant… »
Le leader du Super avait aussi appelé la communauté internationale à sermonner l’ancien président sur la démocratie du pays qui est bafouée. « Il est en train de mettre le pays dans des risques. Et c’est la raison pour laquelle, des gens comme moi s’engagent en politique », avait-il déclaré.
Reconvoqué ce lundi, ce que risque Dr Babacar Niang
La garde à vue du patron de Suma Assistance, Dr Babacar Niang, a été levée depuis samedi. Cependant, ce dernier devra se rendre à la Sûreté urbaine (Su) pour répondre à une nouvelle convocation, ce lundi 27 mars.
D’après Libération, il risque d’être déféré devant le procureur de la République, qui devra sceller son sort.
Le mis en cause a été arrêté mardi dernier suite à un avis de recherche et d’arrestation émis par la Sûreté Urbaine (SU). Il est poursuivi pour non-assistance à personne en danger et homicide involontaire, suite à la plainte de la famille de Mamadou Ly dit Doudou Fall, agent à la mairie de la Médina, qui a succombé à ses blessures après qu’il a été lynché, lors des manifestations du jeudi 16 mars dernier.
Ses confrères avaient menacé de perturber le secteur de la santé s’il n’était pas libéré.
Déthié Fall dévoile enfin « comment Idrissa Seck a rejoint Macky Sall »
Le président Macky Sall a nommé Idrissa Seck à la présidence du Conseil économique, social et environnemental (CESE) le 1er novembre 2020, une nomination qui a surpris beaucoup de gens dont Dethie Fall.
Ce dernier, ancien collaborateur d’Idrissa Seck, a commenté cette décision. Selon le dirigeant du Parti républicain pour le progrès (PRP), la nomination ne constitue pas une « trahison » de la part d’Idrissa Seck.
« Tout ce qu’Idrissa Seck a eu à dire avec moi, n’est autre que des scénarios. Pour chaque scénario, je lui ai donné mon point de vue. La décision finale lui appartenait et cette décision finale, je l’ai appris comme vous. J’ai appris comme vous qu’on venait de le nommer président du Cese à la radio […]. Je ne l’ai pas pris comme une trahison », a-t-il laissé entendre.
Avec sa nomination, Idrissa Seck a remplacé Aminata Touré et est devenu la quatrième personnalité de l’État. Suite à sa reconduction en tant que Premier ministre en septembre 2022, il est désormais la cinquième personnalité de l’État.
Vidéo- Affaire 98 milliards : GMS balance une info de taille et mouille Mansour Faye
Vidéo- Affaire 98 milliards : GMS balance une info de taille et mouille Mansour Faye
Vidéo -3em mandat:GMS déclare la gu*rre à Macky Sall et annonce une grande révolution
Vidéo -3em mandat:GMS déclare la gu*rre à Macky Sall et annonce une grande révolution
Vidéo : Les tristes confidences de GMS sur l’attestation de Sonko » li takh ma lakhassouko… »
Vidéo : Les tristes confidences de GMS sur l’attestation de Sonko » li takh ma lakhassouko… »
fêtes Pâques : La date officielle publiée par le MEN (Photo)
fêtes Pâques : La date officielle publiée par le MEN.
Vidéo -Mary Teuw sur le 3e mandat: « Macky a envoyé quelqu’un me dire de l’aider pour… »
Mary Teuw sur le 3e mandat: « Macky a envoyé quelqu’un me dire de l’aider pour… »
Elimane Kane : « Si le Conseil constitutionnel valide le troisième mandat… »
Le débat sur le troisième mandat a été réglé depuis la Constitution de 2001, malgré le forcing d’Abdoulaye Wade. Le débat n’a jamais été le nombre de mandats, mais la durée des mandats, selon le cofondateur de Mesure.
Il sera difficile de nous faire croire autre chose, encore que le référendum n’a fait que renforcer la question. Ceux qui l’on écrit l’ont déjà dit à plusieurs reprises. Ils n’ont pas le droit de nous imposer ce débat », explique Elimane Kane.
A l’en croire, il ne faut pas revenir sur ces questions qui constituent un recul démocratique. Wade avait forcé et Macky s’était opposé à ça. Il ne doit pas nous imposer cela. « Il s’est séparé de tous ceux qui ont dit qu’il ne peut pas briguer un troisième mandat et est actuellement entouré de ceux qui l’encouragent à le faire », explique M. Kane. Pour lui, la parole donnée prime sur tout. D’ailleurs, ajoute-t-il, Macky l’a écrit dans son livre.
Toutefois, Elimane Kane dit se conformer à la décision du Conseil constitutionnel même si l’entité a, dit-il, ses faiblesses. »Il faut que les institutions demeurent, il ne faut pas les fragiliser. Il faut aller aux élections et régler la question au niveau des urnes. Je fais partie de ceux qui ont initié Jam a gen troisième mandat, qui est constitutionnellement pas possible, mais il faut qu’on respecte les institutions », conclut-il.
Paris : Forte mobilisation des sénégalais de la diaspora contre le 3e mandat, les arrestations arbitraires …
Quelques centaines de membres de la diaspora sénégalaise ont manifesté samedi 25 mars 2023 à Paris à la Place du Trocadéro pour dénoncer les « dérives autoritaires » du président Macky Sall.
Des Sénégalais établis à Paris ont répondu à l’appel du parti des Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), présidé par Ousmane Sonko.
Plusieurs personnes ont pris part à ce rassemblement à Paris à la Place du Trocadéro pour dire non au Président Sénégalais Macky Sall contre les arrestations arbitraires, le 3e mandat, et à la liquidation du leader de Pastef, Ousmane Sonko.
Les manifestants ont exigé la libération des détenus politiques. Mais aussi, ils ont dénoncé la présence de nervis armés dans les rangs des services d’ordre.
Regardez !
Sûreté urbaine de Dakar : La date de la reconvocation du Dr Babacar Niang révélée
C’est l’information minimale qui a été livrée par son avocat Me Abou Alassane Diallo. « Dr Babacar Niang, libéré hier soir, devra retourner ce lundi à la sûreté urbaine pour faire face au commissaire » informe son avocat joint au téléphone par Dakaractu.
Pour le moment, la robe noire se réserve de donner toute autre information supplémentaire sur cette nouvelle convocation du patron de la clinique Suma Assistance.
Arona Coumba Ndoffène Diouf : « Juridiquement, Macky Sall a le droit de se présenter mais.. »
Pendant deux jours, des maires et anciens maires se sont réunis à Saly pour soutenir la candidature à l’élection présidentielle de 2024 du ministre conseiller Arona Coumba Ndoffène Diouf. Selon lui, le président Macky Sall et la coalition Benno Bokk Yaakar (BBY) sont en chute libre. Il est convaincu que l’actuel chef de l’État ne se présentera pas lors de la prochaine élection.
« Macky Sall a épuisé ses deux mandats. Juridiquement il a le droit de se présenter. Donc, ce n’est pas une question d’une décision du Conseil Constitutionnel mais plutôt de morale et de décence. La morale nous interdit de nous dédire. Macky a fait une déclaration et tous les Sénégalais ont approuvé, il n’a pas le droit de décevoir, ni de se dédire. En 2012, il m’avait invité à le rejoindre pour combattre les deux mandats consécutifs de Abdoulaye Wade, comment donc pouvons-nous faire marche arrière et ravaler nos propos? »,s’interroge Arona Coumba Ndoffène Diouf.
Il est convaincu que le Président Macky Sall ne se présentera pas à la prochaine élection présidentielle. « Il est en train de faire ses adieux. Son temps est fini. Toutes les séries d’inauguration qu’il est en train de faire ne sont pas un hasard, il prépare sa retraite », assure Arona Coumba Ndoffène Diouf.
Avec son parti politique Alternative Citoyenne And Defar Sounou Rew et un programme bien structuré appelé Programme Alternative de Développement Endogène (Paden), Arona Coumba Ndoffène Diouf se présentera aux élections présidentielles pour briguer les suffrages des Sénégalais.
