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(Vidéo) Cheikh Omar Talla « politiquement Idy est fini lorsqu’il a rejoint Macky da wra wax ndax day nek Prési »

Cheikh Omar Talla
Cheikh Omar Talla

Urgent : Macky Sall nomme un nouveau Chef d’Etat major des armées

Le Sénégal a un tout nouveau Chef d’Etat Major général des armées. En effet, le Général de Corps d’Armée Mbaye CISSE, précédemment Chef de l’Etat Major Particulier du Président de la République, est nommé Chef d’Etat Major Général des Armées (Cemga), en remplacement du Général d’Armée Cheikh WADE.

Ci-dessous la liste des nominations.

1. Le Général de Corps d’Armée Cheikh WADE, est élevé aux rang et appellation de Général d’Armée ;

2. Le Général de Division Mbaye CISSE, est élevé aux rang et appellation de Général de Corps d’Armée ;

3. Le Général de Corps d’Armée Mbaye CISSE, précédemment Chef de l’Etat Major Particulier du Président de la République, est nommé Chef d’Etat Major Général des Armées, en remplacement du Général d’Armée Cheikh WADE, appelé à d’autres fonctions ;

4. Le Contre-Amiral Oumar WADE, précédemment Chef d’Etat-major de la Marine nationale, promu au Grade de Vice-Amiral, est nommé Chef de l’Etat-major Particulier du Président de la République ;

5.  Le Contre-Amiral Abdou SENE, précédemment Conseiller Défense du Premier Ministre, est nommé Chef d’Etat-major de la Marine nationale, en remplacement du Vice-Amiral Oumar WADE, appelé à d’autres fonctions.

Amadou Ba « malgré nos efforts, la production agricole de l’année dernière n’est pas bonne (Vidéo)

Me Cissé répond à Yérim Seck « un pré-rapport c’est un rapport, ils veulent rendre inéligible Sonko.. » (Vidéo)

Me Ousseynou Ngom démonte l’injustice sur le traitement de Sonko «Biniou ko Wowé pour… » (Vidéo)

L’avocat de Sonko sur les 200 millions « on a jamais alloué quelqu’un… » (Vidéo)

Conseil interministériel : Les engagements du Premier ministre au secteur agricole

Amadou Ba
Amadou Ba

Le Premier ministre Amadou Ba a présidé, ce matin, un Conseil interministériel consacré à l’agriculture, à la primature. 
À cet effet, le chef du gouvernement a souligné que depuis l’avènement de la Covid-19 et la guerre russo-ukrainienne, une augmentation du prix des engrais est constatée. Ce qui fait que le budget de la campagne agricole du ministère de l’Agriculture a été revu à la hausse, passant de 40 milliards en 2019, à 90 milliards  F CFA en 2022.
Le Premier ministre souligne que cet important effort de l’État en matière d’appui aux producteurs, a permis au secteur agricole d’augmenter la production, de mobiliser les techniques de production, de renforcer la richesse agricole et d’améliorer l’accès des agriculteurs aux intrants agricoles et d’atteindre des résultants satisfaisants avec une amélioration significative de la production agricole arachidière qui a atteint un taux de croissance de 30 % et celle maraîchère de 98 %. 
Cependant, il souligne que malgré ces efforts consentis, la production agricole de l’année dernière n’a pas été à la hauteur des espérances de l’État. 
Ainsi, le Premier ministre Amadou Ba estime qu’il est nécessaire, pour la campagne agricole de cette année, que le gouvernement assure un soutien technique pour l’accès aux semences, aux engrais et aux outils agricoles, et qu’il veille à ce que les agriculteurs disposent des ressources dont ils ont besoin pour produire des récoltes abondantes et de qualité afin de garantir une production agricole réussie.
D’ailleurs, sous cet angle, Amadou Ba informe que le ministre de l’Agriculture va organiser une campagne de sensibilisation et de formation pour les agriculteurs, notamment sur la conservation des sols et la gestion des cultures, pour faire de la campagne agricole 2023 un véritable succès.
En outre, le Premier ministre annonce que la campagne agricole 2023-2024 va s’appuyer sur la stratégie nationale de souveraineté alimentaire qui vise à assurer aux populations une sécurité alimentaire durable et à développer une meilleure résilience.

Urgent: appel du procureur les avocats de Sonko brisent le Silence

Urgent: appel du procureur les avocats de Sonko brisent le Silence

Dernière minute : Yankhoba Diatara quitte le gouvernement après son entretien avec Idy «meunouma def louma méti …

Le ministre des sports, qui était également vice-président du parti Rewmi, a pris une décision importante. Yankhoba Diatara a choisi de démissionner de son poste de ministre des Sports après avoir été destitué de la vice-présidence du parti Rewmi par son leader.

Yankhoba Diatara a proposé lors de sa rencontre avec son leader Idrissa Seck ce matin au Point E, de suggérer au président Macky Sall de nommer quelqu’un d’autre au poste de ministre des Sports, a-t-il déclaré ce jeudi.

Yankhoba Diatara réaffirme son engagement et sa loyauté envers son leader du parti Rewmi, considérant qu’il est « un fils d’Idrissa Seck » et qu’il ne peut jamais rien pour le nuire.

Désormais, il attend la décision de Idrissa Seck, dit-il. « Il a reçu ma suggestion, il va me donner suite ».

Abdou Mbow tacle les leaders de Yewwi et Mimi Touré

Abdou Mbow, le porte-parole national adjoint de l’Apr, par ailleurs député à l’assemblée nationale, ne digère toujours pas l’attitude des responsables de l’opposition qui ont ouvertement décliné l’invitation du chef de l’état à prendre part à la célébration de la fête de l’indépendance. Il parle d’une manœuvre politicienne et d’une attitude antidémocratique.

«Le Sénégal est au dessus des clivages politiques. L’attitude de ces responsables de l’opposition qui ont choisi de décliner l’invitation du chef de l’Etat est déplorable. Aucun Sénégalais ne cautionne ce comportement. C’est une manœuvre politique politicienne qui a tout simplement démontré le manque de patriotisme et l’incohérence de ces leaders. La fête de l’indépendance est une affaire de tous», a-t-il déclaré dans l’émission QG de la tfm.

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Pour rappel, la Conférence des leaders de Yewwi Askan Wi avait décliné l’invitation du Chef de l’Etat sous prétexte qu’elle considère, selon un communiqué, que le Chef de l’Etat n’a encore posé aucun acte significatif pour l’apaisement de la tension politique et sociale que vit le Sénégal.

Phase 2 du Ter : Le Sénégal commande 7 nouveaux trains 

L’achèvement des travaux de la phase 2 du réseau de Train express régional de Dakar (TER) est annoncé pour fin 2023, et l’État sénégalais anticipe la mise en service de cette nouvelle ligne en commandant les trains qui y seront déployés.

Le groupe ferroviaire espagnol CAF (Construcciones y Auxiliar de Ferrocarriles) a dévoilé une commande de train constituée de 7 rames de quatre voitures chacune formulée par l’Agence sénégalaise pour la promotion de l’investissement et des grands travaux (Apix).Les trains seront fabriqués en collaboration avec Alstom qui fournira l’équipement des véhicules, tandis que CAF concevra et produira les trains dans son usine de Reichshoffen, en Alsace. Ces unités ferroviaires devraient être déployées sur le réseau de Train express régional (TER) qui relie Dakar à ses banlieues.

Alstom avait fourni 15 rames automotrices diesel bi-mode de 160 km/h qui sont exploitées sur la première ligne du réseau ferroviaire urbain inauguré en décembre 2021. Actuellement, le Sénégal développe la phase 2 du projet qui s’étend sur 19 Km pour raccorder Diamniadio à, notamment, l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD).

Dakar, la capitale compte près de 24% de la population et la part la plus importante de la flotte de véhicules du pays, ce qui génère à la fois un encombrement du réseau routier et un besoin en transport élevé que l’offre actuelle ne peut couvrir entièrement. Des défis qui ont poussé l’État à investir davantage dans le développement du transport en commun public.

LE JOURNALISTE BALLÉ PREIRA HONORÉ PAR MACKY SALL (PHOTO)

Ballé Preira a été honoré ce 4 avril, par le président de la République, pour le travail au service de la République.
Journaliste et coordonnateur de la Cellule de Communication du ministère des Finances et du Budget, Balla Preira a été élevé, au grade de Chevalier dans l’Ordre national du Lion.

Ces propos de Seydou Gueye sur le parti d’Ousmane Sonko qui vont faire beaucoup de bruit

Dans un entretien accordé à nos confrères de Vox Populi, Seydou Gueye s’est attaqué à Pastef qui, dit-il, n’a pas de projet. Pire encore, le porte-parole de l’Alliance pour la République (Apr) a déclaré que ce parti ne propose que la violence aux sénégalais.

« Certains membres de l’opposition veulent, par la défiance, faire basculer notre pays dans le chaos, appelant à l’insurrection, à la violence et à l’émeute, et veulent nous entrainer ainsi dans un cycle politique régressif et préoccupant, fait de manipulations, d’invectives, de mensonges » a affirmé M. Gueye.

Et, le porte-parole de l’Apr de prévenir que « ce mode de présence en politique n’a aucune utilité au projet démocratique ni à la consolidation de la République qui passent par un débat fécond projet contre le projet et les consensus qui permettent de construire les équilibres nécessaires, à la stabilité, au développement économique et social du pays« .

Autant, Seydou Gueye est allé plus loin en déclarant : « Mais que voulez-vous, si face au PSE, bâti sur une vision sociétale progressiste, un pensée économique authentique et une volonté politique forte, on ne propose aux Sénégalais comme alternative que le vulgaire et intolérable «Gatsa Gatsa» comme projet de société ou de gouvernement ? Dans ces conditions, il ne faut pas s’étonner que le Pastef vire insidieusement en niawteef et en « Kawtel ».

(Video) Témoin des faits à Kayar Les tristes révélations de Ngoné Saliou « limafa guiss sougn si diougoul dina

Témoin des faits à Kayar Les tristes révélations de Ngoné Saliou »limafa guiss sougn si diougoul dina

Keur Massar : La population exige la libération du maire Mouhamed Bilal Diatta

La population de Keur Massar sud et les agents municipaux ont alerté les autorités sur la condamnation de Bilal Diatta. Le maire de keur Massar arrêté depuis 23 mars 2023 par la sûreté urbaine. Il est poursuivi pour offense au chef de l’Etat et présentement en prison. Selon les partisans du maire Bilal l’arrestation du maire Bilal Diatta est arbitraire.

« Une arrestation arbitraire qui porte atteinte à la liberté d’expression, de réunion et d’association consacrée par la constitution sénégalaise et la charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Nous exigeons sa libération immédiate et sans conditions. Si l’Etat de droit fonctionne au Sénégal, il reste très vulnérable en raison des pratiques peu orthodoxes du régime qui abuse de sa capacité à faire arrêter des adversaires politiques. Ce harcèlement doit cesser. La place d’un maire n’est pas en prison. Il incarne une institution, c’est un chef d’entreprise et il a toutes les garanties », informe le collectif de keur Massar Sud

Gestion fonds force covid-19 au ministère des Sports: ce que le Dage Mamadou Ngom Niang a dit aux enquêteurs

Depuis la sortie du Procureur général près la Cour d’Appel de Dakar sur les enquêtes concernant le rapport de la Cour des comptes sur le Fonds Force Covid-19, les langues se délient. Le Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement (Dage) du ministère des Sports, Mamadou Ngom Niang a fait face aux enquêteurs pour les besoins des investigations sur la distribution des fonds Covid-19 alloués par l’Etat du Sénégal. Sur les 400 millions, il a avoué avoir remis près de la moitié à la Fédération sénégalaise de basket-ball (Fsbb), informe le journal Les Echos.

Au ministère des Sports, on informe sous le sceau de l’anonymat que Mamadou Ngom Niang, a été auditionné à la Division des investigations criminelles. Le ministère alors dirigé par Matar Bâ, avait reçu la somme de 400 millions FCFA. Lors de son audition, Niang a reconnu avoir payé en espèces contre des décharges la somme
la fédé de basket reçoit 140 millions au lieu de 15 millions

De cette manne financière qui devait être répartie à beaucoup d’entités, la Fédération sénégalaise de basket-ball, dirigée par Me Babacar Ndiaye, qui n’avait droit qu’à 15 millions, a reçu la rondelette somme de 140 millions.

Invité à justifier cette grosse différence, Mamadou Ngom Niang a indiqué aux enquêteurs, que décision avait été prise de payer 85 millions F Cfa à la Fiba sous peine de sanctions, mais aussi de payer des frais d’hôtel estimés à 6 mil- lions F Cfa ainsi que 49 millions représentant des réclamations faites par le président de la fédération de basket, «créancière envers l’Etat du Sénégal» à hauteur de ce montant.

Voulant ces charges, il a versé 190 millions F Cfa à la Fédération sénégalaise de basket-ball, alors que cette dernière n’avait droit qu’à une subvention de 15 millions. Mais finalement, les charges ont été estimées à 140 millions F Cfa. Ainsi, la Fédération de basket-ball a restitué au ministère des Sports le surplus de 50 millions F Cfa.
Paiement en espèces : une entorse au règlement général sur la comptabilité publique

L’autre problème du Dage du ministère des Sports, ce sont les paiements en espèces, selon nos confrères. A ce sujet, Mamadou Ngom Niang dit avoir utilisé ce procédé parce que le ministère des Sports ne dispose pas d’un compte de dépôt au Trésor public.

Or, il est de notoriété publique que les paiements en espèces des subventions et le système de compensation sont des pratiques contraires aux dispositions du Règlement général sur la Comptabilité publique. «Le paiement des dépenses par virement à un compte bancaire ou postal est obligatoire pour tout règlement supérieur à un montant fixé par la réglementation en vigueur. Dans tous les cas, il est obligatoire, quel que soit le montant de la créance, pour tout règlement à effectuer au profit de créanciers inscrits au Registre du Commerce et du Crédit mobilier ou au Registre des Métiers ou de personnes morales de droit public ou privé», stipule l’article 104 du Règlement général sur la Comptabilité publique.

Présidentielle 2024 : La révision exceptionnelle du fichier électoral lancée ce jeudi, tout ce qu’il faut savoir

Aujourd’hui, jeudi 6 avril, marque le début de la révision exceptionnelle des listes électorales en vue de l’élection présidentielle de 2024. Des commissions ont été mises en place dans chaque commune pour permettre aux citoyens de faire des opérations telles que l’inscription et la radiation. Cette période dure un mois.

Selon Biram Sene, pour s’inscrire, il faut avoir une carte d’identité biométrique de la CEDEAO. Si la personne n’a pas de lien avec la commune, elle doit prouver son appartenance en présentant un certificat de résidence. Si ce n’est pas possible, elle peut fournir une facture d’eau, d’électricité, de téléphone ou un quitus fiscal.

La deuxième opération est le changement d’adresse électorale (changement de centre ou de lieu de vote).

La troisième opération concerne le changement de statut, qui s’applique aux militaires ou paramilitaires devenant civils ou aux civils devenant militaires ou paramilitaires. Ce sont ces personnes qui sont concernées par cette troisième opération.

La dernière opération concerne la radiation des électeurs décédés, des électeurs frappés d’une incapacité légale ou des électeurs qui ne souhaitent plus figurer sur les listes électorales. Dans ce cas, le demandeur doit prouver qu’il est électeur en présentant sa carte nationale d’identité biométrique CEDEAO et une pièce attestant qu’il est décédé. C’est ce qu’a déclaré Biram Sène, directeur de l’information et de la communication à la direction générale des élections (DGE), lors d’une interview avec Sud FM.

Pour rappel, avant chaque élection générale, un décret est publié pour décider d’une révision exceptionnelle des listes électorales. Cela permet de mettre à jour les listes électorales et permet également aux Sénégalais qui auront atteint l’âge de dix-huit ans à cette date, ainsi qu’à tout autre citoyen remplissant les conditions requises et n’ayant pas encore accompli cette formalité, de pouvoir s’inscrire ou de changer de lieu de vote.

 Vidéo-Gros mots en plein direct,Mamadou Lamine Massaly “Sonko aab féen kat bou mak la”

Gros mots en plein direct,Mamadou Lamine Massaly “Sonko aab féen kat bou mak la”

https://youtube.com/watch?v=zxeOfVWDlwU

Vidéo-Quand Néné Aicha corrige Massaly « lan mooy définition Sweet Beuaty…., naming la amoul… »

Quand Néné Aicha corrige Massaly « lan mooy définition Sweet Beuaty…., naming la amoul… »

Vidéo-Condoléances à Touba: Macky dépêche 2 ministres chez Abdou Bara Dolly

Après avoir câblé Abdou Mbacké Bara Dolly suite au rappel à Dieu de sa mère, le Président Macky Sall a dépêché ce mercredi deux ministres à Touba.

Mamadou Moustapha Bâ, Ministre des Finances et du Budget et Alioune Ndoye, Ministre de l’Environnement, du Développement durable et de la Transition Écologique, ont présenté les condoléances du chef de l’Etat au député et leader du mouvement  »nékal fi Askan ».

Au terme du conseil des ministres de ce mercredi, les émissaires du palais se sont rendus au domicile de Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly puis chez Serigne Bara Dolly au quartier khaïra. La famille des Dolly a magnifié l’acte posé par le président Macky Sall.

Vidéo-Limogeage de Diattara, Idy 2024, Mamadou L. Massaly tranche « la personne de Idy ne m’intéresse pas parce que… »

Limogeage de Diattara, Idy 2024, Mamadou L. Massaly tranche « la personne de Idy ne m’intéresse pas »

Mouvement d’humeur des travailleurs de la mairie de Ziguinchor : La réaction de l’équipe municipale

Ce matin, les travailleurs de la mairie de Ziguinchor, en sit-in dans l’enceinte de l’Hôtel de ville, ont dénoncé le mutisme de leurs supérieurs sur la question de la revalorisation salariale. 
Selon Habib Ngoudiame, porte-parole de l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités locales, cette revalorisation des salaires, qui incombe à la municipalité, notamment le maire, devait entrer en vigueur depuis le 31 mars dernier. Mais rien n’a été fait et les autorités municipales sont restées aphones sur cette question. Ce qui a motivé leur plan d’action de trois jours qu’ils ont commencé à dérouler ce matin. 
La réaction des autorités municipales n’a pas tardé. Pour El Hadj Saer Faye, adjoint au maire chargé du personnel et de la planification, « c’est un plan d’action sans préavis de grève ou de sit-in ». Il considère ces actes comme de la politique et que le maire Ousmane Sonko, depuis sa prise de fonction, mise beaucoup sur l’acte de citoyenneté et a toujours demandé de ne pas faire de la politique au sein de l’institution. 
Selon M. Faye, ces travailleurs ne peuvent pas s’appuyer sur un plan d’action national et le considérer comme un préavis, sans pour autant rencontrer les autorités de la ville. Avant de confier que le président Macky Sall et le ministre des Collectivités territoriales ont accordé des augmentations de salaire, mais le maire, très sensible sur cette question, affirme valider l’augmentation de ces salaires, à condition que l’État  puisse l’inscrire au niveau de la partie crédit de leurs comptes, afin que la mairie génère et valide cette dépense. 
À l’en croire, « les simulations effectuées ont montré que ces augmentations de salaire devraient coûter 223 millions par an, soit 18 millions le mois. Par conséquent, la masse salariale de la mairie va revenir à 800 millions par an. Et étant donné que les finances sont trop fragiles au sein de la mairie, l’institution ne pourrait pas supporter ces charges ». L’adjoint d’Ousmane Sonko de mettre sur la table d’autres raisons qui font que cette revalorisation des salaires ne peut pas être effective, dont le budget déjà voté et approuvé et sa consommation débutée. La taxe municipale de 3 000 F par mois des artisans et Jakartamans revue à la hausse. Il faut envisager des licenciements pour satisfaire ces travailleurs. 
Ainsi, pour El Hadj Saer Faye, si ces travailleurs en grève sont d’accord sur ces trois points, à savoir laisser les investissements prévus dans le budget 2023 au nombre de 10, l’augmentation des taxes municipales, chose pas prévue dans la politique du maire, de même que le licenciement de certains agents, cette revalorisation va s’effectuer sans problème. 

(Vidéo) Urgent – Procès Sonko vs Mame Mbaye Niang encore, le procureur ordonne l’arrestation de..

Procès Sonko vs Mame Mbaye Niang encore, le procureur
Procès Sonko vs Mame Mbaye Niang encore, le procureur

Vidéo exclusive :DJ Boubs à cœur ouvert sur son départ de la TFM « bouko Youssou N’Dour yéggé dafa… »

Vidéo exclusive :DJ Boubs à cœur ouvert sur son départ de la TFM « bouko Youssou N’Dour yéggé dafa… »

Recherché par la Dic : Outhmane Diagne donne de ses nouvelles (Photo)

Recherché par la Dic : Outhmane Diagne donne de ses nouvelles

Destitution de Yankhoba Diatara : un proche de Idrissa Seck donne les raisons de cette sanction

Un communiqué signé du président de Rewmi, Idrissa Seck, a annoncé hier la rétrogradation du ministre Yankhoba Diatara, qui perd son poste de second vice-président du parti.  Dans cette note, aucune raison n’a été évoquée pour expliquer cette mesure. 
Toutefois, Ousseynou Gueye, conseiller spécial d’Idrissa Seck, évoque clairement une sanction. “Yankhoba Diatara a contrevenu aux instructions formulées par le président Idrissa Seck lors d’une réunion récente du secrétariat national, selon lesquelles il était encore trop tôt pour se prononcer publiquement sur la question des candidatures au sein de BBY [Benno Bokk Yakaar]. Il y a donc une relation de cause à effet entre ses propos à la télévision et cette décision au sein du parti”, explique-t-il dans les colonnes de Jeune Afrique. 

“La candidature du président Macky Sall à un second quinquennat est valable juridiquement”, avait déclaré Yankhoba Diatara, lors d’un débat sur la Sen TV. 

Conseil des ministres : Les fortes décisions retenues par Macky Sall

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 5 AVRIL 2023
Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 05 avril 2023 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky SALL.
A l’entame de sa communication, le Président de la République a saisi l’occasion des célébrations de la semaine sainte et de la fête de Pâques, pour adresser ses chaleureuses félicitations ainsi que ses meilleurs vœux à la communauté chrétienne.
Abordant la célébration du soixante troisième anniversaire de l’accession de notre pays à la souveraineté internationale, ce 4 avril 2023, le Chef de l’Etat a félicité le Gouvernement, notamment le Ministre des Forces Armées, le Ministre en charge de la Jeunesse, le Chef d’EtatMajor général des Armées, le Haut Commandant de la Gendarmerie nationale et Directeur de la Justice militaire, l’ensemble des forces de défense et de sécurité, les anciens combattants, les autorités administratives déconcentrées et décentralisées, les élèves, étudiants, enseignants et autres corps de la Nation, pour la mobilisation exceptionnelle et le déroulement impeccable des défilés et festivités sur l’étendue du territoire national.
Le Président de la République a magnifié, à travers le succès des manifestations, le professionnalisme de nos forces de défense et de sécurité, qui restent des hommes et des femmes engagés au service de la Nation, en veillant en tout lieu et en tout temps, à la sanctuarisation du territoire national et à la sécurisation des personnes et des biens.
Le Chef de l’Etat a aussi salué, la posture exemplaire de nos forces armées, qui demeurent des socles de notre souveraineté et de notre commune volonté de vivre ensemble dans une société solidaire et dans un Etat de droit, conformément au Plan Sénégal Emergent (PSE) qui accorde une place de premier plan à la paix, à la sécurité et au capital humain, notamment la jeunesse.
En sa qualité de Chef suprême des Armées, le Président de la République a réitéré son engagement à ne ménager aucun effort pour renforcer le maillage sécuritaire du territoire national et l’équipement des forces afin de soutenir leur efficacité dans l’exercice de leurs missions à l’intérieur comme à l’extérieur du pays.
De surcroît, le Chef de l’Etat a invité le Gouvernement à consolider l’ancrage du concept « ArméeNation », notamment par le développement indispensable du service civique national et des activités civilo-militaires dans plusieurs secteurs de la vie économique et sociale.
A ce titre, le Président de la République a demandé au Ministre des Forces armées, au Ministre de l’Education nationale, au Ministre de l’Enseignement supérieur et au Ministre de la Jeunesse d’engager une réflexion sur le renforcement des cours d’instruction civique et de promotion de la citoyenneté dans les programmes scolaires, en vue de mieux former, à la base, les élèves, étudiants et autres apprenants aux valeurs qui fondent la République et la Nation.
A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre de lui présenter, dans une dynamique interministérielle, à la fin de chaque année, un rapport sur l’instruction civique et la promotion de la citoyenneté au Sénégal.
Revenant sur l’évaluation des performances du secteur de la santé et l’accélération des réformes pour un système de santé performant, le Président de la République a saisi l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la Santé, le 07 avril prochain, pour rappeler au Gouvernement la place primordiale de la santé des populations dans la promotion d’un capital humain de qualité.
Le Chef de l’Etat a, notamment, salué la mise à disposition exceptionnelle de ressources, équipements et moyens logistiques adéquats au secteur de la santé, en vue : (i) de la réalisation des infrastructures sanitaires de dernière génération à Dakar et dans les autres régions ;(ii) du recrutement annuel d’un nombre significatif de personnels médicaux et paramédicaux ; (iii) de l’amélioration de la qualité des offres de soins et la motivation des agents de santé.
Dès lors, le Président de la République a demandé au Ministre de la Santé et de l’Action sociale d’intensifier, avec le concours des acteurs impliqués, les réformes dans le secteur, afin d’élargir et de consolider les importants investissements réalisés par l’Etat pour améliorer la santé des populations à des coûts optimisés.
Le Chef de l’Etat a rappelé l’urgence de la finalisation de l’évaluation de la réforme hospitalière de 1998, mais, surtout, de l’actualisation de la réglementation sur les tarifs des consultations et analyses médicales dans les structures publiques et privées de santé.
Le Président de la République a, en outre, indiqué l’impératif de poursuivre la modernisation des Services d’Accueil et d’urgence (SAU), ainsi que le processus de certification des établissements de santé publics et privés ; entités qui doivent être davantage auditées et contrôlées avec le renforcement des inspections techniques et financières régulières du Ministère de la Santé.
Par ailleurs, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre de la Santé et de l’Action sociale de veiller au suivi permanent du secteur de la pharmacie et du médicament, au regard des investissements sans précédent portés par l’Etat et les transformations notables engagées pour asseoir la souveraineté pharmaceutique du Sénégal.
Au demeurant, le Président de la République a invité le Ministre de la Santé à examiner avec les acteurs, l’efficacité de la carte sanitaire actuelle, au regard de l’évolution de la population, de l’accentuation de l’urbanisation du pays, des besoins exprimés dans les différentes localités et des défis sanitaires liés aux enseignements tirés de la gestion de la pandémie de COVID-19.
Le Chef de l’Etat a demandé, enfin, au Premier Ministre de veiller au suivi permanent du contrôle de l’ouverture et du fonctionnement des établissements de formation aux métiers de la santé.
S’agissant du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, le Président de la République est revenu sur l’encadrement de la pêche artisanale et le développement des zones de pêches, en soulignant la place primordiale que la pêche artisanale occupe dans la vie économique et sociale du pays.
A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre de veiller à l’accélération de l’exécution des projets de modernisation de la pêche artisanale. Le Président de la République a rappelé la nécessité de l’intensification des aménagements des aires de débarquement et de transformation des produits de la pêche, de la promotion du renouvellement progressif du parc de pirogues avec le recours aux pirogues en fibres de verre ainsi que du renforcement des programmes de dotations des pêcheurs en gilets et en moteurs hors-bord subventionnés.
Enfin, le Chef de l’Etat a indiqué au Gouvernement, l’urgence de mener une réflexion inclusive sur l’aménagement, l’habitat et le cadre de vie des populations au niveau des localités, zones et sites de pêche et l’urgence de finaliser la préparation du Conseil Présidentiel sur la Pêche.
Dans sa communication, le Premier Ministre est revenu sur le suivi de la coordination de l’activité gouvernementale en évoquant :
•    le conseil interministériel sur la préparation du Pèlerinage aux Lieux saints de l’Islam ;
•    la réunion interministérielle sur les projets hospitaliers ;
•    la réunion interministérielle sur les projets de l’Enseignement supérieur.

AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES
•    le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur la situation internationale ;
•    le Ministre des Finances et du budget a fait une communication sur la situation d’exécution budgétaire du 1er trimestre 2023 ;
•    le Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire a fait un point sur le suivi de la campagne de commercialisation de l’arachide 2022/2023 et exportations de Produits horticoles ;
•    le Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a fait une communication sur le Programme d’Accélération de la Compétitivité et de l’Emploi (PACE) ;
•    le Ministre de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire a fait une communication sur l’état d’avancement des préparatifs du Forum mondial de l’Economie sociale et solidaire.

AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
Le Conseil a examiné et adopté :
•le projet de décret portant organisation du Ministère de la Jeunesse, de l’Entreprenariat et de l’Emploi.

Les nominations du Conseil des ministres du 5 Avril 2023

Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 05 avril 2023 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky SALL.

AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES

Le Président de la République a pris les décisions suivantes :

Pour le Ministère des Finances et du Budget :
Monsieur El Hadji Amar LO, Titulaire d’un Exécutive Master en Administration des Affaires, est nommé Président de la Commission de Supervision de la Haute Autorité du Waqf.
Monsieur Pape Adama CISSE, Expert-Comptable, est nommé Secrétaire général de la Haute Autorité du Waqf.

Pour le Ministère de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire :
Monsieur Mamadou BADIANE, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Fatick, est nommé Directeur régional du Développement rural de Kaffrine, en remplacement de Monsieur Samba Ndao TALL appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Samba Ndao TALL, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Kaffrine, est nommé Directeur régional du Développement rural de Kaolack, en remplacement de Monsieur Souleymane DIOP appelé à d’autres fonctions.Monsieur    Souleymane    DIOP,    Ingénieur    agronome,    précédemment    Directeur    régional    du Développement rural de Kaolack, est nommé Directeur régional du Développement rural de Diourbel, en remplacement de Monsieur Pierre DIOUF, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.
Monsieur Hamadou BALDE, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Saint Louis, est nommé Directeur régional du Développement rural de Kolda, en remplacement de Monsieur Brahima Mamadou BA appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Brahima Mamadou BA, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Kolda, est nommé Directeur régional du Développement rural de Tambacounda, en remplacement de Monsieur Baboy Dit Sada LY appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Abdoulaye CAMARA, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Matam, est nommé Directeur régional du Développement rural de Fatick, en remplacement de Monsieur Mamadou Badiane appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Cheikh Ahmet Tidiane DIENG, Ingénieur agronome, précédemment Chef du service départemental du développement rural de Vélingara, est nommé Directeur régional du Développement rural de Matam, en remplacement de Monsieur Abdoulaye Camara appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Casimir Adrien SAMBOU, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Ziguinchor, est nommé Directeur régional du Développement rural de Sédhiou, en remplacement de Monsieur Oumar MBENGUE appelé à d’autres fonctions.Monsieur Oumar MBENGUE, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Sédhiou, est nommé Directeur régional du Développement rural de Dakar, en remplacement de Madame Tacko Diawara appelée à d’autres fonctions.Madame Tacko Diawara, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Dakar, est nommée Directeur régional du Développement rural de Saint Louis, en remplacement de Monsieur Hamadou BALDE appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Jean Paul BAMPOKY, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Louga, est nommé Directeur régional du Développement rural de Ziguinchor, en remplacement de Monsieur Casimir Adrien Sambou appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Daouda HANE, Ingénieur agronome, précédemment Directeur régional du Développement rural de Kédougou, est nommé Directeur régional du Développement rural de Louga, en remplacement de Monsieur Jean Paul BAMPOKY appelé à d’autres fonctions.
Monsieur Ndiasse SARR, Ingénieur agronome, précédemment Chef du service départemental du développement rural de Louga, est nommé Directeur régional du Développement rural de Kédougou, en remplacement de Monsieur Daouda Hane appelé à d’autres fonctions.

Pour le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement :
Monsieur Madické CISSE, Géographe- Aménagiste, est nommé Directeur de la Prévention et de la Gestion des Inondations, en remplacement de Monsieur Mamadou Alpha SIDIBE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.

(Vidéo) Le Dg de l’emploi Pape Modou Fall déchiffre le succès fulgurant des réalisations du PR Macky Sall

Dg de l’emploi Pape Modou Fall
Dg de l’emploi Pape Modou Fall

(Vidéo) Serigne Saliou Gueye tire sévèrement sur Idy « C’est comme une bougie qui s’éteint, il est entrain de finir… »

Serigne Saliou Gueye
Serigne Saliou Gueye

Présidentielle 2024 : Rewmi scelle son avenir avec le « Macky »

Bruits de bottes dans le parti Rewmi. Le Président Idrissa Seck destitue Yankhoba Diattara de son poste de 2e vice-président et le remplace par Dr Abdoulaye Ndoye de Saint-Louis, qui propulse déjà son mentor dans les starting-blocks pour 2024.

Le coordonnateur départemental du parti Rewmi à Saint-Louis, faisant les choses simples, candidate son mentor en perspective de la Présidentielle de  février 2024.
« Idrissa Seck sait là où il va, il ne prend rien à la légère. Chaque fois qu’il prend une décision, certes elle peut être controversée à l’instant, mais il suffit d’attendre un peu pour savoir que c’est une décision efficace et normale », a-t-il déclaré mardi 4 avril face à la presse.

Dr Abdoulaye Ndoye, ne cherchant pas midi à quatorze heures, proclame urbi et orbi  que « Idrissa Seck est la personne qu’il faut pour le Sénégal. Et je parle en connaissance de cause, parce qu’il a la compétence, l’expérience, la maturité, le patriotisme, des éléments importants susceptibles, avance t-il,  d’aider le Sénégal dans ce contexte où beaucoup ont perdu la tête ».

En dernière instance et en dernière analyse, au parti Rewmi, la page ouverte avec brusquerie lundi sur une télé de la place par Yankhoba Diattara en faveur du Président Macky Sall, a été vite refermée. Une décision qui sera lourde de conséquences dans les prochaines heures au sein de majorité Présidentielle. Qui a comme seul et unique candidat Macky Sall, qui s’enlise toujours dans le bourbier « Ni Oui  Ni Non »…

Affaire Mame Mbaye Niang-Ousmane Sonko : Les avocats du leader de Pastef annoncent une importante décision

 Le pool d’avocats du maire de Ziguinchor fera face à la presse, demain jeudi 6 avril, à 15 h. Ceci, après que le ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang, a annoncé qu’il allait interjeter appel. 
Au sortir du procès en diffamation intenté par Mame Mbaye Niang, Ousmane Sonko avait été condamné à une peine de deux mois avec sursis et à 200 millions F CFA de dommages et intérêts.
 Une sentence qui ne satisfait pas  l’ancien ministre de la Jeunesse. Lors d’une conférence de presse, Mame avait laissé entendre que le leader du Pastef devait, à travers ce procès, être écarté de la course à la magistrature suprême. 

VIDÉO – SOUMBOULOU BATHILY REVIENT EN FORCE CHEZ SON MARI ABDOULAYE DIOP KHASS AVEC UN GESTE EXCEPTIONNEL ENVERS LES BAYE FALL

Vidéo – B@garre rangée à Ucad entre étudiant Pastef-Apr les républicains sortent de leur réserve «yag nafa

Vidéo – Les conseils de Gouy Gui à Ada Fass :  »dafa def erreur bou mak »

Ziguinchor : Les travailleurs de la mairie en sit-in, que demandent-ils à Ousmane Sonko ?

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Ce mercredi matin, les employés des collectivités locales, en particulier ceux de la mairie de Ziguinchor, ont organisé un sit-in. Vêtus de brassards et de foulards rouges, ils ont exprimé leur mécontentement à l’égard de l’autorité municipale dirigée par Ousmane Sonko.

Les travailleurs réclament le respect du protocole d’accord d’avancement qui a été signé pour la revalorisation des salaires. Selon Habib Ngoudiame, le porte-parole de l’Intersyndicale des travailleurs des collectivités locales de Ziguinchor, cette mesure devait entrer en vigueur depuis le 31 mars dernier. L’absence de mise en œuvre de cet accord a mis en colère les travailleurs.

Ils ont donc décidé d’organiser un plan d’action de trois jours à partir de ce mercredi, avec le sit-in qui s’est terminé à 11 heures. Jeudi et vendredi, ils travailleront en portant des brassards rouges et se mettront en grève à 10 heures et 11 heures, respectivement.

Selon Habib Ngoudiame, les travailleurs ont fait part de leurs revendications aux autorités sans obtenir de réponse claire. Cette demande de revalorisation salariale dure depuis longtemps et représente un combat de six mois. Les travailleurs demandent au maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko, de résoudre ce problème en se référant à l’article 30, qui stipule que toute augmentation de salaire doit émaner des autorités des collectivités territoriales.

Une fois que ce plan d’action aura été évalué et suivi à la lettre par les travailleurs de la mairie de Ziguinchor, ils passeront à une autre étape à partir de la semaine prochaine.