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(Vidéo) Exclusif – Ahmeth Cisse devient un membre de Jamra “ Biss Niki Tay Bayinaa..”

Ahmeth Cisse devient un membre de Jamra
Ahmeth Cisse devient un membre de Jamra

Urgent – Décès d’Oumar Sow, DG de l’Urbanisme

Oumar Sow
Oumar Sow

 Le secteur de l’urbanisme et de l’habitat est en deuil. En effet, Seneweb vient d’apprendre le décès du directeur général de l’Urbanisme Oumar Sow. Il a été victime d’un malaise qui l’a emporté, ce lundi. 

Oumar Sow est décrit comme un homme généreux et exemplaire.
La redaction de Sanslimitesn présente ses condoléances à la famille du défunt. 

Idy, le challenger idéal pour Macky (Par Madiambal Diagne)

Idy, le challenger idéal pour Macky
Idy, le challenger idéal pour Macky

L’ancien Premier ministre du Président Abdoulaye Wade et actuel président du Conseil économique, social et environnemental (Cese), Idrissa Seck, vient de déclarer sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. L’annonce ne devrait pas surprendre, c’est en quelque sorte un train qui arrive à l’heure et, assurément, depuis la mise en service du Train Express Régional (Ter) par le Président Macky Sall, l’arrivée à l’heure des trains ne constitue plus un événement au Sénégal.

«Né pour être Président du Sénégal !»
Idrissa Seck ne pouvait pas ne pas briguer la magistrature suprême. Il écrivait sur son site internet depuis ses jeunes années : «I was born to be President» (je suis né pour être Président). C’est dire qu’il a raison quand il apostropha un journaliste, lors de sa conférence de presse, le vendredi 14 avril 2023 : «Est-ce que quelqu’un dans ce pays peut s’imaginer une élection présidentielle sans Idrissa Seck ?» Il s’était vu dans le costume du successeur de Me Abdoulaye Wade et avait clamé qu’il serait le quatrième Président du Sénégal. Ainsi, il cherchera à tuer le père pour se présenter contre lui à l’élection présidentielle du 25 février 2007. Il arrivera deuxième avec 14, 92% des voix, derrière Me Wade, réélu au premier tour avec 55, 90% des voix. En briguant les suffrages des électeurs, Idrissa Seck avait dérouté son monde. A l’issue d’une longue «audience de Midi» qu’il accorda le 22 janvier 2007, à Idrissa Seck accompagné de Abdoul Aziz Sy Junior, le Président Wade avait annoncé que Idrissa Seck avait renoncé à sa propre candidature pour retrouver «la maison du père». Sa candidature fâcha le Président Wade. Mais deux ans plus tard, «Ngor si» reviendra auprès de «Gorgui», en prenant le chemin inverse de Macky Sall. Ce dernier rompit avec son mentor en 2009. N’empêche, en 2012, Idy contestera avec véhémence la troisième candidature du Président Wade et arrivera cinquième au premier tour avec 7, 86% des suffrages, derrière Abdoulaye Wade, Macky Sall, Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng. Malheureusement pour lui, il n’avait pas vu venir un certain Macky Sall, qu’il semblait regarder de haut, mais qui fit d’un coup d’essai un coup de maître et ravit la mise en battant le Président Wade au second tour avec plus de 65% des suffrages. Idrissa Seck fera contre mauvaise fortune bon cœur. Il soutint Macky Sall au second tour et restera membre de la Coalition Benno bokk yaakaar (Bby). Certains de ses camarades du parti Rewmi seront appelés au gouvernement de Abdoul Mbaye. Seulement, Il rompit unilatéralement l’alliance en septembre 2013, mais ses compagnons (Pape Diouf et Oumar Guèye) refusèrent de le suivre et continueront de siéger en Conseil des ministres. Le plus naturellement du monde, Idrissa Seck déclara à nouveau sa candidature à l’élection présidentielle en 2019. Il arriva deuxième avec plus de 20% des voix, derrière Macky Sall, réélu au premier tour avec plus de 58% des voix.

En d’autres termes, et comme il le dit lui-même, tant qu’il lui restera un souffle, il cherchera à devenir Président du Sénégal. C’était donc une simple vue de l’esprit de penser que Idrissa Seck troquerait sa place de président du Cese ou une toute autre promesse, contre une candidature à l’élection présidentielle. Comment pourrait-il accepter pour Macky Sall ce qu’il avait toujours refusé à Abdoulaye Wade ? Il a tour à tour accusé Macky Sall de félonie, de traitrise et d’être un nul, avant de ravaler sa bave pour profiter des avantages de son régime. Il avait toujours fait de même avec le Président Wade. L’ancien Président Wade a entendu toutes les ignominies de la bouche de Idrissa Seck en 2004 et 2007, avant qu’il n’acceptât de réintégrer le Parti démocratique sénégalais (Pds) en 2009, à la faveur de «retrouvailles sincères et non ambiguës». Mais en tant que nouveau membre du Comité directeur du Pds, Idrissa Seck dénoncera violemment, en 2011, la troisième candidature de Me Wade et sera à nouveau exclu du Pds. Il se voyait le dauphin attitré du président Wade et devait défendre les couleurs du parti à l’élection présidentielle de 2012. On a vu que le dernier rapprochement avec le Président Wade et son départ avec fracas avaient fini de doucher sa cote de popularité. Il n’avait rien épargné au Président Wade et à son fils Karim Wade. Macky Sall, lui-même, avant d’être élu, en a eu pour son grade. Après une brève accalmie consécutive à son élection en 2012, Idrissa Seck reprendra les attaques contre lui en 2013.

L’histoire s’est ainsi répétée quand, contre toute attente, Idrissa Seck reviendra aux affaires en remplaçant, en novembre 2020, Mme Aminata Touré à la tête du Cese et en trouvant des strapontins notamment au gouvernement, pour ses camarades de parti Yankhoba Diatara et Aly Saleh Diop. A partir de ce moment, aux yeux de Idy, «la vision de Macky Sall dépassa Diamniadio».

Aujourd’hui Idrissa Seck vient de déclarer sa candidature pour 2024, en contestant, avec les mêmes arguments qu’en 2012, celle subodorée de Macky Sall. Il n’insulte pas encore Macky Sall, préférant diriger ses flèches venimeuses contre Abdoulaye Wade, son fils Karim, Ousmane Sonko et Khalifa Ababacar Sall. Peut-être parce que Macky Sall n’a pas encore officialisé sa candidature ou que Idrissa Seck tiendrait encore (pour combien de temps) à profiter des avantages et privilèges que lui offrent ses fonctions à la tête du Cese.

Une candidature qui ne devrait pas gêner Macky Sall
De nombreux proches du Président Sall s’offusquent de l’annonce de la candidature de Idrissa Seck. Sans doute qu’ils cèdent un peu trop facilement à l’émotion. Cette candidature semble tout à fait logique. Au corps défendant de Idrissa Seck, les annales politiques ne fleurissent pas d’exemples de personnalités politiques, arrivées deuxièmes à une élection présidentielle disputée par plusieurs candidats et qui n’aient pas cherché à tenter une nouvelle chance à l’élection suivante. On a toujours tendance à retenter le destin, surtout quand on a pu arriver si proche du but. Il s’y ajoute qu’aussi longtemps que le Président Sall n’aura pas éclairé la lanterne de ses partisans sur sa candidature, il peut être loisible à chacun d’exprimer ses ambitions. Au demeurant, il semble écrit qu’une déclaration de candidature de Macky Sall ne pousserait nullement Idrissa Seck à retirer la sienne. En effet, Idy a manifestement choisi de s’écarter du principe d’une candidature concertée et unitaire au sein de la Coalition Benno bokk yaakaar ; une candidature toujours en gestation. Il a choisi de faire cavalier seul en annonçant une candidature qui pourrait paraître prématurée. C’est sans doute à ce seul titre qu’il peut apparaître légitime pour ses alliés de Bby, à qui il vient ainsi de tourner brutalement le dos, d’exiger qu’il en tire la conséquence de quitter la coalition et de renoncer aux positions qu’il y occupe grâce à cet alignement politique ou que le Président Sall le limoge parce qu’il aura rompu un principe fondamental de leur coalition. Ce serait aussi un moyen plus ou moins efficace d’empêcher que cette candidature ne fasse des émules au sein de Bby !

Il reste qu’à y regarder de plus près, la candidature de Idrissa Seck ne devrait pas manquer d’intérêt pour le Président Sall. Comme ce fut le cas avec le Président Wade en 2012, le dernier ralliement de Idrissa Seck au camp présidentiel en 2020, avec son jeu de yo-yo, ses volte-face, son inconstance, pour ne pas dire ses reniements, a semblé provoquer un effet néfaste sur sa cote de popularité. On a déjà pu observer que Idrissa Seck a perdu ses principaux soutiens politiques qui, pour la plupart, se sont tournés vers Ousmane Sonko. D’ailleurs, la saignée a été telle qu’il a fini par perdre son bastion électoral de Thiès qui était pourtant considéré comme inexpugnable. Les débâcles à Thiès en 2022, aux élections locales et législatives, augurent d’une prochaine Présidentielle laborieuse ou même perdue d’avance pour Idrissa Seck. Il se présentera comme un candidat sans de grandes illusions et donc sans susciter une grosse phobie pour le camp présidentiel. S’il y a un petit bémol à faire, cela tiendrait à une forte idée d’un «dégagisme» d’un régime en place, que les électeurs voudraient sanctionner à tout prix, quitte à le remplacer par «un grand n’importe quoi». Les expériences des élections locales et législatives de 2022 peuvent servir de leçon. Toutefois, le spectacle offert lors de sa conférence de presse au cyber campus de Thiès a rendu sceptiques bien des gens quant aux bonnes facultés de Idrissa Seck à diriger un pays. Une campagne électorale tambours battants ne finira-t-elle pas par révéler des comportements, faits et gestes qui le disqualifieraient ? On peut le craindre.

Pour autant, cette candidature pourrait s’avérer utile ou opportune pour le Président Macky Sall. En effet, une candidature de Idrissa Seck, arrivé deuxième à la dernière Présidentielle (rappelons-le), donnerait du relief à la Présidentielle de 2024. La participation d’un poids politique non négligeable à cette élection, que devront manquer, une fois de plus, d’autres leaders jugés importants comme Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade, pourrait crédibiliser le scrutin. Les motifs de leurs condamnations pénales qui avaient empêché Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade d’être candidats à la Présidentielle de 2019 de même qu’aux Locales ou aux Législatives de 2022, demeurent. Ils ont décliné l’offre faite par Macky Sall du vote d’une loi d’amnistie. Le Président Sall aura toujours beau jeu de dire qu’il aurait bien voulu et souhaité les réhabiliter et les impliquer dans le jeu politique mais qu’il ne saurait faire le bonheur de quelqu’un contre son plein gré. Barthélemy Dias, qui pourrait servir de supplétif à Khalifa Ababacar Sall, est aussi sous le coup d’une condamnation tout aussi électoralement «disqualifiante», dans l’affaire du meurtre de Ndiaga Diouf en 2011. La Cour suprême attend de vider le recours en Cassation. Ousmane Sonko, empêtré dans de nombreuses procédures judiciaires, risque des condamnations pénales qui l’écarteraient de la course de 2024. Il peut être rattrapé par des affaires comme les accusations de viols et autres sévices sexuels sur la dame Adji Sarr ou la plainte du policier Frédéric Napel pour mise en danger de la vie d’autrui, appel au meurtre, fausses accusations et diffamation, en sus de la procédure judiciaire ouverte par le ministre Mame Mbaye Niang. D’autres citations à comparaître devant la Justice pénale attendraient le leader du parti Pastef. Les avocats Mes Gaby So et Dior Diagne ont fini de préparer des actions judiciaires pour chercher à laver leur honneur qu’aurait terni Ousmane Sonko, si tant est que leurs actions judiciaires ne seraient pas déjà frappées de prescription.
Idrissa Seck sortirait ainsi du lot des candidatures déjà déclarées pour la Présidentielle de 2024. La face d’une élection crédible ou sérieuse sera ainsi sauvée. En quelque sorte, il serait un parfait faire-valoir. Idrissa Seck a fini de faire le deuil d’un soutien quelconque des Wade, qui le lui avaient refusé en 2019 et qui préféraient la réélection de Macky Sall (voir notre chronique du 4 février 2019). Le Président Wade avait préconisé l’abstention à la Présidentielle, une attitude qui ne pouvait compromettre les chances de Macky Sall, alors que Idrissa Seck lui avait donné toutes les assurances et garanties en contrepartie de son soutien. Tout porte à croire qu’à tout le moins, les Wade feront de même pour 2024 et leurs rapprochements supposés avec Macky Sall semblent irriter particulièrement Idrissa Seck. On en veut pour preuve ses nouvelles violentes diatribes, proférées la semaine dernière, contre «le père et le fils biologique». Il n’y a aucun risque de se tromper en affirmant que Karim Wade ne laissera pas son père apporter un soutien politique à Idrissa Seck.

Pour 2024, Idrissa Seck ne compte pas non plus sur un nouveau soutien de Khalifa Ababacar Sall. L’ancien maire de Dakar avait appelé à voter pour le candidat de la coalition Idy2019. Le nouveau candidat déclaré vient de mettre son ancien allié dont manifestement il n’attendrait plus rien, dans le même sac que Karim Wade, celui infamant «des voleurs de deniers publics». Quid de Ousmane Sonko ? C’est un secret de polichinelle que Idrissa Seck et lui ne se gobent pas du tout. C’est ainsi que Idrissa Seck a dû se faire violence pour se déguiser et aller lui rendre visite, à bord d’une moto et à l’heure du laitier, pour discuter de quels avenirs politiques. Idrissa Seck, qui faisait feu de tout bois, s’est senti obligé d’avouer la visite quand il a compris que le «tout Dakar» était au courant de l’entrevue. On peut considérer qu’il n’en a pas tiré un grand bénéfice ou encore moins une perspective d’un éventuel soutien. Ses attaques en règle contre le leader du parti Pastef, qu’il a traité d’immature et qu’il a véritablement tourné en dérision, le montrent éloquemment.

Quoi qu’il advienne, Idrissa Seck, avec de moindres atouts, sera certes un candidat diminué et peut-être sans illusions, mais fera face à Macky Sall. Cela devient une fatalité. Il ne saurait être question d’une entente quelconque ou un «deal» entre les deux hommes, mais par la force des choses, une candidature de Idrissa Seck sera tout bénéfice pour Macky Sall. Au surplus, si d’aventure une victoire, encore une fois très peu probable, de Idrissa Seck survenait, ce serait le meilleur scénario de défaite pour Macky Sall et ses proches. Ils auraient moins à craindre d’actions vengeresses de la part de Idy que d’un tout autre opposant. On ne trahirait pas non plus un quelconque secret en affirmant que le Président Sall va demander à rempiler en 2024. Si la moindre incertitude demeurait dans son esprit, il aurait déjà édifié ses partisans pour qu’ils se mettent déjà à préparer la Présidentielle avec d’autres atouts et un autre candidat.

Par Madiambal DIAGNE

🔴Urgent: Après leur clash Cheikh Ahmed Cissé rend visite à Mame Matar Gueye pour présenter ses excuses

🔴Urgent: Aprés leur clash Cheikh Ahmed Cissé rend visite à Mame Matar Gueye présentez ses excuses

Limogée par Macky Sall il y a quelques mois, Adja Khadija Sy débarque à la SEN TV

Adja Khadija Sy, qui a récemment été remplacée à la tête du conseil d’administration du Grand Théâtre National Doudou Ndiaye Coumba Rose, vient d’être nommée directrice des programmes de la Sentv. Ayant déjà travaillé dans le domaine médiatique avant de partir en 2014. Elle aura pour mission de coordonner le programme de la chaîne télévisée et de relever de nouveaux défis dans le monde audiovisuel.

En outre, comme elle l’a récemment annoncé, elle s’apprête à relancer l’émission populaire « Jeguemar » sur la chaîne privée dont elle est désormais responsable de la programmation.

La présidente du Réseau Africain des Femmes pour le développement et l’Entreprenariat (RAFED), militante du mouvement Fékké Maci Bollé de Youssou Ndour qui a à plusieurs reprises renouvelé sa disponibilité au Président Macky Sall. profitera t-elle de cette fenêtre pour quitter la scène politique ?

Procès renvoyé cet Ex Caporal détruit Macky « lép loumou meun dinako déf pour Sonko bagn bok élection (Vidéo)

Procès renvoyé cet Ex Caporal détruit Macky « lép loumou meun dinako déf pour Sonko bagn bok élection (Vidéo)

(Vidéo) : Ama Baldé à Boy Niang : « Li nga warone def défko ba paré mo geun ngay… »

Tout va bien entre Ama baldé et Boy Niang. Ceux qui pensaient que les deux lutteurs pikinois avaient une brouille, vont être surpris en visionnant cette vidéo.

Complices, Ama Baldé n’a pas manqué de taquiner Boy Niang. Avec leurs fans, les deux lutteurs ont partagé un bon ndogou.

Regardez !

Le coordonnateur de Pastef Gueule tapée-Fass Colobane convoqué par la section de recherches

Le coordonnateur de Pastef Gueule Tapée-Fass-Colobane, Ousmane Fall, a été convoqué ce lundi, 17 à la Section de recherche de la gendarmerie (Sr).

Après l’arrestation de plusieurs cadres de Pastef, c’est au tour de Ousmane Fall, coordonnateur de Pastef Gueule Tapée-Fass-Colobane, d’être convoqué à la Section de recherche de la gendarmerie.

Libération qui donne l’information, les raisons de sa convocation restent jusque là inconnues.

Procès renvoyé, Me El Diouf dans tout ses états détruits Sonko et répond à Birame Souleye “ Dinako

Venue assisté le procès de son fils la mère de Massata presque en larme détruit Amy Ndiaye Gniby »da waxon da Eumb… (Vidéo)

Venue assisté procès son fils la mère de Massata presque en larme détruit Amy Gniby »da waxon da Eumb… (Vidéo)

Dernière minute : Le procès en appel Ousmane Sonko Mame Mbaye Niang renvoyé !

Ce lundi, devait se tenir le procès en appel entre Ousmane Sonko et Mame Mbaye Niang. Finalement, le juge a décidé de renvoyé le procès au 8 mai prochain.

Pour rappel, Ousmane Sonko, condamné le 30 mars à deux mois de prison avec sursis et 200 millions de francs CFA de dommages et intérêts pour avoir diffamé Mame Mbaye Niang, devait une nouvelle fois faire face à la justice suite à l’appel interjeté par la partie civile et par le parquet.

Affaire contre Mame Mbaye Niang : L’APR fusille Ousmane Sonko

Ousmane Sonko, Macky Sall
Ousmane Sonko, Macky Sall

 L’Alliance pour la République (APR) est consciente de la «gravité de l’heure ». A quelques heures de la réouverture du procès opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang, elle «réitère son appel à tous les fils de la Nation à poursuivre la mobilisation pour la défense de la République et de ses valeurs, de la démocratie et de ses principes ».  En effet, dans un communiqué rendu public, ce dimanche 16 avril, le parti du Président de la République a condamné fermement la multiplication des appels subversifs de certains acteurs de l’opposition qui ne cachent plus leur volonté de sacrifier l’unité nationale sur l’autel de leurs ambitions personnelles surdimensionnées. « L’APR fustige particulièrement la voie de l’irresponsabilité notoire empruntée par Ousmane Sonko dans l’affaire privée qui l’oppose au Ministre Mame Mbaye Niang et pour laquelle il a été condamné le 30 mars 2023. L’affabulation et la manipulation comme projet politique ne sauraient prospérer dans un pays comme le Sénégal», ont averti les apéristes. Qui soulignent que «le peuple attend du pouvoir judiciaire que le droit soit dit ce 17 avril 2023 et ce dernier a déjà annoncé la couleur en première instance avec un verdict affranchi de toute pression politicienne ».

A cet effet, fait-on savoir, l’APR se félicite de toutes les dispositions prises par l’Etat pour la sécurité des citoyens, de leurs biens et services. 

Par ailleurs, elle a invité «tous les militants et sympathisants à poursuivre leur mobilisation pour une réussite des opérations d’inscription sur le fichier électoral, en vue d’un succès retentissant à la Présidentielle de 2024, pour relever avec la mouvance présidentielle, le défi de l’émergence, plus que jamais à portée de main, avec nos importantes ressources pétro-gazières ».

Vidéo exclusive:Mia lâche une b0mb€ “Lokontina” révèle«Loxo Boula Bayi Loxo ngui Xare»et parle Mia Eclosion

Exclusif:Mia lâche une b0mb€ “Lokontina” révèle«Loxo Boula Bayi Loxo ngui Xare»et parle Mia Eclosion

Urgent-Procès en appel Mame Mbaye Niang-Ousmane Sonko : Des présumés membres de Pastef arrêtés avec des cocktails Molotov

La police de la sûreté urbaine a procédé à l’interpellation de quatre individus à Malika : Cheikh Omar Biteye, un marabout habitant à Malika plage, Abdourakhmane Mboup, un menuisier aluminium résidant à Sangalkam, Baye Mbaye Kane, un commerçant basé à Malika et domicilié à Touba, et Ahmadou Fofana, un tailleur vivant à Malika. D’après les renseignements obtenus, ces individus auraient terminé la fabrication de cocktails Molotov qu’ils prévoyaient d’utiliser lors du procès en appel opposant Mame Mbaye Niang à Ousmane Sonko. Actuellement en garde à vue, ils font l’objet d’investigations en cours.

Les investigations poursuivies ont permis de saisir à Malika un lot important de coktail molotov qui étaient gardés dans une maison inachevée.

Tout ce beau monde est actuellement en garde à vue dans les locaux du commissariat central de Dakar. Les investigations se poursuivent pour mettre la main sur toute personne impliquée dans cette mafia organisée, selon nos sources.
Cet important lot de cocktails Molotov (voir photos) a été dissimulé dans une maison inachevée située à Malika.

Armées nationales : Une cérémonie d’au revoir au général Cheikh Wade

L’État-major général des armées va rendre hommage au ci-devant chef d’Etat-major général des armées sénégalaises le général de corps d’armée (CEMGA) Cheikh Wade, ce mardi au camp Dial Diop à Dakar.
Au cours de cette cérémonie d’au revoir, les honneurs seront rendus à l’ancien CEMGA.
Le général Cheikh Wade a été élevé à la distinction de Commandeur dans l’Ordre national du lion en 2014. Dans la même année, il obtient la médaille d’honneur de l’armée de terre, entre autres distinctions.

CESE : Les conseillers BBY exigent la démission de Idrissa Seck

Idrissa Seck
Idrissa Seck

Les conseillers de la coalition Benno Bokk Yakaar ne veulent plus de Idrissa Seck comme Président du Conseil Économique, Social et Environnemental. Ils l’ont fait  savoir dans un communiqué que Seneweb publie in extenso.
« Après avoir pris connaissance de la sortie politique malheureuse de M. IDRISSA SECK, président du CESE ce vendredi 14/04/2023   à Thiès, les conseillers membres du CESE ayant comme obédience politique la coalition BBY, ( plus de 30 maires et membres de conseil départemental et de la Diaspora), ce sont réunis ce jour au siège de l’APR SISE à Mermoz, Dakar en vue d’apporter une réponse politique à la déclaration politique de Monsieur IDRISSA SECK,non moins actuel président du CESE.Considérant :- que depuis son installation à nos jours comme président du CESE monsieur SECK n’a jamais accordé le plus petit aux conseillers de l’obédience politique BBY en refusant de leur accorder des audiences pourtant régulièrement sollicitées,- notre attachement aux idéaux de la coalition politique de BBY sous la conduite éclairée du Pdt Macky Sall depuis plus d’une décennie,- les efforts consentis par le président Macky Sall pour permettre à Monsieur SECK d’exister politiquement et de lui offrir une opportunité de se faire une santé physique et financière en le nommant par décret pdt du CESE,-la logique de Monsieur SECK d’écarter tout le monde pour se positionner politiquement et à redorer son blason déjà bien terni,- l’intention exprimée par Monsieur SECK de se présenter à la prochaine élection présidentielle du 25/02/2024 en étant déjà membre de la conférence des leaders de BBY au sein de laquelle aucun leader ne s’est exprimé sur une éventuelle candidature,-qu’a travers tout le territoire national et dans toute la diaspora, les militants de BBY ont unanimement désigné son excellence Monsieur Macky Sall, président de BBY pour porter la candidature unique et consensuelle de  notre coalition,     LES CONSEILLERS DE LA COALITION BBY,  MEMBRES DU CESE : Dénoncent avec fermeté cette sortie politique malheureuse et calculée de Monsieur SECK qui s’apparente beaucoup plus à une envie d’exister politiquement que de trouver une solution politique à la situation actuelle du pays,- Dénoncent les propos teintés de manipulation de l’opinion et de délation à l’endroit de hautes personnalités de ce pays,- Invitent monsieur SECK à la suite de cette sortie politique malheureuse, à soumettre sa démission de président du CESE ainsi qu celle des ministres du sports et de  l’élevage dont son parti à la charge,- Réclament l’exclusion de Monsieur IDRISSA SECK de la conférence des leaders de BBY,- Réaffirment leur engagement sans faille et sans réserve à la politique de management de BBY initiée par le Président Macky Sall autour de tous les autres alliés depuis 2012,- Soutiennent la candidature unanimement exprimée par les militants à la base de BBY à travers tout le territoire national et dans la diaspora. »
          Fait à Dakar, le 16/04/24 Honorable Woula NdiayePrésident de séance Vive- président du CESE       Dr SADIA FATYRapporteur de la séanceRapporteur commission Santé

Amadou Ba : “L’heure est grave”

Présidant la onzième conférence religieuse des femmes de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) des Parcelles Assainies ; ce samedi 15 avril 2023, le Premier Ministre Amadou Bâ, par ailleurs responsable politique a été interpellé sur la gestion municipale marquée par l’absence notoire de réalisations selon les initiatrices de l’évènement. Amadou Ba a rassuré l’assistance en annonçant que plusieurs initiatives gouvernementales vont être lancées sur instruction du Chef de l’Etat, non seulement pour la localité mais également à l’échelle nationale.

« Au moment où je vous parle déjà, il y a une équipe du ministère de la Santé qui se trouve au Centre de santé Mame Abdou Aziz SY pour préparer l’installation d’un scanner qui sera réceptionné dans les tous prochains jours. Cela relève de la compétence municipale mais puisque l’équité demeure une priorité pour le Président Macky Sall, qui a demandé au gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires ». 

Se prononçant sur l’actualité politique, Amadou Ba a lancé un appel à l’union entre les différents responsables apéristes à Dakar, avant de soutenir que la clé de la victoire à la Présidentielle est entre les mains de la coalition BBY. L’axe Médina-Grand Dakar-Yoff-Parcelles Assainies sera déterminant pour une victoire éclatante au soir du 25 février 2024 a-t-il notamment confié aux responsables de ces communes qui ont tous affiché leur volonté de travailler main dans la main pour poursuivre la dynamique victorieuse de la majorité présidentielle.

Amadou Ba s’est également réjoui de l’élan unitaire au sein des instances des femmes et des jeunes, deux composantes essentielles du parti pour relever les défis qui se posent à notre pays. 

« L’heure est grave. Le bilan élogieux du Président Macky Sall est sans équivoque. Mais des individus malintentionnés ont choisi la voie subversive pour détruire tout ce qui a été fait ces dernières années dans ce pays. Tous les acteurs politiques et les forces vives de la Nation sont interpellés. Face aux menaces de déstabilisation, chacun doit se déterminer et afficher clairement sa position pour la défense de la République. Sur le plan politique Benno Bokk Yakaar est majoritaire. C’est la seule coalition de l’histoire du Sénégal qui a effectué un cycle victorieux de toutes les élections. Si nous restons unis, rien ne nous résistera. De son côté, l’Etat prendra toutes les dispositions pour la protection et le bon fonctionnement de nos institutions sous l’autorité du Président de la République. A ce niveau, les Sénégalais n’ont aucune inquiétude à se faire », a averti fermement Amadou Ba. Ce dernier a, par ailleurs, annoncé pour très bientôt une grande offensive pour la prise en charge de l’employabilité et de l’emploi des jeunes.

Procès en appel Sonko vs M Mbaye Niang : Dakar Dem Dikk suspend ses lignes…

Lors des événements du 16 mars 2023, Dakar Dem Dikk avait déploré “quatre bus caillassés et trois autres totalement calcinés, donc définitivement hors d’usage”. Dans une note, la société, qui prend les devants, en perspective du procès en appel de Ousmane Sonko contre Mame Mbaye Niang sur l’affaire Prodac, porte “à la connaissance des usagers que les réseaux urbain et interurbain sont suspendus pour la journée du lundi 17 avril 2023. »

Ousmane Sonko et Mame Mbaye Niang se retrouvent ce lundi 17 avril 2023 pour leur procès en appel. L’audience sera présidée, «sauf changement de dernière minute», par le président de la Cour d’appel de Dakar, Amady Diouf. Une vieille connaissance pour le président de Pastef.

Document

Lancement d’une nouvelle plateforme de l’opposition et de la société civile : Macky Sall face à son “M23”

La Plateforme de Lutte des Forces Vives de la Nation a été officiellement  lancée, ce dimanche. Bâtie sur le modèle du mouvement du 23 juin, qui s’était dressé contre Abdoulaye Wade entre 2011 et 2012, cette plateforme regroupe 124 entités : des organisations politiques de l’opposition, celles de la société civile, des organisations locales et des personnalités indépendantes. “Elle  est l’œuvre d’une Co-construction aboutie et inclusive qui regroupe l’ensemble des forces vives de la Nation Sénégalaise”, explique le coordonnateur du mouvement des forces vives du Sénégal, Mamadou Mbodj. 

Ce rassemblement a pour principal objectif “de mobiliser les citoyens sénégalais pour obtenir entre autres  le respect par le Président Macky Sall de la Constitution et de la parole donnée et son renoncement à présenter sa candidature pour un troisième mandat illégal et illégitime”. 

Autre revendication :  la suppression des articles L 29 et L 30 du code électoral et de tous les artifices juridico-politiques, “tels que le parrainage et les verdicts commandités, ayant empêché et/ou susceptibles de rendre inéligibles des prétendants à l’élection présidentielle de 2024 en dehors de règles établies de manière consensuelle”.

La plateforme exige également “ la libération des détenus politiques et la cessation des interdictions de manifestation ; la création de conditions optimales et consensuelles d’une élection présidentielle apaisée, inclusive et transparente en 2024.” 

Les Forces Vives de la Nation donnent rendez-vous le 05 mai 2023 pour une grande mobilisation contre “la troisième candidature anticonstitutionnelle de Sall”. 
La plateforme prévoit, également, une série de manifestations sur toute l’étendue du territoire national et dans la diaspora pour “faire entendre raison au Président Macky Sall et l’amener à respecter la loi afin que le Sénégal puisse continuer son rayonnement en Afrique et dans le monde”.

Les femmes de la coalition Benno Bokk Yaakaar des Parcelles Assainies ont tenu leur conférence annuelle au terrain Acapès en présence du Premier ministre Amadou Ba (Photos)


La cérémonie s’est tenue sous la présidence du Premier ministre Amadou Ba par ailleurs Coordonnateur de Bby aux Parcelles Assainies
L’événement s’est déroulé en présence d’éminentes personnalités de la mouvance présidentielle dont le Vice Président de l’Assemblée Nationale, Monsieur Abdoulaye Diouf Sarr, le ministre d’État Mbaye Ndiaye, les anciens ministres Seydou Guéye et Ndèye Saly Diop Dieng, ainsi que d’autres responsable de la coalition.

Abdoul Mbaye : « Beaucoup de candidats trompent le peuple avec leur programme »

La plupart des candidats aux élections (législatives, locales ou présidentielle) présentent des programmes pour tromper le peuple. C’est la leçon que retient l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye. 

C’est, dit-il, l’une des raisons de son engagement en politique. « Ce sont des promesses qui ne les engagent pas et une fois sur place, ils font ce qu’ils ont à faire et réalisent leur vrai projet. Le vrai projet de l’essentiel des politiciens, c’est l’enrichissement personnel. Il n’y a pas autre chose. Le reste, c’est l’habillement, c’est le folklore, c’est le protocole et donc, on n’a pas échappé à la règle », dit l’ancien Premier ministre devant le « Jury du dimanche ».

Pourtant, dit Abdoul Mbaye,  « je croyais en des ruptures qui allaient venir, qui allaient commencer à être mises en œuvre, ultérieurement et notamment après fin 2016, quand j’achevais mon enquête sur Pétrotim, arrivait ensuite la réforme constitutionnelle avec notamment le renoncement du premier mandat de 5 ans pour le maintenir à 7 ans. C’est là que je me rends compte que finalement le Sénégal et son développement sont prisonniers de politiciens qui ne recherchent pas ce développement mais qui ne sont là que pour jouir de leur fonction et s’enrichir eux et leurs familles proches. C’est pourquoi je me suis engagé en politique ».

Abdoul Mbaye est candidat à l’élection présidentielle de 2024 pour montrer qu’il est possible de gérer autrement ce pays. Ce, en respectant sa parole. En prenant des engagements clairs avant d’être élu et fort devant Dieu et devant la nation. 

« Vous ne verrez jamais un engagement que j’ai pris et que je n’ai pas respecté. Vous ne verrez jamais ça. En général, je ne prends pas beaucoup d’engagements. Ce que je peux promettre c’est que la ressource publique ne va pas être détournée pour servir des intérêts particuliers ».

Benno Bokk Yaakaar : Macky Sall face à l’équation Idrissa Seck ! (Analyse)

Présidentielle 2024 : Idrissa Seck
Présidentielle 2024 : Idrissa Seck

Idrissa Seck a annoncé sa candidature pour l’élection présidentielle de 2024, alors que Macky Sall n’a pas encore clarifié ses intentions. Cette action peut être vue comme un piège tendu à Macky Sall, plutôt que de le laisser dans l’embarras en raison de son silence.
Jusqu’à présent, Macky Sall reste silencieux sur sa candidature, ce qui empêche les ambitions de se concrétiser à la fois dans son propre parti, l’Apr, et dans la coalition présidentielle. Les alliés sont obligés de suivre sa position, comme le Parti socialiste qui a éludé la question de la candidature malgré les rencontres.

Idrissa Seck a choisi d’annoncer sa candidature pour mettre fin à cette posture et ouvrir la voie aux partis alliés de Macky Sall. Ce dernier devra désormais faire un choix difficile : sanctionner Idrissa Seck ou faire comme si rien ne s’était passé. Les deux options ont des conséquences certaines.

Si Macky Sall sanctionne Idrissa Seck, cela alimente les spéculations sur ses intentions de briguer un troisième mandat et renforce ses adversaires en envoyant Idrissa Seck dans l’opposition. Il a intérêt à calmer les tensions politiques pour mieux terminer ses projets avant l’élection présidentielle de février 2024.

Cependant, s’il ne sanctionne pas Idrissa Seck, il prend un grand risque, car Idrissa Seck est un allié moins légitime que le Parti socialiste ou l’Afp en termes d’historique de compagnonnage. Si Idrissa Seck déclare sa candidature sans conséquence, les autres partis pourraient également se déclarer en investissant un candidat.

Ce serait un trou béant dans l’enclos de chèvres, ce qui signifie une course vers la sortie. Macky Sall pourrait se retrouver dans le scénario qu’il a toujours redouté, où il serait incapable de diriger ses troupes et donc de gouverner. Il aura besoin d’un grand génie politique pour s’en sortir à moindre coût.

Le message touchant de Pape Alé Niang pour Dimby Ka, décédée ce samedi 14 avril

Le patron de Dakarmatin Pape Alé a envoyé un message touchant à Djimby Ka, fille de feu Djibo Leyti Ka, décédée ce samedi 14 avril 2023.

« Chère amie,

Aujourd’hui, je pleure ta perte et je suis rempli de tristesse. Tu étais tellement joviale et gentille avec moi et je ne peux pas imaginer une perte aussi foudroyante . Tu m’as apporté tellement de joie, de rire et d’amour. Tu étais une personne exceptionnelle qui a touché tant de vies.

Je me souviendrai toujours de notre amitié et des moments que nous avons partagés ensemble. Tu m’as toujours soutenu dans les moments difficiles, et tu étais là pour partager les moments de joie avec moi. Et je ne t’oublierai jamais.

Tu m’aimais tellement, et j’espère que tu sais à quel point je t’aimais en retour. Tu étais une personne spéciale et tu as laissé une marque indélébile partout . Tu vas me manquer énormément, mais je sais que tu seras toujours avec moi dans mon cœur.

Je te rends hommage aujourd’hui et je promets de continuer à honorer ta mémoire. Tu resteras à jamais dans mes pensées et dans mon cœur. Merci pour tout ce que tu as apporté à ma vie.
Repose en paix, mon amie. Tu vas me manquer pour toujours.
À ta famille , à Pabi mon jumeau, et à tous tes amis je présente mes sincères condoléances . En ce mois béni du ramadan que Dieu dans sa miséricorde t’ouvre grandement les portes du paradis. Amen »

Candidature de Sonko : « Ce monsieur doit comprendre que… », Les vérités crues de Toussaint Manga à Idrissa Seck

Le responsable du parti Pastef Toussaint Manga, par ailleurs ancien député libéral, a asséné ses vérités au président du CESE Idrissa Seck qui lors de sa conférence de presse s’est appesanti sur la candidature de Sonko.

Voici le post de Toussaint Manga ?

« Bien que les propos de monsieur Idrissa Seck soient classés dans le divertissement politique je ne puisse me retenir de placer quelques mots.


● Il doit s’estimer heureux que le Président Ousmane SONKO en bon musulman, homme de paix et de dialogue surtout dans ce mois béni de ramadan lui accorde une audience qui en réalité n’apporte aucune valeur ajoutée aux combats que mène le peuple contre ce régime .

●Le monsieur se trompe d’époque et ignore la maturité du peuple sénégalais en pensant que tout est question de » Deal » . Il croit qu’un chef de l’état peut faire ce qu’ il veut avec les forces de défense et de sécurité et oublie que la force d’ un peuple insoumis est plus forte que n’importe quelle armée.


● Il a voulu se mettre dans la peau d’un ZORO de la situation politique or devant notre écran on voyait TORTUE NINJA qui maladroitement et de façon sournoise tentait d’enfoncer le PASTEF et le Président Ousmane SONKO sur des faux débats d’idéologie religieuse, faire semblant de défendre la candidature de PROS, vouloir nous reparler du complot du viol, demander une démission après élection etc…….

●Ce monsieur doit comprendre que la candidature du Président Ousmane SONKO est une affaire du peuple sénégalais. A part Dieu personne ne pourra faire obstacle sur la candidature de PROS. Alors monsieur SECK votre apport à ce combat est factorisé par ZERO.
●Il semble vouloir faire sa résurrection politique sur le dos du PASTEF et de son leader. Mais je lui rappelle juste que dans la religion traditionnelle en milieu diola il y a de ces résurrections où le cadavre peut revenir comme un « REVENANT » qui hante le sommeil paisible des citoyens.
2saint MANGA’

Idrissa Seck se fait attaquer par un Ministre de Macky Sall : « Il a encore explosé toutes les… »

Le Leader du parti « Rewmi » dans sa prise de parole a déclaré sa candidature avant d’invalider celle du président Macky Sall. « Pensez-vous qu’Idrissa Seck puisse être au Sénégal, vivant, en bonne santé et actif sans y participer ? Personne ne pourrait penser cela. Donc oui, je serai candidat« , a fait savoir Idrissa Seck.

Quid de la troisième candidature de Macky Sall ? Le Président du CESE est catégorique : « Ce que les experts, tels que le Pr Serigne Diop, ont dit est clair. Ce qu’il m’a dit, c’est que Macky Sall n’a pas le droit de se présenter et n’a aucune possibilité de se présenter à la présidentielle ».


Une sortie qui semble faire réagir le Ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires. Doudou, sur Twitter, s’en est pris à Idrissa Seck.

« Comme à son accoutumée, Monsieur Idrissa SECK s’est encore prêté à son exercice favori. Dans une opération de communication sans filtre, où l’envie de redorer un blason bien terni se le dispute au besoin pathologique de se mettre en scène en braquant les projecteurs sur lui , le président du parti Rewmi a encore explosé toutes les digues de la turpitude politique et du reniement« , déplore Doudou Ka.

Vidéo-Zikroullah: Cheikh Ndiaye fait vibrer le Grand Plateau avec sa belle voix

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Urgent-Vidéo-Affaire Sonko: Serigne Moustapha Sy avertit l’Eat le 17 « Sou Yabo NGou teural jamm Sinon nio… »

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Vidéo-Maya Charge Les influenceuses et fait une annonce de taille sur Ngaaka et Mia Guissé “ Astuces yi “

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Vagues d’arrestations au sein du parti Pastef: La colère noire de Déthié Fall

Dethié Fall
Dethié Fall

Les nombreuses arrestations notées dans le parti du Pastef met Déthié Fall en colère.
En effet,il dénonce ces arrestations qu’il qualifie d’acharnement. « Nous dénonçons et condamnons cet acharnement inexplicable et injustifié que subissent depuis un certain temps les militants et responsables du parti PASTEF dont Waly DIOUF, El Malick NDIAYE qui sont toujours sous bracelet électronique et le Secrétaire Général, Bassirou Diomaye Faye arrêté le vendredi, dans son lieu de travail, de manière indécente », a protesté Déthié Fall.

Selon le président du parti PRP, cette image affichée n’honore pas la démocratie du pays. Face à cette posture du régime en place de « contraindre les libertés des citoyens »,le leader politique réitère sa solidarité envers les détenus politiques et appelle à la riposte pour la préservation de la démocratie et de l’Etat de droit.

« Notre démocratie ne mérite pas ça. Notre Sénégal ne mérite pas ces clichés abjects qui déshonorent notre démocratie acquise à la suite de longues années de lutte.
Face à cette volonté clairement affichée du régime d’avancer désormais à visage découvert dans son entreprise de bâillonner les libertés, la responsabilité individuelle de chaque citoyen est engagée : RESTER DEBOUT ET FAIRE FACE. Le PRP marque sa solidarité à l’ensemble des détenus politiques et réitère son appel à la détermination pour la préservation de la démocratie et de l’Etat de droit », a lancé Déthié

Adja Diallo dans ses plus profondes confidences:  » Je n’ai pas été miss Sénégal, mais. » (vidéo)

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Oumar Youm : “Idrissa Seck ne peut pas rester Président du CESE après ses déclarations”

Oumar Youm
Oumar Youm

La sortie médiatique du Président du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE), ne surprend guère Me Oumar Youm, Président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar.

Le parlementaire dit avoir pris acte, tout en affirmant : « connaissant l’homme cela ne nous surprend pas. On sentait déjà cette démarche aboutir à cette déclaration malheureuse. Cette démarche est maladroite. Nous sommes dans une majorité présidentielle avec des partis dirigés par des responsables. Chaque dirigeant aurait pu faire sa déclaration mais tout le monde par respect à cette coalition,  à son unité s’est abstenu ».

A en croire le maire de Thiadiaye, cette sortie relève d’une « échappée solitaire qui ne repose sur absolument rien à part son droit d’être candidat ». C’était au cours d’une rencontre de la Cojer départementale de Mbour, dans le cadre de la mobilisation des troupes pour la réélection du Président Macky Sall,

« Mais compte tenu de son expérience, du rôle qu’il a eu à jouer et de ce qu’il représente dans la Coalition (Benno Bokk Yakaar), il aurait pu attendre comme tous les autres leaders que le processus inclusif, de discussions, débats et dialogues pour affiner les positions, puisse aboutir et, nous permettre d’avoir un candidat consensuel de Bby. C’est regrettable », estime Me Youm.

A ce stade, il soutient qu’il va falloir que Idrissa Seck tire les conséquences de sa déclaration.

« On ne peut pas être dans une majorité, faire cette déclaration, qui peut être source de perturbations, de bouleversements, de divisions, de tergiversations et rester encore Président du (Cese), et avoir ses ministres dans le gouvernement. L’un ne va pas sans l’autre. Le Président Abdoulaye Wade, quand il avait décidé de se présenter alors qu’on était dans un gouvernement d’union, il avait tiré les conséquences », a indiqué Me Youm.

L’avocat s’est dit outré par le traitement réservé par Idrissa Seck au Président Abdoulaye Wade.

« J’ai eu l’impression par endroit que ce point de presse était pour critiquer le Président Abdoulaye Wade, pour l’injurier, pour le jeter en pâture. Abdoulaye Wade ne mérite pas ses déclarations, ses jugements, ce traitement dégradant », s’est offusqué le premier magistrat de la ville de Thiadiaye.

Vidéo : Iran alerte en urgence sur l’appel Sonko/M.Mbaye Niang « khalèyi kén meunoulén téyé…, Néniouko bayi ndakh … »

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Arrestation de Bassirou Diomaye Faye : Le coup de gueule de Khalifa Sall

Khalifa Sall
Khalifa Sall

Les arrestations se multiplient du côté des figures de PASTEF. Après El Malick Ndiaye qui est sorti de prison le lundi 27 mars, le secrétaire national à la communication du Pastef, Bassirou Diomaye Faye, a à son tour été arrêté, hier vendredi. Une arrestation qui fait suite à une publication sur Facebook dénonçant le comportement de certains magistrats.

Les conditions de l’arrestation de M. Faye ont été condamnées par une frange de la classe politique.

Khalifa Ababacar Sall dénonce une méthode « arbitraire, musclée et illégale». Le chef de file de Taxawu Sénégal évoque des procédés “d’un autre âge qui n’honorent pas notre démocratie”L’ancien maire de Dakar exige “la libération immédiate du Secrétaire général du parti Pastef et le respect de l’exercice des libertés individuelles et collectives”.

Pape Mahawa Diouf fait la leçon à Idrissa Seck et l’invite à démissionner

Mahawa Diouf
Mahawa Diouf

Idrissa Seck a annoncé, hier, sa candidature lors d’une conférence de presse qui avait des airs de spectacle de stand-up. Du côté de la coalition Benno Bokk Yakaar, les saillies du Président du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) n’ont pas fait sourire.

Pape Mahawa Diouf, coordonnateur de la Cellule de communication de BBY, a fustigé la conduite d’Idy sur ITV : “Idrissa Seck a le droit d’être candidat. Nous regrettons seulement le manque de courtoisie dans sa démarche. Parce qu’il est quand même dans un cadre et dirigeant d’une institution (le Conseil économique, social et environnemental).

Et dans le cadre d’une majorité, tout doit se discuter. Sous cette forme, c’est un choix mais ce n’est pas, en soi, un problème. Quand on est dans un cadre, on doit avoir de la retenue. Mais lorsqu’on a un agenda politique clair et qu’on est candidat, on doit aller jusqu’au bout de sa logique”

Le Directeur général de l’ASPT invite d’ailleurs Idrissa Seck à quitter l’institution qu’il dirige ainsi que les ministres estampillés Rewmi : “Qu’il tire toutes les conséquences de ses déclarations. Il ne faut pas mélanger les genres. Il doit aller s’occuper de sa candidature. Il doit mettre tout le monde à l’aise. Et quand on parle de tirer toutes les conséquences, ceux qu’il avait choisis dans le gouvernement aussi sont concernés (les ministres Yankhoba Diatara et Aly Saleh Diop). »

Mansour Sy Cissé : « Mame Mbaye Niang pense qu’il tient le bon bout mais… » (Vidéo)

Prison de Sébikotane: Seydi Gassama réclame la libération de Pape Ndiaye après lui avoir rendu visite

Le directeur exécutif d’Amnesty international Sénégal a de nouveau, réclamé la mise en liberté du journaliste Pape Ndiaye à qui il a rendu visite à la prison de Sébikotane.

« Nous avons rendu visite hier au journaliste Pape Ndiaye détenu à la prison de Sébikhotane. Il doit être remis en liberté« , a d’emblée écrit Seydi Gassama

Le droit-de-l’hommiste estime que l’État du Sénégal doit respecter la liberté de la presse et la liberté d’expression garanties par la constitution et le droit international.