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Supposée liste de participants aux assises de la Justice : Les précisions du ministère de la Justice…

Depuis un moment, une liste supposée de participants aux assises de la justice circule sur la toile. Une publication qui a suscité beaucoup de polémique. A travers une note, le ministère de la Justice, à travers une note, a tenu à faire des précisions.

« Depuis hier, nous assistons à la publication et au partage d’une liste de participants invités au dialogue national sur la justice », souligne le ministère de la Justice qui tient à informer l’opinion que « cette liste n’émane pas des services du Ministère de la Justice, et est loin d’être exhaustive ».

Cette liste, soutient les services d’Ousmane Diagne, « était juste une base de travail et celle définitive, sera disponible sous peu. Le Ministère de la Justice présente toutes ses excuses pour les désagréments causés », soutient les services d’Ousmane Diagne.

Kédougou : Birame Soulèye Diop en visite sur des sites d’orpaillage

Le ministre de l’Energie, du Pétrole et des Mines, Birame Souleye Diop, est arrivé dimanche à Kédougou (est) pour une visite de deux jours, à appris l’APS de source officielle.

Il est accompagné de son homologue de l’Environnement et de la Transition écologique ; de l’Hydraulique et de l’Assainissement ; du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les institutions et du ministre de la Santé et de l’Action sociale.

Après une visite, le même jour, à Moussala dans le département de Saraya et à Mako, où il se rendra dans deux mines d’or dont l’une est exploitée par Petowal Mining Company (PMC) dans la commune de Tomboronkoto, Birame Soulèye Diop et sa délégation seront lundi à Sabodala, à l’usine Biox de la société minière Endeavour mining.

Durant leur séjour, le ministre de l’Energie, du Pétrole et des Mines et ses collègues visiteront également des villages de recasement des déplacés des zones minières de la région de Kédougou.

L’ intersyndicale des travailleurs des Collectivités Territoriales décrète une grève à partir de ce lundi

L’Intersyndicale des Travailleurs des Collectivités Territoriales du Sénégal a annoncé une nouvelle série d’actions. Dans un communiqué parvenu, elle annonce avoir décrété « une grève de 120 heures, à compter du lundi 27 mai au vendredi 31 mai 2024 ».

Cette grève va s’étendre sur l’ensemble du territoire national, paralysant potentiellement de nombreux services publics locaux. Selon le document, en parallèle, une conférence de presse est prévue le jeudi 30 mai à la Direction des Affaires Urbaines (DAU) à partir de 10 heures. Cette conférence permettra aux dirigeants syndicaux d’expliquer les raisons de la grève et de détailler les revendications des travailleurs des collectivités territoriales.

Cependant, « la marche nationale initialement programmée pour le mardi 28 mai 2024 a été reportée à une date ultérieure », lit-on sur le document. L’ intersyndicale promet de communiquer cette nouvelle date dès que possible.

CE QUE JE CROIS OU QUE JE PENSE ATTENTION A NOUS LE SENEGAL

Nous remarquons que depuis un certain temps des saisi record de quantité de drogue dure pour des valeurs ahurissantes, puis des sommes d’argent noir de valeur qui peuvent soudoyer notre économie et ainsi créer les conditions d’instabilité du nouveau régime mis en place et voulu par le large suffrage populaire.
Ces manœuvre sordides, machiavéliques qui peuvent nuire à la nouvelle ligne politique du nouveau gouvernement qui tend à une nouvelle forme d’émancipation à l’égard des anciens maitres et colons qui depuis des siècles ont tenus en laisse une grande partie des pays de l’Afrique occidentale et centrale.
Le monde a changé, et est devenu un village planétaire, qui grâce aux nouvelles sciences de l’informatique, de la biologie, internet jusqu’à l’intelligence artificielle qui sont à la portée de tous ont fait que les dirigeants des pays du nord, je veux parler particulièrement de la France coloniale qui n’a pas encore compris.
Le jeune Président aux commandes devrait s’inspirer de ses voisins britanniques qui depuis longtemps ont compris et se sont fait discrets dans leurs rapports avec les anciennes colonies, certes il y a le Commonwealth qui brille par sa discrétion efficace car la langue anglaise est la plus parlée de par le monde, contrairement au français, qu’il faut à hue et à dia tenir sur une bouée pour la faire flotter.
Pendant les années de gestion des colonies sous la férule féroce du General De GAULLE il y avait un homme de l’ombre qui avait la main mise sur tout ce qui se passait dans les colonies des négres tel que nous appelait le Général en privé.
Le sinistre Jacques FOCCART tout puissant Secrétaire General de l’Elysée aux affaires Africaines et Malgache, il avait carte blanche de son patron pour faire et défaire les régimes en Afrique. Il faisait marcher au pas ces Présidents Africains.
En 1958 Ahmed Sékou TOURE a eu outrecuidance de dire NON à l’offre de De Gaulle pour La Fédération avec la France, a eu pour conséquences toutes sortes de coups bas tel la destruction de tout ce que les administrateurs français ne pouvaient rapatrier, puis l’introduction de masses de billets de monnaie pour déstabiliser l’économie guinéenne.
Cet homme, dès l’annonce de son décès, les services secrets sont venus nettoyer sa maison car ils savent que la somme de documents contenant des informations seraient pires qu’une bombe nucléaire et pour cause.
Cela me donne à faire le parallèle avec ce qui semble se dessiner sous nos yeux car il faut se poser des questions centrales ?
Qui est ce qui détient notre planche a billet et qui imprime notre monnaie ?
Qui est ce qui le surveille pour le limiter en cas de besoin ?
Est-ce que le Gouverneur de la BCEAO a le temps et les moyens de contrôler ce qui se fait dans ce trou perdu de province Chamalieres Puy-de-Dôme en Auvergne siège de l’imprimerie de la Banque de France Pour le Sénégal mon cher pays, un homme politique opposant a dit clairement haut et fort :

Il faut que la France enlève son genou de notre cou>>
Afin que nous puissions respirer normalement, les vicissitudes de la vie ont fait que cet homme nomme Ousmane SONKO est devenu Premier Ministre de la République et son binôme qu’il a désigné lors de basses manouvres politiciennes ont empêché sa candidature voulue par tout un peuple, a été élu Président de la République au 1 er tour d’une élection sans contestations aucune.
Aujourd’hui Ces hommes qui doivent rien à quiconque ce soit, sauf au peuple Sénégalais sont libres de mener la politique de vrai rupture par rapport à ce qui se faisait depuis 1960.
En effet BASSIROU DIOMAYE FAYE aujourd’hui élu Président de la République est née en 1980, de ce fait il peut royalement ignorer les pratiques néfastes d’une certaine époque à jamais révolue.
Une génération d’hommes et de femmes ont émigrés, d’autres sont nés et on fait de brillantes études partout dans le monde et y ont acquis une certaine expérience, à présent ont répondu à l’appel patriotique du parti PASTEF pour bâtir un Sénégal nouveau qui va s’assumer en toute dignité dans le concert des nations dans le respect réciproque de tous et de toutes.
Mais force est de comprendre les inquiétudes de certaines personnes en France ou en Europe qui malheureusement ne sont pas encore synchronisées à l’heure du 21eme siècle.
En effet la colonie du Sénégal a été la tête de pont de la colonisation de l’Afrique occidentale et même centrale, rappelons-nous qu’un des adjoints de BRAZZA était Sénégalais de St louis le sergent Malamine
FALL.
Apres l’intermède de la BAULE avec Mitterrand qui a instruit les fameuses conférences nationales, dont nous Sénégal n’a pas eu besoin, les mauvaises habitudes sont revenues au galop avec des chefs d’états qui sont en place depuis plus de trente bonnes années par exemple.
Toutes les coopérations seront gagnant gagnant, ou win & win pour les british.
Ces germes qui nous observons dans notre pays doivent motiver nos forces de défenses et de sécurité à se remobiliser et redoubler d’effort pour la surveillance de notre cher pays, a tout point de vue, car tous les moyens sont bons pour nuire.
Nous devons remercier Allah SWT car il nous a octroyer tout ce qu’il faut pour vivre en toute dignité sans tendre la main à qui que ce soit. Il nous suffit de savoir travailler et savoir partager car rappelons ce ceci.
Nous sommes des êtres humains donc notre passage sur terre est limité dans le temps et qu’aucun d’entre nous ne sait combien de jours il lui reste à vivre.
PENSONS TOUJOURS A CE QUI SUIT :
<< à notre naissance nous ne savons pas qui nous a lavé, à notre mort prochaine nous ne savons pas qui
nous lavera ! >>
Un peuple un but une foi !!!
Mamadou DIAGNE

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Corrections des copies des examens : Moustapha Guirassy reprécise ses propos

L’allusion faite aux enseignants qui corrigent des copies d’élèves en temps record est loin d’être une stigmatisation du comportement de ces enseignants. Je ne faisais que partager par empathie un message d’un enseignant relatant un épisode de sa vie de correcteur qu’il avait par la suite beaucoup regretté. Et par honnêteté intellectuelle, et pour son respect pour l’élève et l’école, il avait jugé opportun de partager ce message avec le ministre de l’Education que je suis.

Il déplorait dans ce message la charge excessive de correction de copies dans des délais extrêmement courts. Sous une aussi forte pression de temps, il ne pouvait dès lors garantir la rigueur, l’équité, la justice et l’impartialité dans l’exécution de la tâche de correcteur. Il craignait fort d’avoir ainsi causé du tort à certains élèves indépendamment de sa volonté.
Pour ma part, je n’ai aucun doute sur la conscience élevée des enseignants dans l’exercice du métier dont les contraintes et les exigences sont connues et reconnues par tous. Pour être du secteur, j’ai plusieurs fois eu la preuve que les enseignants dans leur écrasante majorité remplissaient en toutes circonstances, leurs obligations professionnelles. Ces enseignants travaillent dans des conditions difficiles et s’acquittent, sans broncher, de leurs obligations professionnelles. C’est justement pour faire le plaidoyer de ces agents de l’ombre, que j’ai évoqué dans une haute instance telle que celle du Conseil interministériel présidée par le PM, cet exemple donné par un enseignant lui-même et relatant les conditions précaires dans lesquelles il se trouvait pour corriger un nombre de copies énorme en peu de temps. Cela signifie tout simplement pour le ministre que je suis, que le déficit criard d’enseignants pourrait expliquer cette situation.
Par conséquent, il ne s’agit pas d’une stigmatisation, mais plutôt d’une plaidoirie pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants. Une mauvaise interprétation a donc amené certains à considérer que les enseignants sont responsables de cet état de fait. Mais mon rôle est de corriger en améliorant leurs conditions de travail qui passe par l’augmentation du nombre d’enseignants et de correcteurs aux examens. La justice et l’équité passent aussi par cette amélioration des conditions de travail.
Si nous voulons changer le système, aucun sujet ne doit être tabou. Discutons de tout dans un esprit positif et constructif pour progresser.
Chers enseignants, vous êtes au cœur de l’école et de sa transformation. Je suis avec vous. Nous sommes ensemble.

Mamadou Moustapha Mamba GUIRASSY
Ministre de l’Éducation nationale

Vidéo – “Fi ak 6 mois changement dina am ci” Pa Assane annonce une bonne nouvelle sur la réforme judiciaire

Hausse du prix de l’électricité : Un vrai problème dévoilé sur le Woyofal

Depuis quelques semaines, une tension palpable règne entre la Société nationale d’électricité du Sénégal (Senelec) et ses clients, alimentée par une série de problèmes rencontrés dans l’accès à l’électricité. Les récentes observations des utilisateurs de la plateforme de recharge Woyofal révèlent un mécontentement croissant.

Selon les informations rapportées par nos confrères du quotidien « La Tribune », entre le 17 et le 22 mai, les clients de Woyofal ont été confrontés à une augmentation significative du coût de l’électricité. Des utilisateurs ont constaté que deux recharges de 5 000 FCFA n’ont fourni respectivement que 51,5 kW/h, enregistrant ainsi une baisse par rapport aux périodes précédentes.

En outre, la plateforme de vente de recharge Woyofal subit des perturbations techniques persistantes depuis plusieurs semaines, rendant le service inaccessible pour de nombreux utilisateurs. Cette situation a suscité l’indignation parmi la population, certains dénonçant ouvertement ce dysfonctionnement.

Le problème ne résiderait pas dans l’alimentation en électricité mais dans la plateforme d’achat Woyofal qui fonctionne via le réseau internet. Des difficultés au niveau des API (Applications de Programme d’Interface) sont signalées.

Couronne d’empereur des arènes, la sortie inattendue de Bira Séne du CNG

Autosuffisance alimentaire : « Je veux dire aux Sénégalais que nous allons relever le défi… », (Sonko)

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a profité de sa visite à la Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA) ce samedi 25 mai pour exposer ses objectifs politique

Éducation : l’examen du CFEE et le concours d’Entrée en sixième au Sénégal reportés au 25 et 26 juin

examen du CFEE
examen du CFEE
Dans un communiqué partagé, ce vendredi 24 mai, la direction des examens et des concours du ministère de l’Éducation du Sénégal, dirigée par le ministre Mamba Guirassy annonce le report de l’examen du Certificat de Fin d’Études élémentaires (CFEE) et du Concours d’Entrée en classe de Sixième, session de 2024.
Précédemment prévus jeudi 20 et vendredi 21 juin 2024, l’examen du CFEE et le concours d’entrée en classe de Sixième devront finalement se tenir le mardi 25 et mercredi 26 juin 2024.
Une volonté que le Directeur des Examens et Concours, les Inspecteurs d’Académie et les Inspecteurs de l’Education et de la Formation sont chacun chargés de son exécution.

Coopération Sénégal-Chine : L’Ambassadeur Xiao Han a rencontré le Premier ministre Ousmane Sonko

L'Ambassadeur Xiao Han a rencontré le Premier ministre Ousmane Sonko
L'Ambassadeur Xiao Han a rencontré le Premier ministre Ousmane Sonko
L’Ambassadeur de la République Populaire de Chine au Sénégal, Xiao Han, a rencontré le chef du Gouvernement, Ousmane Sonko, cette semaine. Ils ont échangé en vue d’approfondir les relations sino-sénégalaises et la coopération amicale sino-africaine, selon une note exploitée par Dakaractu.
D’après le communiqué de la représentation diplomatique, l’ambassadeur Xian Han a félicité le Premier ministre, Ousmane Sonko pour son entrée en fonction et déclaré que la Chine était très heureuse de voir le peuple sénégalais faire son propre choix et s’embarquer dans un nouveau voyage de construction nationale.
« Depuis la reprise des relations diplomatiques entre la Chine et le Sénégal, les relations entre les deux pays sont entrées sur une voie rapide. La Chine est disposée à travailler avec le nouveau Gouvernement sénégalais sur la base des principes d’égalité, de respect et de gagnant-gagnant », soutient le diplomate.

 

Coopération Sénégal-Chine : L'Ambassadeur Xiao Han a rencontré le Premier ministre Ousmane Sonko

 

Coopération Sénégal-Chine : L'Ambassadeur Xiao Han a rencontré le Premier ministre Ousmane Sonko

Journée de Dialogue National 2024 : Pr Babacar Guèye désigné facilitateur des Assises de la justice

Pr Babacar Guèye
Pr Babacar Guèye

Le professeur de Droit, Babacar Gueye a été nommé par le chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye facilitateur des Assises de la Justice, lors  de l’Édition 2024 de la journée du Dialogue National qui va se tenir le mardi 28 Mai 2024 au Centre de Conférence Abdou Diouf de Diamniadio (CICAD). Ces Assises de la justice dont le thème est :  » Réforme et modernisation de la justice »  visent à recueillir les contributions des citoyens sur le système judiciaire sénagalais.

Pr Babacar Guèye, qui était coordonnateur du mouvement  » Aar Sunu Election », a joué un rôle important pour la tenue de l’élection présidentielle du 24 Mars 2024, après le report annoncé par Macky Sall. Sa nomination en tant que facilitateur des Assises de la justice serait pour certains comme  une reconnaissance de son engagement pour les valeurs républicaines.

La Guinée et le Sénégal veulent fixer leurs frontières de « manière consensuelle »

La Guinée et le Sénégal
La Guinée et le Sénégal
Les chefs d’État de la Guinée et du Sénégal ont discuté à Conakry de la délimitation de la frontière entre leurs deux pays qu’ils veulent fixer de « manière consensuelle et définitive », selon un communiqué conjoint publié samedi.

 
Le nouveau président  Bassirou Diomaye Faye, en visite jeudi et vendredi dans la capitale guinéenne, a eu des « entretiens fraternels fructueux » avec son homologue guinéen, le général Mamadi Doumbouya, à la tête d’une junte qui a pris le pouvoir en septembre 2021, selon ce communiqué.
 
Les deux dirigeants ont « apprécié les avancées enregistrées dans le processus de délimitation et de démarcation de la ligne frontalière entre les deux pays » qui ont hérité de frontières tracées par la colonisation française.
 
« Ils ont encouragé les commissions nationales chargées de la gestion des frontières à poursuivre le processus en vue de la matérialisation consensuelle et définitive de la frontière commune dans l’intérêt des populations riveraines des deux pays », ont-ils poursuivi.
 
Par ailleurs, Conakry et Dakar « ont mis l’accent sur le renforcement de la lutte contre l’émigration irrégulière et le trafic de migrants dans les deux pays », des foyers de départ de nombreux candidats à l’émigration clandestine à destination de l’Europe, dans des embarcations de fortune souvent victimes de chavirements meurtriers.
 
Ils ont « instruit leurs gouvernements de renforcer leur synergie d’action pour le partage d’informations et la mutualisation des stratégies et moyens de lutte contre ce fléau ».
 
En outre, MM. Doumbouya et Faye se sont entendus pour faire « face à la menace des groupes terroristes », alors que plusieurs pays ouest-africains, comme le Burkina, le Mali et le Niger, sont la cible de violences jihadistes récurrentes qui font des milliers de morts, civils et militaires.
 
Le président Faye, qui prône une « rupture systémique », a succédé au sortant Macky Sall après une victoire au premier tour face au candidat du pouvoir, l’ex-Premier ministre Amadou Bâ.
 

Il s’est rendu en Guinée jeudi après une visite de quelques heures le même jour au Cap-Vert, dans le cadre de visites qu’il a effectuées dans plusieurs pays ouest-africains depuis sa prise de fonction début avril.

Inauguration de Mansour Motors SAV : Une Révolution dans le Secteur Mécanique au Sénégal (photos)

Mansour motors
Mansour motors
Dakar, 25 mai 2024 – Hier, le Sénégal a célébré l’ouverture officielle de Mansour Motors SAV, un garage ultramoderne qui promet de transformer le paysage de la mécanique automobile dans le pays. Situé au cœur de Dakar,Mansour Motors SAV vise à répondre aux besoins croissants du public en matière d’entretien et de réparation de véhicules, en offrant une gamme complète de services mécaniques de haute qualité.
Un Engagement Vers l’Excellence Mécanique
Mansour Motors SAV se distingue par son approche intégrée des prestations mécaniques. Que ce soit pour de la mécanique générale, des diagnostics avancés, des vidanges d’huile moteur et de boîte de vitesse, des services de pneumatique, des reprogrammations (clé, calculateur, boîte de vitesse automatique), du lustrage, du shampoingage ou encore des lavages, le garage répond à toutes les demandes. Cette diversité de services est disponible pour toutes les marques de véhicules, consolidant ainsi la réputation de Mansour Motors SAV comme étant « votre garage mécanique ».
Un Slogan qui Résonne : « Votre Garage Mécanique »
Le slogan de Mansour Motors SAV, « votre garage mécanique », reflète parfaitement sa mission : offrir des services mécaniques fiables et accessibles à tous les propriétaires de véhicules au Sénégal.
Des Partenaires Internationaux Présents
Lors de l’inauguration, des partenaires et fournisseurs sont venus de Dubaï pour assister à cet événement marquant. Le groupe Folcon, partenaire potentiel de Mansour Ndao Holding, a notamment honoré de sa présence cette cérémonie, témoignant ainsi de l’importance internationale et du rayonnement de Mansour Motors SAV.
 En outre, l’entreprise s’engage à soutenir l’emploi des jeunes en recrutant des diplômés récents, contribuant ainsi à la formation et à l’intégration professionnelle des jeunes talents du pays.
La Vision de Mansour Ndao Holding
Mansour Motors SAV n’est qu’une pièce du puzzle de Mansour Ndao Holding, une holding diversifiée qui joue un rôle crucial dans plusieurs secteurs économiques au Sénégal. Cette holding comprend également :
•Mansour Motors : Un concessionnaire automobile multimarque.
•Asma Lounge : Un restaurant sophistiqué situé sur la côte à Saly, réputé pour son ambiance chic et moderne.
•Man Cave : Un barbier convivial et prestigieux, offrant des services de coiffure de haute qualité.
•Champs de Luxe : Une boutique de parfumerie répondant aux exigences des amateurs de parfums haut de gamme.
•Contrap : Une société immobilière avec des projets emblématiques comme « Maison Merveilles » à Nguerigne.
•MNT : Spécialisée dans le transit, facilitant les échanges commerciaux.
•Tramco : Dédiée au transport logistique, assurant une gestion efficace des marchandises.
Un Avenir Prometteur pour la Mécanique Sénégalaise
Avec l’inauguration de Mansour Motors SAV, Mansour Ndao Holding continue de prouver son engagement envers le développement économique et social du Sénégal. En modernisant le secteur de la mécanique, en soutenant l’emploi des jeunes et en offrant des services de haute qualité, Mansour Motors SAV est prêt à devenir une référence incontournable dans le pays.
L’inauguration d’hier marque le début d’une nouvelle ère pour la mécanique automobile au Sénégal, avec Mansour Motors SAV à la tête de cette révolution.

Birahim Seck au président Bassirou Diomaye Faye : « La bonne gouvernance requiert de… »

Dans une publication sur son compte X, Birahim Seck a lancé un appel au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, pour qu’il rende public le décret portant sur la répartition des services gouvernementaux.

« M. le président, la bonne gouvernance requiert de rendre public le décret portant répartition des services entre la Présidence, la Primature et les Ministères pour l’information des citoyens et le suivi efficace des activités du Gouvernement », a-t-il écrit. Le décret en question définirait la répartition des responsabilités et des attributions entre la Présidence, la Primature et les différents ministères, clarifiant ainsi le rôle de chaque entité dans la gestion des affaires publiques.

Rendre ce document accessible au public serait un pas important vers une meilleure transparence et une participation citoyenne accrue dans le suivi des politiques gouvernementales.

Horaires de travail au Coud: Le nouveau directeur prend une décision de taille

Aussitôt après avoir pris fonction, le nouveau Directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud) a pris des mesures concernant les horaires de travail.

Dans une circulaire rendue publique, le 24 mai, le Dr. Ndéné Mbodj a, « dans le cadre de la mise en œuvre de la lettre du président de la République, adressée aux fonctionnaires et agents de l’administration le 08 avril 2024″, invité ses services à respecter les horaires de travail conformément aux dispositions de l’article 3 du règlement intérieur du personnel.

Selon lui, du lundi au jeudi, les agents doivent pointer à 08h jusqu’à 16H30 avec une pause d’une heure de temps entre 13h30 à 14h30. Pour le vendredi, la descente est prévue à 17h, mais les travailleurs ont droit à une pause d’une heure et demie ( 13h00 à 14h30).

Toujours dans sa circulaire, le successeur de Maguette Sène informe qu' »une fiche journalière de pointage systématique doit être disponible au niveau de chaque pôle de coordination et transmise au secrétariat du Chef des services administratifs pour exploitation ».

Moustapha Guirassy : Porteur d’une Nouvelle Vision au Forum Mondial pour l’Éducation à Londres 2024

Le forum a été une plateforme d’échanges fructueux sur des sujets cruciaux pour l’avenir de l’éducation. J’ai eu l’honneur de rencontrer l’envoyé spécial du Premier ministre Britannique en matière d’éducation et le directeur général du British Council, plusieurs autres autorités et acteurs qui évoluent dans l’innovation des technologies éducatives. Ces discussions ont beaucoup porté sur l’intelligence artificielle, les enjeux climatiques et le développement durable. Mais la grande leçon que je retiens de ce forum est surtout ’ ’ ́ ́. Les enseignants doivent être au cœur des défis de transformation. Ils doivent, non seulement comprendre et être formés aux enjeux actuels, mais aussi savoir les transmettre. Nous avons également pris part à une rencontre avec la délégation de l’Organisation du monde islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO). Lors de notre intervention, nous avons mis en avant la tragédie que vivent les enfants de la Palestine. Nous avons demandé aux pays membres de l’ICESCO de porter une résolution pour soutenir ces enfants et la Palestine.

Dans le cadre de cette mission, conformément à mes engagements d’associer dans la mesure du possible les syndicats, j’avais invité le syndicat G7. Pour cette première sortie, j’ai invité monsieur DAME MBODJ à faire partie de la délégation. Encore une fois, ce n’est pas du tout un engagement concerté, mais une initiative que j’ai prise librement pour faciliter le partage d’expériences et montrer aussi que nous appartenons à un secteur et que nous sommes tous des acteurs essentiels. C’est dans ce cadre-là que j’ai, pour cette première sortie, invité Mr DAME MBODJ à me rejoindre dans cette mission. Ce n’est pas du tout un engagement concerté, c’est une initiative que j’ai prise librement d’associer un membre du syndicat quand je voyagerais.

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Aliou Cissé justifie l’absence de Kouyaté et Boulaye

Ce vendredi 24 mai, le sélectionneur de l’équipe nationale du Sénégal Aliou Cissé a dévoilé une liste de 26 joueurs pour la réception de la République Démocratique du Congo (3 juin) et le déplacement en Mauritanie (7 juin) respectivement dans le cadre de la 3ème et 4ème journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026. Pour ces deux échéances, El Tactico a décidé de se passer des services de deux cadres des Lions de Téranga, à savoir Cheikhou Kouyaté et Boulaye Dia.

Interrogé sur l’absence des deux Champions d’Afrique, Aliou Cissé a assuré que ce choix n’est pas définitif, alors que le milieu de terrain de Nottingham Forest n’a jamais été aussi proche de la retraite internationale. « Boulaye est en difficulté avec son club. J’ai discuté avec lui, et Cheikhou aussi. Ils sont pas convoqués pour ces deux matchs mais cela ne veut pas dire qu’on fera une croix sur eux. », a ainsi expliqué l’ancien capitaine des Lions du Sénégal.

Grosse révélation de Walf : le Maroc et la France rappellent Macky Sall à l’ordre

Macky
Macky

Le Maroc et la France «ont ‘demandé diplomatiquement’ [à Macky Sall] de cesser toute ingérence dans la vie politique [sénégalaise]». Wal fadjri Quotidien, qui donne l’information dans son édition de ce vendredi 24 mai, citant «une source digne de foi», rapporte que Paris et Rabat ont ainsi remonté les bretelles à l’ancien chef de l’État en réaction après ses récents appels à la mobilisation lancés à ses compagnons de l’APR et de Benno Bokk Yakaar dont il reste la leader.

Après avoir passé le témoin à son successeur à la tête du Sénégal, le 2 avril dernier, Macky Sall s’est installé au Maroc. Désormais, il assume les fonctions d’envoyé spécial du Pacte de Paris pour la planète et les peuples. «À ce titre, souligne l’informateur de Walf Quotidien, il a une obligation de réserve. En outre, le fait qu’il réside au Maroc l’astreint à ne pas parler publiquement des questions politiques sénégalaises. Son immixtion dans la vie politique nationale va sans doute mettre [mal à l’aise] ces deux pays [face au] Sénégal.»

Le journal affirme que c’est pour éviter d’arriver à une telle situation que le Maroc et la France, «qui visiblement ne veulent pas être en froid avec les nouvelles autorités sénégalaises», ont demandé à Macky Sall ne se faire discret au sujet des questions politiques domestiques sénégalaises.

Récemment, plusieurs initiatives politiques attribuées à l’ancien chef de l’État ont été relayées par les médias. La dernière : le 6 mai, le chef de l’APR et de Benno s’est entretenu au téléphone avec des responsables de son parti qui se réunissaient à Kaffrine. Il a profité de l’occasion pour demander aux siens de diagnostiquer la défaite de leur candidat à la présidentielle du 24 mars dernier et de vulgariser le bilan de ses 12 ans à la tête du Sénégal.

RTS : Une émission phare refait surface, après la prise de fonctions du nouveau DG, Pape Alé Niang

L’une de émissions phares de la Radio télévision sénégalaise (Rts) va refaire surface, après une pause prolongée sous la direction de Racine Talla.

L’émission « Den Kumpa » va faire son retour sur la chaine de télévision nationale. L’annonce a été faite par l’animateur Ismaila Diop. Ce, quelques jours seulement après la nomination du nouveau Directeur général, Pape Alé Niang, qui a remplacé Racine Talla.

Ismaila Diop, une personnalité emblématique de la RTS et animateur des émissions « XEL DU DOY » et « DEÑ KUMPA », avait précédemment soulevé des préoccupations concernant les difficultés rencontrées à la télévision nationale sous la direction de l’ancien DG, Racine Talla.

Une nouvelle plainte contre Bah Diakhaté sur la table du procureur (Document)

Bah Diakhaté
Bah Diakhaté

Encore une mauvaise nouvelle pour Bah Diakhaté. Ababacar Mboup, ancien coordinateur de « And Samm Jikko Yi » a déposé une plainte contre l’activiste, qui est actuellement entre les mains de la justice. Ababacar Mboup a déposé ce jeudi 23 contre Bah Diakhaté devant le procureur du Tribunal de grande instance de Dakar pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles.

Ababacar Mboup reproche à l’activiste proche de l’ancien régime d’avoir déclaré qu’il a été victime de sodomie d’un parent très proche.

« De source sûre, Ababacar Mboup aurait été victime de sodomie de la part d’un parent très proche. Il aurait été violé à maintes reprises par ce dernier. Ces faits lui ont causé un traumatisme tel qu’il voit de la Philie partout (le Zoo, la morgue necro etc..) et vit une situation très difficile. Ce collectif est en effet une sorte d’exutoire qui lui permet de déverser son trop plein de frustration et de haine« , avait dit Bah Diakhaté, d’après Ababcar Mboup.

Dans sa plainte rédigée le 22 mai, l’ancien coordonnateur de « And Samm Jikko Yi » explique que Bah Diakhaté a fait des accusations fausses contre sa personne, ce qui constitue un délit de diffusion de fausses nouvelles, mais aussi une atteinte à son honneur, ce qui entraîne une diffamation.

ab 1 - Senenews - Actualité au Sénégal, Politique, Économie, Sport

Placés sous mandat de dépôt, Bah Diakhaté et l’imam Cheikh Tidiane Ndao seront jugés le…

Bah Diakhaté et l’imam Cheikh Tidiane Ndao sont placés sous mandat de dépôt par le procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar, a appris Seneweb de leurs avocats.

Le duo va passer sa première nuit en prison. L’activiste républicain et le prêcheur seront jugés en flagrant délit le lundi 27 mai prochain.
Pour rappel, Bah Diakhaté et l’imam Cheikh Tidiane Ndao ont été arrêtés par la Dic  pour diffusion de fausses nouvelles (article 255 du Code pénal) et offense contre une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du président de la République (article 254 alinéa 2 du Code pénal).

Rapport IGE : Birahim Seck demande au Pr Diomaye de ne pas mettre sous le coude

Birahim Seck demande au Pr Diomaye
Birahim Seck demande au Pr Diomaye

Le coordonnateur du Forum civil attend une suite des rapports de l’Inspection générale d’État (IGE). Dans un tweet, ce jeudi 23 mai,  il invite le Chef de l’État Bassirou Diomaye Diakhar Faye à ne pas les mettre sous le coude. 
«Monsieur le Président de la République, les rapports de l’Inspection Générale d’État ne devraient plus être sous le coude. Depuis votre adresse du 3 avril, nous n’avons senti aucune exécution de leur part», a posté Birahim Seck.
Suite aux injonctions du Président Faye, dès sa prise de fonction, l’Office national de Lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) et la Cour des comptes ont rendu publics de nouveaux rapports. Mais l’IGE, organe rattaché à la Présidence de la République, avait déjà mis sur la table de Chef de l’État des rapports concernant notamment la gestion de certaines institutions.

L’ambassadeur Khare Diouf nommé dans le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye

ambassadeur Khare Diouf
ambassadeur Khare Diouf

Jusque-là ambassadeur du Sénégal au Cameroun depuis 2018, Khare Diouf vient d’être nommé dans le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye. Il occupera désormais le poste de Secrétaire général du ministère de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères (MIAAE).

Le diplomate de carrière, diplômé à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Docteur de Philosophie à l’Université de Nanterre (France) et formé à l’École nationale d’administration (ENA), remplace à ce poste Fatou Isidora Mara Niang. 

Retard dans la passation de service à la tête de Dakar Dem Dikk : Les travailleurs expriment leur ras-le-bol

Les travailleurs de la société de transport public Dakar Dem Dikk
Les travailleurs de la société de transport public Dakar Dem Dikk

Les travailleurs de la société de transport public Dakar Dem Dikk sonnent la cloche d’alerte. Selon eux, depuis plus de trois semaines, les activités administratives roulent au ralenti et que le nouveau directeur général de la boîte tarde à prendre fonction, alors que tout est urgence dans cette société.

‘’Le 2 mai  passé, à la suite du communiqué du Conseil des ministres, M. Assane Mbengue a été nommé à la tête de la société Dakar Dem Dikk. Mais jusqu’au moment où je vous parle, le nouveau directeur général  n’a pas encore pris service. Il n’y a pas encore de passation de service entre lui et le  directeur sortant monsieur Ousmane Sylla. C’est une situation que nous déplorons, parce qu’aujourd’hui, les problèmes sont là. Tout est urgent à Dakar Dem Dikk’’, a fait savoir Massaer Ndiaye, le secrétaire général du Syndicat nouveau des travailleurs de Dakar Dem Dikk sur Rfm.
 Poursuivant, le syndicaliste lance un cri du cœur et interpelle les autorités compétentes. ‘’Il est urgent que monsieur Assane Mbengue prenne service afin de régler les problèmes des travailleurs de Dakar Dem Dikk. Nous faisons face à des problèmes qui s’accumulent de jour en jour. Nous lançons ce cri du cœur pour que la passation de service se fasse dans les plus brefs délais. Nous interpellons le président Bassirou Diomaye Faye, son Premier ministre et le ministre des Transports’’.

SN HLM : Un conflit foncier pour accueillir le nouveau dg Bassirou Kébé

dg Bassirou Kébé
dg Bassirou Kébé

La gouvernance foncière risque d’être le parent pauvre du PROJET que l’administration Diomaye veut impulser au Sénégal pour arrêter « la spoliation, l’usurpation et le banditisme » que les héritiers de feu Mandiaye Thiandoum ont dénoncé, à propos de leur patrimoine foncier immatriculé TF 1107/R, sis à Ndiakhirate dans la commune de Bambilor. Le mandataire Mbaye Guèye et son collaborateur Daour Mbaye qui mènent un combat contre la SN-HLM depuis des années, ont interpellé le Président de la République Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko qui, disent-ils, « connaissent bien les tenants et aboutissants de ce dossier ».

Tout est parti du titre mère TF 1107/R dont la Société Nationale à Loyers Modérés (SN-HLM) détient les droits réels dans des conditions que les plaignants jugent « frauduleuses ». A l’origine de cette confusion autour de la propriété du site, le mandataire attitré des héritiers de la famille Thiandoum rappelle que « le légataire feu Mandiaye Thiandoum, décédé en 1949 leur avait laissé en héritage des terres ».

A l’époque, ces héritiers dont la plupart étaient des mineurs auraient été victimes d’une escroquerie impliquant « des membres de la famille, la SN-HLM et un notaire qui a usé de faux en toute connaissance de cause pour déposséder les véritables héritiers du titre 1107/R » déclare Mbaye Guèye. Devenus majeurs, ceux-là qui se disent dignes propriétaires, ont entrepris des démarches en passant par les voies de recours indiquées afin de pouvoir recouvrer l’assiette foncière. Ce qui n’est pas chose aisée pour eux, car « la spoliation a pris d’autres proportions avec des ramifications au niveau de certains services déconcentrés de l’Etat complices, comme le service des Impôts et Domaines, le Cadastre, l’Urbanisme et les sociétés publiques que sont la SICAP et la SN-HLM » ajoute le mandataire.

Du côté de la SN-HLM, il faut noter que le directeur général sortant, Mamadou Diagne Sy Mbengue avait déjà reçu une délégation des héritiers, et avait manifesté sa volonté de s’inscrire dans une démarche conciliante. Mais, « des cadres de la SN-HLM impliqués dans la mafia foncière ont ramé à contre courant des directives données par leur patron de l’époque ». Aujourd’hui, « toutes les décisions de justice concernant le dossier TF 1107/R sont favorables à la famille Thiandoum », a fait savoir Daour Mbaye, opérateur et collaborateur du mandataire.

Malgré les rappels à l’ordre et autres injonctions faits par le Président Bassirou Diomaye Faye aux fossoyeurs et usurpateurs qui s’activent dans le foncier, la SN-HLM semble faire fi des nouvelles mesures. Alors que la DSCOS lui a servi plusieurs arrêts le temps d’épuiser les procédures, « la SN-HLM continue dans ses agissements sur une superficie de 2 hectares qu’elle a balisée après avoir détruit toutes les bornes que j’y avais installé » dénonce Daour Mbaye. Selon lui, « avec les réformes annoncées dans la gouvernance foncière, il y’a des pratiques antérieures que des gens cherchent à cacher au nouveau directeur général de la SN-HLM et qu’il doit savoir pour ne pas commettre d’erreurs ».

Casamance : Le ministre de l’Industrie et du Commerce en visite de travail

ministre de l’Industrie et du Commerce
ministre de l’Industrie et du Commerce

Le Ministre de l’Industrie et du Commerce, Dr Serigne Gueye Diop, a entamé une visite de travail en Casamance, marquant ainsi un engagement fort envers le développement industriel de la région.

« Nous sommes bien arrivés en Casamance pour une visite de travail. Au programme, une visite de la zone industrielle de Ziguinchor et d’unités de production d’anacarde et de mangues », déclare Dr Serigne Guèye Diop.

Cette visite revêt une importance capitale, car elle permettra non seulement d’évaluer l’état actuel des industries casamançaises, mais aussi de jeter les bases d’une industrialisation plus poussée et stratégique.

D’après Dr Diop, l’objectif de ce déplacement est d’effectuer un état des lieux sérieux des industries casamançaises et, surtout, de poser les bases pour une industrialisation conséquente de la région, à la hauteur de sa richesse en ressources naturelles.

La gestion chaotique de Yaye Fatou Diagne à la tête du PROMISE révélée par un rapport d’audit

Yaye Fatou Diagne
Yaye Fatou Diagne

L’audit des états financiers du Programme de Promotion de la Microfinance Islamique au Sénégal (PROMISE) pour l’exercice 2019 a mis en lumière des pratiques financières troublantes, notamment des dépenses considérables sans pièces justificatives. Selon le rapport d’audit, relayé par le quotidien Yoor-Yoor, Yaye Fatou Diagne a dépensé 666 millions de FCFA sans fournir les justificatifs nécessaires.

Le rapport d’audit précise que 569.929.428 FCFA provenant de la contrepartie nationale ont également été dépensés sans pièces justificatives, indiquant une gestion laxiste des fonds publics. En outre, une somme de 100.073.785 FCFA a été jugée inéligible, avec des entreprises comme Le Soleil, GFM, Foutanké, Lamco Industrie, Gie Ndawa Compagnie, Saly Princess, et AB Partners mentionnées comme bénéficiaires dans le document.

Des révélations particulièrement préoccupantes concernent la prise en charge de certains journalistes, des conférences de rédaction (CRD) et plusieurs transports, tous financés sans pièces justificatives, ajoutant aux préoccupations sur l’intégrité et la responsabilité financière au sein du programme PROMISE.

Du nouveau sur Bah Diakhaté face au Procureur

Bah Diakhaté
Bah Diakhaté

Bah Diakhaté, coordonnateur des activistes républicains a été déféré au parquet du tribunal de Grande instance de Dakar ce mercredi.

Il est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles » et « offense contre une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du président de la République ».

L’activiste n’a pas été entendu par le procureur. Il a bénéficié d’un retour de parquet ce mercredi, a-t-on appris. Il retourne ainsi en position de garde à vue en attendant d’être à nouveau déféré au parquet demain jeudi.

Bonne nouvelle ! Une nette baisse du coût de connexion à Internet annoncée « à partir du 1er juin » par le F4C

Le Front Contre la Cherté des Coûts de Connexion (F4C) a exprimé sa gratitude envers les autorités sénégalaises suite à l’annonce de la réduction des tarifs de connexion internet à partir du 1er juin. Cette décision, mentionnée dans un communiqué publié par le F4C, aurait été prise lors du conseil des ministres du 22 mai 2024 et lors du lancement de la 5G. Cependant, une vérification du compte-rendu du conseil des ministres par Senego n’a pas confirmé cette information. Il est possible que le F4C dispose d’informations exclusives non encore confirmées par la présidence ou la Primature.

Le communiqué du F4C remercie explicitement le Président de la République, M. Bassirou Diomaye Faye, et le Directeur général de la SONATEL, M. Sékou Dramé, pour leur engagement en faveur de la réduction des coûts de connexion internet au Sénégal. « Nous accueillons avec une grande satisfaction les annonces faites lors du conseil ministériel de ce 22 mai 2024 et lors du lancement de la 5G, promettant des tarifs plus abordables et des offres mobiles nettement améliorées à partir du 1er juin », a déclaré le F4C dans un communiqué daté du 23 mai 2024.

Le F4C reste déterminé à collaborer avec toutes les parties prenantes pour assurer la mise en œuvre effective de ces mesures et continuer à plaider pour une connectivité à moindre coût. Le communiqué souligne également la reconnaissance du F4C envers le ministre des télécommunications et de l’économie numérique, ainsi que son directeur de cabinet, pour leur écoute et leur action proactive.

L’intégralité du communiqué du F4C

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Réforme de la justice : Le president Diomaye Faye définit les contours, les dates et la durée des travaux

Diomaye Faye
Diomaye Faye

Sous l’impulsion du Président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, la quatrième édition de la journée du dialogue national se tiendra le 28 mai 2024 au Centre International de Conférence Abdou Diouf (CICAD). Cet événement est axé sur le thème « La réforme et la modernisation de la Justice ».

Cette initiative vise à évaluer les forces et les faiblesses du système judiciaire sénégalais, identifier les dispositions légales et réglementaires à améliorer, et élaborer une feuille de route pour la mise en œuvre des solutions dégagées. Le Président Faye, dans son discours d’investiture le 2 avril 2024, a souligné son engagement à faire du Sénégal un pays d’espérance avec une justice indépendante et une démocratie renforcée. Il a insisté sur la nécessité d’instaurer une gouvernance vertueuse, fondée sur l’éthique de responsabilité et l’obligation de rendre compte.

Objectifs du Dialogue National

Le dialogue national poursuit plusieurs objectifs spécifiques, notamment :

  • Encadrer de manière plus rigoureuse le régime de privation de liberté : Il s’agit d’assurer que les conditions de détention soient respectueuses des droits humains, et que la privation de liberté soit une mesure de dernier recours, appliquée de manière proportionnée et justifiée.
  • Mettre en place un système de gestion de la carrière des magistrats plus transparent : L’objectif est de garantir que les nominations, promotions et affectations des magistrats soient basées sur des critères objectifs et équitables, renforçant ainsi l’indépendance et l’intégrité de la justice.
  • Favoriser la célérité dans le traitement des procédures judiciaires : Il est crucial de réduire les délais de traitement des affaires judiciaires afin de rendre la justice plus rapide et efficace, évitant ainsi les longues détentions provisoires et les retards dans la délivrance des jugements.
  • Instituer des plateformes dématérialisées pour le service public de la justice : La digitalisation des procédures judiciaires et administratives vise à simplifier et accélérer les démarches, améliorer l’accès à l’information et réduire les risques de corruption.
  • Allouer des moyens budgétaires suffisants pour améliorer le fonctionnement du système judiciaire : Des ressources financières adéquates sont essentielles pour le bon fonctionnement des tribunaux, la formation des personnels judiciaires, et l’amélioration des infrastructures.
  • Créer un régime financier autonome pour les six cours d’appel : Cette mesure vise à accorder une plus grande autonomie financière aux cours d’appel, leur permettant de mieux gérer leurs ressources et de répondre efficacement à leurs besoins spécifiques.

Thématiques Abordées

Les participants au dialogue national se pencheront sur plusieurs thématiques cruciales pour la réforme du système judiciaire sénégalais :

  • Le statut des magistrats : Cette thématique explorera les conditions de travail, les droits et obligations des magistrats, ainsi que les mesures nécessaires pour garantir leur indépendance et intégrité. Elle examinera également les mécanismes de protection contre les pressions et influences externes.
  • L’organisation et le fonctionnement du Conseil supérieur de la Magistrature : Ce conseil joue un rôle clé dans la nomination et la gestion des carrières des magistrats. Il est essentiel d’évaluer son fonctionnement actuel et de proposer des améliorations pour renforcer son efficacité et son impartialité.
  • La dématérialisation du service public de la justice : La transition vers des plateformes numériques permettra de moderniser le système judiciaire, facilitant l’accès à la justice pour les citoyens, réduisant les coûts et augmentant la transparence des procédures.
  • Le temps du procès pénal : Il est crucial de réduire les délais de traitement des affaires pénales pour garantir un jugement rapide et équitable. Cette thématique abordera les causes des retards et proposera des solutions pour accélérer les procédures.
  • Le régime de la sanction pénale : L’objectif est d’examiner les différentes sanctions pénales applicables, leur efficacité et leur proportionnalité. Il s’agira également de promouvoir des alternatives à l’incarcération, telles que les peines de substitution et les mesures de réinsertion.
  • Le cadre juridique et institutionnel de l’administration pénitentiaire : Cette thématique visera à améliorer les conditions de détention, assurer le respect des droits des détenus, et mettre en place des programmes de réhabilitation et de réinsertion sociale.
  • Les conditions de détention et de préparation à la réinsertion sociale des détenus : Il est essentiel de garantir des conditions de détention dignes et humaines, et de préparer les détenus à leur réinsertion dans la société afin de réduire les risques de récidive.
  • Le régime de la privation de liberté : Cette thématique s’intéressera aux conditions et aux modalités de la détention provisoire et de la privation de liberté en général, en veillant à ce qu’elles soient conformes aux standards internationaux des droits humains.
  • La prise en charge des enfants en danger ou en conflit avec la loi : La protection des enfants et des jeunes en conflit avec la loi est une priorité. Il est nécessaire de mettre en place des dispositifs adaptés pour leur prise en charge, leur éducation et leur réinsertion.

Méthodologie

Pour garantir un dialogue fructueux, plusieurs dispositifs seront mis en place :

  • Commissions de travail spécialisées dans la réforme et la modernisation : Ces commissions seront composées d’experts et de professionnels du secteur judiciaire, chargés d’élaborer des propositions concrètes pour améliorer le système.
  • Commission scientifique en charge de la synthèse et du rapport des actes du dialogue : Cette commission aura pour mission de compiler et d’analyser les contributions des différentes commissions de travail, et de rédiger un rapport final.
  • Travaux en plénière pour des discussions et débats ouverts : Les sessions plénières permettront à tous les participants d’échanger leurs points de vue, de débattre des propositions et de parvenir à un consensus sur les réformes à entreprendre.
  • Synthèse réalisée par le modérateur pour récapituler les principales conclusions : À la fin de chaque session, un modérateur résumera les discussions et les points clés, facilitant ainsi la compréhension et la prise de décisions.
  • Rapports thématiques et rapport général : Les conclusions et recommandations des travaux seront compilées dans des rapports thématiques et un rapport général, qui serviront de base pour la mise en œuvre des réformes.

Résultats Attendus

Le dialogue national vise à aboutir à des résultats concrets et mesurables, notamment :

  • Un régime de privation des libertés mieux encadré.
  • Une gestion de la carrière des magistrats plus transparente.
  • Des procédures judiciaires traitées avec diligence et transparence.
  • Des plateformes dématérialisées instituées et fonctionnelles dans toutes les juridictions.
  • Des services judiciaires disposant de moyens budgétaires suffisants.
  • Un régime financier autonome et plus souple pour les six cours d’appel.

Participants et Cibles

Le dialogue national réunira une diversité d’acteurs clés, incluant :

  • Institutions constitutionnelles : Assemblée nationale, Conseil constitutionnel, Cour suprême, Cours et Tribunaux, Haut Conseil des Collectivités territoriales, Conseil économique social et environnemental, Haut Conseil du Dialogue social.
  • Administrations publiques : Directions et services centraux du Ministère de la Justice, Ministère de l’Intérieur, Ministère des Forces Armées, Ministère des Finances et du Budget, autres administrations habilitées.
  • Universitaires : Professeurs et chercheurs spécialisés en droit et sciences sociales.
  • Professionnels de la justice : Union des Magistrats du Sénégal, Amicale des Femmes Magistrates, Union nationale des Travailleurs de la Justice, Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST).
  • Ordres professionnels : Avocats, notaires, huissiers, commissaires-priseurs, experts agréés, experts comptables, géomètres, architectes.
  • Administration pénitentiaire : Responsables des établissements pénitentiaires et du personnel pénitentiaire.
  • Anciens détenus : Pour apporter leur témoignage et proposer des améliorations basées sur leur expérience.
  • Partenaires techniques et financiers (PTF) : Organisations internationales et bailleurs de fonds soutenant les réformes judiciaires.
  • Organisations de la société civile : ONG et associations œuvrant dans le domaine des droits de l’homme et de la justice.
  • Patronat et syndicats : Représentants des employeurs et des travailleurs.
  • Collectivités territoriales : Représentants des régions, départements et communes.
  • Coalitions et partis politiques représentés à l’Assemblée nationale : Pour garantir une approche inclusive et multipartite.
  • Médias : Journalistes et professionnels de la communication pour assurer une couverture médiatique et une transparence du dialogue.
  • Autorités coutumières et religieuses : Pour intégrer les dimensions culturelles et spirituelles dans les discussions.
  • Personnalités indépendantes : Experts et personnalités reconnues pour leur impartialité et leur expertise.
  • Citoyennes et citoyens : Pour recueillir les avis et les attentes du public.

Plateforme Citoyenne « JUBBANTI »

Pour accompagner le dialogue, une plateforme citoyenne dénommée « JUBBANTI » sera lancée le 23 mai 2024. Cette initiative, souhaitée par le Président de la République, permet aux citoyens d’exprimer leurs préoccupations sur différentes thématiques importantes, dont la justice, afin d’améliorer les politiques et les pratiques. La première phase de cette plateforme, intitulée « SA GIS-GIS CI DOXALIINU YOON » (« Votre opinion sur la justice »), vise à recueillir l’opinion des Sénégalais sur le système judiciaire et à proposer des améliorations.

Calendrier du Dialogue National se fera sur une semaine.

  • Mardi 28 mai : Cérémonie d’ouverture.
  • Mercredi 29 mai au vendredi 31 mai et lundi 3 juin : Travaux en commission et sous-commission.
  • Mardi 4 juin : Restitution des travaux.

Caisse des dépôts et consignations : La décision forte de Fadilou Keïta

Fadilou Keita
Fadilou Keita

Dans un mouvement stratégique au sein de la Compagnie générale immobilière du Sahel (CGIS), filiale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), Abdou Khafor Touré cède sa place à Ibra Aly Sy en tant que Directeur Général.

Cette décision, prise par le Conseil d’administration de la CGIS dirigé par Fadilou Keïta , nouveau directeur général de la CDC, a été officialisée ce mercredi 22 mai, selon une information relayée par Les Échos. Bien que relevé de ses fonctions de Directeur Général, Abdou Khafor Touré ne quitte pas totalement la CGIS. En effet, il conserve son poste en tant qu’administrateur au sein de l’entreprise. Cette annonce a été personnellement partagée par Touré sur le réseau social X, confirmant ainsi son maintien dans la structure décisionnelle de la CGIS.

Le changement de direction s’inscrit dans une dynamique de renouvellement et de consolidation des objectifs stratégiques de la CGIS, alors que la société continue de jouer un rôle clé dans le secteur immobilier du Sahel sous la tutelle de la CDC.

Sénégal – Coût de l’Internet : L’annonce du gouvernement qui va plaire au jeunes

Place De Sonko dans La Présidence De Diomaye
Place De Sonko dans La Présidence De Diomaye

Lors du Conseil des Ministres de cette semaine, le Premier Ministre a mis l’accent sur un enjeu crucial pour de nombreux citoyens : la réduction du coût de l’Internet. Cette annonce s’inscrit dans une série de mesures visant à alléger le fardeau financier des ménages et à rendre les services de connexion plus accessibles à tous.

Le Premier Ministre a présenté les premiers résultats des concertations en cours avec les parties prenantes, mettant en avant des efforts concertés pour trouver des solutions concrètes afin de diminuer le coût de la vie, en particulier pour les produits de première nécessité et les services de connexion à l’Internet. Cette démarche témoigne de la volonté du gouvernement de répondre aux préoccupations légitimes des citoyens en matière d’accessibilité et d’abordabilité des services essentiels.

Les discussions au Conseil des Ministres ont souligné l’importance de rendre l’Internet plus abordable, compte tenu de son rôle central dans la vie quotidienne des individus, que ce soit pour l’éducation, le travail, les affaires ou les loisirs. La connectivité est devenue un pilier incontournable du développement économique et social, et son accessibilité à un prix raisonnable est indispensable pour garantir l’inclusion numérique de tous les citoyens.

Par ailleurs, le Premier ministre a également abordé d’autres sujets d’importance nationale, tels que le réexamen de certaines conventions dans les secteurs miniers, pétroliers et halieutiques, ainsi que la revue des finances publiques sur une période de cinq ans. En outre, les conclusions des Conseils interministériels dédiés à la prévention et à la gestion des inondations, ainsi qu’à la préparation des examens et concours pour l’année scolaire 2024, ont été présentées.

Ces initiatives démontrent l’engagement du gouvernement à répondre aux besoins concrets de la population, tout en veillant à une gestion efficace des ressources publiques et à la préparation adéquate aux défis à venir. La réduction du coût de l’Internet s’inscrit dans cette vision plus large visant à promouvoir l’inclusion sociale, l’innovation et la croissance économique pour tous.

Propos contre Ousmane Sonko : la surprenante déclaration de l’imam Cheikh Ndao face aux enquêteurs

Imam Ndao
Imam Ndao

L’activiste Bah Diakhaté et l’imam Cheikh Tidiane Ndao sont en garde dans les locaux de la DIC. Ils sont poursuivis pour diffusion de fausses nouvelles et «offense contre une personne exerçant tout ou partie des prérogatives du président de la République».

Face aux enquêteurs, informent plusieurs médias, le premier mis en cause a assumé ses propos. Le second en revanche, d’après Libération, a retropédalé. Le journal rapporte que l’imam Ndao a reconnu la paternité de la vidéo incriminée avant de présenter ses excuses. «Dama dioum», a lancé le religieux, si l’on en croit la source. Qui renseigne que les deux hommes seront présentés au procureur de la République, ce mercredi.

Comment Choisir un Casino en Ligne Fiable : Guide pour les Débutants en 2024

Avec l’essor des casinos en ligne, il est essentiel pour les joueurs débutants de savoir comment choisir une plateforme fiable et sécurisée. De nombreux facteurs doivent être pris en compte pour garantir une expérience de jeu agréable et sécurisée. Dans cet article, nous vous guiderons à travers les étapes clés pour choisir un casino en ligne fiable, et nous mettrons en lumière l’importance de choisir un nouveau casino en ligne français.

Vérifiez la Licence et la Régulation

La première étape pour choisir un casino en ligne fiable est de vérifier s’il possède une licence délivrée par une autorité de régulation reconnue. Les licences de jeux garantissent que le casino respecte des normes strictes de sécurité et de fair-play. Les autorités de régulation réputées incluent :

L’Autorité Nationale des Jeux (ANJ) en France
La Malta Gaming Authority (MGA)
La UK Gambling Commission (UKGC)
La Gibraltar Regulatory Authority (GRA)
Un nouveau casino en ligne français disposant d’une licence de l’ANJ, par exemple, offre une assurance supplémentaire de sécurité et de fiabilité.

Recherchez les Avis et les Réputations

Avant de vous inscrire sur un casino en ligne, prenez le temps de lire les avis des autres joueurs et de vérifier la réputation du site. Des sites de revues et des forums de joueurs peuvent fournir des informations précieuses sur l’expérience des autres utilisateurs. Méfiez-vous des casinos qui ont des avis négatifs récurrents ou des plaintes non résolues.

Explorez les Options de Paiement

Un casino en ligne fiable doit offrir une variété d’options de paiement sécurisées pour les dépôts et les retraits. Vérifiez les méthodes disponibles, telles que :

Cartes de crédit/débit (Visa, Mastercard)
Portefeuilles électroniques (PayPal, Skrill, Neteller)
Virements bancaires
Cryptomonnaies (Bitcoin, Ethereum)
Assurez-vous également de vérifier les délais de traitement des retraits et les éventuels frais associés.

Testez le Service Client

Un bon service client est un indicateur clé de la fiabilité d’un casino en ligne. Contactez le service client avant de vous inscrire pour évaluer leur réactivité et leur professionnalisme. Les meilleurs casinos offrent un support 24/7 via divers canaux, tels que le chat en direct, l’email et le téléphone.

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Un casino en ligne fiable propose une large sélection de jeux de haute qualité provenant de développeurs réputés. Recherchez des jeux de fournisseurs comme NetEnt, Microgaming, Playtech et Evolution Gaming. La diversité des jeux, y compris les machines à sous, les jeux de table, le poker et les jeux en direct, est également un bon signe.

Assurez-vous de la Compatibilité Mobile

Avec de plus en plus de joueurs préférant jouer sur leurs récents appareils mobiles, il est important de choisir un casino en ligne qui offre une expérience fluide sur smartphones et tablettes. Vérifiez si le casino dispose d’une application mobile ou d’un site web optimisé pour les appareils mobiles.

Blanchiment de capitaux, détention de faux billets de banque, usage de faux : Thierno Diagne placé sous mandat de dépôt

Seneweb en sait un peu plus sur les délits que l’on reproche au maire de Sindia Thierno Diagne. Blanchiment de capitaux, détention de faux billets de banque, usage de faux dans un document administratif (mars 2022), escroquerie sur une somme de 65 millions de francs CFA (mars 2022), conflit avec la fondation Sonatel sur 2 700 parcelles d’une valeur de 1,7 milliard de francs CFA.

 Telles sont les charges qui ont valu à Thierno Diagne d’être placé sous mandat de dépôt par le juge du 1er cabinet d’instruction du tribunal de grande instance de Mbour.