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Urgent: Pierre Atépa Goudiaby Invite Sonko à Répondre à l’Appel de Macky SALL

Pierre Atépa Goudiaby Invite Sonko à Répondre à l’Appel de Macky SALL

Alioune Tine à Macky et Sonko : « La confrontation n’est dans l’interêt de personne, il ya trop de morts »

Alioune Tine à Macky et Sonko
Alioune Tine à Macky et Sonko

Le fondateur d’Afrikajom Center, Alioune Tine est formel: « Le choix de la confrontation n’est pas dans l’interêt de la Nation, il va rendre ce pays trop vulnérable dans un contexte régional dominé par les conflits et des violences apocalyptiques ».

D’après Alioune Tine, sa conviction profonde c’est que le dialogue politique a souvent sauvé notre pays quand il est sincère sans calculs, sans manoeuvres et quand il met à l’aise les acteurs.

Pour lui, il faut créer les conditions de succès. Libérer les détenus politiques, résoudre l’équation de l’éligibilité ».

« Au PR Macky Sall de faire bouger les lignes pour qu’on l’aide à construire l’unité et la paix », déclare M. Tine.

« La confrontation n’est dans l’interêt de personne, il ya trop de morts, trop de bléssés, trop de personnes en prison. Quid de l’image du pays avec des FDS partout, des chars partout et le gazage des militants de l’opposition. Ça suffit », ajoute Alioune Tine.

Selon Alioune Tine, le courage, la lucidité, la raison et le réalisme tout court, impose le succes du dialogue, un dialogue inclusif la présence de tous les acteurs politiques. Pour lui, c’est possible avec la restauration d’un climat de confiance. « Mettre fin à la répression tous azimuts, aux arrestations », demande-t-il.

FÊTE INTERNATIONALE DU TRAVAIL: DISCOURS POIGNANT DU PRÉSIDENT MACKY SALL

Discours de Son Excellence 

Monsieur le Président Macky SALL

Dakar, 1er mai 2023

Monsieur le Premier ministre ;

Monsieur le Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions ;

Mesdames, Messieurs les Ministres ;

Madame la Présidente du Haut Conseil du Dialogue social ;

Messieurs les Présidents des Organisations d’employeurs ;

Mesdames, Messieurs les Secrétaires généraux des centrales syndicales de travailleurs ;

Mesdames et Messieurs,

La célébration de la Fête du Travail m’offre, une fois de plus, l’occasion d’adresser à toutes les travailleuses et tous les travailleurs de notre pays, mes vives félicitations et mes vœux les meilleurs de bien-être et de réussite.

C’est toujours avec un réel plaisir que je vous rencontre, parce que le monde du travail que vous représentez ici est une formidable source d’inspiration, de résilience, d’épanouissement et de dignité.

Cette Fête, qui est la vôtre par excellence, marque également le souvenir des sacrifices consentis par les travailleurs pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail.

Ces conditions, il faut le dire et le regretter, se sont considérablement détériorées sous l’effet combiné de la COVID-19 et d’une guerre majeure dont l’issue reste encore incertaine. 

Avec le ralentissement de l’activité économique et la perturbation des chaines d’approvisionnement, des emplois ont été perdus et le coût de la vie s’est renchéri. 

Dans ce contexte difficile, le gouvernement est resté aux côtés des travailleurs et des ménages. 

Ainsi, malgré nos contraintes budgétaires, nous avons pris des mesures sociale hardies, comme la revalorisation significative des salaires des agents de l’Etat pour un montant cumulé de 236milliards de FCFA, la subvention des produits énergétiques, la baisse de taxes sur les prix des denrées de première nécessité pour soulager les consommateurs, et la baisse du coût des loyers.

Soyez assurés que ma préoccupation constante est d’alléger autant que faire se peut le coût de la vie pour les masses laborieuses. 

Mesdames, Messieurs, 

J’ai évoquée tantôt la conjoncture morose qui s’est emparée des économies. Tout le monde en souffre ; employés comme employeurs. Ce qui rend encore plus indispensable le dialogue social et la négociation pour apaiser les esprits, instaurer la confiance, consolider la stabilité sociale en ayant comme souci principal de préserver l’outil de travail et les emplois.

C’est l’option que nous avons choisie pour un dialogue social innovant et de qualité.

J’en veux pour preuves, sans être exhaustif :

• l’institution du Haut conseil du Dialogue social et de comités de dialogue social dans les entreprises ;

• les conférences sociales comme cadre de réflexion sur les problématiques majeures du monde du travail, dont la première avait permis la signature d’un Pacte de stabilité sociale et d’émergence économique en 2014;

• la mise en œuvre du plan national de renforcement du dialogue social dont l’objectif principal est de contribuer, par une approche tripartite, à instaurer une stabilité sociale durable, propice à la protection du travail décent et à l’efficacité économique ;

• enfin, l’organisation régulière d’élections de représentativité syndicale, qui favorise la démocratie sociale et la rationalisation de la négociation collective. 

Je salue, à ce propos, les innovations apportées dans l’organisation de ces élections avec notamment l’introduction d’un seuil de représentativité syndicale et du vote électronique pour le secteur de l’Éducation et de la Formation ;

Mesdames, Messieurs,

La protection sociale du travailleur reste au cœur de mes préoccupations, parce qu’il faut sans cesse promouvoir le travail décent mais aussi  réduire les inégalités. C’est fondamental pour améliorer les conditions de vie et de travail.

Pour ce faire, le Rapport mondial de l’Organisation internationale du travail 2020-2022 souligne à juste titre que : « La mise en place de systèmes de protection sociale universels et la concrétisation du droit humain à la sécurité sociale pour tous constituent la pierre angulaire d’une approche centrée sur l’humain pour parvenir à la justice sociale ». 

C’est tout le sens des réformes que nous avons initiées à l’issues des deux Conférences sociales que nous avons tenues en 2017 et 2021, avec notamment :  

• l’institution au niveau de l’IPRES d’une pension minimale et la revalorisation significative des pensions ;

• et la création au niveau du Fonds national de Retraite du mécanisme de la retraite complémentaire obligatoire et la revalorisation des pensions et rentes du régime de base et des pensions militaires d’invalidité.

D’autres initiatives sont en cours pour étendre la protection sociale aux acteurs du secteur  informel, par l’instauration d’un régime simplifié et incitatif.

Nous avons en effet la volonté de toujours mieux faire pour que le monde du travail au sens large vive décemment de son labeur. 

A cet effet, j’exhorte le Gouvernement à renforcer les institutions du marché du travail. 

En outre, l’Administration du Travail doit être dotée de moyens plus conséquents pour lui permettre de jouer pleinement son rôle de régulateur pour la consolidation de la paix sociale, la garantie des droits des travailleurs et l’instauration d’un milieu de travail sûr et salubre.

Dans le même esprits, j’engage le gouvernement à poursuivre les efforts de modernisation de l’administration du travail, à l’instar de la dématérialisation de la procédure de dépôt en ligne du contrat de travail, afin de garantir la célérité et la transparence de l’action publique sur le marché du travail.

L’Administration du Travail doit sans cesse s’adapter aux mutations rapides et complexes de son écosystème pour assumer pleinement son rôle de régulateur, de conseil et d’anticipation. 

C’est un impératif de premier ordre pour assurer la présence régulière de l’Inspection du travail dans les établissements afin de veiller à l’application de la législation sociale, conformément aux missions que lui confère la Convention n°81 de l’Organisation internationale du Travail.

Il est tout aussi important d’adapter la législation sociale à la quête d’un environnement des affaires attractif, conciliant la compétitivité de l’entreprise et la création d’emplois décents.

J’engage à ce sujet le Ministre chargé du Travail à parachever les réformes visant la modernisation des Codes du Travail et de la Sécurité sociale, à l’image des dispositions légales et réglementaires  récemmentadoptés pour lutter contre la discrimination et renforcer l’autonomisation des femmes en milieu du travail, comme le veut la Convention n°183 de l’Organisation internationale du Travail sur la Protection de la Maternité. 

Il nous faut, en même temps, faire les  diligences nécessaires pour la ratification de la Convention n°190 de l’OIT de 2019 sur la violence et le harcèlement dans le monde du travail.

Mesdames, Messieurs,

Je voudrais maintenant en venir à l’examen des Cahiers de doléances des centrales syndicales.

D’abord, concernant la négociation collective dans le secteur privé, je constate pour m’en réjouir qu’un accord de principe a été convenu  autour de la plateforme minimale relative à la revalorisation des salaires catégoriels, au SMIG et à la prime de transport, même s’il reste à déterminer les niveaux de hausse.  

J’encourage le Patronat et la Coalition des centrales syndicales à finaliser ces concertations dans un esprit d’ouverture et de dialogue constructif pour préserver un climat social serein.

Au titre des négociations sectorielles dans le secteur public, je demande au Gouvernement de:

• veiller à l’installation de comités de dialogue social dans tous les secteurs pour anticiper sur les conflits sociaux et garantir une paix sociale durable, propice à la protection des travailleurs et à la productivité économique ;

• et de s’assurer de la désignation d’un point focal dans chaque département ministériel chargé du suivi des doléances sectorielles. 

Je saisis l’occasion qui nous réunit pour rendre  hommage au secteur privé pour sa contribution à la génération d’emplois par ses capacités productives. 

J’aurai d’ailleurs l’opportunité de m’entretenir prochainement avec les représentants du patronat de sujets d’intérêt commun qui touchent à la vie de l’entreprise.

Je félicite Monsieur le Ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions, ainsi que ses équipes pour les efforts inlassables qu’ils consacrent au monde du travail afin de consolider ses acquis et aider à l’ouverture de nouvelles perspectives de promotion du travail décent.

C’est une démarche délicate mais nécessaire pour concilier les intérêts et préoccupations de tous afin de garder le cap sur la voie du progrès. 

Bonne fête du travail à toutes et à tous. 

Je vous remercie de votre attention.

HOMMAGE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A MAME LESS CAMARA ET   REPONSE AU SG DU SYNPICS

Je vous présente à mon tour mes condoléances pour la perte de Mame Less Camara qui a été un symbole, un monument et surtout une boussole pour la presse. Au-delà des préceptes et des règles du journalisme qu’il enseignait, il a toujours prêché par l’exemple. Pour que Mame Less Camara continue de rester une boussole pour les journalistes, le CESTI va porter son nom. Comme vous il a été secrétaire général du Synpics et a fait évoluerpositivement les conditions matérielles et morales des journalistes. 

Vous avez parlé de la presse d’antan. Mame LessCamara en était l’incarnation dans sa pratique professionnelle et personnelle. Cette presse d’antan dont vous parlez a contribué à l’élargissement des bases de notre democratie et a permis à notre pays de franchir les seuils de démocratisation qu’ont été les alternances de 2000 et 2012. Monsieur le SecrétaireGénéral après avoir salué la presse d’antanvous avez-vous-même fait le diagnostic de l’état de presse etappelé à des assises de la presseJe salue votre honnêtepour ce diagnostic sans complaisance et vous assure du soutien de l’Etat parce qu’il ne peut y avoir de grande democratie sans une presse à la hauteur. J’attends avec impatience les conclusions de vos assises qui permettront à la presse de partir sur de nouvelles bases. Je voudrais vous féliciter aussi pour tous les efforts que vous faites pour mieux organiser le secteur avec la carte nationale de presse. Cette carte va permettre une meilleure collaboration avec l’Etat et ses démembrements notamment les forces d’ordre avec qui vous partagez le « terrain »et vous doivent aussi protection et qui doivent donc être vos partenaires sur le terrain afin que chacun puisse faire son travail.

Sur le Régulateur, l’Etat est d’accord pour poursuivre la réflexion avec les associations de presse car elle a déjà commencé de notre côté car le Régulateur doit s’adapter à l’évolution des médias et surtout des réseaux sociaux. Les assises sont une bonne occasion pour peaufiner cette réflexion. Pour l’aide à la presse aussi, nous sommes ouverts à la discussion et à des propositions. Monsieur le Secrétaire General, je vous remercie de nous avoir rappelécette grande sagesse de Serigne Abdou Lahat Mbacké. Je vais inverser la formule et les rôles. A la presse, l’Etat qui est réaliste ne demande pas l’impossible mais juste le respect des règles parce que dans un Etat de Droit, l’Etat est soumis au Droit mais la presse aussi.

Notre relation est dialectique car il n’y a pas de democratie sans liberté de presse mais une presse libre ne peut qu’exister que dans une democratie et je me réjouis comme vous le dites que les grands groupes de presse du monde choisisse d’installer leurs bureaux régionaux à Dakar permettant ainsi au Sénégal de tenir son rang en termes de démocratie et de liberté de presse.

Appel au dialogue du chef de l’État : Pourquoi Ousmane Sonko ne participera pas

combat Sonko Macky
combat Sonko Macky

Macky Sall lui-même a dit qu’on n’a pas besoin de dialogue. Dans son allocution, il affirme qu’il n’y a pas de problème, il n’y a pas de prisonniers politiques et que les institutions marchent bien. Pourquoi donc dialoguer, se demande Ousmane Sonko face à la presse.

Pour lui, trois questions sous-tendent un dialogue : reconnaître d’abord qu’il y a un problème, envoyer les termes de référence du dialogue et aussi évaluer et appliquer les résultats des dialogues précédents.

Il s’interroge d’ailleurs sur les conclusions des précédents dialogues. « Nous ne sommes pas des amnésiques. En 2016, le dialogue qui devait porter sur des questions d’intérêt national avait réuni les politiques, les institutions et la société civile, et on semblait dire que l’opposition devrait accepter la main tendue. Mais jamais les conclusions n’ont été appliquées. Il y a eu ensuite la consultation populaire qui, entre autres points, visait la réduction du mandat de sept à cinq ans. Aujourd’hui, Macky Sall donne le dossier au Conseil constitutionnel qui lui demande de ne pas diminuer. Les voix des Sénégalais n’étaient donc pas importantes », dit-il.

Ousmane Sonko revient aussi sur le dialogue de 2021 qui a connu une pause avec la Covid. « L’opposition avait demandé la suppression du parrainage, le bulletin unique pour lutter contre la corruption et rationaliser les dépenses publiques liées à l’organisation des élections, instaurer le financement des partis politiques pour éviter qu’il soit la porte d’entrée de puissances étrangères, modifier le Code électoral, dissoudre la Cena et créer une autorité en charge des élections, entre autres ».

Seulement, se désole Sonko, Macky reprend chaque fois les mêmes démarches et est encore prêt à discuter sur des points déjà débattus et les résultats ne sont pas appliqués par le gouvernement. « L’État n’applique jamais les acquis des dialogues et compte inviter à chaque fois à un dialogue quand ça lui chante. Macky n’a qu’à appliquer les résultats déjà obtenus », dit-il.

Ousmane Sonko explique que le président de la République a un objectif : c’est avoir un moyen de chantage pour chaque candidat. « Certains ont un problème de parrainage. À d’autres, il promet une amnistie. Quand il s’agit de Pastef, il veut faire un maximum de prisonniers pour nous obliger à venir au dialogue. Alors que nous ne négocierons jamais avec un pistolet sur la tempe. Nous espérons aussi que nos partenaires politiques que sont Yewwi Askan Wi et le F24 ne participeront pas », dit-il.

Ousmane Sonko martèle, en outre, que ce dialogue est une façon pour le chef de l’État de l’isoler et de donner un bonbon à chacun. Il s’agit aussi, selon Sonko, d’une manière pour Macky Sall de légitimer sa candidature. « À dix mois de la fin de son mandat, ce n’est pas lui qui doit distribuer les cartes », a dit le leader de Pastef.

« Ku gedd sa yaay a aye » Sonko répond à Macky et Khalifa Sall «dagua beugue Amnesty Mo takh guay Deme »

Sonko répond à Macky et Khalifa Sall
Sonko répond à Macky et Khalifa Sall

Affaire Babacar Touré : Les terribles révélations de SONKO sur Frederick Napel « Neneu Maham Diallo moko waxx… »

SONKO sur Frederick Napel
SONKO sur Frederick Napel

Vidéo-Affaire Babacar Touré : Les terribles révélations de SONKO sur Frederick Napel « yoor na ay audio am »

Affaire Babacar Touré : Les terribles révélations de SONKO sur Frederick Napel « yoor na ay audio am »

(Photos) Célébration historique du 1er mai à Senelec : Une Senelec unie et performante

1er mai à Senelec
1er mai à Senelec

Pour une première, les quatre syndicats de Senelec se sont regroupés autour de la Convergence Syndicale des Travailleurs de Senelec (CSTS) pour fêter ensemble le 1er mai. Cette unité syndicale traduit le climat social apaisé entre la Direction Générale de Senelec et les partenaires sociaux, ainsi que le souci de préserver leur outil de travail dans ce contexte de réformes institutionnelles.

La Direction Générale de Senelec et la Convergence Syndicale des Travailleurs de Senelec (CSTS) ont fêté dans un climat social apaisé la fête du 1er mai, en présence du ministre du Pétrole et des Energies Mme Aissatou Sophie Gladima et de son directeur de cabinet M. Issa Dione.

Devant la forte mobilisation des agents de Senelec, le Directeur Général de Senelec Papa Mademba Bitèye a souligné que « la meilleure preuve de cette nouvelle réalité est la célébration commune, pour la première fois à Senelec, de cette fête où tous les syndicats se sont réunis pour cheminer ensemble et lancer un signal fort qu’une Senelec réunie est une Senelec retrouvée. »

Abordant le thème central qui porte sur les « enjeux et défis des réformes institutionnelles, le Directeur Général a déclaré que « levéritable leitmotiv de la réforme, c’est la confiance faite aux partenaires sociaux pour fixer avec eux, par la négociation d’entreprise, les règles du jeu du travail. »

Pour le Directeur Général de Senelec, « l’accord qui découlera de ce processus nous engagera et jouira donc de meilleures chances d’être mieux respecté. » Dans l’optique de cette réforme qui pointe, Senelec peut compter sur le soutien du Chef de l’Etat Macky Sall qui n’a pas manqué d’insister sur la sacralisation d’une démarche participative et inclusive.

Ainsi, selon le Directeur Général de Senelec, « le Président de la République a autorisé la mise à niveau des centrales de Senelec avant qu’on aille vers la création de cette filiale Production ».  Toutefois, dans le cadre de la réforme, le Président de la République a insisté pour que 40% de la production du pays soit détenue par la filiale Production de Senelec.

C’est dans ce sens que Senelec a également obtenu d’une part, du Président de la République, l’autorisation de mettre en place une centrale de 120MW sur le site du Cap des biches. Cette centrale qui fonctionnera avec un cycle combiné, sera doté d’une technologie plus moderne et plus performante que les centrales des producteurs privés indépendants qui sont installées dans le pays.

D’autre part, le projet « gas to power » mis en place par l’Etat du Sénégal va permettre à Senelec de procéder à la reconversion de ses unités de production au gaz. Ce combustible réputé plus propre et provenant du gaz local devrait permettre à Senelec de réduire ses coûts de production et d’être plus compétitif.

Le Coordonnateur de la CSTS Mohamed Habib Aidara, a salué l’unité syndicale au niveau de Senelec et magnifié l’ouverture de la Direction Générale dans la prise en charge des préoccupations des travailleurs. Il s’est également réjoui de la forte mobilisation du personnel et de l’intérêt suscité par les réformes institutionnelles.

Kaolack : Pape Demba Bitèye fait rallier des militants de Pastef et monte des cellules à Darou Salam Diamaguène.

Pape Demba Bitèye
Pape Demba Bitèye

Plusieurs activités étaient hier au menu dans le cadre du programme du DG Pape Demba Bitèye et Cie.

Il s’agissait tout d’abord d’un méga-meeting qui a eu lieu à Darou Salam Diamaguène Peulga (commune de Kaolack) où le responsable politique de la mouvance présidentielle a fait rallier la majorité présidentielle par des militants de Pastef. Ces derniers, majoritairement jeunes, ont décidé de soutenir le président Macky Sall en portant sa candidature en 2024.

Reçu par son militant, Amadou Ka, Pape Demba Bitèye a saisi cette occasion pour procéder à la validation des cellules de 18 responsables locaux dont chacune compte une cinquantaine de membres.

Dans la foulée, Pape Demba Bitèye a reçu en audience la coordination des adjoints au maire de Kaolack, dirigée par Andéle Kitane, en prélude à leur Assemblée générale nationale. M. Bitèye s’est également rendu à Kahone chez Ibou Bambara pour officialiser leur partenariat. Celui-ci, après avoir accueilli Bitèye et sa délégation, s’est félicité de ce déplacement. Le DG Bitèye leur a témoigné de toute sa satisfaction à collaborer avec Ibou Bambara qui est un jeune très proche des populations dans le cadre du social.

Auparavant, le DG de la Senelec a présidé la finale d’un tournoi de Football dans son fief à Kabatoki, qui opposait toutes les ASC de ce quartier. 

La finale en question a opposé l’ASC Nimgui à celle Arrêt Baye Niass dans une ambiance bon enfant. Après un moment de foot âprement disputé entre les 2 protagonistes, le score s’est soldé par un 1- 0 en faveur de l’ASC Nimgui. Ainsi, toutes les 15 ASC ont reçu du DG, un lot d’équipements sportifs. Lequel, après avoir félicité le travail de la commission d’enrôlement sur les listes électorales, a demandé à la jeunesse de jouer les premiers rôles dans le processus de réélection du président Macky Sall en 2024…

Tourisme et des Loisirs : Le Ministre s’engage à traduire en actions les recommandations des acteurs

Mame Mbaye Niang
Mame Mbaye Niang

Le ministre du Tourisme et des Loisirs, Mame Mbaye Niang, a promis de traduire en actions les recommandations formulées au cours des trois jours d’intenses échanges et discussions à Saly (Mbour) sur des sujets importants pour la mise en œuvre efficace de la politique de développement touristique.
« Ces recommandations feront l’objet d’un suivi-évaluation dans le cadre de la redynamisation du Conseil Sénégalais du Tourisme », a promis le ministre.

Les travaux ont porté sur des thématiques sous-tendues par différentes présentations, notamment la relecture du projet de loi portant Code du Tourisme : la gestion des agréments et licences d’exploitation des Etablissements d’hébergement Touristiques : le fonctionnement du Crédit hôtelier et touristique, les projets d’investissements et d’aménagements touristiques; les projets et programmes de la SAPCO-Sénégal
: le rapport introductif du Conseil Interministériel sur le Tourisme et des loisirs : la promotion de la Destination Sénégal; le Conseil Sénégalais du Tourisme; le développement des activités de loisirs; la formation hôtelière et touristique; le cadrage budgétaire 2024-2026:
la lettre de politique sectorielle (LPS) et de la revue annuelle conjointe (RAC); et le dialogue social.

La réunion a rassemblé pendant trois jours (28-30 avril) à Saly plusieurs personnalités et acteurs du tourisme, notamment le Président du Conseil sénégalais du tourisme, les Présidents de Conseil de surveillance : des Directeurs généraux; les Chefs de service régionaux du tourisme; les représentants des syndicats de travailleurs du secteur hôtelier et touristique; les guides touristiques et les représentants du secteur privé.

L’objectif était de permettre aux acteurs du tourisme de se concerter et d’échanger davantage et profondément avec leur ministère de
tutelle sur des sujets importants de la mise en œuvre de la politique touristique définie par Son Excellence, Monsieur Macky SALL, Président de la République

Selon le ministère, cette rencontre qui se tient dans un contexte post-Covid de consolidation des acquis pour relancer les flux touristiques,
était une autre occasion de poursuivre le dialogue déjà engagé avec les acteurs sur les défis auxquels est confronté le secteur touristique
sénégalais.

🔴 En Direct: Suivez la conférence de presse de Ousmane Sonko enfonce Napel « Je détiens des audios ou il avoue… »

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

Vidéo – Sonko “Pourquoi Gackou et Khalifa Sall font leurs tournées et moi on me l’interdit..je suis prêt à..”

Vidéo – Grande nuit du Basin : Suivez le “battré” de Adja à la soirée de Djiby Dramé

Dialogue politique avec le président Macky Sall: La réponse Khalifa Sall est tombée

Tous les progrès et toutes les améliorations démocratiques de notre République sont nés d’un dialogue réussi,  selon l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall. Il répondait à une interpellation sur l’appel au dialogue émis par le chef de l’État par le journaliste Pape Alé Niang.
« J’ai vécu et je comprends beaucoup de choses dans ce pays. Autrement, il faut qu’un dialogue se tienne », a expliqué Khalifa Sall, leader de Taxawu Sénégal et membre de la coalition Yewwi Askan Wi. 
 Ce qui est important, selon lui, « ce ne sont pas nos petites personnes, mais le pays. Il est opportun, à un moment, qu’on puisse s’asseoir forcément pour discuter. Je fais partie de ceux qui ont horreur de la politique de la chaise vide », dit-il. Et de préciser : « La seule particularité est que je fais partie de la coalition Yewwi Askan Wi, mais le débat est permanent dans Yewwi  et nous avons entamé le processus. »
Sur la sortie de certains démembrements de Taxawu qui souhaitent participer au dialogue, il précise : « Nous avons demandé aux collectivités locales qui ont des instances de Taxawu de réfléchir sur cet appel, mais on ne peut pas entrer en profondeur, déjà qu’il n’y a pas encore de termes de référence », dit-il.
Pour Khalifa Sall, le dialogue va concerner le parrainage, l’éligibilité et le processus électoral. Comment faire pour qu’en 2024,  on ait des élections inclusives. « Nous allons ajouter nos prisonniers et détenus politiques et surtout l’élimination d’un quelconque candidat », affirme Khalifa Sall.

Vidéo – La position courageuse de Badiéne sur le problème Baba Hamdy/Mirma “ limou dioxé ci mom..”

Vidéo – Inéligibilité de Sonko ? Mimi Touré détruit Macky «Meno Bayi Karim Mi Sath 138 milliard, Téyé Sonko

Rappel à Dieu de Mame Less Camara : Le témoignage fort de Pape Djibril Fall

Pape Djibril Fall
Pape Djibril Fall

Dans un post sur Facebook, Pape Djibril Fall a rendu un hommage appuyé à Mame Less Camara, décédé hier. Le Député souligne, notamment, la « probité morale » et la « vaste culture générale » du défunt. Voici l’intégralité de son témoignage.« À l’instar de toute la corporation des médias et du peuple sénégalais, je suis profondément attristé par la disparition de Mame Less Camara.

Il a été un sage érudit et passionné de journalisme, qui a consacré sa vie à enseigner, à éveiller les esprits de ses étudiants et de ses confrères, et à leur transmettre la connaissance.

ÉLes témoignages unanimes sur son degré élevé d’éthique, sa probité morale et sa vaste culture générale, sont une preuve de sa très grande dimension intellectuelle. Formateur, enseignant, pédagogue, confrère, figure paternelle bienveillante, philosophe, journaliste, syndicaliste…, à toute échelle où l’on peut mesurer l’engagement d’un homme, Mame Less Camara fut un serviteur pour ses semblables.

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tudiant de la 42e promotion au Cesti, je l’ai croisé dans les couloirs de l’école lors de ma première année et lui avais alors lancé : « C’est grâce à vous que je me suis décidé à passer le concours pour devenir journaliste. Vous m’avez inspiré ». Ce à quoi il a répondu, avec un trait d’humour : »Je plaide coupable », en levant les deux mains.

Les témoignages unanimes sur son degré élevé d’éthique, sa probité morale et sa vaste culture générale, sont une preuve de sa très grande dimension intellectuelle. Formateur, enseignant, pédagogue, confrère, figure paternelle bienveillante, philosophe, journaliste, syndicaliste…, à toute échelle où l’on peut mesurer l’engagement d’un homme, Mame Less Camara fut un serviteur pour ses semblables.

Son empreinte sera indélébile dans nos cœurs et nos esprits. Son héritage vivra à jamais.Adieu cher professeur. Que le Bon Dieu vous accueille au Paradis. »Papa Djibril Fall

Bécaye Mbaye : « Mame Less Camara m’a trouvé dans la rue et m’a amené à la radio »(vidéo)

Le monde de la presse sénégalaise a marqué sa présence ce dimanche à la levée du corps du journaliste Mame Less Camara à l’hôpital principal de Dakar. 

Le communicateur traditionnel Bécaye Mbaye a  tout fait pour prendre la parole afin de témoigner sur son mentor Mame Less. Il affirme que le défunt journaliste l’a trouvé dans la rue, puis l’a amené à la radio.

Mieux, le défunt formateur au Cesti a été le premier a lui demander de faire le journal en Wolof, ajoute Bécaye Mbaye.

Suivez son témoignage

C’est officiel, la journaliste Arame Touré a trouvé un nouveau point de chute

Arame Touré, ancienne journaliste vedette de la TFM, a quitté récemment la boîte d’El Hadji Ndiaye pour des raisons professionnelles.

Elle a finalement trouvé un nouveau point de chute à Sans Limite. Les followers et admirateurs d’Arame Touré ont attendu longtemps son retour et peuvent désormais la retrouver sur ce canal pour suivre l’actualité qu’elle présente.

Me Ciré Clédor Ly révèle : « J’ai passé trois heures à essayer de voir mon client Babacar Touré afin de lui… »

Ciré Cledor Ly
Ciré Cledor Ly

La robe noire Me Ciré Cledor Ly s’est, de nouveau, prononcée sur la situation du journaliste d’investigations Babacar Touré qui a fait l’objet d’un deuxième retour de parquet.

« Le journaliste a passé des journées entières entre les cellules de la cave du tribunal et celles des locaux de la police, dans des conditions dégradantes pour la personne humaine, ce qui interpelle toutes les organisations nationales et internationales chargées de contrôler les lieux de privation de liberté et de veiller sur les conditions de détention des personnes en attente d’être libérées ou jugées… », a d’abord déclaré l’avocat.

Ce dernier ajoute : « À Tous les points de vue, le journaliste est juridiquement en détention arbitraire depuis son déferrement. Parce qu’en dehors de la garde à vue et de la prolongation de celle ci strictement réglementées par la loi, le parquet ne justifie pas de son pouvoir de prolonger les supplices des citoyens présumés innocents, en les renvoyant entre les mains de policiers ou de gendarmes qui n’étaient plus habilités à les garder sous écrou » 

Selon Me Ciré Cledor Ly, « cette situation d’illégalité manifeste, engage la responsabilité aussi bien de l’ordonnateur que celle du gardien qui n’ignore pas l’absence de base légale de l’ordre reçu… Les visites de ses avocats lui sont interdites par le commissariat. Pire, le commissariat central a interdit le droit de visite aux avocats de la défense, sur instruction du Procureur de la République, lequel s’arroge des pouvoirs que même un juge d’instruction ne possède pas ».

Continuant son argumentaire, Me Ciré Cledor Ly attire, ainsi l’attention sur ce qu’il qualifie d’illégalité du retour de parquet qui, selon lui, « n’est qu’une mesure violant plusieurs règles du droit international des Droits de l’homme et une détention arbitraire, parce qu’elle n’est pas ordonnée par un juge et n’est écrit nulle part dans la législation interne ».

En sa qualité d’avocat, Me Ciré Cledor Ly révèle: « j’ai passé trois heures à essayer de voir mon client (NDLR : Babacar Touré), afin de lui expliquer les trois seules possibilités qui s’offrent au ministère public à ce stade de la procédure et m’assurer de son état de santé. J’ai épuisé les voies légales pour le rencontrer vainement dénonce l’avocat du journaliste d’investigation ».

Vidéo – « Kou Gedd Sa Yaya Ayé », la perception de Cheikh Ousmane Touré « Ousmane Sonko lay tontou, ndax limou »

Vidéo-Sonko fixé le 08 et le 16 mai: cheikh Ousmane Touré catégorique  » amoul kéneu kou meuna téré… »

Sonko fixé le 08 et le 16 mai: cheikh Ousmane Touré catégorique  » amoul kéneu kou meuna téré… »

Pourquoi les prochaines semaines seront décisives pour Ousmane Sonko

Au cours des prochaines semaines, Ousmane Sonko, leader du parti Pastef, fera face à deux procès qui pourraient déterminer l’avenir de sa carrière politique. Le premier est contre Mame Mbaye Niang et aura lieu le 8 mai, tandis que le second est prévu pour le 16 mai et implique des accusations de « viol et de menaces de mort » portées par Adji Sarr.

Le mois de mai s’annonce donc crucial pour Ousmane Sonko, qui est également en train de relancer sa campagne intitulée « Némékou tour » en vue de l’élection présidentielle de février 2024. Selon l’issue de ces procès, il pourrait perdre son inéligibilité et sa capacité à se présenter à cette élection, ce qui risque d’avoir un impact sur la vie politique sénégalaise.

En plus de ces défis judiciaires, Sonko doit également faire face à la tension politique qui règne dans le pays. Depuis son arrestation en mars 2021, chaque convocation devant la justice a entraîné des manifestations et des blocages de routes. Les événements sont souvent violents et ont déjà entraîné la mort de 14 personnes.

Enfin, les enjeux économiques sont également considérables. La fermeture des banques, l’arrêt des transports en commun et les mesures de sécurité renforcées dans les grandes surfaces ont des conséquences importantes sur l’activité économique du pays. Dans ce contexte, les déboires judiciaires de Ousmane Sonko risquent d’occuper une place importante dans les débats politiques et les discussions de la journée nationale du dialogue prévue pour le 28 mai.

Décès de Mame Less Camara : Les témoignages poignants du premier ministre Amadou Ba

Le Premier ministre Amadou Ba a exprimé son immense tristesse après avoir appris le rappel à Dieu de Mame Less Camara.

« C’est avec une immense tristesse que j’ai appris le rappel à Dieu de Mame Less Camara, éminent journaliste et formateur« , a-t-il d’emblée écrit.

Il ajoute : « Il fut une figure de proue de la presse sénégalaise qu’il a servie durant toute sa vie. Mes sincères condoléances à sa famille et à toute la presse sénégalaise. »


Touba : Discussion à huis-clos entre Macky Sall et Serigne Mountakha Mbacké

Le Président de la République, Macky Sall, s’est rendu au domicile du Khalife Serigne Mountakha Mbacké pour présenter ses condoléances à la suite du décès de son épouse Sokhna Daba Diallo.
Il était accompagné du ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome du maire de Touba Abdou Lahad Ka et du nouveau président du Conseil Economique Social et Environnemental Abdoulaye Daouda Diallo, ainsi que de Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadr.

Le porte-parole du khalife a exprimé sa gratitude envers le chef de l’Etat pour son soutien dans la cité de Touba et pour son accompagnement de Serigne Mountakha Mbacké dans sa mission. Le président Macky Sall a ensuite été reçu en privé par le Khalife Général des Mourides, mais aucune information n’a été communiquée sur le contenu de cette audience. Après cette rencontre, le chef de l’Etat a quitté le domicile du khalife.

Affaire Bassirou Diomaye Faye : Le syndicat des Impôts et Domaines prend une importante décision

Bassirou Diomaye Faye
Bassirou Diomaye Faye

Le journal Le Quotidien rapporte que le Syndicat des agents des impôts et domaines (Said) a décidé de suspendre ses journées de présence passive prévues pour le 28 avril et le 2 mai prochain.
Cette décision intervient après l’arrestation de Bassirou Diomaye Faye , inspecteur des impôts et des domaines et secrétaire général du parti Pastef, devant la Direction des impôts et domaines. Le Said avait auparavant annoncé un préavis de grève ainsi que le port de brassards rouges les 19 et 20 avril pour protester contre cette arrestation.
En plus de ces journées de présence passive, le syndicat avait également prévu une grève totale les 22, 23, 24 mai, avec un renouvellement du mot d’ordre les 14, 15, 16 juin 2023.

Thioro Mandela dans un état critique au Camp pénal: les tristes révélations de Pape Moussa Sow (vidéo)

Thioro Mandela dans un état critique au Camp pénal: les tristes révélations de Pape Moussa Sow

Nécrologie : Décès de Mame Less Camara, figure de la presse sénégalaise

Sanslimite a appris le décès, ce matin, à l’hôpital de Mame Less Camara. Journaliste, enseignant-formateur, il est passé par des organes tels que la Rts, la Tfm Wal fadjri , Bbc, Envie FM. 
Mame Less Camara a également été  secrétaire général du Syndicat des professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (Synpics). 
Sanslimite présente ses condoléances à sa famille et à l’ensemble de la presse sénégalaise.

Appel du dialogue Pape Gorgui Ndong appui Macky et charge l’opposition « gnoom gno am problème… »

Pape Gorgui Ndong appui Macky
Pape Gorgui Ndong appui Macky

Khalifa Sall dit oui au dialogue avec Macky, B. Abba Mbaye fait des révélations de tailles « on est… »

Macky, Abba Mbaye
Macky, Abba Mbaye

Gallo Ba PDS : « Nous sommes d’accord avec le dialogue proposé par le PR »

Gallo Ba Pds
Gallo Ba Pds

Débat houleux entre Serigne Saliou Gueye et Omar Faye « yingay def ni ça ne passe pas avec moi… »

S Saliou Gueye et Omar Faye
S Saliou Gueye et Omar Faye

Bouba Ndour : « Macky waroul woté dialogue ndax bokoul si élection you 2024. »

Bouba Ndour : Macky
Bouba Ndour : Macky

L’analyse pertinente de Omar Faye sur les arrestations « meunougnou à chaque fois ku wax nga teuj… »

Omar Faye sur les arrestations
Omar Faye sur les arrestations

Appel au dialogue de Macky Sall : La position du Pds dévoilée

PDS
PDS

Le Président Macky Sall a invité la classe politique au dialogue, ce samedi, après avoir effectué la prière de la Korité à la Grande mosquée de Dakar. Le Parti démocratique sénégalais a rappelé que le dialogue politique fait partie intégrante de son ADN. Abdoulaye Wade et Cie approuvent les principaux points de discussion évoqués par le chef de l’Etat mais posent aussi d’autres questions.

La déclaration du PDS

Le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) prend acte de l’appel au dialogue politique lancé par le Président de la République Macky Sall lors de l’interview qu’il a accordée à une radio de la place a l’occasion de la fête de la Korité, et réaffirmé dans le communiqué du conseil des ministres en date du 26 Avril 2023. Le PDS salue cet appel qu’il considère comme un préalable important à l’organisation d’une élection présidentielle ouverte, libre et transparente en février 2024 et à la pacification de l’espace politique.


Le PDS tient à rappeler que le dialogue politique fait partie intégrante de son ADN comme il l’a toujours démontré tant dans l’opposition qu’au pouvoir. Notre Secrétaire Général National Maître Abdoulaye Wade, alors Président de la République, a toujours œuvré pour pacifier l’espace politico-social et consolider les acquis démocratiques en systématisant le dialogue politique.


En ce qui concerne l’appel au dialogue politique du Président de la République Macky Sall, lancé ce samedi 22 avril 2023, le PDS considère que les bases d’un dialogue «sincère» ont été jetées puisque le Chef de l’Etat a lui-même décliné les termes préliminaires de ce dialogue. Le PDS note que c’est la première fois en 12 ans que le Président de la République, et plus haute institution du pays, aborde le règlement de la situation arbitraire et injuste de Karim Wade comme n’a cessé de le réclamer le comité des droits de l’homme de l’organisation des Nations Unies dans sa décision du 24 Octobre 2018.


Le PDS reste en attente de connaître les contours et les détails du dialogue avec les partis politiques, mais approuve, d’ores et déjà, les principaux points de discussion évoqués par le Président de la République, notamment le parrainage, l’amnistie de Monsieur Khalifa Sall et la révision du procès de Karim Wade. Toutefois, le PDS souhaite que les points suivants soient rajoutés à l’ordre du jour de ce dialogue :

  • l’audit contradictoire du fichier électoral sous supervision des Etats-Unis, de l’Union Européenne et de l’Union Africaine;
  • la prolongation des délais et la poursuite des opérations d’inscription sur les listes électorales;
  • la levée de tous les obstacles administratifs aux inscriptions sur les listes électorales, notamment celles concernant les primo-votants;
  • l’organisation des prochaines élections présidentielles par une personnalité consensuelle.
    Le dialogue politique étant une vieille tradition sénégalaise, le PDS espère que celui-ci débouchera sur l’organisation d’une élection présidentielle en 2024 qui sera libre, ouverte, inclusive et transparente afin que le Sénégal puisse consolider sa place au sein des grandes démocraties du monde.