Accueil Blog Page 203

IDY LE DISCOURS D’ALGER 06 MAI 23

Idrissa Seck
Idrissa Seck

Monsieur Abdelkader Bengrina, Président du Mouvement El Bina El Watani,
Monsieur Alal Boultidja, Vice-président du Parlement algérien,
Monsieur le Ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, représentant ici le Président de la République sœur d’Algérie,
Madame et Monsieur les vices-présidents parlementaires,
Mesdames et Messieurs les ministres, les élus locaux,
Chers invités en vos grades et titres,

Il y a, aujourd’hui, dans le monde musulman, ce grand débat intellectuel sur une dialectique entre « fidélité » et « mouvement ». Mais, un certain Mohammed Iqbâl, préfère la convergence de ces deux notions à leur opposition. Il nous enseigne que la fidélité est dans le mouvement. Ce mouvement qui pose les pierres les unes sur et contre les autres est inhérent au désir de bâtir et de fortifier notre continent qui a la spécificité de faire de plusieurs pays, accidents d’une histoire révolue, une seule patrie : l’Afrique. C’est la compréhension que m’inspire le Harakat El Binaa Il Watani, Mouvement pour la Construction de la Nation Algérienne.

Merci pour l’invitation fraternelle que vous adressez au « RÉEW MI », le parti que j’ai l’honneur et le privilège de diriger et que représentent ici:
-l’honorable député Mariétou Dieng, Vice-Présidente du parti, Ingénieure en Microbiologie-Biosécurité et Gestion de projet, Major de la promotion du prix de reconnaissance WLN/ALN 2022;
-Monsieur le Maire Dame Diop, brillant Ingénieur électromécanique, Président de la coordination des élus du parti;
-Penda Ndao, Gestionnaire, MBA exécutif en leadership, Secrétaire générale adjointe du parti, Major de la promotion 2021 WLN/ALN;
-Fatou Ndao, Économiste, Secrétaire Nationale, Présidente de la jeunesse féminine du parti;
-Henriette Gomis, Géographe, Sage-femme d’Etat, responsable nationale de notre mouvement d’étudiants, garçons et filles réunis.

Chers amis, il y’a seulement quelques jours, j’ai décidé de quitter ma fonction de Président du Conseil Economique, Social et Environnemental du Sénégal et de même de la Coalition présidentielle Benno Bokk Yaakaar, en vue d’être candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024 au Sénégal.

Sur l’insistance de Barka, j’ai interrompu ma tournée à l’intérieur du Sénégal
pour venir vous dire 4 vérités qui me paraissent essentielles de comprendre pour notre continent

1- L’Algérie a un destin panafricain éternel, un destin lié à celui de l’Afrique subsaharienne.

Depuis le Moyen-âge, le développement des routes du commerce a favorisé la densification des rapports entre le Magreb et l’Afrique Sub-Saharienne. Les régions berbères étaient reliées au Haut Sénégal. Les villes algériennes de Bougie (Bijâaya, en arabe) et Constantine, Kairouan en Tunisie, Tripoli en Libye et même Venise, Pise et Gênes en Italie, envoyaient leurs marchandises dans les centres urbains des empires africains, d’Aoudaghost à Tombouctou. C’est l’Aghouat algérien, qui a vu naître la Tijâniyya qui illumina, ensuite, le Maroc, la Mauritanie jusqu’aux plaines de mon Cayor natal du Senegal.

Le destin panafricain ressurgit aujourd’hui dans le discours et le ressenti de la jeunesse africaine, avec beaucoup de passion. Ce destin a besoin, aujourd’hui, d’une revivification positive, avec raison, que l’Algérie et le Sénégal devraient légitimement porter en lui redonnant tout son sens, mais aussi toute sa portée, à la mesure des ambitions de tout un continent.

Les archives gardent, indélébile, cette assertion historique parue le 1er novembre 1957 dans « Al Moudjahid », la voix du FLN de l’époque : « En imposant un recul du colonialisme, la libération de l’Algérie rend possible, en tout cas moins illusoire, la revendication nationale des autres colonies. L’indépendance de l’Algérie cristallise les volontés nationales des autres colonies Africaines, ébranle dans ses fondements le système, oblige le colonialisme à se repenser. »
Ensemble, nous disposons, donc, d’un socle historico-symbolique qui est en soi, une force motrice, (Harakat), et qui peut sous-tendre la construction (Binâ), voire la réinvention d’un avenir commun face aux défis qui nous interpellent. Nos amis du Mali nous l’enseignent par leur éloquente sagesse millénaire : « Le monde est vieux, mais l’avenir sort du passé ».

2-Au peuple algérien frère, je voudrais aussi dire ceci: Vous avez en Afrique, plus d’amis et de frères, je dirais même frères d’arme, que d’adversaires. La raison en est simple: même avant leur accession à la souveraineté, vos frères africains au Sud avaient répondu à l’appel de la liberté que le peuple algérien avait lancé au continent, par son mouvement de libération national. La sagesse d’Al Maktoum nous enseigne de ne pas confondre l’ami qui tarde à vous rejoindre mais qui est en chemin, avec l’ennemi (jaawalé kharit bu ékséegul ak noon).

C’est tout naturellement que les peuples africains avaient manifesté leur solidarité et leur soutien à l’implantation du mouvement nationaliste algérien en France métropolitaine. Il faut en tenir compte et l’énergie dépensée à combattre pour des causes doit être accompagnée par la volonté de construire une alliance nouvelle.
C’est le cas de Abdoulaye Wade, ami de mon cousin germain Alioune Badara Niang, avec qui il a co-fondé le PDS, et Président du Sénégal de 2000 à 2012, qui m’a initié à la politique quand je n’avais que 15 ans et dont je suis devenu l’adjoint au PDS, Ministre d’Etat, Directeur de cabinet et Premier ministre.
Abdoulaye Wade a fait une partie de ses études à Besançon. Il y a fondé la branche locale de la FEANF (Fédération des étudiants d’Afrique noire en France). En 1957, il est avocat stagiaire au Barreau de Besançon. Au printemps de 1957, plusieurs procès se tiennent contre les militants nationalistes algériens pour « atteinte à l’intégrité́ du territoire français ». Précisément, en juin 1957, 27 prévenus du FLN résidant dans la région de Besançon comparaissent au Tribunal correctionnel. Ils avaient comme avocats Me Abdoulaye Wade, le seul avocat africain qui s’était engagé aux côtés du FLN, en plus de l’avocat français Me Faivre d’Arcier.

3-L’Algérie indépendante fut un pilier essentiel de la construction de l’Unité africaine. Il est le seul pays au monde dont l’hymne national commence par « Nous jurons » (Khassamane).
L’Algérie a très tôt compris que le Sahara n’a jamais été une barrière infranchissable, mais une véritable mer intérieure panafricaine, qui nous invite encore aujourd’hui, à, constamment passer d’un rivage à l’autre. C’est pourquoi votre pays reste un acteur incontournable dans le Sahel, mot qui veut simplement dire « rivage »: l’autre rive du grand désert.

Lorsque le passé panafricain assumé se conjugue avec l’intelligence des situations et la vision stratégique des enjeux d’aujourd’hui, qui peut encore douter des capacités de l’Algérie, avec son pied stratégique au Sahel, à contribuer aux solutions africaines constructives qui, seules, rendront possible notre salut commun?

Sept (7) ans après son indépendance acquise de haute lutte, l’Algérie avait accueilli le premier festival panafricain (Panaf) qui était l’une des plus grandes manifestations culturelles d’Afrique regroupant artistes et intellectuels africains, ou issus de la diaspora africaine. Il fut organisé en 1969, puis 40 ans après, en juillet 2009 à Alger. Le discours historique du grand africain Houari Boumédiene, lors de l’inauguration de ce festival retentit encore dans nos oreilles, tel un rappel plein de sens et d’actualité (fa zakkir in na fa’ati zikrâ) : « Notre continent aux ¾ libéré, mais en pleine possession de son destin, entreprend, certes, avec ce premier Festival culturel panafricain, de réussir le plus grand rassemblement des arts et des lettres de l’histoire qui soit à l’échelle d’un continent et à la mesure de la totalité de ses expressions. Il entame, par là même également, une étape nouvelle dans la lutte conséquente contre toute forme de domination ». Il se faisait, ainsi, l’écho fraternel du message d’un certain Président Léopold Sédar Senghor, prononcé lors du Premier festival mondial des Arts Nègres, en 1966, à Dakar.

On connaît aussi le rôle du Parti démocratique sénégalais, créé par Abdoulaye Wade, qui a été le premier parti d’Afrique noire à assumer son soutien à la lutte du Polisario

4- Enfin, en véritable trait-d’union, l’Algérie a toujours été le porte-flambeau de la solidarité afro-arabe, devenue aujourd’hui un puissant levier de la diversification nécessaire des partenariats et de la souveraineté constructive.

En plein cycle de sécheresse des années 70 au Sahel, et alors que les partenaires européens classiques étaient rudement frappés par le choc pétrolier, sous l’impulsion de l’Algérie, les pays arabes avaient décidé, au cours du sixième Sommet des chefs d’Etats arabes, tenu à Alger, du 26 au 28 Novembre 1973, d’apporter une aide à l’Afrique subsaharienne et de jeter les bases institutionnelles de la coopération financière arabo-africaine.

Les résultats furent immédiats :

  • Création de la banque pour le développement économique en Afrique (BADEA);
  • Début de l’année 1974 : le 22 janvier, la conférence des ministres arabes du pétrole recommande la création d’un organisme d’aide à vocation africaine, le « Fonds arabe spécial d’aide à l’Afrique » (FASAA);
  • Le Conseil de la Ligue arabe, réuni à Tunis du 25 au 28 Mars, approuve le principe de la création d’un « fonds arabe d’assistance technique à l’Afrique » (FATAA);
  • Suite aux Sommets d’Alger et de Tunis, pour la première fois, une conférence ministérielle conjointe arabo-africaine s’était tenue, à Dakar, du 15 au 22 Avril 1976, en vue d’examiner le projet de coopération afro-arabe, son contenu, ses modalités et ses moyens d’action;
  • Cette conférence de Dakar, réunissant pays arabes et africains, devait jeter les grandes lignes d’un programme d’action pour une coopération « globale à long terme » intéressant les domaines diplomatique, économique et financier, l’éducation et la culture, la science et la technique.

L’histoire se répète, dans laquelle le Sénégal reprend sa place historique de leader dans les rapports arabo-africains. Et cela se passe, encore une fois, à Alger, lors du 31ème Sommet arabe, où Son Excellence Abdelmajid Tebboune fit de son frère Macky Sall son invité d’honneur.

Avec les bonnes perspectives qu’ouvre la ZLECAF, au moment où le leadership dans les deux ensembles maghrébin et subsaharien saisit pleinement le poids qu’ils auront ensemble dans un contexte de renégociation des rapports internationaux, l’Afrique a plus que jamais besoin d’une Algérie forte, réconciliée avec elle-même et avec tous ses voisins, au Maghreb comme sur l’ensemble du continent.

Le Président Macky Sall avait, sans doute, bien raison de rappeler, lors de sa participation au dernier Sommet d’Alger, les efforts de l’Algérie, en tant que « pays-pivot dans la région », pour le renforcement des mécanismes infrastructurels en Afrique, à travers son engagement constructif en matière d’infrastructures dans le continent, mais aussi dans le cadre de l’Initiative africaine pour le développement de l’Afrique (NEPAD), dont elle est l’un des pays fondateurs.

Je suis persuadé que, comme dit le « Khassaman », votre si retentissant hymne national, que « l’Algérie vivra ». Mais, je suis tout autant convaincu, au regard des moments historiques exceptionnels et constructifs que nous venons de vivre, ici, à Alger, que si vous en décidiez, en synergie et en parfaite solidarité avec tous les peuples africains du Maghreb et du Sud du Sahara réconciliés, « L’Afrique unifiée aussi vivra ».

Idrissa SECK
Président du parti RÉEW MI
Président et fondateur de GDP Initiative
Ancien de PWC (Audit MCS, OGS)
Candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024
Ancien Président du CESE, Premier Ministre, Ministre d’Etat, Directeur de cabinet du PR, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de l’Industrialisation, Maire de sa ville natale de Thiès (2 fois), Président du Conseil départemental de Thiès (2 fois), Elu député sur la liste SOPI dont il était la tête de liste,
Ancien Secrétaire General Adjoint du PDS, Ancien Directeur de campagne du Président Wade, de 1988 à 2000

Samedi 06 Mai 202

🔴Direct – Sortie Sonko, Rencontre avec Macky, Barthélémy crache ses vérités et alerte

Barthélémy Dias
Barthélémy Dias

Ibrahima Pouye Sentv tape sur Sonko après sa condamnation  » dafa waron nieuw tribunal…na def recours »

Ibrahima Pouye Sentv tape sur Sonko
Ibrahima Pouye Sentv tape sur Sonko

🔴 Inéligibilité de Sonko: son avocat Me Massokhna Kane hausse le ton  » li dou procès mais… »

Me Massokhna Kane
Me Massokhna Kane

https://youtu.be/Y3FvCdypdRA

Condamnation de Sonko: Déthié Fall se prononce aprés le verdict

Sonko: Déthié Fall
Sonko: Déthié Fall

« J’apporte aujourd’hui plus que jamais mon total soutien et ma totale solidarité à mon ami et frère le Président Ousmane SONKO » tels sont les premiers mots de Déthié Fall qui après le verdict , manifeste son soutien à Ousmane Sonko. Déthié  Fall invite à rester mobilisé contre la tentative du Président Macky SALL d’écarter encore un candidat à la prochaine présidentielle.

Région de Kaolack : Pape Demba Bitèye procède à la mise en service de l’électricité de 3 villages dans les communes de Dya et Khelcom Birane.

Pape Demba Bitèye
Pape Demba Bitèye

Le directeur général de la Senelec, Papa Mademba Bitèye a présidé hier la cérémonie de mise en service de l’électricité dans 3 villages des communes de Dya et de Khelcom Birane.

Il s’agit des villages de Diaglé Sob, Diaglé Ngor et Touba Diaglé appartenant aux dites communes. La cérémonie a été  paraphée en présence des maires, autorités religieuses et coutumières, de la jeunesse et des femmes.

« C’est un sentiment de fierté de venir mettre en service l’électricité de ces trois localités importantes qui appartiennent à deux communes du département de Guinguinéo et celui de Kaolack. Un sentiment de satisfaction pour avoir matérialisé la vision du Président de la République Macky Sall parce que comme vous le savez, la marche vers l’accès universel à l’électricité a pris son envol », a déclaré le Dg de la Senelec.

Il n’a pas manqué de promettre de revenir tous les week-ends jusqu’à ce que tous les villages du département et de la région de Kaolack soient électrifiés. « C’est un programme que nous entamons et que nous allons continuer et chaque week-end nous allons venir ici au niveau de Kaolack mettre en service les localités qui ont été enrôlées dans le cadre du projet et programme en cours pour l’accès universel à l’électricité. » 

Les maires et les chefs de village ont tous  remercié le président de la République de cette initiative permettant à leurs localités de connaître le privilège d’avoir de l’électricité à la maison…

Serigne Cheikh Thioro MBACKÉ : «celui qui trahit Ousmane SONKO vers midi le verra avant treize heures»

Serigne Cheikh Thioro MBACKÉ
Serigne Cheikh Thioro MBACKÉ

Le dialogue national a créé de nombreuses polémiques du côté  de l’opposition. Le silence de Barthélemy DIAS durant le procès du leader du PASTEF, Ousmane SONKO, et sa présence au côté du président SALL avec un large sourire lors de la 6éme édition  du Forum mondial de l’économie sociale et solidaire suscitent des interrogations chez nombre de Sénégalais. Seulement, pour le coordonnateur du PASTEF/Touba, invité à l’émission de 7TV soir, il ne faut pas aller trop vite en besogne. Revenant sur la poignée de mains entre le chef de l’Etat et le maire de Dakar qui a polarisé les réactions, Serigne Cheikh Thioro MBACKÉ se veut prudent sur le cas de Barthelemy DIAS. Même s’il trouve que celui qui trahit Ousmane SONKO en verra les conséquences, il observe que, jusqu’à présent, DIAS-fils a montré sa loyauté.    

« J’aime pas faire la comparaison entre Idrissa SECK et Barthélemy DIAS. Idrissa SECK n’est ni blanc ni noir contrairement à DIAS. Il est toujours resté la même personne, et celui qui trahit le président SONKO à midi avant treize heures tu le verras (…) Il montre toujours de la dignité avec les personnes qui l’entourent et le président SONKO ne peut pas cultiver une bonne graine et récolter une mauvaise semence. Il s’est battu durant l’élection locale pour que Barth soit candidat même s’il a pris les risques »,  explique le marabout politicien.

S’agissant du dialogue national, Serigne Cheikh Thioro MBACKE estime que, même si leur leader boycotte, ce qui les intéresse c’est la population sénégalaise. A l’en croire, il n’y a pas d’inconvénient que leurs alliés participent audit Dialogue.

Abdou Khafor Touré : « Pour l’avenir du Sénégal, il n’y a pas une perspective autre qu’une perspective libérale »

Abdou Khafor Touré
Abdou Khafor Touré

Dans l’émission de Aram Touré à « sans limites », Khafor Touré a largement abordé des questions d’actualité. Il a particulièrement expliqué les relations qui existent ou doivent l’être entre les libéraux.

Evoquant le rôle des coalitions dans la politique surtout pendant les élections, Khafor trouve tout à fait normal que les partis qui ont les mêmes aspirations, le même parcours historique et la même trajectoire puissent se retrouver pour l’intérêt supérieur de la Nation et pour mieux servir le peuple.

En effet, le Dg de la Compagnie générale immobilière du Sahel (CGIS SA), pense que les libéraux, formé de la même école avec toute l’expérience acquise au fil du temps pour avoir un point de convergence, car « pour l’avenir du Sénégal, il n’y a pas une perspective autre qu’une perspective libérale »…

Ce responsable Apr tire sur Sonko « manipulateur day victimiser, preuve bimou dioxé si clé usb la nek

Ce responsable Apr tire sur Sonko
Ce responsable Apr tire sur Sonko

Condamnation d’Ousmane SONKO, Mimi réagit et appelle à la mobilisation

SONKO, Mimi
SONKO, Mimi

Le verdict dans l’affaire opposant Mame Mbaye NIANG à Ousmane SONKO  est tombé, condamnant ce dernier à  6 mois avec sursis et 200 millions de dommage et Intérêts.

Et c’est Aminata TOURE qui réagit en première chez les opposants. Sur son compte twitter, l’ancien Premier ministre dénonce et appelle à la mobilisation.

Je lui exprime toute ma solidarité et appelle les démocrates à se mobiliser contre cette régression démocratique sans précédent dans notre pays

Exclusif – Mame Mbaye Niang crie victoire «féké yak sama dér moko taxon diouk alhamdoulilah sétal nama indiwoul ben preuve»

Mame Mbaye Niang crie victoire
Mame Mbaye Niang crie victoire

Urgent – Sonko condamné 6 mois avec sursis Me Elhadji Diouf en c0lére « Je m’en fou de son éligibilité

Sonko condamné 6 mois avec sursis Me Elhadji Diouf
Sonko condamné 6 mois avec sursis Me Elhadji Diouf

🔴Direct: Urgent: le verdict est tombé, Sonko inéligible

Sonko inéligible
Sonko inéligible

Affaire Sonko-Mame Mbaye Niang : « Ce dossier est avant tout une affaire de faux et d’injures » (Procureur Bakhoum)

Affaire Sonko-Mame Mbaye Niang : "Ce dossier est avant tout une affaire de faux et d'injures" (Procureur Bakhoum)
Affaire Sonko-Mame Mbaye Niang : "Ce dossier est avant tout une affaire de faux et d'injures" (Procureur Bakhoum)

« Les universitaires ont l’habitude de dire ‘Lux mea lex’ (La lumière est ma loi) mais moi, dans le cadre de ce que la justice représente, je dis Lex mea lux. La loi doit être la lumière », a dit le procureur général Ibrahima Bakhoum dans son réquisitoire lors du procès en appel pour diffamation, injures publiques, faux et usage de faux qui oppose Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang. 
Selon lui, dans toutes les circonstances, on doit être soumis à l’autorité de la loi. Il fait ainsi allusion au refus d’Ousmane Sonko de déférer à sa convocation. « C’est de notre responsabilité de juger au nom du peuple, qu’on soit du siège ou du parquet », dit-il.
Revenant sur le dossier, le parquet général note qu’il s’agit, à titre principal, de faux et usage de faux, d’injures. La diffamation, dit-il, n’est qu’à titre subsidiaire. « Dans cette affaire, l’élément factuel est la déclaration parlant du ministre épinglé par le rapport.  À l’enquête préliminaire, il a noté un lapsus insinuant qu’il ne s’agit pas de l’IGE, mais de l’IGF. Une réquisition à l’IGF démontre qu’il n’y pas de rapport. Le mis en cause  produit  deux clés USB pour preuve. Elles contiennent deux articles de Sans Limites et Seneweb. Cela prouve le faux et l’usage de faux, dès l’instant qu’il veut l’utiliser pour prouver ses propos », explique le procureur. 
Le parquet général a demandé la confirmation, en première instance, de la culpabilité pour diffamation et l’information du quantum  de la peine, du délit d’injures et celui de faux et usage de faux. Ibrahima Bakhoum a demandé deux ans, dont un an ferme et un mandat de dépôt contre Ousmane Sonko. 
De plus, il demande la publication du jugement  dans les quotidiens « l’Observateur », « le soleil », « le Quotidien », « Sud quotidien » et « Walfadjri ».

Le procureur détruit Sonko à la barre « A l’enquête préliminaire, il a noté un lapsus insinuant… La loi doit être la lumière »

procureur détruit Sonko
procureur détruit Sonko

Ibrahima Bakhoum, Procureur général, dans son réquisitoire lors du procès en appel pour diffamation, injures publiques, faux et usage de faux qui oppose le leader de Pastef Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang, est catégorique. « Les universitaires ont l’habitude de dire ‘Lux mea lex’ (La lumière est ma loi) mais moi, dans le cadre de ce que la justice représente, je dis Lex mea lux. La loi doit être la lumière », dit-il.

Ibrahima Bakhoum, Procureur général, dans son réquisitoire lors du procès en appel pour diffamation, injures publiques, faux et usage de faux qui oppose le leader de Pastef Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang, est catégorique. « Les universitaires ont l’habitude de dire ‘Lux mea lex’ (La lumière est ma loi) mais moi, dans le cadre de ce que la justice représente, je dis Lex mea lux. La loi doit être la lumière », dit-il.

Dans toutes les circonstances, on doit être soumis à l’autorité de la loi. Il fait ainsi, allusion au refus d’Ousmane Sonko de déférer à sa convocation. « C’est de notre responsabilité de juger au nom du peuple, qu’on soit du siège ou du parquet », a dit le procureur général, Ibrahima Bakhoum.

Revenant sur le dossier, le parquet général note qu’il s’agit, à titre principal, de faux et usage de faux, d’injures. La diffamation, dit-il, n’est qu’à titre subsidiaire. « Dans cette affaire, l’élément factuel est la déclaration parlant du ministre épinglé par le rapport. À l’enquête préliminaire, il a noté un lapsus insinuant qu’il ne s’agit pas de l’IGE, mais de l’IGF. Une réquisition à l’IGF démontre qu’il n’y pas de rapport. Le mis en cause produit deux clés USB pour preuve. Elles contiennent deux articles de Sans Limites et Seneweb. Cela prouve le faux et l’usage de faux, dès l’instant qu’il veut l’utiliser pour prouver ses propos », explique le procureur.

Le parquet général a demandé la confirmation, en première instance, de la culpabilité pour diffamation et l’information du quantum de la peine, du délit d’injures et celui de faux et usage de faux. Ibrahima Bakhoum a demandé deux ans, dont un an ferme et un mandat de dépôt contre Ousmane Sonko.

De plus, il demande la publication du jugement dans les quotidiens « l’Observateur », « Le soleil », « Le Quotidien », « Sud quotidien » et « Walfadjri ».

Audience à Mermoz : Barthélémy Dias a été reçu par le Président Macky Sall

Barthélémy Dias a été reçu par le Président Macky Sall
Barthélémy Dias a été reçu par le Président Macky Sall

Lors de sa déclaration à la presse le dimanche passé dans la soirée, Ousmane Sonko a fait état d’un responsable de Yewwi qui a rencontré le Chef de l’Etat, il y a quelques jours (le week-end de la Korité entre 22  H et 1 H du matin) que cette personne lui a dit que Macky Sall a dit qu’ils vont  se rattraper lors du procès en appel (affaire Prodac). 

Depuis qu’il a fait cette déclaration les supputations vont bon train sur l’identité de cette personnalité de l’opposition.
De sources concordantes, Dakaractu est en mesure d’affirmer sans risque de se tromper que c’est le maire de la ville de Dakar Barthélémy Dias qui effectivement eu un entrevue avec le Président Macky Sall.

L’audience a eu lieu chez son fils et selon plusieurs interlocuteurs de Dakaractu, c’est ce dernier qui a été le facilitateur de l’entretien.

Lors de ce face à face, plusieurs sujets ont été abordés et les préparatifs du 6e forum de Dakar qui vient de se terminer était en bonne place…la gestion de Dakar et les problèmes de la Ville ont aussi été abordés et naturellement les questions politiques notamment l’appel au dialogue.

Cette audience selon plusieurs interlocuteurs de Dakaractu entre dans l’ordre normal des choses. D’autant que le Président reçoit tous les sénégalais d’obédience et d’origines diverses. 

Nul doute que l’édile de Dakar fera le point dans sa conférence de presse de ce lundi après-midi. D’autant que Barthélémy Dias avait pris le soin d’informer certains responsables de la coalition Yewwi Askan Wi. 

« Ousmane Sonko brandit des preuves contre Mame Mbaye Niang : clés USB contenant deux articles de Sans Limites et Seneweb »

Mame Mbaye-Sonko : sanslimitesn
Mame Mbaye-Sonko : sanslimitesn

Le parquet général dévoile des éléments sur l’affaire opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang

L’affaire qui oppose le leader de Pastef, Ousmane Sonko, au ministre Mame Mbaye Niang continue de faire couler beaucoup d’encre au Sénégal. Dans cette affaire, Ousmane Sonko a récemment déclaré que le ministre avait été épinglé dans un rapport de l’Inspection Générale d’Etat (IGE) pour des faits de corruption. Pour étayer ses propos, il a produit deux clés USB contenant des articles de presse de Sans Limites et Seneweb.

Le parquet général a repris l’affaire en main et note qu’il s’agit principalement de faux et usage de faux, ainsi que d’injures. Le parquet explique que l’élément factuel est la déclaration de Sonko parlant du ministre épinglé par le rapport. Lors de l’enquête préliminaire, le ministre a noté un lapsus insinuant qu’il ne s’agit pas de l’IGE, mais de l’Inspection Générale des Finances (IGF). Une réquisition à l’IGF a été effectuée et il n’y avait aucun rapport.

Le procureur souligne également que la production des deux clés USB ne prouve pas la véracité des propos d’Ousmane Sonko, mais plutôt le contraire. En effet, le fait qu’il ait utilisé des articles de presse pour étayer ses propos prouve le faux et l’usage de faux.

L’affaire est donc loin d’être terminée et la bataille entre Ousmane Sonko et Mame Mbaye Niang risque de se poursuivre devant les tribunaux.

VIDEO : Mandat d’arrêt demandé par le procureur Abdou khafor tire sur Sonko « c’est un menteur « 

VIDEO : Mandat d’arrêt demandé par le procureur Abdou khafor tire sur Sonko « c’est un menteur « 

🔴Direct: 1an ferme et mandat d’arrêt contre SONKO: La déclaration de Mame Mbaye Niang

🔴Direct: 1an ferme et mandat d’arrêt contre SONKO: La déclaration de Mame Mbaye Niang

Audience à Mermoz : Barthélémy Dias a été reçu par le Président Macky Sall

Lors de sa déclaration à la presse le dimanche passé dans la soirée, Ousmane Sonko a fait état d’un responsable de Yewwi qui a rencontré le Chef de l’Etat, il y a quelques jours (le week-end de la Korité entre 22 H et 1 H du matin) que cette personne lui a dit que Macky Sall a dit qu’ils vont se rattraper lors du procès en appel (affaire Prodac).

Depuis qu’il a fait cette déclaration les supputations vont bon train sur l’identité de cette personnalité de l’opposition.
De sources concordantes, Dakaractu est en mesure d’affirmer sans risque de se tromper que c’est le maire de la ville de Dakar Barthélémy Dias qui effectivement eu un entrevue avec le Président Macky Sall.

L’audience a eu lieu à Mermoz chez son fils et selon plusieurs interlocuteurs de Dakaractu, c’est ce dernier qui a été le facilitateur de l’entretien.

Lors de ce face à face, plusieurs sujets ont été abordés et les préparatifs du 6e forum de Dakar qui vient de se terminer était en bonne place…la gestion de Dakar et les problèmes de la Ville ont aussi été abordés et naturellement les questions politiques notamment l’appel au dialogue.

Cette audience selon plusieurs interlocuteurs de Dakaractu entre dans l’ordre normal des choses. D’autant que le Président reçoit tous les sénégalais d’obédience et d’origines diverses.

Nul doute que l’édile de Dakar fera le point dans sa conférence de presse de ce lundi après-midi. D’autant que Barthélémy Dias avait pris le soin d’informer certains responsables de la coalition Yewwi Askan Wi.

1ère réaction de Mame Mbaye Niang après sa sortie de tribunal

1ère réaction de Mame Mbaye Niang après sa sortie de tribunal

Dernière minute – Procès Ousmane Sonko – Mame Mbaye Niang : Voici la lourde peine demandée par le Procureur Bakhoum

L’audience du procès entre Ousmane Sonko et Mame Mbaye Niang vient d’être suspendus, suite au réquisitoire du Procureur Ibrahima Bakhoum. Ce dernier demande une peine de 2 ans de prison, dont un an ferme et un mandat d’amener contre le leader du Pastef, Ousmane Sonko. Mame Mbaye Niang, de son côté, a demandé une amende de 29 milliards.

Si le juge suit ce réquisitoire du Procureur, Ousmane Sonko perdra ses droits civiques et ne pourra être candidat à la prochaine élection présidentielle.

Urgent – Tribunal: Mame Mbaye Niang réclame 29 milliards à Ousmane Sonko (Vidéo)

Urgent – Tribunal: Mame Mbaye Niang réclame 29 milliards à Ousmane Sonko

Oustaz Assane Seck en garde à vue: Coup de gueule Ngoné Saliou « Moustapha Diakhaté waxna louko gueuneu reuy (Vidéo)

Oustaz Assane Seck en garde à vue: Coup de gueule Ngoné Saliou « Moustapha Diakhaté waxna gueun reuy

Cour d’Appel de Dakar : Ce que Mame Mbaye Niang réclame à Ousmane Sonko

Ce lundi, Mame Mbaye Niang fait face aux avocats d’Ousmane Sonko à la Cour d’appel de Dakar. Le ministre du Tourisme, lors de sa prise de parole et de ses conseils, a réclamé la somme de 29 milliards de francs CFA en dommages et intérêts au leaders de Pastef. Il convient de rappeler qu’en mars, Ousmane Sonko avait été condamné en première instance à deux mois de prison avec sursis et 200 millions de francs CFA de dommages et intérêts.

« En tant que citoyen sénégalais, je me suis senti diffamé, injurié, et traîné dans la boue. Face à cette injustice, j’ai compris que le seul endroit où je peux laver mon honneur est le tribunal. C’est pourquoi je suis devant vous. En première instance, j’ai suivi à la lettre la procédure mais à la fin, j’ai compris que les torts qui me sont causés se chiffrent à la somme de 29 milliards qu’on m’accuse d’avoir détourné sans jamais présenter la moindre preuve”, a-t-il déclaré.

Le ministre reproche à Ousmane Sonko d’avoir affirmé en décembre 2022 que sa gestion avait été « épinglée » par une institution de contrôle dans un rapport sur le Programme de développement des domaines agricoles communautaires (Prodac), ce que Ousmane Sonko nie.

De 2014 à 2019, Mame Mbaye Niang était ministre de la Jeunesse et de l’Emploi et avait sous sa tutelle le Prodac, un programme mis en place par le président Sall pour favoriser l’emploi des jeunes en milieu rural.

Sonko boycotte le tribunal « li guenon mou dem sétal déram, condamnation bi dina gueneu diss » (vidéo)

Sonko boycotte le tribunal « li guenon mou dem sétal déram, condamnation bi dina gueneu diss » (vidéo)

 » Yaw est ce que journaliste nga bayil ma wax » grosse dispute entre Mansour Diop et son invité APR

 » Yaw est ce que journaliste nga bayil ma wax » grosse dispute entre Mansour Diop et son invité APR

“Tiow li tiow li procés Sonko-Adji leu amna kou beugoul procès si niom ñar” coup gueule Mansour Diop (Vidéo)

“Tiow li tiow li procés Sonko-Adji leu amna kou beugoul procès si niom ñar” coup gueule Mansour Diop (Vidéo)

«Je ne vais plus répondre à la justice» Birahim Touré réagit “Sonko mofi waxon dama yakamti procès am (Vidéo)

«Je ne vais plus répondre à la justice» Birahim Touré réagit“Sonko mofi waxon dama yakamti procès am

Vidéo-« bayil leup mou sédd, so paréé sa Mandat kén doula top » Les propos rassurants de Sonko à Macky Sall

« bayil leup mou sédd, so paréé sa Mandant kén doula top » Les propos rassurants de Sonko à Macky Sall

Vidéo-Appel au dialogue avec Macky, Ousmane Sonko lance des piques à Khalifa Sall“man douma def… »

Appel au dialogue avec Macky, Ousmane Sonko lance des piques à Khalifa Sall“man douma def

JOURNEE D’ECHANGES SUR LE PROGRAMME « XËYU NDAW ÑI »: LE PM AMADOU BA FAIT LE POINT AU STADE MUNICIPAL DES PARCELLES ASSAINIES

Lancé en grande pompe en 2021 par le chef de l’état Macky Sall, l’heure était au bilan pour le programme Xeyu Ndaw Ñi ce dimanche 07 mai 2023 au stade municipal des Parcelles Assainies.
Ainsi, ce fut une journée d’échanges sur le programme d’urgence pour l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes organisée par le ministère de la jeunesse dirigée par Pape Malick Ndour.
En effet, c’était l’occasion pour le PM Amadou Ba de faire le bilan des réalisations du Programme d’urgence pour l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes lancé par le Président de la République Macky Sall, il y a deux ans.
Sur ce, à son arrivée au stade municipal des Parcelles Assainies, le Pm Amadou Ba en compagnie d’une forte délégation composée de ministres et de DG, a passé en revue les différents stands avec le 3FPT, le FONGIP, la DER/FJ, l’ANPEJ, le FAISE, la DGASE et le pôle enrôlement installé à cet effet.
Lors de son discours le Premier ministre a rappelé que : « que le chômage est un fléau qui frappe de nombreux pays à travers le monde, y compris le nôtre. Il a des conséquences néfastes sur la vie des individus et sur la société dans son ensemble », a-t-il martelé.
Dans cette lancée, le PM révèle que : « C’est pourquoi le Président de la République a décidé de le prendre à bras-le-corps, à travers des initiatives innovantes, telles que la DER/FR, le 3FPT, l’ANPEJ, mais surtout, le Programme d’urgence pour l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes « XËYU NDAW ÑI ».
Faisant le bilan du programme, le PM annonce que : « des milliers de jeunes ont pu bénéficier d’une formation professionnelle de qualité et trouver un emploi stable et rémunérateur. Des milliers de familles ont ainsi vu leur vie changer du jour au lendemain, avec des revenus stables et une sécurité financière », a-t-il indiqué.
Enfin, le Premier ministre revient sur le bien-fondé du programme créé par le président Macky Sall . « En créant des emplois pour les jeunes, le président de la République a ainsi contribué, de manière significative, à la construction d’une économie plus dynamique et plus solidaire », a-t-il conclu .

JOURNEE D’ECHANGES SUR LE PROGRAMME D’URGENCE POUR L’INSERTION SOCIO-ECONOMIQUE ET L’EMPLOI DES JEUNES « XËYU NDAW ÑI »: INTÉGRALITÉ DU DISCOURS DU PREMIER MINISTRE AMADOU BA (PHOTOS)

Madame le Ministre de la Femme,
Monsieur le Ministre de la Jeunesse, Mesdames, Messieurs, les directeurs généraux, Mesdames, Messieurs,
Chers invités,
Chers jeunes,
C’est avec une grande fierté et une immense satisfaction que je m’adresse à vous aujourd’hui pour faire le bilan des réalisations du Programme d’urgence pour l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes lancé par le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky Sall, il y a deux ans.
Nous savons tous que le chômage est un fléau qui frappe de nombreux pays à travers le monde, y compris le nôtre. Il a des conséquences néfastes sur la vie des individus et sur la société dans son ensemble. C’est pourquoi le Président de la République a décidé de le prendre à bras-le-corps, à travers des initiatives innovantes, telles que la DER/FR, le 3FPT, l’ANPEJ, mais surtout, le Programme d’urgence pour l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes « XËYU NDAW ÑI »
En effet, le Programme « XËYU NDAW ÑI » a été élaboré en avril 2021 en vue d’impulser une nouvelle dynamique à la prise en

charge des questions majeures relatives à la jeunesse notamment l’emploi avec pour objectif la création d’emplois et l’amélioration des conditions à la création d’emplois, à court et moyen termes, sur toute l’étendue du territoire national.
L’emploi est un enjeu crucial pour toute société. Il est non seulement essentiel pour l’épanouissement personnel et professionnel des individus, mais aussi pour la prospérité économique et le bien-être social. C’est la raison pour laquelle le Chef de l’Etat a fait de la création d’emplois pour les jeunes une priorité absolue.
La problématique de l’emploi des jeunes pose la question de leur employabilité. En effet, la formation professionnelle constitue le premier outil dans la lutte contre le chômage. Elle doit être un levier pour réduire les inégalités sociales et pour favoriser l’inclusion économique. Le leadership visionnaire du Président de la République a permis de la rendre accessible à tous, y compris aux personnes défavorisées et aux jeunes.
Le Programme « XËYU NDAW ÑI » a été conçu pour répondre à l’un des plus grands défis de notre temps : l’emploi des jeunes. Dans un monde où la concurrence est de plus en plus rude, où les diplômes ne suffisent plus à garantir un emploi décent, il était

urgent d’agir. Et c’est ce qu’a fait le président de la République Macky Sall.
Grâce à ce programme, des milliers de jeunes ont pu bénéficier d’une formation professionnelle de qualité et trouver un emploi stable et rémunérateur. Des milliers de familles ont ainsi vu leur vie changer du jour au lendemain, avec des revenus stables et une sécurité financière.
Mais ce n’est pas tout. Ce programme a également contribué à renforcer l’économie du pays en créant de nouvelles opportunités d’affaires et en stimulant l’innovation. Les jeunes ont été encouragés à entreprendre, à innover et à se surpasser. Et cela a porté ses fruits.
Au-delà de l’aspect économique, l’emploi a également un impact social important. Il permet de renforcer la cohésion sociale, de réduire les inégalités et de favoriser la stabilité politique. En offrant des perspectives d’avenir aux jeunes, le président de la République a ainsi contribué à renforcer le tissu social et à assurer la paix et la stabilité dans le pays.
Grâce à son engagement, des milliers de jeunes ont pu bénéficier de formations professionnelles de qualité et trouver un emploi

décent. Ces emplois ont non seulement permis à ces jeunes de subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille, mais aussi de contribuer à la croissance économique du pays.
En effet, l’emploi est un levier clé pour la croissance économique. Il permet de dynamiser les secteurs productifs, de stimuler l’innovation, d’encourager l’entrepreneuriat et de renforcer la compétitivité. En créant des emplois pour les jeunes, le président de la République a ainsi contribué, de manière significative, à la construction d’une économie plus dynamique et plus solidaire.
Mesdames, Messieurs, chers invités,
Le Programme « XËYU NDAW ÑI » est mis en œuvre par plusieurs départements et structures et est doté d’une enveloppe triennale d’un montant global de 450 milliards sur la période 2021-2023 et organisé autour de 5 piliers que sont (i) le recrutement spécial; (ii) les projets publics d’intérêt communautaire ; (iii) les projets d’investissement public à haute intensité de main-d’œuvre ; (iv) les mesures de soutien à l’initiative privée ; (v) et les réformes.

L’évaluation à mi-parcours du programme est une étape cruciale pour mesurer son efficacité et apporter des ajustements pour s’assurer de l’atteinte des objectifs fixés.
Ces objectifs, en l’occurrence, sont relatifs au nombre d’emplois créés, au taux d’insertion des jeunes dans le marché du travail, à la qualité et la pérennité des emplois créés.
L’évaluation a été faite sur la base de données fiables et exhaustives pour apprécier l’efficacité du programme, en relation avec les bénéficiaires et les différents acteurs chargés de la mise en œuvre.
Cette évaluation a permis de constater que globalement, le programme est en train d’être mis en œuvre conformément aux plans initiaux et d’identifier les obstacles rencontrés et les réussites. Elle a permis aussi de déterminer les impacts du programme sur les bénéficiaires, les employeurs, l’économie.
Ainsi, concernant la composante « Recrutement spécial », sur un objectif initial de 65 000 emplois à créer, un total de 66 243 emplois, toutes structures confondues, a été exactement créé, à ce jour, soit un taux d’exécution de 102%, dans les secteurs de l’éducation, des sports, de la santé, de l’environnement, de la

jeunesse, de l’urbanisme, l’assainissement, le tourisme, la sécurité.
S’agissant de la composante «Projets publics d’intérêt communautaire », le PROMOVILLES et l’AGETIP avaient chacun un objectif de 2 000 jeunes à recruter. On note que 1 453 jeunes ont été recrutés par PROMOVILLES soit 73% et 2 374 jeunes pour l’AGETIP soit plus de 100%. Pour ce qui est de l’entretien courant des routes non classées, pour un objectif de 11 150 emplois visés, l’exécution du programme entre 2021 et 2022 a permis de générer plus de 25 000 emplois.
Au niveau territorial, les recrutements au titre des projets publics d’intérêt communautaire ont été faits dans les 45 départements sauf pour PROMOVILLES. En effet, pour ce dernier, seules les régions de Dakar, Kaolack, Fatick, Kaffrine et Kédougou sont concernées.
La Composante « Emplois Aidés », mise en œuvre par le ministère de la Jeunesse, à travers la Convention nationale Etat- Employeur vise à faciliter et à promouvoir l’insertion des jeunes à travers un mécanisme de partage des charges entre l’État et les entreprises signataires. Sur un objectif initial de 20 000 contrats, 14 150 emplois sont déjà effectifs à la faveur de la

signature de 377 Conventions, ce qui correspond à un taux de réalisation de 71%.
Le Programme vise également la formation aux métiers à travers le 3FPT. Sur un objectif initial de 70 000 jeunes à former, le programme a fait bénéficier à 31 188 jeunes de formations sur divers métiers, soit un taux de réalisation de 45%.
Pour ce qui est du pilier « Financement-entrepreneuriat- autonomisation » pour lequel intervient la DER/FJ, à travers le nano crédit et l’appui aux secteurs et métiers, un volume global de financement de 23 milliards en 2021 et 22 milliards en 2022 a été exécuté et a permis de toucher 141 700 bénéficiaires, sur un objectif de 228 098, soit un taux de réalisation de 62%.
Mesdames, Messieurs, Chers invités, chers jeunes
L’évaluation du Programme « XËYU NDAW ÑI » a également permis de constater que sa mise en œuvre par les différentes structures rencontre un certain nombre de contraintes ou difficultés relatives notamment :

  • auxinsuffisancesdanslacommunication,lavulgarisationet l’appropriation du programme,
  • àl’absenced’uneplateformeharmoniséed’enrôlementdes demandes d’emploi,
  • à l’absence de numéro d’identification du demandeur d’emploi et d’un dispositif de suivi des bénéficiaires du Programme pour la valorisation des acquis par le décernement des titres de qualification professionnelle.
    Sur la base de cette évaluation, nous avons formulé des recommandations pour améliorer le programme afin que les objectifs soient atteints et que le programme soit pérennisé.
    En perspective, il s’agira globalement de poursuivre les différentes actions déjà en cours pour atteindre, à fin 2023, tous les objectifs fixés et les quotas alloués dans le pilier du recrutement spécial du programme.
    En outre, l’augmentation des quotas déjà alloués pour répondre aux besoins réels de recrutement des structures constitue une perspective dans le programme. Le Gouvernement va mettre en place une plateforme de suivi et d’évaluation du Programme pour
  • disposer des informations à temps et mieux ajuster les interventions en fonction des besoins et attentes.
  • Mesdames, Messieurs, chers invités,
  • Permettez-moi, à ce stade de mon propos, de rendre un hommage appuyé au président de la République pour cette initiative fort inspirée. Sa vision, son leadership et sa détermination ont permis de transformer la vie de milliers de jeunes et de leurs familles.
  • Ce programme est un exemple qui a été suivi par d’autres pays qui cherchent à créer des emplois pour les jeunes. Le Président de la République Macky Sall engage le Gouvernement à continuer à investir dans la formation, l’innovation et l’entrepreneuriat pour garantir un avenir meilleur à nos jeunes et à notre société.
  • Chers jeunes,
  • Je m’adresse à vous aujourd’hui, également, avec une mission importante : celle de vous encourager à saisir les opportunités qui se présentent à vous. Le président de la République a lancé cet ambitieux programme d’insertion des jeunes pour aider à relever les défis auxquels vous êtes confrontés. C’est un
  • programme qui vise à vous donner les outils dont vous avez besoin pour réussir dans la vie.
  • Le monde dans lequel nous vivons est en constante évolution et il est plus important que jamais de se préparer pour l’avenir. Vous êtes la génération qui doit relever les défis du XXIe siècle et nous avons confiance en vous. Nous croyons que vous êtes capables de réaliser de grandes choses et nous sommes prêts à vous aider à y parvenir.
  • Le Programme « XËYU NDAW ÑI » est conçu par le Président de la République Macky Sall pour vous aider à trouver votre voie et à atteindre vos objectifs. Il offre une variété de programmes et de services pour vous aider à développer vos compétences, à acquérir de l’expérience et à bâtir un réseau de contacts utiles. Qu’il s’agisse d’apprentissage, de formation professionnelle ou de stages, nous avons les outils pour vous aider à réussir.
  • Nous savons que la transition de l’école à la vie professionnelle peut être difficile. C’est pourquoi le Chef de l’Etat a conçu le Programme « XËYU NDAW ÑI » qui vous aidera à surmonter ces obstacles. Nous voulons que vous ayez toutes les chances de réussir, peu importe votre parcours ou votre origine sociale.
  • Chers jeunes,
  • Je vous encourage à saisir cette opportunité et à vous impliquer davantage dans le Programme « XËYU NDAW ÑI ». Nous avons besoin de votre énergie, de votre créativité et de votre passion pour aider à construire un avenir meilleur pour tous. Nous avons besoin de vous pour relever les défis du 21ème siècle et pour construire une société plus juste et plus équitable.
  • Ensemble, nous pouvons accomplir de grandes choses. Alors, n’hésitez pas à vous impliquer et à saisir cette grande opportunité. Nous sommes là pour vous soutenir et pour vous aider à réussir.
  • Je vous remercie de votre attention.

Vidéo-« On va le condamner en appel » Sonko révèle le contenu d’un entretien entre Macky et un leader de YAW

« On va le condamner en appel » Sonko révèle le contenu d’un entretien entre Macky et un leader de YAW

Vidéo-Désobéissance civile, Ousmane Sonko catégorique “je vais plus répondre à la justice”

Désobéissance civile, Ousmane Sonko catégorique “je vais plus répondre à la justice”

Images polémiques avec Macky Sall: Barthelemy Dias sort de sa réserve

C’est l’image de la semaine : Macky Sall et Barthélémy Dias main dans la main lors de la cérémonie d’ouverture du Forum Mondial de l’Économie Sociale et Solidaire. Mieux encore, le président de la République n’a pas manqué de féliciter le maire de Dakar en déclarant notamment : « Je dirai à ton père (Jean-Paul Dias) que tu as bien travaillé ». Cette image a suscité la colère de la coalition Yewwi Askan Wi.
Depuis lors, Barthélémy Dias n’a pas clarifié sa position sur cette affaire. Cependant, dans une note reçue par Seneweb, le maire de Dakar annonce qu’il va sortir du silence : « Chers compatriotes, je communiquerai ce lundi 8 mai 2023 sur l’actualité politique nationale. L’interview sera disponible sur toutes mes plateformes digitales et dans la presse ».