Serigne Mountakha Mbacké vient de prendre une nouvelle décision de taille ! Le khalife général des mourides a interdit définitivement toutes les activités politiques dans le titre foncier de Touba.Le patriarche de Darou Miname ordonne, également, la délocalisation de tous les bureaux de vote hors du périmètre de la cité religieuse.
Le khalife général des mourides recommande aux Baye Faal de veiller au respect strict de ses mesures pour préserver la sacralité de Touba. Les membres de la famille de Mame Cheikh Ibrahima Fall sont chargés aussi de veiller au respect des bonnes mœurs dans la Ville sainte, a appris Seneweb auprès d’une source autorisée proche des Baye Faal.Serigne Mountakha Mbacké s’est indigné profondément des activités politiques déroulées à Touba.
Serigne Mountakha Mbacké, Khalife général des Mourides, a offert 5 millions de F CFA au groupe Walfadjri, ce samedi. Une délégation du groupe médiatique, conduite par son Président Directeur Général Cheikh Niass, a été reçue à Touba. Pour rappel, Walf TV a été suspendue un mois par le ministère de la Communication
Dans la foulée de la coupure du signal de la chaîne de télévision, la direction générale de Walfadjri a fait savoir dans une note de service, que « tout le personnel du Groupe Walfadjiri est d’ores et déjà mis au chômage technique ». Pis, « des licenciements collectifs suivront pour la survie de l’entreprise », renseigne le même document. La direction a justifié ces mesures par « les récents événements » qui « ont provoqué des conséquences néfastes sur la bonne marche de (leur) activité avec la coupure sans délai du signal TV ».
Aliou Sow journaliste à Walf connu pour ces critiques à l’endroit de Ousmane Sonko leader de Pastef a fait un témoignage important sur lui. C’est lors d’une émission à la radio Walfadjri que le journaliste a dévoilé une conversation entre un patron d’entreprise et Ousmane Sonko..
« Une autorité a témoigné devant moi sur Ousmane Sonko. Il m’a expliqué que Sonko était venu faire un redressement fiscal dans son entreprise. Cette somme tourne 3 milliards et 12 milliards. L’entrepreneur a envoyé une somme de 100 millions à Sonko en essayant de le corrompre. Mais il m’a dit que Ousmane Sonko a refusé cette somme et lui a signifié qu’il ne faisait que son travail », a laissé entendre Aliou Sow dans une émission radio de Walf
Pape Djibril Fall perd un de ses hommes de main. Le leader du mouvement « Les Serviteurs » vient de recevoir la démission de Pape Nalla Dieye. Ce dernier était jusque-là coordonnateur de la coordination des Serviteurs de France.In extenso, l’annonce de Pape Nalla Dieye :
« Bonjour chers compatriotes Sénégalais et de la diaspora,Je tiens à vous informer qu’à compter de ce jour, je quitte officiellement le mouvement Les Serviteurs ainsi que toutes les instances du mouvement.
Je quitte mon poste de coordonnateur de la coordination des Serviteurs de France ainsi que celui de la convergence des Cadres Serviteurs de France.Je vous reviendrai ultérieurement à travers un communiqué détaillé pour les raisons de cette décision mûrement pensée ».
Pape Nalla Dieye, ancien coordonnateur des Serviteurs de France
Après les propriétés françaises Auchan et TOTAL(symboles du néocolonialisme économique),et des structures bancaires, les furieux manifestants n’ont pas hésité à déverser leur bile en mettant le feu sur le Chapiteau de la fac de droit et au Cesti, deux espaces scolaires publiques,où sont formés ceux qui assurent deux piliers fondamentaux de nos droits: le droit à une information juste et vraie et celui d’une justice libre et équilibrée.
L’État, le patronat et les syndicats ont signé un accord pour la hausse des salaires dans le secteur privé. Le gouvernement était représenté à la table de négociations par le directeur du Travail et de la Sécurité sociale, Karim Cissé. Le CNP et la CNES étaient de la partie pour les patrons tandis que le CNTS, le CNTS/FC, la CSA et l’UNSAS défendaient les intérêts des travailleurs.
D’après Le Quotidien, qui a consulté le protocole d’accord, la hausse concerne, d’une part, le Smig, qui grimpe de 11%, passant de 60 000 à 76 000 francs CFA. Prérogative de l’État, la détermination du niveau du Smig émane de concertations impliquant les principaux acteurs (employeurs et employés). Le gouvernement a choisi cette démarche pour ne pas donner l’impression d’imposer une hausse des salaires aux entreprises privées.
L’accord prévoit, d’autre part, des hausses de 3% à 8% selon les catégories de travailleurs. Celles plus faibles bénéficiant des relèvements les plus importants. Ces barèmes sont en-deçà des attentes des syndicats, qui tablaient sur des hausses de 30%.
L’accord touche les salaires de base, imposables. Les sursalaires ne sont pas concernés. Il dispense les entreprises qui avaient déjà consenti des hausses de salaire ou appliquent des salaires catégoriels plus favorables que ceux revalorisés.
Les hausses seront appliqués à partir de juillet prochain. Entretemps, le ministre du Travail et de la Sécurité sociale prendra un arrêté qui obligera toutes les entreprises- même celles qui ne sont pas signataires de l’accord- à appliquer la mesure. S’ensuivra le décret fixant le nouveau montant du Smig.
Comme les huit autres commissions mises en place dans le cadre du dialogue national, la commission politique a démarré ses travaux hier vendredi. Momentanément interrompus, ceux-ci devraient reprendre en début de semaine prochaine, lundi 12 mai.
Entre-temps, les participants sont appelés à se concerter pour la nomination d’un nouveau président, en raison de l’indisponibilité du Pr Babacar Kanté. “Il a été retenu que les parties prenantes vont se concerter pour la nomination d’un remplaçant. Nous allons vite harmoniser nos positions étant donné que nous ne disposons que d’un délai de travail de quinze jours à respecter impérativement”, espère le coordonnateur du pôle des non-alignés, Déthié Faye, repris par le Soleil.
L’ancien ambassadeur Seydou Nourou Bâ a piloté les travaux d’ouverture en tant que premier vice-président de la commission cellulaire du dialogue national en attendant le nouveau président.
Les parties prenantes ont pu prendre connaissance des termes de références. Seize points figurent dans la liste dévoilée hier, dont « la désignation d’un organisme en charge de l’organisation des élections, de la suppression et la modification des articles L31 et L32, le parrainage, le bulletin unique, la suppression des ordres de mission », énumère Faye.
Les recommandations issues de leurs travaux devraient favoriser un retour à la sérénité.
« Je n’ai jamais vu un président prendre le dessus sur son peuple… », a fait savoir Siré Sy à Macky Sall. Pour le chroniqueur de Seneweb, la visite de Macky Sall au khalife des mourides, vers 22 heures, montre que le président est dos au mur. C’est la raison pour laquelle, il a profité de l’occasion pour lui faire comprendre que les manifestations qui ont causé plus de 16 morts ne sont pas à cause de Ousmane Sonko qui est l’élément déclencheur.
Siré Sy a averti Macky Sall que les manifestations ne sont pas dues à Ousmane Sonko.
La visite tardive du président au khalife des mourides montre qu’il est dos au mur.
Les dernières manifestations montrent que ce n’est plus une affaire de Pastef, mais du peuple.
Le journaliste explique l’un des faisceaux d’indice, est que si en 2021, le régime avait à faire avec le parti Pastef, en 2023 c’est avec le peuple révolutionnaire.
La manière dont il a parlé du 3e mandat lors de l’ouverture du dialogue, montre une certaine suffisance de sa part voire d’arrogance.
« Apres avoir décapiter Pastef avec l’arrestation de tous les leaders, plus le renforcement des forces de la défense, Macky a pensé qu’il y aura plus cette situation quelque soit alpha. Aujourd’hui, les dernières manifestations ont montré encore autres choses. Ce qui veut dire que le président doit savoir que ce n’est plus une affaire de pastef, mais du peuple avec toutes les catégories de la couche. »
Selon lui, aujourd’hui, une seule personne détient la clé de la solution: C’est entre vos mains parce que vous êtes dos au mur. Il semble que vous avez gagné le combat, or tu as perdu… Et si tu insiste, tu finira par emprisonner tout le monde. Il faut obligatoirement que tu te transcende d’un président politicien pour un président poète en prenant de l’élévation. »
Le Groupe Walfadjri traverse une période critique. Après l’interruption du signal de Walf TV par les autorités, l’entreprise a dû placer son personnel en chômage technique. Une réaction solidaire a vu le jour avec l’organisation d’une cagnotte pour soutenir le groupe, cependant, une décision abrupte des autorités a conduit à la suspension de ces opérations.
Le Groupe Walfadjri en chômage technique après interruption du signal de Walf TV par les autorités
Initiative de collecte de fonds lancée pour soutenir le groupe, mais suspension abrupte de la cagnotte par les autorités
Raison précise de cette décision des autorités sénégalaises inconnue, mais Anita TV a dénoncé la cagnotte sur Facebook
En réponse à la coupure du signal de Walf TV, le Groupe Walfadjri a pris une décision difficile : la mise en chômage technique de l’ensemble de son personnel. Cette situation exceptionnelle a ému bon nombre de personnes et, en quelques heures, une initiative de collecte de fonds a été lancée. Ce mouvement de solidarité s’est rapidement transformé en succès, avec une cagnotte atteignant 40 millions en un temps record.
Cependant, le soir même, la plateforme Wave, sur laquelle la cagnotte avait été organisée, a suspendu le compte du Groupe Walfadjri. La raison ? Une réquisition des autorités sénégalaises. Dans un communiqué, le groupe explique cette suspension abrupte : « Sur décision des autorités, les opérations de paiements destinés à Walfadjri ont été suspendues. » Avant d’ajouter : « Nous sommes tenus de nous conformer aux réquisitions des services compétents. » Ils concluent en remerciant pour la compréhension de tous et renouvellent leur engagement à servir dans les meilleures conditions possibles.
Néanmoins, ni dans le communiqué du groupe, ni de la part des autorités, la raison précise de cette décision n’a été évoquée. Une zone d’ombre demeure donc quant à cette action des autorités sénégalaises. Une donnée à noter toutefois, c’est qu’une page proche du parti APR sur Facebook, Anita TV, a publié un texte pour dénoncer cette cagnotte et a tenté d’alerter les autorités « L’Etat doit saisir très rapidement Wave pour vérifier toutes les transactions faites à la fondation Walfadjri. Nos sources révèlent des transactions douteuses faites par des ONG et autres personnes très louches. Depuis la chute de Kopar Express, Pastef et son leader ont perdu le terrain. » a écrit la page. Quelques heures après cette dénonciation, la ‘Fondation Walfadjri’ a disparu de l’application Wave.
Peu après la suspension de la cagnotte, la page s’est réjouie de la décision avec un message accusateur « Compte Wave fermé. Une Étape est faite. Que l’Etat continue. Il faut verrouiller ce compte. Aucune transaction waroul ame dans ce compte. Il est avéré que le F24 et PASTEF cherchent par tous les moyens des fonds pour déstabiliser ce pays. 50000 dollars ont été envoyés. L’envoi a été piloté par Tounkara via une personne résident au Sénégal, un certain Abou Dia de Matlaboul fawzeyni » On peut se demander comment ils ont obtenu cette information qui, normalement, ne peut être publique.
Ousmane Sonko a décidé de ne rencontrer aucun médiateur sur la base d’une autorisation délivrée par Antoine Diome ministre de l’intérieur, a révélé le journaliste Pape Alé Niang
Ousmane Sonko refuse de rencontrer des médiateurs autorisés par le ministre de l’intérieur
Selon le journaliste Pape Alé Niang, Sonko souhaite d’abord dénoncer sa séquestration illégale et exiger le respect de ses droits
Sonko affirme vivre sa situation « de manière stoïque » et continue son combat politique en hommage aux jeunes sénégalais assassinés impunément
Ousmane Sonko estime qu’avant de parler de médiation il faut « d’abord commencer par dénoncer sa séquestration illégale lui et sa famille. Et exiger de l’état qu’il arrête ses pratiques qui foulent au pied levé ses droits », informe le journaliste.
Par conséquence, il informe l’opinion nationale et internationale qu’il vit cette « situation de manière stoïque et avec une grande détermination de continuer son combat politique par respect à ces centaines jeunes sénégalais froidement assassinés et en toute impunité. »
Affaire « Kopar Express » : Le juge du 2e cabinet prend une forte décision contre l'entreprise
L’ordonnance pour geler les avoirs bancaires de la plateforme Kopar Express a été émise par le juge du 2e cabinet. Dans sa parution du jour, Libération informe que la Sûreté urbaine a notifié la décision à la Coris Bank et à Uba où les comptes de l’entreprise étaient logés. L’entreprise, selon nos confrères, rappelle que depuis l’arrestation de son prestataire et associé, Seydou Nourou Ba, elle continue d’être une cible des autorités. Une situation pouvant compromettre gravement, la continuité de son activité au Sénégal. Pour rappel, dans cette affaire, l’ouverture d’une enquête judiciaire avait été ordonnée contre Mouhamed Samba Djim alias Hannibal Djim en février 2023. Et le mois suivant, Seydou Nourou Bâ détenant 25 parts de la plateforme sera arrêté.
D’ailleurs, il avait été extrait de prison par la Su suite à une plainte du Gie pour la promotion des non-voyants au Sénégal puis inculpé encore pour «escroquerie en bande organisée ».
ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l'Extérieur
Le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a annoncé que la reprise des activités des consulats du Sénégal à l’étranger se fera pour compter de ce vendredi 09 Juin 2023. Une décision qui intervient après la fermeture le 6 juin dernier suite à des actes perpétrés sur le consulat en Italie.
Toutefois, « cette reprise se fera en tenant compte de l’état de dégradation du matériel et des locaux pour ce qui concerne les consulats ayant subi des actes de vandalisme », nous apprend le communiqué du ministère qui invite cependant les compatriotes de l’étranger à contribuer à la sauvegarde de ses structures et à la préservation de l’intégrité physique des membres du personnel qui sont au service de la Communauté.
Dans une note signée par le ministre des télécommunications et de l’économie numérique, il est précisé que le signal du groupe Walfadjri est suspendu pour un mois à partir du jeudi 1er juin 2023 date à laquelle, les violentes manifestations ont éclaté. D’ailleurs, le ministre, dans cette note a estimé que cette décision du gouvernement, fait suite au « constat dans la couverture de la situation de tensions par le groupe Walfadjri, la diffusion en boucle des images de violences exposant des adolescents, accompagnées de propos subversifs, haineux, dangereux incitant à la violence et portant manifestement atteinte à la sécurité de l’État, à l’intégrité territoriale, à la stabilité et à la paix sociale, en violation flagrante de toutes ses obligations ».
Le ministre souligne aussi que ces images sont « en violation flagrante des obligations de l’Etat à sauvegarder la paix, l’ordre public et les impératifs de la sécurité et de la défense nationale.
Le ministre informe qu’en « cas de récidive, après la reprise de la diffusion des programmes du groupe Walfadjri, conformément à la réglementation, l’autorisation pourrait faire l’objet d’un retrait définitif ».
La coalition Bennoo Bokk Yaakaar informe, dans un communiqué lu à la rédaction, que cette question du report de la présidentielle du 25 février 2024 n’a jamais été débattue en son sein et ne fait pas partie de son agenda politique.
Pour la coalition de la majorité présidentielle, le calendrier républicain devra être rigoureusement respecté car c’est cela qui renforce les institutions de la République ainsi que l’Etat de droit.
Pour des raisons de sécurité, le préfet de Dakar vient de sortir un nouvel arrêté portant interdiction temporaire des rassemblements sur la voie publique. Le chef de l’exécutif, Mor Talla Tine s’est opposé à la tenue des manifestations projetées par des membres de l’opposition, de la société civile, du pouvoir , de la presse, entre le 9 et le 16 juin . Seneweb vous livre intégralement le communiqué du préfet de Dakar.
« […]La Préfecture de Dakar a enregistré des déclarations de manifestations sur la voie publique projetées dans la période du 09 au 16 juin 2023, par des entités politiques ou mouvements de soutien politiques.
Celles-ci interviennent après les incidents malheureux enregistrés la semaine dernière et ayant entrainé des pertes en vies humaines et de nombreuses dégradations de biens publics et privés. Conformément aux dispositions relatives aux manifestations sur la voie publique, leur examen a révélé pour certaines, le non-respect du délai légal. C’est le cas notamment des déclarations de rassemblements projetés par la structure dénommée «< Y EN A MARRE » et le Groupe « WAL FADJRI», le vendredi 09 juin 2023, de 15 heures à 19 heures, respectivement à la Place de la Nation et devant les locaux dudit groupe. En conséquence, l’irrecevabilité de celles-ci a été constatée et notifiée aux déclarants. S’agissant des autres manifestations projetées le samedi 10 juin 2023, notamment la marche déclarée par la structure dénommée «FRAPP», ayant comme itinéraire l’autopont Saint Lazare – VDN – Rond-point école normale, de 15 heures à 19 heures et les rassemblements projetés par le mouvement « AND DEFAR SUNU REEW FALAAT MACKY SALL », au terrain de football sis à l’unité 22 des Parcelles assainies, 15 heures à 20 heures et par la «CONVERGENCE DES DEMOCRATES POUR LA SAUVEGARDE DE LA REPUBLIQUE EN 2024 (S24) », à la place de la Nation de 15 heures à 19 heures, l’instruction a laissé apparaître, selon le cas, des menaces réelles de troubles à l’ordre public et de sabotage, des risques de saccage de biens publics ou privés liés à de possibles débordements, des risques d’infiltration par des individus mal intentionnés. Toutes ces raisons ont conduit à l’interdiction de ces manifestations, dans le but de préserver l’ordre public et la paix sociale. Il s’y ajoute que le contexte actuel est marqué par les préparatifs de la fête de Tabaski et nécessite une libre circulation des personnes et des biens. Il est donc évident que la fermeture pendant quatre (04) heures, par exemple de la VDN comporte, sans nul doute, un impact négatif sur la fluidité de la circulation et sur l’économie. Dès lors, j’invite les acteurs à œuvrer pour la préservation de l’ordre paix sociale et la sécurité des personnes et des biens, pour une meilleure vie en société » lit-on dans le document signé le 08 juin 2023 par le préfet Mor Talla Tine
La Sen’Eau, l’entreprise responsable de l’exploitation et de la distribution de l’eau potable dans les zones urbaines et péri-urbaines du Sénégal, annonce des perturbations dans la distribution d’eau potable ce samedi.
Cela est dû aux travaux de raccordement de nouvelles conduites. Dans un communiqué rendu public, l’entreprise mentionne les quartiers qui seront affectés. Il s’agit de Grand Yoff, Bastos 1 et 2, Khar Yalla, Arafat, Cité millionnaire, Castors et Derkelé.
Cependant, la société informe que des camions-citernes seront mis en place pour soulager les zones les plus touchées.
Les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour le groupe de presse Walfadjri. En effet, le ministère de la Communication a notifié les raisons de la suspension du signal du groupe de presse pour 30 jours.
Au cours du rassemblement organisé dans ses locaux pour protester contre la suspension des programmes de WALFTV, le groupe Wal Fadjri a reçu une notification signée par le ministre de la Communication de suspension de son signal pour 30 jours.
« Constatant que dans la couverture de la situation de tensions au Sénégal, le 1″ juin 2023, le groupe WALFADJRI n’a cessé de diffuser en boucle des images de violences exposant des adolescents. Constatant que ces images sont accompagnées de propos subversifs, haineux, dangereux incitant à la violence et portant manifestement atteinte à la sécurité de l’État, à l’intégrité territoriale, à la stabilité et à la paix sociale, en violation flagrante de toutes ses obligations, notamment celle de veiller à: sauvegarder la paix, l’ordre public et les impératifs de la sécurité et de la défense nationales; ne pas diffuser de programmes faisant explicitement ou implicitement l’apologie de la violence; assurer la protection des enfants mineurs vis-à-vis des productions pouvant compromettre leur épanouissement moral et intellectuel ; ne pas inciter les enfants et les adolescents explicitement ou implicitement, à des comportements délictueux et nuisibles; ne pas inciter à des comportements susceptibles de porter atteinte à la sécurité et à la propriété des personnes », sont entre autres les raisons évoquées par le ministère de la communication dirigé par Me Moussa Bocar Thiam.
Le Député proche de Sonko, Cheikh Thioro Mbacké a jugé nécessaire de faire un post pour démentir les rumeurs faisant état d’une supposée médiation entre le président Macky Sall et le leader du Pastef Ousmane Sonko.
Voici l’intégralité de son post !
« Salam à tous les patriotes, ces derniers jours nous recevons beaucoup de messages nous demandant d’une éventuelle médiation entre le président Ousmane Sonko et le régime de Macky Sall.
Moi, Cheikh Thioro Mbacké, je voudrais apporter quelques précisions sur ces Fake news venant de l’autre bord juste pour nous divertir. Qu’il y a aucune médiation à l’heure où nous parlons et le président Ousmane Sonko n’accepterait aucune médiation tant que le blocus de sa maison ne soit pas levé. Ceux qui parlent de médiation doivent commencer par dénoncer sa séquestration illegale dont il subit lui et sa famille.
Chers patriotes je vous invite davantage à faire focus sur la résistance seul moyen de lever le blocus et de libérer le pays des mains de Macky Sall. La résistance constitutionnelle continue et c’est loin d’être terminée car Macky Sall ne compte pas reculer. Seule la lutte libère.
Partie civile de l’affaire « Sweet beauté », Adji Sarr a interjeté appel. L’information a été donnée, hier jeudi, par son avocat, Me El Hadj Diouf, qui estimait que sa cliente n’est pas satisfaite de la décision de la Chambre criminelle de Dakar qui a condamné les accusés (Ousmane Sonko et Ndèye Khady Ndiaye) à une peine de 2 ans de prison en plus de 20 millions F Cfa de dommages et intérêts qu’ils devraient allouer solidairement à l’accusatrice. Mais, d’après des informations obtenues des spécialistes, cet appel ne concerne pas la peine prononcée contre le leader de Pastef, condamné pour « corruption de la jeunesse ». L’autre précision faite sur Rfi par Me Joseph Étienne Ndione, avocat de la défense, c’est qu’il faudrait que la Parquet, lui-même, interjette appel pour que toutes les parties soient concernées par ce nouveau procès. Il faut enfin préciser que l’appel de l’ex-masseuse ne peut porter que sur le domaine civil c’est-à-dire les dommages et intérêts. Pour rappel, Ndeye Khady Ndiaye, propriétaire du salon de massage « Sweet beauté », avait elle aussi interjeté appel. Elle avait pris part au procès, tout le contraire d’Ousmane Sonko, jugé par contumace.
Idrissa Seck, l’ancien président du Conseil économique, social et environnemental (Cese), exprime « beaucoup d’affection » envers le leader de Pastef, affirmant que celui-ci aurait presque milité dans le parti Rewmi.
« Ousmane Sonko a failli être membre de mon parti au début », a-t-il révélé lors d’une interview sur RFI. Il ajoute : « Il (Ousmane Sonko) est venu me rendre visite à deux reprises, une fois seul et une fois accompagné de ses amis. C’est quelqu’un pour qui j’ai énormément d’affection, c’est pourquoi je suis particulièrement attristé de le voir prendre le chemin qu’il emprunte actuellement. Il est très populaire auprès des jeunes. Il aurait simplement dû dire à ces jeunes : nous sommes majoritaires dans le pays, munissez-vous de vos cartes d’électeur et soyez déterminés à protéger les résultats des bureaux de vote, mais ne cassez rien. S’il avait fait cela, j’aurais applaudi ».
Quant à son retour spectaculaire dans l’opposition après avoir théorisé le concept du « Mburu ak soow », le chef de Rewmi affirme être constant dans sa démarche. « Je n’ai qu’un seul objectif en tête : produire le maximum de bienfaits pour ma communauté, pour les populations, quel que soit le poste que j’occupe. Après l’élection de 2019, où j’ai fini deuxième, un dialogue national s’est ouvert, et c’est à ce moment-là, alors que nous étions en phase de conclure ce dialogue national, que la Covid-19 s’est abattue sur le monde entier. »
Poursuivant, l’ancien maire de Thiès soutient qu’il a quitté le camp présidentiel par principe. « À l’approche de l’élection présidentielle, je lui ai dit très gentiment (à Macky Sall) : ‘Vous arrivez à la fin de vos deux mandats consécutifs, je me représenterai devant les Sénégalais, je vous recommande de ne pas tenter ce que Wade a tenté et échoué en 2011-2012. Partez par la grande porte’ ».
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D’ailleurs, il avait été extrait de prison par la Su suite à une plainte du Gie pour la promotion des non-voyants au Sénégal puis inculpé encore pour «escroquerie en bande organisée ».
