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Aid El Kabir : Le Président Diomaye Faye marchande 2 béliers pour la fête

Dans le cadre la fête de Tabaski, son Excellence le Président Bassirou Diomaye Faye a effectué une visite à la Bergerie Galoya qui fait son opération de vente à la Sicap Karack.

À la fin de la visite, le Président a marchandé puis acheté 2 beaux béliers. Pour rappel, la fête de la Tabaski sera célébrée par la majorité des Sénégalais le lundi 17 juin 2024, selon la Commission nationale concertation sur le croissant Lunaire (Conacoc).

D’autres musulmans vont également célébrer la fête le dimanche 16 juin, conformément au communiqué de la Coordination des musulmans du Sénégal (CMS).

Sénégal – Dissolution de l’Assemblée nationale (Par Dr Cheikh Omar Diallo)

C’est dans l’air du temps, pour le tandem Diomaye-Sonko la dissolution de l’Assemblée nationale est un impératif politique. Elle pourrait intervenir après le marathon budgétaire, en décembre 2024. Sans une majorité confortable, le nouveau cadre référentiel appelé « Sénégal Vision 2050 » sera difficilement imprimable.

Dans l’euphorie de la victoire, en général, la dynamique électorale se retranscrit dans les urnes lors du prochain scrutin. C’est le moment ou jamais, car si l’euphorie tombe, la dissolution pourrait se transformer en big bang.

La dissolution du parlement sera une première au Sénégal. Il faut préciser que Me Abdoulaye Wade n’a jamais signé de décret de dissolution de l’assemblée nationale. Il a plutôt collaboré avec les députés de la majorité socialiste jusqu’à l’adoption de la nouvelle constitution, celle du 22 janvier 2001.

Dr Cheikh Omar Diallo.

Docteur en Science Politique.

Expert en communication et Leadership

Passation de services au Soleil : Yakham Mbaye présente ses excuses : « Toutes les erreurs que j’ai commises… »

Le directeur général sortant, Yakham Codou Mbaye, a tenu un discours empreint de sagesse et de repentir devant les employés et le nouveau directeur général, ce lundi 10 juin 2024 dans les locaux du Soleil, selon les confrères de Dakar actu.

Pendant une cérémonie solennelle et remplie d’émotion, Yakham Mbaye a exprimé son pardon envers les personnes à qui il a causé du tort. « Aucun travail humain n’est parfait », a immédiatement déclaré l’ancien directeur général du quotidien national Le Soleil.

« L’important aujourd’hui, c’est de ne plus se focaliser sur le passé, que ça soit en bien ou en mal. Parce que se focaliser  sur le passé en bien cela veut dire se gargariser (bew) alors qu’on a toujours la possibilité de parfaire. Se focaliser aussi sur ce qui n’est pas bien. Je pense humblement avoir fait des choses qui ont donné satisfaction, je pense et je le reconnais avoir fait énormément d’autres choses qui n’ont pas satisfait », regrette l’ex Dg.

« Nous avons connu des heurts fort préjudiciables. Trois années sans véritablement s’entendre sur l’essentiel, on s’est donné en spectacle. Je pense que tout ça doit être basta!  Et que tout le monde puisse se réunir, se rassembler comme je vous le dis. Moi, toute ma vie, j’essaye d’être un homme d’honneur. Dès  lors que je quitterai cette entreprise, si j’ai un mot à  dire, un seul mot, ce serait à vous, monsieur le directeur (Lamine Niang) et ce ne sera jamais pour faire du mal ou dire du mal », a indiqué Yakham qui a reconnu ses torts, dans la gestion de la boîte.

 » Si j’avais une science certaine des femmes et des hommes, peut-être je n’aurais pas commis toutes les erreurs que j’ai commises… Il y a eu du mal mais ce mal est insignifiant par rapport  aux bienfaits. Les bienfaits ont été supérieurs. Donc, moi, je pars avec l’ambition de pouvoir revenir au Soleil, rendre  visite à qui je veux, entrer et sortir « douma diepi kene, kene douma diepi », fait savoir le directeur sortant. Ce dernier  demande pardon à tous ceux à qui il a fait du mal. « Moralement c’est pas admissible qu’ un Dg du Soleil qui quitte la direction, se retrouve dans une situation lamentable », pense-t-il.

Critiques envers Ousmane Sonko : La réplique de Amadou Ba du Pastef

Amadou Ba
Amadou Ba
Le Premier Ministre et leader de Pastef subit les critiques de quasiment toute la classe politique après sa conférence de ce dimanche au Grand théâtre. Sur sa page Facebook, Amadou Ba, membre de ce parti dirigé par Ousmane Sonko, aor ailleurs mandataire de Bassirou Diomaye Faye lors de la présidentielle du 24 mars dernier, a apporté la réponse. Voici sa publication.
«Attaques tous azimuts contre Diomaye, Sonko et le PROJET ou comment remettre en cause le suffrage universel…
 
 
En réalité, ceux qui feulent de rage contre Diomaye, Sonko et le PROJET en veulent réellement au PEUPLE sénégalais dont pensent-ils, l’immaturité politique et l’indigence intellectuelle auraient porté ces trublions et le parti Pastef au Pouvoir.
 
 
 
Mais ne nous y trompons guère, ces tire-au-flanc qui poussent des cris d’orfraie à chaque bruissement de Sonko, sont les mêmes qui hier le critiquaient déjà dans ses habitudes d’opposants, houspillaient son manque de raffinement langagier, dénonçaient les des hordes de jeunes inconscients et désœuvrés qui lui servaient de bouclier, se gaussaient de son plus fort reste qui l’avait catapultait à l’assemblée nationale et appelaient ouvertement Macky Sall à user de la force illégitime pour sauver la République contre Pastef.
 
 
 
Voulez-vous en convaincre?
 
 
 
Qu’ils vous sortent un post, une vidéo ou un article dans lesquels ils exigeaient des enquêtes sur la disparition de Didier Badji et Fulbert Sambou, une pensée à leurs familles éplorées, une attention à leurs enfants désespérés.
 
 
 
Que n’avaient-ils montré de colère lorsque le Président Macky Sall enchaînait les consultations à domicile immédiatement après la réunion du Conseil supérieur de la magistrature pour réaffecter des magistrats en fonction de l’agenda judiciaire contre la candidature de Ousmane Sonko ?
 
Qu’ils étaient silencieux ces gondoliers de l’information lorsque le pègre gouvernemental s’alliait avec la mafia foncière pour faire main basse sur notre littoral et les terres des communautés !
 
Oui la verve de Sonko est crue, mais elle a le mérite de pointer le mal sans y joindre quelques huiles sémantiques pour attendre les stigmates.
 
 
 
Oui il ya une révolution en cours, le Gouvernement ne sera plus jamais la vache laitière des médias pour acheter la bienveillance de certains courtisans de l’information à coup de contrats de couverture d’activités ministérielles et d’hagiographie de DG.
 
 
 
Il est certes impérieux de refonder la presse pour lui garantir une indépendance financière totale vis-à-vis du pouvoir politique, mais cela passe-t-il obligatoirement par une amnistie pour couvrir une véritable délinquance fiscale ?
 
 
 
Sonko a déclaré le chantage de certains médias et journalistes, sur l’accusation de vouloir bâillonner la PRESSE.
 
 
Il fustige la politique de caporalisation de certains magistrats, on le présente comme un pourfendeur de l’indépendance de la justice.
 
 
Des excès volontairement entretenus pour brouiller son message de fermeté sur la reddition des comptes qui, n’en doutons point, révélera les liens incestueux entre le pouvoir politique et certains médias et journalistes.
 
 
 
L’opposition doit quitter sa position BASSE, élever le débat et arrêter le focus enfantin sur la personne de Sonko. C’est un blocage psychologique qui révèle beaucoup sur la personnalité de beaucoup de dirigeants à son égard : le TOUT DISCRÉDIT cache mal l’envie et la jalousie.
 
Le Peuple a souverainement plébiscité le PROJET lors de l’élection présidentielle et DÉLIBÉRÉMENT, a cantonné vos Programmes Alternatifs à des scores confidentiels et infinisimaux.
 
 
Pourtant vous vous obstinez à nier le PROJET non pas dans sa pertinence, mais jusque dans son existence.
 
 
 
Le PEUPLE aurait-il tort ?
 
 
 
Aurait-il été marabouté ? Aurait-il perdu tout bon sens en votant pour un PROJET NON EXISTANT ? Une CHIMÈRE ? Une ILLUSION ? Une PERDITION….
 
 
 
Vous ciblez Sonko et Diomaye et Pastef, mais en réalité vous contestez au fond le suffrage universel qui les a portés au pouvoir : LE PEUPLE A TOUJOURS RAISON.
 
 
 
Le Sénégal sera assis sur de nouvelles fondations avec une justice indépendante et une presse libre financièrement, ne vous en déplaise !
 
 
 
Que de peine perdue à vouloir brûler le Messager alors même que le Peuple fait corps avec le Message ».

Ousmane Sonko dénonce la fraude fiscale dans les médias sénégalais

Littoral - Le Premier ministre Ousmane Sonko prend en main le dossier et publie un arrêté applicable immédiatement
Littoral - Le Premier ministre Ousmane Sonko prend en main le dossier et publie un arrêté applicable immédiatement

Lors de la conférence politique organisée ce dimanche par la Jeunesse patriotique du Sénégal, le Premier ministre Ousmane Sonko a vivement critiqué la gestion des impôts dans le secteur de la presse sénégalaise. Dans son discours, il a accusé certains médias de détourner des fonds publics et a appelé à une plus grande transparence et responsabilité.

Le chef du gouvernement a pointé du doigt une pratique qu’il considère comme frauduleuse et répandue dans le secteur. « Chaque jour, tu mets à la une dans tes médias qu’untel a détourné, qu’un autre a volé ou que l’on a épinglé une autre personne. À chaque fin du mois, ils déduisent des salaires un montant pour les mettre dans les caisses de l’État. Et cet argent des impôts, ils le mettent dans leur poche. Ça, c’est des détournements de deniers publics », a-t-il affirmé sous un torrent d’acclamations.
 
Le Premier ministre a indiqué que ces actes ne doivent pas rester impunis et a rappelé les dispositions du Code général des impôts qui prévoit des sanctions pour de tels manquements. « Le Code général des impôts dit que l’on doit les poursuivre pénalement », a-t-il ajouté en insistant sur la nécessité d’appliquer la loi sans distinction ni favoritisme.
 
Au-delà des accusations de détournement, Ousmane Sonko a dénoncé une culture de l’impunité au sein de certains médias. « Il y a des moins que rien qui assument leur vol et veulent que personne ne parle et qu’on leur pardonne tout. Ça doit cesser ! » a-t-il martelé.

« Projet » : « Un document de référence disponible en septembre » (Ayib Daffé)

Ayib Daffé était l’invité du « Grand Jury » de la Rfm, ce dimanche. Interrogé sur le projet du gouvernement pour la politique de la nation, il a expliqué que le chef de l’État et son équipe y travaillent.

 
«Le projet a été présenté aux Sénégalais, à la veille de l’élection présidentielle, par l’actuel ministre de l’Environnement Daouda Ngom, qui était le responsable des cadres de Pastef. Il l’a ensuite publié et édité », a-t-il rappelé.
 
Pour le député, maintenant, il faut faire un référentiel pour remplacer le « Sénégal émergent ». Ayib Daffé rappelle qu’ « en comparaison au régime sortant, il leur a fallu deux ans pour élaborer le projet Sénégal émergent. Entretemps, il y a le document de politique économique et sociale, la stratégie nationale de développement économique et social ». 
 
C’est à partir du mois de septembre 2024 que le projet sera opérationnalisé et mis dans le canevas de la loi d’orientation relative au système national de planification pour en faire le référentiel de la politique économique et sociale du Sénégal, souligne-t-il. «Le gouvernement y travaille pour pouvoir le soumettre au président de la République. Un plan d’action gouvernemental est déjà mis en œuvre », rassure le député.
 
«Je rappelle que le projet est une vision d’un Sénégal souverain et prospère avec cinq axes stratégiques et quinze orientations », termine Ayib Daffé.

Macky Sall et Emmanuel Macron, le nouvel acte fort du côté de l’Elysée (photo)

L’ancien président sénégalais, Macky, est parmi les invités d’exception conviés par Emmanuel Macron pour le dîner d’État organisé en l’honneur du président américain Joe Biden et de son épouse Jill Biden. Cette soirée prestigieuse, qui se déroule ce samedi soir à l’Élysée, marque la première visite d’État de Joe Biden en France, dans le cadre des commémorations du 80e anniversaire du Débarquement.

L’Élysée a précisé que cette rencontre vise à préparer les prochaines échéances internationales, notamment le sommet du G7 de Bari en Italie, prévu mi-juin, ainsi que le sommet de l’OTAN à Washington en juillet.

Emmanuel et Brigitte Macron ont orchestré ce dîner d’État, réunissant une pléiade de personnalités françaises et américaines de renom, parmi lesquelles on compte Jack Lang, Thomas Pesquet et Pharrell Williams. Macky Sall, l’ancien président du Sénégal, figure parmi les invités prestigieux pour cet événement exceptionnel. Des observateurs de Senego ont pu observer Macky Sall entrer seul dans le palais de l’Élysée, se mêlant ensuite aux autres convives avant de prendre place dans la salle des banquets.

Rappelons que Macky Sall a été nommé en 2023 par Emmanuel Macron en tant qu’envoyé spécial du Pacte de Paris pour les Peuples et la Planète (4P), un rôle qu’il occupe depuis son départ de la présidence du Sénégal. Cette présence à ce dîner d’État témoigne de l’importance des relations diplomatiques entre la France et le Sénégal, ainsi que du rôle crucial de Macky Sall dans les questions internationales liées au développement durable et à la protection de l’environnement.

Sénégal – RDC: Rémy Ngono tacle Sadio Mané après sa pique à Aliou Cissé

Le Sénégal a été tenu en échec (1-1) par les Léopards de la République Démocratique du Congo , le jeudi 06 juin dernier dans le stade Abdoulaye Wade de Diamiadio. Après ce match entrant dans le cadre de la 3ème journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026, Sadio Mané a lancé une pique à son  coach Aliou Cissé. 

 
En effet, l’attaquant d’Al Nassr a remis en cause le système de jeu mis en place par « El tactico ».
 
« On doit comme je l’ai dit revoir le système »
 
« Je pense qu’on a fait un match correct dans l’ensemble. A mon avis, je pense qu’on doit revoir notre système. On a essayé de jouer en combinaison et dans l’ensemble ça n’a pas marché comme il le faut. Donc pour être redoutable, on doit comme je l’ai dit revoir le système » a déclaré l’ex-star de Liverpool. Rémy Ngono, le chroniqueur de l’émission Radio Foot International sur RFI, n’a pas aimé la prise de parole du Champion d’Afrique 2022.
 
 
 
« Les sélectionneurs africains, ils réussissent à monter et dès qu’il y a une petite glissade,… »
 
Pour lui, Mané aurait dû tenir ce discours au sélectionneur dans les vestiaires, pas devant les caméras. « Ça me surprend plutôt négativement de la part d’un leader » a attaqué Rémy Ngono.
 
 « Il devait tenir ses propos avec son entraîneur dans le vestiaire, parce que lorsqu’on regarde les prestations de Sadio Mané, où il est allé en 8ème de finale à la dernière CAN, on a vu qu’il n’a pas pesé (sur le jeu). Aliou Cissé pouvait le mettre au banc. Qu’est-ce que le Sénégal aurait pu dire ?  Les sélectionneurs africains réussissent à monter et dès qu’il y a une petite glissade, alors tout le monde commence à dire : il faut qu’il fiche le camp » a déploré le journaliste camerounais connu pour ses proverbes africains.
 
« Il y avait un noyau qui a vieilli en commençant par Sadio Mané »
 
Il pense qu’on doit accorder des circonstances atténuantes au sélectionneur Cissé et éviter si « bêtement de le fragiliser ». Actuellement, poursuit Rémy Ngono, « il y a un problème de génération » chez les Lions du Sénégal. « Les cadres sont vieillissants. On croit peut être qu’une sélection comme le Sénégal devrait toujours être au top, hors il y avait un noyau qui a vieilli en commençant par Sadio Mané » analyse le Camerounais.

Changement de système de jeu: Aliou Cissé répond à Sadio Mané

Après le match nul contre la République démocratique du Congo (RDC), jeudi, Aliou Cissé a essuyé de nombreuses critiques sur son système de jeu notamment de son attaquant vedette, Sadio Mané.

 
 
 
Le sélectionneur des Lions a apporté la réplique, aujourd’hui, à la star des Lions en conférence de presse de veille de match contre la Mauritanie.    
 
 
 
 
«Le changement de système ? Ce n’est pas le moment d’en parler. Pour le moment, nous sommes concentrés sur le match de demain. Nous sommes focus et déterminés. Le plus important, c’est de gagner le match de demain. Sadio, c’est mon jeune frère, il n’y a aucun souci », a lancé le technicien sénégalais.
 
 
 
 
Le Sénégal affronte la Mauritanie, dimanche, à partir de 18 heures à Nouakchott, pour le compte de la quatrième journée de la poule B des éliminatoires du mondial 2026. 

Cité Keur Gorgui : Bougane Guéye dément la vente de son immeuble

Bougane Guèye Dany
Bougane Guèye Dany

Bougane Guèye a démenti l’information donnée par Les Echos et relative au processus de vente de son immeuble sis à la Cité Keur Gorgui. Voici le communiqué du président de Gueum sa bop.

« Mise au point du Président Bougane Guéye Dany

« La Banque Agricole a tenté de m’escroquer et le dossier est à la Cour suprême. »

Je tiens à rassurer mes amis et sympathisants au sujet d’une information diffusée par une certaine presse, motivée par un seul objectif : salir Bougane.

Ce dossier, Boss SA contre la Banque Agricole, est en pourvoi à la Cour suprême. Il s’agit d’une tentative d’escroquerie de la Banque Agricole. En 2015, j’ai été la caution solidaire d’un prêt de 400 millions entièrement remboursé, comme attesté par un expert judiciaire.

La société Boss SA ayant bénéficié d’un découvert de 600 millions, la Banque LBA a voulu utiliser frauduleusement l’ancienne caution solidaire pour garantir ce découvert, objet du litige. Or, tout le monde sait qu’une caution n’est ni cessible ni transférable.

Mes avocats ont introduit un pourvoi en cassation et le dossier suit son cours. Toute autre information est un pur mensonge et une machination visant à ternir l’image d’un Sénégalais qui a préféré investir dans son pays.

J’ai d’ailleurs instruit mes avocats pour engager une procédure pénale contre la Banque LBA pour abus de confiance et tentative d’escroquerie ».

Demain il fera jour.

Bougane Guéye Dany

Vidéo – “ Henné Time” : Voici les premières images de l’épouse de Tange Tandian, PDG de Vipeoples..Dans une ambiance totale“li nekh na dé..”

Mandat d’arrêt contre Macky Sall: « Ça n’a pas de sens (…) ceux qui composent ce collectif sont manipulés »

Selon lui, le pouvoir actuel doit se concentrer sur les véritables problèmes des Sénégalais plutôt que de se laisser distraire par des manœuvres politiques. « La demande de ce collectif », dit-il, « est non seulement infondée, mais sert également à masquer les défis actuels auxquels le Sénégal est confronté. Il appelle le pouvoir en place à se concentrer sur la résolution des problèmes du pays plutôt que de se laisser entraîner dans des controverses inutiles ».

La réplique de Abdou Mbow au collectif des victimes de Macky Sall n’a pas tardé. Ces derniers ont réclamé jeudi 6 juin un mandat d’arrêt international contre l’ancien chef de l’État, Macky Sall. Ce qui est infondé, selon le président du groupe parlementaire de la coalition Benno Bokk Yaakaar.

« Ça n’a pas de sens. Nous ne donnons aucun crédit à ce collectif », a-t-il confié sur iRadio. Abdou Mbow pense que ceux qui composent ce collectif sont manipulés et ne comprennent pas les enjeux réels. « C’est une manière de vouloir détourner l’attention des Sénégalais par rapport à ce qu’ils attendent de ce nouveau régime. Le mieux, c’est de répondre aux aspirations des Sénégalais », déclaré le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR).

Selon lui, le pouvoir actuel doit se concentrer sur les véritables problèmes des Sénégalais plutôt que de se laisser distraire par des manœuvres politiques.

« La demande de ce collectif », dit-il, « est non seulement infondée, mais sert également à masquer les défis actuels auxquels le Sénégal est confronté. Il appelle le pouvoir en place à se concentrer sur la résolution des problèmes du pays plutôt que de se laisser entraîner dans des controverses inutiles ».

Aïd el-Kebir : La date de la Tabaski 2024 connue au Sénégal…(CONACOC)

Tabaski 2024 connue au Sénégal
Tabaski 2024 connue au Sénégal

Ce vendredi 7 juin 2024, les membres de la Commission nationale de concertation sur le croissant lunaire (Conacoc) du Sénégal se sont réunis dans l’attente de l’observation de la nouvelle lune. Dans un communiqué parvenu à la rédaction de Senego, El Hadji Omar Diène, président des Imams et Oulémas du Sénégal et Cie, informent que la lune a été aperçue.

La fête de la Tabaski sera célébrée au Sénégal le lundi 17 juin 2024.

Document

Diass: Levée de suspension des travaux du projet 100.000 logements pour le compte de la SCI Nouvelle Ville

Après avoir demandé dans une note rendue publique dernièrement l'arrêt des travaux du programme 100.000 logements situé dans la commune de Diass, la Division Régionale de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires, a annoncé la levée de cette mesure suspensive au profit de la Société Nouvelle Ville( SNV). Ainsi, à la suite des vérifications effectuées auprès des services compétents, et sur instruction de M. le gouverneur de la région de Thiès, il a été décidé de la " levée de la mesure de suspension des travaux d'exécution de votre lotissement dans le cadre du programme 100.000 logements situé dans la commune de Diass", informe le chef de Division à l'attention de la SCI Nouvelle Ville. Il a été ajouté que la SNV peut désormais poursuivre " les travaux déjà entamés conformément aux actes qui vous ont été délivrés par les autorités compétentes...

Après avoir demandé dans une note rendue publique dernièrement l’arrêt des travaux du programme 100.000 logements situé dans la commune de Diass, la Division Régionale de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires, a annoncé la levée de cette mesure suspensive au profit de la Société Nouvelle Ville( SNV).

Ainsi, à la suite des vérifications effectuées auprès des services compétents, et sur instruction de M. le gouverneur de la région de Thiès, il a été décidé de la  » levée de la mesure de suspension des travaux d’exécution de votre lotissement dans le cadre du programme 100.000 logements situé dans la commune de Diass », informe le chef de Division à l’attention de la SCI Nouvelle Ville.

Il a été ajouté que la SNV peut désormais poursuivre  » les travaux déjà entamés conformément aux actes qui vous ont été délivrés par les autorités compétentes…

Vidéo – Top 10 des Mots Magiques Dr Ch Diallo fait un cour magistral sur..l’exemple de la UBA ,n1 au senegal

Dans un communiqué reçu à Dakaractu, le ministère des Finances et du Budget renseigne d’une opération réussie du Sénégal sur les marchés internationaux de capitaux avec l’obtention de 750 millions de dollars estimés à plus de 451 milliards FCFA. Selon les services du ministère, c’est dans le cadre de la couverture des besoins de financement des opérations de la loi de finances de l'année 2024 que l'État du Sénégal a mandaté JP Morgan Londres aux fins de mobiliser, à des conditions alignées à sa stratégie de gestion de la dette, des ressources pour un montant de 500 millions de dollars US. À cet effet, il a été procédé, le lundi 03 juin 2024, au lancement d'obligations de l'État du Sénégal, en placement privé auprès d'investisseurs sur les marchés internationaux de capitaux. Ces titres sont émis en dollars US à un taux nominal d'intérêt de 7,75% l'an, pour une maturité de 7 ans. Afin d'optimiser davantage le service de la dette, ces titres ont fait l'objet, concomitamment, d'une conversion en euros, à un taux moyen de 6,47%. L'engouement pour ces titres, noté après leur lancement, a justifié l'émission, le mardi 04 juin 2024, d'une tranche additionnelle de 250 millions de dollars US. Le succès de la transaction, établi par la forte adhésion des investisseurs ciblés, atteste de leur soutien constant aux initiatives de financement des politiques publiques de l’État du Sénégal, ainsi que de leur confiance renouvelée en sa qualité de signature. En dépit de cette opération financière significative, le coordonnateur du Forum Civil, Birahime Seck a tenu à alerter sur le choix de la banque d’investissement. « Le Ministère des finances et du Budget doit nous édifier sur le choix de JP Morgan Londres. Le problème de la transparence de l'intermédiation demeure. Ces résultats montrent encore la faillite de la stratégie de mobilisation des resources domestiques qui doit être évaluée », a-t-il indiqué sur la toile. Ces interpellations trouvent leur pertinence sur les casseroles traînées par la banque d’investissement. En effet, dans un récent rapport 2023 de transparence public et privé sur l’investissement responsable, Jp Morgan est cité dans le scandale de la "London Whale" de 2012 où des pertes massives de trading estimées à plus de 6 milliards de dollars ont été révélées. En 2020, Jp Morgan a été condamnée à une amende de 920 millions de dollars pour avoir manipulé les marchés des métaux précieux et des bons du Trésor américain. Cette amende a mis en lumière des problèmes de conformité persistants au sein de la banque et a soulevé des questions sur son engagement envers des pratiques commerciales éthiques. En 2013, la banque d’investissement a accepté de payer une amende record de 13 milliards de dollars pour régler des accusations selon lesquelles elle avait trompé les investisseurs sur la qualité des titres adossés à des hypothèques. Elle a aussi fait face à des poursuites judiciaires majeures concernant ses pratiques de prêts hypothécaires avant la crise financière de 2008.
Dans un communiqué reçu à Dakaractu, le ministère des Finances et du Budget renseigne d’une opération réussie du Sénégal sur les marchés internationaux de capitaux avec l’obtention de 750 millions de dollars estimés à plus de 451 milliards FCFA. Selon les services du ministère, c’est dans le cadre de la couverture des besoins de financement des opérations de la loi de finances de l'année 2024 que l'État du Sénégal a mandaté JP Morgan Londres aux fins de mobiliser, à des conditions alignées à sa stratégie de gestion de la dette, des ressources pour un montant de 500 millions de dollars US. À cet effet, il a été procédé, le lundi 03 juin 2024, au lancement d'obligations de l'État du Sénégal, en placement privé auprès d'investisseurs sur les marchés internationaux de capitaux. Ces titres sont émis en dollars US à un taux nominal d'intérêt de 7,75% l'an, pour une maturité de 7 ans. Afin d'optimiser davantage le service de la dette, ces titres ont fait l'objet, concomitamment, d'une conversion en euros, à un taux moyen de 6,47%. L'engouement pour ces titres, noté après leur lancement, a justifié l'émission, le mardi 04 juin 2024, d'une tranche additionnelle de 250 millions de dollars US. Le succès de la transaction, établi par la forte adhésion des investisseurs ciblés, atteste de leur soutien constant aux initiatives de financement des politiques publiques de l’État du Sénégal, ainsi que de leur confiance renouvelée en sa qualité de signature. En dépit de cette opération financière significative, le coordonnateur du Forum Civil, Birahime Seck a tenu à alerter sur le choix de la banque d’investissement. « Le Ministère des finances et du Budget doit nous édifier sur le choix de JP Morgan Londres. Le problème de la transparence de l'intermédiation demeure. Ces résultats montrent encore la faillite de la stratégie de mobilisation des resources domestiques qui doit être évaluée », a-t-il indiqué sur la toile. Ces interpellations trouvent leur pertinence sur les casseroles traînées par la banque d’investissement. En effet, dans un récent rapport 2023 de transparence public et privé sur l’investissement responsable, Jp Morgan est cité dans le scandale de la "London Whale" de 2012 où des pertes massives de trading estimées à plus de 6 milliards de dollars ont été révélées. En 2020, Jp Morgan a été condamnée à une amende de 920 millions de dollars pour avoir manipulé les marchés des métaux précieux et des bons du Trésor américain. Cette amende a mis en lumière des problèmes de conformité persistants au sein de la banque et a soulevé des questions sur son engagement envers des pratiques commerciales éthiques. En 2013, la banque d’investissement a accepté de payer une amende record de 13 milliards de dollars pour régler des accusations selon lesquelles elle avait trompé les investisseurs sur la qualité des titres adossés à des hypothèques. Elle a aussi fait face à des poursuites judiciaires majeures concernant ses pratiques de prêts hypothécaires avant la crise financière de 2008.

Démission du maire de Sandiara : Le premier adjoint Aliou Gning assure l’intérim

Aliou Gning
Aliou Gning
Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement des territoires a notifié l’acceptation de la démission de Dr Serigne Guèye Diop, en sa qualité de maire de la commune de Sandiara. Le sous-préfet de Sessène, Richard Biram Faye, a sorti la notification.
 
Conformément aux dispositions de l’article 137 du Code général des collectivités territoriales et selon l’ordre de l’élection des adjoints au maire, le premier adjoint Aliou Gning a été désigné et chargé par la loi pour assurer l’intérim du ci-devant maire de Sandiara, afin qu’il assure « le bon fonctionnement de l’Institution municipale jusqu’à la prochaine session ordinaire du conseil municipal, date à laquelle il sera procédé à l’élection du nouveau maire de Sandiara et la réélection du bureau municipal selon la loi sur la parité (homme – femme) », lit-on dans le communiqué du sous-préfet de Sessène. 

Coup de gueule après Sénégal – RDC : Sadio Mané a-t-il fragilisé la position d’Aliou Cissé ?

Sadio Mané vs Aliou Cissé
Sadio Mané vs Aliou Cissé
Coup de gueule après Sénégal – RDC : Sadio Mané a-t-il fragilisé la position d’Aliou Cissé ?
La star d’une équipe qui critique ouvertement le système de jeu de son entraîneur, ça arrive très rarement pour être souligné. Ce jeudi 9 juin, quelques instants après le match nul entre le Sénégal et la RDC à Diamniadio, c’est ce que le double Ballon d’or africain et meneur de jeu des Lions (absent pour blessure), a fait. Une déclaration qui vient fragiliser un entraîneur déjà sous le feu des critiques depuis l’élimination du Sénégal en huitième de finale de la dernière CAN, face à la Côte d’Ivoire. 
 
Une fois, on aurait pu parler de maladresse ou de frustration. Mais plusieurs fois, devant des médias différents, ça ne l’est plus. Sadio Mané a bien calculé et préparé ses dires. En effet, après son passage au micro de Seneweb, où il a ouvertement décrié le système de jeu d’Aliou Cissé, Sadio Mané s’est encore présenté devant d’autres médias, soutenant le même discours. 
 
« Je pense que nous devons revoir le système de jeu. Nous l’avons essayé à de nombreuses reprises, avec plusieurs combinaisons, mais ça n’a pas fonctionné. Pour redevenir redoutable, il faut le revoir pour que chaque joueur puisse jouer à 99 voire 100% de ses moyens », a déclaré l’international sénégalais qui évolue à Al-Nassr. A la relance de la journaliste, à savoir : « Sadio vous n’êtes pas d’accord avec le système d’Aliou Cissé? », Mané a été implacable : « Vous avez très bien entendu ce que j’ai dit ! »
 
Cette déclaration vient montrer, à suffisance, que le sélectionneur national n’est pas soutenu, dans ses idées, par certains de ses cadres. Le soutien du vestiaire, très important pour un coach pour faire passer ses idées, semble brisé en équipe nationale. Le comble, pour Aliou Cissé, c’est que cette critique vient de sa plus grande star, quelques mois après que la grande majorité des Sénégalais ait récusé le système à 3 défenseurs, pointé du doigt dans l’élimination contre la Côte d’Ivoire. 
 
Chahuté par une partie du public sénégalais qui réclame sa tête, Aliou Cissé se retrouve aujourd’hui devant un dilemme de taille. Faire face à ses joueurs et poursuivre ses idées, ou flancher et donner raison à Sadio Mané et au public sénégalais qu’il a échoué dans ce système qu’il a tant défendu, même après l’élimination du Sénégal face à la Côte d’Ivoire. 
 
Dans les deux cas, Aliou Cissé sera perdant. Soit il persiste avec son système et se met à dos une partie de son vestiaire, notamment sa grande star, ou il change de système et perd son autorité. Un dilemme qui, certainement, fragilise un peu plus le sélectionneur national. 

Collecte de données à caractère personnel : Aisha Fatty relaxée

Aisha Fatty
Aisha Fatty

C’est un revirement auquel l’homme d’affaires Abdoulaye Thiam et ses conseils ne s’attendaient certainement pas. Dans son délibéré rendu ce vendredi 7 juin 2024, le tribunal des flagrants délits de Dakar a douché leurs attentes en rejetant leur requête de complément d’enquête et prononçant dans la foulée la relaxe d’Aisha Fatty.

 
La jet-setteuse gambienne était poursuivie pour collecte illicite de données à caractère personnel et menaces de diffusion, suite à une plainte de l’homme d’affaires sénégalais Abdoulaye Thiam.
 
Le procès s’est ouvert le 24 mai dernier avant d’être renvoyé au 31 mai, afin de permettre l’exploitation du téléphone de la prévenue qui figure dans les scellés. Chose à laquelle elle s’était vigoureusement opposée lors de l’enquête à la Division de la cybercriminalité. 
 
 
 
Plaidée le 31 mai, l’affaire, qui a été mise en délibéré ce vendredi 7 juin, a ainsi été vidée et le juge a demandé, dans le même sillage, la restitution du téléphone portable de la prévenue.
 
Aisha Fatty gagne ainsi une bataille, mais pas la guerre, puisqu’elle n’est pas encore tirée d’affaire. Attaquée par Abdoulaye Thiam sur un autre front, elle a, en effet, été inculpée et placée sous mandat de dépôt, le 28 mai dernier, pour escroquerie portant sur plus d’un milliard de francs CFA. 
 
Elle devra donc rester en prison jusqu’à la fin de l’information judiciaire ouverte par le juge du 3e cabinet d’instruction.

Moundiaye Cissé : « Sur 326 partis politiques, 70 n’ont pas d’adresse connue, seuls 3 déposent leurs états financiers »

Moundiaye Cissé
Moundiaye Cissé
C’est une information qui va sans doute relancer le vieux débat sur la nécessité impérieuse de rationaliser les partis politiques au Sénégal. Selon des statistiques livrées par Moundiaye Cissé, directeur exécutif de l’ONG 3D, lors d’une table ronde de l’Association sénégalaise de droit constitutionnel (ASDC) ce jeudi 6 juin, la majorité des partis politiques n’ont pas d’adresse.

 
 
 
« En 2000, quand Abdou Diouf quittait le pouvoir, on avait 42 partis politiques. C’est sous Wade que les partis politiques ont commencé à pousser comme des champignons. On s’est retrouvé avec 151 partis, lors de son départ en 2012. Sous Macky Sall, en mai 2023, on était à 326 partis », confie-t-il.
 
 
 
Le pire dans cette prolifération exponentielle de partis, c’est, selon M. Cissé, « sur les 326 partis, 70 ont une adresse connue. Et seuls trois déposent régulièrement leurs états financiers conformément à la loi ».
 
 
 
Celle-ci (la loi sur les partis) est obsolète, à en croire le directeur exécutif de l’ONG 3D qui prône la création d’un code pour les partis politiques afin de procéder à leur rationalisation et d’envisager enfin « leur financement public ».
 
 
 
 
Moundiaye Cissé a aussi plaidé, lors de cette rencontre, pour le maintien de la CENA et le renforcement de ses prérogatives.

Outrage à magistrat : Alassane bou Sonko libéré après s’être excusé

Après un double retour de parquet,  Alassane Fall alias « Alassane bou Sonko »  a été libéré ce jeudi par le procureur,  d’après Me Cheikh Khouraichy Ba.

 
« Fin du calvaire pour Alassane Fall,  finalement libéré. Il devrait néanmoins accepter de subir un suivi psychologique », a écrit Me Ba.
 
 
Le membre du Pastef a présenté ses excuses selon des sources de Seneweb. Il  a regretté ses propos outrageants à l’endroit du procureur de la République et du magistrat qui ont jugé Bah Diakhaté. 
 
 
Pour rappel, dans une vidéo publiée sur sa page Tik-Tok, Alassane Fall avait menacé d’insulter publiquement le chef du parquet et le juge, en cas de libération des détenus Bah Diakhaté et l’imam Cheikh Tidiane Ndao. Il a porté des accusations contre ces deux magistrats.
 
 
Le procureur de la République s’était autosaisi de l’affaire en ordonnant au commissaire  principal Adramé Sarr, chef de la Dic, de procéder à son arrestation.
 
Alassane Fall avait passé dix mois en prison avant d’être libéré par le biais de la loi d’amnistie.

TABASKI 2024: La lune sera observable ce vendredi (ASPA)

A travers un communiqué, l’Association sénégalaise pour la promotion de l’astronomie (ASPA) a donné des informations sur la visibilité du Croissant lunaire pour la fête de la Tabaski.

En effet, après une large consultation, les astronomes informent que ce jeudi 06 juin, le croissant lunaire ne sera observable nulle part sur terre à l’œil nu, sauf une partie de l’Amérique avec des appareils adéquats.
 
Cependant le vendredi 7 juin, le croissant sera observable à l’œil nu au Sénégal et partout où le ciel est bien dégagé, de même en Afrique, en Europe et en Amérique d’après le communiqué.

Mame Seydou Ndour, nouveau DGPN : « Je m’emploierai à réconcilier la police et sa population »

Mame Seydou Ndour, nouveau DGPN
Mame Seydou Ndour, nouveau DGPN

C’est une transmission de témoin qui s’est faite dans la solennité en présence de plusieurs fonctionnaires de la police nationale. La cérémonie d’installation du nouveau directeur de la police nationale s’est déroulée ce matin dans les locaux de l’ex-école nationale de la police en présence du ministre de l’intérieur, Jean Baptiste Tine.

Seydou Bocar Yague passe ainsi le témoin à Mame Seydou Ndour qui compte mettre en œuvre des réformes pour une police nationale forte et dans le respect des droits et libertés des individus. « Je m’engage à travers une police nationale bien préparée bien équipée dans le respect. Je précise que je mesure avec responsabilité la tâche qui nous incombe. Nous allons consolider les acquis légués par les prédécesseurs tout en prenant en compte les réformes qui s’inscrivent vers une matrice d’actions priorisées de résultats attendus.

Je m’emploierai donc à réconcilier la police et sa population et je vais étendre et densifier les patrouilles dans la banlieue dans le cadre de la prévention ». Pour le nouveau patron de la police nationale, il faut aussi améliorer les rapports avec la presse et les autres partenaires et faciliter l’obtention des documents notamment les passeports, les certificats et autres. Aussi, la réorganisation de la communication de la police nationale est importante pour partager ses résultats avec les populations.

« J’engagerai des changements systémiques dans les domaines divers avec les révisions des contrôles de curricula de polices. La formation continue reste aussi une priorité ainsi que la concrétisation des priorités. En effet, la police nationale doit être un espace d’échange intellectuel. Ainsi, je compte lancer les cadres de réflexion avec les acteurs de la police » s’engage Mame Seydou Ndour.

Voici le brilliant parcours du nouveau dg de la Senelec Papa Toby GAYE : Il a gravi tous les echelons

Papa Toby GAYE
Papa Toby GAYE

Papa Toby Gaye est un ingénieur électromécanicien diplômé de l’Ecole Supérieure Interafricaine de l’Electricité (ESIE )  quinzième promotion .

Il a déroulé toute sa carrière au sein de Senelec depuis Septembre 1998 en tant qu’ingénieur chargé des automatismes et de la régulation au niveau de la Centrale III du Cap des Biches jusqu’à son poste actuel comme Directeur Général de Senelec. Il a durant cette période conçu un progiciel de suivi de la consommation d »e  combustible et des statistiques d’exploitation.

De 2002  à 2004, il occupe le poste de Chef de service production du projet RECORD pour la mise en place d’une comptabilité énergétique au sein de Senelec aux fins de lutter efficacement contre les pertes techniques et non techniques.

De 2004 à 2006 , il occupe le poste de chef de service ingénierie avec comme mission de mener les  études d’Ingenierie des projets de la direction production de  Senelec  et de valider les documents techniques des projets de production en rapport avec la direction équipement.

Entre 2006 et  2008 , il est nommé au poste de Chef Exploitation à la Centrale 3 du Cap des Biches ou il mène , dans le cadre de la réhabilitation de la centrale 3 , à la refonte des consignes d’exploitation avec le passage de la régulation analogique à  la régulation numérique pour la conduite des unités de production

 

En 2009, il est affecté comme expert planification des unités de production à la direction des études générales avant de

rejoindre de 2010 à 2019 la Direction Equipement , où il occupe successivement les postes de chef de projet production , chef de département Equipement de production, Directeur en charge du projet MCA et des projets gaz et charbon.

 

Cette période lui a permis d’acquérir une grande expérience sur les projets de production indépendante d’électricité en participant à toutes les négociations de contrat d’achat d’énergie.

Il était le point focal Senelec pour le second compact .

 

En 2019 , il est nommé Directeur Principal Equipement , où il est chargé du suivi et de la mise en œuvre des projets de production , du transport de la distribution et des projets d’innovation avant d’être nommé en 2021  Secrétaire Général de Senelec puis Directeur Général.

 

Exclusif – Aprés Adama Faye , un autre proche de Macky Sall entre les mains de la gendarmerie!

Macky Sall
Macky Sall

Sale temps serait-on tenté de dire pour certains proches de l’ex Président de la République! En effet, après Adama Faye, frangin de l’ex première dame, c’est au tour du nommé Cheikh Mbacké Ndiaye de déférer à une convocation des perspicaces pandores de la Section de Recherches.

Selon des informations de dakarposte,confirmées par Sanslimites,

Cheikh mbacké Ndiaye
Cheikh mbacké Ndiaye

ce proche collaborateur de Macky Sall est poursuivi par un certain B.S. pour une transaction foncière qui a mal tourné.

Au moment où ces lignes sont écrites, le jeune responsable politique de Keur Massar attend son face à face avec les enquêteurs de la SR.

Nous y reviendrons !

Juan Branco à Dakar ce jeudi pour…

L’avocat franco-espagnol, Me Juan Branco, est annoncé à Dakar, ce jeudi 6 juin 2024. Cette fois, l’ancien « fugitif » sous le coup d’un mandat d’arrêt du procureur de la République, n’aura certainement pas besoin de passer sous les radars (comme la dernière fois) pour entrer dans le territoire sénégalais. Puisqu’il est l’invité des étudiants de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar où il animera une conférence publique, demain après-midi.

Pour rappel, l’avocat franco-espagnol de l’opposant politique devenu Premier ministre Ousmane Sonko a été arrêté le samedi 5 août 2023 en Mauritanie, avant d’être remis aux autorités du Sénégal où il était sous le coup d’un mandat d’arrêt international. Considéré comme un fugitif, Juan Branco était entré clandestinement au Sénégal et avait fait une apparition très remarquée à une conférence de presse du pool d’avocats d’Ousmane Sonko, le 30 juillet dernier.

Face à une forte pression du barreau de Paris, l’avocat poursuivi pour, entre autres charges, appel à l’insurrection, attentat et complot, sera finalement inculpé et extradé en France.

Communiqué du conseil des ministres du Mercredi 5 Juin 2024

Le Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 05 juin 2024, la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, au Palais de la République.
 
A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat est revenu sur la journée nationale d’investissement humain sur toute l’étendue du territoire national autour du nouveau concept inclusif « Setal Sunu Réew ». Le Président de la République a félicité le Gouvernement, le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, les populations, les élèves, les jeunes, les femmes, les autorités administratives, les élus et la communauté des acteurs du cadre de vie pour la mobilisation exceptionnelle et l’engagement remarquable notés partout lors de cette journée.
 
Il a demandé au Gouvernement et aux différentes parties prenantes de veiller à relever le défi de la pérennisation de la journée nationale de mobilisation citoyenne mensuelle qui doit occuper une place primordiale dans l’agenda institutionnel et social du Sénégal.
 
Le Chef de l’Etat a également saisi l’occasion pour magnifier la contribution des Sénégalaises et des Sénégalais, l’esprit de solidarité et l’engagement citoyen qui se sont manifestés lors de la journée nationale de lancement de « Setal Sunu Réew ». Il a insisté sur la nécessité de vivifier cet esprit de communion qui participe à la consolidation de la Nation. Abordant la question de l’éducation nationale, le Président de la République a relevé que le PROJET de transformation systémique du Sénégal passe par le renouveau et le repositionnement stratégique de l’Ecole dans les valeurs et ambitions de notre société.
 
Le Chef de l’Etat a demandé l’évaluation du système éducatif dont les programmes sont en inadéquation avec les réalités nationales, les enjeux du numérique et les besoins de l’économie nationale. A cela s’ajoutent le phénomène de la déperdition scolaire, le manque d’infrastructures et le déficit d’enseignants face à des effectifs d’élèves sans cesse croissants.
 
Le Président de la République a appelé au renforcement du rôle et de la place de la Faculté des Sciences et Techniques de l’Education et de la Formation (FASTEF), de l’UFR des Sciences de l’Education, de la Formation et du Sport (UFR SEFS) ainsi que des écoles nationales de formation d’instituteurs, en vue de l’amélioration continue de la qualité des enseignements.
 
Le Chef de l’Etat a aussi souligné l’urgence d’évaluer et de restructurer selon les orientations du PROJET, le Programme d’Amélioration de la Qualité, de l’Equité et de la Transparence dans le secteur de l’Education et de la Formation (PAQUET), au regard de la nécessaire prise en compte des langues nationales, de la généralisation de l’enseignement de l’anglais dès l’élémentaire et de l’intégration continue et pragmatique des «Daaras» dans le système éducatif.
 
Dans la même lancée, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre d’accorder une attention particulière :
 
– au développement systémique du Numérique à l’école avec l’impératif d’accentuer la digitalisation intégrale du système éducatif ;
 
– à la planification, sur les cinq (5) prochaines années, des recrutements d’enseignants dans toutes les matières face aux besoins exprimés et aux postes budgétaires arbitrés ;
 
– à l’éradication des « abris provisoires » et à la mise en œuvre avec les Ministres concernés (Education nationale, Formation professionnelle, Urbanisme et Collectivités territoriales, Finances et Budget) d’un programme concerté de réalisation d’infrastructures scolaires adaptées et d’amélioration de l’environnement pédagogique dans toutes les Académies du pays. Le Président de la République a également demandé au Premier Ministre d’engager une réflexion sur le financement durable et soutenable du système éducatif avec l’implication des Ministres concernés et de toute la communauté éducative.
 
Le Chef de l’Etat a aussi insisté sur l’urgence de réguler l’implantation, l’ouverture et le contrôle du fonctionnement des établissements scolaires privés qui exercent, sur autorisation de l’Etat, une mission de service public. Il a indiqué dans le même sens que les tarifications de la scolarité dans les établissements scolaires privés méritent une réglementation rigoureuse.
 
Par ailleurs, le Président de la République a invité le Ministre de l’Education nationale à veiller à la bonne organisation du Concours général.
 
Evoquant la mise en œuvre de la nouvelle politique sportive du Sénégal, le Chef de l’Etat a rappelé le rôle central que la jeunesse, frange importante de la population, doit jouer pour asseoir le développement du sport au Sénégal dans l’esprit d’une citoyenneté assumée.
 
Il a, dès lors, demandé au Gouvernement de prendre les mesures visant à renforcer la pratique du sport dans toutes les écoles et universités du Sénégal et à relancer les compétitions sportives scolaires et universitaires sur l’ensemble du territoire national.
 
Dans la même foulée, le Président de la République a indiqué la nécessité de redéfinir le cadre juridique global du Sport au Sénégal. A ce titre, il a invité le Ministre en charge des Sports à évaluer, quarante ans après son entrée en vigueur, la loi n° 84-59 du 23 mars 1984 portant Charte du Sport et à préparer un projet de loi consensuel codifiant le Sport national dans toutes ses dimensions : scolaire, universitaire, haute compétition, amateur, formation, encadrement et financement.
 
Le Président de la République a demandé au Premier Ministre de mettre en œuvre un cadre innovant et maitrisé de financement des disciplines sportives et des hautes compétitions nationales et internationales.
 
Par ailleurs, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre en charge des Sports de proposer, avant fin juillet 2024, sous la supervision du Premier Ministre, une nouvelle politique efficace et efficiente de construction, de réhabilitation, d’entretien et de gestion de toutes les infrastructures sportives du Sénégal.
 
Le Président de la République a, en outre, invité le Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, à rénover le système de fonctionnement et de coordination des activités de Vacances (les « NAVETANES »), en cohérence avec la politique de promotion d’une citoyenneté active et constructive. Il a aussi demandé au Ministre en charge des Sports de prendre les dispositions appropriées en rapport avec le Comité national Olympique et Sportif sénégalais (CNOSS), pour la bonne préparation de la participation du Sénégal aux Jeux Olympiques « Paris 2024 ».
 
Enfin, le Président de la République a demandé au Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture de rendre compte régulièrement du suivi de l’organisation au Sénégal, des Jeux Olympiques de la Jeunesse « Dakar 2026 ».
 
Dans sa communication au Conseil, le Premier Ministre a relevé la bonne dynamique impulsée par la journée nationale du « Setal Sunu Réew » en termes de mobilisation citoyenne, en rappelant la priorité à accorder au renouveau du service civique.
 
À cet égard, il compte, en relation avec le Gouvernement, mettre à profit les prochaines vacances scolaires pour ancrer cette dynamique, par la mobilisation de volontaires notamment dans la réhabilitation des écoles publiques, le reboisement et l’assainissement.
 
Le Premier Ministre a, ensuite, mis l’accent sur un ensemble d’initiatives à mettre en œuvre pour intégrer les bonnes pratiques en matière d’hygiène et de propreté dans les politiques des départements ministériels, afin de conférer au Sénégal le label d’un pays propre.
 
Dans ce cadre, il a souligné la nécessité d’ancrer cette exigence notamment dans les hôpitaux, centres et postes de santé ainsi que dans les secteurs de l’éducation, du tourisme, de l’industrie, du commerce, de la restauration, du transport public et du secteur aéroportuaire.
Le Premier Ministre a, par ailleurs, attiré l’attention des ministres concernés sur la vigilance à observer pour éviter toute rupture d’approvisionnement en médicaments essentiels.
 
Il a aussi appelé à prendre toutes les dispositions nécessaires pour régulariser la situation des élèves en classe d’examens ne disposant pas de papiers d’état civil.
 
Le Premier Ministre a également évoqué la nécessité de résoudre la problématique de l’accès au logement dans les campus universitaires, au regard du nombre important d’étudiants recourant à la location auprès de privés.
 
Il a aussi relevé la priorité à accorder aux actions de réduction de la facture d’électricité des administrations publiques
 
Le Premier Ministre a ensuite fait part des préparatifs de sa Déclaration de Politique générale devant l’Assemblée nationale prévue au cours des prochaines semaines.
 
Il a, enfin, rendu compte de l’état d’avancement des travaux de la Commission ad hoc chargée du Contrôle et de la vérification des titres et occupations sur les anciennes et nouvelles dépendances du Domaine public maritime (DPM) dans la région de Dakar, dont le rapport sera remis au Président de la République dans les délais impartis.
 
AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES :
 
– Le Ministre des Infrastructures et des Transports terrestres et aériens a fait une communication sur les perturbations notées dans le convoyage, par la compagnie nationale, des pèlerins aux Lieux saints de l’Islam ;
 
– Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement a fait une communication sur la journée nationale « Setal Sunu Réew » tenue le 1er juin 2024 ;
 
– Le Ministre du Tourisme et de l’Artisanat a fait le bilan de la saison touristique 2023-2024 et des perspectives de relance du secteur du tourisme.

Dic : Cheikh Bara Ndiaye convoqué ce jeudi

Sous le coup d’une plainte, Cheikh Bara Ndiaye est convoqué à la Division des investigations criminelles (Dic) demain jeudi dans la matinée. Le chroniqueur de Walf Tv sera entendu par les hommes du commissaire principal Adramé Sarr sur la plainte déposée contre lui, pour  diffamation, par l’ancienne ministre Thérèse Faye.

Les nominations en conseil des ministres du Mercredi 05 Juin 2024

Le Président de la République a pris les décisions suivantes :

Monsieur Matar SENE, titulaire d’un Master 2 en Gestion des Ressources humaines, est nommé Délégué général à la Protection sociale et à la Solidarité nationale en remplacement de Madame Aminata SOW ;

Madame Amsatou Sow SIDIBE, professeure agrégée des Facultés de droit de classe exceptionnelle, est nommée Président du Comité sénégalais des Droits de l’homme, en remplacement de Maître Papa SENE ;

Monsieur Papa Toby GAYE, ingénieur électronicien, précédemment Secrétaire général de la Société nationale d’électricité (SENELEC SA), est nommé Directeur général de la Société nationale d’électricité (SENELEC SA), en remplacement de Monsieur Papa Mademba BITEYE ;

Monsieur Alioune GUEYE, expert-comptable, est nommé Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN Holding SA), en remplacement de Monsieur Adama DIALLO ;

Monsieur Mouhamadou DIOP, ingénieur polytechnicien des ponts et chaussées, est nommé Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN Trading and Services SA), en remplacement de Monsieur El hadj Manar SALL ;

 Monsieur Jean Michel SENE, ingénieur électronicien et énergéticien spécialisé en instrumentation nucléaire est nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise d’Electrification rurale (ASER), en remplacement de Monsieur Baba DIALLO ;

Madame Mame Coumba NDIAYE, ingénieur statisticienne et économiste de l’énergie, est nommée Directeur général de l’Agence pour l’Economie et la Maitrise d’Energie (AEME), en remplacement de Monsieur Saër DIOP ;

 Monsieur Mor BAKHOUM, maître de conférence assimilé en droit de la concurrence, est nommé Secrétaire technique du Conseil national de Suivi du Contenu Local au Ministère de l’Energie, du Pétrole et des Mines ;

Monsieur Amadou GUEYE, ingénieur automobile, est nommé Directeur général de l’Agence de Promotion des sites industriels (APROSI), en remplacement de Monsieur Momath BA ;

Madame Aïssatou DIALLO, ingénieur agro-industrielle, est nommée Coordonnateur du Programme national de Développement des Agropoles du Sénégal, en remplacement de Monsieur Djily LO ;

 Monsieur Justin CORREA, titulaire d’un Master 2 en Comptabilité et Finances, est nommé Directeur du Centre international du Commerce extérieur du Sénégal (CICES), en remplacement de Monsieur Salihou KEITA ;

Madame Rougui Aladji SOW, titulaire d’un Master en Audit et Contrôle de gestion, est nommé Coordonnateur national du Programme de Modernisation et de Gestion des Marchés (PROMOGEM), en remplacement de Madame Yaye Fatou DIAGNE ;

 Monsieur Sambou BIAGUI, titulaire d’un Diplôme d’Etudes supérieures spécialisées en Communication évènementielle et Planification stratégique, est nommé Directeur général de la Maison de la presse « Babacar TOURE », en remplacement de Monsieur Bara NDIAYE ;

Madame Ndeye Fatou NDIAYE, ingénieur en Electronique et en Systèmes de Communication, est nommée Coordonnateur de l’Unité de Coordination et de Gestion du Fonds de Développement du Service universel des Télécommunications (FDSUT), en remplacement de Monsieur Modou Mamoune NGOM ;

Monsieur Aliou FALL, titulaire d’un Diplôme d’Etudes Approfondies en lettres modernes, est nommé Directeur de l’Alphabétisation et des Langues nationales, en remplacement de Madame Ndèye Name DIOUF ;

 Monsieur Abdoulaye NDIAYE, Docteur en droit, juriste-conseil, spécialisé en passation des marchés, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines ;

 Monsieur Aboubakry BOCOUM, Inspecteur du Trésor, est nommé Directeur de, l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture ;

 Monsieur Al Hassane DIOP, Economiste, spécialiste en Gestion des Entreprises et de projets, est nommé Directeur de l’Administration générale et de l’Equipement au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Abdoulaye NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.

Carnet rose : Marichou Diop est devenue maman…

L’actrice principale de la série Pod et Marichou a donné naissance à un garçon. C’est avec une immense joie que Mariétou Diop de son vrai nom a dévoilé les photos de son baby shower.

Toute la rédaction de Sanslimites présente ses vœux de santé au nouveau né et aux heureux parents.

Plateforme Jubanti : les sénégalais réagissent à 75 % contre…

Les services de la présidence de la République ont lancé le 23 mai la plateforme digitale Jubanti en vue des Assises de la Justice.
Lors des restitutions des travaux desdites Assises, le président de la Commission scientifique a informé le public des contributions recensées pendant plus de 10 jours.

Pour Amady BA, 300 pages de contributions ont été enregistrées, l’équivalent de 5492 avis. 75% des Sénégalais ne font pas confiance en la justice, 43% font peu confiance en la justice.

Concernant la satisfaction des services fournis par la justice, le document rapporte que 64% ne sont pas satisfaits et 40 % dénoncent des couacs dans la délivrance du casier judiciaire, des certificats de nationalité…

Khaby Lame réclame 10 milliards de FCFA à Expresso, pour une utilisation de son image

L’influenceur, Khaby Lame, a porté plainte contre l’opérateur de téléphonie Expresso.

Tout est parti d’un contrat de partenariat signé le 17 janvier 2022 entre Khaby Lame, représenté par la société Iron Corporation Sri, et Expresso. Ce contrat, d’une valeur de 90 000 euros (58 976 466,50 FCFA) pour une durée d’un an, autorisait Expresso à utiliser l’image de l’influenceur dans le cadre de sa stratégie marketing.

Ainsi, malgré l’expiration du contrat, Khaby Lame affirme qu’Expresso a continué à exploiter son image sans autorisation. Cette utilisation prolongée aurait été observée notamment sur la façade du siège d’Expresso, où la photo de l’influenceur est toujours présente.

Pour réparer le préjudice subi, Khaby Lame a décidé de saisir la justice en réclamant une compensation financière significative. L’influenceur demande ainsi la somme colossale de 10 milliards de FCFA à Expresso, affirmant que l’opérateur a agi de manière frauduleuse en utilisant son image après l’expiration du contrat initial.

L’affaire est actuellement en cours devant les tribunaux sénégalais, rapporte le quotidien Libération.

Jusque là il faut noter que ni Khaby Lame ni Expresso n’ont fait de commentaires publics concernant cette affaire.

Dakar : Barthélémy Dias lance un projet d’installation de 200 toilettes publiques

Le Maire de Dakar, Barthélémy Dias a lancé un grand projet d’installation de toilettes publiques dans plusieurs communes.

Après avoir effectué, une visite de chantier, ce mardi 4 juin 2024 pour s’assurer de l’avancement des travaux dans les communes de Patte d’Oie et Yoff, le maire de Dakar qui a magnifié l’état d’avancement des travaux sur le terrain avec les services de la ville de Dakar a annoncé que cette initiative s’inscrit dans un vaste projet ambitieux de la ville qui vise à installer 200 toilettes publiques dans des lieux stratégiques, informe PressAfrik.

Il a également indiqué que le projet, consiste à répondre aux attentes des Dakarois. « Ces toilettes seront installées dans les marchés de Dakar sans aucune exception, dans les gares-routières, les sites d’affluence, bref, dans tous les endroits où il y a du monde pour diverses activités », a souligné le maire de Dakar.

Justice : De nombreuses propositions sur la table à l’issue du Dialogue National

Au Sénégal, 450 personnes, des magistrats, des avocats, mais aussi des membres de la société civile et des professeurs d’universités sont réunis depuis mardi 28 mai pour diagnostiquer le secteur de la justice. Ce mardi 4 juin, ils viennent de faire état de leurs propositions de réforme, renseigne Rfi.

Parmi les principaux points qui font consensus, ou les mesures de réforme les plus urgentes, selon les participants à ces assises de la justice, il y a celle de limiter les pouvoirs du procureur. Au Sénégal, il a de larges prérogatives, notamment pour envoyer quelqu’un en prison.

Il y a aussi l’instauration d’un juge des libertés pour éviter le recours quasi systématique à la détention préventive, comme c’est le cas actuellement. Entre autre, parce qu’il n’y a personne pour examiner les demandes de mise en liberté provisoires justement.

Une autre proposition, c’est celle de créer une Cour constitutionnelle pour remplacer l’actuel Conseil constitutionnel. Cela permettrait que les juges qui composent cette cour ne soient plus exclusivement nommés par le président de la République comme c’est le cas pour le moment. Ce qui pose régulièrement la question de la capacité de cette institution à être indépendante.

Enfin, il a été proposé aussi que le Conseil de la magistrature, ne soit plus seulement consultatif, qu’il ait plus de pouvoir, et d’examiner les pistes pour limiter les pouvoirs du président – qui pour l’heure nomme les magistrats qui composent le Conseil supérieur de la magistrature.

Pas de consensus, par contre, sur la présence du président au sein du Conseil supérieur de magistrature, les participants sont divisés sur la possibilité que le président n’en soit plus membre.

Les propositions de réformes doivent désormais être synthétisées dans un rapport final qui sera remis au président de la République dans le courant de la semaine prochaine.

Exploitation du gaz entre le Sénégal et la Mauritanie : British petroleum annonce une bonne nouvelle

Exploitation de pétrole, British petroleum (BP) annonce une bonne nouvelle pour le Sénégal et la Mauritanie.

La société anglaise renseigne que l’unité flottante de production, de stockage et de déchargement (FPSO), un composant clé du développement du GNL de la phase 1 de Grand Tortue Ahmeyim (GTA), est arrivée à son emplacement définitif, au large de la frontière maritime entre la Mauritanie et le Sénégal.

British Petroleum, à travers un communiqué rendu publique, parcouru par PressAfrik, a informé que le navire FPSO est en train d’être amarré à 40 km des côtes, à une profondeur d’eau de 120 km et il sera exploité par BP pour le compte des partenaires du projet, à savoir Kosmos Energy, Petrosen, SMH et BP.

Le projet selon le document, permettra de produire du gaz à partir de réservoirs situés en eau profonde, à environ 120 km des côtes, grâce à un système sous-marin.

Scandale au CMS : Ces révélations fracassantes qui risquent de faire « tomber des têtes »…

Depuis quelques jours, le Crédit mutuel du Sénégal avec les arrestations enregistrées de cadres de la boîte financière, semble être sous la menace du vent du « Jub, Jubeul Jubënti ». En réalité, il faut bien un redressement ou encore « Jubeunti » dans l’institution dont les syndicats ont pendant longtemps alerté sur les errements de hauts responsables en complicité avec certains au Fongip.

Au niveau du Fongip, il aurait été commandité un audit sur des transactions financières suite à des lettres de garantie revenant à des bénéficiaires. C’était avant la Tabaski. L’enveloppe était à 2 milliards 900 millions de francs CFA. Deux mois après la Tabaski l’enveloppe est passée à près de 7 milliards passant du simple au triple.

Une étude comparative a été menée, mais le CMS n’a pas accepté, versant dans le dilatoire. Le Fongip avait demandé à voir les listes et c’est à ce niveau qu’ils se sont rendus compte qu’il y avait de fausses listes avec des cachets imités du Fongip, renseigne Dakaractu.

Le directeur général du Cms, qui n’a jamais voulu faire de confrontation avec le Fongip, n’a pu répondre aux multiples interpellations du Fongip. Selon nos informations, le directeur de la réglementation, gendarme de la microfinance au Sénégal, Amar Seck, Directeur de la réglementation et de la supervision des systèmes financiers décentralisés (DRSSFD), était au courant de ses agissements, mais n’a pas levé le plus petit doigt.

El Hadj Ndiaye ( 2STV ) aux patrons de presse : « Apprenez à payer les impôts »

Au Sénégal, des groupes de presse sont confrontés à des blocages de leurs comptes bancaires en raison d’arriérés d’impôts importants. Le groupe Avenir Communication, qui édite le journal Le Quotidien, est notamment touché avec une dette fiscale de 91 millions de francs CFA.

Face à cette situation critique, les patrons de presse ont décidé de se réunir en urgence ce mercredi 5 juin pour trouver des solutions. Selon Mamadou Ibra Kane, coordonnateur de la Coordination des associations de presse (CAP), « certaines entreprises de presse, sinon la quasi-totalité, ont reçu des notifications du service des impôts sur leurs dettes fiscales » et « certaines ont déjà vu leurs comptes bancaires bloqués par le fisc ».

Toutefois, El Hadj Ndiaye patron de la 2STV est apparemment en règle avec l’administration fiscale. Mieux, il demande aux patrons de presse d’apprendre à payer les impôts. Pour lui, c’est le premier pas à faire avant d’envisager de régler les difficultés des entreprises de presse. « La solution d’abord, c’est qu’il faut apprendre à payer les impôts, » dit-il à Alassane Samba Diop, qui l’interrogeait sur des pistes de solution,