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L’UNIS demande au gouvernement d’assigner Sonko à résidence et que son procès soit…

Ousmane Sonko
Ousmane Sonko

L’UNIS demande au gouvernement d’assigner Ousmane Sonko à résidence, mais aussi de programmer la reprise rapide de son procès au lieu de l’arrêter pour l’emprisonner.

Dans un communiqué, M. Amadou Gueye et Cie estiment que « la justice peut décider derechef de la reprise du procès le concernant avec Adji Sarr et lui notifier cette décision afin qu’il se présente à nouveau avec ses avocats« . 

Texte in extenso :

Le gouvernement semble avoir perdu le nord dans l’après condamnation par contumace d’Ousmane Sonko. La supposée rédaction du jugement en attente de production par le juge est une excuse inacceptable pour expliquer la situation de non droit flagrant le concernant. La notification de cette décision de justice est superflue et constitue encore un autre artifice. Les procédures évoquées par le gouvernement n’ont de sens que dans le cas d’un contumax réellement hors de portée, disparu, évadé hors du pays ou qu’il est impossible de faire venir. Les explications contorsionnées du gouvernent traduisent son incapacité à décider un cours responsable et déterminé pour régler cette affaire judiciaires.

Puisque Ousmane Sonko est sous le contrôle effectif des forces de défense et de sécurité, la justice peut décider derechef de la reprise du procès le concernant avec Adji Sarr et lui notifier cette décision afin qu’il se présente à nouveau avec ses avocats.

Dans ce cadre, son assignation à résidence peut être retenue et administrée de manière légale en lui permettant de recevoir ses avocats et personnes nécessaires à la préparation de sa défense.

La programmation de ce procès pourrait ainsi se tenir dès le mois de juillet en sa présence pour lui permettre de se défendre, incluant l’examen des faits de complot politique qu’il a évoqués pour expliquer l’acharnement sur sa personne.

Cette disposition serait conséquente pour faire évoluer la situation en lieu et place d’un blocus que l’ordre des avocats dénonce comme une violation flagrante de ses droits et ceux de ses avocats qui doivent bénéficier d’un privilège constant de le rencontrer en tout temps. La reprise de ce procès est une nécessité pour assurer l’équité judiciaire dans cette affaire qui ne doit pas être subordonnée à des postures de défiance entre le pouvoir et l’opposition.

Tentative d’influence du gouvernement sur une affaire judiciaire encore en cours. Le gouvernement du Sénégal, à travers ses ministres et porte-parole officiels, doit aussi se garder d’interpréter et de commenter à suffisance, de manière incriminante et partisane, la décision du juge sur cette affaire.

Cette implication trahit la forte émotion qui entrave leur lucidité et leur faculté de jugement. C’est une intrusion flagrante et inconvenante, une tentative d’influence inacceptable. Elle donne raison à ceux qui estiment que le pouvoir est dans une cabale politico judiciaire. Le gouvernement ne peut défendre l’indépendance de la justice et travailler à décrédibiliser sa neutralité.

Incohérence du gouvernement dans l’affaire des nervis armés associés aux FDS. L’incohérence du gouvernement est aussi évidente dans la volte-face sur l’identification des nervis en armes qui sont associés aux manifestants lorsque les vidéos les situent du côté des FDS. Cette position r traduit une complicité assumée à protéger de tels criminels qui y verront un mandat à continuer d’agir impunément pour terroriser les populations et manifestants. La volonté de ne pas arrêter ces nervis clairement identifiés est une forme de protection et peut-être une stratégie de meurtres sans responsable en cas de nouvelles manifestations. Leur arrestation ne nécessite aucun préalable puisqu’ils sont bien identifiés. C’est une obligation impérative et urgente. On ne peut accuser des manifestants qui jettent des pierres ou brûlent des pneus et les mettre en prison tout en laissant au même moment des nervis armés en liberté. C’est une conduite irresponsable venant du gouvernement et des forces de sécurité.

Il n’est pas exclu de de penser que la violence et la stratégie du chaos profitent aussi au régime en place qui, malgré son discours, pourrait chercher à continuer l’état d’insécurité et l’entretenir jusqu’aux prochaines élections. En effet, il suffirait que cette tension soit maintenue et que les manifestations soient déclenchées en Février 2024 pour que les élections soient reportées. C’est pourquoi l’ UNIS demande que la résolution judiciaire de l’affaire Ousmane Sonko soit achevée afin de ne pas la déclencher selon les calculs du pouvoir au moment qui sera convenant pour ses veillées de conservation du pouvoir.

Vidéo-Manif du 25 pour lever le blocus chez Sonko: Le Ministre Elhadj Hamidou Kassé avertit YAW » logique suicidaire bougnou néké motakh… »

Manif du 25 pour lever le blocus chez Sonko: Le Ministre Elhadj Hamidou Kassé avertit YAW » logique

Les images du mariage de la fille de Ahmed Khalifa Niasse (Photos)

La fille de Ahmed Khalifa Niass s’est mariée. Le marabout a donné la main de sa fille ce dimanche à Monsieur Diallo. Le mariage scellé au petit Palais devant Dieu et les hommes.

Admirez, les beaux clichés de l’union !

Cité Keur Gorgui : Encore un soutien de taille pour Ousmane Sonko

L’Union nationale des indépendants du Sénégal (UNIS) a publié un communiqué aujourd’hui, demandant au gouvernement d’adopter une approche décisive pour l’affaire Ousmane Sonko. Au lieu de l’arrêter et de le mettre en prison, l’UNIS propose une solution plus équilibrée : assigner Ousmane Sonko à résidence de manière définitive et reprogrammer son procès.

Selon l’UNIS, le gouvernement semble avoir perdu de vue l’essentiel depuis la condamnation par contumace d’Ousmane Sonko. Les excuses invoquées pour expliquer le retard dans le jugement sont jugées inacceptables, maintenant ainsi Ousmane Sonko dans une situation de non-droit manifeste. L’UNIS dénonce également la notification de la décision de justice comme un artifice inutile.

L’UNIS propose donc une approche alternative : étant donné que Ousmane Sonko est sous le contrôle des forces de défense et de sécurité, la justice devrait rapidement reprendre le procès en présence de l’accusé. L’UNIS encourage la notification de cette décision à Ousmane Sonko afin qu’il puisse se présenter avec ses avocats. Une assignation à résidence légale pourrait être mise en place, permettant à Ousmane Sonko de préparer sa défense. Cette initiative de l’UNIS ouvrirait la voie à une reprise du procès dès juillet, permettant à Ousmane Sonko de se défendre pleinement. L’UNIS insiste sur la nécessité de restaurer l’équité judiciaire et éviter toute confrontation stérile entre le pouvoir et l’opposition.

L’UNIS soulève également la préoccupation d’éventuelles manifestations en février 2024, demandant le report des élections, avec des conséquences préjudiciables. Ainsi, l’UNIS exhorte le gouvernement à résoudre rapidement l’affaire Ousmane Sonko pour éviter de tels scénarios et préserver la stabilité du pays.

Seydou Guèye : «Pastef a instauré un discours haineux entre les Sénégalais»

Dans l’affaire Sonko-Adji Sarr, ce qui est important, c’est de rester dans l’autorité de la chose jugée. La deuxième chose plus essentielle, c’est que cette décision illustre, malgré les dénégations, que le juge a été impartial. Tel est l’avis de Seydou Guèye devant le « Jury du dimanche ».
 «Si on avait une justice aux ordres, on aurait peut-être eu un autre niveau de qualification pour mettre le pouvoir dans le confort. Le pouvoir ne cherche pas le confort avec la justice. Le pouvoir travaille à ce que l’indépendance de la justice soit une réalité. Il aurait été plus utile, pour le pays et pour la stabilité, que (Ousmane Sonko) fut présent au procès», dit-il.
Concernant le blocus autour de la maison du leader du Pastef, Seydou Guèye estime qu’il y a trois principes qu’on n’a pas du mal à comprendre et à partager. Quand vous vous rendez compte qu’une personne peut troubler l’ordre public ou quand vous vous rendez compte que la personne peut se retrouver en danger, il faut prendre toutes les dispositions. On constate que ces caravanes sont accompagnées de cortèges de désolations, de morts, de saccages et en toute responsabilité, il faut que l’État prenne les dispositions sur une base administrative légale, prenne des dispositions pour prévenir.
«Ce qui m’étonne avec mes amis, c’est qu’ils ont un membre de leur organisation qui dénie toute autorité de la justice, qui refuse d’aller au tribunal et qui veut se fonder sur la justice pour réclamer les droits pendant qu’on est en train d’enterrer des morts dont la plupart, pour ne pas dire tous, sont les victimes de ces appels à l’insurrection. Il faut être sérieux. Ce qui se joue est plus important que cela», peste l’invité iRadio.
Pour M. Guèye, «il faut comprendre que notre pays joue son destin au bord du gouffre. Parce qu’il s’est passé une chose dans un espace public qu’on avait l’habitude du débat politique. On est en train de changer de modèle. Depuis combien de temps vous n’avez pas eu l’occasion d’interroger un homme sur ses idées, ses propositions politiques ? Depuis combien de temps nous passons notre temps sur des histoires de procès, de viol, etc. Pendant ce temps, qu’est-ce qu’on dit et qu’est-ce qu’on fait pour les Sénégalais ? Il s’est passé une chose depuis l’arrivée du Pastef sur l’échiquier politique. On avait l’habitude du débat politique qui pouvait parfois être rugueux, rude. Il n’a jamais été un combat de lutte. Et avec l’arrivée du Pastef, il y a une sorte d’animosité haineuse qui structure aujourd’hui nos relations. Les uns voulant nous amener dans un espace irrationnel, alors que la politique, c’est s’occuper des populations, apporter des solutions. On n’est plus dans ça. Aujourd’hui, nous sommes en danger. Nous savons ce qui se passe. L’enjeu définitif et le plus important pour moi, c’est la consolidation de la démocratie et la préservation de notre modèle démocratique et de notre République. Et à ce jeu-là, nous sommes tous, pouvoir comme opposition, appelés au même champ de responsabilité».

Modou Gaye Héritage: Histoire Incroyablement Emouvante de l’une des Icônes de la Couture Sénégalaise (vidéo)

Modou Gaye Héritage: Histoire Incroyablement Emouvante de l’une des Icônes de la Couture Sénégalaise

Me Ngagne Demba de Pastef affecté, Alioune Tine prend position : « Ce n’est pas un… »

Alioune Tine, fondateur d’Afrikajom Center, s’est exprimé sur l’affectation de Me Ngagne Demba Touré, responsable de Pastef, à Matam par le ministre de la Justice, Ismaila Madior Fall.

Selon Alioune Tine, affecter quelqu’un à Matam comme punition pour un fonctionnaire est un manque de respect envers Matam, qui devrait accueillir tout agent de l’État.

Pour l’ancien président de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho), c’est agir de la même manière que les colons d’autrefois qui punissaient les dissidents en les envoyant à Tamba. Cela démontre un manque de respect envers les habitants de Matam.

Me Ngagne Demba Touré, responsable de Pastef, qui travaillait au Tribunal de Grande Instance de Dakar, a été affecté au Tribunal de Grande Instance de Matam par le ministre de la Justice, Ismaila Madior Fall.

TOUT SAVOIR SUR LA RENCONTRE MEN-SAEMSS /CUSEMS ET LA SUSPENSION DU MOT D’ORDRE DE GRÈVE

Cheikh Oumar Hanne
Cheikh Oumar Hanne

Ministère                                                                                                       

de l’Education nationale

NOTE SUR LA RENCONTRE MEN-SAEMSS /CUSEMS

ELA SUSPENSION DU MOT D’ORDRE DE GRÈVE 

Le Ministre de l’Education nationale, Docteur Cheikh OumarANNE a reçu le mardi 13 juin 2023, les délégations du Cadre unitaire des Syndicats de l’Enseignement moyen secondaire (CUSEMS) et du Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire du Sénégal (SAEMSS) conduites par leurs Secrétaires généraux. Le ministre de l’Education nationale a réaffirmé sa disponibilité à rencontrer régulièrement les organisations syndicales. Cette dynamique ralentie par lesélections de représentativité va être relancée par la reprise desrencontres mensuelles.

Le Ministre qui s’est réjoui de cette relance du dialogue, a rappelé que la dernière rencontre tenue le 31 janvier 2023 avait été sanctionnée par des engagements qui ont tous été tenus ou sont en cours de réalisation.

Il s’agit entre autres :

– du reversement de 1075 MEPS dans le corps des PCEMG : la formation va démarrer en début juillet au CNEPS de Thiès.

– du reversement régulier des check off des contractuels par la DAGE après la prise en charge effective des salaires et en procédure d’engagement. La procédure est toujours bouclée au plus tard à la fin du mois en cours et le fichier est mis à la disposition des syndicats ;  

– du paiement des indemnités à tous les formateurs actuellement en service dans les CRFPE : présentement tous les formateurs perçoivent leurs indemnités ;

– de la mobilité des professeurs de lettres classiques 

– du recrutement d’inspecteurs : sur le quota à recruter au titre de l’année 2023, quatre-vingt-dix (90) postes sont alloués aux corps de contrôle de l’Enseignement (45 IEE et 45 IEMS).  

– de l’ouverture de la spécialité Lettres/arabe : cette spécialité est prise en compte pour le concours de cette année. 

Après avoir écouté la partie syndicale, le Ministre a précisé que la grève a démarré aussitôt après les élections de représentativité partant de l’exigence de la libération d’enseignants et d’élèves arrêtés pour des raisons politiques ou de violence. Il a signalé que tous les élèves arrêtés sont libérés progressivement sur son intervention car étant des mineurs pour la plupart. 

Le Ministre de l’Education nationale a en outre indiqué qu’iln’est pas dans les dispositions d’intervenir pour des adultes qui ont agi hors de l’école, suivant leur engagement et en toute connaissance de cause. Compte tenu de la nature de l’inculpation, il ne peut aucunement intervenir. Toutefois, en cas de décrispation nationale, les mesures concerneront l’ensemble des mis en causes. 

En ce qui concerne les évènements de Diouloulou, le ministre a précisé que les faits sont constants malgré la persistance des concernés à soutenir que leurs actes ont été mal interprétés.  Des éléments factuels attestent de leur niveau d’implication. La procédure enclenchée est à la hauteur de ce qui leur est reproché. Cependant dans un souci d’apaisement, le ministre a décidé de faire preuve d’indulgence à leur égard dans le respect strict des procédures en l’espèce. Le nécessaire sera fait par les services compétents en rapport avec les concernés individuellement et personnellement.

S’agissant des retenues sur salaires, le traitement a été fait de façon administrativement correcte. Ainsi, seuls les enseignants figurant sur les listes envoyées par le niveau déconcentré sont concernés. Toutefois, tout enseignant qui ferait l’objet de retenues anormales peut se signaler et les corrections nécessaires se feront après vérification. Dans une dynamique d’apaisement, le Ministre de l’Education nationale a décidé de la suspension des retenues pour faits de grève 

Pour la formation diplômante qui concerne les professeurs de philosophie, les chargés de cours, les bénéficiaires de mise en position de stage et autres professeurs contractuels en attente de formation, le Ministre de l’Education nationale a décidé du versement de la contrepartie financière nécessaire à l’organisation des sessions et de poursuivre la concertation avec le Ministère en charge de l’Enseignement supérieur pour une solution pérenne. 

Dans le cadre du suivi des accords, le Ministre a pris l’engagement de travailler avec son collègue en charge de la Fonction publique pour la convocation du comité de suivi le jeudi 22 juin 2023.

Sur la situation des enseignants décisionnaires, il a été retenu que le processus de signature du décret sera accéléré et uneréflexion inclusive lancée en rapport avec tous les acteurs, aux fins de trouver des solutions pertinentes pour les agents que le décret n’aurait pas impactés. Toutefois le point sera abordé par le comité de suivi pour faire le point.   

Les prêts DMC seront abordés dans le cadre des travaux du comité de suivi. Mais, le ministre a réitéré l’engagement du Gouvernement à diligenter les dossiers en instance avec la nouvelle modalité retenue (externalisation)

Le Ministre a conclu en annonçant qu’un plan de contingence est élaboré dans les circonscriptions dont le quantum est fortement impacté pour une bonne gestion de la fin de l’année scolaire.

Enfin, le ministre a rappelé que l’Etat a toujours respecté ses engagements conformément aux directives du Président du Président Macky Sall qui a revalorisé la fonction enseignante de façon conséquente. Il a réitéré son engagement à œuvrer pour le respect de tous les accords dernièrement signés entre le Gouvernement et les syndicats de l’enseignement.

A la fin de la rencontre, les deux parties se sont engagés à œuvrer ensemble pour le maintien de la paix sociale dans le secteur de l’Education et de la Formation.

Le Ministre se félicite que la rencontre ait abouti à la suspension immédiate du mot d’ordre de grève des syndicats du moyen secondaire qui ont reconnu les efforts consentis par le département de l’Education pour apporter des réponses concrètes à leurs préoccupations.. Il souhaite une bonne fin d’année scolaire à tous les acteurs et rassure la communauté éducative que toutes les dispositions sont prises pour une bonne organisation des différents examens. 

Dakar le 18 juin 2023

Le Ministère de l’Education nationale

Seydou Gueye, porte-parole de l’APR : « Pourquoi il est impossible de porter le Sénégal devant la CPI »

Des morts et des blessés ont été notés lors des événements de mars 2021 et juin 2023 au Sénégal. C’est sur ces entrefaites que l’opposition a décidé de porter l’affaire devant la Cour pénale internationale (CPI). Invité de l’émission Jury du Dimanche, Seydou Guèye, porte-parole de l’APR a dit que c’est impossible.

« Je ne reviens pas sur ça parce que c’est impossible. C’est de l’agitation politique. Ce qui est important pour les sénégalais, c’est d’abord que les informations judiciaires aboutissent, que les enquêtes aboutissent et qu’on se préoccupe de réparer les préjudices subis par les sénégalais. Quand on sait comment les choses se passent, il faut avoir la qualité pour le faire. La CPI elle s’occupe de crime de guerre et de crime contre l’humanité », a-t-il précisé sur les ondes de la 90.3Iradio.

Avant d’enchaîner : « moi je ne rentre pas dans ces détails. Pour moi, cela ne procède qu’une bonne stratégie qu’ils ont mis en œuvre, de souiller l’image du Sénégal à l’international mais c’est au détriment du Sénégal. Ce n’est pas pour le président Macky Sall. Ils veulent créer à l’interne un malentendu. Si on voit leur stratégie de communication à l’interne, on parle de l’iniquité de la décision de justice alors qu’ils savent tous que dans le réquisitoire du juge d’instruction, le délit pour lequel le leader du Pastef a été visé. Ils veulent masquer l’idée centrale que Sonko a été condamné à une peine de prison et que Adji Sarr est indemnisée au titre de victime ».

Toutefois, Seydou Gueye estime que nous avons les mêmes responsabilités pour éviter que le pays de la Téranga devienne le pays de la terreur. « C’est ça l’enjeu. Il y va avec la continuité de nos programmes avec le confort et la confiance des bailleurs, des partenaires. Il nous faut continuer à construire ce pays. On a aucun intérêt à d’épaissir l’image du Sénégal au nom d’une préoccupation présidentielle », a-t-il aussi dit.

Tabaski 2023: Echange fructueux entre le ministre de l’Elevage, Amadou Ba et les éleveurs…(Photos)

Monsieur le Premier Ministre, Ministre de l’Elevage et des Productions animales, Amadou BA,a effectué ce samedi 17 juin 2023, une série de visites au niveau des marchés à bétail de Sandiara, Touba Toul et de Sewékhaye dans le cadre de la préparation de la fête de Tabaski.
Ces rencontres ont permis de faire le point sur l’approvisionnement du marché en moutons et d’apporter le soutien du Gouvernement aux acteurs.

Très enthousiastes les opérateurs ont salué les importantes mesures d’accompagnement prises par le Gouvernement pour un approvisionnement correct du marché.
Monsieur Amadou BA a également longuement échangé avec les éleveurs venus de la sous-région, dont plusieurs sont arrivés de la Mauritanie.
Pour rappel, les besoins, en moutons, au niveau national, sont estimés à 810 000 têtes, dont 260 000 pour la région de Dakar.
Monsieur le Premier Ministre, Ministre de l’Elevage et des Productions animales, Amadou BA était accompagné du Monsieur le Ministre du Commerce, Porte-parole du Gouvernement, Abdou Karim FOFANA et de Monsieur le Ministre du Développement communautaire, Samba Ndiobène KA.

Forum d’affaires Espagne-Sénégal : Voici l’essentiel des décisions prises..

Forum d’affaires Espagne-Sénégal

Le siège madrilène de la Chambre de commerce espagnole a accueilli le Forum d’affaires Espagne-Sénégal, qui a mis en lumière les opportunités d’investissement offertes par le pays de la Teranga et de l’hospitalité.

Le siège de la Chambre de commerce espagnole à Madrid a accueilli le Forum d’affaires Espagne-Sénégal, dont l’objectif était d’identifier et de promouvoir les possibilités d’investissement offertes par le Sénégal aux investisseurs espagnols.

Organisé par la Confédération espagnole des organisations d’entreprises (CEOE) et l’ambassade du Sénégal en Espagne, le forum a servi d’invitation à investir au sénégal, qui offre de grands avantages aux investisseurs étrangers en raison de sa stabilité politique, de sa sécurité juridique et du développement des infrastructures et des services, ainsi que de sa grande valeur dans le domaine des ressources humaines.

 Mme Riera a elle-même fait allusion à l’un des secteurs les plus importants de l’économie sénégalaise : le tourisme. Le pays d’Afrique de l’Ouest a récemment connu des développements majeurs dans le secteur du tourisme, qui est essentiel à la croissance et à la diversification de l’économie nationale, avec l’amélioration des infrastructures et des initiatives pour l’ouverture de nouveaux hôtels et centres commerciaux.
 
Le Sénégal a une économie dynamique et est une référence en matière de gouvernance en Afrique subsaharienne. Au cours de la dernière décennie, le plan Sénégal émergent du gouvernement a permis de corriger les déficiences structurelles et de moderniser l’économie, grâce à des améliorations dans le secteur de l’énergie, des infrastructures, du tourisme, de l’éducation, etc. ……
 
Le directeur général a envoyé un message clair aux entreprises espagnoles pour qu’elles investissent dans le cadre de la collaboration public-privé, « à laquelle nous croyons ».
 
L’un des points forts du Sénégal est le tourisme, et l’agence SAPCO, Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et des Zones Touristiques du Sénégal, qui est chargée de promouvoir les investissements dans le tourisme et d’organiser et d’urbaniser les zones d’exploitation touristique, joue un rôle très important dans ce domaine. Souleymane Ndiaye, directeur général de la SAPCO, a présenté les opportunités d’investissement dans le domaine du tourisme, qui est le deuxième secteur économique du Sénégal en termes de revenus et d’importance, juste derrière la pêche. M. Ndiaye a parlé de donner de la visibilité aux opportunités offertes par la nation, avec une invitation ouverte à tous ceux qui veulent investir.

Le représentant de la SAPCO, Moustapha Mohammed, a parlé du « développement de nouveaux centres touristiques, de la réévaluation des stations touristiques, de l’augmentation de la capacité touristique du pays et de l’attraction de nouveaux visiteurs en créant de nouvelles normes de qualité, d’urbanisme et de protection de l’environnement ». Lors du Forum, il est apparu clairement que le Sénégal offre de grandes opportunités d’investissement dans le tourisme, y compris dans le secteur de la construction, avec des projets d’infrastructure orientés vers ce domaine, ainsi que le développement de centres commerciaux, de réseaux de transport et de services numériques.
 
C’est à ce moment-là qu’ont été présentées d’importantes zones de tourisme intégré à développer au Sénégal, comme le delta du Saloum, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en raison de sa nature exceptionnelle. Un lieu idéal pour l’écotourisme avec le projet de construction d’hôtels et d’appartements écotouristiques. Un investissement de 185 milliards de francs CFA (Afrique de l’Ouest) est nécessaire pour cette zone.

D’autres zones touristiques intégrées ont également été mises en avant, telles que Mbodiene, qui nécessite 665 milliards de francs CFA d’investissement, Pointe Sarene, qui nécessite 271 milliards, Kaffountine-Abene, avec 255 milliards de francs CFA, et Azona de Saly à Ville Verte, qui vise à créer une zone verte en tant qu’enclave touristique qui se traduirait par la première ville thermale d’Afrique de l’Ouest, avec plusieurs hôtels, des centres commerciaux, etc. …… Toute entreprise peut soumettre des projets, ouverts aux entreprises nationales et internationales. La SAPCO se charge de l’aménagement du territoire et de la requalification au niveau de l’urbanisme, et les entreprises intéressées investissent dans les équipements à installer dans les zones. Les entreprises intéressées investiront dans les équipements à installer dans les zones. Le pourcentage le plus élevé de l’investissement sera supporté par les sociétés d’investissement privées et le pourcentage le plus faible par le secteur public de l’État.

Vidéo – Sama dieukeur dou dohane, hamoul yoyou… », Fama Thioune très confiante de son Edou

Vidéo – Abba pose une question p!€ge, Wally Seck le met un stop“arrêtel li ngay wax

Vidéo – Wally Seck “litax ma p@niqu€ interview France 24, question bign ma posé ci situation deuk bi moma..”

En direct: Diaga, la mère de Wally raconte ses moments émouvants avec Thione “ Limay Nek Paris Yép..

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Maman Diaga intervient & fait craquer“damakoy nianal mou bayi waay ndax limeti limouy doundou »

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Wally sur le point de faire pleurer Bijou Ngoné“ 2 jours avant Thione di ganiou dafma wax merci ndax

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Première réaction de Wally sur son problème avec Ameth Thiou“ dès fois dagn may togn ci..”

Première réaction de Wally sur son problème avec Ameth Thiou“ dès fois dagn may togn ci..”

Différend entre GMS et MNF : L’avis tranché de Moustapha Diop « bouma guisé vidéo bi dama wo MNF néko »

L’avis tranché de Moustapha Diop « bouma guisé vidéo bi dama wo MNF néko »

La liste complète des greffiers affectés par le ministre de la Justice (Documents)

Le ministre de la Justice, Ismaila Madior Fall, a procédé à l’affectation de 61 greffiers. La mesure a été prise hier 16 juin 2023. Parmi les greffiers qui ont été mutés, figure Ngagne Demba Touré de Pastef. Ci-dessous la liste complète des affectations.

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Vidéo – Saisi CPI ? Mimi Touré rectifie Sidiki Kaba “ limou wax c’est faux , procureur CPI meuna saisir..”

Vidéo – Ngagne Demba affecté, Mimi Touré humili€ Ismaïla Madior“mom thiouné bou mak la,na xam limou def Dina

Vidéo – Anedocte surprenante de Moustapha Diop sur Cheikh Bara“ au début j’étais pas d’accord qu’il..”

Tabaski 2023 : Le ministre de l’élevage pose un acte fort à quelques jours de la fête

Le bureau d’information gouvernemental a annoncé que jusqu’au 15 juin 2023, le suivi de 209 marchés à travers le pays révèle les informations suivantes : 475 604 têtes de moutons ont été recensées au niveau national pour la Tabaski, contre 456 940 à la même période en 2022, ce qui représente un excédent de 18 664 têtes.

Dans la région de Dakar, 58 857 têtes de mouton ont été enregistrées, comparé à 93 043 sujets en 2022, soit une différence de 34 186 têtes. Par ailleurs, 132 040 sujets ont été importés, contre 119 384 en 2022, soit une différence de 12 656. Le Premier ministre et ministre de l’Élevage et des Productions animales, Amadou Ba, se rendra ce samedi dans les marchés à bétail de Sandiara (département de Mbour), Touba Toul et Séwékhaye (département de Thiès), dans le cadre de la préparation de la fête de Tabaski. Cette visite permettra de faire le point sur l’approvisionnement en moutons sur le marché et d’apporter le soutien du gouvernement aux acteurs.

Il est important de noter que la région de Thiès joue un rôle clé dans l’approvisionnement de l’ouest du pays, notamment grâce au site de Séwékhaye et aux marchés de Touba Toul et Sandiara, où 78 471 têtes ont été recensées jusqu’au 15 juin 2022, contre 61 859 à la même période l’année précédente, soit un surplus de 16 612 têtes (environ 206 028 sujets ont été enregistrés sur place l’année dernière à la veille de la Tabaski).

Les trois sites prévus lors de la tournée du Premier ministre et ministre de l’Élevage et des Productions animales sont d’une grande importance dans l’approvisionnement général du marché en moutons et en particulier pour la fête de Tabaski. Dans un premier temps, Amadou Bâ se rendra à Sandiara, qui abrite à la fois un marché à bétail hebdomadaire et une zone d’attente pour le bétail en provenance de la Mauritanie. Étant donné l’importance de cet axe, un marché à bétail y sera bientôt construit par le gouvernement dans le cadre du Programme national de développement intégré de l’élevage (PNDIES) avec le soutien de la BAD.

Au 15 juin, 3 820 sujets ont été enregistrés à Sandiara. Ensuite, le Premier ministre Amadou Bâ se rendra au marché à bétail de Touba Toul, qui est très célèbre notamment en raison de sa position géographique et de la qualité de ses moutons. Tout comme Sandiara, Touba Toul bénéficiera bientôt de son propre marché à bétail dans le cadre de la mise en œuvre du PNDIES.

Walf / État du Sénégal : La Cour suprême tranche le 22 juin

Cheikh Niass, PDG de Walf
Cheikh Niass, PDG de Walf

L’audience opposant l’administration du groupe Walfadjri à l’État du Sénégal a été fixée au 22 juin prochain. D’après le quotidien du groupe, qui donne l’information, la chambre administrative de ladite cour a été saisie pour statuer en référé “pour excès de pouvoir” du ministre de la Communication, Moussa Bocar Thiam, qui a pris la mesure de suspendre le signal de Walf tv pendant un mois, du 1er juin au 1er juillet 2023. 
La direction du groupe de presse veut faire “suspendre” la décision jugée “arbitraire” en attendant de “l’annuler définitivement”. 

Video – 🔴Me Ngagne Demba Touré affecté à Matam par le ministre de la Justice…ce qui vous a échappé

Grosse révélation de cet analyse politique “Plan B Sonko moy bougane ndax moy incarné anti système »

Plan B Sonko
Plan B Sonko

Ça chauffe ! Xoulo bou tangu entre Pr Sanoussi et ce cadre Apr“ boulma dakati..danga rew »

Pr Sanoussi et ce cadre Apr
Pr Sanoussi et ce cadre Apr

La position courageuse de Omar Faye » Sonko nagn ko dieuli teudj ko wala nagn ko..État bi dafa wara”

Omar Faye" Sonko
Omar Faye" Sonko

Ça commence à agiter entre le Mara de Sonko et un cadre de l’Apr “ vidéos manipulati0ns yi nguen yor »

Mara de Sonko et un cadre de l’Apr
Mara de Sonko et un cadre de l’Apr

Tabaski 2023 : Abdou Karim Fofana reconnait une hausse des prix

Abdou Karim Fofana
Abdou Karim Fofana

Le Sénégal a été secoué ces derniers jours par des séries de manifestations violentes qui ont occasionné des morts et des dégâts matériels. Des commerces ont aussi été saccagés. Mais cette situation n’aura aucun impact sur l’approvisionnement du marché. Telle est l’assurance faite, hier par le ministre du Commerce de la Consommation et des Petites et moyennes entreprises, Abdou Karim Fofana, lors de la conférence de presse du gouvernement.

«Pour l’instant, nous n’avons pas noté de difficultés majeures sur l’approvisionnement du marché et sur les prix. Le président de la république, Macky Sall a demandé en conseil des ministres qu’une évaluation soit faite de tous ces préjudices subis par les acteurs économiques», assure le porte-parole du gouvernement.

Le ministre a aussi donné des assurances sur la tabaski qui sera célébrée dans une semaine. «Cette année, sur l’ognon, nous avons une situation très particulière. Le Sénégal a eu une bonne campagne horticole avec beaucoup d’exploitations. Sur le marché international, les prix de l’oignon sont très élevés donc le Sénégal a assez d’oignons pour le marché local. Mais comme il y a une opportunité sur le marché international, beaucoup d’oignons sont importés», a-t-il dit. A l’en croire, «nous sommes en train de surveiller le marché mais on note de jour en jour que le prix augmente. Donc si ça continue, nous ouvrirons le marché à l’importation pour créer une régulation et faire en sorte que cette inflation artificielle ne soit pas maintenue».

Presque en larmes Omar Faye explique les raisons qui l’empêchent de rendre visite Serigne Saliou Gueye

Omar Faye explique les raisons qui l’empêchent de rendre visite S. Saliou Gueye
Omar Faye explique les raisons qui l’empêchent de rendre visite S. Saliou Gueye

Tabaski 2023 : Les prix des moutons hors de portée du sénégalais moyen

Tabaski 2023
Tabaski 2023

Pour les moutons de Tabaski de cette année, les prix affichés en ce moment, rendent inquiets les pères de famille. La Tabaski qui est une occasion pour des gens de se transformer en opérateurs économiques de circonstance et tenter le coup d’une «opération Tabaski», n’est pas de tout repos pour les pères de famille. Cette floraison d’hommes d’affaires a fait que les prix des moutons flambent et deviennent hors de portée du Sénégalais lambda, malgré la gratuité des points de vente et les facilités du gouvernement, rapporte La Tribune.

En ce moment, un tour sur le terrain permet de constater que les prix varient entre 200.000 et 2 millions selon le mouton ciblé. Pour un mouton de Tabaski, c’est quand même trop cher pour les Sénégalais, qui doivent faire face à des dépenses de loyer et de nourriture. On ne parle pas des habits pour les enfants.

Les moutons ne sont pas les seuls casse- têtes des pères de famille. La pomme de terre qui est utilisée en grande quantité pendant la Tabaski, connaît une flambée. Le prix du kilogramme est passé du simple au double, selon un constat effectué au marché Castors. De 300 FCFA, il est passé à 600 FCFA actuellement, alors qu’on est pas encore à la veille de la Tabaski. Le sac de pomme de terre qui était vendue à 7000 FCFA est maintenant cédé à 11, 750 FCFA. Le sac d’oignons qui coûtait 6000 FCFA, est passé à 12 000. L’oignon local dont le kilo s’échangeait à 250 FCFA est passé du simple au double, c’est-à-dire 600 FCFA.

Moustapha Diop sur la polémique avec MNF et Assane Gueye « J’ai pris mon téléphone pour l’appeler mais… »

Moustapha Diop sur la polémique avec MNF et Assane Gueye
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Un Libanais et un Français au cœur du scandale : Ce que l’on sait du litige foncier à Ndangane

ibanais et un Français au cœur du scandale : Ce que l’on sait du litige foncier à Ndangane
ibanais et un Français au cœur du scandale : Ce que l’on sait du litige foncier à Ndangane

Le foncier reste la principale source de conflit sur le littoral sénégalais. A Ndangane, zone touristique paisible, la municipalité de Fimela est à couteaux tirés avec un ancien officier de la gendarmerie française. A l’origine, l’acquisition d’une parcelle par le Français, qui avait décidé d’y construire un hôtel d’une valeur d’un milliard FCfa. Après avoir acheté les lots 595 et 596 qui offrent une vue sur la plage, le Français et son co-investisseur avaient commencé à financer le projet, relate le quotidien « L’As ».

Outre ce business privé, la plage était devenue un lieu pourvoyeur d’emplois pour les villageois qui, durant les vacances ou les week-ends, y vendaient des fruits de mer aux visiteurs et autres personnes venus se baigner. Quelques années après, des personnalités, dont un colonel de la gendarmerie sénégalaise, un général et un homme d’affaires libanais, ont construit des villas et une auberge sur la plage. Cette zone qui a été déclarée non aedificandi, a été cédée au plus offrant, privant ainsi les villageois de l’accès à la plage. Ainsi, le projet hôtelier de Christian Espi était donc mort-né. Pourtant, dans la délibération, il était mentionné que la plage était située dans le domaine fluvial. Donc, elle n’était pas sous la compétence de la mairie.

Ne pouvant supporter cette situation, le Français a saisi la justice pour jouir de ses droits. Ainsi, il a déposé une plainte auprès de l’Ofnac, pour attaquer la décision du Conseil municipal, en plus de celle qui a été déposée auprès des tribunaux. Cette plainte fut donc considérée comme un défi face à l’autorité. Le Français expliquant avec dégoût ce qu’il a subi, soutient qu’il a été victime de représailles le forçant à céder une partie de son terrain par le chef de brigade de la gendarmerie de la localité, sous prétexte que l’autorité en a fait la demande.

Très remonté contre ces pratiques qu’il juge illégales, Christian Espi a déposé une plainte contre le chef de brigade auprès du procureur, pour violation de domicile par un agent de la force publique en uniforme, menaces physiques, insultes et tentatives d’intimidation. Ce jour-là, explique-t-il, le chef de la brigade accompagné d’une partie de ses éléments et de l’adjoint au maire, Moussa Faye, s’étaient rendus dans son domicile pour qu’une route soit découpée afin de permettre aux gens d’accéder à la plage. Or sur les documents cadastraux, aucun passage n’y figure.

Le 13 février 2019, le maire de Fimela, Karim Sène, avait envoyé une mise en demeure à Christian Espi, afin de lui ordonner de céder une ruelle qui n’existait pas dans le plan cadastral. Cette stratégie avait pour objectif de permettre au Libanais, d’avoir un accès court à son hôtel qui était construit dans la zone non aedificandi. Après la cession de la plage à un homme d’affaires sénégalo-libanais, André Sleylaty, une plainte a été déposée. Devant les enquêteurs, l’accusé soutient qu’il a suivi toutes les règles pour la construction de son lodge, dont la surface lui a été attribuée par la municipalité de Fimela.

Pour sa part, Karim Sène soutient que M. Sleylaty lui avait adressé une demande pour un projet touristique et c’est en toute légalité que le Conseil municipal lui a attribué la surface requise. En 2019, une plainte a été déposée à l’OFNAC contre M. Sleylaty. C’était après un long procès avec comme décisions une assignation à expulsion et démolition d’impenses pour cause de trouble manifestement illicite. Dans la délibération de l’audience du 18 avril 2023, la Cour suprême annule la délibération N152/CF du 6 juin 2018 du Conseil municipal, portant affectation à André Sleylaty d’un terrain à usage touristique.

Après cette décision qui a été notifiée aussi bien au prévenu qu’au maire, l’homme d’affaires continue à exploiter son lodge. Ce litige n’est qu’un cas parmi tant d’autres dans la Petite côte,, où la terre, du fait des enjeux qu’elle suscite, est devenue une denrée rare. Au banc des accusés, les conseillers municipaux sont toujours indexés par les populations du fait de l’affectation parfois à de tierces personnes, de parcelles dans les zones non aedificandi ou par la spoliation des terres des villageois pour satisfaire une demande politique ou une volonté d’un homme d’affaires influent.

Mobilité à Dakar : Après le TER et le BRT, le CETUD annonce un nouveau projet de 400 bus à Gaz

Le Conseil exécutif des transports urbains durables (CETUD) annonce un troisième plus grand projet de transport à Dakar avec 400 bus à gaz qui vont mailler le réseau du transport. Selon le directeur du CETUD, Thierno Birahim Aw, le financement est obtenu. Invité sur Rfm matin, il a par ailleurs souligné que 121 bus du BRT seront réceptionnés en septembre pour une mise en exploitation du BRT au mois de décembre prochain. "Après le Ter et le BRT, nous avons déjà obtenu le financement pour un troisième plus grand projet de transport dans la région de Dakar. La restructuration globale du réseau de transport collectif qui va permettre de mailler le réseau avec 400 bus à gaz,14 lignes sur 40 km de réseau et on attend aussi une deuxième phase qui permettra d'atteindre 1000 bus gaz et électriques", a annoncé Thierno Birahim Aw sur Rfm. "Nous gardons en perspective également la mise en exploitation du BRT en décembre 2023 avec une réorganisation il faut le dire et une remobilisation importante de toutes les équipes projets afin de livrer aux sénégalais ce bijou qui doit transformer la mobilité. J'en appelle à la responsabilité de chaque citoyen pour préserver ce patrimoine. Dans cette optique, nous allons recevoir 20 bus supplémentaires dans quelques jours et 121 bus qui feront l'exploitation du BRT intégralement au mois de septembre pour entamer une phase d'essai et de test. La mise en service sera certainement progressive parce qu'il faut passer un peu de temps à réparer ce qui a été détruite", informe-t-il.
Le Conseil exécutif des transports urbains durables (CETUD) annonce un troisième plus grand projet de transport à Dakar avec 400 bus à gaz qui vont mailler le réseau du transport. Selon le directeur du CETUD, Thierno Birahim Aw, le financement est obtenu. Invité sur Rfm matin, il a par ailleurs souligné que 121 bus du BRT seront réceptionnés en septembre pour une mise en exploitation du BRT au mois de décembre prochain. "Après le Ter et le BRT, nous avons déjà obtenu le financement pour un troisième plus grand projet de transport dans la région de Dakar. La restructuration globale du réseau de transport collectif qui va permettre de mailler le réseau avec 400 bus à gaz,14 lignes sur 40 km de réseau et on attend aussi une deuxième phase qui permettra d'atteindre 1000 bus gaz et électriques", a annoncé Thierno Birahim Aw sur Rfm. "Nous gardons en perspective également la mise en exploitation du BRT en décembre 2023 avec une réorganisation il faut le dire et une remobilisation importante de toutes les équipes projets afin de livrer aux sénégalais ce bijou qui doit transformer la mobilité. J'en appelle à la responsabilité de chaque citoyen pour préserver ce patrimoine. Dans cette optique, nous allons recevoir 20 bus supplémentaires dans quelques jours et 121 bus qui feront l'exploitation du BRT intégralement au mois de septembre pour entamer une phase d'essai et de test. La mise en service sera certainement progressive parce qu'il faut passer un peu de temps à réparer ce qui a été détruite", informe-t-il.

Le Conseil exécutif des transports urbains durables (CETUD) annonce un troisième plus grand projet de transport à Dakar avec 400 bus à gaz qui vont mailler le réseau du transport.Selon le directeur du CETUD, Thierno Birahim Aw, le financement est obtenu.Invité sur Rfm matin, il a par ailleurs souligné que 121 bus du BRT seront réceptionnés en septembre pour une mise en exploitation du BRT au mois de décembre prochain.
« Après le Ter et le BRT, nous avons déjà  obtenu le financement pour un troisième plus grand projet de transport dans la région de Dakar. La restructuration globale du réseau de transport collectif qui va permettre de mailler le réseau avec 400 bus à gaz,14 lignes sur 40 km de réseau et on attend aussi une deuxième phase qui permettra d’atteindre 1000 bus gaz et électriques », a annoncé Thierno Birahim Aw sur Rfm. 
« Nous gardons en perspective également la mise en exploitation du BRT en décembre 2023 avec une réorganisation il faut le dire et une remobilisation importante de toutes les équipes projets afin de livrer aux sénégalais ce bijou qui doit transformer la mobilité. J’en appelle à la responsabilité de chaque citoyen pour préserver ce patrimoine. Dans cette optique, nous allons recevoir 20 bus supplémentaires dans quelques jours et 121 bus qui feront  l’exploitation du BRT intégralement au mois de septembre pour entamer une phase  d’essai et de test. La mise en service sera certainement progressive parce qu’il faut passer un peu de temps à réparer ce qui a été détruite », informe-t-il.