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Abdou Mbow tacle sévèrement Sonko « meuno né denga beuga jiité reew di wax li gneup di wax… »

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Election sans Sonko, la réponse de Abdou Mbow « kepp ko xamné yangi nek ci yoon warnga meuna bokk… »

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Abdou Mbow enfonce l’opposition « amoul ken ci niom kou am programme, wooté résistance ak gatsa gatsa

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Le président rwandais, Paul Kagame, reçu par Macky Sall

En escale technique à Dakar, le président rwandais a été accueilli par son homologue sénégalais à l’aéroport Léopold Sédar Senghor dans la mi-journée.
Paul Kagame s’est longuement entretenu avec Macky Sall, informe un tweet de la présidence de la République.

L’analyse de Abdou Mbow sur la décision de Macky de renoncer à sa candidature « amna ci fierté… »

L’analyse de Abdou Mbow sur la décision de Macky de renoncer à sa candidature « amna ci fierté… »

Urgent-Marieme Faye surprise par Macky?Sire Sy révèle des infos de taille sur les minutes avant le discours

Marieme Faye surprise par Macky?Sire Sy révèle des infos de taille sur les minutes avant le discours

Des nouvelles de Macky Sall, après avoir renoncé à sa candidature

Macky Sall
Macky Sall

Quelques heures après avoir déclaré qu’il ne se présentera pas à la Présidentielle du 25 février prochain, le chef de l’État Macky Sall a accueilli, ce mardi 04 juillet 2023, son homologue le président Rwandais.

« Le Président Macky SALL s’est rendu à l’aéroport Léopold Sedar Senghor à la mi-journée pour accueillir son homologue rwandais Paul Kagame. En escale technique à Dakar, le Président rwandais s’est entretenu avec le Chef de l’Etat« , informe la Présidence de la République.

À rappeler que le chef de l’État Macky Sall s’est adressé, ce lundi 03 juin 2023, au peuple sénégalais. À la grande surprise, le Président de la République a décidé de se limiter à ses deux mandats. Une décision saluée par bon nombre de Sénégalais.

« Mes chers compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024« , a déclaré Macky Sall, après une vingtaine de minutes de discours. Et malgré cette décision certains membres de l’opposition restent perplexe. C’est le cas des responsables politiques de la conférence des leaders de Yewwi Askan Wi.

Zahra Iyane Thiam : «Ce que je retiens du discours du chef de l’État Macky Sall»

Zahra Iyane Thiam
Zahra Iyane Thiam

Membre de l’Alliance pour la République (APR), Zahra Iyane Thiam a réagi suite à la décision du président Macky Sall de ne pas être candidat à la Présidentielle de 2024. L’ancienne ministre de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire a, de ce fait, affirmé : «Je retiens deux points importants suite au discours du chef de l’État. Le premier point nous montre clairement que le Sénégal doit être au-dessus de tous, faire de la patrie avant le parti un acte de tous les jours. L’autre point a trait à la position des acteurs, surtout politiques, et qui veulent participer à la bonne marche de notre pays. Ces derniers doivent faire preuve d’abnégation et se consacrer au service exclusif de leurs administrés.»

En outre, la directrice générale de l’Agence sénégalaise pour la promotion des exportations (ASEPEX) s’est félicitée de la posture du président Sall qui, selon elle, était très attendue certes, mais prouve à suffisance qu’il «est, au-delà de l’homme politique hors pair, un homme d’État exceptionnel».

Ainsi, dit-elle, «nul ne peut dire que cette décision me surprend ou ne me surprend point, parce que n’ayant pas la possibilité de déceler réellement ce qui est dans sa tête, c’est que connaissant l’homme et en se basant sur ce qui nous a toujours liés, je peux dire en toute honnêteté que sa décision ne me surprend nullement».

Zahra Iyane Thiam de laisser entendre : «Qui connait le président Macky Sall, sait que c’est une personne qui tient et qui respecte la parole donnée, et cette importance qu’il accorde à la parole donnée conditionne ses rapports avec les uns et les autres.»

Kaliphone Sall très surpris par la décision de Macky Sall « Meunoon na xaar ba… »

Kaliphone Sall très surpris par la décision de Macky Sall
Kaliphone Sall très surpris par la décision de Macky Sall

Macky renonce à sa candidature, Fouta Tampis « louma bet la…, 2012 la sama seuy tass ndax président

Macky renonce à sa candidature, Fouta Tampis "louma bet la..., 2012 la sama seuy tass ndax président
Macky renonce à sa candidature, Fouta Tampis "louma bet la..., 2012 la sama seuy tass ndax président

Touché par le père de Pawlish: Matar Jarma pique une colère “ Lima Wakh , Pawlish Dinako..”

ère de Pawlish: Matar Jarma
ère de Pawlish: Matar Jarma

Présidentielle : Abdou Karim Fofana liste les conditions que Ousmane Sonko doit respecter pour participer

Abdou Karim Fofana liste les conditions que Ousmane Sonko
Abdou Karim Fofana liste les conditions que Ousmane Sonko

Abdou Karim Fofana, ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, ainsi que Porte-parole du Gouvernement, a été invité à s’exprimer sur la décision du Président Macky Sall de ne pas se présenter pour un troisième mandat lors de l’ émission Appel sur l’actualité sur RFI, ce mardi 4 juillet. Il a également été interrogé sur le cas d’Ousmane Sonko.

Selon lui, le leader de Pastef doit se plier aux conditions de la justice pour être président. Il a le droit de présenter sa candidature, mais ce sera à la justice, en l’occurrence le Conseil constitutionnel, de trancher. « Les questions de candidatures sont des questions juridiques. Au Sénégal, il y a la loi, il y a les décisions de justice et les décisions de justice, ce n’est pas au gouvernement de les commenter. Maintenant, la candidature c’est une question de volonté personnelle, c’est aussi une question juridique. Chaque candidat est libre de déposer sa candidature, il y a des critères, des cases qu’il faut cocher », dit-il.

Sur ces cases, figure celui d’être éligible. Ce que Ousmane Sonko risque de ne pas cocher, avec notamment sa condamnation pour 2 ans de prison pour corruption de jeunesse. « Celui qui vous dit le contraire vous trompe. Avec cette condamnation, Ousmane Sonko ne peut plus être candidat à la Présidentielle », déclarait d’ailleurs un des avocats du leader de Pastef après le verdict du juge, le 1er juin dernier.

Après Barthélémy, Khalifa Sall réplique à Ousmane Sonko

Khalifa Sall réplique à Ousmane Sonko
Khalifa Sall réplique à Ousmane Sonko

Le leader de Pastef Les Patriotes, Ousmane Sonko, lors de son adresse aux Sénégalais, dimanche dernier, dans un Live sur sa page Facebook a fait des révélations sur un « deal » qui viserait à l’écarter de la Présidentielle de février 2024.

Selon Ousmane Sonko, des membres de la « vieille » classe politique sénégalaise ont tenu des rencontres secrètes, le plus souvent nocturnes, entre le Palais, Mermoz et d’autres endroits pour se concocter un plan visant à l’isoler de l’élection présidentielle du 25 février 2024.

« Je suis le seul candidat qui n’est pas dans leur plan d’une élection inclusive », avait indiqué le leader de Pastef, faisant sans doute allusion aux cas de Khalifa Sall et de Karim Wade.

 Invité de RFI et de France 24 ce mardi, l’ancien maire de Dakar a réagi aux accusations du leader de Pastef.  « J’ai pour habitude de ne jamais réagir à ce type de polémiques futiles et à ces accusations infondées », a-t-il précisé.

Khalifa Sall de rappeler :  « Nous, à Taxawu Sénégal, avons l’habitude de participer à tous les dialogues. Je rappelle à l’opinion nationale et internationale qu’en 2017, j’étais en prison, nous avions été au dialogue. En 2018, j’étais en prison, nous avions été au dialogue. En 2019, j’étais en prison, nous avons été au dialogue. Donc, nous n’avons jamais raté une seule séance de dialogue, puisque pour nous, c’est l’exercice parfait pour régler tous les problèmes politiques auxquels notre démocratie est confrontée« .

Concernant la question d’un échange direct avec le président de la République, Khalifa Sall répond : « Est-ce utile d’échanger avec lui, puisque nous avions la possibilité de nous adresser directement à lui publiquement ? Nous n’en avons pas besoin. Je pense que nous avons exposé au président les problèmes qui ne nous concernaient pas, mais qui concernaient la démocratie et tous les acteurs. »

Candidature de Sonko 2024, les terribles révélations d’Abdoulaye Mbow « paré nagn ci 3ème candidature… »

Abdoulaye Mbow
Abdoulaye Mbow

Présidentielle 2024 : Le Top 5 des potentiels dauphins de Macky Sall

potentiels dauphins de Macky Sall
potentiels dauphins de Macky Sall

A travers un discours historique, ce lundi 3 juillet 2023, le président de la République, Macky Sall a déjoué tous les pronostics. Au bout d’un suspense infernal qui aura duré près de quatre ans, contre toutes les attentes, le leader de Benno Bokk Yakaar (BBY) a finalement décidé de renoncer à briguer un troisième mandat, conformément à son engagement. Une décision qui rebat les cartes au sommet de son parti, l’Apr et de sa coalition BBY, à un peu plus de six mois de la présidentielle de 2024. Longtemps tué dans l’œuf, le débat de la succession est désormais lancé. Seneweb se charge du casting !

Amadou Ba, le successeur naturel ?


Le temps de la célébration de la Tabaski, et en l’absence du Président Macky Sall, c’est lui,  qui a présidé la prière, enfilant le temps d’une matinée le costume de chef de l’État. Tout un symbole. L’homme a également considérablement épaissi son profil politique au fil des années. Lors des dernières élections locales, Amadou Ba a en effet occupé le poste stratégique de coordinateur national de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (BBY).  

En outre, l’expérience considérable d’Amadou Ba comme homme d’État demeure un atout considérable. Avant d’occuper le poste de Premier ministre, il a occupé pendant plusieurs années  celui de ministre de l’Économie, des Finances et du Plan du Sénégal (2013-2019), où il a mis en œuvre d’importantes réformes économiques visant à stimuler la croissance et à améliorer la situation financière du pays. Il a aussi tâté de la diplomatie comme ministre des Affaires étrangères (2019-2020).

Avant cela, il a occupé des postes clés au sein de l’administration sénégalaise, notamment celui directeur général des Impôts et des Domaines. Ces fonctions lui ont permis d’acquérir une précieuse expérience dans la gestion des affaires publiques et de développer des compétences politiques essentielles.

`Depuis sa nomination au poste de premier ministre, il s’est engagé à poursuivre les initiatives de développement lancées par le président sortant, en mettant l’accent sur la réduction de la pauvreté, l’amélioration de l’accès à l’éducation et aux soins de santé, ainsi que la promotion de l’emploi et de l’entrepreneuriat des jeunes.

La réussite d’une coalition politique repose souvent sur la capacité de son leader à forger des alliances et à rassembler différents partis et acteurs politiques. Amadou Ba a démontré cette aptitude en travaillant avec succès au sein du gouvernement et en collaborant avec diverses forces politiques pour atteindre des objectifs communs. Sa capacité à construire des ponts et à créer des synergies serait un atout précieux pour maintenir l’unité de la coalition Benno Bokk Yaakaar qui, de l’avis de nombreux observateurs, serait au bord de l’implosion. De plus, son bon relationnel avec les principaux foyers religieux renforce sa position et sa capacité à mobiliser un large soutien.

Abdoulaye Daouda Diallo, le choix du cœur !


Dans le parti (Apr) comme au sein de l’appareil d’État, Abdoulaye Daouda Diallo a toujours joué les grands rôles. Loin des projecteurs, évitant, avec soin, de faire de l’ombre à un Chef réfractaire à tout ‘’bicéphalisme’’. Effacé, on ne lui donnerait point la moindre once d’ambition. D’ailleurs Seneweb ne savait pas si bien dire en dépeignant -dans un portrait- l’ancien argentier de l’État comme un loup dans la peau d’une chèvre. Le prédateur…politique en question avance toujours le visage masqué.

Convaincu qu’un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse, Daouda Diallo a toujours tissé sa toile en sourdine. Ce qui lui a permis de battre les records de longévité dans l’attelage gouvernemental qu’il a quitté en septembre 2022 après dix ans de présence à différentes stations. Il a été ministre délégué chargé du Budget auprès du ministre de l’Économie et des finances (2012-2013), avant de diriger le département de l’Intérieur (2013-2017), puis celui des Infrastructures et des transports terrestres (2017-2019) et le ministère des Finances et du budget (2019-2022).

En septembre 2022, la rumeur le donnait locataire de la primature, avant que son « ami », le président Macky Sall ne vienne doucher ses attentes en nommant son éternel rival Amadou Ba. S’étant rebellé contre cette décision, ADD a juste eu le temps de poser ses bagages au cabinet du président de la République avant que ce dernier ne le réconforte avec le poste de président du CESE en remplacement d’Idrissa Seck.

Loyal au président, Abdoulaye Daouda Diallo jouera sûrement sa carte dans cette course à la succession de Macky Sall qui vient de renoncer à briguer un troisième mandat en 2024. Son choix pour porter l’étendard de l’Apr et de Bby pourrait porter sur ADD.

Aly Ngouille Ndiaye, la force tranquille


Victime de la purge du 1er novembre 2020, Aly Ngouille Ndiaye est revenu aux affaires dans le nouveau gouvernement où il dirige le département de l’agriculture. L’ancien banni qui a pris sa revanche sur le parti, en gardant son fief Linguère (où il règne en maître depuis 2012) dans l’escarcelle du pouvoir, est un prétendant sérieux à la succession de Macky Sall. Membre fondateur de l’Alliance pour la République (Apr), le prince du Djolof n’a pas à rougir devant qui que ce soit pour avoir siégé dans le cercle le plus restreint de ce parti. Mais aussi, pour avoir occupé des postes de prestige dans le gouvernement.

Si son éviction du gouvernement, le 1er novembre 2020, a eu l’effet d’un couperet, le Linguérois a pu rebondir seul et remonter la pente jusqu’à revenir au sommet grâce à ses résultats aux dernières élections locales et législatives. Homme de conviction, l’ancien ministre de l’Intérieur s’est toujours gardé loin du débat sur le troisième mandat du président Macky Sall.

S’il a eu des divergences avec le président Macky Sall, c’est parce qu’il avait affiché ses ambitions. Aujourd’hui que le champ est libre, le polytechnicien qui a bourlingué à la BHS, est présidentiable. Il a l’étoffe, la carrure et le parcours nécessaires.

Aïssata Tall Sall, pour briser le plafond de verre


Dans le paysage politique sénégalais, une personnalité politique de renom se distingue en tant que candidate : la « lionne de Podor », Aïssata Tall Sall. Son parcours diversifié et son engagement indéfectible envers le développement de son pays lui ont valu une place prééminente au sein du Parti Socialiste . Née le 12 décembre 1957 à Podor, Aissata Tall Sall a commencé sa carrière politique en tant que ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement de juillet 1998 à avril 2000, sous la présidence d’Abdou Diouf.

En 2007, elle est devenue la première femme à accéder au poste de Secrétaire générale de l’Union régionale de Saint Louis, marquant ainsi son désir de briser les barrières de genre et de favoriser la participation des femmes en politique. Sa crédibilité politique s’est renforcée grâce à son succès en tant qu’élue municipale. En mars 2009, elle a remporté la mairie de sa ville natale sous la bannière de Benno Siggil Sénégal, et a été réélue lors des élections municipales de juin 2014, démontrant ainsi la confiance que lui accordent ses concitoyens.

Aux élections législatives de juillet 2012, Aissata Tall Sall a été élue sur la liste départementale de Benno Bok Yaakar, siégeant ainsi à l’Assemblée nationale sous la présidence de Moustapha Niasse. En mai 2017, elle a fondé le Mouvement « Osez l’Avenir » qui a participé aux élections législatives de juillet de la même année. Elle est devenue députée et a assumé la présidence de ce mouvement. Au-delà de ses réalisations politiques, Aissata Tall Sall est reconnue pour son engagement envers le développement de sa région natale et du Sénégal dans son ensemble. Elle est tour à tour nommée envoyée spéciale du président de la république et ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur.

En plus de son parcours politique, Aissata Tall Sall se démarque par sa vision qui promeut l’inclusion sociale et le développement du Sénégal. Elle a consacré une grande partie de sa carrière à la lutte pour les droits des femmes et à la promotion de l’égalité des genres. Son engagement en faveur de l’autonomisation des femmes et de leur participation active dans la vie politique et économique du pays a été constant tout au long de son parcours.

Mansour Faye,  la tentation dynastique


La rumeur avait fait grand bruit dans les couloirs de la permanence de l’Apr avant d’alimenter les débats dans la presse, il y a quelques années (en 2019 plus précisément). « Mansour Faye, le dauphin caché de Macky Sall » ! Mais, ce gros titre alléchant, s’est vite dégonflé comme un ballon de baudruche. Et c’est le concerné himself qui était monté au créneau pour couper court à la rumeur.

« Je ne parle pas de succession du Président. Je n’accepte pas d’être diverti. Le Président a cinq ans pour continuer ce qu’il a entamé dans son premier mandat. J’ai une mission et je ferai de mon mieux pour réussir mon travail. C’est un challenge. Qu’on ne me parle pas de succession », déclarait-il en mai 2019. Ça, c’était avant le 3 juillet 2023. Aujourd’hui que la course à la succession est lancée, le beau-frère du président de la République, sera, à coup sûr, dans les starting-blocks.

Seulement, le ministre des transports qui a géré des départements assez stratégiques dans l’attelage gouvernemental depuis 2012 avec des allocations budgétaires énormes, devra d’abord redorer son blason terni par plusieurs scandales. Sa gestion des fonds Force Covid épinglée par la Cour des comptes dans son rapport, Mansour Faye a également été critiqué pour avoir refusé de démissionner après l’accident de Sikilo en janvier dernier qui avait fait plus de 40 morts.

Le tollé déclenché par le reportage de BBC sur la grosse ferme de sa fille et le procès en diffamation qui s’en est suivi contre l’activiste Gas El Salvador, de même que le scandale des 98 milliards de francs CFA éventé par Bougane Guèye Dany, sont traînés par Mansour Faye comme un boulet.
Par Moustapha Toumbou et Thiebeu NDIAYE

Idrissa Seck: «Sonko est encore jeune, il n’a qu’à attendre les prochaines élections» : Cette déclaration qui va fâcher les patriotes

Idrissa Seck: Sonko
Idrissa Seck: Sonko

Interpellé sur la décision de Macky Sall de ne pas se présenter à la prochaine élection présidentielle, le leader du Rewmi, Idrissa Seck, s’est aussi prononcé sur l’avenir politique du président de Pastef Ousmane Sonko, devenu pour le moment inéligible après avoir été condamné à deux reprises dans des affaires de diffamation (contre Mame Mbaye Niang) et de corruption de la jeunesse (Sweet beauté).

« Les décisions de justice doivent être appliquées à la lettre. Dans toutes les sociétés, c’est comme ça que cela se passe », a-t-il d’emblée déclaré au cours d’un entretien avec Seneweb et la 7tv.

« Mon souhait, c’est que tous puissent participer à ces élections, mais pour le cas Ousmane Sonko, je dis que si la justice s’abat sur lui, il n’a qu’à attendre les prochaines élections parce qu’il est encore jeune », a ajouté l’ancien président du Conseil économique, social et environnemental (Cese), qui dit espérer que les prochaines joutes élections seront « libres » et « inclusives ».

En tout état de cause, celui qui se proclame « chef de l’opposition », a rappelé que « des milliers de Sénégalais sont actuellement dans les prisons, pour avoir été condamnés ». Mieux, a-t-il indiqué, « chaque jour que Dieu fait, les décisions de justice font l’objet de controverses dans de grands pays comme la France ou les États-Unis, mais elles sont tout de même exécutées ».

https://youtu.be/YDKU45NHGyg

Son fils resté en pr!$0n, la mère du copain de Ada Fass descend le lutteur “danio diay dolé sama dome… »

la mère du copain de Ada Fass
la mère du copain de Ada Fass

Après le renoncement de Macky Sall à une troisième candidature : Apr, Bby, un avenir en question

Macky Sall
Macky Sall

Après que Macky Sall a décidé de renoncer à une troisième candidature, il jette l’APR et BBY dans le flou et l’incertitude, car il lui sera difficile de trouver un dauphin qui fera l’unanimité. En plus du pari de la conservation du pouvoir, c’est l’avenir du parti et de la coalition présidentiels, qui interroge.

Comme nous vous révélions dans notre édition d’hier, le Président Macky Sall a décidé de ne pas être candidat à la prochaine présidentielle. Cette décision a évidemment des conséquences exceptionnelles sur l’Alliance pour la République et aussi, sur Benno Bokk Yakaar. Qui va devenir son dauphin ? Si l’on connaît les divergences entre les différentes personnalités de la galaxie présidentielle.

D’après « Point actu », en tant que Premier ministre, Amadou Bâ peut revendiquer la légitimité de devenir le candidat de la coalition présidentielle, si elle résiste à ce renoncement du président Sall à un troisième mandat. Depuis son adhésion à l’Apr, il a dû mal à avoir des relais et des amis dans les instances du parti. Excepté Mbaye Ndiaye, qui avait perdu sa base aux Parcelles assainies depuis des années.

A Dakar, Abdoulaye Diouf Sarr a longtemps remis en cause son leadership, livrant même une bataille feutrée dans un premier temps, puis plus brutale par la suite, avec lui. Pour sa candidature à la mairie de Dakar, il lui avait imputé une partie de son échec. Il regrettait son manque d’implication dans la campagne électorale. Quid d’Abdoulaye Daouda Diallo ?

Le président du Conseil économique, social et environnemental (Cse) a toujours nourri secrètement, cette ambition de devenir le successeur de Macky Sall. Il la revendique du fait de son ancienneté au sein de l’Apr et au nom de son amitié avec le chef de l’Etat. Ce personnage taciturne n’a jamais voulu être sous les ordres d’Amadou Bâ, avec lequel il entretient des relations en dents de scie. Ce qui l’avait poussé même à rallier la Présidence de la République comme Directeur de Cabinet.

Le Président Sall qui voulait ménager les humeurs des uns et les susceptibilités des autres, a sorti le maire de Bokidialloubé du gouvernement. Alors qu’il était le tout-puissant ministre des Finances et du Budget, département taillé pour lui, après l’éclatement du grand ministère de l’Economie et des Finances après la réélection de Macky Sall en 2019. Sans oublier les cas de Makhtar Cissé, de Aly Ngouille Ndiaye, qui ont des rêves assez grands que Macky Sall n’ignore pas.

Pour l’Apr, cette décision de Macky Sall annonce des soubresauts. C’est son avenir en question. Bby, itou. Tenue depuis 12 ans par Macky Sall, qui en avait fait un instrument politique, une machine électorale redoutable, elle risque aussi l’implosion. Si Moustapha Niasse tient encore sa formation alors qu’Alioune Sarr a décidé de tenter sa chance sans la bénédiction de l’AFP et de son fondateur, le PS est aussi dans une situation floue.

Locomotives de BBY, le PS et l’AFP et l’APR se retrouvent dans une situation explosive. Pour les autres partis satellites comme la Ld, le Pit, l’horizon est aussi sombre.

Présidentielle 2024 : Bluff ou recherche de buzz d’Anta Ngom

Anta Ngom
Anta Ngom

Décidément, au Sénégal, maintenant la fonction présidentielle rend fou tout le monde. Chacun se réveille, se regarde dans le miroir et se voit dans le costume de président de la République. Sinon comment comprendre que l’on agite la candidature de la fille du milliardaire Babacara Ngom, Anta Ngom, pour ne pas la nommer.

Aucun vécu, aucune base politique, aucun appareil, rien. Si ce n’est d’être la fille du magnat du poulet Babacar Ngom. Elle devrait sans doute demander conseil à des personnalités au Cv irréprochable, à l’image d’Abdoul Mbaye, qui n’ont même pas franchi le cap des parrainages. Si ce n’est donc du bluff, c’est juste la recherche du buzz.

Cheikh Tidiane Youm “loutakh Macky changé avis moy pression bimou diot ci..”

Cheikh Tidiane Youm
Cheikh Tidiane Youm

Grosse révélation de Birame Souley « Macky xamone na nii dou bokk motax jamono fagaagal Sonko la… »

Birame Souley
Birame Souley

L’analyse pointue de Aida Mbodj après la sortie de Macky « limou wax demb baxna wayé ligni xar ci mom »

Aida Mbodj après la sortie de Macky
Aida Mbodj après la sortie de Macky

Barthélémy Dias tire encore sur Sonko après la sortie du président : « Le Sénégal est un grand peuple… La politique c’est pas la violence… »

Barthélémy Dias tire encore sur Sonko
Barthélémy Dias tire encore sur Sonko

L’édile de la ville de Dakar se félicite de ce pas du Président Macky Sall et salue « une victoire de la démocratie sénégalaise. Nous faisons de la politique. « Dans certaines circonstances, en politique, il faut user de l’intelligence et pas la violence. Nous avons usé de stratégies politiques pour avoir aujourd’hui cette victoire » a exprimé le maire de Dakar qui appelle les acteurs politiques à plus de retenue considérant que d’autres acteurs utilisent d’autres stratégies qui n’ont mené ce pays que dans le chaos. Après cette décision du Président Macky Sall qui va permettre d’apaiser le climat sociopolitique, la bonne gouvernance et la justice sociale doivent être plus que jamais renforcées.

L’offensive de Ngagne Demba après la sortie du président ”sou Macky beugué waxtan ak Sonko fok mou.. »

Ngagne Demba après la sortie du président
Ngagne Demba après la sortie du président

Réaction de Idrissa Seck sur la non-candidature de Macky Sall et parle déjà de la Présidentielle (Vidéo)

Idrissa Seck sur la non-candidature de Macky Sall
Idrissa Seck sur la non-candidature de Macky Sall

Le Président sénégalais, Macky Sall, a créé la surprise en annonçant ce 3 juillet 2023, sa non-candidature à l’élection présidentielle de 2024, une décision saluée par l’opposition sénégalaise et la communauté internationale. Parmi les réactions notables, celle du président du parti Rewmi, Idrissa Seck, ancien président du Conseil économique environnemental et social du Sénégal.

Idrissa Seck a déclaré au micro des quelques journalistes d’une manière solennelle : « Je tiens à exprimer, comme l’ensemble du peuple sénégalais et de la communauté internationale, ma profonde satisfaction face à la décision historique prise par le Président Macky Sall. C’est la seule décision que nous pouvions espérer et elle est à la hauteur de cet homme d’État bâtisseur et ambitieux, aussi bien pour notre pays que pour notre continent. »
En ce qui concerne l’avenir, Idrissa Seck nous partage ses perspectives : « La suite, seul Dieu la connaît. Qui sera présent en février prochain et qui sera choisi par le peuple sénégalais pour diriger le destin du pays ? Cependant, il est réjouissant de constater, comme l’a souligné le Président de la République, que le Sénégal regorge de leaders compétents, bien formés et très patriotes, désireux d’offrir à leurs enfants et à leurs neveux un avenir radieux. »
Macky Sall, selon Idrissa Seck, a respecté non seulement ses propres déclarations et écrits, mais aussi l’esprit et la lettre de la réforme constitutionnelle de 2016 qu’il avait initiée. M. Seck précise : « Ma satisfaction est d’autant plus grande que le Président Macky Sall a d’abord tenu parole, respectant à la fois ses déclarations et ses écrits. Comme vous l’avez souligné, il a ensuite respecté l’esprit et la lettre de la réforme constitutionnelle de 2016 qu’il a lui-même initiée. »
Il poursuit avec assurance : « La compétition sera ouverte et transparente. Le Président qui l’organise n’a aucun intérêt particulier à défendre. Son intention est d’encore améliorer sa sortie en organisant des élections transparentes. Les Sénégalais, depuis 1789, ont appris à voter en toute conscience. »
La décision de Macky Sall est accueillie avec éloges et hommages, au Sénégal et à l’international. « Le concert d’hommage unanime qui émane du peuple sénégalais, tant de l’intérieur que de la diaspora, ainsi que de la communauté internationale, témoigne suffisamment de l’impact de cette décision. Par son acte, le président Macky Sall s’est définitivement élevé à un rang beaucoup plus haut que celui qu’il s’apprête à quitter le 2 avril prochain, » déclare M. Seck.
M. Seck, marquant le sentiment de gratitude envers le président Macky Sall : « Je pense que nous lui devons tous un très grand merci pour avoir honoré de cette manière le peuple sénégalais et pour l’avoir restauré à sa place de modèle d’exception. »
Il souligne par ailleurs l’importance de l’unité nationale dans ce contexte politique important : « Il est maintenant temps de réconcilier les Sénégalais. Nous devons travailler ensemble pour consolider l’unité nationale et continuer à avancer sur la voie de la prospérité pour tous. »
Dans une perspective plus large, Idrissa Seck invite à la sérénité dans l’approche de la prochaine échéance électorale : « Le plus important est que parmi les offres politiques présentes, les idées et les programmes en compétition, le cadre soit tel que les Sénégalais puissent choisir sereinement le meilleur avenir pour la jeunesse du pays. »

Bac 2023:Les candidats du Lycée Blaise Diagne jugent les épreuves de Philosophie“ bind Nañ lougn xam… »

candidats du Lycée Blaise Diagne
candidats du Lycée Blaise Diagne

[Focus] Renonciation à un 3e mandat : Pourquoi Macky Sall fait mieux que ses prédécesseurs !

Macky Sall
Macky Sall

Le chef de l’Etat, Macky Sall, a surpris plus d’un, ce lundi 3 juillet, en déclarant qu’il ne se présentera pas à la prochaine présidentielle de février 2024. Il compte donc organiser des élections auxquelles il ne prendra pas part en tant que président en exercice. Une première dans l’histoire politique du Sénégal. Seneweb regarde dans le rétroviseur.

« Mes cher(e)s compatriotes, ma décision longuement et mûrement réfléchie est de ne pas être candidat à la prochaine élection du 25 février 2024 (…) Contrairement donc aux rumeurs qui m’attribuaient une nouvelle ambition présidentielle, je voudrais dire que j’ai une claire conscience et mémoire de ce que j’ai dit, écrit et répété ici et ailleurs, c’est-à-dire que le mandat de 2019 était mon second et dernier mandat. C’est cela que j’avais dit et c’est cela que je réaffirme ce soir. J’ai un profond respect pour les Sénégalais et les Sénégalaises qui m’ont lu et entendu. J’ai un code d’honneur et un sens de la responsabilité historique qui me commandent de préserver ma dignité et ma parole ». C’est en ces termes que le chef de l’Etat, Macky Sall, par ailleurs patron de l’Alliance pour la République (Apr) a décidé de renoncer à une éventuelle troisième candidature qui lui avait été prêtée depuis longtemps. Ce, malgré les nombreux appels de gros pontes du pouvoir l’invitant à tenter le coup pour un « second quinquennat».
Ce qui fait que sa décision est fortement saluée par les Sénégalais et la classe politique, notamment dans le camp de l’opposition. Car, si on se fie à sa déclaration de ce 3 juillet, Macky Sall sera le seul président sénégalais à se limiter à n’exercer que deux mandats et à organiser des élections auxquelles il ne prend pas part. « Le Sénégal dépasse ma personne et il est rempli de leaders capables de pousser le pays vers l’émergence », a-t-il ainsi réaffirmé aux Sénégalais.

Senghor et Diouf se « partagent » 7 mandats, Wade tente un troisième
Il a fait mieux que ses trois prédécesseurs. En effet, poète, écrivain, homme politique sénégalais, Léopold Sédar Senghor, premier Président de la République du Sénégal (1960-1980) est resté 20 années (quatre mandats 1963, 1968, 1973 et 1978) avant de démissionner de la Présidence, avant le terme de son cinquième mandat, en décembre 1980. Abdou Diouf, Premier ministre d’alors, le remplace à la tête du pouvoir, en vertu de l’article 35 de la Constitution.
Ce dernier en a exercé trois mandats (1983, 1988 et 1993). Mais Abdou Diouf sera déchu en 2000 par Abdoulaye Wade (Pds), alors qu’il tentait le coup pour un quatrième mandat comme son idole et prédécesseur Senghor, du même camp politique. C’est le début de la première alternance politique.
Toutefois, Abdoulaye Wade, réélu en 2007, a, lui aussi, voulu tenter « un mandat de trop » en 2012. Ce qui suscita une vague de contestations portées par le Mouvement du 23 juin (M23) composé d’opposants politiques, d’activistes et de membres de la société civile sénégalaise.
Wade est battu en avril 2012 par son ancien Premier ministre Macky Sall, qui a claqué le 9 novembre 2008, la porte au PDS et démissionné de tous les mandats électifs acquis sous la bannière du parti au pouvoir d’alors. Moins d’un mois plus tard, il crée, avec une trentaine de cadres libéraux, l’Alliance pour la République (APR).
Commence alors pour le natif de Fatick une « longue marche » dans les régions les plus reculées du pays, avec en ligne de mire la présidentielle de 2012. Celui qui n’a jamais pensé être président de la République nourrit désormais des ambitions.
« Lorsque je suis entré en politique, je n’avais pas pour ambition d’être président de la République. Cette ambition, je l’ai eue lorsqu’on m’a imposé un combat à l’Assemblée nationale. Même étant Premier ministre, je n’y pensais pas », disait-il lors d’un forum sur la citoyenneté en 2017.
Candidat de la coalition « Macky 2012 », il mène campagne à travers le pays sans couper avec le mouvement d’opposition du 23-Juin (M23). Il arrive en deuxième position du premier tour, avec 26,58 % des voix contre 34,81 % au président sortant.
Dans l’entre-deux-tours, il parvint à réunir tous les autres candidats battus dans la coalition Benno Siggil Sénégal et emporta le second tour le 25 mars avec 65,80 % des voix contre 34,20 %.
En 2016, une révision de la constitution de 2001 est adoptée par voie référendaire sous l’impulsion du président Sall. Il ramène le mandat présidentiel de 7 à 5 ans.

Macky Sall: « La constitution m’en donne le droit, mais… »
Lors de sa campagne électorale, le président Macky Sall avait promis que cette réduction s’appliquerait à son magistère. Mais le Conseil constitutionnel a donné un avis contraire. Seul son deuxième mandat sera un quinquennat, ont d’ailleurs précisé les « Sept Sages ». Conséquence, Macky Sall est réélu pour un nouveau mandat de 5 ans en 2019. Et cet argument a toujours été brandi par Macky Sall et ses proches qui affirmaient que le président peut bel et bien briguer un troisième mandat.
Si lors de plusieurs apparitions, le chef de l’Etat avait déclaré que son mandat en cours est le dernier qu’il briguait, sa position a changé depuis longtemps.
Lors de plusieurs rencontres avec la presse, il estime qu’il a le droit de se présenter comme candidat lors de la prochaine présidentielle prévue en 2024. Selon lui, le Conseil constitutionnel « a estimé que (son) premier mandat était intangible et qu’il était hors de portée de la réforme ».
Une position qu’il a réitérée ce lundi 3 juillet en ces termes : «(…) et cela, même si la constitution m’en donne le droit. En effet, depuis la révision constitutionnelle de 2016, le débat juridique a été définitivement tranché par la décision du Conseil Constitutionnel n°1-C-2016 du 12 février 2016 ».
Il a, enfin, instruit son gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires pour le bon déroulement du scrutin du 25 février prochain. Sa volonté sera-t-elle traduite en actes concrets ? En attendant, il faut admettre que celui qui n’a pas encore dévoilé son candidat à cette élection est définitivement entré dans l’histoire politique du Sénégal.

Après le « retrait » de Macky Sall : Le PS bouge ses pions

Aminata Mbengue Ndiaye
Aminata Mbengue Ndiaye

Au lendemain du retrait du président Macky Sall de la Présidentielle de 2024, Aminata Mbengue Ndiaye convie les membres du Secrétariat exécutif national du Parti socialiste à une réunion.  Cette séance sera élargie aux élus nationaux que sont les députés et hauts conseillers territoriaux, selon une source de Seneweb.

Les responsables socialistes concernés sont invités à se présenter le jeudi 6 juillet 2023 à 16 h précises, à la maison du parti Léopold Sédar Senghor.
La rencontre portera sur la vie du Parti socialiste et l’examen de la vie politique nationale, d’après la note signée par le secrétaire permanent Cheikh Sèye.

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Pas de 3e mandat : Barth félicite Macky et écaille Sonko

Dans une annonce surprenante, le président de la République du Sénégal, Macky Sall, a déclaré qu’il ne sera pas candidat à la présidentielle 2024. Le Maire de Dakar félicite le chef de l’Etat du « respect de la parole donnée ». Mais, par contre, Barthelemy Dias, apporte une réponse au leader de Pastef, Ousmane Sonko, qui les accusent de comploter.

« Nous félicitons le président Macky Sall d’avoir pris la décision de respecter sa parole. Il faut magnifier ce beau geste. Quand on avait accepté d’aller au dialogue, c’était pour discuter de tout ça…« , a déclaré Barthélémy Dias, sur la Tfm.

Le maire de Dakar ne digère pas la dernière sortie du leader de Pastef. « Ici, il n’y a pas de Messi…Quand un homme pense être plus fort que tout le monde, il se trompe lourdement…Nous refusons la pensée unique et appelons à la pluralité des visions« , a dit Barth.

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Déthié Fall : « Ce droit qui empêche Macky de se présenter donne à Sonko celui de se présenter »

Le président sénégalais, Macky Sall, a annoncé ce lundi soir à la télévision qu’il ne briguera pas de troisième mandat lors de la présidentielle prévue pour février prochain. Une « décision murement et longuement réfléchie », dit le chef de l’État, qui surprend beaucoup d’acteurs politiques dont Déthié Fall.

Le président du Parti républicain pour le progrès (PRP), membre de la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi, entend une annonce qui va dans le bon sens, mais il attend davantage du chef de l’État.

« Enfin, il accepte ce que la Constitution lui impose […] C’est un pas qui n’est pas suffisant : il s’agit de faire les pas nécessaires pour l’apaisement du climat politique, ce n’est pas difficile. D’abord, la libération de tous les détenus politiques, mais aussi la participation de tous à l’élection présidentielle […] Aujourd’hui, ce droit qui l’empêche de se présenter nous donne également ce droit nous autres de nous présenter et à Ousmane Sonko aussi », a-t-il déclaré sur les ondes de la Rfi.

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Yassine Fall, vice-présidente Pastef : « Notre plan A jusqu’à Z c’est Ousmane Sonko… » (Vidéo)

Le président sénégalais a annoncé lundi soir à la télévision qu’il ne briguera pas de troisième mandat lors de la présidentielle prévue pour février prochain.

Pour la vice-présidente du parti d’opposition Pastef Yassine Fall, cette décision est une » première victoire du peuple sénégalais » et que le « deuxième combat » à mener s’agit de la « candidature de Ousmane Sonko ». Se prenant, elle déclare que le parti Pastef n’a qu’un seul candidat et il se nomme Ousmane Sonko.

« Nous n’avons pas de plan B. Notre plan A jusqu’à Z c’est Ousmane Sonko… Pourquoi devons-nous en avoir. Le statut d’inéligibilité de Sonko est une décision politique et non judiciaire et c’est le peuple sénégalais qui décidera s’il sera candidat ou pas« , a-t-elle déclaré sur France 24.
https://youtu.be/SwbC7_XIoPI

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