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Vidéo – Big Taf et Ouzin recardent sévèrement Délégué Amar « dafa yap sénégalais yi ay waxi dof lafa wax »

Vidéo – Candidat BBY Coup de gueule de Mansour Diop « pourquoi Macky wara choisir candidat am té mom bokoul »

Vidéo – «Ndeye Gueye moo oum dieukeureum ?»: Ngoné Saliou défend la danseuse et détruit Cheikh Ahmed Cissé

Vidéo – Sala Bigué sur les propos de Khadim Samb devant Macky « dafa dioume wayé guewel »

Vidéo – Vers une participation de Sonko en 2024 ? Sire Sy annonce une nouvelle rassurante « Macky Dina recevoir

Incroyable : Sala Bigué jette des pierres à Sonko « guemoul guewel,kenn meussouko guiss » (Vidéo)

Arrestation de Birame Souleye Diop: Le groupe parlementaire Yewwi Askan wi dénonce une détention anticonstitutionnelle

Le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi apprenant le placement sous mandat de dépôt de son président Birame Souleye Diop ce mardi, a dénoncé une « détention anticonstitutionnelle, arbitraire et abusive qui viole outrageusement l’article 61 de la Constitution et le Règlement Intérieur de l’Assemblée nationale qui assurent au député une immunité parlementaire ». Dans un communiqué lu à la rédaction, les députés de la coalition Yewwi Askan wi rappellent l’article 61 de la Constitution qui dispose notamment que « le membre de l’Assemblée nationale ne peut, hors session, être arrêté qu’avec l’autorisation de l’Assemblée, sauf en cas de crime ou délit flagrant, tel que prévu par l’alinéa précédent ou de condamnation pénale définitive. La poursuite d’un membre de l’Assemblée nationale ou sa détention du fait de cette poursuite est suspendue si l’Assemblée le requiert ». Comment expliquer alors l’ouverture d’une information judiciaire sans l’autorisation de l’Assemblée nationale ? se demande le groupe parlementaire de la coalition Yewwi Askan wi qui se désole du traitement judiciaire « discriminatoire à l’encontre des seuls opposants semble se banaliser ».
Le groupe parlementaire Yewwi Askan Wi dénonce avec la dernière énergie ces atteintes intolérables au suffrage universel, au droit de s’opposer et au statut du député qui est déshonoré et dépouillé de sa qualité de représentant du peuple.

Le groupe parlementaire exige la libération immédiate du Président Birame Souleye Diop, car ce dernier en tant que député maire présente toutes les garanties de représentation.

Le groupe parlementaire demande à l’Assemblée nationale, sur le fondement de la l’article 61 de la Constitution de requérir la suspension des poursuites et la détention de Birame Souleye Diop.

Audience au Palais : Les députés de BBY ont promis à Macky de voter les conclusions du Dialogue national

Les députés du Groupe parlementaire de Benno Bokk Yakaar se sont engagés mardi à voter tous les projets de loi déposés par l’Exécutif en application des accords issus du dialogue politique nationale. Les parlementaires ont pris cet engagement lors d’une rencontre à la salle des Banquets avec le président de la République, Macky Sall.

Selon les informations du quotidien « Le Témoin », près de 22 députés représentant tous les partis alliés au sein de BBY ont pris la parole pour une rencontre qui s’est déroulée de 17 h à minuit. Les députés ont réaffirmé un total engament aux côtés du Président Macky Sall. Ils ont rappelé qu’ils avaient donné carte blanche au Président Macky Sall pour le choix du candidat de leur camp pour 2024.

Les députés du Groupe BBY ont surtout insisté pour que l’Alliance de la République et tous les partis alliés soient aussi aux côtés de leur guide pour gagner la grande bataille de 2024.

Prenant la parole, Macky Sall a demandé à chaque parlementaire de s’oublier rien que pour l’intérêt supérieur du Sénégal et de la coalition de BBY. Il a souhaité que les députés suivent ses pas du lundi 03 juillet pour que triomphe dans la paix, la transparence, la démocratie sénégalaise. A ce titre, il a demandé au Groupe parlementaire de voter les projets de loi déposés par l’Exécutif suite aux accords du dialogue politique national.

ATEPA: « Si j’étais à BBY, j’allais faire d’Amadou BA mon candidat pour la Présidentielle » (Vidéo)

Dans le propre entourage du chef de l’État Macky Sall, son renoncement à briguer un troisième mandat en février 2024 a surpris. Surtout que de nombreuses questions restent en suspens notamment sur son dauphin. A cette interrogation qui reste pour le moment en suspens, Pierre Goudiaby Atepa donne une idée claire au président sortant.

Le célèbre architecte et acteur politique, dans l’émission « Invité de MNF » sur 7tv ce mardi, voit l’actuel Premier ministre Amadou Ba comme le prochain candidat de la coalition présidentielle « Benno Bokk Yakaar ». En tout cas c’est ce qu’il conseille au président Macky Sall.

Ndax Pawlish dafa xeb Papam? Griff Diouf, influenceur éteint la rumeur « Goudi bimouy taak Sokhna dafma wax secret you »

Griff Diouf, influenceur
Griff Diouf, influenceur

[Rapport] 1742 établissements ouverts, 8511 emplois générés… : Les statistiques du travail en 2022

Macky Sall
Macky Sall

Un cumul de 1742 ouvertures et réouvertures d’établissements ayant généré 8511 emplois a été enregistré au cours de l’année 2022. C’est ce que révèle la direction générale du Travail et de la Sécurité sociale dans le résumé du rapport annuel des statistiques du travail (RAST-2022).

La situation des déclarations d’établissements et de l’emploi
La direction générale du Travail et de la protection sociale vient enrichir le débat public par la publication de son rapport 2022 des statistiques du travail qui livre les détails de l’emploi au Sénégal. Un des points essentiels du débat politique et public à quelques mois de l’élection présidentielle du 25 février 2024. Il ressort de ce rapport que relativement à la situation des déclarations d’établissements et de l’emploi, il a été enregistré au cours de l’année 2022 un cumul de 1742 ouvertures et réouvertures d’établissements ayant généré 8511 emplois.
Les secteurs d’activité qui ont davantage contribué en termes d’établissements ouverts et rouverts sont : « la branche Commerce avec 31,34% du total général pour une part égale à 17,65% des emplois générés, tandis que la branche Construction, avec 14,24% des ouvertures, est celle qui comptabilise le plus important volume d’emplois générés, soit 24,11% du total », révèle le rapport.
Par contre, sur la même période (2022), 171 fermetures d’établissements ont été répertoriées ayant causé la perte de 873 emplois. Ainsi, poursuit le rapport, « les soldes établissements ouverts et établissements fermés d’une part et, d’autre part, emplois créés et emplois perdus, s’avèrent être positifs et s’établissent respectivement à 1571 établissements et 7638 emplois ».
45% de CDD, 31% de CDI
Il ressort également des données collectées au titre de l’année 2022 qu’un total de « 72268 contrats de travail écrits ont été conclus contre 69866 en 2021, soit une hausse de 3,32% ». Ainsi, 45,42% de ces contrats de travail sont des CDD, 31,34% des CDI, 12,56% des contrats de stage, 5,16% des contrats de travail saisonniers, 3,66% des contrats de travail temporaires et 1,88% des contrats d’apprentissage.
A noter que ces informations révèlent « un plus fort taux d’embauche des hommes par rapport aux femmes avec respectivement 71,71% des contrats de travail pour la première catégorie de travailleurs contre 28,29% pour la deuxième catégorie ».
Dans le même registre des contrats de travail enregistrés, le secteur du Commerce caracole largement en tête avec 44,02% du total. Suivi successivement par la Construction avec 12,37%, les activités de fabrication avec 9,54% et les activités d’hébergement et de restauration avec 6,32%.
Garantie des droits
Il est aussi relevé dans le rapport, au titre de la garantie des droits, qu’en 2022, un total de 5112 établissements ont été contrôlés par les ITSS (inspecteurs du travail), soit une hausse de 75,19% par rapport à 2021. « La population de travailleurs impactée par ces contrôles et employée dans les établissements concernés s’élève à 106376 salariés contre un total de 55 500 travailleurs pour les entreprises contrôlées en 2021 », souligne le rapport.
Ces contrôles ont principalement concerné les secteurs du Commerce avec 38,63% des opérations de contrôles, celui des activités de fabrication avec 11,38%, puis le secteur des activités d’hébergement et de restauration avec 8,43%, des activités des services administratifs et d’appui avec 8,31%, des activités de construction avec 6,87% et enfin celui des activités financières et d’assurance avec 5,34%.
Au terme de ces opérations de contrôle, des mesures ont été prises afin d’amener les établissements contrôlés à procéder à des régularisations. Ainsi, précise le rapport, « certains établissements contrôlés ont fait l’objet de convocation (dans 48,94% des cas) ou d’observations orales (dans 28,17% des cas), d’autres se sont vus notifier une lettre d’observation (dans 9,98% des cas) ou une mise en demeure (0,78% des cas) ou un ordre de fermeture de chantier (dans 0,35% des cas) ou encore un PV d’infraction (0,04% des cas) ».
Parmi les manquements notés à l’occasion de ces contrôles on peut citer :  « la non affiliation des travailleurs à une IPM (28,64% des établissements contrôlés), l’absence de déclaration d’établissement (25,72% des établissements contrôlés), la non affiliation des travailleurs à l’IPRES (24,63% des établissements contrôlés), la non affiliation des travailleurs à la Caisse de Sécurité sociale (24,24% des établissements contrôlés) et l’absence de déclaration de mouvement du travailleur (21,73% des établissements contrôlés) ».
11 998 travailleurs immatriculés au cours de l’année
« Les régularisations ont surtout concerné l’absence de déclaration d’établissement avec 17,34% des établissements concernés par ce manquement qui ont été régularisés, l’absence de déclaration de mouvement du travailleur avec un taux de régularisation de 15,57% pour les établissements concernés par ce manquement, la non affiliation des travailleurs à l’IPRES avec un taux de régularisation de 13,34%, la non affiliation des travailleurs à la Caisse de Sécurité sociale avec un taux de régularisation de 12,83%, la non affiliation des travailleurs à une IPM avec un taux de régularisation de 10,38%, l’absence de registre des paiements ou de bulletin de salaire avec un taux de régularisation de 15,53%, l’absence de registre d’employeur avec un taux de régularisation de 9,60% et l’absence de règlement intérieur conforme pour les établissements assujettis avec un taux de régularisation de 7,13% », détaille le rapport.
Il faut noter par ailleurs que 11835 actes administratifs ont été délivré en 2022, constitués de « 71,68% d’attestations de non travail, 18,01% d’attestations de régularité, 9,14% d’attestations de service et 1,17% d’attestations de chômage ». 11998 travailleurs ont été, en outre, immatriculés au cours de l’année.

Le dialogue social et la gestion des relations professionnelles
S’agissant de la gestion des conflits professionnels, 3629 différends individuels de travail ont été soumis aux inspecteurs du travail. Au final, informe le rapport, « 54,04% des conflits individuels ont fait l’objet d’une conciliation totale, 43,59% d’une non conciliation et 2,37% d’une conciliation partielle ». Il en résulte que les transactions financières effectuées dans le cadre des conciliations totales et des conciliations partielles ont donné lieu, au profit des travailleurs, au paiement d’un montant total de 646 355 118 F CFA. Les conflits collectifs, pour leur part, s’élèvent, selon le rapport, à 69 cas avec un taux de règlement de 56,52%.

« En matière de licenciement de délégué du personnel, 43 demandes ont été adressées aux ITSS dont les 62,79% ont été refusées et les 37,21% accordées. Pour ce qui est des licenciements des autres travailleurs, il a été notifié aux ITSS le congédiement de 266 employés », signale-t-on 
Dans ce même chapitre du dialogue social et de la gestion des relations professionnelles, « 291 élections ont été tenues, permettant la désignation de 1537 délégués du personnel dont 18,35% sont des femmes ».

Macky Sall revient sur sa décision : “ J’avais pris ma décision depuis… »

Macky Sall
Macky Sall

Le Président Macky Sall a entretenu le flou pendant des mois sur sa candidature à l’élection présidentielle. 

Dans un entretien accordé à Jeune Afrique, il est revenu sur cette stratégie : “ J’avais pris ma décision depuis longtemps déjà. Mais je ne voulais pas être l’otage de petits politiciens, qui ont fait de ce sujet leur fonds de commerce, ni être contraint par l’agenda qu’ils entendaient imposer. Nous avions du travail, un pays à gérer, de nombreuses urgences, et je voulais que nous restions tous concentrés sur nos missions. J’avais dit et écrit que ce serait mon dernier mandat, même si la Constitution m’autorise à poursuivre. Je ne vois pas pourquoi j’aurais dû céder à leurs oukases ou devoir me justifier”.

Rappelons que le 3 juillet dernier, le Président Sall a finalement mis fin au suspense en renonçant à briguer un nouveau mandat. 

🛑 Macky-Sonko: Médiation avancée, entamée par les communicateurs traditionnels, Sala Bigué dit tout sur..

Sala Bigué
Sala Bigué
https://youtu.be/6-9DzI_KnRk

El Hadji Falilou Mbacké décroche deux Bac différents : Bac Arabe avec la mention « Excellente » et le Bac général avec la mention « Très bien » . (Photo)

Bac
Bac

C’est probablement l’un des phénomènes du Baccalauréat de l’année 2023. Le candidat El Hadji Falilou Mbacké a décroché deux Bac différents : le Bac Arabe avec la mention « Excellente » et le Bac général avec la mention « Très bien » .

Malgré les épreuves jugées difficiles de cette année, certains candidats ont réussi à s’illustrer quand-même lors de la session 2023 du Bac. C’est le cas de El Hadji Falilou Mbacké, de Yacine Fall, qui a eu la mention Très bien au Lycée de Ndande.

Une autre candidate s’est aussi distinguée a également excellé dans toutes les matières pour décrocher haut la main sa mention très bien en série S2. Il s’agit de Safiétou Thiore, élève du Lycée d’Excellence de Mariama Ba (LEMBA), à Gorée, dans la région de Dakar….

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Sonko gracié? Souleymane Jules Diop tire à boulet rouge le leader Pastef « il avait attaqué les juges »

Souleymane Jules Diop tire à boulet rouge le leader Pastef
Souleymane Jules Diop tire à boulet rouge le leader Pastef

Candidat unique de Benno : Après les leaders, Macky Sall rencontre les parlementaires

Le président de la coalition présidentielle entend écouter tous les démembrements de Benno Bokk Yakaar sur le choix du candidat pour l’élection 2024. Hier, Macky Sall a reçu les leaders avec qui il a échangé pendant sept tours d’horloge.

Le président de la coalition présidentielle entend écouter tous les démembrements de Benno Bokk Yakaar sur le choix du candidat pour l’élection 2024. Hier, Macky Sall a reçu les leaders avec qui il a échangé pendant sept tours d’horloge. 
Le président de la majorité présidentielle a obtenu l’accord des leaders de choisir lui même le candidat que la coalition devra porter pour 2024. Cet après-midi, ce sera au tour des députés de rencontrer le président Macky Sall pour échanger longuement sur la question…

Thiès : Le message du père de Birame Soulèye Diop

Une délégation de la coalition Yewwi Askan Wi a rendu visite au père de Birame Soulèye Diop, lundi dernier à Thiès. Ce dernier, maire de la commune de Thiès-Nord, a été arrêté pour offense au chef de l’État, notamment.

D’après Le Soleil, qui a relayé la visite, le «doyen Souleymane Diop» a sollicité pour son fils «le pardon de la justice et du chef de l’État». Cependant, rapporte le journal, le père du président du groupe parlementaire de Yewwi à l’Assemblée nationale s’est montré serein.

«C’est une épreuve que j’ai déjà vécue et que je m’attendais à vivre encore à tout moment. Ce qui importe le lus, c’est la victoire finale», a-t-il dédramatisé.

Malicounda – L’annonce forte de Maguette Sene: « Notre prochain objectif, c’est qu’en 2025… »

Dans la journée du samedi, c’est dans une liesse populaire que les populations de Malicounda, fortement mobilisées, ont manifesté leur satisfaction à l’endroit de leur maire. Maguette Sène a procédé à l’inauguration, en une journée, de deux infrastructures sanitaires. Il s’agit de la maternité de Malicounda – Ngoukhoud et, dans l’après-midi, du poste de santé de Gagnabougou. Les deux infrastructures sont financées sur fonds propres de la commune de Malicounda, sous la présidence de Serigne Mbaye, Directeur de cabinet du ministre de la santé et de l’action sociale. Selon l’avis de Maguette Sène, Malicounda est en voie d’atteindre son objectif décliné dans son programme prioritaire dénommé « Un village, Un poste de santé et une Maternité ». Ainsi, sur les 22 villages que compte la commune de Malicounda, seuls deux ne disposent pas encore de Poste de santé.

Et selon lui, l’objectif sera atteint à 100% d’ici 2025. « Notre objectif, c’est d’ici 2025 d’avoir une couverture sanitaire totale. Notre ambition n’est ni démesurée, ni inaccessible, elle est réaliste et réalisable ». Selon lui, « seuls 2 villages sur les 22 ne disposent pas encore de Poste de santé et d’ici 2025, la mairie réalisera ces infrastructures. Selon toujours le maire, « pour la construction du Centre de santé dans la zone sud de Malicounda, précisément à Nianing, la mairie a déjà identifié le terrain et obtenu un partenaire qui est prêt à financer. La mairie est également en négociation très avancée avec un autre partenaire pour la construction d’un Centre de santé dans la zone Nord de Malicounda. Et le clou, c’est la construction prochaine d’un hôpital ultra-moderne à Malicounda que le Pr Macky Sall a accepté de réaliser. D’ailleurs, la mairie a même délibéré sur l’espace de 10 ha devant abriter l’hôpital à Fandane ».

Présidentielle 2024 : Les leaders de BBY donnent mandat à Macky Sall pour la recherche du candidat unique de la coalition

​La Conférence des leaders élargie de Bennoo Bokk Yaakaar (BBY) s’est réunie ce lundi 10 juillet 2023, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Macky SALL, Président de la coalition.

Dans son discours introductif, le Président de la coalition a procédé à une analyse de la situation nationale marquée au plan économique par des progrès sans conteste avec un taux de croissance s’affichant à 8% et une prévision budgétaire de plus de 7000 milliards de F Cfa pour l’année 2024, en plus de l’exploitation prochaine du pétrole et du gaz dont les retombées seront bénéfiques pour l’économie du pays et pourvoyeuses d’emplois pour les jeunes.

En outre, le Président Macky SALL est revenu sur son discours du 03 juillet 2023, au cours duquel il a annoncé sa décision de ne pas participer à l’élection présidentielle de février 2024, pour réaffirmer sa volonté de renforcer la démocratie sénégalaise, modèle exceptionnel tant vanté dans le monde.

Par ailleurs, Le Président de BBY a appelé l’attention des leaders sur les tentatives de destabilisation du pays et la nécessité de faire face afin que l’ordre républicain soit sauvegardé.

C’est, dira-t-il, pour terminer, dans un tel cadre que s’inscrit la problématique du choix du candidat de BBY qui devra porter le programme du PSE à poursuivre dans l’intérêt exclusif des populations de notre pays.

A la suite du discours introductif du Président Macky SALL, les débats se sont engagés 7h durant pour aboutir aux conclusions suivantes.

1- La Conférence des leaders félicite chaleureusement le Président de la République pour avoir décidé de ne pas se présenter à la prochaine élection présidentielle et lui exprime toute sa fierté, celle du peuple sénégalais et au-delà, celle de toute l’Afrique.

2- Renouvelle sa confiance et lui donne mandat pour la recherche du candidat unique de la coalition afin d’assurer la victoire éclatante de celle-ci, dès le premier tour le 25 février 2024 et l’engage en conséquence à poursuivre les concertations avec les composantes de BBY et les consultations avec les potentiels candidats

3- Appelle tous les leaders et militants de BBY à œuvrer au renforcement de l’unité de la coalition dans la solidarité et la générosité militantes afin de créer, par une mobilisation exceptionnelle de tous, une dynamique victorieuse imparable.

Bassirou Ndiaye signe son premier contrat professionnel et s’engage avec la réserve de Lorient

Lorient annonce l’arrivée de l’attaquant sénégalais Bassirou Ndiaye. L’ancien de Darou Salam va rejoindre la réserve du club français pour la saison prochaine en provenance de Sochaux.

Dans les rangs de la réserve du FC Sochaux depuis 2021, Bassirou Ndiaye va changer de cap. L’attaquant sénégalais auteur d’une excellente saison du coté du “Doubs” a rejoint la réserve de Lorient.

Il y a deux saisons, Bassirou Ndiaye est arrivé de l’Académie Foot Darou Salam de Dakar et est considéré comme le joueur le plus important de son équipe. En 22 matchs joués, il a fait de bonnes performances avec l’équipe réserve du FCSM cette saison, marquant 21 buts et offrant 7 passes décisives, dans toutes les compétitions. Le joueur de l’équipe nationale U23 du Sénégal, qui a la capacité de jouer en tant qu’attaquant de pointe ou en tant qu’excentré, a conclu son premier contrat professionnel avec les Merlus.

Manque d’eau à Thiadiaye : Pape Djibril Fall hausse le ton et s’attaque au ministère en charge et conseil municipal..

C’est un Pape Djibril Fall très remonté et préoccupé par la situation de l’eau dans sa ville natale et le calvaire des populations, qui a fait face à la presse… Ce dernier qui a qualifié cette situation d’inadmissible, s’est attaqué au ministère en charge de l’eau et au conseil municipal qu’il invite à être l’interprète des populations.
Selon lui, même si les services en charge de l’eau ont fait une descente à Thiadiaye, celà pourrait être assimilé à une promenade.

3e mandat : L’Internationale libérale salue la décision de Macky Sall

A travers un communiqué, l’Internationale libérale salue la décision de Macky Sall de ne pas se présenter aux prochaines élections présidentielles au Sénégal.

Pour l’Internationale libérale, cette décision s’inscrit dans la tradition démocratique suivie par le Sénégal, connu pour sa stabilité politique et économique.

« Par sa décision, le pays de la Teranga montre encore fois l’exemple à suivre et contribue à consolider la stabilité dans la sous-région. Le président Macky Sall envoie un message fort pour la démocratie libérale et la bonne gouvernance sur son continent », déclare l’Internationale libérale.

l’Internationale libérale félicite aussi la démarche constructive du dialogue national initié par Macky Sall qui, en réunissant les forces vives du Sénégal, a apporté paix et stabilité sociale dans un contexte de tension.

Présidentielle 2024 : Le candidat de Benno Bokk Yakkar connu Vendredi…

Macky Sall, qui a renoncé à la Présidentielle de 2024, va donc devoir choisir dans son camp le meilleur profil pour pouvoir lui succéder à la tête du pays. Le candidat de Bennoo Bokk Yaakaar sera connu vendredi prochain. La Conférence des leaders de ladite coalition, qui s’est réunie ce lundi, a donné mandat en ce sens à sa tête de file, le chef de l’Alliance pour la République. 

Selon la Rfm, la balle est donc désormais dans le camp du chef de l’État pour désigner celui qui portera les couleurs de la majorité lors de la Présidentielle du 25 février 2024. La semaine dernière, son parti, l’Apr, à travers son Secrétariat exécutif national (SEN), lui avait témoigné cette même confiance.

Et au cours de cette rencontre, Macky Sall avait clamé sa préférence pour un candidat de consensus, écartant toute idée de primaires.



Mansour Diop de retour à la Mecque fait des révélations sur l’investiture Sonko « nagnko bayi mou dem nékoul pr!son… » (vidéo)

Mansour Diop de retour à la Mecque fait des révélations sur l’investiture Sonko « nagnko bayi mou dem nékoul pr!son… » (vidéo)

Général Moussa Fall : « Notre offre traditionnelle de sécurité est compromise … »

A l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la réunion de la commission organisation du service de l’association internationale des gendarmeries et forces de sécurité à statut militaire (FIEP), le général haut commandant de la gendarmerie nationale Moussa Fall a profité de cette tribune pour faire le point. « Nous faisons face à des peuples plus exigeants à l’égard de leurs gouvernants, à des citoyens aux réactions spontanées, et parfois très agressives dans la forme de leur revendication. Nous faisons face à un monde de toutes les confusions, qui conçoit la violence comme un réflexe d’autodéfense, d’autoprotection ou tout simplement comme une posture légitime d’expression démocratique de son indépendance » fait-il savoir.

« Face à un tel environnement, notre offre traditionnelle de sécurité se trouve naturellement compromise. Les demandes de sécurité des populations imposent désormais un changement des paradigmes » souligne le haut commandant de la gendarmerie nationale.

Toutefois, le haut commandant de la gendarmerie nationale regrette la recrudescence des violences dans l’espace politico-social. « Ce choc naturel de volontés individuelles dans un espace que nous partageons en commun est généralement alimenté par des motifs incompréhensibles. Il est malheureusement le fondement des conflits auxquels les gendarmeries et forces de sécurité à statut militaire sont appelées à apporter des réponses justes, légales mais surtout proportionnées » regrette le général.

Crise politique : Le MODAP de Pastef favorable à un dialogue

Le mouvement des domou daraa des patriotes (MODAP) s’est épanché sur l’actualité politico-sociale. Face à la presse, le porte-parole du jour a déclaré « nous vivons une crise politique. Les membres et sympathisants de Pastef sont brutalisés, persécutés et pire, envoyés en prison. Ayons la bonne posture pour faire face à ces persécutions car ce pouvoir est finissant »

Toutefois il a salué le début de décrispation de cette tension « nous saluons le discours grandissant du président de la République qui ouvre enfin des portes de dialogue et aussi celui du président Ousmane Sonko qui a ouvert une fenêtre de sortie de crise » s’est-il félicité.

Cependant, pour se faire, « les véritables clés de cette sortie de crise sont : la libération des détenus, l’arrêt des poursuites contre les responsables de Pastef. Il faut mettre la balle à terre car la concession est une exigence de tout le monde pour la stabilité du pays » conclut-il.

Bac: “Dafadone diangu ba goudi di” L’encadreur de Yacine Fall (Mention Très bien) révèle les secrets

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Touba : Déthié Fall rend visite à Serigne Mountakha Mbacké et porte une message fort en faveur de Sonko

Le président du Parti républicain pour le progrès (Prp) a été reçu ce lundi par le khalife général des mourides, dans le cadre de sa tournée nationale pour le parrainage en perspective de l’élection présidentielle du 25 février 2024.
« J’ai profité de l’occasion pour solliciter ses prières pour ma candidature et lui ai témoigné toute ma reconnaissance et ma gratitude pour les actes significatifs qu’il ne cesse de poser afin de consolider la paix », déclare Déthié Fall qui a plaidé aussi la cause des autres candidats devant Serigne Mountakha Mbacké.
« Après la décision  du président Macky Sall de ne pas se présenter à l’élection présidentielle, nous avons sollicité du khalife des prières pour que d’autres actes  allant dans le sens  d’une organisation d’élections libres, transparentes avec la participation de tous les candidats puissent suivre pour faire rayonner davantage  l’image de notre démocratie à travers le monde », sollicite-t-il.div class= »post_video »>

Bac bi laniou done xaar pour Jap Sonko » Bara Doli lâche une bombe et évoque les dispositions…

Bac bi laniou done xaar pour Jap Sonko » Bara Doli lâche une bombe et évoque les dispositions…

Décisions judiciaires contre Ousmane Sonko, la réaction ferme du Wapo

Senegalese opposition leader and presidential candidate Ousmane Sonko holds a rally on the Place de l'Obelisque in Dakar on January 19, 2019, ahead of Senegal presidential election on February 24. (Photo by SEYLLOU / AFP)

Suite à la décision du président Macky Sall qui a décidé de renoncer à une troisième candidature, le Conseil de Coordination du West Africa peoples organisation (Wapo) rend hommage au peuple sénégalais.

Le Wapo, à travers une note, demande également le rétablissement immédiatement de toutes les décisions judiciaires illégales à l’encontre de Ousmane Sonko. Voici l’intégralité du communiqué !

« COMMUNIQUE SUR LA DECISION DU PRESIDENT MAKY SALL DE RENONCER A SE PRESENTER A UN TROISIEME MANDAT AU SENEGAL.

Dans une Déclaration en date du 02 juillet 2023, le Président du Sénégal Maky Sall vient d’annoncer sa décision de ne pas se représenter à l’élection présidentielle de 2024, et par voie de conséquence de ne pas

briquer un troisième mandat présidentiel.

Le Conseil de Coordination à cette occasion

1″- Prend acte et se réjouit de cette décision salutaire.

WEST

2- Souligne que cette décision est le résultat de la bravoure et de la combattivité du peuple sénégalais, en particulier de sa jeunesse qui en a paye (par le sang et les larmes), le prix le plus fort. Par voie de conséquence, que c’est contraint et force, sous pression populaire que Maky Sall a dû renoncer à une aventure (troisième mandat) manifestement anti-populaire et anti-constitutionnelle et donc que cela constitue une victoire éclatante du peuple sénégalais et de l’opinion démocratique et patriotique internationale.

3- Rend hommage au peuple sénégalais et s’incline sur la mémoire des braves combattants de la liberté, du patriotisme et du panafricanisme, tombés au champ d’honneur sous les balles assassines des nervis de Maky Sall.

De toutes les façons, le Conseil de Coordination déclare que, depuis le massacre de juin dernier, il existe désormais ce flot de sang de la jeunesse sénégalaise qui sépare le peuple sénégalais et Maky Sall et qui le rend complètement disqualifié à gouverner le Sénégal.

En conséquence et en rappel de l’Adresse au Président Maky Sall en date du 2 juin 2023 faite par le Président, le Conseil demande :

1′-De rétablir immédiatement l’Opposant Ousmane SONKO dans tous ses droits civiques en annulant toutes les décisions judiciaires illégales en son encontre.

-2°- De rendre compte au peuple de ses crimes de sang commis sous son mandat (massacre de 2021 et celui de 2023) et ce avant passation de charge.

Signed.

Philippe T. NOUDJENOUME

President, WAPO »

Enseignement supérieur : Bonne nouvelle pour les étudiants des établissements publics

La direction des bourses annonce une bonne nouvelle pour les étudiants des universités publiques du Sénégal. En effet, le paiement des allocations d’études du mois de juin démarrent ce mardi 11 juin 2023.

« La Direction des Bourses du Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) informe les étudiants des établissements publics d’enseignement supérieur, que le paiement des allocations d’études du mois de juin 2023 commencera ce mardi 11 juillet 2023 », lit-on dans un communiqué rendu public ce lundi 10 juillet 2023.

CEDEAO : Les chefs d’État encensent Macky Sall et invitent les acteurs politiques sénégalais à “s’abstenir de toute violence”

Lors du sommet de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui s’est déroulé hier à Bissau, le Président, Macky Sall a eu droit à de chaleureuses félicitations de ses pairs. Ceux-ci ont magnifié “ son discours à la Nation du 3 juillet 2023, qui a contribué à l’apaisement des tensions, démontrant son engagement en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité du Sénégal”, renseigne le communiqué final de l’organisation.

Les chefs d’État de la CEDEAO exhortent, par ailleurs, “tous les acteurs politiques au Sénégal à s’abstenir de toute violence, pour assurer la recherche d’un consensus et favoriser la création d’un environnement favorable à l’organisation pacifique du processus électoral”.

France 24 au Sénégal : Cette fois-ci, la boule a véritablement tourné

C’est sans doute l’un des scénarios les moins attendus au Sénégal en cette fin de règne du président Macky Sall. Voir le gouvernement faire une sortie publique contre France 24 pour diffusion tendancieuse d’une information est sans doute la dernière chose à laquelle l’opinion s’attendait. Et pourtant, c’est ce qui est bien arrivé. Dans un communiqué daté du 8 juillet, le ministre de la Communication accuse la chaîne française d’être non pas à son coup d’essai, mais un coutumier des faits.

« Ce traitement sans éthique, sans équilibre, tendancieux et subversif de l’information sur le Sénégal est manifeste à l’analyse de leurs bulletins, émissions, interviews et écrits diffusés en boucle sur la chaîne. (…) Cette manière insidieuse de couvrir l’actualité au Sénégal a été remarquée lors des manifestations violentes du mois de juin 2023, allant jusqu’à tenter de décrédibiliser la communication de la police sénégalaise ».

Le Sénégal a certes déjà expulsé un correspondant d’un média français du temps de Me Wade, mais sous l’ère Macky Sall, une telle réaction était plutôt attendue du côté du Mali ou du Burkina. Pourtant cette menace vient bel et bien du  Sénégal. Ce gouvernement qui a déjà coupé le signal de deux télévisions privées sénégalaises (Walf et Sen tv) met en garde France 24 et exige de la chaîne qu’elle rétablisse la vérité.

Décidément, la boule médiatique a tourné. Il y a un peu plus d’un an, c’est l’opposition sénégalaise, Pastef en l’occurrence, qui avait cette même attitude. Ousmane Sonko et ses partisans ont toujours voué aux gémonies les médias occidentaux, les supports français en particulier. Sonko avait promis de ne pas rester dans une conférence de presse où il y a Le Monde, Le Monde diplomatique ou Rfi. Ces médias, dans une coïncidence troublante, avaient tous donné la parole à Adji Sarr livrant des détails sordides sur les supposés viols dont la masseuse accuse l’homme politique.

Pendant ce temps, Macky Sall accordait les exclusivités aux médias français. Presse écrite, radio, télévision, chaque support est servi au gré de ses déplacements en France ou ailleurs, parfois au palais de la République du Sénégal. A l’époque, France 24 qui donnait essentiellement la parole au chef de l’Etat était un média équilibré aux yeux du gouvernement et de la majorité au pouvoir.

Pour Sonko et ses partisans, cette télévision française symbolisait le néocolonialisme, la manipulation, la désinformation. Mais cette perception est devenue de l’histoire ancienne. En janvier 2023, sur Rfi, Sonko déclare : «nous n’avons rien contre la France », précisant qu’il est opposé aux intérêts de l’Occident. Depuis lors, il multiplie les interviews sur France 24 et d’autres médias français, reçoit une envoyée spéciale de l’Elysée, bénéficie d’un soutien de tel parti politique. Bref, un ‘’rapprochement’’ avec Paris qui finit par agacer Dakar.

Jadis logés à la même enseigne que la presse sénégalaise (fake news, supports de propagande), les médias français sont maintenant portés au pinacle par l’opposition depuis les évènements de juin 2023, notamment à la suite des enquêtes réalisées sur ces ‘’forces occultes’’ qui opèrent à côté de la police et de la gendarmerie. Aujourd’hui, du côté de Pastef, ce sont les médias occidentaux qui sont les chantres de l’équilibre, de l’information juste et vraie, alors que la presse sénégalaise est accusée d’être à la solde de Macky Sall.

D’un camp à l’autre, on jubile ou rumine sa colère… en attendant que la boule médiatique tourne encore une nouvelle fois ! 

Sécurité frontalière et maritime : Le général Moussa Fall appelle au relancement de la coopération multilatérale et des mécanismes d’échanges

général Moussa Fall
général Moussa Fall

Le général Moussa Fall a ouvert ce lundi 10 juillet 2023 à Dakar, la cérémonie d’ouverture de la réunion de la commission organisation du service de l’association internationale des gendarmeries et forces de sécurité à statut militaire (FIEP). Face à ses pairs de la Tunisie, de l’Italie, du Portugal, de l’Espagne, … le haut commandant de la gendarmerie nationale a exprimé sa gratitude, pour la confiance accordée à la Gendarmerie nationale du Sénégal d’organiser la « commission Organisation du Service » de la FIEP.

Le général Moussa Fall croit dur comme fer que pour contrer les menaces de toutes sortes, il faut relancer la coopération multilatérale et renforcer les mécanismes d’échanges de bonnes pratiques indispensables pour surmonter nos préoccupations sécuritaires similaires et transversales.

Le thème de cette rencontre sur lequel les acteurs de la sécurité vont se pencher durant ces 48 heures porte sur « l’impact d’un conflit régional sur la sécurité publique dans les domaines de compétence des Forces de Gendarmerie et assimilées ».

« Capacités des forces de police à statut militaire face aux menaces issues des conflits régionaux. Approche sur la Protection de l’environnement et le contrôle des flux migratoires. Une bonne maîtrise des conflits régionaux appelle des formes particulières de coopération, bilatérale ou multilatérale, entre forces de sécurité nationales amies et partenaires, acteurs directs ou parties prenantes sur le terrain »,  note le général.

Toutefois, il se dit conscient de l’existence de terreaux fertiles pour le développement du risque terroriste. « L’orpaillage clandestin exercé dans les régions Est et sud-Est du Sénégal fait de cette part de frontière un terreau fertile pour le développement du risque terroriste. Il draine un lot de criminalités d’opportunité, de trafics en tous genres et de dégradations importantes de l’environnement et hausse le niveau d’alerte dans une région ouest-africaine quelque peu épargnée par les grands défis du climat », conclut le haut commandant de la gendarmerie nationale qui s’attend à des recommandations pour contrer toutes sortes de menaces extérieures. 

Photos / Déthié Fall reçu par le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha

Déthié Fall reçu par le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha
Déthié Fall reçu par le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha

En prélude à sa tournée nationale pour le parrainage dans le cadre de l’élection présidentielle du 25 février 2024, Déthié Fall, président du PRP, a effectué un ziar auprès du Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké. Témoignant toute sa reconnaissance et sa gratitude pour les actes significatifs que le Khalife ne cesse de poser afin de consolider la paix, il a profité de l’occasion pour solliciter des prières pour sa candidature.

Après la décision du Président Macky Sall de ne pas se présenter à l’élection présidentielle, il a sollicité du Khalife des prières, afin que suivent d’autres actes, pour une organisation d’élections libres, transparentes, avec la participation de tous les candidats.

Le candidat à l’élection présidentielle de 2024, souhaite que l’option de faire rayonner davantage l’image de la démocratie du pays, à travers le monde, soit choisie.

Photos / Déthié Fall, président du PRP, chez le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha
Photos / Déthié Fall, président du PRP, chez le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha
Photos / Déthié Fall, président du PRP, chez le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha
Photos / Déthié Fall, président du PRP, chez le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha
Photos / Déthié Fall, président du PRP, chez le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha

Général Moussa Fall, Haut commandant de la gendarmerie nationale : « Notre offre traditionnelle de sécurité est compromise … »

Général Moussa Fall
Général Moussa Fall

A l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la réunion de la commission organisation du service de l’association internationale des gendarmeries et forces de sécurité à statut militaire (FIEP), le général haut commandant de la gendarmerie nationale  Moussa Fall a profité de cette tribune pour faire le point. « Nous faisons face à des peuples plus exigeants à l’égard de leurs gouvernants, à des citoyens aux réactions spontanées, et parfois très agressives dans la forme de leur revendication. Nous faisons face à un monde de toutes les confusions, qui conçoit la violence comme un réflexe d’autodéfense, d’autoprotection ou tout simplement comme une posture légitime d’expression démocratique de son indépendance » fait-il savoir.

« Face à un tel environnement, notre offre traditionnelle de sécurité se trouve naturellement compromise. Les demandes de sécurité des populations imposent désormais un changement des paradigmes » souligne le haut commandant de la gendarmerie nationale.

Toutefois, le haut commandant de la gendarmerie nationale regrette la recrudescence des violences dans l’espace politico-social. « Ce choc naturel de volontés individuelles dans un espace que nous partageons en commun est généralement alimenté par des motifs incompréhensibles. Il est malheureusement le fondement des conflits auxquels les gendarmeries et forces de sécurité à statut militaire sont appelées à apporter des réponses justes, légales mais surtout proportionnées » regrette le général.