Nouvelle colère de Macky contre cette société française

Le chef de l’Etat Macky Sall ne décolère pas toujours contre Senac à propos de la renégociation de l’autoroute à péage. Les négociations qui ont commencé le 4 février butent sur l’intransigeance d’Eiffage qui joue au dilatoire avec le Gouvernement.  L’État sénégalais – représenté par l’Agence de promotion des investissements et des grands travaux, le ministère des Infrastructures dirigé par Omar Youm et celui de l’Économie d’Amadou Hott – entend renégocier la concession de l’autoroute Dakar-Aéroport international Blaise-Diagne (AIBD) sur instruction de Macky Sall Mais, le concessionnaire Senac SA, filiale du français Eiffage pilotée par Xavier Idier, s’y oppose. Eiffage semble jouer au dilatoire en repoussant l’échéance.

Ce qui a courroucé l’Exécutif. « Je ne comprends pas pourquoi vous ne réglez pas  cette affaire. Je vous ai plusieurs fois relancé sur ce dossier, mais je vois que les choses sont restées en l’état », s’est agacé Macky Sall lors du dernier Conseil des ministres.

La tension est déjà montée, récemment, à Dakar. En janvier, des propos attribués à Xavier Idier émettant de fortes réserves sur l’opportunité d’une renégociation avaient indigné le Forum civil, section locale de Transparency International, et Mbagnick Diop, le président du Mouvement des entreprises du Sénégal, qui s’est offusqué que « l’État n’a[it] pas perçu un seul centime des redevances de l’autoroute à péage ».

Ce qui a courroucé l’Exécutif. « Je ne comprends pas pourquoi vous ne réglez pas  cette affaire. Je vous ai plusieurs fois relancé sur ce dossier, mais je vois que les choses sont restées en l’état », s’est agacé Macky Sall lors du dernier Conseil des ministres.

La tension est déjà montée, récemment, à Dakar. En janvier, des propos attribués à Xavier Idier émettant de fortes réserves sur l’opportunité d’une renégociation avaient indigné le Forum civil, section locale de Transparency International, et Mbagnick Diop, le président du Mouvement des entreprises du Sénégal, qui s’est offusqué que « l’État n’a[it] pas perçu un seul centime des redevances de l’autoroute à péage »

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