Me Ngom : « Si j’avais divulgué un centième des secrets que je détiens, c’est tout l’édifice de notre Etat, voire du pays, qui allait être ébranlé »

Me Ngom : « Si j’avais divulgué un centième des secrets que je détiens, c’est tout l’édifice de notre Etat, voire du pays, qui allait être ébranlé »
Senegal's Interior Minister Ousmane Ngom speaks to the press in Dakar on February 16, 2012. The permanent sit-in that the youth movement "Y'en a marre" (Fed up) wants to organise is similar to "an offense of vagrancy", said Ousmane Ngom. The highly anticipated election in a country generally regarded as a democratic success story in Africa, has been riven with tensions over 85-year-old President Abdoulaye Wade's efforts to seek a third term in office. AFP PHOTO / MAMADOU TOURE BEHAN (Photo credit should read Mamadou Toure BEHAN/AFP/Getty Images)
Accablé ses détracteurs qui l’accuse de raconter des contrevérités quand il dit que l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade, avait montré de la réticence à appeler son challenger d’alors, Macky Sall, pour le féliciter au soir de sa victoire à la Présidentielle du 25 mars 2012, l’ex-ministre de l’Intérieur, Ousmane Ngom, persiste et signe.  

Le patron du Parti Libéral Ca Kanam, via sa Cellule de communication, déclare : « Ce n’est pas aujourd’hui que je vais révéler des secrets d’Etat alors que j’ai fait un septennat au ministère de l’Intérieur et donc je suis détenteur de milliers de secrets d’Etat et de secrets tout court ». 

Me Ousmane Ngom semble vouloir jouer sur les nerfs de ses contempteurs en ces termes : « Le Président Abdou Diouf a été le premier à dire, il y a vingt-cinq ans déjà, que Ousmane Ngom est une tombe (…) Si j’avais divulgué un centième des secrets que je détiens, c’est tout l’édifice de notre Etat, voire du pays qui allait être ébranlé ». 

Démenti sur toute la ligne par l’ancien Président de la Commission des Lois à l’Assemblée nationale, Me Abdoulaye Babou et l’ex-ministre de l’Energie, Samuel Sarr, sous le défunt régime libéral, Me Ousmane Ngom contre-attaque à sa manière : « Je crois que Samuel comme Me Babou font une confusion mentale ». 

Actusen

 

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