Les dommages subi par les enfants talibés d’un dahra ont été attribué, dans un premier temps par le dahra de Coki. Cette information qui semble erronée a fait réagir le chef du village de Coki Cheikh Diop, de surcroit ancien pensionnaire du célèbre temple de savoir. Extrêmement en colère, cette autorité administrative n’a pas cherché dix façons de critiquer l’opinion qui s’est empressé de mêler le nom du célèbre dahra de Coki à la maltraitance que ces enfants talibés ont subi dans la ville de Ndiagne à Louga. « la dimension internationale du dahra de Coki fait qu’il n’est mêlé ni de prés ni de loin à cette horrible histoire. Ceux qui ont véhiculé cette information ne réussiront jamais à terni l’image de ce temple du savoir ou plus de quatre milles pensionnaires y apprennent le Coran. Nous enseignons le Coran à Coki, quant à l’éducation des enfants, cela revient aux parents.
