« Le pays est entre les mains d’une petite mafia qui… » (TAS)

TAS

A l’issue d’une tournée de 8 jours dans Thiès, le président de République des valeurs peint un tableau sombre de la ville de Thiès. Thierno Alassane Sall estime que la capitale du rail est victime de ses autorités locales.

 « Une ville qui est en train de s’effondrer littéralement sous nos yeux parce que du point de vue économique, social et culturel, tout est en train de partir entre les mains d’affairistes qui sont en train de saccager littéralement la ville et c’est le reflet de la situation économique que vit le Sénégal. Le pays est entre les mains d’une petite mafia qui se partage tout. Du point de vue économique, le tissu industriel a disparu, les ouvriers, les artisans de Thiès n’ont plus de place dans la ville. Une ville qui n’a rien prévu. Le secteur informel représente 85% de l’activité économique, et pendant ce temps, les gens se sont partagé le domaine industriel de Thiès, ils se  sont partagé Thiapong, Poniène. C’était avant 2012 puis (ils) continuent aujourd’hui à faire des entreprises de reconnaissance dans la ville des rares terrains qui restent, pour se les partager », regrette l’ancien ministre Thierno Alassane Sall, au sujet du foncier local.

« Y a une mafia qui est en train de vendre les terrains de Thiès avec tout une chaine parce qu’ils n’ont aucun autre projet que de s’enrichir au détriment de la collectivité. Pendant ce temps, les écoles qui font la fierté de Thiès : lycée Malick Sy, Malick Kairé, Aly Lo sont en train de s’effondrer sous nos yeux. Une situation extrêmement grave » déplore-t-il.

 « Une ville qui est en train de s’effondrer littéralement sous nos yeux parce que du point de vue économique, social et culturel, tout est en train de partir entre les mains d’affairistes qui sont en train de saccager littéralement la ville et c’est le reflet de la situation économique que vit le Sénégal. Le pays est entre les mains d’une petite mafia qui se partage tout. Du point de vue économique, le tissu industriel a disparu, les ouvriers, les artisans de Thiès n’ont plus de place dans la ville. Une ville qui n’a rien prévu. Le secteur informel représente 85% de l’activité économique, et pendant ce temps, les gens se sont partagé le domaine industriel de Thiès, ils se  sont partagé Thiapong, Poniène. C’était avant 2012 puis (ils) continuent aujourd’hui à faire des entreprises de reconnaissance dans la ville des rares terrains qui restent, pour se les partager », regrette l’ancien ministre Thierno Alassane Sall, au sujet du foncier local.

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