Il n’existe aucun doute : ils ont merdé ! Eux, ce sont nos confrères de Jeune Afrique. Qui, inspirés par on ne sait pas quel diable, ont eu l’outrecuidance, en traitant de la polémique née du port de sac efféminé par Waly Seck au Sénégal, d’assimiler le port vestimentaire du fondateur du “Mouridisme”, Serigne Touba, de robe. «Tiens, pourquoi il porte une robe, lui ?”, a, maladivement, écrit le canard français.
Une manière pour nos confrères français de se demander « Quel crime horrible a donc commis celui qui se baptise lui-même « l’authentique El Fenomeno » (Ndlr : Waly Seck)? Nulle affaire de meurtre ni d’abus sexuel, mais un délit de port de sac. S’agirait-il d’un sac farci de drogue ou de petites coupures transportées pour le compte d’un ponte corrompu ? Que nenni ! ».
Pour Jeune Afrique, Waly Seck a posé « un acte de mode » perçu au Sénégal comme « un manifeste homophile. ».
Heureusement pour eux, nos confrères français se trouvent à des milliers de kilomètres de Touba, la Sainte. Sinon, ils feraient, à coup sûr, l’objet d’un châtiment historique de la part de talibés mourides, qui préfèrent mourir plutôt que de voir leur guide religieux être manqué de respect.
Pour rappel, il y a de cela plus d’un an environ que le Prophète PSL, Mohamed a été caricaturé par la Rédaction de Charlie Hebdo. Qui n’en était pas sortie victorieuse, car plusieurs de ses employés ont été tués, quelque temps plus tard, par des musulmans meurtris par cette humiliation.
