Harcèlement : Aby Ndour lâchée par ses témoins

Les premiers résultats de l’enquête sur le différend opposant Pierre Goudiaby Atépa à Aby Ndour confortent la thèse jusque-là avancée par le célèbre l’architecte.

Il ressort, par exemple, des dépositions des témoins que leurs déclarations vont à l’encontre des allégations de la chanteuse.

Pierre Goudiaby Atepa tient le bon bout dans son bras de fer judiciaire contre Aby Ndour. En effet, les auditions des témoins militent en faveur de l’architecte.

D’après des sources, le chauffeur de la chanteuse s’est complètement démarqué des déclarations de sa patronne mentionnées sur un procès-verbal.

Idem pour leur confrontation où ce dernier a toujours campé sur sa position déclarant n’avoir pas été témoin d’aucune scène de chantage encore moins de harcèlement.

Toujours, dans le cadre de ces auditions entamées depuis le début du différend entre Aby Nour et Atépa, le journaliste Pèdre Ndiaye, chargé de communication de l’artiste, a été entendu à titre de témoin dans la procédure judiciaire.

Dans ses déclarations, sans s’en rendre compte, il a pris le contre-pied de sa collaboratrice. Une situation qui affaiblit davantage la bonne dame et conforte la thèse de l’architecte. «Tous les témoins sont favorables à Pierre GOUDIABY Atépa.

La déclaration du journaliste Pèdre NDIAYE est en porte à faux avec celle d’Aby NDOUR», siffle une source sous le couvert de l’anonymat.

Entendue à plusieurs reprises par les policiers, toute seule, ensuite en confrontation avec Pierre GOUDIABY Atépa, son chauffeur, Abdourahmane BALDE et Pèdre NDIAYE, et enfin seule en confrontation avec Pédre NDIAYE, Aby NDOUR était «découragée» à sa sortie, mardi dernier, des locaux de la division de la lutte contre la cybercriminalité de Dakar, selon nos informations.

Alors qu’elle comptait beaucoup sur son chargé de communication et homme de confiance.

Sur la demande de l’avocat de Pierre GOUDIABY Atépa, le procès initialement prévu, hier, est reporté jusqu’au mardi 25 août 2020 par le juge de la troisième chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Dakar statuant en matière correctionnelle. Ce, pour le paiement de la consignation de 50 000 francs CFA.

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