Fatou Ndoye, l’épouse du jet setteur Don Diego se dévoile et revient sur les circonstances dans lesquelles elle a fini par tomber sous le charme de celui qu’on surnomme le milliardaire saoudien.
Je suis Fatou Ndoye, j’ai 28 ans. Je suis l’épouse de Doudou Ndoye. Nous sommes mariés depuis plus d’un an et nous filons le parfait amour, malgré certains couacs. Je n’aime pas le fait qu’il fréquente les boites de nuit, des endroits ou l’alcool coule à flots, mais je n’y peux rien. Puisque je l’ai trouvé dans ce milieu, je prends mon mal en patience tout en essayant de le raisonner afin qu’il arrête de sortir la nuit. Nous nous disputons tout le temps à cause de cela et les voisins viennent à chaque fois nous calmer. Parfois je le menace de retourner chez mes parents, mais il revient m’implorer avec les larmes aux yeux et je finis par lui pardonner. Ce qui me préoccupe le plus, ce sont les filles, ces briseuses de ménage qui ne cessent de l’appeler, lorsque nous sommes ensemble. Je leur demande de laisser mon mari en paix, qu’elles ne bousillent pas notre couple. Mon mari et moi, nous nous aimons, elles n’ont qu’à aller voir ailleurs. Elles n’ont rien d’autre à faire qu’à tourner autour des hommes mariés, mais mon homme est à moi et à personne d’autre.
Je sais que Don Diego est quelqu’un de bien, un mari aimant et fidèle.Toutefois les jeunes filles ont plus d’un tour dans leurs sacs. A part cet aspect de sa vie, je n’ai rien à lui rapprocher. Il assume pleinement ses responsabilités de mari, il satisfait mes moindres besoins. Je ne manque de rien, je n’ai pas à me plaindre. Dans la vie de tous les jours, c’est un homme gentil et plein d’humour.
Nous nous sommes rencontrés lors lors d’une soirée de Salam Diallo au Nirvana. Il m’a accrochée et m’a fait croire qu’il était milliardaire. Je suis tombée dans le panneau. Le premier jour qu’il m’a rendu visite, il m’a offert 100.000f pour le petit déjeuner. Par la suite, il m’a fait croire qu’il était propriétaire d’un restaurant. Nous sommes sortis pendant presque un an et durant tout ce temps, il vivait dans une chambre. Il me disait qu’il occupait cette chambre parce que c’était plus proche de son restaurant, au lieu de rentrer à des heures tardives à son domicile aux Almadies. Au fil du temps, j’ai appris à l’aimer et quand j’ai su qu’il n’était pas milliardaire, c’était trop tard. Mes amis me disaient de le laisser tomber, car il n’était qu’un bon à rien, un ivrogne. Toutefois, mon coeur avait déjà choisi et je ne regrette rien… » » a-t-elle confié dans au site Sanslimitesn.com .
Je sais que Don Diego est quelqu’un de bien, un mari aimant et fidèle.Toutefois les jeunes filles ont plus d’un tour dans leurs sacs. A part cet aspect de sa vie, je n’ai rien à lui rapprocher. Il assume pleinement ses responsabilités de mari, il satisfait mes moindres besoins. Je ne manque de rien, je n’ai pas à me plaindre. Dans la vie de tous les jours, c’est un homme gentil et plein d’humour.
Nous nous sommes rencontrés lors lors d’une soirée de Salam Diallo au Nirvana. Il m’a accrochée et m’a fait croire qu’il était milliardaire. Je suis tombée dans le panneau. Le premier jour qu’il m’a rendu visite, il m’a offert 100.000f pour le petit déjeuner. Par la suite, il m’a fait croire qu’il était propriétaire d’un restaurant. Nous sommes sortis pendant presque un an et durant tout ce temps, il vivait dans une chambre. Il me disait qu’il occupait cette chambre parce que c’était plus proche de son restaurant, au lieu de rentrer à des heures tardives à son domicile aux Almadies. Au fil du temps, j’ai appris à l’aimer et quand j’ai su qu’il n’était pas milliardaire, c’était trop tard. Mes amis me disaient de le laisser tomber, car il n’était qu’un bon à rien, un ivrogne. Toutefois, mon coeur avait déjà choisi et je ne regrette rien… » » a-t-elle confié dans au site Sanslimitesn.com .