Exil de Karim…Ses partisans sifflent la fin de la récréation

Le Sénégal, jadis cité comme exemple de la démocratie, vitrine de la défense des droits humains, glisse de plus en plus vers l’abime et la décadence. En effet, sous l’emprise d’un homme qui a visiblement perdu tout contrôle du navire et qui se dirige inéluctablement vers le gouffre en y entrainant un peuple innocent, il est temps que les forces vives de la nation sénégalaise puissent se retrouver et s’unir pour arrêter cette dérive qui n’a que trop duré.

Au sortir des dernières élections chaotiques et frauduleuses, l’incompétent régime de Macky Sall a appelé à un dialogue national.

Devant ce qui est convenue de qualifier de mascarade électorale, le mieux aurait été de répondre aux préalables posés par l’opposition à savoir :

Un audit indépendant du fichier électoral, la mise sur pied d’une autorité indépendante en charge de l’organisation des élections et la nomination d’une personnalité indépendante au ministère de l’intérieur.

L’opposition recommande de se conférer au livre blanc de la coalition gagnante wattu Sénégal.

La satisfaction de tels préalables aurait été un bon gage de la sincérité de l’appel au dialogue du président Macky Sall. Hélas, nous constatons avec désolation qu’il est toujours dans sa logique de diversion. L’opposition n’a pas son temps.

En plus, il faudrait qu’il comprenne qu’il ne saurait y avoir un dialogue inclusif et sincère si Karim Wade est maintenu en exil forcé et si Khalifa Sall est maintenu en prison.

Pour nous Karimistes, la fin de l’exil de notre candidat demeure la première condition de toute participation à un quelconque dialogue.

Nous invitons le PDS à camper sur sa position et à réunir avec les Karimistes de tout bord les conditions nécessaires pour un retour immédiat de notre candidat.

De cirque en cirque, il nous a été servi une piteuse image de la soumission de notre pays devant le colon Français.

A l’occasion d’un séminaire intergouvernemental, les dirigeants actuels de notre pays ont encore montré leur incapacité à conduire les destinées de notre pays de façon libre et entière.

A l’heure où les pays cherchent leur voie de salut en prenant des initiatives tendant à affirmer leur véritable indépendance, notre pays s’illustre pitoyablement en se jetant pieds et mains liés dans le Joug du colon.

Hélas, avec Macky Sall notre pays rétrograde de 50 années en ressuscitant la communauté chère au général De Gaule et en posant dangereusement les conditions d’expropriation de nos ressources gazières et pétrolières.

Si on sait qu’il venait juste d’hypothéquer l’avenir de milliers d‘élèves en répondant favorablement aux injonctions du président Turque sur la fermeture des écoles Yawuz Selim, on peut, sans risque de nous tromper, affirmer que le président Macky Sall est entrain de trahir son peuple.

L’axe MACRON-ERDOGAN constitue aujourd’hui le nœud gordien de la politique étrangère faite de soumission et de compromission de notre pays.

Le mouvement ASSKAW s’indigne d’une telle posture et attire l’attention de l’opinion nationale et internationale.

Comme pour prêter voix au chapitre et s’attirer la sympathie du roi, le très mal placé Cheikh Yérim Seck a senti la nécessité de faire passer ses mensonges et ses délires comme vérité. En tentant de jeter le doute sur la candidature de Karim Meissa Wade en 2019.

Comment un homme qui manque de retenu et de maitrise de soi, peut penser un seul instant que les Sénégalaises et les Sénégalais accorderont un peu de crédit à ses dires ?

Comment peut-il être si léger dans ses dires en omettant sciemment de citer l’avocat avec qui il aurait eu une telle discussion ?

Comment lui qui a appris les leçons de déontologie peut-il en manquer de façon aussi criarde ?

Nous lui conseillons à l’avenir de se faire petit et de longer les murs, car apparemment c’est la chose qui lui colle le mieux à la peau.

Nous, mouvement ASSKAW, décrétons la fin de la récréation et mettons en garde toute personne qui aurait le dessein de nuire aux intérêts de notre candidat en colportant sur lui des allusions sans fondement. Nous nous dresserons comme toujours et apporterons la réplique qui sied. Par la même occasion nous demandons à tous les mouvements Karimistes de rester sur leur garde et avoir confiance en leur candidat, qui bientôt regagnera ses terres qui lui sont précieuses.

Monsieur Karim Meissa WADE, demeure le seul candidat du PDS, et du mouvement ASSKAW, notre ambition intacte est de le porter à la Présidence du Sénégal dès 2019″.

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