«Le juge offre un sursis à Excaf». C’est en ces termes que Libération, dans sa parution de ce mercredi, annonce la suspension à titre provisoire de la vente des biens mobiliers du groupe Excaf Telecom.
Grâce à un appel déposé par son conseil Me Baboucar Cissé, la filiale du défunt Feu Ben Bass Diagne a été «sauvée in extremis». Un «petit» espoir. Le temps que les deux parties, Excaf et la banque islamique du Sénégal (Bis), discutent à l’amiable.
Le journal Liberation rappelle qu’une créance estimée à 1,7 milliard de francs Cfa due à la Banque islamique du Sénégal (BIS) est à l’origine de tous les maux qui lui tombent dessus. Une somme contractée pour financer l’acquisition de décodeurs et ses besoins en fonds de roulement dans le cadre du passage de la télévision analogique au numérique à travers la télévision numérique terrestre (Tnt).
Le siège abritant la RDV sis à la Sodida, ainsi que trois autres immeubles de Excaf devaient être vendus aux enchères.
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