Edito : Crises et délires au Palais : Yakham rechute, Marième Faye très inquiète

Edito : Crises et délires au Palais : Yakham rechute, Marième Faye très inquiète

Pour se faire distinguer par le nouveau régime le journaliste, à la solde des socialistes, qu’il était, avait été le premier à s’offusquer des agissements de « la dynastie Faye Sall ». Il avait expérimenté la stratégie qui consiste à louvoyer pour se faire entretenir sous Me Wade, qui lui avait remis moyens financiers et logistiques pour créer son journal.

Edito : Crises et délires au Palais : Yakham rechute, Marième Faye très inquiète

Il l’a améliorée et affinée sous Macky Sall. Ce qui lui a permis de devenir « secrétaire d’Etat à la Communication ». Depuis Yakham Mbaye insulte même les responsables du parti présidentiel, qu’il a rallié. Aboyant et attaquant, tel un chien enragé, contre qui s’approche de son nouveau maître, non content d’avoir servi une mise en demeure à la 2s Tv, dont l’animateur-chroniqueur a osé appelé à la lutte contre l’esclavagisme à nos frontières, Yakham a repris sa plume pour mieux apeurer. Dans sa lettre, bourrée de fautes, à « un ami », s’il en a, il a tenu à rappeler que c’est parce qu’il ne voulait pas subir l’épreuve du Baccalauréat, ce qui est déjà pathologique pour un élève sain d’esprit, que son frère « Pym » lui avait collé un gardien pour le surveiller, oubliant de nous avouer que c’était pour le faire réussir. Car jamais un candidat ordinaire n’a eu ce privilège et son frère Pym était l’homme à tout faire d’Ousmane Tanor. Quand on garde un simple élève né à Richard-Toll d’un père lambda, c’est qu’il ya anguille sous-roche. Yakham de tonner triomphalement que son Bac, il l’a décroché avec mention à 21 ans. Ce qui n’est pas si extraordinaire, parce que les psychopathes ne sont pas des gens ordinaires. Yakham s’est gardé de dire que s’il a fait une partie de son cursus en France, c’était grâce à l’amitié qui liait son frère Pape Yama Mbaye « Pym » à Ousmane Tanor Dieng, alors puissant ministre d’Etat chargé des affaires présidentielles. Il s’est gardé aussi d’avouer qu’il a été interné dans un centre psychiatrique français, pour ses instincts suicidaires, son caractère belliqueux et son accoutumance à … Il traîne plus que jamais sa névrose, pour avoir fait vaciller la République en piquant une crise contre les anti-esclavagistes et en délirant pour tenter de se fabriquer un passé et un présent élogieux ; oubliant que son itinéraire est à l’image d’un ruisseau. Il s’est même permis d’attaquer les mœurs de son « ami », pour certainement que personne ne sache que nommé « secrétaire d’Etat » à ne rien faire, il avait répudié ses deux femmes le même jour, pour convoler quelques jours après avec une autre plus claire et branchée, qui le larguera. Qui ne peut gérer un foyer n’a pas sa place au sommet de l’Etat. C’est pour s’y maintenir qu’il est le garçon d’honneur de la Première dame, qui est la « ndieuké » de toutes les épouses qu’il collectionne. Un fou n’a pas de goût, c’est connu. « Galou doof dou tère ». Une embarcation d’un dingue n’accoste jamais, de l’avis des lébous qui sont des connaisseurs dans ce domaine. C’est pourquoi Marième Faye Sall, de la dynastie » s’est faite le devoir d’actionner son ministre de tutelle, Mbagnick Ndiaye qui ne cache pas lui devoir sa nomination dans le Gouvernement, afin qu’il le réconcilie avec le patron de la 2s Tv, qui est un pote de son mari. Ce qui est une autre dérive pour la République. Car, elle n’a pas à opposer aux crises et délires des réactions outres que l’appel à des psychiatres et psychologues. Dans une République normale des psychopathes n’ont pas leur place. Yakham en est indéniablement un. Parce que quelqu’un qui a rang de ministre est tenu au droit de réserve et ne peut donc publiquement taxer indirectement le chroniqueur Tounkara, depuis le Palais, d’être de mauvaises mœurs et d’être un « avorteur ». Depuis Marième Faye consciente d’être la marraine d’un psychopathe, sujet à des crises inattendues et très violentes même en privé, selon une de ses ex, est très préoccupée par ce que pourrait lui réserver prochainement son malade. Car Marième, Faye Birame, sait que « doof dou wère, daye tané rek ». Comme quoi, on n’émerge jamais de l’abîme de la folie.

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