«Ce n’était pas évident. Mais là, on peut dire que c’est une réussite totale. Il y a trop de contraintes à organiser un concert à Bercy. Déjà, il y a la barrière de la langue pour nos artistes qui n’ont pas l’habitude de cette très grande scène. Pape Diouf l’a maîtrisée de bout en bout, a commencé le spectacle avec ses anciens morceaux et n’a pas permis au public de souffler. Ça lui a permis d’entrer en scène. Sa reprise du morceau «Yarou» de Youssou Ndour a amené le public à l’extase. Il faut le féliciter. Il faut que nos artistes osent affronter des salles de ce genre. Pape Diouf a osé et a réussi. C’était un pari d’organiser à Bercy. Il faut que nous, Africains, organisions à Paris, New York. Il faut aller dans les organisations de grande masse. Le public en Europe en demande.»