Depuis l’arrivée des chinois, il n y a plus d’ânes en Afrique de l’ouest

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L’association professionnels de la viande et du bétail du Sénégal a déploré le phénomène des abattages clandestins des animaux en particulier des ânes et de leur commercialisation dans le pays. Elle a fait face à la presse hier dans les locaux de la sogas ex seras. Les entreprises chinois sont accusés de porter le bonnet d’ânes du fléau des abattages clandestins et de la commercialisation des bêtes de somme. Depuis l’arrivée des chinois confirme M. Fall, il n y a plus d’ânes au Burkina-fasso et le phénomène prend forme au Mali. A l’en croire, les chinois ont envahi le marché sénégalais, mais dés les premières semaines d’abattage il indique avoir alertés les autorités étatiques, notamment le ministère de l’élevage qui sorti un arrêté pour interdire l’abattage des ânes destinés à l’exportation mais uniquement pour maintenir le rythme de la sogas aux fins d’alimenter les parcs du pays. M. Fall a fustigé sur la même lancée la commercialisation anarchique de la viande et la prolifération des étals à chaque à chaque coin de rue. Aussi décrie l’attitude  des marchands véreux de viande et martèle :  » le phénomène des abattages clandestins des ânes est dû aux vols de bétail, à l’abattage clandestin et à la commercialisation anarchique de la viande » a soutenu le président.

Sanlimitessn.com avec Grand place.

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