Crime crapuleux à Bakel : le patron de « Waraba Transport»

Crime crapuleux à Bakel : le patron de « Waraba Transport» atrocement tué à coup de briquesC’est l’émoi et la consternation à Bakel, suite à l’assassinat d’Issa Koné, 46 ans, opérateur économique et patron de la société de transport «Waraba», dont les bus desservent plusieurs localités du pays. Selon ses proches, il aurait été tué à coup de briques. De mémoire de Bakelois, jamais pareil crime n’avait été déploré dans la localité. Pour ce crime non plus, le ou les auteurs n’ont pas encore été identifiés. Toujours est-il qu’ils laissent sur place une veuve, cinq orphelins et un voisinage consternés et inconsolables. Et pour cause, insoutenable est l’image du défunt allongé à la devanture des locaux de sa structure (Hlm de Bakel), gisant dans une mare de sang, la tête littéralement fracassée, du fait des coups de briques reçus de la part de ses bourreaux. À côté de la dépouille, une grosse pierre maculée de sang. Ses proches qui peinent à s’expliquer une telle violence, décrivent un homme sociable, très engagé pour le développement de son terroir. Dans leurs investigations, les pandores locaux ont constaté que la porte de l’agence «Waraba Transport» a été défoncée, mais que rien n’a été emporté. Au terme des constats de la gendarmerie, les sapeurs-pompiers ont été réquisitionnés pour acheminer le corps sans vie à la morgue du district sanitaire de Bakel. Enseignant officiant à Bakel, M. Dembélé connaissait bien le défunt. Consterné, il témoigne : «Issa était un homme sans histoire, fier de son terroir, toujours disposé à soutenir la population et très engagé pour le développement de la localité. C’est ce qui l’avait poussé à créer sa structure de transport qui a permis de désenclaver la zone.» Dans son sillage, Mamadou Fall, alerte : «Ce crime sera un coup dur pour l’économie de la zone. Par devoir de mémoire pour le défunt, il faut dire plus jamais ça. Nous interpellons les plus hautes autorités pour le renforcement de la sécurité à Bakel et aux autres localités frontalières avec le Mali et la Mauritanie. Nous le savons, ces pays font conséquemment face à un grand banditisme. L’État doit prendre cette question des frontières très au sérieux pour parer à toutes éventualités.» Peiné, amer, Alassane Sidibé, oncle du défunt, ne mâche pas ses mots : «Je suis indigné par les circonstances atroces de la mort de mon neveu. Issa a été lâchement tué. C’est sa famille, ses proches et toute la localité qui en pâtiront. Tout cela pour quelle raison ? Les lâches qui ont commis ce crime odieux doivent payer.» Du coté des forces de sécurité (police et gendarmerie), les investigations sont en cours et une chasse à l’homme est lancée pour retrouver le ou les auteurs de ce meurtre au mobile jusque-là, inconnu.

C’est l’émoi et la consternation à Bakel, suite à l’assassinat d’Issa Koné, 46 ans, opérateur économique et patron de la société de transport «Waraba», dont les bus desservent plusieurs localités du pays. Selon ses proches, il aurait été tué à coup de briques.

De mémoire de Bakelois, jamais pareil crime n’avait été déploré dans la localité. Pour ce crime non plus, le ou les auteurs n’ont pas encore été identifiés. Toujours est-il qu’ils laissent sur place une veuve, cinq orphelins et un voisinage consternés et inconsolables. Et pour cause, insoutenable est l’image du défunt allongé à la devanture des locaux de sa structure (Hlm de Bakel), gisant dans une mare de sang, la tête littéralement fracassée, du fait des coups de briques reçus de la part de ses bourreaux.

À côté de la dépouille, une grosse pierre maculée de sang. Ses proches qui peinent à s’expliquer une telle violence, décrivent un homme sociable, très engagé pour le développement de son terroir.

Dans leurs investigations, les pandores locaux ont constaté que la porte de l’agence «Waraba Transport» a été défoncée, mais que rien n’a été emporté. Au terme des constats de la gendarmerie, les sapeurs-pompiers ont été réquisitionnés pour acheminer le corps sans vie à la morgue du district sanitaire de Bakel. Enseignant officiant à Bakel, M. Dembélé connaissait bien le défunt.

Consterné, il témoigne : «Issa était un homme sans histoire, fier de son terroir, toujours disposé à soutenir la population et très engagé pour le développement de la localité. C’est ce qui l’avait poussé à créer sa structure de transport qui a permis de désenclaver la zone.» Dans son sillage, Mamadou Fall, alerte : «Ce crime sera un coup dur pour l’économie de la zone. Par devoir de mémoire pour le défunt, il faut dire plus jamais ça. Nous interpellons les plus hautes autorités pour le renforcement de la sécurité à Bakel et aux autres localités frontalières avec le Mali et la Mauritanie.

Nous le savons, ces pays font conséquemment face à un grand banditisme. L’État doit prendre cette question des frontières très au sérieux pour parer à toutes éventualités.» Peiné, amer, Alassane Sidibé, oncle du défunt, ne mâche pas ses mots : «Je suis indigné par les circonstances atroces de la mort de mon neveu. Issa a été lâchement tué. C’est sa famille, ses proches et toute la localité qui en pâtiront.

Tout cela pour quelle raison ? Les lâches qui ont commis ce crime odieux doivent payer.» Du coté des forces de sécurité (police et gendarmerie), les investigations sont en cours et une chasse à l’homme est lancée pour retrouver le ou les auteurs de ce meurtre au mobile jusque-là, inconnu.

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