Cheikh Amar : « Mon fils est parti trop tôt, je fondais beaucoup d’espoir sur lui car… » Je ne savais même pas qu’il avait aidé une …

Mon fils est parti trop tôt, je fondais beaucoup d’espoir sur lui
Mon fils est parti trop tôt, je fondais beaucoup d’espoir sur lui

Cheikh Amar est inconsolable. Il n’arrête pas de pleurer son fils aîné, Serigne Saliou Amar, décédé à Paris hier, jeudi 11 mai, à l’âge de 21 ans. «Il n’est jamais facile, dans de pareilles circonstances, d’accepter la réalité», s’écroule l’homme d’affaires avant de tenter de se ressaisir : «Mais devant la volonté divine, on ne peut que se résigner.»

La douleur de Cheikh Amar est d’autant plus intense, souligne-t-il dans L’Observateur, qu’il a perdu perdu et enfant et un successeur. Il dit : «Mon fils est parti tôt et il laissera un grand vide autour de nous. Je l’ai vu grandir depuis sa tendre enfance. Le choc de disparition est brutal. Il avait toutes les prédispositions pour assurer ma relève. Je fondais beaucoup d’espoir sur lui. Je n’aurais jamais cru qu’il allait partir avant moi.»

«Serigne Saliou était très généreux et très discret, témoigne l’homme d’affaires devant les personnes venues lui présenter leurs condoléances. Je ne savais même pas qu’il avait aidé une pauvre dame malade et dans la détresse.»

 

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