Arnaque a touba le correspondant de la rfm dans interpelé.

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Caravane du grand magal de Touba…Les journalistes dénoncent un groupe de faucon autour du porte parole.

C’est un groupe d’individus nourris par la facilité qui étouffent le porte-parole, les journalistes reporters parlent de faucon. Depuis presque trois ans, à l’approche du grand magal, les autorités du comité d’organisation organisent une caravane à travers le pays et à l’étranger pour mieux propager les enseignements du vénéré Cheikh Ahmadou Bamba.

La presse chargé de les accompagner dans le traitement et la diffusion de l’information est des fois victime de mauvaise prise en charge. La faute d’abord aux patrons de presse qui ne mettent pas leurs reporters dans d’excellentes conditions de travail pour éviter certaines dépenses.

D’autre part le comité d’organisation qui s’engage à fournir aux journalistes ce dont ils ont besoin pour mieux les canaliser. Dans le premier cas d’espèce, les journalistes méconnaissent les règles du travail quand ils se permettent d’accepter d’être pris en charge et désintéressés, ils se retrouvent dans une situation où informer juste et vrai leur devient difficile car ils ont été choyés par les organisateurs qui leur imposent les règles du jeu.

A partir de ce moment, on cesse d’être journaliste mais « banabana journaliste ». Sans éthique et déontologie on prêche le faux au vu et au su du patron de presse qui encourage le « banabana et minimise le vertueux journaliste. Cet amer constat perdure parce que les patrons de presse sont obsédés par l’aspect mercantile : Ce qui importe c’est le commercial,
faire le maximum d’économie et arriver à satisfaire leur programme.

On ne demande pas aux journalistes de ne pas frayer avec les organisateurs des événements mais de bien définir les relations pour ne pas tronquer leur plume ou raconter des contrevérités. S’agissant de l’entourage de Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadre président du comité d’organisation et en même temps porte-parole un groupe d’individus véreux servent d’intermédiaire entre lui et la presse.

Ces gens fond du magal une aubaine car il leur permet de satisfaire leurs besoins comme il le faut sur le dos des journalistes. L’année passée on nous parle de 30 millions de FCFA dégagés pour les besoins de la communication, mais malgré cela, les reporters ont souffert durant toute la durée de la caravane et ont été rémunérés à hauteur de 5000 F CFA par
jours pendant les dix jours du périple.

Pour quoi cette rémunération ? C’est ce que demandent les lecteurs, auditeurs et téléspectateurs qui s’informent à partir d’eux. Cette année lors de la réunion consacrée à la préparation de la caravane, les journalistes reporters réclament 20.000 F CFA d’indemnité par jours.
Est-ce là aussi une obligation car la logique voudrait que les patrons de presse fassent le nécessaire pour prendre en charge les primes de leurs agents.

Selon certains confrères, il existe un lobby autour du porte-parole qui défalque l’argent de la presse pour se faire la part belle. Les reporters dénoncent et portent à la connaissance du marabout que certains à son sein ne sont tentés que s’enrichir illicitement. La recommandation est la suivante : Que ces hommes de la presse sachent que ce qu’on les donne n’est pas un droit.

Qu’ils le reçoivent ou non, ils sont censés faire leur travail et pour les faucons qui ceinturent le marabout qu’ils aillent travailler c’est plus bon pour eux que de magouiller et se nourrir sur le dos du marabout. Plus grave encore la magouille dont se livrent certains correspondants
locaux.

C’est le cas de l’observateur dont son correspondant AB.S. En deux rencontres il a reçu presque un million de F CFA du comité d’organisation pour remettre des muettes à ses confrères qui ont en retour interpellé Serigne Cheikh Basse pour lui informer de la maladresse d’AB.S.

Lors de la première conférence du porte-parole selon nos sources il avait reçu 400.000. F CFA et pendant le CRD du grand magal, il a reçu 600.000.F CFA.

Sa gourmandise a fait que ses relations avec le reste du groupe ne sont pas au bout fixe et pourtant les mois passés, il était dans des démêlés avec la justice sur un véhicule de marque RIM qu’il avait vendu à un condisciple qui la conduit à trois mois de sursis.

Quel journaliste maladroit ! Alors qu’il se réclame coordonnateur de la presse. Beaucoup de patrons, responsables et autres dignitaires des villes de Mbacké et de Touba doutent de sa crédibilité à cause de ses agissements. L’entourage du khalife général des mourides l’attend au virage avec ces derniers temps la pression qu’il exerce sur certains proches du marabout pour les soutirer des sous, le cas de Mor Anne Gueye en est un exemple.

MOR TOURE LAMP FALL TV

 

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