Affaire Jeune Afrique : Cheikh Yérim Seck et Cie en payent, injustement, les pots cassés

YERIM SECK

Vilipendés à tort sur la toile pour avoir, une époque de leur vie, collaboré avec l’hebdomadaire Jeune Afrique, des journalistes sénégalais en prennent , injustement, pour leur grade sur les réseaux sociaux visités par Actusen.com. Dommages collatéraux ?

Victimes collatérales de la caricature du fondateur du “Mouridisme”, Serigne Touba, par Jeune Afrique qui continue d’alimenter l’actualité au Sénégal, les journalistes sénégalais, qui ont fait les beaux jours de la Rédaction du Magazine parisien, sont traités de tous les noms d’oiseaux sur les réseaux sociaux.

De Cheikh Yerim Seck à Abou Abel THiam, en passant par Cécile Sow, personne n’échappe à la lapidation médiatique et les internautes les moins avertis accréditent la thèse de leur implication dans cette affaire salissante pour notre pays. Seulement, à la vérité, ces belles plumes critiquées à tort ne sont ni de prés ni de loin liées à cette affaire.

La preuve, si le co-fondateur du site Dakaractu a été, durant des années, le journaliste attitré des questions africaines, il n’en demeure pas moins que Cheikh Yerim Seck a quitté ses fonctions à Jeune Afrique et ne représente plus les intérêts de l’Hebdomadaire en Afrique de l’Ouest. Il en est de même pour le proche collaborateur du Chef de l’Etat, Abou Abel Thiam, qui a quitté ses fonctions, depuis belle lurette, pour servir son compagnon politique au Sénégal. D’autres citoyens sénégalais, comme Cécile Sow, ont participé à l’aventure; mais ne peuvent, en aucun cas, payer les pots cassés dans cette actualité médiatique.

Samba THIAM (Actusen.com)

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