Ousmane Sonko est un homme né dans la violence, bercé dans la violence et marche dans la violence. Même ses expressions sont empreintes de violence. Après les 14 morts du mois de mars, il n’a pas hésité à menacer l’état Sénégalais d’une seconde vague plus meurtrière. Et aujourd’hui, à la veille d’élections locales, il refuse de signer une chartre de non-violence initiée par le cadre unitaire de l’Islam au Sénégal. Que cache Ousmane Sonko ? Ces propos mènent tout droit vers un Sénégal en feu et à sang…
Ousmane Sonko ne signera aucune chartre de non-violence…Et c’est lui-même qui le dit. Du jamais vu dans l’opposition au Sénégal : « Certains ont pris l’initiative, en prélude des élections locales, de faire signer aux candidats une charte pour la non-violence. En ce qui me concerne, moi Ousmane Sonko, je ne signerai aucune charte de non-violence ». Des propos qui auraient défrayé la chronique dans un pays dit « normal ». Mais comme au Sénégal, on permet tout à Ousmane Sonko !
Sonko menace le président de la république…et cela dans chacun de ses discours. Sonko traite l’Assemblée nationale d’institution spécialisée dans la fraude fiscale ; il menace les avocats contre lui. Il arrête des policiers qui font leur travail. Il menace le haut commandant de la gendarmerie. Et sans sourciller, il reconnaît devant toute la nation qu’il est violent : « Qu’on dise que je ne suis pas un homme de paix, je l’assume »
Il faut avoir une arme secrète ou des fantassins prêts à découdre avec les forces de l’ordre et de sécurité pour tenir de tels propos et de les assumer. Sur quoi s’était basé le leader du Pastef pour parler de seconde vague encore plus meurtrière ? Sur quoi se base-t-il pour menacer le pouvoir en disant ce qui suit : « Seul celui qui veut se suicider décide de m’attaquer à Ziguinchor » lançait-il à l’encontre des partisans de Doudou Ka, un responsable de l’APR (pouvoir).
Seul un homme qui mesure sa force et ses capacités peut tenir de tels propos de défiance envers le pouvoir et les forces de l’ordre. Des rumeurs prêtaient à Ousmane Sonko, leader du parti Les Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF), de cacher des jeunes prêts au sacrifice suprême…comme des djihadistes ; Pendant les émeutes du mois de mars, les caméras de la police ont filmé des jeunes armés jusqu’aux dents descendre dans les rues. Et certains manifestants ont été tués à l’arme blanche. Des sources font état de manifestants victimes de « bandits » infiltrés.
Toutes les sources mènent à Ousmane Sonko. De leader « islamiste », il est passé l’homme qui terrorise les rues et menace le pouvoir. Et Ousmane Sonko doit avoir des bases solides sur lesquelles il peut compter en cas d’affrontement. Ousmane Sonko peut se prévaloir d’avoir des jeunes qui sont prêts à découdre avec les forces de sécurité dans la rue ; mais cela doit cacher autre chose ; Quand Sonko dit qu’il est prêt à affronter Macky dans la rue, ce n’est pas avec sa dizaine de gardes du corps mais bien autre chose qu’il cache à tout le monde.
La Rédaction de xibaaru