Habiter près d’une célébrité peut être un sujet de discussion intéressant à aborder lors des brunchs dominicaux… Or quand ces derniers se croient tout permis, cela peut vite devenir l’enfer.
Chris Brown,
l’enfant terrible Celui qu’on appelle Breezy est ce qui se fait de mieux sur le marché des pires voisins. Il faut plus que dix doigts pour compter les frasques de voisinage de Chris Brown. Parmi ces pépites, l’on retrouve l’époque où le rappeur organisait des courses de chiens dans les couloirs de son immeuble new-yorkais, sa petite manie de se garer sur les places handicapées ou encore son goût terrible pour la décoration. En effet, en 2013, l’interprète de Loyal a reçu de nombreuses plaintes après avoir fait taguer des monstres sur la palissade de sa villa à Hollywood. Des dessins qui auraient fait peur aux enfants du quartier, chose à laquelle il a répondu en tweetant : « Gardez vos enfants à l’intérieur ! C’est de l’art. Certaines créatures dans Harry Potter sont plus terrifiantes. Occupez-vous de vos pu**ins d’affaires ». Peut-être qu’ils auraient dû demander avec des cookies…
Christina Aguilera,
la sirène de Beverly Hills À la sortie de son single Dirrty (2002), Christina Aguilera a cassé son image de petite fille chérie de l’Amérique pour dévoiler un aspect plus trash de sa personnalité. C’est cette même année qu’elle a rencontré son ex-mari, Jordan Bratman, dont elle divorce 7 ans plus tard. La raison de ce dernier n’était certainement pas de l’ordre du désir mutuel puisque selon leurs voisins, le couple était friand de bains de minuit (et de midi) en tenue d’ Adam et Ève, mais aussi de parties de jambes en l’air bruyantes. Après tout, quand on a 4 octaves, autant s’en servir.
Hulk Hogan,
l’ami des bêtes Être un grand fan d’animaux est, certes, tout à fait respectable mais à moins d’avoir une organisation en béton, l’on peut vite être débordé. C’est ce qui est arrivé à Hulk Hogan. En 2005, l’ex-catcheur a reçu une plainte de ses voisins suite aux mauvaises odeurs, à la saleté et à la cacophonie causées par les « chiens, lapins, furets, coqs et poules » qui vivent dans le jardin de sa maison en Floride.
James Franco,
l’esprit créatif En mars 2014, les voisins de James Franco ont en eu plus qu’assez des nuisances causées par l’acteur et ont décidé de porter plainte contre lui. Selon eux, la villa que l’acteur loue dans le quartier de Silver Lake à Los Angeles serait uniquement utilisée pour tourner des films. À l’origine de cette théorie, les embouteillages constants et le manque de places pour stationner dans le quartier, la présence constante d’ équipes de tournage et les poubelles qui débordent constamment. C’est ça de vivre à côté d’un esprit en besoin constant de création.
Jude Law,
l’objet de fantasmes Nombreuses sont les étudiantes qui, au lieu d’écouter en cours, ont dû passer des heures à rêvasser à ce que pourrait être la vie au côté de Jude Law en espionnant l’acteur dans son jardin. En effet, les élèves de l’ université new-yorkaise NYU jouissaient d’une vue panoramique sur le domicile de l’acteur situé juste à côté. Une situation qui a, évidemment, embêté le Britannique de 43 ans qui, pour riposter aux voyeurs, leur lançait des fruits. On ne lui a jamais appris à ne pas jouer avec la nourriture ?
Justin Bieber,
le mal élevé Son air angélique pourrait faire penser le contraire or quand il s’agit de respect du voisinage, Justin Bieber est l’enfer incarné. En 2012, l’interprète de Sorry a été accusé d’avoir lancé des œufs sur la porte de ses voisins sans aucune raison. Un an plus tard, le Biebs aurait craché au visage d’un de ses voisins en le menaçant de le tuer après que ce dernier lui ait demandé de ralentir dans l’allée résidentielle. À ces incidents viennent s’ajouter le bruit et à la consommation de cannabis au quotidien.
Katy Perry,
la reine des vocalises À l’époque où John Mayer partageait la vie de Katy Perry, il n’y a pas qu’en chanson que ces deux-là testaient l’étendue de leur cordes vocales. En octobre 2012, certains voisins ont confié au magazine américain Star s’être plaint à plusieurs reprises « des relations sexuelles très bruyantes, souvent très tard et avec de la musique à fond » du couple. Quand le bonheur des uns fait le malheur des autres… Continuez votre lecture sur Vanity Fair
