( 06 Photos ) VOICI le parrain du Grand bal de Youssou Ndour à Paris Bercy

Diagna Ndiaye, parrain du Grand bal de Youssou Ndour à Paris Bercy

Après une pause de quatre ans, Youssou Ndour reprend son concert à Paris Bercy. L’ancien ministre du Tourisme de Macky Sall compte mettre les petits plats dans les grands, pour ce retour sur scène, le 18 novembre prochain. Après avoir récupéré ses ex-acolytes, Djimmy Mbaye et Habib Faye, le leader du Super Etoile de Dakar promet de casser la baraque.

Selon « Walfadjiri », il a choisi comme parrain du méga-show, le président du Comité olympique sénégalais, le très reseauté Mamadou Diagna Ndiaye. Avec ce dernier, c’est sûr que les gros bonnets de la France et d’ailleurs, seront de la partie.

Annoncée en grande pompe, les préparatifs de la soirée vont bon train. Les artistes, les animateurs, les fans, les invités entre autres, commencent à rallier la capitale française. Personne ne veut manquer cette soirée grandiose, qui a fini d’occuper les discussions des mélomanes.

Son célibat, sa fortune, son influence, ses réseaux : Diagna Ndiaye dit tout…
L’homme est, comme disent certains, un people. Sans doute, parce qu’il connaît tout le monde et tout le monde veut le connaître. En fait, peu le connaissent. Lui-même entretient le fou sur sa personne. Il n’écrira sans doute pas sa bio pour ne pas étaler aux yeux des n’importe qui son carnet d’adresses, le plus touffu du pays. Non d’Afrique.
Cet homme qui parcourt le monde, reçu partout avec les honneurs et devant qui toutes les portes s’ouvrent est un insaisissable homme d’affaires. Et rien d’autre. Il vivrait à Dakar, mais on le voit davantage à Paris. A Washington le banquier Diagna est dans son élément avec tous ces hommes en attaché-case qui font voltiger d’un clic d’ordinateur des milliards en toutes monnaies. Tiens, Abidjan serait l’endroit où il est accueilli avec tant d’honneurs que l’on se demande pourquoi tant d’apparat ; Et à Casablanca, il serait le « Sénégalais le plus marocain » dixit les Marocains eux-mêmes. En extrême orient, il a ses aises ; A Tokyo, on le réclame. Il s’appelle Diagna et non Ndiaye Mamadou, comme un Ablaye Diop quelconque. Il est petit de taille au point qu’on le distingue facilement parmi mille gladiateurs. Il attire ceux qui comptent à tel point que l’on penserait que c’est lui seul qui compte vraiment.
Grand homme ? Evidemment. Important ? Bien sûr. Montagne de secrets ? Aucun doute. Little Big Man ? C’est une parfaite description. Cela lui va comme un gant. Mais attention, il n’est pas le gars qui passe entre les gouttes sous la pluie. Encore moins le benêts Forrest Gump. En fait, personne ne le connaît vraiment. Peut-être son frère Jean Claude Mimran. Mais celui-là ne soufflera rien sur lui. Même un questionnaire serré comme devant un brigadier obtus n’y change rien.

 

1. L’élection au CIO est-ce un aboutissement de votre engagement sportif ?

C’est que me dit un ami sur le ton de la plaisanterie, ma médaille olympique. C’est une jolie formule.

2. On a comme l’impression que vous l’aviez en point de mire cette place au sommet du sport mondial…

Une idée fixe, en quelque sorte ? Pour moi, ce mot renvoie à un personnage d’Astérix. Très loin de ma réalité.

3. Est-ce aussi une revanche sur l’échec précédent avec le conflit entre la candidature de Abdoul Mbaye et la vôtre ?

Abdoul qui ? Non ! mais plus sérieusement non

4. En tant que dirigeant sportif, vous êtes vu comme un lobbyeur ? Vous savez trouver les moyens de réussir où peu
peuvent passer aussi facilement…

Il faut croire, alors, que faire du lobbying c’est travailler 25 heures par jour et huit jours par semaine. Vous voulez également dire que le prince de Machiavel et moi, nous ne faisons qu’un? quel compliment original pour un conciliateur né comme moi…

5. En dehors vos victoires de dirigeant au tennis, au CNOSS et ailleurs, combien de médailles avez-vous fait gagner aux sports sénégalais ?

Je veux bien prendre crédit pour faire partie de ceux qui créent les conditions de la performance. Mais, faut-il le rappeler, c’est aux athlètes, par leur constance dans l’effort, que revient le mérite de la victoire et de la médaille qui la consacre. Quand on aime, on ne compte pas ! Et combien j’aime votre question !…

6. Et si on vous accusait que votre engagement de dirigeant ne sert que vous-même, à votre ego pour toujours être au sommet…

Je confirmerai l’adage selon lequel « on ne peut contenter tout le monde et son père ! » Je dirais que chez l’homme en général, il y a toujours un fond de jalousie… Lorsqu’il s’agit d’accueillir le succès… mais bien sur… aucune malveillance dans votre question, juste de l’étonnement devant mon absence d’égo…

7. En montant au Comité exécutif du CIO, ne cherchez-vous finalement qu’à fructifier vos business dans le monde des affaires ?

D’abord, je ne suis pas au Comité exécutif du CIO, J’assume à la fois mon engagement sportif et ma passion pour les affaires. Mais il va falloir que vous m’expliquiez la relation de cause à effet entre ces deux mondes, si éloignés, à mon avis, qu’ils en paraissent antinomiques. Si l’un sert l’autre, ça profitera à tous… N’est ce pas la responsabilité d’un leader ?

8. On vous décrit comme un parfait opportuniste qui sait choisir le bon wagon sur tous les plans.

Je ne voyage pas en train. Pas même en TGV. A quoi bon se tromper de wagon ? Et pourquoi pas de train pendant qu on y est ? Si vous prenez un billet pour Saint-Louis, vous avez envie de vous retrouver à Ouagadougou? Non… Eh bien moi non plus.

9. Il se dit que c’est votre beau frère, l’ancien ministre de l’Economie sous Senghor, feu Babacar Bâ, qui vous a mis le pied à l’étrier ?

Si, comme vous le dites, il m’a mis le pied à l’étrier, convenez, avec moi, qu’il a bien fallu l’y garder ! Sérieusement, Babacar Bâ m’a encouragé, soutenu, et donné, sans compter de son temps et de ses conseils avisés. Cela ne s’oublie pas, Rien de mieux que la famille, n’est ce pas? J’aime ma famille.

10. N’avez-vous séduit un homme comme Mimran en raison de cette alliance ?

Il n’est pas que de séduire, encore faut il convaincre. Mimran est un homme avisé, comme tous les Mimran. La séduction n’est pas le mot dénominateur quand ils s’associent, et qu’ils vous veulent pour conseiller… le mot compétence me semble mieux correspondre…

11. Comment vous vous êtes connus ?

Chut !!! chut !!! Comme tout le monde par hasard.

12. Comment avez vous pu devenir un pion aussi important dans ce groupe familial ?

Pour qui connait les valeurs du groupe, il va de soi que l’on ne peut y devoir une position, quelle qu’elle soit, qu’à ses capacités ; et qu’il s’agit là d’une règle absolue. Un pion ? Vous voulez dire un membre du groupe… La confiance, la loyauté et le sérieux sont la trinité d’une belle association.

13. Mimran, Babacar Bâ, Diouf… qui sont ceux qui ont compté dans votre ascension ?

Toutes ces personnalités, que j’ai eu le bonheur de côtoyer, ont été d’un apport positif dans mon parcours et dans ma vie, tout court. Tous ont compté, tous comptent…

14. Dans les affaires au Sénégal, vous pouvez apparaître comme le nègre de service d’un homme d’affaires (Mimran) qui peut avoir des contraintes pour maîtriser l’écosystème social du pays ?

Monsieur Jacques Mimran s’est installé au Sénégal dans les années 1970, il y a 40 ans. Je veux bien croire que le Sénégal est un pays complexe, mais tout de même pas au point qu’il faille tout ce temps pour en maîtriser « l’écosystème social ». Vous ne croyez pas ? J’ai à cœur l’écosystème du pays, et ce que j’ai à cœur, je ne le fais jamais à contre cœur…

15. Ne défendez-vous que les intérêts de votre groupe contre même les intérêts de votre pays ?

Le GM vit et prospère au Sénégal parce que ses intérêts et ceux du pays convergent, puisque les fruits de sa croissance se répartissent entre l’investissement productif, l’emploi, la fiscalité, le mécénat et la responsabilité sociétale ; valeurs sur lesquelles il s’est construit naguère et se consolide aujourd’hui. Si je ne cherchais à défendre les intérêts de mon pays au delà des intérêts d’un groupe dans lequel je respecte bien évidemment mes engagements… Ça se saurait. Et comme c’est tout sauf le cas, je vois que vous ne pouvez résister à l’usage de l’esprit de contradiction… Je comprends… Il faut mettre à l’épreuve intellectuellement l’homme qu’on interviewe… mais interviewer, vous savez, ce n’est pas soumettre à la question… Ou alors je vous chante un passage de la Marseillaise !!! » contre nous de la tyrannie »….

16. Mimran est qui pour vous ? un patron ? Un ami ? Un partenaire en affaires ?

Tout cela et bien plus encore, c’est-à-dire les trois, mon général

17. Dans la famille Mimran, Jean-Claude est le plus connu. Comment se passe vos rapports avec les frères Robert ?

Les membres de la famille Mimran, toutes générations confondues, m’ont accueilli comme un des leurs. J’ai, avec eux, des relations de confiance, d’amitié et, oui, d’affection. Rapports professionnels au top, l’amitié et la confiance réciproque sont la… Et le reste, franchement, se place dans la case vie privée.

18. Et avec le reste de la famille ? On vous voit de plus en plus avec le fils de JCM, Nachson ? Comment ça se passe avec cette nouvelle génération ?

Je suis multi générationnel. Je m’entends très bien avec les plus jeunes et la jeunesse d’aujourd’hui.

19. Sans les Mimran que serait Diagna Ndiaye aujourd’hui ?

Une autre trajectoire, une autre destinée, sans doute. Qui peut savoir ?
Ce dont je suis certain, c’est que j’aurais gardé la même passion : le goût d’entreprendre, et celui de réussir. Je serai sans doute moi même

20. Vous êtes toujours proche des hommes politiques de tous les régimes. Comment vous faites ? Vous étiez proche de Abdou Diouf. Comment se sont construites vos relations avec l’ancien chef d’Etat ?

Une entreprise ou un Groupe de premier plan, leader dans son secteur d’activité et animée de patriotisme économique, est toujours en relation avec les décideurs politiques du pays où il exerce son activité. Au Sénégal, en France, comme en Chine. Que ces contacts puissent, éventuellement, prendre un tour plus personnel relève, pour un peu, de l’alchimie et, pour beaucoup, des circonstances.

21. Si vous deviez apprécier Diouf ? Que direz-vous de l’homme ?

Incontestablement un grand commis de l’Etat. Et une démarche, dans la conduite des affaires, qui ne manquait pas de panache.

22. Et Wade ?

Incontestablement un homme d’action. Et d’autorité

23. Ce ne fut pas simple avec les Mimran les relations avec l’ancien chef d’Etat Me Wade ?

Dites-moi tout…

24. Avez-vous eu des craintes pour l’avenir du Groupe avec Wade ?

Non vraiment pas

25. Son fils a été omniprésent. Il se dit que ce ne fut pas toujours agréable pour le groupe de travailler avec Karim ?
Karim Wade n’a jamais, que je sache, eu la charge des secteurs d’activité du GM, Quel groupe, quels individus ne rencontrent pas a certains moments, des difficultés à s’entendre, à communiquer ? Donnez-moi vite des conseils…
26. Il a été condamné par la CREI. Pensez vous vraiment qu’il est coupable de ce faramineux enrichissement ?
Laissons à ceux qui en ont la responsabilité le soin de dire le droit.

27. Macky Sall vous a fait ministre conseiller. Ne craignez vous pas d’être coupable de délit d’initié ?

Dans ma compréhension, c’est le conseiller qui partage son expertise, son savoir et ses connaissances. Il est donc l’initié. Pas le délit. Nietzsche disait « ce qui se fait par amour, s’accomplit toujours par delà bien et mal » Permettez-moi de remplacer le mot amour par « conviction en conscience ».

28. Diagna est aussi très connu en Afrique. Qui sont les chefs d’Etat que vous conseillez ?

Chut !!! Chut !!! Non plus sérieusement je ne suis pas prétentieux.

29. Ouattara et son épouse vous sont très proches. Comment s’est construite votre amitié ?

Je m’honore de l’amitié du Président Ouattara et de sa gracieuse épouse. Et dans mon livre à moi, l’amitié se nourrit de fidélité, de sincérité, de loyauté et de discrétion. Encore une fois, comme toutes les amitiés, avec le temps et des preuves de confiance à l’appui, qui ne font pas défaut… J’ai l’impression que vous me prenez pour Merlin l’enchanteur, parfois !

30. Vous êtes aussi bien introduit ailleurs en Afrique. Serait-ce des fraternités maçonniques ?

Décidément, rien ne me sera épargné (Rires…) Et pourquoi pas la confrérie des Harry Potter ? Bien plus puissante, je vous assure…

31. Etes-vous un franc-maçon ?

(Dans un grand éclat de rire) Et vous ? Je vais vous répondre avec mon franc parler. Ma vocation, c’est de faire tomber les murs…, pas de les dresser… Moi je suis maçon de l’ouverture…

32. Un converti au judaïsme ?

Et vous ? Vous êtes fatiguant, vous… Je respecte toutes les confessions, j’espère que vous aussi d’ailleurs… et vous connaissez pertinemment la mienne.

33. On ne vous voit pas dans les mosquées…

Ni dans les églises, ni dans les temples, ni même dans les… loges. J’ignorais que la mosquée était devenue « the place to be » pour être vu !!! Je ne suis pas certain que votre réflexion ne soit pas déplacée pour un pratiquant…

34. L’argent serait-il votre religion ?

Pas plus qu’elle n’est celle des millions de gens qui en gagnent tous les jours, peu ou prou, pour vivre. L’argent fait tourner le monde… de travers… Mais si plaie d’argent n’était pas mortelle… Ce monde dans lequel nous vivons, serait en parfaite santé!

35. Êtes-vous riche ? Très riche ? milliardaire ?

Selon quel étalon ? Quelle question! Pas digne de vous !

36. Que faites-vous de tout ce que vous avez dans vos comptes bancaires ? Les femmes ? Les palaces ? les belles montres ?

Puisque vous avez percé le secret de mes comptes bancaires, il ne me reste plus qu’à changer de banquier. Et maintenant vous me posez une question qui s’adresse à Donald Trump, de mieux en mieux… On s amuse !

37. Êtes-vous vraiment heureux en ne vivant nulle part ?

Sauf à penser que Dakar soit un coin perdu au milieu de nulle part… Je ne vis pas nulle part, voyons ! Je vais là ou bon me semble quand bon me semble ! Ça s’appelle la liberté. Mes racines africaines sont des racines volantes, à l’âme voyageuse.

38. N’aspirez vous pas au repos ?

Quand je ne serai plus. C’est long l’éternité. Le repos du guerrier, parfois.

39. Pourquoi êtes-vous encore célibataire à votre âge ?

Jeune homme bien sous tous rapports, cherche âme sœur désespérément. Qui sait, cette bouteille à la mer va peut-être changer le cours de mon existence ?

40. Ne regrettez vous pas d’avoir vécu entre avions, hôtels et restaurants et sans épouse et des enfants ?

J’ai bien plus d’enfants que je ne sais compter : neveux et nièces, filleuls et pupilles… Pour ne citer qu’eux. J’ai une filleule VM que j’adore.

41. Est-ce que cette solitude qui vous vaut toutes ces accusations d’homo ou d’impuissant ou d’apatride ?

Je vous rassure : je ne suis ni ermite ni ascète. Mais d’avoir réussi à préserver l’intimité de ma vie privée, dans un pays comme le notre, friand de rumeurs et de conjectures est, je le concède, assez jubilatoire. C’est tout ? Ce n’est pas beaucoup, ces trois adjectifs ! J’espère qu’on dit bien plus de nobles injures que celles ci, sur mon compte! A part ça, vous avez de la chance que je connaisse la tirade de Beaumarchais sur la diffamation, absolument par cœur! Je crains que vous ne l’ayez jamais lue !

42. Vous êtes d’une grande famille sénégalaise, mais votre singularité donne l’impression que la famille Diagna c’est vous tout seul ?

Les gens de ma famille mènent, au Sénégal et ailleurs, des vies gratifiantes, à l’abri du tumulte médiatique qui, en dispensant la notoriété, pense, bien à tort, dispenser les clés du bonheur. « Un pour tous, tous pour un » A vos classiques, messire!

43. En vous vous voyant si actif sur tout et n’importe quoi et n’importe où, vous courrez vers quoi et pourquoi ?

Je crois vous l’avoir dit, il me faudrait 25 heures pour boucler mes journées. Vous confondez avec AGIR.

44. Est-ce que vous ne serez comme les personnes de petite taille : hyper actif pour compenser ?

Vous connaissez le mot de Bonaparte ? La discrimination, maintenant ? Allez poser la question à Tom Cruise qui a ma taille !

45. N’êtes-vous pas frustrés de cette petite taille ?

Vous connaissez le mot de Bonaparte ? C’est pas la grandeur qui vous étouffe, vous !

46. De quoi chez vous êtes-vous le plus fier ?

Ma patience sans limites face à vos questions, alors que comme tout homme presse, je suis un impatient.

47. Quoi dans votre carrière vous a le plus frustré ?

Si je vous répondais, sur toutes ces questions, il ne me resterait plus qu’à jeter le texte de mes mémoires aux orties (Rires). Vous ne le saurez pas.

48. Quel est votre succès dont vous êtes le plus fier ?

Chaque pas vers une victoire pour le peuple africain, est une fierté.

49. Qui admirez-vous ?

Léopold Sédar Senghor pour son esprit d’organisation et de méthode

50. Dans quel pays êtes-vous le plus heureux ?

Dans le mien

51. Votre voyage préféré ?

Dakar – Saint-Louis

52. La femme de vos rêves ?

Elle est dans mes rêves, en attendant qu’elle entre dans ma réalité.

53. Votre première copine, qu’est-elle devenue ?

Présidente.

54. Avez-vous la nationalité française ? Ivoirienne ? Gabonaise ? Congolaise ?

Je suis sénégalais de cœur, d’esprit et… de nationalité, Vous êtes de la police? Il fallait le dire des le début..! Je saisis mieux le ton de l’interrogatoire, maintenant ! Tout s’éclaire !!!

55. Quel est votre véritable métier ?

Je ne pensais pas que c’était aussi confidentiel, banquier. Hier, aujourd’hui et demain.

56. Quel votre objectif aujourd’hui dans la vie ?

La vie.

57. N’avez vous pas peur de s’arrêter de courir le monde ?

On verra bien…

58. Vous avez une maison à Saint-Louis, quand est-ce que vous alliez y jouir d’une retraite méritée ? Comment voulez-vous vivre quand l’âge de s’arrêter aura sonné ?

Quand cet âge là aura sonné, ce n’est plus de vivre qu’il s’agira, mais bien de partir. Je vous enverrai un mail, le moment venu !

Thiof Magazine

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