Pros­ti­tu­tion dans la télé­réa­lité : Julia Paredes (Les Anges) balance sur les boîtes de…

Les société de produc­tion de télé­réa­lité véri­fient-elles si leurs futur(e)s candi­dat(e)s ont un passé dans l’es­cor­ting ? Selon Julia Paredes, vue dans Les Anges, Friends Trip et Les Ch’tis, c’est non, parce qu’elles « s’en foutent ».

Julia Paredes est une candi­date de télé­réa­lité tout ce qu’il y a de plus clas­sique. La jeune femme est appa­rue dans plusieurs émis­sions : Friends Trip, Les Anges 7 (où elle a marqué les esprits lorsqu’elle a percé sa prothèse mammaire en tombant dans la piscine) et plus récem­ment Les Marseillais et Les Ch’tis vs Le reste du monde. Comme la plupart de ses consœurs, elle a aussi fait de la chirur­gie (pour plus de 15 000 euros de budget), fait des inter­views dans des baignoires et du place­ment de produit sur Insta­gram. Une candi­date des plus banales, donc, qui s’ex­prime aujourd’­hui dans Public au sujet du scan­dale de la pros­ti­tu­tion dans la télé­réa­lité. Et comme beau­coup d’autres jeunes femmes du milieu, elle assure que les révé­la­tions du blogueur Jerem­star sont bien réelles.

Pros­ti­tu­tion dans la télé­réa­lité : le blogueur Jerem­star en danger après ses révé­la­tions choc
A l’image d’Au­ré­lie Pres­ton des Marseillais, Julia Paredes a déjà été appro­chée : « J’ai eu des propo­si­tions lorsque je faisais du go-go dancing en boîte de nuit avant d’être connue, et les propo­si­tions ont afflué lorsque j’ai fait de la télé, révèle-t-elle. J’ai toujours refusé. Certaines filles cherchent du cash et une noto­riété immé­diate. L’es­cor­ting est un job de rêve pour ces nanas maté­ria­listes et oppor­tu­nistes. » Et des personnes comme ça, il y en a selon elle beau­coup, payées « des dizaines de milliers d’eu­ros par mois » : « Allez faire un tour sur les pages Insta­gram de ces filles et vous aurez une idée de leur train de vie. »

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Si Julia assure qu’elle n’a jamais été escort girl, elle assure qu’il y en a dans certaines émis­sions, et que rien n’est fait pour les reca­ler au casting. Benja­min Castaldi avait pour­tant affirmé que les socié­tés de produc­tion essayaient de véri­fier au maxi­mum si les éven­tuelles candi­dates avaient un passé dans la pros­ti­tu­tion ou l’es­cor­ting. Celles qui étaient démasquées, étique­tées « Dubaï » (du nom de la ville des Emirats Arabes Unis où certaines d’entre elles vont se pros­ti­tuer), étaient selon lui écar­tées. Matthieu Delor­meau avait assuré l’in­verse : à l’en­tendre, certaines socié­tés recru­te­raient sciem­ment des escort girls pour leur plas­tique. « On gomme un petit peu les sites, on essaie de les planquer un petit peu, mais elles étaient escorts, a-t-il expliqué. Ça on le savait. » Selon Julia Paredes, ce serait ni l’un ni l’autre : les casteurs ne cher­che­raient tout simple­ment pas à savoir.
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La jeune femme, qui a vécu ces castings de l’in­té­rieur, assure que les véri­fi­ca­tions sont sommaires : « Les boîtes de prod’ exigent un extrait de casier judi­ciaire et s’inquiètent surtout de l’exis­tence de maté­riel porno­gra­phique. Le reste, elles s’en foutent ! », jure-t-elle. La preuve : « Aucun casteur ne m’a jamais demandé si je me pros­ti­tuais. » Et même s’ils l’avaient fait, ce serait très facile de mentir…
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